Economie, politique et subvention
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Economie, politique et subvention
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Economie, politique et subvention
par Nestor Elias Ramirez Jimenez ou Gramophone
Joigny Dimanche 1 mars 2009
Les anciens philosophes, quatre siècles avant J.C. avaient une notion claire des commerçants.
D'ailleurs pour au moins un philosophe le commerçant été la seule personne à préconiser la qualité de sa marchandise sans avoir le certitude, un menteur !
Toujours à cette époque déjà, les affaires d’État et le commerce ne devaient pas être mêles.
Attention aux détracteurs, je vais couper court car il y avais des esclaves, bonnement admis pour tant, donc nous ne sommes ici à parler d'un idéologie, morte et enterrait. (communisme et socialisme! hors de question)
Je crois pour démarrer, et restant concis, que aucun citoyen ne doit être plus puissant que l’État; ou alors l’État n'est saura plus souverain, incapable de satisfaire sont rôle tel les services tel que la santé, l'éducation, la téléphonie, l'emploi. l'eau, l'électricité; (voir discours du président du Bolivie au sujet des obligations de l’État nation)
Nous devons admettre le divorce entre pouvoir politique et pouvoir économique, alors nous devons admettre que le système avec collusion avérée est une erreur. Parce que la législation fini par favoriser le lobby des puissants.
C'est si simple, si l’État n'est pas en possession des sources économiques, capables de lui garantir la suprématie. Cela implique que le pouvoir est nécessairement ailleurs.
Si l’État n'a pas le pouvoir économique, en aucune manière il n'est pas en capacité de jouer le rôle qu'est le sien.
Un ancien sage ( PLATÓN quatre siècles avant J.C.) l'affirmait avec raison : "Personne doit être plus puissant que l’État"
Par contre l’État ne doit pas tricher; la je fait référence aux lois basiques de l'économie. "Loi de l'offre et la demande" et "loi du marché concurrentiel sans entraves".
Du temps de ces sages hommes avant J.C. la taille même de leur société ne pouvant pas permettre l'analyse d'aujourd'hui. Il faut donc admettre que l’État ou Organisation mondiale de l'administration n'existe pas alors qu'il y a des banques à la taille du monde? Il y a là quelque chose qui ne tourne pas rond!
Chaque pays, cherche à concocter dans son coin sa combinaison de mesures, alors que le pouvoir économique lui, se trouve dimensionné à la taille de la terre.
Croire en mesures protectionnistes et subventions pour les pays, est dangereux, pour la société. Car cela signifie que la santé financière de la branche en difficultés, n'est pas compétitive et se trouve par capillarité à l'échelle de la terre concurrencée ailleurs. Ou pire les règles et mécanisme de gestion et de contrôle son inopérants.
Quelque soit l'origine de la difficulté, en soit le système capitaliste est en défaut, pour une raison très simple encore. (d'un grand économiste) "Propre de l'être humain, il veut toujours avoir plus" (écrit en 1843 par John Stuart Mill dans "Système de logique") Puisque la richesse à quitté le pouvoir politique à la fin de la monarchie (le roi été à la tête de tous les pouvoirs) De nous jours les gouvernements nationaux sont des parfaits incapables vis-à-vis du système économique mondiale.
Les USA sont un exemple pitoyable de manque de prévoyance, avec des techniques sauvages de maintien du crédit immobilier par exemple. L'aide des États aux banques, à l'industrie automobile n'est qu'un exemple dans le même sens, qui donne des facilités majeures aux spéculateurs sous forme de carte blanche pour continuer à abuser du marché.
Reste ridicule, cela étant croire que l'accès à la propriété doit se faire via le crédit, où en vingt ans une personne paye deux, trois fois le prix du bien, quand il arrive, puisque dans beaucoup de cas, l'actualité le démontre c'est pas possible, puis la réglementation est faite pour que le profit soit privatisé et les pertes mise à charge du contribuable.
Economie, politique et subvention
par Nestor Elias Ramirez Jimenez ou Gramophone
Joigny Dimanche 1 mars 2009
Les anciens philosophes, quatre siècles avant J.C. avaient une notion claire des commerçants.
D'ailleurs pour au moins un philosophe le commerçant été la seule personne à préconiser la qualité de sa marchandise sans avoir le certitude, un menteur !
Toujours à cette époque déjà, les affaires d’État et le commerce ne devaient pas être mêles.
Attention aux détracteurs, je vais couper court car il y avais des esclaves, bonnement admis pour tant, donc nous ne sommes ici à parler d'un idéologie, morte et enterrait. (communisme et socialisme! hors de question)
Je crois pour démarrer, et restant concis, que aucun citoyen ne doit être plus puissant que l’État; ou alors l’État n'est saura plus souverain, incapable de satisfaire sont rôle tel les services tel que la santé, l'éducation, la téléphonie, l'emploi. l'eau, l'électricité; (voir discours du président du Bolivie au sujet des obligations de l’État nation)
Nous devons admettre le divorce entre pouvoir politique et pouvoir économique, alors nous devons admettre que le système avec collusion avérée est une erreur. Parce que la législation fini par favoriser le lobby des puissants.
C'est si simple, si l’État n'est pas en possession des sources économiques, capables de lui garantir la suprématie. Cela implique que le pouvoir est nécessairement ailleurs.
Si l’État n'a pas le pouvoir économique, en aucune manière il n'est pas en capacité de jouer le rôle qu'est le sien.
Un ancien sage ( PLATÓN quatre siècles avant J.C.) l'affirmait avec raison : "Personne doit être plus puissant que l’État"
Par contre l’État ne doit pas tricher; la je fait référence aux lois basiques de l'économie. "Loi de l'offre et la demande" et "loi du marché concurrentiel sans entraves".
Du temps de ces sages hommes avant J.C. la taille même de leur société ne pouvant pas permettre l'analyse d'aujourd'hui. Il faut donc admettre que l’État ou Organisation mondiale de l'administration n'existe pas alors qu'il y a des banques à la taille du monde? Il y a là quelque chose qui ne tourne pas rond!
Chaque pays, cherche à concocter dans son coin sa combinaison de mesures, alors que le pouvoir économique lui, se trouve dimensionné à la taille de la terre.
Croire en mesures protectionnistes et subventions pour les pays, est dangereux, pour la société. Car cela signifie que la santé financière de la branche en difficultés, n'est pas compétitive et se trouve par capillarité à l'échelle de la terre concurrencée ailleurs. Ou pire les règles et mécanisme de gestion et de contrôle son inopérants.
Quelque soit l'origine de la difficulté, en soit le système capitaliste est en défaut, pour une raison très simple encore. (d'un grand économiste) "Propre de l'être humain, il veut toujours avoir plus" (écrit en 1843 par John Stuart Mill dans "Système de logique") Puisque la richesse à quitté le pouvoir politique à la fin de la monarchie (le roi été à la tête de tous les pouvoirs) De nous jours les gouvernements nationaux sont des parfaits incapables vis-à-vis du système économique mondiale.
Les USA sont un exemple pitoyable de manque de prévoyance, avec des techniques sauvages de maintien du crédit immobilier par exemple. L'aide des États aux banques, à l'industrie automobile n'est qu'un exemple dans le même sens, qui donne des facilités majeures aux spéculateurs sous forme de carte blanche pour continuer à abuser du marché.
Reste ridicule, cela étant croire que l'accès à la propriété doit se faire via le crédit, où en vingt ans une personne paye deux, trois fois le prix du bien, quand il arrive, puisque dans beaucoup de cas, l'actualité le démontre c'est pas possible, puis la réglementation est faite pour que le profit soit privatisé et les pertes mise à charge du contribuable.
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La vision du revenu de Valerie Pecresse
Parlons de revenu
à madame VALERIE PECRESSE
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny le mardi 2 avril 2013
J'ai lu dans un réseau sociale très fréquenté une phrase de Valerie Pecresse qui m'a donnée envie d’écrire le présent texte.
Madame Pecresse écrit :
« Le salaire indécent pour les uns ne l'est pas pour les autres »
Comment interpréter une phrase aussi bague ?
Oui, parce qu'il y a des personnes avec trois enfants qui vivent avec moins de 1000 euros par moi !
Oui parce qu'il y a des gens qui vivent avec des pensions de moins de 600 euros par mois !
Je trouve que c'est plus qu'indécent vivre avec si peu de revenu !
D'où vienne l'argent des sportifs et des personnes dédies à d'autres activités ?
Les sportif le mieux payés, sans doute reçoivent des sommes d'argent qui seraient très loin des montant dessus signalés, mais il faut admettre que nous sommes dans des magnitudes d'un autre genre, et d'ailleurs, parmi les gens pour qui le sport est leur fond de commerce, vivent dans des univers, où les billets d'entrée aux spectacles ne sont pas la seule source, il y a la publicité aussi, où des entreprises internationales investissent des millions de dollars. Mais la popularité des équipes reste mesuré par le volume d'assistance des spectateurs, ensuite la radio et la télévision vont payer des droits leur permettant d'informer sur une rencontre sportive, voir pour une saison ou plusieurs années.
Les millions de dollars qui circulent en conséquence, font que les meilleurs sportif dans chaque domaine soient rémunérés en proportion et au volume de dollars et en proportion au talent individuel.
Pour certains entreprises de grande taille, le volume d'argent qui circule est monumental, alors le revenu arrive à des niveau très élevés, mais la différence avec le sport prend pieds dans le fait que hélas si nous comparons un bon ouvrier reste par fois toute sa vie ouvrier et pour bon qu'il soit même à la fin de ses jours, après avoir sacrifié toute sa vie au travail, il finira dans la misère ou presque, un ouvrier qui part à la retraite n'aura pas l'équivalent de trois fois le SMIG pour vivre. Loin de revenu des meilleurs sportifs, qui d'ailleurs peuvent partir en retraite « volontairement » avant la fin de leur vie.
Tandis que des grands patrons par exemple du CAC40 quant à eux vont avoir des niveau de revenu très confortable, qui dépasse la moyenne de deux millions et demi par année en salaire fixe, à cela nous pouvons ajouter une somme semblable en salaire variable, sans parler des « à côté », puisque certains patrons signent un contrat qui prévoit déjà en prenant le poste, une prime de départ qui se compte en trois voir quatre fois ou plus le revenu d'une année.
Pour un ouvrier il ne passe même pas par la tête l'idée de « prévoir » une quelconque prime de départ, car il y a tout un attirail de codes, de législation, de réglementation, de conventions, sur le revenu et les conditions de départ, déjà en place en dehors desquels il reste utopique aspirer rien de plus.
Le revenu des sportifs en fin de comptes vienne des gens qui aiment le sport, le revenu des politiques et des patrons, vienne des contribuables et des consommateurs, car quelque soit l'entreprise ou le gouvernement c'est avec la poche de madame et de monsieur tout le monde qui se fait le revenu, soit parce que les béotiens par leurs mains font la valeur ajouté, soit parce que les mains de béotiens poussent le cadi dans les grandes surfaces pour dépenser 99% de leur maigre salaire, détails sur l'orgine de la fortune dans le lien ci-dessous:
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Madame Valerie Pecresse avec sa phrase, tentera quoi ? De banaliser la misère ? (sarcasme) de banaliser l'injustice dans le calcul de revenu des postes d'encadrement dans des entreprises ? (au-delà du sol de la nation d'ailleurs) Oui nous vivons dans l'univers de la mondialisation où une hirondelle ne fait pas la pluie (pour dire qu'il est absurde que la France tente des réglés nuisibles à la compétitivité, et souhaiter des règles à la taille du monde reste une exclusivité réservée au Royaume Unit, Allemagne et USA).
Les règles, sur l'évolution du monde, sont issues de la volonté d'une minorité de moins de 3 % des nantis, règles qui vont de toutes manières à l’encontre des intérêts de la majorité des citoyens. Madame Pecresse semble oublier le basique, la politique reste l'art de gouverner et de légiférer de manière à garantir la paix, la justice et l'harmonie.
à madame VALERIE PECRESSE
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny le mardi 2 avril 2013
J'ai lu dans un réseau sociale très fréquenté une phrase de Valerie Pecresse qui m'a donnée envie d’écrire le présent texte.
Madame Pecresse écrit :
« Le salaire indécent pour les uns ne l'est pas pour les autres »
Comment interpréter une phrase aussi bague ?
Oui, parce qu'il y a des personnes avec trois enfants qui vivent avec moins de 1000 euros par moi !
Oui parce qu'il y a des gens qui vivent avec des pensions de moins de 600 euros par mois !
Je trouve que c'est plus qu'indécent vivre avec si peu de revenu !
D'où vienne l'argent des sportifs et des personnes dédies à d'autres activités ?
Les sportif le mieux payés, sans doute reçoivent des sommes d'argent qui seraient très loin des montant dessus signalés, mais il faut admettre que nous sommes dans des magnitudes d'un autre genre, et d'ailleurs, parmi les gens pour qui le sport est leur fond de commerce, vivent dans des univers, où les billets d'entrée aux spectacles ne sont pas la seule source, il y a la publicité aussi, où des entreprises internationales investissent des millions de dollars. Mais la popularité des équipes reste mesuré par le volume d'assistance des spectateurs, ensuite la radio et la télévision vont payer des droits leur permettant d'informer sur une rencontre sportive, voir pour une saison ou plusieurs années.
Les millions de dollars qui circulent en conséquence, font que les meilleurs sportif dans chaque domaine soient rémunérés en proportion et au volume de dollars et en proportion au talent individuel.
Pour certains entreprises de grande taille, le volume d'argent qui circule est monumental, alors le revenu arrive à des niveau très élevés, mais la différence avec le sport prend pieds dans le fait que hélas si nous comparons un bon ouvrier reste par fois toute sa vie ouvrier et pour bon qu'il soit même à la fin de ses jours, après avoir sacrifié toute sa vie au travail, il finira dans la misère ou presque, un ouvrier qui part à la retraite n'aura pas l'équivalent de trois fois le SMIG pour vivre. Loin de revenu des meilleurs sportifs, qui d'ailleurs peuvent partir en retraite « volontairement » avant la fin de leur vie.
Tandis que des grands patrons par exemple du CAC40 quant à eux vont avoir des niveau de revenu très confortable, qui dépasse la moyenne de deux millions et demi par année en salaire fixe, à cela nous pouvons ajouter une somme semblable en salaire variable, sans parler des « à côté », puisque certains patrons signent un contrat qui prévoit déjà en prenant le poste, une prime de départ qui se compte en trois voir quatre fois ou plus le revenu d'une année.
Pour un ouvrier il ne passe même pas par la tête l'idée de « prévoir » une quelconque prime de départ, car il y a tout un attirail de codes, de législation, de réglementation, de conventions, sur le revenu et les conditions de départ, déjà en place en dehors desquels il reste utopique aspirer rien de plus.
Le revenu des sportifs en fin de comptes vienne des gens qui aiment le sport, le revenu des politiques et des patrons, vienne des contribuables et des consommateurs, car quelque soit l'entreprise ou le gouvernement c'est avec la poche de madame et de monsieur tout le monde qui se fait le revenu, soit parce que les béotiens par leurs mains font la valeur ajouté, soit parce que les mains de béotiens poussent le cadi dans les grandes surfaces pour dépenser 99% de leur maigre salaire, détails sur l'orgine de la fortune dans le lien ci-dessous:
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Madame Valerie Pecresse avec sa phrase, tentera quoi ? De banaliser la misère ? (sarcasme) de banaliser l'injustice dans le calcul de revenu des postes d'encadrement dans des entreprises ? (au-delà du sol de la nation d'ailleurs) Oui nous vivons dans l'univers de la mondialisation où une hirondelle ne fait pas la pluie (pour dire qu'il est absurde que la France tente des réglés nuisibles à la compétitivité, et souhaiter des règles à la taille du monde reste une exclusivité réservée au Royaume Unit, Allemagne et USA).
Les règles, sur l'évolution du monde, sont issues de la volonté d'une minorité de moins de 3 % des nantis, règles qui vont de toutes manières à l’encontre des intérêts de la majorité des citoyens. Madame Pecresse semble oublier le basique, la politique reste l'art de gouverner et de légiférer de manière à garantir la paix, la justice et l'harmonie.
Última edición por Cogito ergo sum el Mar 2 Abr - 0:20, editado 1 vez (Razón : Valerie Pecresse; gramophone; Jean Pierre Rafiran, Nestor Elias Ramirez Jimenez)
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FSOC
Le Conseil de surveillance de la stabilité financière en anglais (Financial Stability Oversight Council FSOC)
Information FED du 3 avril 2013
La FED vienne d'approuver une nouvelle réglementation qui concerne toute entreprise où 85 % de sont chiffre d'affaires et ou actifs proviendraient des activités financières :
La Réserve fédérale a annoncé l'approbation d'un règlement final qui établit les exigences pour déterminer si une entreprise est «principalement engagée dans des activités financières." Les exigences seront utilisés par le Conseil de surveillance de la stabilité financière (FSOC) quand il considère la désignation éventuelle d'une société financière non bancaire pour la surveillance consolidée par la Réserve fédérale.
En vertu de la loi Dodd-Frank Wall Street Reform et Consumer Protection Act, une société financière non bancaire peut être désigné par le FSOC pour la supervision de la Réserve fédérale que si elle est «principalement engagée dans des activités financières." Une entreprise est considérée comme étant principalement engagée dans des activités financières si 85 pour cent ou plus des revenus ou des actifs de l'entreprise sont liés aux activités qui sont définies comme de nature financière en vertu de la Loi sur les holdings bancaires. En outre, le FSOC peut émettre des recommandations pour les organismes de réglementation financiers de base à appliquer des normes nouvelles ou accrues pour une activité financière ou pratique réalisée par des entreprises qui sont principalement engagés dans des activités financières.
La règle finale adopte largement l'approche de la règle proposée, à quelques exceptions près. Par exemple, la règle finale stipule que l'engagement dans les opérations sur dérivés réglés physiquement ne sera généralement pas considérée comme une activité financière, une modification de la proposition.
La dernière règle définit également les termes "société financière non bancaire importante» et «importante société de portefeuille bancaire." Parmi les facteurs les FSOC doit prendre en considération au moment de déterminer s'il convient de désigner une société financière non bancaire pour la surveillance consolidée par la Réserve fédérale est l'étendue et la nature des transactions et les relations avec d'autres sociétés financières non bancaires importants et les sociétés de portefeuille bancaires importants de l'entreprise. S'il est désigné, les sociétés financières non bancaires seront tenus de soumettre des rapports à la Réserve fédérale, le FSOC, et la Compagnie fédérale d'assurance des dépôts sur le risque de crédit de l'entreprise à d'autres entreprises importantes financières non bancaires et des compagnies importantes holdings bancaires ainsi que le risque de crédit de ces entités importantes pour l'entreprise. Conformément à la proposition, une société sera considérée comme significative si elle a 50 milliards de dollars ou plus dans le total des actifs consolidés ou s'il a été désigné par le FSOC comme d'importance systémique.
Information FED du 3 avril 2013
La FED vienne d'approuver une nouvelle réglementation qui concerne toute entreprise où 85 % de sont chiffre d'affaires et ou actifs proviendraient des activités financières :
La Réserve fédérale a annoncé l'approbation d'un règlement final qui établit les exigences pour déterminer si une entreprise est «principalement engagée dans des activités financières." Les exigences seront utilisés par le Conseil de surveillance de la stabilité financière (FSOC) quand il considère la désignation éventuelle d'une société financière non bancaire pour la surveillance consolidée par la Réserve fédérale.
En vertu de la loi Dodd-Frank Wall Street Reform et Consumer Protection Act, une société financière non bancaire peut être désigné par le FSOC pour la supervision de la Réserve fédérale que si elle est «principalement engagée dans des activités financières." Une entreprise est considérée comme étant principalement engagée dans des activités financières si 85 pour cent ou plus des revenus ou des actifs de l'entreprise sont liés aux activités qui sont définies comme de nature financière en vertu de la Loi sur les holdings bancaires. En outre, le FSOC peut émettre des recommandations pour les organismes de réglementation financiers de base à appliquer des normes nouvelles ou accrues pour une activité financière ou pratique réalisée par des entreprises qui sont principalement engagés dans des activités financières.
La règle finale adopte largement l'approche de la règle proposée, à quelques exceptions près. Par exemple, la règle finale stipule que l'engagement dans les opérations sur dérivés réglés physiquement ne sera généralement pas considérée comme une activité financière, une modification de la proposition.
La dernière règle définit également les termes "société financière non bancaire importante» et «importante société de portefeuille bancaire." Parmi les facteurs les FSOC doit prendre en considération au moment de déterminer s'il convient de désigner une société financière non bancaire pour la surveillance consolidée par la Réserve fédérale est l'étendue et la nature des transactions et les relations avec d'autres sociétés financières non bancaires importants et les sociétés de portefeuille bancaires importants de l'entreprise. S'il est désigné, les sociétés financières non bancaires seront tenus de soumettre des rapports à la Réserve fédérale, le FSOC, et la Compagnie fédérale d'assurance des dépôts sur le risque de crédit de l'entreprise à d'autres entreprises importantes financières non bancaires et des compagnies importantes holdings bancaires ainsi que le risque de crédit de ces entités importantes pour l'entreprise. Conformément à la proposition, une société sera considérée comme significative si elle a 50 milliards de dollars ou plus dans le total des actifs consolidés ou s'il a été désigné par le FSOC comme d'importance systémique.
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Les USA devienne un pays communiste!
Je dedie le sujet à madame ANNIE NOVELLI présente dans les sujets sur FACEBOOK
L'économie des USA sous perfusion à raison de 85 milliards de dollars mensuelles. C'est le coût des titres hypothécaires (actifs toxiques) achetés par la FED par mois. Bravo pour la Mecque du capitalisme tout à coup devenu communiste puisque le contribuable assume les conséquences des SUBPRIMES, nationalisation des banques, plan Paulson, et j'en passe....
Que dit notre presse (de droite) de ce pays jusqu'alors comblé de louanges par les néo-libéraux? devenu mutualiste en faveur des banques?
Sujet intégrale dans le site officiel de la FED:
http://federalreserve.gov/newsevents/press/monetary/20130731a.htm
Un extrait:
..."To support a stronger economic recovery and to help ensure that inflation, over time, is at the rate most consistent with its dual mandate, the Committee decided to continue purchasing additional agency mortgage-backed securities at a pace of $40 billion per month and longer-term Treasury securities at a pace of $45 billion per month. The Committee is maintaining its existing policy of reinvesting principal payments from its holdings of agency debt and agency mortgage-backed securities in agency mortgage-backed securities and of rolling over maturing Treasury securities at auction. Taken together, these actions should maintain downward pressure on longer-term interest rates, support mortgage markets, and help to make broader financial conditions more accommodative"...
L'économie des USA sous perfusion à raison de 85 milliards de dollars mensuelles. C'est le coût des titres hypothécaires (actifs toxiques) achetés par la FED par mois. Bravo pour la Mecque du capitalisme tout à coup devenu communiste puisque le contribuable assume les conséquences des SUBPRIMES, nationalisation des banques, plan Paulson, et j'en passe....
Que dit notre presse (de droite) de ce pays jusqu'alors comblé de louanges par les néo-libéraux? devenu mutualiste en faveur des banques?
Sujet intégrale dans le site officiel de la FED:
http://federalreserve.gov/newsevents/press/monetary/20130731a.htm
Un extrait:
..."To support a stronger economic recovery and to help ensure that inflation, over time, is at the rate most consistent with its dual mandate, the Committee decided to continue purchasing additional agency mortgage-backed securities at a pace of $40 billion per month and longer-term Treasury securities at a pace of $45 billion per month. The Committee is maintaining its existing policy of reinvesting principal payments from its holdings of agency debt and agency mortgage-backed securities in agency mortgage-backed securities and of rolling over maturing Treasury securities at auction. Taken together, these actions should maintain downward pressure on longer-term interest rates, support mortgage markets, and help to make broader financial conditions more accommodative"...
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Quel est le cap CEE
Où allons nous avec la CEE?
C'est pas mal, mais il faut plus d'ambition et de justice sociale
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit gramophone
Joigny, mercredi 7 août 2013
Voyons voir les détails : La stratégie du gouvernement pour faire en sorte que ces signes de reprise se raffermissent tout au long des mois à venir, repose sur trois piliers :
1° l’Europe, qui doit remettre la croissance au cœur de ses politiques
Jusqu'à maintenant un des intérêts fondamentaux de la politique CEE été de contenir l'inflation (voir rapport mensuel de la BCE dans le lien)
http://www.ecb.int/pub/pdf/mobu/mb201307en.pdf
Je cite un extrait dans l’éditorial du rapport de juillet 2013 :
..."Inflation expectations for the euro area continue to be firmly anchored in line with the Governing Council’s aim of maintaining inflation rates below, but close to, 2% over the medium term"...
Objectifs jusqu'alors de la CEE, semble être celui de contenir l’inflation puis pendant la crise, tout faire pour bénéficier les banques.
2° Le rétablissement de la confiance, qui exige de déployer tous les instruments pour l’emploi notamment des jeunes, de consolider notre modèle social, et de redonner le goût d’entreprendre
Plutôt dans le rétablissement de la confiance, les banques bénéficient d’énormes sommes prêtées à taux dérisoire, sommes que les banques à leur tour prêtent engrangeant de juteux bénéfices.
Bien entendu que la mutualisation des pertes en conséquence de la folie attachée aux titres toxiques (subprimes) que d'ailleurs coûte chaque mois au contribuable des USA 85 milliards de US$, a ici sont incidence, le marché de devises aurait peut-être reçu un meilleur contrôle ?
Il ne faut pas s' étonner d'une faible demande intérieur de la zone euro. Avec les directives européennes de reduciton du déficit, et le programme d'austérité infligés aux pays de la Euro zone ?
3° la préparation de l’avenir, qui passe, sans préjudice pour le rétablissement des équilibres financiers, par une stratégie ambitieuse pour l’investissement, l’innovation et la compétitivité.
Quant à l'avenir, nous serions d'accord, si les stratégies auraient été vraiment ambitieuses en matière de réduction de la consommation d’énergies, développement de sources d’énergies nouvelles, réduction de la fracture numérique, d'une manière plus ambitieuse, car le corollaire de cet point se traduit par l’impasse vis à vis du point deux, puisque de manière sournoise les grandes institutions tel que le FMI et la CEE sont des véhéments instigateurs pour la destruction des acquis sociaux, destruction de la fonction publique, destruction de la législation sur la retraite. Destruction de la législation sur le travail, sous forme exigé de allègement de la législation en matière de contrat de travail (disparition de la notion de CDI) Le tout au nom d'une hypothétique compétitivité, qui pourtant semble fortement faire défaut dans la mecque du capitalisme, oui aux USA, en Irlande, au Royaume-uni.
C'est pas mal, mais il faut plus d'ambition et de justice sociale
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit gramophone
Joigny, mercredi 7 août 2013
Voyons voir les détails : La stratégie du gouvernement pour faire en sorte que ces signes de reprise se raffermissent tout au long des mois à venir, repose sur trois piliers :
1° l’Europe, qui doit remettre la croissance au cœur de ses politiques
Jusqu'à maintenant un des intérêts fondamentaux de la politique CEE été de contenir l'inflation (voir rapport mensuel de la BCE dans le lien)
http://www.ecb.int/pub/pdf/mobu/mb201307en.pdf
Je cite un extrait dans l’éditorial du rapport de juillet 2013 :
..."Inflation expectations for the euro area continue to be firmly anchored in line with the Governing Council’s aim of maintaining inflation rates below, but close to, 2% over the medium term"...
Objectifs jusqu'alors de la CEE, semble être celui de contenir l’inflation puis pendant la crise, tout faire pour bénéficier les banques.
2° Le rétablissement de la confiance, qui exige de déployer tous les instruments pour l’emploi notamment des jeunes, de consolider notre modèle social, et de redonner le goût d’entreprendre
Plutôt dans le rétablissement de la confiance, les banques bénéficient d’énormes sommes prêtées à taux dérisoire, sommes que les banques à leur tour prêtent engrangeant de juteux bénéfices.
Bien entendu que la mutualisation des pertes en conséquence de la folie attachée aux titres toxiques (subprimes) que d'ailleurs coûte chaque mois au contribuable des USA 85 milliards de US$, a ici sont incidence, le marché de devises aurait peut-être reçu un meilleur contrôle ?
Il ne faut pas s' étonner d'une faible demande intérieur de la zone euro. Avec les directives européennes de reduciton du déficit, et le programme d'austérité infligés aux pays de la Euro zone ?
3° la préparation de l’avenir, qui passe, sans préjudice pour le rétablissement des équilibres financiers, par une stratégie ambitieuse pour l’investissement, l’innovation et la compétitivité.
Quant à l'avenir, nous serions d'accord, si les stratégies auraient été vraiment ambitieuses en matière de réduction de la consommation d’énergies, développement de sources d’énergies nouvelles, réduction de la fracture numérique, d'une manière plus ambitieuse, car le corollaire de cet point se traduit par l’impasse vis à vis du point deux, puisque de manière sournoise les grandes institutions tel que le FMI et la CEE sont des véhéments instigateurs pour la destruction des acquis sociaux, destruction de la fonction publique, destruction de la législation sur la retraite. Destruction de la législation sur le travail, sous forme exigé de allègement de la législation en matière de contrat de travail (disparition de la notion de CDI) Le tout au nom d'une hypothétique compétitivité, qui pourtant semble fortement faire défaut dans la mecque du capitalisme, oui aux USA, en Irlande, au Royaume-uni.
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Date d'inscription : 21/02/2009
La droite au sénat montre son vidage!
PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2014
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Lundi 25 novembre 2013
Quand la droite tente de jouer les gros bras face à la justice sociale et au gouvernement.
La droite s'oppose à que les bénéfices de tout type de contrat d'assurances, soient comptés lors du calcul du prélèvement fiscale.
L'excuse de la droite, se base sur le fait que les gens très riches, ont pour habitude à ne pas récupérer les bénéfices (normale car ils n'ont pas besoin) mais de les ajouter à leur compte de manière à grossir leur capital.
C'est une réaction développé par le Sénateur Philippe Marini, président de la commission de finances. Suivi de Roger Karoutchi entre autres.
Le citoyen lambda aura du mal à comprendre cela ?
Je ne doute pas que le sujet soit relativement complexe pour un citoyen lambda de ma carrure, car je suis aussi immigré, illettré, un ouvrier, mais je crois logique que si je suscris un contra d'assurance vie, quel qu'il soit, et que je gagne un pourcentage par an, pour un petit salaire tel que moi suscrit des assurances au prélèvement de 20 a 50 euros par moi. Et deux pour cent d'une telle somme, reste ridicule, mais les nantis eux achètent des plan d'assurances complexes, dans le seul but d'évasion fiscale, de manière à réduire leur déclaration de 20 mille 50 mille euros par année.
Ici nous constatons la puissance du lobby des gens de droite, très près des banquiers, qui croient absolument avoir raison. Monsieur Philippe Marini, insiste avec voix solennel, que la loi ne doit pas s'appliquer que sur des vraies bénéfices, alors que des gens très riches bien sur préfèrent que les intérêts de leur investissements soient ajoutés au capital, manière puérile de réussir à affirmer qu'ils n'auraient pas eu des bénéfices ; du point purement pragmatique c'est vraie, car ils n'auraient pas touche un centime, mais tout en augmentant leur capital.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Lundi 25 novembre 2013
Quand la droite tente de jouer les gros bras face à la justice sociale et au gouvernement.
La droite s'oppose à que les bénéfices de tout type de contrat d'assurances, soient comptés lors du calcul du prélèvement fiscale.
L'excuse de la droite, se base sur le fait que les gens très riches, ont pour habitude à ne pas récupérer les bénéfices (normale car ils n'ont pas besoin) mais de les ajouter à leur compte de manière à grossir leur capital.
C'est une réaction développé par le Sénateur Philippe Marini, président de la commission de finances. Suivi de Roger Karoutchi entre autres.
Le citoyen lambda aura du mal à comprendre cela ?
Je ne doute pas que le sujet soit relativement complexe pour un citoyen lambda de ma carrure, car je suis aussi immigré, illettré, un ouvrier, mais je crois logique que si je suscris un contra d'assurance vie, quel qu'il soit, et que je gagne un pourcentage par an, pour un petit salaire tel que moi suscrit des assurances au prélèvement de 20 a 50 euros par moi. Et deux pour cent d'une telle somme, reste ridicule, mais les nantis eux achètent des plan d'assurances complexes, dans le seul but d'évasion fiscale, de manière à réduire leur déclaration de 20 mille 50 mille euros par année.
Ici nous constatons la puissance du lobby des gens de droite, très près des banquiers, qui croient absolument avoir raison. Monsieur Philippe Marini, insiste avec voix solennel, que la loi ne doit pas s'appliquer que sur des vraies bénéfices, alors que des gens très riches bien sur préfèrent que les intérêts de leur investissements soient ajoutés au capital, manière puérile de réussir à affirmer qu'ils n'auraient pas eu des bénéfices ; du point purement pragmatique c'est vraie, car ils n'auraient pas touche un centime, mais tout en augmentant leur capital.
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Naissance et mort d'un système
Historique social
Causes, conséquences et danger des dérives financières
Par Nestor Elias Ramirez Jiménez
Joigny dimanche 1 décembre 2013
Sans être sommaire mais pas trop approfondit non plus, un regard sur à peu près 100 ans nous permet de distinguer les effets d’une accélération vertigineuse de l’industrie financière tout en détriment de la production matérielle.
L’industrie financière existe sous condition de récupération du capital de la production des biens et de services.
Si du point de vue théorique ses deux univers ne peuvent pas exister l’un sans l’autre ; il est aussi vrai que l’industrie financière tente à tout prix des niveaux de rentabilité qui ne peuvent pas être supportée par la société en générale.
Il reste impossible du point de vue social et politique que la production soit moins rentable que la spéculation financière.
Lorsque l’industrie financière réussie à être plus rentable que la production des biens et des services, se développe alors un déséquilibre dangereux et nuisible pour l’harmonie sociale.
En effet les différentes crises économiques nous montrent les effets néfastes des procédés, des tactiques dépourvues de toute éthique et morale, avec le seul but d’obtenir des niveaux de rentabilité peu ou pas adapté à la réalité économique mondial.
Les dérives et les responsables
Si l’industrie financière devienne plus rentable que la production des biens et des services, le phénomène et du à des interventions politiques, ici la source de tous les maux de l’économie mondiale, démarre au Royaume-Uni, où tout est fait pour casser des principes basiques de l’économie telle que la livre concurrence où la loi de l’offre et la demande.
Nous pouvons constater que le Royaume-Uni même en étant membre des la communauté économique européenne dispose d’une autre monnaie que l’euro, en matière fiscale une longue liste des règles est préconisé pour tous les pays de l’union européenne sauf le Royaume-Uni.
Les paradis fiscaux
Tout en faisant parti de L’union européenne, le Royaume-Uni favorise l’existence des paradis fiscaux, montage particulier qui supporte la structure et le fonctionnement de l’économie du royaume
Le danger
Ils sont nombreux les économistes et autres analystes financiers qui auraient osé tirer la sonnette d’alarme face aux abus en matière de bénéfices et évasions fiscales typiques de l’industrie financière.
De toute évidence il est dangereux le procès d’asphyxie au quel est soumis la production réal des richesses ; car il faut le souligner, la richesse est produite exclusivement par la transformation des matières, activités qu’en plus de produire de la richesse joue un rôle éminemment sociale.
Toutes les formes de production où se réalise la transformation génère un volume d’emploi clé dans le cycle économique global, non moins de 75 % des salaires modestes conforment une masse dite de consommation, et cette masse de consommateurs est composée fondamentalement par des gens à salaires modestes.
Nous ne pouvons pas négliger une réalité qui veut que presque la moitié des recettes de la France soit le fruit de la tasse sous la valeur ajoutée ou TVA, il est pertinent de rappeler aussi que les 25 % des recettes fiscales de la France sont issus de l’impôt sur le prévenu.
Il est courant d’entendre que l’industrie des finances est très puissante, à la lumière des recettes de la France nous pouvons constater que la puissante industrie des finances n’y contribue pas pour beaucoup à l’économie bien au contraire elle est responsable de la désertification du tissu industriel de la nation donc de la perte d’emploi des 10 % des travailleurs au moins.
Causes, conséquences et danger des dérives financières
Par Nestor Elias Ramirez Jiménez
Joigny dimanche 1 décembre 2013
Sans être sommaire mais pas trop approfondit non plus, un regard sur à peu près 100 ans nous permet de distinguer les effets d’une accélération vertigineuse de l’industrie financière tout en détriment de la production matérielle.
L’industrie financière existe sous condition de récupération du capital de la production des biens et de services.
Si du point de vue théorique ses deux univers ne peuvent pas exister l’un sans l’autre ; il est aussi vrai que l’industrie financière tente à tout prix des niveaux de rentabilité qui ne peuvent pas être supportée par la société en générale.
Il reste impossible du point de vue social et politique que la production soit moins rentable que la spéculation financière.
Lorsque l’industrie financière réussie à être plus rentable que la production des biens et des services, se développe alors un déséquilibre dangereux et nuisible pour l’harmonie sociale.
En effet les différentes crises économiques nous montrent les effets néfastes des procédés, des tactiques dépourvues de toute éthique et morale, avec le seul but d’obtenir des niveaux de rentabilité peu ou pas adapté à la réalité économique mondial.
Les dérives et les responsables
Si l’industrie financière devienne plus rentable que la production des biens et des services, le phénomène et du à des interventions politiques, ici la source de tous les maux de l’économie mondiale, démarre au Royaume-Uni, où tout est fait pour casser des principes basiques de l’économie telle que la livre concurrence où la loi de l’offre et la demande.
Nous pouvons constater que le Royaume-Uni même en étant membre des la communauté économique européenne dispose d’une autre monnaie que l’euro, en matière fiscale une longue liste des règles est préconisé pour tous les pays de l’union européenne sauf le Royaume-Uni.
Les paradis fiscaux
Tout en faisant parti de L’union européenne, le Royaume-Uni favorise l’existence des paradis fiscaux, montage particulier qui supporte la structure et le fonctionnement de l’économie du royaume
Le danger
Ils sont nombreux les économistes et autres analystes financiers qui auraient osé tirer la sonnette d’alarme face aux abus en matière de bénéfices et évasions fiscales typiques de l’industrie financière.
De toute évidence il est dangereux le procès d’asphyxie au quel est soumis la production réal des richesses ; car il faut le souligner, la richesse est produite exclusivement par la transformation des matières, activités qu’en plus de produire de la richesse joue un rôle éminemment sociale.
Toutes les formes de production où se réalise la transformation génère un volume d’emploi clé dans le cycle économique global, non moins de 75 % des salaires modestes conforment une masse dite de consommation, et cette masse de consommateurs est composée fondamentalement par des gens à salaires modestes.
Nous ne pouvons pas négliger une réalité qui veut que presque la moitié des recettes de la France soit le fruit de la tasse sous la valeur ajoutée ou TVA, il est pertinent de rappeler aussi que les 25 % des recettes fiscales de la France sont issus de l’impôt sur le prévenu.
Il est courant d’entendre que l’industrie des finances est très puissante, à la lumière des recettes de la France nous pouvons constater que la puissante industrie des finances n’y contribue pas pour beaucoup à l’économie bien au contraire elle est responsable de la désertification du tissu industriel de la nation donc de la perte d’emploi des 10 % des travailleurs au moins.
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DISCOURS DE LA RAISON
Discours de la raison
Introduction
Aucun acte humain, aucune action sociale, doit être considérée ni comment le fruit du hasard ni, moins encore ; sans conséquences dans l'histoire de l'humanité. Des erreurs peuvent être commises, mais ces erreurs, sont en vérité inscrits dans un procès ou machination, que sans doute est déguisée, maquillée dans touts les cas.
Le principal instrument du pouvoir reste à mon sens l'ignorance
L'ignorance est l'arme la plus puissant connue pour contrôler le monde. Car l'ignorance préfigure sans peine l'indifférence et l'individualisme. Par ignorance trente cinq millions de personnes sont sacrifiées chaque année, dans l'autel de la cupidité ; sans que le reste des gens modestes, aille la moindre miséricorde, la moindre compassion par la mort de tant des gens !
Les pauvres gens, ne doivent pas se sentir coupables, ne peuvent pas être coupables de leur ignorance, car celle-ci reste rien d'autre qu'un outil du pouvoir, outil qui d'ailleurs fonctionne si bien, que mon discours semble illisible pour la plus part des gens de ma condition sociale. Car je suis né, grandi et toujours vécu, au beau milieu des gens de classes populaires. Les gens les plus concernés par la misère, ce sont les gens le moins intéressés. C'est un fait ! Mais pas une accusation.
Avant d'écrire le présent sujet, j'ai déjà passé des années, à intervenir dans des blogs, dans des forums, à faire face, à des discours, de tout genre ; j'ai ainsi supportais tout type des attaques, mais ceux qui m'auraient attaqué, n'ont pas, eux, comprit que de l'affrontement je m'en sort avec une avantage, j'ai appris de leur critiques engrangeant avec leur plaidoyer la fortification de ma pensée.
Pendant des longues années, je du donc eu le temps d’échafauder mot par mot, mes phrases, comprendre que j'ai tendance à m'écarter du chemin de ce que l'on nomme la diplomatie ; qui d'ailleurs je toujours jusqu'aujourd'hui plutôt vu comment de la simple hypocrisie.
Je pesse mes mots, car j'ai conclus cela après avoir su, que la folie de l'ambition, aurait coûté la vie même à des présidents des nations qui se font passer pour des démocraties, je parle de la personne de John Fitzgerald Kennedy, que par la folle envie de domination l'on puisse s'attaquer à la vie des gens comment Patrice Émery Lumumba, ou encore le président élu démocratiquement d'un pays de l’Amérique du sud Salvador Allende, avec une constante, et pas de moindres ; la présence des services secrets d'au moins un pays, le même qui se targue de défendre la démocratie.
Voici une raison de me poser des questions !
C'est donc pas vraiment la démocratie, la justice, ni l'éthique qui est défendu, moins encore l’harmonie entre les humains qui serait défendu ? " oui c'est une question " question que chacun doit se poser à présent.
Chapitre 1
C'est en pensant à la mort, que je me trouve bizarrement à écrire, le présent sujet. La raison, ou mieux encore, " l'art de discerner " du grand Descartes, est où ?
EURECA
C'est que je dois éviter de donner l'impression de manipuler par mon discours ! Zut ce la mort de trente cinq millions de gens chaque année, qui me révolte, puis je sais qu'il aura le lecteur qui va s'insurger vis à vis de moi, pour exprimer avec véhémence, " que je sais, tout juste, rester avec mes fesses sur une chaise à scander des belles paroles ". Voilà que je rétorque, que je connais les armes, PACIFIQUES pour lutter, sans verser la moindre goûte du sang, sans tirer une seule balle ! Sans brûler le moindre bâtiment publique.
Oui parce que l'intellectuel, qui se dit, horrifié des maux de la société, (il y a sans doute des tas des gens dans une telle configuration). Doivent comprendre que " L'heure des constats, l'heure des manifestations, et même les guerres déclenchées tel que le terrorisme, c'est du sans effet sur le cours de l'histoire. Parce que le vraie pouvoir, le pouvoir sinistre, celui qui vie incognito derrière les holding dans des paradis fiscaux. Le pouvoir qui est un mains de pas plus de cinq groupes du genre GOLMAND SACHS, continue aisément d'engranger plus de 90 % du fruit du travail dans le monde.
De toute évidence, quand j'apporte le qualificatif de déguisé pour souligner le comportement de l'industrie de la spéculation financière, je sais que c'est plutôt un discours trop souple, voir trop gentil, en vers des vraies nuisibles à l'encontre de l’harmonie sociale.
Dire ce que vous pensez de manière abrupte, fini par choquer quelqu’un quelque part. Mais la raison, la vérité, la justice doivent passer au-delà, des sentiments, au-delà des gestes sots et puériles des gens qui ne verraient pas au-delà de leur lorgnette. Qui parmi celui qui lis ce-ci, parmi un détracteur de mes idées est en mesure de contredira que les paradis fiscaux sont une des sources majeures, à coté de l'ignorance de l'ensemble des maux de la société ?
Ce n'est donc pas par cause hasard qu'arrive la mort par inanition de millions de personnes. La confluence des deux actes, opposés, de la part des êtres humains, favorisent l'évolution d'un système qui lutte contre des lois fondatrices et fondamentales de l'économie : la libre concurrence, la loi de l'offre et la demande, la démocratie, la politique ; les basiques de l'harmonie sociale, sont des simples péripatéticiennes en faveur de l'industrie des finances qui font tout pour modeler les lois, de les adapter à leur guise face à la plus absolue indifférence des majorités des gens sur la terre, gens des classes modestes, donc les plus concernés, ZUT !
Il saurait à cet stade, trop simple de juger et faire porter la responsabilité des maux de la société, au silence, à l'indifférence, des classes MAJORITAIRES, les classes populaires. Hors nous devons, non pas défendre, les pauvres gens, par leur silence, mais comprendre que leur comportement leur est IMPOSÉ par le système.
Je ne peu pas prétendre, maîtriser touts les tenants et aboutissants des causes et conséquences de la concentration de la richesse. De toute évidence, c'est une erreur grossière, une erreur majeur, qui preuve non pas amateurisme des gens comment GORGE SORROS, Lloyd Blankfein, parce que ce genre de personnages, se croient dans la vie comment dans un casino, disposés volontairement à jouer dans le seul but de gagner, sans jamais mesurer les conséquences.
Je ne peu pas croire que les politiques, et en particulière, ceux des pays membres du conseil de sécurité de l'Organisation des Nations Unis, soient vraiment capables d'oublier que touts nos actions sont évaluées et déposé dans le grand livre de l'histoire.
(écrire un livre exigé un protocole, des niveau de connaissances, et un prix, obstacles que je tente de contourner jusqu'aujourd'hui par le biais de web)
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny le samedi 7 de décembre 2013
Introduction
Aucun acte humain, aucune action sociale, doit être considérée ni comment le fruit du hasard ni, moins encore ; sans conséquences dans l'histoire de l'humanité. Des erreurs peuvent être commises, mais ces erreurs, sont en vérité inscrits dans un procès ou machination, que sans doute est déguisée, maquillée dans touts les cas.
Le principal instrument du pouvoir reste à mon sens l'ignorance
L'ignorance est l'arme la plus puissant connue pour contrôler le monde. Car l'ignorance préfigure sans peine l'indifférence et l'individualisme. Par ignorance trente cinq millions de personnes sont sacrifiées chaque année, dans l'autel de la cupidité ; sans que le reste des gens modestes, aille la moindre miséricorde, la moindre compassion par la mort de tant des gens !
Les pauvres gens, ne doivent pas se sentir coupables, ne peuvent pas être coupables de leur ignorance, car celle-ci reste rien d'autre qu'un outil du pouvoir, outil qui d'ailleurs fonctionne si bien, que mon discours semble illisible pour la plus part des gens de ma condition sociale. Car je suis né, grandi et toujours vécu, au beau milieu des gens de classes populaires. Les gens les plus concernés par la misère, ce sont les gens le moins intéressés. C'est un fait ! Mais pas une accusation.
Avant d'écrire le présent sujet, j'ai déjà passé des années, à intervenir dans des blogs, dans des forums, à faire face, à des discours, de tout genre ; j'ai ainsi supportais tout type des attaques, mais ceux qui m'auraient attaqué, n'ont pas, eux, comprit que de l'affrontement je m'en sort avec une avantage, j'ai appris de leur critiques engrangeant avec leur plaidoyer la fortification de ma pensée.
Pendant des longues années, je du donc eu le temps d’échafauder mot par mot, mes phrases, comprendre que j'ai tendance à m'écarter du chemin de ce que l'on nomme la diplomatie ; qui d'ailleurs je toujours jusqu'aujourd'hui plutôt vu comment de la simple hypocrisie.
Je pesse mes mots, car j'ai conclus cela après avoir su, que la folie de l'ambition, aurait coûté la vie même à des présidents des nations qui se font passer pour des démocraties, je parle de la personne de John Fitzgerald Kennedy, que par la folle envie de domination l'on puisse s'attaquer à la vie des gens comment Patrice Émery Lumumba, ou encore le président élu démocratiquement d'un pays de l’Amérique du sud Salvador Allende, avec une constante, et pas de moindres ; la présence des services secrets d'au moins un pays, le même qui se targue de défendre la démocratie.
Voici une raison de me poser des questions !
C'est donc pas vraiment la démocratie, la justice, ni l'éthique qui est défendu, moins encore l’harmonie entre les humains qui serait défendu ? " oui c'est une question " question que chacun doit se poser à présent.
Chapitre 1
C'est en pensant à la mort, que je me trouve bizarrement à écrire, le présent sujet. La raison, ou mieux encore, " l'art de discerner " du grand Descartes, est où ?
EURECA
C'est que je dois éviter de donner l'impression de manipuler par mon discours ! Zut ce la mort de trente cinq millions de gens chaque année, qui me révolte, puis je sais qu'il aura le lecteur qui va s'insurger vis à vis de moi, pour exprimer avec véhémence, " que je sais, tout juste, rester avec mes fesses sur une chaise à scander des belles paroles ". Voilà que je rétorque, que je connais les armes, PACIFIQUES pour lutter, sans verser la moindre goûte du sang, sans tirer une seule balle ! Sans brûler le moindre bâtiment publique.
Oui parce que l'intellectuel, qui se dit, horrifié des maux de la société, (il y a sans doute des tas des gens dans une telle configuration). Doivent comprendre que " L'heure des constats, l'heure des manifestations, et même les guerres déclenchées tel que le terrorisme, c'est du sans effet sur le cours de l'histoire. Parce que le vraie pouvoir, le pouvoir sinistre, celui qui vie incognito derrière les holding dans des paradis fiscaux. Le pouvoir qui est un mains de pas plus de cinq groupes du genre GOLMAND SACHS, continue aisément d'engranger plus de 90 % du fruit du travail dans le monde.
De toute évidence, quand j'apporte le qualificatif de déguisé pour souligner le comportement de l'industrie de la spéculation financière, je sais que c'est plutôt un discours trop souple, voir trop gentil, en vers des vraies nuisibles à l'encontre de l’harmonie sociale.
Dire ce que vous pensez de manière abrupte, fini par choquer quelqu’un quelque part. Mais la raison, la vérité, la justice doivent passer au-delà, des sentiments, au-delà des gestes sots et puériles des gens qui ne verraient pas au-delà de leur lorgnette. Qui parmi celui qui lis ce-ci, parmi un détracteur de mes idées est en mesure de contredira que les paradis fiscaux sont une des sources majeures, à coté de l'ignorance de l'ensemble des maux de la société ?
Ce n'est donc pas par cause hasard qu'arrive la mort par inanition de millions de personnes. La confluence des deux actes, opposés, de la part des êtres humains, favorisent l'évolution d'un système qui lutte contre des lois fondatrices et fondamentales de l'économie : la libre concurrence, la loi de l'offre et la demande, la démocratie, la politique ; les basiques de l'harmonie sociale, sont des simples péripatéticiennes en faveur de l'industrie des finances qui font tout pour modeler les lois, de les adapter à leur guise face à la plus absolue indifférence des majorités des gens sur la terre, gens des classes modestes, donc les plus concernés, ZUT !
Il saurait à cet stade, trop simple de juger et faire porter la responsabilité des maux de la société, au silence, à l'indifférence, des classes MAJORITAIRES, les classes populaires. Hors nous devons, non pas défendre, les pauvres gens, par leur silence, mais comprendre que leur comportement leur est IMPOSÉ par le système.
Je ne peu pas prétendre, maîtriser touts les tenants et aboutissants des causes et conséquences de la concentration de la richesse. De toute évidence, c'est une erreur grossière, une erreur majeur, qui preuve non pas amateurisme des gens comment GORGE SORROS, Lloyd Blankfein, parce que ce genre de personnages, se croient dans la vie comment dans un casino, disposés volontairement à jouer dans le seul but de gagner, sans jamais mesurer les conséquences.
Je ne peu pas croire que les politiques, et en particulière, ceux des pays membres du conseil de sécurité de l'Organisation des Nations Unis, soient vraiment capables d'oublier que touts nos actions sont évaluées et déposé dans le grand livre de l'histoire.
(écrire un livre exigé un protocole, des niveau de connaissances, et un prix, obstacles que je tente de contourner jusqu'aujourd'hui par le biais de web)
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny le samedi 7 de décembre 2013
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définition d'économie
ÉCONOMIE
Quelques notes au sujet de l'économie et sa définition pragmatique
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny jeudi 26 décembre 2013
Voilà un mot que tout le monde crois très bien connaître, un mot utilisé à toutes les sauces, un mot galvaudé, mais c'est quoi vraiment l'économie ?
En langage prosaïque économie veut dire faire un maximum avec le moins de moyens possible.
Mais au quotidien ? Vu avec pragmatisme ? La vérité est que chaque minute de la vie d'une personne doit être rentable. Cela dépends par contre pour qui ?
Voyons les choses donc de la manière la plus logique possible.
La France est une grande nation, mais elle existe en concurrence avec d'autres nations au monde. Chaque citoyen lui doit tenir compte de cette réalité, absolument INCONTOURNABLE ; le mot compétitivité, acquière alors une grande importance, du fait doit occuper une grande partie du présent sujet.
Prenons un exemple pour faire coller notre sujet à la réalité, sans verser surtout dans la caricature.
Travailler chaque jour signifie bien au-delà d'être présent dans le travail un nombre quelconque d'heures par jours ! Il faut avoir en tête que dans un autre pays, au même moment d'autres personnes, font un travail que si bien n'est pas identique au notre, reste sans doute très proche.
Si nous perdons de vue, la notion INCONTOURNABLE de concurrence, entre nations, si nous pensons à assister au travail pour faire le moins possible, tout juste à faire acte de présence, les presque 22 millions de personnes en France ? Alors nous sommes en train de nous tirer une balle dans le pieds.
Le message veut aussi pour touts les métiers, sans oublier surtout la fonction publique.
Il est hors de question de chercher à déguiser sous le sujet de la compétitivité de la nation FRANCE, des tentatives d'amoindrir les acquis obtenus par la lutte syndicale, mais nous devons, aussi penser que quelque part ailleurs dans un autre pays, une personne est en train de faire comment nous, et si ailleurs une personne fait plus dans le même temps, alors ailleurs le travail saura plus rentable. Déjà que leurs salaires sont dix voir cent fois moins coûteux ? Si en plus ils font beaucoup plus que nous dans le même temps ?
Aillant né en Colombie, aillant travaillé dans une entreprise avec plus de 1200 salariés, présent en France depuis 1988 ayant travaillé dans plusieurs entreprises, ayant eut dans les deux pays le rôle de syndicale, j'ai une vision comparative, qui me donne froids au dos. Je crois que là où une personne réussi à produire une quantité X dans un pays, dans d'autres pays au salaire low-cost autre personne réussi à produire 10 voir 20 % plus, hélas cela multiplié par le nombre de travailleurs, d'une entreprise, d'une région, d'un pays, fait un poids non négligeable, qui atteint de plein fouet la compétitivité de certaines nations, ces lignes sont écrites, pour rappeler aux personnes que le chômage n'est pas le fruit de la fatalité, mais que nous arrivons à cueillir le fruit de notre volonté, de notre travail en amont.
Dans la fonction publique
C'est une erreur monumentale, se croire à l'abri des risques, il y a qu'a regarder la Grèce, sans doute certains fonctionnaires, croient travailler beaucoup, quand je vais en Allemagne dans certains bureaux, la moyenne d'âge me semble de la moitie vis à vis de la France, des jaunes gens de 25 ans, s'attachent à un parc informatique moderne, tapent avec leurs dix doigts et avec une dextérité qui me permet d'admettre qu'auraient eut une formation excellente. Tandis que dans d'autres pays, nous trouvons des gens d'une moyenne de 40 ans, qui font les mêmes taches mais au clavier ils tapent avec le doigt indice de chaque main, et cherchent à chaque fois les touches dans le clavier. Là où une personne dans un pays tape 20 ou 30 monts par minute, dans un autre pays plus moderne pour la même tâche tape 70 a 90 mot par minute. Ce n'est qu'un exemple, qui doit nous servir à nous mettre en cause, à nous questionner sur ce qu'est notre compétitivité, la concurrence et surtout sur le vraie sens du mot économie. Sus les vraies causes du coût de 1200 milliards du budget de la France. Coût qui pourrais vu le sujet ci-dessus, réduit de 20 % c'est-à-dire une économie (le vraie mot) de 240 millions, ce que ramènerait le budget ; nous aurions alors un budget de 960 millions, qui me semble serait plus supportable.
La fiscalité
Le budget et la fiscalité restent des mots intimement liés, car l'état doit couvrir ses dépenses, rendez-vous compte ! 1200 milliards d'euros de budget pour l'année 2014.
La taxe sur la valeur ajouté, la TVA couvre presque 50 % des besoins de l'état.
25 % de ce budget au presque est issu de l'impôt sur le revenu.
Le gouvernement semble avoir fait un choix très courageux, puisque il à augmenté de 200 millions le budget, c'est sur la fiscalité que le poids est porté, plus mauvais aurait été d'emprunter cette somme dans le marché mondiale du crédit.
Le risque d'accroître le montant des impôts
Quand les impôt augmentent, pour les ménages modestes c'est moins de pouvoir d'achat, les théoriciens des sciences économiques, disent que c'est un coup sévère à la consommation. De toute évidence, à moins de consommation moins moins de production, donc sans un cahier de charges remplit, ce sont des entreprises que réduisent leur production et ainsi de suite, pour arriver jusqu'à augmenter le chômage.
Certains employeurs, cherchent à réduire l'impôt, pour ce faire ils évitent de déclarer, et c'est alors le travail dit " au noir " qui se développe, en général le marché parallèle, se développe là ou la fiscalité est accru, dans ce cercle vicieux, l'état cherche à employer plus de fonctionnaires pour améliorer leur contrôle. Comment il devienne indispensable plus de policiers, plus de prisons, pour palier aux défauts d'éducation, aux conséquences accessoires du chômage. À BERCY il est constaté une lourde baisse de la rentrée fiscale, alors que les impôts auraient été augmentés. L’effet inverse qui sera sans doute constaté, une fois de plus pour le budget 2014
Quelques notes au sujet de l'économie et sa définition pragmatique
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny jeudi 26 décembre 2013
Voilà un mot que tout le monde crois très bien connaître, un mot utilisé à toutes les sauces, un mot galvaudé, mais c'est quoi vraiment l'économie ?
En langage prosaïque économie veut dire faire un maximum avec le moins de moyens possible.
Mais au quotidien ? Vu avec pragmatisme ? La vérité est que chaque minute de la vie d'une personne doit être rentable. Cela dépends par contre pour qui ?
Voyons les choses donc de la manière la plus logique possible.
La France est une grande nation, mais elle existe en concurrence avec d'autres nations au monde. Chaque citoyen lui doit tenir compte de cette réalité, absolument INCONTOURNABLE ; le mot compétitivité, acquière alors une grande importance, du fait doit occuper une grande partie du présent sujet.
Prenons un exemple pour faire coller notre sujet à la réalité, sans verser surtout dans la caricature.
Travailler chaque jour signifie bien au-delà d'être présent dans le travail un nombre quelconque d'heures par jours ! Il faut avoir en tête que dans un autre pays, au même moment d'autres personnes, font un travail que si bien n'est pas identique au notre, reste sans doute très proche.
Si nous perdons de vue, la notion INCONTOURNABLE de concurrence, entre nations, si nous pensons à assister au travail pour faire le moins possible, tout juste à faire acte de présence, les presque 22 millions de personnes en France ? Alors nous sommes en train de nous tirer une balle dans le pieds.
Le message veut aussi pour touts les métiers, sans oublier surtout la fonction publique.
Il est hors de question de chercher à déguiser sous le sujet de la compétitivité de la nation FRANCE, des tentatives d'amoindrir les acquis obtenus par la lutte syndicale, mais nous devons, aussi penser que quelque part ailleurs dans un autre pays, une personne est en train de faire comment nous, et si ailleurs une personne fait plus dans le même temps, alors ailleurs le travail saura plus rentable. Déjà que leurs salaires sont dix voir cent fois moins coûteux ? Si en plus ils font beaucoup plus que nous dans le même temps ?
Aillant né en Colombie, aillant travaillé dans une entreprise avec plus de 1200 salariés, présent en France depuis 1988 ayant travaillé dans plusieurs entreprises, ayant eut dans les deux pays le rôle de syndicale, j'ai une vision comparative, qui me donne froids au dos. Je crois que là où une personne réussi à produire une quantité X dans un pays, dans d'autres pays au salaire low-cost autre personne réussi à produire 10 voir 20 % plus, hélas cela multiplié par le nombre de travailleurs, d'une entreprise, d'une région, d'un pays, fait un poids non négligeable, qui atteint de plein fouet la compétitivité de certaines nations, ces lignes sont écrites, pour rappeler aux personnes que le chômage n'est pas le fruit de la fatalité, mais que nous arrivons à cueillir le fruit de notre volonté, de notre travail en amont.
Dans la fonction publique
C'est une erreur monumentale, se croire à l'abri des risques, il y a qu'a regarder la Grèce, sans doute certains fonctionnaires, croient travailler beaucoup, quand je vais en Allemagne dans certains bureaux, la moyenne d'âge me semble de la moitie vis à vis de la France, des jaunes gens de 25 ans, s'attachent à un parc informatique moderne, tapent avec leurs dix doigts et avec une dextérité qui me permet d'admettre qu'auraient eut une formation excellente. Tandis que dans d'autres pays, nous trouvons des gens d'une moyenne de 40 ans, qui font les mêmes taches mais au clavier ils tapent avec le doigt indice de chaque main, et cherchent à chaque fois les touches dans le clavier. Là où une personne dans un pays tape 20 ou 30 monts par minute, dans un autre pays plus moderne pour la même tâche tape 70 a 90 mot par minute. Ce n'est qu'un exemple, qui doit nous servir à nous mettre en cause, à nous questionner sur ce qu'est notre compétitivité, la concurrence et surtout sur le vraie sens du mot économie. Sus les vraies causes du coût de 1200 milliards du budget de la France. Coût qui pourrais vu le sujet ci-dessus, réduit de 20 % c'est-à-dire une économie (le vraie mot) de 240 millions, ce que ramènerait le budget ; nous aurions alors un budget de 960 millions, qui me semble serait plus supportable.
La fiscalité
Le budget et la fiscalité restent des mots intimement liés, car l'état doit couvrir ses dépenses, rendez-vous compte ! 1200 milliards d'euros de budget pour l'année 2014.
La taxe sur la valeur ajouté, la TVA couvre presque 50 % des besoins de l'état.
25 % de ce budget au presque est issu de l'impôt sur le revenu.
Le gouvernement semble avoir fait un choix très courageux, puisque il à augmenté de 200 millions le budget, c'est sur la fiscalité que le poids est porté, plus mauvais aurait été d'emprunter cette somme dans le marché mondiale du crédit.
Le risque d'accroître le montant des impôts
Quand les impôt augmentent, pour les ménages modestes c'est moins de pouvoir d'achat, les théoriciens des sciences économiques, disent que c'est un coup sévère à la consommation. De toute évidence, à moins de consommation moins moins de production, donc sans un cahier de charges remplit, ce sont des entreprises que réduisent leur production et ainsi de suite, pour arriver jusqu'à augmenter le chômage.
Certains employeurs, cherchent à réduire l'impôt, pour ce faire ils évitent de déclarer, et c'est alors le travail dit " au noir " qui se développe, en général le marché parallèle, se développe là ou la fiscalité est accru, dans ce cercle vicieux, l'état cherche à employer plus de fonctionnaires pour améliorer leur contrôle. Comment il devienne indispensable plus de policiers, plus de prisons, pour palier aux défauts d'éducation, aux conséquences accessoires du chômage. À BERCY il est constaté une lourde baisse de la rentrée fiscale, alors que les impôts auraient été augmentés. L’effet inverse qui sera sans doute constaté, une fois de plus pour le budget 2014
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pour quoi je suis contre la bienséance
Conscience et prosélytisme
Ou pour quoi je suis contre la bienséance !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit "gramophone"
Cereté Cordoba Colombia jeudi 20 mars 2014
Nous sommes très proches d'un moment capital pour la définition même de la démocratie.
Au-delà de sentiments, linguistiques, d'étymologie, le suffrage reste un acte civique clé, pour le maintien de tout conglomérat aillant l'ambition d'être appelé sous le titre de "'république démocratique ".
De la même manière que j'ai déjà souligné dans un blog juste avant les élections présidentielles de 2012 ; Je dois encore aujourd'hui (au risque d'être rabâcheur de la même rengaine) admettre que pour les élections municipales, le citoyen lambda, reste par sont nombre majoritaire.
Hélas toute en étant majoritaire les classes sociales modestes, nous devons " être très sincères " ; mais du fond de ma conscience, bien malgré moi, bien malgré, l'énorme quantité d'outrages ciblés et véhiculés par les médias à l'encontre de la notion stricto sensu, de la politique. Le geste de voter reste jusqu’à preuve du contraire, la seule manifestation tangible du peuple qui soit digne et indispensable pour garder les apparences conforme à la constitution.
Définition des sensibilités ou inclinaisons politiques.
Définir la conscience politique à l'intérieur d'un groupe, est pour des raisons de statistique, de confort et de manipulation pour de paraisse intellectuelle, la meilleur manière que des grands de ce monde auraient trouvé pour designer des tendances de " gauche ou de droite ".
La politique (1) bien au-delà de la définition d'un mot ou de l’interprétation (sans doute difficile de tomber d'accord) que nous voudrions en faire ; la politique est prise pour une profession par une partie de la société, partie de cette société qui tire sa quintessence, clans qui obtienne leur subsistance en grande partie d'une sorte de naïveté du quidam ou béotien lambda, bien qu'étant DÉMOCRATIQUEMENT majoritaire.
Mais la politique sans être un synonyme stricte, est aussi et avant tout l'équivalent des solutions judicieuses, justes pouvant correspondre à toutes les occasions. (ma définition au risque de bercer dans une conception proche de l'angélisme)
La politique définie de manière lapidaire, obtuse et injuste serait l'art de gouverner. Pour quoi lapidaire et injuste ? Parce que c'est une définition, incomplète, faite en quelques lignes même si Boileau disait " Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ". phrase que des gens que je me permets d'associer à l'école de l'eugénisme, qui n'est pas loin du National Socialisme allemand des années 30, associent à l'avarice voir la pauvreté du discours le risque de l'incomplet n'est pas loin.
La langue est une qualité de le esprit et chaque fois que vous cherche à dire (chose qui ne dit Boileau, avec une appétence démesure pour la radinerie dans l'expression.
Dire : " j'aime chanter " est très différent de dire " j'aime chanter même si je chante faux, quand je suis dans ma douche, leurs des journées chaudes en été "
Je considère les phrases courtes, comment un manque de capacité de notre intellect, voir comment une manque de respect de notre interlocuteur. Un outils habilement utilisé pour des gens qui confondent la politique à une profession tel que chauffeur ou charcutier mais avec le salaire et les bénéficies multiplié par 100 voir 1000, au pire sans aucune obligation de résultat. Car lorsqu'un chauffeur comment une erreur, il y a la sanction sous forme d'amende voir il paye avec sa vie dans le cas d'un accident. Si le charcutier se trompe, nous irions lui rendre le matériel tout en exigeant remboursement. Les gens qui prennent la politique pour un métier FORT RENTABLE n'apportent dans nombre de cas des résultats satisfaisants au sens de MA DÉFINITION, que je rappelle : " des solutions judicieuses, justes pouvant correspondre à toutes les occasions ".
Appelez-moi C....
La CEE aura disposé de 100 milliards pour aider les banques dans un laps de temps très court, alors que la somme de 4 milliards pour le sociale est difficile de voter. Je ne suis pas un intellectuel, loin de là, je suis un immigré, illettré, pour bon nombre de mes semblables, je vais livrer un secret, je ne pouvais pas donner mon opinion en quarante-huit heures sur le traité européen, (à la demande d'une personne) alors je pris le document au format PDF (les gens concernés irons sans doute me bloquer) j'ai cherchai par occurrence certains mot clés, et j'ai compris que le traité en question été un traité économique financier et bancaire, Margaret Thatcher aura réussie à intégrer l’Europe sans adopter la monnaie ! Encore mieux tout en exigeant recevoir plus d'argent que l'U.K., apporté.
La bienséance est donc l'art de l'hypocrisie, tactique par laquelle le citoyen lambda est tenu magistralement à l'écart de toutes les décisions le plus importantes pour le future et l'harmonie sociale. C'est donc ce que certaines castes, dites " des hommes et femmes politiques " auraient tendance à nous faire prendre pour LA POLITIQUE.
En corollaire
je vous invite à regarder un excellent document qui dure 52 minutes, mais qui preuve de manière solide le fond le plus profond de mes arguments : comment à l'habitude seul des chaînes de télévision de qualité, et PUBLIC SÉNAT reste une des meilleurs chaînes à mon avis, auraient eut le haut niveau de discernement permettant de rendre publique aussi exceptionnels documents scientifiques :
http://replay.publicsenat.fr/vod/documentaire/q.i,-histoire-d-une-imposture/148398
Le titre du dit document est : " Q.i., Histoire d'une imposture "
(1) POLITIQUE1, adj. et subst. POLITIQUE2, subst. Fém. POLITIQUER, verbe intrans.
http://www.cnrtl.fr/etymologie/politique
Étymol. et Hist. A. Adj. 1. a) 1365 « propre à un bon gouvernement, bon, judicieux » (Oresme, Traictié de la première invention des monnoies, éd. L. Wolowski, p. XIII); b) ca 1485 « sage et adroit dans le gouvernement des hommes » (Viel Testament, XIX, 11543, éd. J. de Rothschild, t. 2, p. 117); 1636 Homme Politique, bien versé au fait de police (Monet); c) 1636 Homme Politique « homme s'accommodant à toutes occasions » (ibid.); 2. ca 1370 « qui concerne le gouvernement des hommes entre eux » (Oresme, Ethique, éd. A. D. Menut, p. 303, note 1); fin xives. droit politique « lois qui règlent les formes du gouvernement » (E. Deschamps, Chançons Royaulx ds Œuvres, éd. De Queux de Saint-Hilaire, t. 3, p. 184); 1615 (A. de Montchrestien, Traité de l'économie politique, v. éd. Th. Funck-Brentano, Paris, 1889); 1721 corps politique (Montesquieu, Lettres persanes, t. 2, p. 107); 1734 chef politique (Dubos, Hist. crit. monarchie fr., p. 463); 1734 journaux politiques (Id., ibid., p. 401); 1770 science politique (Galiani, Dialogues, p. 279); 1789 droits politiques « droits du citoyen ou d'un ensemble de citoyens dans le gouvernement de leur pays » (Sieyès, Tiers état, p. 31); 1790 opinions politiques (Staël, Lettres jeun., p. 399); 1815 délits politiques (Constant, Princ. pol., p. 80); 1848 détenus politiques (Chateaubr., Mém., t. 3, p. 344). B. Subst. masc. 1. 1559 « sorte d'officier de police » (Marguerite de Navarre, Heptameron, 44 ds Hug.), sens encore indiqué par Hulsius 1602; 2. [vers 1568 d'apr. Trév.] 1589 « membre d'un parti prônant des solutions politiques au problème des conflits de religion » (P. de L'Estoile in Mém. Soc. Hist. Paris, XXVII, 28 ds Fonds Barbier); cf. 1933 les politiques « ceux qui mettent en avant les critères politiques ou prônent des solutions politiques » (Lénine, Que faire? [trad.], p. 510); 3. av. 1621 « homme qui s'occupe du gouvernement civil, qui exerce un pouvoir civil » (E. Pasquier, Recherches de la France, éd. 1665, p. 872 ds IGLF); 4. 1656 « homme habile, compétent dans les affaires civiles » (Pascal, Provinciales, XII ds Œuvres, éd. L. Lafuma, Seuil, 1963, p. 425); 5. 1678 « spécialiste de l'étude de la politique » (La Rochefoucauld, Maximes, éd. J. Truchet, 7, p. ; 6. 1858 « détenu politique » (Michelet, Journal, p. 418); 7. 1927 « ce qui a trait au gouvernement des sociétés » (Maritain, Primauté spirit., p. 27). Empr. au lat. Ppoliticus, -a, -um « relatif au gouvernement des hommes », du gr. π ο λ ι τ ι κ ο ́ ς « de citoyen, qui concerne les citoyens, populaire, qui concerne l'État, public ».
Ou pour quoi je suis contre la bienséance !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit "gramophone"
Cereté Cordoba Colombia jeudi 20 mars 2014
Nous sommes très proches d'un moment capital pour la définition même de la démocratie.
Au-delà de sentiments, linguistiques, d'étymologie, le suffrage reste un acte civique clé, pour le maintien de tout conglomérat aillant l'ambition d'être appelé sous le titre de "'république démocratique ".
De la même manière que j'ai déjà souligné dans un blog juste avant les élections présidentielles de 2012 ; Je dois encore aujourd'hui (au risque d'être rabâcheur de la même rengaine) admettre que pour les élections municipales, le citoyen lambda, reste par sont nombre majoritaire.
Hélas toute en étant majoritaire les classes sociales modestes, nous devons " être très sincères " ; mais du fond de ma conscience, bien malgré moi, bien malgré, l'énorme quantité d'outrages ciblés et véhiculés par les médias à l'encontre de la notion stricto sensu, de la politique. Le geste de voter reste jusqu’à preuve du contraire, la seule manifestation tangible du peuple qui soit digne et indispensable pour garder les apparences conforme à la constitution.
Définition des sensibilités ou inclinaisons politiques.
Définir la conscience politique à l'intérieur d'un groupe, est pour des raisons de statistique, de confort et de manipulation pour de paraisse intellectuelle, la meilleur manière que des grands de ce monde auraient trouvé pour designer des tendances de " gauche ou de droite ".
La politique (1) bien au-delà de la définition d'un mot ou de l’interprétation (sans doute difficile de tomber d'accord) que nous voudrions en faire ; la politique est prise pour une profession par une partie de la société, partie de cette société qui tire sa quintessence, clans qui obtienne leur subsistance en grande partie d'une sorte de naïveté du quidam ou béotien lambda, bien qu'étant DÉMOCRATIQUEMENT majoritaire.
Mais la politique sans être un synonyme stricte, est aussi et avant tout l'équivalent des solutions judicieuses, justes pouvant correspondre à toutes les occasions. (ma définition au risque de bercer dans une conception proche de l'angélisme)
La politique définie de manière lapidaire, obtuse et injuste serait l'art de gouverner. Pour quoi lapidaire et injuste ? Parce que c'est une définition, incomplète, faite en quelques lignes même si Boileau disait " Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement ". phrase que des gens que je me permets d'associer à l'école de l'eugénisme, qui n'est pas loin du National Socialisme allemand des années 30, associent à l'avarice voir la pauvreté du discours le risque de l'incomplet n'est pas loin.
La langue est une qualité de le esprit et chaque fois que vous cherche à dire (chose qui ne dit Boileau, avec une appétence démesure pour la radinerie dans l'expression.
Dire : " j'aime chanter " est très différent de dire " j'aime chanter même si je chante faux, quand je suis dans ma douche, leurs des journées chaudes en été "
Je considère les phrases courtes, comment un manque de capacité de notre intellect, voir comment une manque de respect de notre interlocuteur. Un outils habilement utilisé pour des gens qui confondent la politique à une profession tel que chauffeur ou charcutier mais avec le salaire et les bénéficies multiplié par 100 voir 1000, au pire sans aucune obligation de résultat. Car lorsqu'un chauffeur comment une erreur, il y a la sanction sous forme d'amende voir il paye avec sa vie dans le cas d'un accident. Si le charcutier se trompe, nous irions lui rendre le matériel tout en exigeant remboursement. Les gens qui prennent la politique pour un métier FORT RENTABLE n'apportent dans nombre de cas des résultats satisfaisants au sens de MA DÉFINITION, que je rappelle : " des solutions judicieuses, justes pouvant correspondre à toutes les occasions ".
Appelez-moi C....
La CEE aura disposé de 100 milliards pour aider les banques dans un laps de temps très court, alors que la somme de 4 milliards pour le sociale est difficile de voter. Je ne suis pas un intellectuel, loin de là, je suis un immigré, illettré, pour bon nombre de mes semblables, je vais livrer un secret, je ne pouvais pas donner mon opinion en quarante-huit heures sur le traité européen, (à la demande d'une personne) alors je pris le document au format PDF (les gens concernés irons sans doute me bloquer) j'ai cherchai par occurrence certains mot clés, et j'ai compris que le traité en question été un traité économique financier et bancaire, Margaret Thatcher aura réussie à intégrer l’Europe sans adopter la monnaie ! Encore mieux tout en exigeant recevoir plus d'argent que l'U.K., apporté.
La bienséance est donc l'art de l'hypocrisie, tactique par laquelle le citoyen lambda est tenu magistralement à l'écart de toutes les décisions le plus importantes pour le future et l'harmonie sociale. C'est donc ce que certaines castes, dites " des hommes et femmes politiques " auraient tendance à nous faire prendre pour LA POLITIQUE.
En corollaire
je vous invite à regarder un excellent document qui dure 52 minutes, mais qui preuve de manière solide le fond le plus profond de mes arguments : comment à l'habitude seul des chaînes de télévision de qualité, et PUBLIC SÉNAT reste une des meilleurs chaînes à mon avis, auraient eut le haut niveau de discernement permettant de rendre publique aussi exceptionnels documents scientifiques :
http://replay.publicsenat.fr/vod/documentaire/q.i,-histoire-d-une-imposture/148398
Le titre du dit document est : " Q.i., Histoire d'une imposture "
(1) POLITIQUE1, adj. et subst. POLITIQUE2, subst. Fém. POLITIQUER, verbe intrans.
http://www.cnrtl.fr/etymologie/politique
Étymol. et Hist. A. Adj. 1. a) 1365 « propre à un bon gouvernement, bon, judicieux » (Oresme, Traictié de la première invention des monnoies, éd. L. Wolowski, p. XIII); b) ca 1485 « sage et adroit dans le gouvernement des hommes » (Viel Testament, XIX, 11543, éd. J. de Rothschild, t. 2, p. 117); 1636 Homme Politique, bien versé au fait de police (Monet); c) 1636 Homme Politique « homme s'accommodant à toutes occasions » (ibid.); 2. ca 1370 « qui concerne le gouvernement des hommes entre eux » (Oresme, Ethique, éd. A. D. Menut, p. 303, note 1); fin xives. droit politique « lois qui règlent les formes du gouvernement » (E. Deschamps, Chançons Royaulx ds Œuvres, éd. De Queux de Saint-Hilaire, t. 3, p. 184); 1615 (A. de Montchrestien, Traité de l'économie politique, v. éd. Th. Funck-Brentano, Paris, 1889); 1721 corps politique (Montesquieu, Lettres persanes, t. 2, p. 107); 1734 chef politique (Dubos, Hist. crit. monarchie fr., p. 463); 1734 journaux politiques (Id., ibid., p. 401); 1770 science politique (Galiani, Dialogues, p. 279); 1789 droits politiques « droits du citoyen ou d'un ensemble de citoyens dans le gouvernement de leur pays » (Sieyès, Tiers état, p. 31); 1790 opinions politiques (Staël, Lettres jeun., p. 399); 1815 délits politiques (Constant, Princ. pol., p. 80); 1848 détenus politiques (Chateaubr., Mém., t. 3, p. 344). B. Subst. masc. 1. 1559 « sorte d'officier de police » (Marguerite de Navarre, Heptameron, 44 ds Hug.), sens encore indiqué par Hulsius 1602; 2. [vers 1568 d'apr. Trév.] 1589 « membre d'un parti prônant des solutions politiques au problème des conflits de religion » (P. de L'Estoile in Mém. Soc. Hist. Paris, XXVII, 28 ds Fonds Barbier); cf. 1933 les politiques « ceux qui mettent en avant les critères politiques ou prônent des solutions politiques » (Lénine, Que faire? [trad.], p. 510); 3. av. 1621 « homme qui s'occupe du gouvernement civil, qui exerce un pouvoir civil » (E. Pasquier, Recherches de la France, éd. 1665, p. 872 ds IGLF); 4. 1656 « homme habile, compétent dans les affaires civiles » (Pascal, Provinciales, XII ds Œuvres, éd. L. Lafuma, Seuil, 1963, p. 425); 5. 1678 « spécialiste de l'étude de la politique » (La Rochefoucauld, Maximes, éd. J. Truchet, 7, p. ; 6. 1858 « détenu politique » (Michelet, Journal, p. 418); 7. 1927 « ce qui a trait au gouvernement des sociétés » (Maritain, Primauté spirit., p. 27). Empr. au lat. Ppoliticus, -a, -um « relatif au gouvernement des hommes », du gr. π ο λ ι τ ι κ ο ́ ς « de citoyen, qui concerne les citoyens, populaire, qui concerne l'État, public ».
Última edición por Cogito ergo sum el Jue 20 Mar - 9:48, editado 1 vez (Razón : Nestor Elias Ramirez Jimenez, Front National, ump, gramophone, Alain Tostin. syndicalisme)
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DISCURSO SOBRE EL ORIGEN Y LOS FUNDAMENTOS DE LA DESIGUALDAD
DISCURSO SOBRE EL ORIGEN Y LOS FUNDAMENTOS
DE LA DESIGUALDAD ENTRE LOS HOMBRES
DE LA DESIGUALDAD ENTRE LOS HOMBRES
UN TROZO
Por JEAN JAQUES ROUSSEAU
Ciudadano de Génova
Non in depravatis, sed in his quae bene fecundum
naturam se habent; considerqndum est quid sit
nature. Aristot. Politie. L. 2
A AMSTERDAM
En casa de MARC MICHEL REY
MDCCLV (1755)
Ciudadano de Génova
Non in depravatis, sed in his quae bene fecundum
naturam se habent; considerqndum est quid sit
nature. Aristot. Politie. L. 2
A AMSTERDAM
En casa de MARC MICHEL REY
MDCCLV (1755)
IV DEDICADO (PREFACIO)
a su patria de los honores que ella pueda confesar, Hace treinta años que trabajo para meritar ofrecerle un homenaje publico; & esta afortunada ocasión remplaza en parte lo que mis esfuerzos no han logrado, hubiera creído posible de confirmar aquí mi empeño, más que el derecho que me hubiera autorizado. Habiendo tenido el honor de haber nacido en tu suelo, como podría yo meditar sobre la igualdad que la naturaleza ha dado a los hombres, & sobre la desigualdad que ellos han instituido sin pensar a la profunda sabiduría con la cual el uno & y el otro, afortunadamente combinados en ese estado, concurren de la manera la plus próxima de la ley natural & la plus favorable a la sociedad, al mantenimiento del orden publico & y a la felicidad de los particulares? Buscando las mejores máximas que el buen sentido que el buen sentido pudiera dictar sobre la constitución de un gobierno, Me ha sorprendido verlos todos en ejecución en el vuestro, que aún sin haber nacido entre sus muros, hubiera creído no poder dispensarme de ofrecer este cuadro de la sociedad humana a aquel de todos los pueblos que me parecen poseen las más grandes ventajas, & habiendo lo mejor previsto los abusos.
Si yo hubiera podido escoger el lugar de mi nacimiento, hubiera escogido una sociedad afortunada por la talla de las facultades humanas es decir por la posibilidad se ser bien gobernada, & donde cada cual sería suficiente a su empleo, ninguno estando obligado a adjudicar a otros las funciones que se le habrían confiado: Un estado donde todos los particulares se conocen entre ellos, las maniobras oscuras del vicio ni la modestia de la virtud hubieran podido desfalcar frente a la vista & al juicio del publico, & donde esta dulce costumbre de verse & de conocerse, haría del amor de la patria el amor de los ciudadanos en lugar que el de la tierra.
Yo hubiera deseado nacer en un país donde el soberano & el pueblo no podrían tener que un solo & mismo interés, con el fin que todos los movimientos de la maquina no procuraran jamas que la fortuna común; cosa que no se puede lograr a no ser que el pueblo y el soberano no sean la misma persona, por consiguiente yo habría deseado bajo un gobierno democrático sabiamente moderado.
Yo hubiera deseado vivir & morir libre, es decir totalmente sometido a las leyes que ni yo ni nadie pueda sacudir el honorable yugo; aquel yugo saludable & dulce, que las cabezas las mas orgullosas portan sobre todo que ellas fueron hechas por no portar ningún otro.
Yo hubiera deseado que nadie en el estado no pueda considerarse por encima de la ley, & que nadie externo no pueda imponer al estado la obligado de reconocer. Puesto que cual sería la constitución de un gobierno, si en el se encuentra un solo hombre quien no sea sometido a la ley, esto haría que todos los otros necesariamente serían sometidos al primero; Y si hay un líder nacional & y otro líder extranjero, cualquier distribución de autoridad que pudieran hacer, es imposible que el primero y el segundo sean bien obedecidos & que el estado sea bien gobernado.
Yo no habría podido habitar una República de nueva institución, cualquiera que sean las buenas leyes que ella tenga; de temor que su gobierno así constituido tal vez que no sea por el momento, no favoreciendo a los nuevos ciudadanos, o estos al nuevo gobierno, el Estado no se encontraría a punto de ser sacudido & y destruido casi desde su nacimiento. Puesto que la libertad es como aquellos alimentos consistentes y deliciosos o de esos vinos generosos, propensos a alimentar & fortalecer los temperamentos robustos que están acostumbrados, pero que abruman, ruinan & intoxican los débiles & delicados que no hacen parte. Los pueblos una vez acostumbrados a déspota no pueden vivir sin. Si ellos intentan liberarse del yugo solo lo hacen en sacrificio de la libertad; dejándose llevar a la licencia desenfrenada que es el contrario. Sus revoluciones los libran casi siempre a seductores que solo logran aumentar las cadenas. El pueblo romano el mismo, aquel modelo de todos los pueblos libres, no pudo llegar a ser gobernado al salir de la opresión de los Tarquinos (Tarquinos son una dinastía que domino Roma antes de la República entre 616 y 509 antes de J. C.). envilecidos por la esclavitud y el trabajo ignominioso que les habían impuesto, aquella no era entonces que una población estúpida que hubo que tratar en consecuencia y gobernar con la plus grande sabiduría, con el fin de acostumbrarles a respirar el aire saludable de la libertad, aquellas almas nerviosas o mejor brutales bajo la tiranía, debieron adquirir poco a poco la dimensión grave de las costumbres y el orgullo del coraje que termino por hacer al fin el plus respetable de todos los pueblos.
élections ou vote protestataire?
Élections municipales ou vote protestataire
Deuxième tour
Les reproches
Discours hypocrite de l’opposition
Autant les teneurs de la droite traditionnelle, que les diatribes de l’extrême droite, sont des mensonges, car déjà la droite au pouvoir à maintenu sous perfusion le patronat avec plus de 75 milliards par an (monsieur FILLION rappelez-vous de la loi TEPA?) quant au discours des FN, encore plus ridicule !
Les électeurs français, expriment dans les urnes leur insatisfaction, l’incrément du des-emploi réussi à exacerber d’avantage les classes populaires.
Croissance
Plusieurs fois déjà il est souligné, que l’emploi devienne pour l’industrie financière plutôt une variable d’ajustement. Si par mégarde ou par fourvoiement un diagnostique est faux ; alors il est déjà souligné, logique, que l’ordonnance sera aussi mauvaise. Au lieu de soigner il y a même le risque d’empirer la situation.
La bourgeoisie avait sous le gouvernement SARKOZY presque soixante quinze milliards par année grâce aux niches fiscales, d’ailleurs monsieur GATTAZ veut absolument au moins soixante milliards d’exonérations et surtout sans aucun compromis. Personne ni aux syndicats, ni dans sphères médiatico-politiques met en cause la grosse faille du système :
Le retour sur investissement dans tout ce qui touche à la création de valeur ajoutée, tout ce qu’est de la production des biens tangibles, des produits de consommation, ne dépasse pas 8 %, tandis que la rentabilité de l’industrie financière, peut aller jusqu’à des taux de 100 %. En tout cas la rentabilité est toujours plus haute.
Tant que des GROUPES MINORITAIRES, font pression sur le monde pour simple envie de transformer le monde en grand casino, ou table de jeu, dans une poussée de cupidité absurde ; c’est la démocratie qui est violentée. C’est un attaque ou agression sans commune mesure à l’harmonie sociale.
Le diagnostique sur l’évolution de la civilisation, doit être précis, hors la plus part des gouvernances au monde, tentent de étouffer la réalité des causes des difficultés ;
Au point que dans certains pays dit " modernes " le message véhiculé par les médias, est si réducteur et absurde que l’on ose affirmer qu’un changement du personnel au gouvernement est une excellente mesure, comment si une mesure du genre pouvait avoir un effet sur les intérêts des spéculateurs des marchés financiers. Qui sont les véritables responsables, car ils s’approprient avantageusement du fruit du travail, sans la moindre modification tangible sur la qualité des matières, des produits agricoles, où leur attention est portée. LA SEULE MODIFICATION SE RÉDUIT À ENCHÉRIR VERTIGINEUSEMENT LE PRIX au consommateur.
La croissance est la conséquence d’un savant mélange qui doit tenir en compte plutôt des lois tel que l’offre et la demande dans une économie idéale, hors l’économie évolue vertigineusement ver des formes de plus en plus rapides d’obtention de bénéfices, au prix de la destruction de l’emploi, et du pouvoir d’achat.
Rentabilité
Tant que la rentabilité sur des pratiques typiques de spéculation financière, pratiquées par des banques d’affaires continuera à être plus rentable que ensemble de filières dédiées à la véritable création de valeur ajoutée. La seule et unique manière de créer de la richesse tangible, reste l’emploi.
S’il est difficile pour l’économie mondialisée de rémunérer le travail traditionnel, c’est parce que le niveau de revenu de l’ensemble des métiers de la finance est trop levé.
Tant que au plus haut des cercles politiques, la vérité ne soit pas assumée sur le diagnostique de la société, l’entourloupe sous forme de placebo (mesures sans lendemain ou changement des personnes aux ministères) , ne va pas produire des véritables résultats. Des résultat tant attendu pour des électeurs !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny 27 mars 2014
Deuxième tour
Les reproches
Discours hypocrite de l’opposition
Autant les teneurs de la droite traditionnelle, que les diatribes de l’extrême droite, sont des mensonges, car déjà la droite au pouvoir à maintenu sous perfusion le patronat avec plus de 75 milliards par an (monsieur FILLION rappelez-vous de la loi TEPA?) quant au discours des FN, encore plus ridicule !
Les électeurs français, expriment dans les urnes leur insatisfaction, l’incrément du des-emploi réussi à exacerber d’avantage les classes populaires.
Croissance
Plusieurs fois déjà il est souligné, que l’emploi devienne pour l’industrie financière plutôt une variable d’ajustement. Si par mégarde ou par fourvoiement un diagnostique est faux ; alors il est déjà souligné, logique, que l’ordonnance sera aussi mauvaise. Au lieu de soigner il y a même le risque d’empirer la situation.
La bourgeoisie avait sous le gouvernement SARKOZY presque soixante quinze milliards par année grâce aux niches fiscales, d’ailleurs monsieur GATTAZ veut absolument au moins soixante milliards d’exonérations et surtout sans aucun compromis. Personne ni aux syndicats, ni dans sphères médiatico-politiques met en cause la grosse faille du système :
Le retour sur investissement dans tout ce qui touche à la création de valeur ajoutée, tout ce qu’est de la production des biens tangibles, des produits de consommation, ne dépasse pas 8 %, tandis que la rentabilité de l’industrie financière, peut aller jusqu’à des taux de 100 %. En tout cas la rentabilité est toujours plus haute.
Tant que des GROUPES MINORITAIRES, font pression sur le monde pour simple envie de transformer le monde en grand casino, ou table de jeu, dans une poussée de cupidité absurde ; c’est la démocratie qui est violentée. C’est un attaque ou agression sans commune mesure à l’harmonie sociale.
Le diagnostique sur l’évolution de la civilisation, doit être précis, hors la plus part des gouvernances au monde, tentent de étouffer la réalité des causes des difficultés ;
Au point que dans certains pays dit " modernes " le message véhiculé par les médias, est si réducteur et absurde que l’on ose affirmer qu’un changement du personnel au gouvernement est une excellente mesure, comment si une mesure du genre pouvait avoir un effet sur les intérêts des spéculateurs des marchés financiers. Qui sont les véritables responsables, car ils s’approprient avantageusement du fruit du travail, sans la moindre modification tangible sur la qualité des matières, des produits agricoles, où leur attention est portée. LA SEULE MODIFICATION SE RÉDUIT À ENCHÉRIR VERTIGINEUSEMENT LE PRIX au consommateur.
La croissance est la conséquence d’un savant mélange qui doit tenir en compte plutôt des lois tel que l’offre et la demande dans une économie idéale, hors l’économie évolue vertigineusement ver des formes de plus en plus rapides d’obtention de bénéfices, au prix de la destruction de l’emploi, et du pouvoir d’achat.
Rentabilité
Tant que la rentabilité sur des pratiques typiques de spéculation financière, pratiquées par des banques d’affaires continuera à être plus rentable que ensemble de filières dédiées à la véritable création de valeur ajoutée. La seule et unique manière de créer de la richesse tangible, reste l’emploi.
S’il est difficile pour l’économie mondialisée de rémunérer le travail traditionnel, c’est parce que le niveau de revenu de l’ensemble des métiers de la finance est trop levé.
Tant que au plus haut des cercles politiques, la vérité ne soit pas assumée sur le diagnostique de la société, l’entourloupe sous forme de placebo (mesures sans lendemain ou changement des personnes aux ministères) , ne va pas produire des véritables résultats. Des résultat tant attendu pour des électeurs !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny 27 mars 2014
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
POUR QUOI CREER DE LA RICHESSE
BFM TV EL LA BIENSÉANCE
Un des journalistes vedettes de cette chaîne, exclusivement dédiée à l’information ; vienne de dire :
"Le rôle primaire des entreprises est de créer de la richesse, non pas de créer de l’emploi "
Une telle phrase ne dois pas être lu hors un contexte exacte.
Le contexte de cette phrase, là où elle doit être lue, reste le contexte d’économie politique.
Voilà que l’industrie financière, les banques d’affaires, auraient influencé tellement la culture, qu’en moins d’un siècle le mot économie, signifie dans la conscience populaire, spéculation financière.
Hors une définition plus digne du mot économie se réfère surtout à une gestion juste des dépenses, autant pour un état que pour un département, une ville ou un foyer.
Je pose alors la question au grand journaliste NICOLAS DOZE, à quoi bon créer de la richesse ?
Monsieur NICOLAS DOZE, le but de la production et cela QUELLE QU’ELLE SOIT est avant tout de satisfaire les besoins des consommateurs.
Une fois de plus la conscience de la VOX POPULI à endurée une escroquerie linguistique, le mot richesse, aura de manière sournoise et progressive, un concept de prime abord étant " la valeur ajoutée ".
La valeur ajouté, est la différence de valeur entre les matières premières et les matières finis que les banques d’affaires osent appeler la richesse.
Stop !
Alors que le volume de monnaie virtuelle consigné dans l’informatique à la taille du monde, dépasse allègrement de dix fois la valeur réelle des matières et produits tangibles.
Alors que le revenu des personnes tel que Lloyd Blankfein à GOLMAND SACHS, (avant Janet Yellen) Ben Bernanke à la RESERVE FEDERALE aux USA, tourne au tour de 60 millions de dollar par an ? Un ouvrier aux SMIG en France aura besoin de travailler plus de 2513 ans. (avec une espérance de vie de 65 ans pour un travailleur précaire, il en faut 38 vies pour un ouvrier, pour gagner ce que gagne le président de GOLMAND SACHS, voilà monsieur NICOLAS DOZE, où va le fruit du travail de nous jours, ce que vous appelait donc LA RICHESSE !
VOUS SUIVEZ ?
À QUOI BON FAIRE DANS CES CONDITIONS DE LA RICHESSE ?
Je vais parler avec des mots plus dadais donc
J’ emmenai 1000€ ou 100 000€ ou 100 000 000€ à une banque (LE MONTANT IMPORTE PEU POUR MA DÉMONSTRATION) le banquier rassemble les dépôts de milliers de déposants, il va garantir, allée 1,5 % d’intérêts au but d’un an pour le déposant. Le banquier devienne client pour un holding financier, là par contre il va négocier, le taux, qui peut être de 8 à 16 %, à leur tour GOLMAND SACHS, cherchera à manipuler les marchés divers et variés, pour obtenir en heures voir en seconds de retour de l’ordre de 20 %, 30 %, 50 % et par fois plus. Bien sur que les "sangsues de la finance " pardon les banques d’affaires, prennent des risques,
Dans toute cette chaîne en apparence logique, en apparence juste, en apparence légale s’opère une monumentale escroquerie, à la vue et su de tout le monde. (normale le lobby des banquiers influence la création des lois, des politiques à leur faveur). Tout ce mouvement de 9/10 de l’économie mondiale fini dans des paradis fiscaux. Donc sans avoir participé ou rétribué LE MONDE MATÉRIELLE, celui où l’argent à été estoqué !
JE NE SUIS PAS CONTRE LA CRÉATION DE RICHESSES !
Lorsqu’un artisan, un industriel, sacrifié sont temps, sont capital dans la PRODUCTION RÉELLE DES BIENS ET SERVICES, il prends aussi des risques pour parfois même pas 6 % de retour sur investissement, tout en étant conscient de sa mission ÉMINEMMENT sociale de MAINTIEN DE L’EMPLOI. Par contre l’artisan, le patron d’entreprise lui aura la lourde charge fiscale qui dans la plus part des cas est de l’ordre de 45 % sur les bénéfices.
PLUS ABSURDE IMPOSSIBLE
Donc le CGI penalise lourdement les entreprises de production tangible et favorise LES PARASITES, LES SANGSUES des banques d’investissement !
En 24 heures X millions de tonnes de blé, du pétrole, de la viande, ou n’importe quel autre produit et même monnaies, peuvent changer " n " fois de mains, SANS AVOIR LA MOINDRE MODIFICATION MOLÉCULAIRE, la moindre transformation, qui puisse être classée comment AJOUT DE LA VALEUR AJOUTÉE au sens stricte appliqué dans l’industrie de transformation de matières.
LE PRIX
Par contre le prix des produits passé par les mains des sangsues de l’industrie financière, lui change, et parfois de beaucoup, d’autant plus qu’à force de manipuler très vite par le biais des ordinateurs une valeur quelconque, elle devienne de plus en plus chère !
Voilà un gouffre qui par la spéculation financière garanti l’équivalent de 2513 ans du salaire d’un SIMCAR en seul une année à des personnes comment Lloyd Blankfein, Janet Yellen et des TRADERS !
Qui parmi les journalistes, aborde ce genre de sujets ?
Qui parmi les hommes politiques aborde ce type d’analyse ?
Pour quoi ?
Pour quoi avoir de la croissance ?
Pour quoi produire de la richesse ?
Qui veut faire croire qu’il y a des sortes de sorties à une telle situation, qui veut faire croire aux classes populaires, qu’il est possible de pondre un loi pour améliorer le pouvoir d’achat ? Qui est aussi sot pour croire qu’il est possible de garantir des salaires dignes AUX GENS QUI CRÉENT LA VALEUR AJOUTÉE ?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Cereté Cordoba Colombie jeudi 27 mars 2014
Un des journalistes vedettes de cette chaîne, exclusivement dédiée à l’information ; vienne de dire :
"Le rôle primaire des entreprises est de créer de la richesse, non pas de créer de l’emploi "
Une telle phrase ne dois pas être lu hors un contexte exacte.
Le contexte de cette phrase, là où elle doit être lue, reste le contexte d’économie politique.
Voilà que l’industrie financière, les banques d’affaires, auraient influencé tellement la culture, qu’en moins d’un siècle le mot économie, signifie dans la conscience populaire, spéculation financière.
Hors une définition plus digne du mot économie se réfère surtout à une gestion juste des dépenses, autant pour un état que pour un département, une ville ou un foyer.
Je pose alors la question au grand journaliste NICOLAS DOZE, à quoi bon créer de la richesse ?
Monsieur NICOLAS DOZE, le but de la production et cela QUELLE QU’ELLE SOIT est avant tout de satisfaire les besoins des consommateurs.
Une fois de plus la conscience de la VOX POPULI à endurée une escroquerie linguistique, le mot richesse, aura de manière sournoise et progressive, un concept de prime abord étant " la valeur ajoutée ".
La valeur ajouté, est la différence de valeur entre les matières premières et les matières finis que les banques d’affaires osent appeler la richesse.
Stop !
Alors que le volume de monnaie virtuelle consigné dans l’informatique à la taille du monde, dépasse allègrement de dix fois la valeur réelle des matières et produits tangibles.
Alors que le revenu des personnes tel que Lloyd Blankfein à GOLMAND SACHS, (avant Janet Yellen) Ben Bernanke à la RESERVE FEDERALE aux USA, tourne au tour de 60 millions de dollar par an ? Un ouvrier aux SMIG en France aura besoin de travailler plus de 2513 ans. (avec une espérance de vie de 65 ans pour un travailleur précaire, il en faut 38 vies pour un ouvrier, pour gagner ce que gagne le président de GOLMAND SACHS, voilà monsieur NICOLAS DOZE, où va le fruit du travail de nous jours, ce que vous appelait donc LA RICHESSE !
VOUS SUIVEZ ?
À QUOI BON FAIRE DANS CES CONDITIONS DE LA RICHESSE ?
Je vais parler avec des mots plus dadais donc
J’ emmenai 1000€ ou 100 000€ ou 100 000 000€ à une banque (LE MONTANT IMPORTE PEU POUR MA DÉMONSTRATION) le banquier rassemble les dépôts de milliers de déposants, il va garantir, allée 1,5 % d’intérêts au but d’un an pour le déposant. Le banquier devienne client pour un holding financier, là par contre il va négocier, le taux, qui peut être de 8 à 16 %, à leur tour GOLMAND SACHS, cherchera à manipuler les marchés divers et variés, pour obtenir en heures voir en seconds de retour de l’ordre de 20 %, 30 %, 50 % et par fois plus. Bien sur que les "sangsues de la finance " pardon les banques d’affaires, prennent des risques,
Dans toute cette chaîne en apparence logique, en apparence juste, en apparence légale s’opère une monumentale escroquerie, à la vue et su de tout le monde. (normale le lobby des banquiers influence la création des lois, des politiques à leur faveur). Tout ce mouvement de 9/10 de l’économie mondiale fini dans des paradis fiscaux. Donc sans avoir participé ou rétribué LE MONDE MATÉRIELLE, celui où l’argent à été estoqué !
JE NE SUIS PAS CONTRE LA CRÉATION DE RICHESSES !
Lorsqu’un artisan, un industriel, sacrifié sont temps, sont capital dans la PRODUCTION RÉELLE DES BIENS ET SERVICES, il prends aussi des risques pour parfois même pas 6 % de retour sur investissement, tout en étant conscient de sa mission ÉMINEMMENT sociale de MAINTIEN DE L’EMPLOI. Par contre l’artisan, le patron d’entreprise lui aura la lourde charge fiscale qui dans la plus part des cas est de l’ordre de 45 % sur les bénéfices.
PLUS ABSURDE IMPOSSIBLE
Donc le CGI penalise lourdement les entreprises de production tangible et favorise LES PARASITES, LES SANGSUES des banques d’investissement !
En 24 heures X millions de tonnes de blé, du pétrole, de la viande, ou n’importe quel autre produit et même monnaies, peuvent changer " n " fois de mains, SANS AVOIR LA MOINDRE MODIFICATION MOLÉCULAIRE, la moindre transformation, qui puisse être classée comment AJOUT DE LA VALEUR AJOUTÉE au sens stricte appliqué dans l’industrie de transformation de matières.
LE PRIX
Par contre le prix des produits passé par les mains des sangsues de l’industrie financière, lui change, et parfois de beaucoup, d’autant plus qu’à force de manipuler très vite par le biais des ordinateurs une valeur quelconque, elle devienne de plus en plus chère !
Voilà un gouffre qui par la spéculation financière garanti l’équivalent de 2513 ans du salaire d’un SIMCAR en seul une année à des personnes comment Lloyd Blankfein, Janet Yellen et des TRADERS !
Qui parmi les journalistes, aborde ce genre de sujets ?
Qui parmi les hommes politiques aborde ce type d’analyse ?
Pour quoi ?
Pour quoi avoir de la croissance ?
Pour quoi produire de la richesse ?
Qui veut faire croire qu’il y a des sortes de sorties à une telle situation, qui veut faire croire aux classes populaires, qu’il est possible de pondre un loi pour améliorer le pouvoir d’achat ? Qui est aussi sot pour croire qu’il est possible de garantir des salaires dignes AUX GENS QUI CRÉENT LA VALEUR AJOUTÉE ?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Cereté Cordoba Colombie jeudi 27 mars 2014
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Por que hay miseria en el mundo
Por que hay miseria en el mundo?
En pocas palabras
Por Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ (gramophone dans le web)
Cereté Córdoba Colombia jueves 27 de marzo del 2014
Es en verdad difícil en pocas palabras resumir un sujeto tan complejo como este de la economía política
Vamos a ver, tenemos la biblia, libro sagrado que al parecer que con el solo hecho de saber leer comprendemos. Porque? La clave es la metáfora.
Entonces hagamos lo mismo!
Un señor sentado cada día en la oficina de la dirección de uno de los cinco bancos más grandes del mundo gana 60 millones de dolares (hablo del señor Lloyd BLANKFEIN presidente de GOLMAND SACHS) por año es decir 118,081,615,300.76$ bueno el número esta tan grande que lo convertiremos en años de trabajo al salario básico de un colombiano para ver si nos facilita la comprensión
Si el salario mínimo en Colombia según el decreto 3068 del gobierno es de 616 000$
Si el cambio hoy jueves 27 de marzo del 2014 es de 1968,03$ por 1 dolar
Entonces hace falta 191 690, 93 años de trabajo al salario mínimo de Colombia para lograr ganar lo que el señor Lloyd BLANKFEIN gana en u año.
Si un colombiano trabajador tiene una esperanza de vida de 70 años, cogiendo café, o arrancando solla, o cogiendo algodón
Esto quiere decir que el señor Lloyd BLANKFEIN gana tanto en UN SOLO AÑO que harían falta 2 738,44 vidas a de trabajadores en Colombia para ganar lo mismo.
Para ir más lejos, invito a aquellas personas que desean comprender realmente las causas de la miseria en el mundo a tomarse menos de 20 minutos y mirar la parte 6 del documento LET'S MAKE MONEY disponible GRATIS en DAILYMOTION, igualmente aconsejo a cada trabajador, a cada sindical, igualmente a cada periodista interesado en la información ética, justa e imparcial de dedicar menos de 50 minutos a otro documento igualmente disponible en YOUTUBE bajo el nombre LA CITY ou les finances en eaux troubles. Infortunadamente estos documentos no los conozco traducidos al español. Pues son tan completos e interesantes, que remplazan sin dificultad para mi cinco años de estudios de economía política. A condición desde luego de disponer de los conocimientos de base sobre sociología, indispensables frente a un lenguaje especifico que caracteriza toda profesión.
La ONU, el FMI, la OMC, podrán escribir y comentar des millones de sujetos, sin reales resultados, entre tanto que los parásitos de la industria de la especulación financiera continúen a llenarse ávidamente la panza sin pagar impuestos, y confiscando en realidad el progreso, el salario, el empleo y la armonía de la sociedad, gracias a las ventajas fiscales, a los paraísos fiscales, que los principales gobiernos del mundo, autorizan o permiten dentro de un clima de hipocresía monumental.
En pocas palabras
Por Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ (gramophone dans le web)
Cereté Córdoba Colombia jueves 27 de marzo del 2014
Es en verdad difícil en pocas palabras resumir un sujeto tan complejo como este de la economía política
Vamos a ver, tenemos la biblia, libro sagrado que al parecer que con el solo hecho de saber leer comprendemos. Porque? La clave es la metáfora.
Entonces hagamos lo mismo!
Un señor sentado cada día en la oficina de la dirección de uno de los cinco bancos más grandes del mundo gana 60 millones de dolares (hablo del señor Lloyd BLANKFEIN presidente de GOLMAND SACHS) por año es decir 118,081,615,300.76$ bueno el número esta tan grande que lo convertiremos en años de trabajo al salario básico de un colombiano para ver si nos facilita la comprensión
Si el salario mínimo en Colombia según el decreto 3068 del gobierno es de 616 000$
Si el cambio hoy jueves 27 de marzo del 2014 es de 1968,03$ por 1 dolar
Entonces hace falta 191 690, 93 años de trabajo al salario mínimo de Colombia para lograr ganar lo que el señor Lloyd BLANKFEIN gana en u año.
Si un colombiano trabajador tiene una esperanza de vida de 70 años, cogiendo café, o arrancando solla, o cogiendo algodón
Esto quiere decir que el señor Lloyd BLANKFEIN gana tanto en UN SOLO AÑO que harían falta 2 738,44 vidas a de trabajadores en Colombia para ganar lo mismo.
Para ir más lejos, invito a aquellas personas que desean comprender realmente las causas de la miseria en el mundo a tomarse menos de 20 minutos y mirar la parte 6 del documento LET'S MAKE MONEY disponible GRATIS en DAILYMOTION, igualmente aconsejo a cada trabajador, a cada sindical, igualmente a cada periodista interesado en la información ética, justa e imparcial de dedicar menos de 50 minutos a otro documento igualmente disponible en YOUTUBE bajo el nombre LA CITY ou les finances en eaux troubles. Infortunadamente estos documentos no los conozco traducidos al español. Pues son tan completos e interesantes, que remplazan sin dificultad para mi cinco años de estudios de economía política. A condición desde luego de disponer de los conocimientos de base sobre sociología, indispensables frente a un lenguaje especifico que caracteriza toda profesión.
La ONU, el FMI, la OMC, podrán escribir y comentar des millones de sujetos, sin reales resultados, entre tanto que los parásitos de la industria de la especulación financiera continúen a llenarse ávidamente la panza sin pagar impuestos, y confiscando en realidad el progreso, el salario, el empleo y la armonía de la sociedad, gracias a las ventajas fiscales, a los paraísos fiscales, que los principales gobiernos del mundo, autorizan o permiten dentro de un clima de hipocresía monumental.
CE QUE AUCUN OUVRIER DOIT OUBLIER!
À messieurs les députés Hervé MARITON et Christian JACOB
Je viens de vous écouter sur la chaîne LCP & Public Sénat
Oui quatre français sur dix n’auraient pas voulu aller aux urnes !
Oui le gouvernement national doit assumer la sanction de l’abstention !
Oui la politique française n’est pas la meilleure!
Messieurs les députés, ni vous ni le Parti Socialiste, sont en mesure de faire changer un certaine nombre de phénomènes intimement lié au pouvoir d’achat.
Mais moins encore un autre quelconque parti, aurait la capacité de modifier la réalité économique globale.
C’est hypocrite faire croire aux citoyens, qu’il est possible de alléger la fiscalité !
Je vais plus loin monsieur le député, vous pendant la présence de la droite aux deux gouvernements qu’il ne faut pas surtout oublier :
Jacques Chirac
Que du 17 mai 95 au 16 mai 2007 monsieur Jacques Chirac, à gouverné et qu’il a frôlé la condamnation, par l’effet du temps de retard de la justice devenu caduque. (justice qui évolue lentement de manière à tarder autant que nécessaire pour laver l’honneur mais pas effacer le délit, aux quels Alain Jupé ou les époux Tiberit auraient fini pour payer.
Nicolas Sarkozy
Que Nicolas Sarkozy à gouverné entre le 16 mai 2007 et le 15 mai 2012, qui déjà hors les arcanes du pouvoir continue à chercher à faire obstacle à la justice, sur des affaire, et quels affaires, Karachi, kadhafi, Betancourt, touts liés intimement à des sommes d’argent pour millions !
Messieurs les députés Jacob et Mariton, soyons sincères, si au sein même du Parti Socialiste il y a des élus qui auraient commis des fautes, tel le cas de DSK, Cahuzac, étant graves, ne sont pas des affaires aussi graves que ceux que l’ex-président Sarkozy tente d’étouffer.
Ce sont donc deux gouvernements pendant lesquels la droite au pouvoir et en particulier monsieur Sarkozy pendant sont gouvernement aura commis des bourdes monumentales du genre LE FOUQUET, ou encore l’augmentation de sont salaire de 172 %!
Messieurs les députés! Arrêtez de mentir !
Quelle honte !
Pendant le gouvernement Sarkozy, le plafond de l’ISF est passé en moins d’une année de 790 m€ à 1 million 300 m€
Messieurs les députés, arrêtez de jouer les marchands de sable, et non pas que je tente de défendre le bilan du Parti Socialiste ; C’est fort dommage parque parmi mes égaux, (je suis un ouvrier, immigré, illettré, un ignare et syndicale de surcroît)
Il y a ceux qui confondent les capacités " limitées " du gouvernement français avec l’écrasante puissance que je ne cesse pas de dénoncer, à travers mes blogs et des forums aux quel j’interviens !
Vous êtez un GROS SOT monsieur le député Christian Jacob, en disant que c’est la mauvaise qualité de la politique du président François Hollande. Je suis gentil en traitant de sot ceux et celles qui cherche à faire du prosélytisme, sur la base de l’abstention ou des quelques villes ayant aujourd’hui basculée à Droite au pire en mains du FN.
Vous touts ceux qui oseraient accuser François Hollande d’inefficient, je leur rappelle qu’avant l’élection du 15 mai 2012, j’avais souligné que SARKOZY été le plus décomplexé président des nantis, et que Hollande sans être le meilleur choix, été le moins bon.
Monsieur Christian Jacob, vous mentez de manière la plus effronté, seule connu parmi ces gens de la droite, en parlant d’une quelconque efficience du gouvernement Sarkozy puisque avec la loi TEPA ce sont 75 milliards par an, que le gouvernement avait offert en plateau d’argent aux nantis.
Prenons un seul exemple, les heures supplémentaires dés-fiscalisées, avec un coût de 12 milliards donc même pas 4 milliards allaient aux poches de la classe ouvrière.
Voilà madame Rama Yade, vous savez quoi sur l’économie ? Chômage, Abstention ? Vous avait été au pouvoir ! Vous avait fait quoi pour la classe ouvrière ? Augmenter les cotisation pour la retraite ! Mettre en place des tickets modérateur pour ceux qui sont malades, un euro à chaque visite au médecin !
Mais madame Rama Yade, parlons des questions sociétales ? Le travail de Brice Hortefeux, le travail de Eric Besson, le travail de Claude Guéant, en matière sociétale, auraient marqué plus la société, que le mariage pour tous, soyez pas ridicule ! MERDE A LA FIN !
Quel est le discours juste que le peuple doit entendre alors?
Les gens au gouvernement, doivent avouer ouvertement:
1° La marge de manœuvre donc dispose "tout gouvernement" quel qu'il soit, reste reduite du au contrôle de 3% de gens sur 96% de la richesse dans le monde
2° Aucune mesure fiscale quoi qu'elle soit aura de réel effet sur le chômage, puisque les "sangsues de la finance" vont toujours chercher à s'en servir bien avant que le consommateur lambda.
3° L'idéologie du PARTI SOCIALISTE, ne peut pas être appliqué sans affecter directement la croissance, car les patrons sans le savoir défendent non pas leurs intérêts mais la stupidité, la cupidité des "sangsues de la finance"!
"La city ou les finances en eaux troubles":
"Lest's make money":
Je viens de vous écouter sur la chaîne LCP & Public Sénat
Oui quatre français sur dix n’auraient pas voulu aller aux urnes !
Oui le gouvernement national doit assumer la sanction de l’abstention !
Oui la politique française n’est pas la meilleure!
Messieurs les députés, ni vous ni le Parti Socialiste, sont en mesure de faire changer un certaine nombre de phénomènes intimement lié au pouvoir d’achat.
Mais moins encore un autre quelconque parti, aurait la capacité de modifier la réalité économique globale.
C’est hypocrite faire croire aux citoyens, qu’il est possible de alléger la fiscalité !
Je vais plus loin monsieur le député, vous pendant la présence de la droite aux deux gouvernements qu’il ne faut pas surtout oublier :
Jacques Chirac
Que du 17 mai 95 au 16 mai 2007 monsieur Jacques Chirac, à gouverné et qu’il a frôlé la condamnation, par l’effet du temps de retard de la justice devenu caduque. (justice qui évolue lentement de manière à tarder autant que nécessaire pour laver l’honneur mais pas effacer le délit, aux quels Alain Jupé ou les époux Tiberit auraient fini pour payer.
Nicolas Sarkozy
Que Nicolas Sarkozy à gouverné entre le 16 mai 2007 et le 15 mai 2012, qui déjà hors les arcanes du pouvoir continue à chercher à faire obstacle à la justice, sur des affaire, et quels affaires, Karachi, kadhafi, Betancourt, touts liés intimement à des sommes d’argent pour millions !
Messieurs les députés Jacob et Mariton, soyons sincères, si au sein même du Parti Socialiste il y a des élus qui auraient commis des fautes, tel le cas de DSK, Cahuzac, étant graves, ne sont pas des affaires aussi graves que ceux que l’ex-président Sarkozy tente d’étouffer.
Ce sont donc deux gouvernements pendant lesquels la droite au pouvoir et en particulier monsieur Sarkozy pendant sont gouvernement aura commis des bourdes monumentales du genre LE FOUQUET, ou encore l’augmentation de sont salaire de 172 %!
Messieurs les députés! Arrêtez de mentir !
Quelle honte !
Pendant le gouvernement Sarkozy, le plafond de l’ISF est passé en moins d’une année de 790 m€ à 1 million 300 m€
Messieurs les députés, arrêtez de jouer les marchands de sable, et non pas que je tente de défendre le bilan du Parti Socialiste ; C’est fort dommage parque parmi mes égaux, (je suis un ouvrier, immigré, illettré, un ignare et syndicale de surcroît)
Il y a ceux qui confondent les capacités " limitées " du gouvernement français avec l’écrasante puissance que je ne cesse pas de dénoncer, à travers mes blogs et des forums aux quel j’interviens !
Vous êtez un GROS SOT monsieur le député Christian Jacob, en disant que c’est la mauvaise qualité de la politique du président François Hollande. Je suis gentil en traitant de sot ceux et celles qui cherche à faire du prosélytisme, sur la base de l’abstention ou des quelques villes ayant aujourd’hui basculée à Droite au pire en mains du FN.
Vous touts ceux qui oseraient accuser François Hollande d’inefficient, je leur rappelle qu’avant l’élection du 15 mai 2012, j’avais souligné que SARKOZY été le plus décomplexé président des nantis, et que Hollande sans être le meilleur choix, été le moins bon.
Monsieur Christian Jacob, vous mentez de manière la plus effronté, seule connu parmi ces gens de la droite, en parlant d’une quelconque efficience du gouvernement Sarkozy puisque avec la loi TEPA ce sont 75 milliards par an, que le gouvernement avait offert en plateau d’argent aux nantis.
Prenons un seul exemple, les heures supplémentaires dés-fiscalisées, avec un coût de 12 milliards donc même pas 4 milliards allaient aux poches de la classe ouvrière.
Voilà madame Rama Yade, vous savez quoi sur l’économie ? Chômage, Abstention ? Vous avait été au pouvoir ! Vous avait fait quoi pour la classe ouvrière ? Augmenter les cotisation pour la retraite ! Mettre en place des tickets modérateur pour ceux qui sont malades, un euro à chaque visite au médecin !
Mais madame Rama Yade, parlons des questions sociétales ? Le travail de Brice Hortefeux, le travail de Eric Besson, le travail de Claude Guéant, en matière sociétale, auraient marqué plus la société, que le mariage pour tous, soyez pas ridicule ! MERDE A LA FIN !
Quel est le discours juste que le peuple doit entendre alors?
Les gens au gouvernement, doivent avouer ouvertement:
1° La marge de manœuvre donc dispose "tout gouvernement" quel qu'il soit, reste reduite du au contrôle de 3% de gens sur 96% de la richesse dans le monde
2° Aucune mesure fiscale quoi qu'elle soit aura de réel effet sur le chômage, puisque les "sangsues de la finance" vont toujours chercher à s'en servir bien avant que le consommateur lambda.
3° L'idéologie du PARTI SOCIALISTE, ne peut pas être appliqué sans affecter directement la croissance, car les patrons sans le savoir défendent non pas leurs intérêts mais la stupidité, la cupidité des "sangsues de la finance"!
"La city ou les finances en eaux troubles":
"Lest's make money":
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Cela veut dire quoi aller aux urnes?
Que c’est que ça veut dire voter?
Joigny lundi 31 mars 2014
Voter signifie avant tout autre chose, adhérer à une idéologie
Étant moi même un ouvrier, immigré, illettré ; ce n’est pas tout de même moi qui va donner de leçons à des gens en possession de bien plus grande culture que moi, immigré colombien ?
La Colombie qui d’ailleurs est une bien trop frêle démocratie, pour aspirer à porter le lourd poids du mot RÉPUBLIQUE.
La Colombie, cette nation composé à peine de la moitié des citoyens qui composent la grande nation FRANCE !
Oui je suis arrivé à l’âge de 30 ans, en 1988 à marcher sur la terre qu’un jour il y a de siècles, aura vu passer Jean Jaques Rousseau, mon cœur tout à coût aura battu à la chamade tout en marchant dans les roues du GRAND PARIS, le Paris qui aura connu les événements de LA COMMUNE, cette belle nation, qui compté encore avec un service déjà disparu chez moi, le service des PTT, où le courrier, la téléphonie en 1988 appartenaient encore à l’état. Tandis qu’à l’époque la fortune de Carlos Slim Helû lui permettez d’achetter à prix cassé la téléphonie croissante dans l’ensemble des pays d’Amérique Latine.
J’ai connu le démantèlement de l’équivalent de la CPAM, le grand Institut Colombien de la Sécurité Sociale, le tant connu ICSS devenu un pôle d’entreprises privés les unes plus gourmandes que les autres, où il faut payer des milliers de pesos déjà pour avoir le droit de figurer dans les archives d’une entreprise privé qui gere les inscription des malades, puis atteindre minimum six mois avant d’avoir le droit de payer autre entreprise privé qui elle s’occupe de gerer à niveau national les inscriptions aux généralistes, puis atteindre encore quelques mois avant de finalement avoir le droit au sésame miraculeux, lorsque en fin apparaît dans un carton la date et l’heure pour aller voir un médecin.
Autant dire que certains maladies, emportent à la tombe des milliers de citoyens modestes, avant même d’avoir eut la chance de consulter un médecin.
Il faut reconnaître que je viens de très loin !
Oui il faut témoigner sur le funeste, sur les dégâts du néo-libéralisme !
La conscience sociale
Oui mais mes paroles tomberaient dans des oreilles sourdes, si nous les classes populaires, les ouvriers, les artisans, les gens sans emploi, ne prenons pas conscience très vite, de l’importance d’avoir une conscience sociale.
J’admets volontiers, si je suis accusé de rabâcher la même rengaine ; Serais-je écouté ? J’estime que je ne suis pas entendu ! Puisque la société moderne, semble dériver de manière inexorable !
Un signale d’alarme
Oui avec ma rengaine, je veux tout juste tenter de prévenir, de faire sonner une alarme, avant qu’il soit tard ! Oui mais je me heurte à l’indifférence et l’individualisme induits. Car si nous aurions une VERITABLE conscience sociale, par exemple le FN n’obtiendrait jamais dans des commises électoraux plus de 5 %. C’est-à-dire qu’il faut admettre que sur cent citoyens il est possible que cinq puissent admettre l’idéologie contraire au grand CHARLES DE GAULLE, oui parce que le grand général à subis au moins deux atteintats, donc j’ai déjà abordé le sujet abondamment, et non loin du gouvernement PETIN de VICHY, il y a des héritiers fascistes, devenu par la suite l’opposition à la politique mené par le gouvernement dans les années 58 à 62, vis-à-vis du Maghreb. Il me semble inadmissible vu les antécédents historiques de l’extrême droite, qu’un ouvrier puisse donc voter une idéologie qui n’a jamais eut et n’aura jamais des idées républicaines.
D’où vienne le paroxysme croissant alors ?
Si nous pouvons observer des pans de la société exacerbés, je suis en mesure, tout simplement de prouver que la cause prend racine dans le comportement absurde d’une infime minorité de moins de 3 % des gens sur la terre, qui par cupidité, transforment la terre entière en table de jeu : IL EST IMPOSSIBLE QUE LA RENTE DU CAPITAL SOIT SUPÉRIEURE À LA RENTE DU TRAVAIL DE TRANSFORMATION DES MATIERES !
Hors nous savons que Lloyd Brienkfein président de GOLMAND SACHS IN se fait plus de 60 millions de dollars par an, nous savons qu’un trader à Londres, New York o Tokyo touche entre cinq et dix millions par an.
Alors comment voulez vous qu’il soit possible d’augmenter le pouvoir d’achat des classes populaires, avec des parasites d’un tel appétit ?
Arrêtons de nous mentir ! Je vous prie donc de prendre le temps de constater la vérité sur le détériore accélère de l’économie mondiale :
Joigny lundi 31 mars 2014
Voter signifie avant tout autre chose, adhérer à une idéologie
Étant moi même un ouvrier, immigré, illettré ; ce n’est pas tout de même moi qui va donner de leçons à des gens en possession de bien plus grande culture que moi, immigré colombien ?
La Colombie qui d’ailleurs est une bien trop frêle démocratie, pour aspirer à porter le lourd poids du mot RÉPUBLIQUE.
La Colombie, cette nation composé à peine de la moitié des citoyens qui composent la grande nation FRANCE !
Oui je suis arrivé à l’âge de 30 ans, en 1988 à marcher sur la terre qu’un jour il y a de siècles, aura vu passer Jean Jaques Rousseau, mon cœur tout à coût aura battu à la chamade tout en marchant dans les roues du GRAND PARIS, le Paris qui aura connu les événements de LA COMMUNE, cette belle nation, qui compté encore avec un service déjà disparu chez moi, le service des PTT, où le courrier, la téléphonie en 1988 appartenaient encore à l’état. Tandis qu’à l’époque la fortune de Carlos Slim Helû lui permettez d’achetter à prix cassé la téléphonie croissante dans l’ensemble des pays d’Amérique Latine.
J’ai connu le démantèlement de l’équivalent de la CPAM, le grand Institut Colombien de la Sécurité Sociale, le tant connu ICSS devenu un pôle d’entreprises privés les unes plus gourmandes que les autres, où il faut payer des milliers de pesos déjà pour avoir le droit de figurer dans les archives d’une entreprise privé qui gere les inscription des malades, puis atteindre minimum six mois avant d’avoir le droit de payer autre entreprise privé qui elle s’occupe de gerer à niveau national les inscriptions aux généralistes, puis atteindre encore quelques mois avant de finalement avoir le droit au sésame miraculeux, lorsque en fin apparaît dans un carton la date et l’heure pour aller voir un médecin.
Autant dire que certains maladies, emportent à la tombe des milliers de citoyens modestes, avant même d’avoir eut la chance de consulter un médecin.
Il faut reconnaître que je viens de très loin !
Oui il faut témoigner sur le funeste, sur les dégâts du néo-libéralisme !
La conscience sociale
Oui mais mes paroles tomberaient dans des oreilles sourdes, si nous les classes populaires, les ouvriers, les artisans, les gens sans emploi, ne prenons pas conscience très vite, de l’importance d’avoir une conscience sociale.
J’admets volontiers, si je suis accusé de rabâcher la même rengaine ; Serais-je écouté ? J’estime que je ne suis pas entendu ! Puisque la société moderne, semble dériver de manière inexorable !
Un signale d’alarme
Oui avec ma rengaine, je veux tout juste tenter de prévenir, de faire sonner une alarme, avant qu’il soit tard ! Oui mais je me heurte à l’indifférence et l’individualisme induits. Car si nous aurions une VERITABLE conscience sociale, par exemple le FN n’obtiendrait jamais dans des commises électoraux plus de 5 %. C’est-à-dire qu’il faut admettre que sur cent citoyens il est possible que cinq puissent admettre l’idéologie contraire au grand CHARLES DE GAULLE, oui parce que le grand général à subis au moins deux atteintats, donc j’ai déjà abordé le sujet abondamment, et non loin du gouvernement PETIN de VICHY, il y a des héritiers fascistes, devenu par la suite l’opposition à la politique mené par le gouvernement dans les années 58 à 62, vis-à-vis du Maghreb. Il me semble inadmissible vu les antécédents historiques de l’extrême droite, qu’un ouvrier puisse donc voter une idéologie qui n’a jamais eut et n’aura jamais des idées républicaines.
D’où vienne le paroxysme croissant alors ?
Si nous pouvons observer des pans de la société exacerbés, je suis en mesure, tout simplement de prouver que la cause prend racine dans le comportement absurde d’une infime minorité de moins de 3 % des gens sur la terre, qui par cupidité, transforment la terre entière en table de jeu : IL EST IMPOSSIBLE QUE LA RENTE DU CAPITAL SOIT SUPÉRIEURE À LA RENTE DU TRAVAIL DE TRANSFORMATION DES MATIERES !
Hors nous savons que Lloyd Brienkfein président de GOLMAND SACHS IN se fait plus de 60 millions de dollars par an, nous savons qu’un trader à Londres, New York o Tokyo touche entre cinq et dix millions par an.
Alors comment voulez vous qu’il soit possible d’augmenter le pouvoir d’achat des classes populaires, avec des parasites d’un tel appétit ?
Arrêtons de nous mentir ! Je vous prie donc de prendre le temps de constater la vérité sur le détériore accélère de l’économie mondiale :
La verdad sobre la polîtica enconomíca
Text in spanish and then in French
La realidad sobre la política sin ningún secreto
Hasta ahora he preferido escribir en francés, por razones diversas, fundamentalmente por intentar perfeccionar mi manejo de una lengua que desde 1988 me vi obligado y con mucho gusto, a hablar y escribir.
Hoy traduciré al español un sujeto que por higiene lingüística (lo expliqué) escribo casi cada día (así me cause enormes inconvenientes, de diversos ordenes, pues mis ocupaciones exigen tiempo que aquí sustraigo), una vez hecha la aclaración (debería estar durmiendo) pasemos a la traducción
Ya durante el gobierno UMP (Jaques Chirac y luego Nicolas Sarkozy) las clases populares, habrían soportado condiciones difíciles, más concretamente es el poder adquisitivo que fue mal tratado.
Debemos asumir la realidad de manera global (en une economía mundial)
Sería absurdo intentar hace creer al ciudadano lambda, que una nación a ella sola, dispusiera de suficiente margen de maniobra para lograr el cambio del movimiento global de la economía.
Los ejemplos hacen legión si quisiéramos hacer soportar nuestra argumentación:
La crisis del crédito hipotecario descubierta en los Estados Unidos en el 2008, nos enseña que la especulación financiera domina toda la tierra.
Desde luego que hay responsables de los males de la sociedad moderna, Desde luego que podemos identificarles, pero es seguro que ellos no podrán jamas juzgados y condenados, en una sociedad donde la legislación o mejor LA AUSENCIA BUSCADA DE REGLAS es concebida a la medida de sus exigencias.
Una vez más como un disco rayado?
Luego de haber visto no menos de unos veinte documentos video sur la economía, de haber leído libros de Pierre Péan, Antonio Peillon, ademas de Joseph E. Stiglitz, sin olvidar Edouard Tétreau, puedo afirmar un diagnostico realmente oscuro sobre el futuro de las clases populares. (pero quien no puede verlo, me pregunto?).
Es con la más grande gravedad y de la manera la mas solemne posible que intento desde hace varios años ya de hacer sonar una alarma. Fue entonces que encontré una frase corta que sintetiza tanto de lo que he intentado expresar desde hace tantos años. Es al doctor en ciencias políticas y economía, el señor HERMANN SCHEER a quien debo la excelente conclusión sobre la realidad mundial.
..."Mientras la gente modesta, la pobre gente, no busquen, a asociarse, para comprender lo que les ocurre, y por consiguiente buscar juntos el mejor medio de defender sus intereses, los bancos de especulación, los grupos dedicados a la especulación financiera tendrán una muy bella y larga vida"...
Hoy denuncio con certitud absoluta: La rama o brazo publico, el brazo político de una armada, que actuá contra los intereses de las mayorías, que actuá contra la armonía social, sería por así decirlo la clase política disfrazada tras de banderas mentirosas, detrás de eslogan políticos aquí y aya con nombres de tipo "conservadores" y "liberales" o "derecha" e "izquierda" que con hegemonía inviolable, reinan bajo la guía de una casta más poderosa, que son aquellos que viven de la especulación financiera.
Los bancos de negocios
Será absurdo hablar en nuestros días de libertad de mercado, como es ridiculo hablar de leyes de genero "oferta y consumo" Puesto que los bancos de negocios, tal que GOLMAND SACHS, al igual que poderosos organismos de la calidad del FMI, de la OMC, estan bajo el control estrecho de cinco grandes grupos mundiales dedicados a la especulación financiera en el mundo. El señor Joseph E. Stiglitz nos recuerda con mucho coraje (Stiglitz premio Nobel de economía 2001, quien trabajo en le FMI, quien ademas fue jefe del equipo de consejo económico de Bill Clinton en la Casa Blanca) que los mercados mundiales estan manipulados, contra la opinión de los más influyentes lideres de la industria financiera, como es el caso de Jorge SOROS quien se ocupa vivamente de "hedge funds" según FORBES clasificado al rango 27 por su fortuna de 23 billones de dolares, en fin toda la crema nata de esta casta, intentan hacernos creer que debido al volumen y la velocidad del movimiento monetario es imposible influenciar los mercados (mientras en realidad es solo lo que hacen TODO EL TIEMPO, y aquí abajo los pobres pendejos NOSOTROS hasta creemos!): la compañía EL PASO dedicada al comercio de energías o si no ENRON son empresas que podemos mostrar como ejemplo de manipulación del mercado (paginas 434 y 5 del libro CUANDO EL CAPITALISMO PIERDE LA CABEZA, ISBN 978-2-253-10931-0) pero los ejemplos sobre la locura de los bancos de manera exorbitante en los libros de los autores que he citado.
La política local
Bajo la linterna de lo que arriba explico, una realidad IMPOSIBLE de negar, como desear, expresar a nivel de naciones, con promesas para reducir los males de las naciones, puesto que las epidemias tales la desaparición del empleo en las antes llamadas naciones ricas, tal Francia, no es un problema en sí, pero un simple síntoma, que es, la especulación sobre los mercados.
La palanca fiscal!
Nada más ridículo, intentar de reducir los impuestos, puesto que el señor Stiglitz desde el seno de la Casa Blanca a la cabeza misma del grupo de asesores de Bill CLINTON, nos enseña con lujo de detalles que al fin y al cabo será siempre la industria financiera que de alguna manera termina meterse al bolsillo los esfuerzos ingenuos de los gobernantes.
Pero son ingenuos los gobernantes?
En realidad no! Creo que se hacen los vende jabón, con el solo objetivo de pronunciar lo que el pueblo ingenuo desea escuchar, ademas de intentar de justificar su salario. A través de frases sin cabeza ni pies, puesto que no están soportadas sur la más mínima realidad ni pragmatismo. Escuchaba el gran pendejo de Jean Francois Copé (quien fue ministro del presupuesto del 29∕11/04 al 15/05/07, presidente ante la asamblea nacional francesa entre el 27/06/07 y el 23/11/10, etc, etc.) Aún decir esta mañana a la radio que tiene la receta milagro para volver-le a dar desarrollo económico y por estimular la inversión en Francia; desde luego que el señor Copé, desea la misma política aplicada por Sarkozy, que podemos resumir en traspaso vertiginoso del peso fiscal de los más ricos hacia los más modestos de una parte, y de otra por el paquete de medidas llamado ley TEPA que a la época costó al presupuesto francés 75 millares de euros por año, y que logro aumentar la deuda externa del país en tres años de casi 700 millares de euros! Normal la gente como el señor Copé es conocida como por la tendencia intervencionista SIEMPRE A FAVOR DE LOS MÁS RICOS, excepto que cuando seguimos la gente de ideología MALTHUSIANA e UGENISTA (es decir la gente del grupo UMP en Francia) podemos constatar sin la sombra de una duda que desean un estado debil cada vez más dependiente del crédito institucional. Influenciados por una suerte de post-keynecianismo que solo buscan un estado que absorbería sus recursos económicos exclusivamente cargando cada vez más la el impuesto de los consumidores modestos.
La razón esta subrayada aquí arriba, puesto que el politologuo HERMANN SCHEER, nos recuerda que las gentes modestas, gracias al volumen, por el consumo ( de grano en grano llena la gallina el buche) y sobre todo a causa de su fuerte indiferencia asociada al individualismo sin igual, así los veamos criticar, así los veamos insultar los políticos cada uno en su rincón; No tendran JAMAS el nivel de discernimiento suficiente para comprender: Ni por que sufren y menos aún cual es la solución.
La réalité politique sans langue de bois
Déjà lors du gouvernement UMP, les classes populaires, auraient supporté des conditions difficiles, plus concrètement c’est le pouvoir d’achat qui est mise à mal.
Nous devons assumer la réalité de manière globale.
Il serait absurde tenter de faire croire au citoyen lambda, qu’une nation à elle seule, aura suffisamment de marge de manœuvre pour infléchir l’évolution globale de l’économie.
Les Exemples fusent si nous voulons faire supporter la réalité mondiale par des arguments :
La crise du crédit hypothécaire découverte aux États Unis en 2008, nous montre que la spéculation financière domine l’ensemble de la planète.
Bien sur qu’il y des responsables des maux de la société moderne, Bien entendu qu’ils sont identifiables, mais il est aussi certain qu’ils ne serons jamais inquiétés au sein même d’une société où la réglementation ou plutôt LA DÉRÉGLEMENTATION est conçu en leur faveur.
Une fois encore je vais rabâcher le même discours?
Après avoir visionné une bonne vingtaine de vidéos, sur l’économie, des livres de Pierre Péean, Antoine Peillon, ou Encore Joseph E. Stiglitz, sans oublier Édouard Tétreau, j’arrive au diagnostique d’un tableau très noire sur l’avenir des classes populaires.
C’est avec la plus grande gravité et de la manière la plus solennelle possible que je tente depuis quelques années déjà à faire sonner une alarme. C’est alors que je trouvé une phrase courte qui synthétise tout ce que j’aurais déjà voulu exprimer depuis des années. C’est au docteur en sciences politiques et en économie monsieur Hermann Scheer que je doit l’excellent conclusion de la réalité mondiale :
... "Tant que les petits gens, les pauvres gens, ne chercherons, à s’associer, pour comprendre ce que leur arrive, et ainsi chercher ensemble le meilleur moyen de défendre leurs intérêts, les banques d’affaires, les groupes dédiés à la spéculation financière aurons des belles années devant eux "…
Aujourd’hui je dénonce avec absolue certitude : la branché publique, le bras politique d’une armée, qui agit contre les intérêts des majorités, contre l’harmonie sociale, ce sont pour ainsi dire l’ensemble des classes politiques, camouflés derrière des bannières trompeuses de couleur politique, ici et là aux noms du genre conservateurs versus libéraux, Droite versus Gauche, qu’en hégémonie inviolable règnent sans partage, sous l’égide d’une caste plus puissante, constitué des gens dédiés à la spéculation financière.
Les banques d’affaires
Il est absurde parler de nous jours de liberté des marchés, il est ridicule parler des lois du genre " offre et demande " Car les banques d’affaires, tel que GOLMAND SACHS, ainsi que des puissantes organisations, de l’acabit du FMI, ou encore OMC, sont sous le contrôle étroit de cinq grands groupes financiers dans le monde. Monsieur Joseph E. Stiglitz nous rappelle avec courage, que les marchés sont manipulés, bien qu’à la tête des banques les plus puissantes, bien qu’à la City à Londres, les rois de la cupidité cherchent à nous faire croire qu’il est IMPOSSIBLE DE MANIPULER LES MARCHÉS : la compagnie EL PASO dédié au commerce des énergies, ou encore ENRON sont des entreprises qui nous pouvons exposer en exemple de la manipulation des marchés. (pages 434 – 5 du livre Quand le capitalisme perd la tête ISBN 978-2-253-10931-0) mais les exemples sur la folie des banques, sont exposés de manière foisonnante dans les livres des auteurs que je souligné ici.
La politique locale
A la lumière d’une réalité IMPOSSIBLE de nier, comment vouloir, s’exprimer à niveau des nations, avec promesses pour réduire les maux des nations ; car des fléaux tel la disparition des emplois dans des antan nations puissantes, tel la France, Ne pas un problème en soit mais un simple symptôme du véritable problème qui reste, la spéculation sur les marchés !
Le levier de la fiscalité !
Rien de plus ridicule, tenter de réduire la fiscalité puisque monsieur Joseph E. Stiglitz depuis l’intérieur de la maison blanche, à la tête d’un groupe d’assesseurs de Bill Clinton, nous explique avec luxe de détails, qu’au but ce toujours l’industrie financière qui va trouver manière de capter tout l’effort fait pour des naïfs gouvernants.
Mais sont si naïfs les gouvernants ?
Non je crois qu’ils font semblant dans le seul but de justifier leur poste, par des phrases dithyrambiques, qui ne sont supportés sur la moindre réalité ou pragmatisme. J’entends le grand sot Jean François Copé, encore dire qu’il aurait la recette miracle pour redonner de la croissance, pour stimuler l’investissement ; bien sur monsieur Copé, veut la même politique appliqué par Sarkozy ; que nous pouvons résumer en transfert vertigineux de la fiscalité des nantis en vers les plus modestes. Normale monsieur Copé, est connu déjà pour sont interventionnisme d’état TOUJOURS EN FAVEUR DES PLUS RICHES, sauf que lorsque nous entendons les gens d’idéologie malthusienne et eugéniste, (les gens proches des groupes genre UMP en France) nous pouvons à coup sur constater qu’il veulent avec véhémence l’affaiblissement de l’état. Influencés par une sorte de post-keynésianisme, qui veut un état qui puisse ses besoins économiques exclusivement dans la fiscalité sur la consommation courante.
La raison est déjà soulignée plus haut, car le politologue Hermann Scheer, nous rappelle que les pauvres gens, par leur volume, par leur consommation, (les petits ruisseau font les grand océanes) et SURTOUT PAR LEUR INÉBRANLABLE indifférence associé à un individualisme indéniable, même s’ils vont râler, même s’ils vont pestiférer TOUJOURS dans leur petit coin ; N’aurons jamais le niveau de discernement suffisant pour comprendre : Ni pour quoi ils souffrent et moins encore quelle est la solution.
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny France lundi 1 de mars 2014
La realidad sobre la política sin ningún secreto
Hasta ahora he preferido escribir en francés, por razones diversas, fundamentalmente por intentar perfeccionar mi manejo de una lengua que desde 1988 me vi obligado y con mucho gusto, a hablar y escribir.
Hoy traduciré al español un sujeto que por higiene lingüística (lo expliqué) escribo casi cada día (así me cause enormes inconvenientes, de diversos ordenes, pues mis ocupaciones exigen tiempo que aquí sustraigo), una vez hecha la aclaración (debería estar durmiendo) pasemos a la traducción
Ya durante el gobierno UMP (Jaques Chirac y luego Nicolas Sarkozy) las clases populares, habrían soportado condiciones difíciles, más concretamente es el poder adquisitivo que fue mal tratado.
Debemos asumir la realidad de manera global (en une economía mundial)
Sería absurdo intentar hace creer al ciudadano lambda, que una nación a ella sola, dispusiera de suficiente margen de maniobra para lograr el cambio del movimiento global de la economía.
Los ejemplos hacen legión si quisiéramos hacer soportar nuestra argumentación:
La crisis del crédito hipotecario descubierta en los Estados Unidos en el 2008, nos enseña que la especulación financiera domina toda la tierra.
Desde luego que hay responsables de los males de la sociedad moderna, Desde luego que podemos identificarles, pero es seguro que ellos no podrán jamas juzgados y condenados, en una sociedad donde la legislación o mejor LA AUSENCIA BUSCADA DE REGLAS es concebida a la medida de sus exigencias.
Una vez más como un disco rayado?
Luego de haber visto no menos de unos veinte documentos video sur la economía, de haber leído libros de Pierre Péan, Antonio Peillon, ademas de Joseph E. Stiglitz, sin olvidar Edouard Tétreau, puedo afirmar un diagnostico realmente oscuro sobre el futuro de las clases populares. (pero quien no puede verlo, me pregunto?).
Es con la más grande gravedad y de la manera la mas solemne posible que intento desde hace varios años ya de hacer sonar una alarma. Fue entonces que encontré una frase corta que sintetiza tanto de lo que he intentado expresar desde hace tantos años. Es al doctor en ciencias políticas y economía, el señor HERMANN SCHEER a quien debo la excelente conclusión sobre la realidad mundial.
..."Mientras la gente modesta, la pobre gente, no busquen, a asociarse, para comprender lo que les ocurre, y por consiguiente buscar juntos el mejor medio de defender sus intereses, los bancos de especulación, los grupos dedicados a la especulación financiera tendrán una muy bella y larga vida"...
Hoy denuncio con certitud absoluta: La rama o brazo publico, el brazo político de una armada, que actuá contra los intereses de las mayorías, que actuá contra la armonía social, sería por así decirlo la clase política disfrazada tras de banderas mentirosas, detrás de eslogan políticos aquí y aya con nombres de tipo "conservadores" y "liberales" o "derecha" e "izquierda" que con hegemonía inviolable, reinan bajo la guía de una casta más poderosa, que son aquellos que viven de la especulación financiera.
Los bancos de negocios
Será absurdo hablar en nuestros días de libertad de mercado, como es ridiculo hablar de leyes de genero "oferta y consumo" Puesto que los bancos de negocios, tal que GOLMAND SACHS, al igual que poderosos organismos de la calidad del FMI, de la OMC, estan bajo el control estrecho de cinco grandes grupos mundiales dedicados a la especulación financiera en el mundo. El señor Joseph E. Stiglitz nos recuerda con mucho coraje (Stiglitz premio Nobel de economía 2001, quien trabajo en le FMI, quien ademas fue jefe del equipo de consejo económico de Bill Clinton en la Casa Blanca) que los mercados mundiales estan manipulados, contra la opinión de los más influyentes lideres de la industria financiera, como es el caso de Jorge SOROS quien se ocupa vivamente de "hedge funds" según FORBES clasificado al rango 27 por su fortuna de 23 billones de dolares, en fin toda la crema nata de esta casta, intentan hacernos creer que debido al volumen y la velocidad del movimiento monetario es imposible influenciar los mercados (mientras en realidad es solo lo que hacen TODO EL TIEMPO, y aquí abajo los pobres pendejos NOSOTROS hasta creemos!): la compañía EL PASO dedicada al comercio de energías o si no ENRON son empresas que podemos mostrar como ejemplo de manipulación del mercado (paginas 434 y 5 del libro CUANDO EL CAPITALISMO PIERDE LA CABEZA, ISBN 978-2-253-10931-0) pero los ejemplos sobre la locura de los bancos de manera exorbitante en los libros de los autores que he citado.
La política local
Bajo la linterna de lo que arriba explico, una realidad IMPOSIBLE de negar, como desear, expresar a nivel de naciones, con promesas para reducir los males de las naciones, puesto que las epidemias tales la desaparición del empleo en las antes llamadas naciones ricas, tal Francia, no es un problema en sí, pero un simple síntoma, que es, la especulación sobre los mercados.
La palanca fiscal!
Nada más ridículo, intentar de reducir los impuestos, puesto que el señor Stiglitz desde el seno de la Casa Blanca a la cabeza misma del grupo de asesores de Bill CLINTON, nos enseña con lujo de detalles que al fin y al cabo será siempre la industria financiera que de alguna manera termina meterse al bolsillo los esfuerzos ingenuos de los gobernantes.
Pero son ingenuos los gobernantes?
En realidad no! Creo que se hacen los vende jabón, con el solo objetivo de pronunciar lo que el pueblo ingenuo desea escuchar, ademas de intentar de justificar su salario. A través de frases sin cabeza ni pies, puesto que no están soportadas sur la más mínima realidad ni pragmatismo. Escuchaba el gran pendejo de Jean Francois Copé (quien fue ministro del presupuesto del 29∕11/04 al 15/05/07, presidente ante la asamblea nacional francesa entre el 27/06/07 y el 23/11/10, etc, etc.) Aún decir esta mañana a la radio que tiene la receta milagro para volver-le a dar desarrollo económico y por estimular la inversión en Francia; desde luego que el señor Copé, desea la misma política aplicada por Sarkozy, que podemos resumir en traspaso vertiginoso del peso fiscal de los más ricos hacia los más modestos de una parte, y de otra por el paquete de medidas llamado ley TEPA que a la época costó al presupuesto francés 75 millares de euros por año, y que logro aumentar la deuda externa del país en tres años de casi 700 millares de euros! Normal la gente como el señor Copé es conocida como por la tendencia intervencionista SIEMPRE A FAVOR DE LOS MÁS RICOS, excepto que cuando seguimos la gente de ideología MALTHUSIANA e UGENISTA (es decir la gente del grupo UMP en Francia) podemos constatar sin la sombra de una duda que desean un estado debil cada vez más dependiente del crédito institucional. Influenciados por una suerte de post-keynecianismo que solo buscan un estado que absorbería sus recursos económicos exclusivamente cargando cada vez más la el impuesto de los consumidores modestos.
La razón esta subrayada aquí arriba, puesto que el politologuo HERMANN SCHEER, nos recuerda que las gentes modestas, gracias al volumen, por el consumo ( de grano en grano llena la gallina el buche) y sobre todo a causa de su fuerte indiferencia asociada al individualismo sin igual, así los veamos criticar, así los veamos insultar los políticos cada uno en su rincón; No tendran JAMAS el nivel de discernimiento suficiente para comprender: Ni por que sufren y menos aún cual es la solución.
La réalité politique sans langue de bois
Déjà lors du gouvernement UMP, les classes populaires, auraient supporté des conditions difficiles, plus concrètement c’est le pouvoir d’achat qui est mise à mal.
Nous devons assumer la réalité de manière globale.
Il serait absurde tenter de faire croire au citoyen lambda, qu’une nation à elle seule, aura suffisamment de marge de manœuvre pour infléchir l’évolution globale de l’économie.
Les Exemples fusent si nous voulons faire supporter la réalité mondiale par des arguments :
La crise du crédit hypothécaire découverte aux États Unis en 2008, nous montre que la spéculation financière domine l’ensemble de la planète.
Bien sur qu’il y des responsables des maux de la société moderne, Bien entendu qu’ils sont identifiables, mais il est aussi certain qu’ils ne serons jamais inquiétés au sein même d’une société où la réglementation ou plutôt LA DÉRÉGLEMENTATION est conçu en leur faveur.
Une fois encore je vais rabâcher le même discours?
Après avoir visionné une bonne vingtaine de vidéos, sur l’économie, des livres de Pierre Péean, Antoine Peillon, ou Encore Joseph E. Stiglitz, sans oublier Édouard Tétreau, j’arrive au diagnostique d’un tableau très noire sur l’avenir des classes populaires.
C’est avec la plus grande gravité et de la manière la plus solennelle possible que je tente depuis quelques années déjà à faire sonner une alarme. C’est alors que je trouvé une phrase courte qui synthétise tout ce que j’aurais déjà voulu exprimer depuis des années. C’est au docteur en sciences politiques et en économie monsieur Hermann Scheer que je doit l’excellent conclusion de la réalité mondiale :
... "Tant que les petits gens, les pauvres gens, ne chercherons, à s’associer, pour comprendre ce que leur arrive, et ainsi chercher ensemble le meilleur moyen de défendre leurs intérêts, les banques d’affaires, les groupes dédiés à la spéculation financière aurons des belles années devant eux "…
Aujourd’hui je dénonce avec absolue certitude : la branché publique, le bras politique d’une armée, qui agit contre les intérêts des majorités, contre l’harmonie sociale, ce sont pour ainsi dire l’ensemble des classes politiques, camouflés derrière des bannières trompeuses de couleur politique, ici et là aux noms du genre conservateurs versus libéraux, Droite versus Gauche, qu’en hégémonie inviolable règnent sans partage, sous l’égide d’une caste plus puissante, constitué des gens dédiés à la spéculation financière.
Les banques d’affaires
Il est absurde parler de nous jours de liberté des marchés, il est ridicule parler des lois du genre " offre et demande " Car les banques d’affaires, tel que GOLMAND SACHS, ainsi que des puissantes organisations, de l’acabit du FMI, ou encore OMC, sont sous le contrôle étroit de cinq grands groupes financiers dans le monde. Monsieur Joseph E. Stiglitz nous rappelle avec courage, que les marchés sont manipulés, bien qu’à la tête des banques les plus puissantes, bien qu’à la City à Londres, les rois de la cupidité cherchent à nous faire croire qu’il est IMPOSSIBLE DE MANIPULER LES MARCHÉS : la compagnie EL PASO dédié au commerce des énergies, ou encore ENRON sont des entreprises qui nous pouvons exposer en exemple de la manipulation des marchés. (pages 434 – 5 du livre Quand le capitalisme perd la tête ISBN 978-2-253-10931-0) mais les exemples sur la folie des banques, sont exposés de manière foisonnante dans les livres des auteurs que je souligné ici.
La politique locale
A la lumière d’une réalité IMPOSSIBLE de nier, comment vouloir, s’exprimer à niveau des nations, avec promesses pour réduire les maux des nations ; car des fléaux tel la disparition des emplois dans des antan nations puissantes, tel la France, Ne pas un problème en soit mais un simple symptôme du véritable problème qui reste, la spéculation sur les marchés !
Le levier de la fiscalité !
Rien de plus ridicule, tenter de réduire la fiscalité puisque monsieur Joseph E. Stiglitz depuis l’intérieur de la maison blanche, à la tête d’un groupe d’assesseurs de Bill Clinton, nous explique avec luxe de détails, qu’au but ce toujours l’industrie financière qui va trouver manière de capter tout l’effort fait pour des naïfs gouvernants.
Mais sont si naïfs les gouvernants ?
Non je crois qu’ils font semblant dans le seul but de justifier leur poste, par des phrases dithyrambiques, qui ne sont supportés sur la moindre réalité ou pragmatisme. J’entends le grand sot Jean François Copé, encore dire qu’il aurait la recette miracle pour redonner de la croissance, pour stimuler l’investissement ; bien sur monsieur Copé, veut la même politique appliqué par Sarkozy ; que nous pouvons résumer en transfert vertigineux de la fiscalité des nantis en vers les plus modestes. Normale monsieur Copé, est connu déjà pour sont interventionnisme d’état TOUJOURS EN FAVEUR DES PLUS RICHES, sauf que lorsque nous entendons les gens d’idéologie malthusienne et eugéniste, (les gens proches des groupes genre UMP en France) nous pouvons à coup sur constater qu’il veulent avec véhémence l’affaiblissement de l’état. Influencés par une sorte de post-keynésianisme, qui veut un état qui puisse ses besoins économiques exclusivement dans la fiscalité sur la consommation courante.
La raison est déjà soulignée plus haut, car le politologue Hermann Scheer, nous rappelle que les pauvres gens, par leur volume, par leur consommation, (les petits ruisseau font les grand océanes) et SURTOUT PAR LEUR INÉBRANLABLE indifférence associé à un individualisme indéniable, même s’ils vont râler, même s’ils vont pestiférer TOUJOURS dans leur petit coin ; N’aurons jamais le niveau de discernement suffisant pour comprendre : Ni pour quoi ils souffrent et moins encore quelle est la solution.
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny France lundi 1 de mars 2014
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Politique sans langue de bois
Félicitations aux nouveaux ministres!
Petit mot d’un ignare aux lumières du gouvernement et aux ministres des Finances et comptes publiques Michel Sapin ; à monsieur Arnaud Montebourg ministre de l’Économie, du redressement productif et du numérique ; au ministre bourguignon du travail et du dialogue sociale.
Tout d’abord mes plus sincères félicitations, pour avoir réussi au si haut niveau dans une France qui a besoin du CHANGEMENT.
Je ne peu pas oublier les autres ministres leurs de mes félicitations !
Dans le concret et la compréhension.
Voilà la clé d’un projet !
Le concret ? Le quotidien des électeurs, les difficultés pour des gens, donc par la plus part avec carences, carences économiques bien sur, mais voilà une réalité, surtout un besoin.
Besoin d’un diagnostique, pas vraiment difficile ! Les carences économiques, doivent être prises dans un procès méthodologique, à la manière de la méthodo 8D. Méthodologie 5S, ou une autre quelconque méthode. Qui va conforter le fond de mes propos. La misère est loin d’être une fatalité !
La misère honorables messieurs les ministres, est un symptôme, une sorte d’effet collatérale de la cupidité des SANGSUES DE LA FINANCE. Attention à vous actes, mais aussi à vos paroles, dès lorsqu’elles seraient pourvues du VRAIE DISCOURS sur cette réalité !
Pour quoi j’aurai tort ?
Il y a " un seul " intellectuel à qui ; depuis mon humble niveau, je suis toujours disposé à affronter sur le fond du sujet ! Un seul intellectuel en condition d’argumenter sur la moindre défaillance de mon diagnostique !
Les gens qui vivent au RMI, ces gens qui vivent de l’assistanat de l’état auraient un coût ?
Bien entendu que oui, ces gens là, coûtent à la collectivité ! l’Union Européenne aura sorti, l’équivalent de 4 milliards d’euros pour des projets sociaux ! Rendez vous compte ! Oui me au même moment ce sont 100 milliards que les banques auraient reçu !
La Grèce !
Pouvons nous parler de la Grèce ? Oui mais parlons-y de qui aurait maquillée ses comptes et en échange de quoi ? Pour que la Grèce soit admise en Europe, messieurs les ministres !
Les connaissance et la formation
Et oui je suis un petit ouvrier, j’admets même que je sois immigré, et illettré messieurs les ministres ! Mais voilà, à travers les web, à travers des livres, de nous jours, sans avoir les moyens pour faire l’ENA, sans avoir peu payer l’accès à l’Université Versailles Saint Quentin, ou encore HEC, il est possible de comparer le revenu d’un TRADER ou de monsieur Lloyd Blankfein et celui d’un SMICAR.
Allons plus loin puisque je dois de par ma conviction de " tout petit ignare ", béotien dans le domaine ; vous rappeler, que le petit ouvrier au SMIG en allant TOUTE sa vie à travail, pour participer avec ses mains, et même en sacrifiant TOUTE sa vie ! Alors qu’il participe à la création VÉRITABLE ! RÉELLE, TANGIBLE de la richesse qui reste EXCLUSIVEMENT (du point de vue mécanique, mathématique, philosophique et idéologique) de la valeur ajouté ; n’arrivera JAMAIS à gagner une dixième du revenu D’UNE ANNEE du salaire de monsieur Blankfein !
Alors que ce monsieur là, monsieur Blankfein, comment le reste du 3 % des gens de son acabit, prennent la terre entière pour un table de jeu au casino ! Eux ne travaillent pas ! Eux ne créeraient JAMAIS de la VÉRITABLE ! RÉELLE, TANGIBLE richesse sous forme de valeur ajoutée ! Mais par contre se targueraient toujours de réussir à gagner des milliards !
Des milliards
Oui le salaire des gens modestes doit être chaque fois, de plus en plus réduit, comment est-t-il réduit l’emploi, parce qu’il faut permettre à des gens comment GEORGES SOROS et & de " réussir " à faire des milliards dans leur jeu ! Même si en effet collatérale, ET SURTOUT EN DÉMOCRATIE entre guillemets "démocratie " où 3 % des gens (qui adaptent les lois, et les retournent surtout : hedge funds, paradis fiscaux) arrivaient à flouer 97 % des gens sur la terre !
Du pont de vue idéologique, du point de vue de Etienne Chouard, Miret Zaki, Jean Jaques Rousseau, du point de vue de Joseph E. Stiglitz, Pierre Péan, Antoine Peillon ou Edouard Tétreau, (messieurs que j’ai beaucoup lu et écouté aussi) j’assumerais sans l’ombre d’un doute que 3 % des gens sont font de l’escroquerie sur la valeur ajouté sur 97 % du reste des êtres humains sur la terre !
Je vais m’arrêter là, messieurs les ministres, je doute que vous ou vous proches arrivaient à me lire, je doute même qu’un seul intellectuel ait le dédaigne, même de commenter ou encore moins de réfuter le fond de cette intervention d’un ignare, d’un illettré immigré et par dessus cela un syndicale.
Pour quoi pas de réponses ?
Parce que aucun argument est possible d’échafauder vis à vis de la réalité : la misère est loin d’être une fatalité ! (Nelson Mandela)
Votre discours !
Tant que dans vote discours et dans vos actes " langue de bois " vous ne dirait pas la vérité sur l’économie, je doute et je le regrette, les urnes vont parler et ça féra du mal! Je reste dans mes idées, dans mon comportement, comment cette intervention le preuve un VÉRITABLE citoyen de gauche !
Compétitivité
Oui je sais que cela féra peur et désordre pour aux grandes nations, un gouvernement d’une grande nation comment la France, parler "sans langue de bois " ?
Mais la France à montre au monde le chemin, parfois le prix en veut, surtout pour splendeur de l’histoire de la nation !
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny en Bourgogne, le 3 avril 2014
Petit mot d’un ignare aux lumières du gouvernement et aux ministres des Finances et comptes publiques Michel Sapin ; à monsieur Arnaud Montebourg ministre de l’Économie, du redressement productif et du numérique ; au ministre bourguignon du travail et du dialogue sociale.
Tout d’abord mes plus sincères félicitations, pour avoir réussi au si haut niveau dans une France qui a besoin du CHANGEMENT.
Je ne peu pas oublier les autres ministres leurs de mes félicitations !
Dans le concret et la compréhension.
Voilà la clé d’un projet !
Le concret ? Le quotidien des électeurs, les difficultés pour des gens, donc par la plus part avec carences, carences économiques bien sur, mais voilà une réalité, surtout un besoin.
Besoin d’un diagnostique, pas vraiment difficile ! Les carences économiques, doivent être prises dans un procès méthodologique, à la manière de la méthodo 8D. Méthodologie 5S, ou une autre quelconque méthode. Qui va conforter le fond de mes propos. La misère est loin d’être une fatalité !
La misère honorables messieurs les ministres, est un symptôme, une sorte d’effet collatérale de la cupidité des SANGSUES DE LA FINANCE. Attention à vous actes, mais aussi à vos paroles, dès lorsqu’elles seraient pourvues du VRAIE DISCOURS sur cette réalité !
Pour quoi j’aurai tort ?
Il y a " un seul " intellectuel à qui ; depuis mon humble niveau, je suis toujours disposé à affronter sur le fond du sujet ! Un seul intellectuel en condition d’argumenter sur la moindre défaillance de mon diagnostique !
Les gens qui vivent au RMI, ces gens qui vivent de l’assistanat de l’état auraient un coût ?
Bien entendu que oui, ces gens là, coûtent à la collectivité ! l’Union Européenne aura sorti, l’équivalent de 4 milliards d’euros pour des projets sociaux ! Rendez vous compte ! Oui me au même moment ce sont 100 milliards que les banques auraient reçu !
La Grèce !
Pouvons nous parler de la Grèce ? Oui mais parlons-y de qui aurait maquillée ses comptes et en échange de quoi ? Pour que la Grèce soit admise en Europe, messieurs les ministres !
Les connaissance et la formation
Et oui je suis un petit ouvrier, j’admets même que je sois immigré, et illettré messieurs les ministres ! Mais voilà, à travers les web, à travers des livres, de nous jours, sans avoir les moyens pour faire l’ENA, sans avoir peu payer l’accès à l’Université Versailles Saint Quentin, ou encore HEC, il est possible de comparer le revenu d’un TRADER ou de monsieur Lloyd Blankfein et celui d’un SMICAR.
Allons plus loin puisque je dois de par ma conviction de " tout petit ignare ", béotien dans le domaine ; vous rappeler, que le petit ouvrier au SMIG en allant TOUTE sa vie à travail, pour participer avec ses mains, et même en sacrifiant TOUTE sa vie ! Alors qu’il participe à la création VÉRITABLE ! RÉELLE, TANGIBLE de la richesse qui reste EXCLUSIVEMENT (du point de vue mécanique, mathématique, philosophique et idéologique) de la valeur ajouté ; n’arrivera JAMAIS à gagner une dixième du revenu D’UNE ANNEE du salaire de monsieur Blankfein !
Alors que ce monsieur là, monsieur Blankfein, comment le reste du 3 % des gens de son acabit, prennent la terre entière pour un table de jeu au casino ! Eux ne travaillent pas ! Eux ne créeraient JAMAIS de la VÉRITABLE ! RÉELLE, TANGIBLE richesse sous forme de valeur ajoutée ! Mais par contre se targueraient toujours de réussir à gagner des milliards !
Des milliards
Oui le salaire des gens modestes doit être chaque fois, de plus en plus réduit, comment est-t-il réduit l’emploi, parce qu’il faut permettre à des gens comment GEORGES SOROS et & de " réussir " à faire des milliards dans leur jeu ! Même si en effet collatérale, ET SURTOUT EN DÉMOCRATIE entre guillemets "démocratie " où 3 % des gens (qui adaptent les lois, et les retournent surtout : hedge funds, paradis fiscaux) arrivaient à flouer 97 % des gens sur la terre !
Du pont de vue idéologique, du point de vue de Etienne Chouard, Miret Zaki, Jean Jaques Rousseau, du point de vue de Joseph E. Stiglitz, Pierre Péan, Antoine Peillon ou Edouard Tétreau, (messieurs que j’ai beaucoup lu et écouté aussi) j’assumerais sans l’ombre d’un doute que 3 % des gens sont font de l’escroquerie sur la valeur ajouté sur 97 % du reste des êtres humains sur la terre !
Je vais m’arrêter là, messieurs les ministres, je doute que vous ou vous proches arrivaient à me lire, je doute même qu’un seul intellectuel ait le dédaigne, même de commenter ou encore moins de réfuter le fond de cette intervention d’un ignare, d’un illettré immigré et par dessus cela un syndicale.
Pour quoi pas de réponses ?
Parce que aucun argument est possible d’échafauder vis à vis de la réalité : la misère est loin d’être une fatalité ! (Nelson Mandela)
Votre discours !
Tant que dans vote discours et dans vos actes " langue de bois " vous ne dirait pas la vérité sur l’économie, je doute et je le regrette, les urnes vont parler et ça féra du mal! Je reste dans mes idées, dans mon comportement, comment cette intervention le preuve un VÉRITABLE citoyen de gauche !
Compétitivité
Oui je sais que cela féra peur et désordre pour aux grandes nations, un gouvernement d’une grande nation comment la France, parler "sans langue de bois " ?
Mais la France à montre au monde le chemin, parfois le prix en veut, surtout pour splendeur de l’histoire de la nation !
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny en Bourgogne, le 3 avril 2014
Gramophone- membre
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Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
POUR QUOI CREER DE LA RICHESSE
Économie politique
L’évolution vertigineuse à laquelle est soumise l’ensemble de la société, crée des distensions, des inégalités et donc génère bien plus que des risques qui portent atteinte dangereusement à l’harmonie sociale et aussi et surtout aux grandes institutions d’ordre républicain.
Il est vraisemblablement aise d’écrire, de remplir des pages avec des milliers d’idées, mais les observations sur des années des siècles durant font penser que le diagnostique, que les sonnettes d’alarme font très peu ou pas bouger la volonté de cette partie de la société, qui aurait à charge par la voie du suffrage, la gestion de la chose publique.
Le but de cette note, perd toute sont essence, si les gens au gouvernement ne vont pas recevoir d’abord le message, mais en suite avoir la dosse courage et modestie de mettre en pratique les conseils.
Le danger de l’austérité
l’économie primaire
L’économie primaire ou de première main, est celle qui concerne le salaire à deux titres :
1° Le salaire en tant qu’élément fondamental de l’économie sociale et solidaire, de l’économie véritable, le salaire ici, est le combustible même du cycle primaire de l’économie ; celui qui reste oublié des banques d’affaires, lorsqu’il s’agit de favoriser leur développement. Mais en fin de comptes la seule et unique source de toute la richesse
1.1 Le fruit du travail est avant tout la valeur ajoutée.
1.2 Le salaire est transformé en consommation des ménages des classes populaires, des classes moyennes
1.3 Le salaire ainsi est aussi une composante éminemment sociale, source de justice et harmonie sociale
2°Le salaire de chaque foyer de classes moyens et populaires, est " investi " a près 100 % dans la consommation, donnant lieu au maintien ou l’augmentation des commandes des entreprises
2.1 C’est le salaire des gens au SMIG, de SMIG X 2 et même SMIG X 3 qui retourne rapidement et systématiquement sous forme d’achat, de TVA dans l’économie réelle
2.2 C’est le salaire du niveau dessous souligné qui donne la vitalité à la croissance sous forme de production des biens et de services
2.3 C’est le salaire dessus souligné qui fini par faire grandir les recettes à BERCY puisque plus de 49 % vienne de la TVA et 25 % de l’impôt sur le revenu.
L’économie secondaire
La nous sommes face à un système qui tente de nous venter des qualités, des mérites donc en vérité sont des pièges ! Lorsque dans les ordinateurs des grands centres boursiers deux-cents mille tonnes de blé, entrent, sont prix grimpe à chaque transaction entre deux acteurs, ALORS QUE LA QUALITÉ PHYSIQUE et par fois le lieu RESTENT quant à eux INCHANGÉES ! Je pose la question alors pour quoi le prix change sans changer en rien les qualités ni le lieu ?
L’industrie financière NE PRODUIT PAS DE LA VALEUR AJOUTÉE, au contraire des économies primaires, LA OÙ ILS EXTORQUENT SAUVAGEMENT leur prétendue richesse
Le crédit, quel idée plus absurde que devoir emprunter à tout prix pour évoluer !
Cela concerne autant les collectivités, que les états, les entreprises et les particuliers ! Une économie véritable, sachant que l’économie idéal, c’est comment le courant électrique idéal, ça n’existe pas, une économie saine, saura sans doute celle que permet d’évoluer pour un entreprise ou un foyer fiscale sans avoir besoin de faire appel au crédit, à la dette : un citoyen qui emprunte pour l’achat d’une maison, fini par payer au but de 15 ans le prix de deux maisons.
Dans le pragmatisme concret : les assurances, les crédits bancaires, le crédit institutionnel, sont des freins majeurs à un développement durable sain, écologique et raisonnable.
Les banques d’affaires, auront devenu des véritables maîtres sur la terre
Dans un procès de développement constant l’univers des finances aura fini par trouver sans aucune difficulté, touts les outils pour faire mettre le genoux à terre à toutes les nations, même les plus puissantes. Car les États Unis d’Amérique auraient du adopter des politiques, grossières et accommodantes pour des délinquants financiers, donc la justice aura tente de déguiser la réalité avec la mise en prison de deux ou trois individus, alors que les plus impliqués auraient été épargnés.
La cupidité donc nous renseigne avec luxe de détails Joseph E. Stiglitz, Miret Zaky, Etienne Chouard et tant d’autres est l’art de gagner des milliards en jouant au casino, sauf que cela se passe dans une table géante de la taille de la terre entière.
Il me semble impossible de pouvoir réussir à améliorer les conditions de vie des classes populaires, tant que des gens nuisibles tel que George Soros, Lloyd Brankkfien, des traders, des Hedg Funds, des Trusts, des paradis fiscaux soient tolérés par des politiques timorés ; Il me semble impossible redonner de la confiance au citoyen lambda pendant que certains directeurs de banques gagnent des salaires indécents de l’ordre de 60 millions de dollars par an, ou des traders touchent des sommes de cinq a dix millions par an, sur la base de la spéculation financière, pendant que ceux qui créent LA VRAIE RICHESSE, les classes populaires, sont durement sanctionnés par des salaires de misère, par des haussés fiscales et par le chômage. Cerise sur le gâteau certains gouvernants oseraient même croire qu’il réduire la fiscalité des entreprises, et augmenter le poids des charges des ménages ! À la lumière des notes ici-dessus, ce serait l’erreur le plus stupide, déjà commit par le passé et pas qu’en France, même aux USA d’ailleurs ; donc tout le monde s’accorde à admettre les résultats !
Le web aura cela de bénéfique
Tout citoyen avec un minimum de QI arrive de nous jours à trouver l'information et a se documenter sans trop de difficulté, loin des médias généralistes, tout juste il faut un minimum de méthodologie, et de discernement, raison pour laquelle "les efforts de communication" faites par les politiques peuvent être dès lors vite reçus comment de la propagande sans intérêt.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Cereté Córdoba Colombia sábado 5 de abril del 2014
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
L’évolution vertigineuse à laquelle est soumise l’ensemble de la société, crée des distensions, des inégalités et donc génère bien plus que des risques qui portent atteinte dangereusement à l’harmonie sociale et aussi et surtout aux grandes institutions d’ordre républicain.
Il est vraisemblablement aise d’écrire, de remplir des pages avec des milliers d’idées, mais les observations sur des années des siècles durant font penser que le diagnostique, que les sonnettes d’alarme font très peu ou pas bouger la volonté de cette partie de la société, qui aurait à charge par la voie du suffrage, la gestion de la chose publique.
Le but de cette note, perd toute sont essence, si les gens au gouvernement ne vont pas recevoir d’abord le message, mais en suite avoir la dosse courage et modestie de mettre en pratique les conseils.
Le danger de l’austérité
l’économie primaire
L’économie primaire ou de première main, est celle qui concerne le salaire à deux titres :
1° Le salaire en tant qu’élément fondamental de l’économie sociale et solidaire, de l’économie véritable, le salaire ici, est le combustible même du cycle primaire de l’économie ; celui qui reste oublié des banques d’affaires, lorsqu’il s’agit de favoriser leur développement. Mais en fin de comptes la seule et unique source de toute la richesse
1.1 Le fruit du travail est avant tout la valeur ajoutée.
1.2 Le salaire est transformé en consommation des ménages des classes populaires, des classes moyennes
1.3 Le salaire ainsi est aussi une composante éminemment sociale, source de justice et harmonie sociale
2°Le salaire de chaque foyer de classes moyens et populaires, est " investi " a près 100 % dans la consommation, donnant lieu au maintien ou l’augmentation des commandes des entreprises
2.1 C’est le salaire des gens au SMIG, de SMIG X 2 et même SMIG X 3 qui retourne rapidement et systématiquement sous forme d’achat, de TVA dans l’économie réelle
2.2 C’est le salaire du niveau dessous souligné qui donne la vitalité à la croissance sous forme de production des biens et de services
2.3 C’est le salaire dessus souligné qui fini par faire grandir les recettes à BERCY puisque plus de 49 % vienne de la TVA et 25 % de l’impôt sur le revenu.
L’économie secondaire
La nous sommes face à un système qui tente de nous venter des qualités, des mérites donc en vérité sont des pièges ! Lorsque dans les ordinateurs des grands centres boursiers deux-cents mille tonnes de blé, entrent, sont prix grimpe à chaque transaction entre deux acteurs, ALORS QUE LA QUALITÉ PHYSIQUE et par fois le lieu RESTENT quant à eux INCHANGÉES ! Je pose la question alors pour quoi le prix change sans changer en rien les qualités ni le lieu ?
L’industrie financière NE PRODUIT PAS DE LA VALEUR AJOUTÉE, au contraire des économies primaires, LA OÙ ILS EXTORQUENT SAUVAGEMENT leur prétendue richesse
Le crédit, quel idée plus absurde que devoir emprunter à tout prix pour évoluer !
Cela concerne autant les collectivités, que les états, les entreprises et les particuliers ! Une économie véritable, sachant que l’économie idéal, c’est comment le courant électrique idéal, ça n’existe pas, une économie saine, saura sans doute celle que permet d’évoluer pour un entreprise ou un foyer fiscale sans avoir besoin de faire appel au crédit, à la dette : un citoyen qui emprunte pour l’achat d’une maison, fini par payer au but de 15 ans le prix de deux maisons.
Dans le pragmatisme concret : les assurances, les crédits bancaires, le crédit institutionnel, sont des freins majeurs à un développement durable sain, écologique et raisonnable.
Les banques d’affaires, auront devenu des véritables maîtres sur la terre
Dans un procès de développement constant l’univers des finances aura fini par trouver sans aucune difficulté, touts les outils pour faire mettre le genoux à terre à toutes les nations, même les plus puissantes. Car les États Unis d’Amérique auraient du adopter des politiques, grossières et accommodantes pour des délinquants financiers, donc la justice aura tente de déguiser la réalité avec la mise en prison de deux ou trois individus, alors que les plus impliqués auraient été épargnés.
La cupidité donc nous renseigne avec luxe de détails Joseph E. Stiglitz, Miret Zaky, Etienne Chouard et tant d’autres est l’art de gagner des milliards en jouant au casino, sauf que cela se passe dans une table géante de la taille de la terre entière.
Il me semble impossible de pouvoir réussir à améliorer les conditions de vie des classes populaires, tant que des gens nuisibles tel que George Soros, Lloyd Brankkfien, des traders, des Hedg Funds, des Trusts, des paradis fiscaux soient tolérés par des politiques timorés ; Il me semble impossible redonner de la confiance au citoyen lambda pendant que certains directeurs de banques gagnent des salaires indécents de l’ordre de 60 millions de dollars par an, ou des traders touchent des sommes de cinq a dix millions par an, sur la base de la spéculation financière, pendant que ceux qui créent LA VRAIE RICHESSE, les classes populaires, sont durement sanctionnés par des salaires de misère, par des haussés fiscales et par le chômage. Cerise sur le gâteau certains gouvernants oseraient même croire qu’il réduire la fiscalité des entreprises, et augmenter le poids des charges des ménages ! À la lumière des notes ici-dessus, ce serait l’erreur le plus stupide, déjà commit par le passé et pas qu’en France, même aux USA d’ailleurs ; donc tout le monde s’accorde à admettre les résultats !
Le web aura cela de bénéfique
Tout citoyen avec un minimum de QI arrive de nous jours à trouver l'information et a se documenter sans trop de difficulté, loin des médias généralistes, tout juste il faut un minimum de méthodologie, et de discernement, raison pour laquelle "les efforts de communication" faites par les politiques peuvent être dès lors vite reçus comment de la propagande sans intérêt.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Cereté Córdoba Colombia sábado 5 de abril del 2014
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
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La politique véritable!
Austérité
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A manière de préfacé quelques mots du grand Jean Jaurès:
LA LUTTE DE CLASSES
A mes yeux, citoyens ; l'idée de la lutte de classe ; le principe de la lutte de classe, est formé de trois éléments, de trois idées. D'abord, et à la racine même, il y a une constatation de fait, c'est que le système capitaliste, le système de la propriété privée des moyens de production, divise les hommes en deux catégories ; divise les intérêts en deux vastes groupes, nécessairement et violemment opposés. Il y a, d'un côté, ceux qui détiennent les moyens de production et qui peuvent ainsi faire la loi aux autres, mais il y a de l'autre côté ceux qui, n'ayant, ne possédant que leur force de travail et ne pouvant l'utiliser que par les moyens de production détenus précisément par la classe capitaliste, sont à la discrétion de cette classe capitaliste.
Entre les deux classes, entre les deux groupes d'intérêt, c'est une lutte incessante du salarié, qui veut élever son salaire et du capitaliste qui veut le réduire ; du salarié qui veut affirmer sa liberté et du capitaliste qui veut le tenir dans la dépendance.
Voilà donc le premier élément de la lutte de classes. La condition de fait qui le fonde, qui le détermine, c'est le système de la propriété capitaliste, de la propriété privée. Et remarquez-le bien : comme ici il s'agit des moyens de travailler et, par conséquent, des moyens de vivre, il s'agit de ce qu'il y a pour les hommes d'essentiel ; de fondamental, il s'agit de la vie privée, de la vie de touts les jours. Et, par conséquent, un conflit qui a, pour principe, la division d'une société en possédants et en non-possédants n'est pas superficiel ; il va jusqu'aux racines mêmes de la société, jusqu'aux racines mêmes de la vie.
..."Lorsqu'on soutient un ministère dans la société bourgeoise, même un ministère où il y a un socialiste, cela n'implique pas qu'on ait la naïveté d'attendre de ce ministère et d'aucun ministère bourgeois, l'entière justice et l’entière défense aux intérêts du prolétariat. Nous savons très bien que la société capitaliste est la terre de l'iniquité et que nous ne sortirons de l'iniquité qu'en sortant du capitalisme"... (Jean Jaurès)
Le citoyen lambda trop soucieux de connaître les résultats de tel ou tel championnat de tel ou tel sport ; vie sous une sorte d'anesthésie intellectuelle, il est pourtant durement touché parce que plus de 75 % des citoyens vivent à des niveaux de salaire ou revenu qui perdent progressivement du pouvoir d'achat.
Les études menés dans le monde sur l'évolution du salaire précaire, concluent avec une réduction progressive du pouvoir d'achat dans les ex-pays développés.
Parmi ces études voyons plusieurs graphiques
Voici un graphique sur les travaux rendus publiques de Mathilde Gaini, Aude Leduc et Augustin Vicard soulignent l'impact sur les plus jeunes de la situation économique globale.
Certains données reflètent sans difficulté l'évolution de l'économie, et l'emploi devenu une simple variable d'ajustement pour des employeur "mondialisés" c'est à dire des groupes internationaux
Cette graphique est une sorte d'instrument de mesure, autant que d'autres graphiques sur la réalité économique, qu'il convienne de voir au-delà de la lorgnette, (sur un plan, municipale, départementale et même national) ; voir de la même manière qui fonctionne l'économie c'est-à-dire GLOBALISÉE ou MONDIALISÉ
(extrait du BILAN DE 10 ANS D'OBSERVATION DE LA PAUVRETE ET DE L'EXCLUSION SOCIALE... édité par l'Observatoire National de la Pauvreté et de l'Exclusion sociale. ONPES
Lecture des conséquences
Il me semble que l'histoire est suffisamment parlante en matière d'économie, il est logique constater la régression de l'activité économique résultant d'une offre supérieure à la demande. C'est-à-dire que les politiques d'austérité induisent systématiquement dans une aggravation de la crise, installant la récession.
Il faut observer le tableau au revenu, avant d'avancer une quelconque hypothèse, alors prenons quelques pays significatifs ; Espagne, Italie, Royaume-Uni, Suède et France :
Le liens pour les chiffres :
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=98&ref_id=CMPDD005
Il devienne nécessaire de confronter deux réalités :
D'une part le chômage qu'augmente, et qui touche les plus faibles, et d'autre part un revenu qui semble se comporter, "comment un charme" de toute évidence cela signifie que même si les plus faibles perdent du pouvoir d'achat, il y a d'autres que le conservent.
Puisque 75 % des gens ou plus vivent du SMIG, et que nous vivons dans une république ?
Vivre dans une république signifie avant tout adhérer à un constitution et justement le préambule de la constitution qui sert de cadre fondateur à la RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, dit dans l'article premier je cite :
..."La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales."...
Si le texte ci-dessus et placé tout au début de cette charte magne, cela relève d'une certaine transcendance de son contenu par rapport au reste.
La France est donc une république, laïque, DÉMOCRATIQUE et sociale. Qui assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens... Hors ce qui montrent les graphiques ici, clichés issus des études relativement dignes de crédit ; semble s’éloigner des préconisations de la constitution.
1° Le salaire des classes populaires est relativement en régression.
2° L'emploi des classes populaires est progressivement supprimé
3° La fiscalité est discrètement transférait vers les classes populaires.
C'est trois raisons doivent donner de matière à réfléchir, non pas à ceux désignés comment représentants politiques des citoyens (par la voie légitime du suffrage) non pas aux divers groupements de défense des intérêts des classes ouvrières ; mais aux classes populaires, elles mêmes, car l'histoire est là pour nous démontrer que qui conque aura pris la défense des démunis jusqu'aujourd'hui semble définitivement avoir échoue et de manière sévère.
Même si je persiste à rabâcher une sorte de rengaine, aux jeux de mes détracteurs, il est nécessaire, que cette lecture, percute, impacte, motive le lecteur ouvrier, le lecteur sans emploi, de manière à lui faire prendre conscience, non pas d'une volonté personnelle de prosélytisme en vers un courant politique, ou un groupement quelconque. Non ! L'ouvrier, le chômeur doit arriver par la lecture de ces lignes à constater que le chemin pour tenter d'inverser l'évolution de l'économie passe par d'autres mesures, d'autres décisions en tout cas éloignes du panorama actuel MONDIALISÉ de politique économique, sachant que certains gouvernements peuvent servir d'exemple, et je vais citer le gouvernement de monsieur EVO MORALES pour un pays petit en Amérique latine. La Bolivie.
Alors voir un autre support ou instrument de mesure de l'économie, c'est à dire les recettes ou mieux le revenu de l'état :
Sans doute que le consommateur lambda via la taxe sur la valeur ajouté et l'impôt sur le revenu font entrer le plus gros des recettes de l'état.
Pour supporter certaines affirmations, nous pouvons reprendre le graphique du document d'un rapport présenté à l’Élysée sous le titre de PARTAGE DE LA VALEUR AJOUTÉE, PARTAGE DES PROFITS ET EXCÈS DE RÉMUNÉRATION EN FRANCE sous la direction de monsieur Jean-Philippe Cotis directeur général de l'Insee
La lecture "visuelle" de l'évolution des chiffres qui ici sont une sorte de photographie pédagogique de la réalité économique ; permettent de comprendre que toute volonté politique de réduction du budget de l'état quelque soit le nom choisie, est en vérité de l'austérité, et que dans tout le cas de figure c'est les ménages modestes qu'en payent le plus lourd tribut.
Bien entendu que la consommation des ménages une fois atteinte par des politiques d'austérité va réduire les recettes de BERCY, étant donnée qu'elle contribue de manière systématique (les salaires les plus bas se transforment en consommation à 100%) à alimenter les recettes voir "graphique 3".
Le graphique 4 montre une distribution du profit où l'épargne salariale reste que de 7 %, phénomène qui conforte l'hypothèse qui veut que les bas salaires se transforment en combustible du cycle primaire de l'économie.
D'autre part des études affirment que le salaire reste une composante donc l'évolution ne fait que diminuer comment le preuve le montre Céline Prigent de la division Croissance et politiques macroéconomiques de l'INSEE, dans sont document intitulé "La part des salaires dans la valeur ajoutée en France : une approche macroéconomique"
Le graphique 5 montre une perte de salaire très significatifs pour l'industrie à partir de 1985 alors que les salaires semblaient évoluer de pair avec l'évolution du PIB jusqu'à là. Mais un regard dans ce même graphique du salaire "hors industrie" est très instructif puisque dans la valeur ajoutée, le salaire se réduit aussi.
L'évolution de la perte du pouvoir d'achat, est ici montrée par des outils divers, graphiques et documentés, pour souligner une constante, dans la gestion politique de la droite comment de la gauche.
Si le salaire et ou le revenu des ménages, continue à décroître il est logique que la demande décroit aussi.
Cela nous mène à nous poser la question non moins fondamentale :
A quoi bon de chercher à favoriser l'offre si la demande elle est volontairement attaquée par une politique agressive fiscalement ?
IMAGES D'ECONOMIE
C'est navrant de trouver surtout parmi les classes populaires, parmi par fois des patrons d'entreprises des ZOMBIES, des ÉCERVELÉS qui sous l'excuse absurde qui veut éviter d'être qualifié de "communiste" sont des esclaves in fine d'une idéologie où moins de 3 % de parasites, des sangsues de la finance dérobent, INJUSTEMENT, IMPUNÉMENT plus de 90 % du revenu issue de la valeur travail, de la valeur ajoutée.
Si nous croissons le graphique 2 ici avec le graphique 5 très vite nous nous rendons compte que bien que certains présumés personnalités politiques oseraient parler d'un léger mieux des classes populaires MAJORITAIRES en DÉMOCRATIE :
D'une part le revenu en France se porte mieux que dans d'autres pays de la zone Euro.
D'autre part que le salaire (LE POUVOIR D'ACHAT de plus de70 % ) des classes populaires MAJORITAIRES en DÉMOCRATIE est réduit dans une vision macroéconomique
Mais des "apprentis sorciers" de la gestion de la cité entendez "la politique" semblent bien s'obstiner à favoriser l'offre plutôt que la demande, s'obstiner à transférer la fiscalité sur les classes populaires plutôt que sur le revenu du capital.
Je serais intellectuellement pas honnête, si face à cette situation, j'omets d'ajouter que dans le fond le cap sociopolitique est dicté par une idéologie, idéologie qu'il ne faut pas citer au risque d'être maudit, au pire d'être classé de pro-soviétique, surtout aux États Unis, dire la vérité équivaux à être communiste.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny samedi 19 avril 2014
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A manière de préfacé quelques mots du grand Jean Jaurès:
LA LUTTE DE CLASSES
A mes yeux, citoyens ; l'idée de la lutte de classe ; le principe de la lutte de classe, est formé de trois éléments, de trois idées. D'abord, et à la racine même, il y a une constatation de fait, c'est que le système capitaliste, le système de la propriété privée des moyens de production, divise les hommes en deux catégories ; divise les intérêts en deux vastes groupes, nécessairement et violemment opposés. Il y a, d'un côté, ceux qui détiennent les moyens de production et qui peuvent ainsi faire la loi aux autres, mais il y a de l'autre côté ceux qui, n'ayant, ne possédant que leur force de travail et ne pouvant l'utiliser que par les moyens de production détenus précisément par la classe capitaliste, sont à la discrétion de cette classe capitaliste.
Entre les deux classes, entre les deux groupes d'intérêt, c'est une lutte incessante du salarié, qui veut élever son salaire et du capitaliste qui veut le réduire ; du salarié qui veut affirmer sa liberté et du capitaliste qui veut le tenir dans la dépendance.
Voilà donc le premier élément de la lutte de classes. La condition de fait qui le fonde, qui le détermine, c'est le système de la propriété capitaliste, de la propriété privée. Et remarquez-le bien : comme ici il s'agit des moyens de travailler et, par conséquent, des moyens de vivre, il s'agit de ce qu'il y a pour les hommes d'essentiel ; de fondamental, il s'agit de la vie privée, de la vie de touts les jours. Et, par conséquent, un conflit qui a, pour principe, la division d'une société en possédants et en non-possédants n'est pas superficiel ; il va jusqu'aux racines mêmes de la société, jusqu'aux racines mêmes de la vie.
..."Lorsqu'on soutient un ministère dans la société bourgeoise, même un ministère où il y a un socialiste, cela n'implique pas qu'on ait la naïveté d'attendre de ce ministère et d'aucun ministère bourgeois, l'entière justice et l’entière défense aux intérêts du prolétariat. Nous savons très bien que la société capitaliste est la terre de l'iniquité et que nous ne sortirons de l'iniquité qu'en sortant du capitalisme"... (Jean Jaurès)
Le citoyen lambda trop soucieux de connaître les résultats de tel ou tel championnat de tel ou tel sport ; vie sous une sorte d'anesthésie intellectuelle, il est pourtant durement touché parce que plus de 75 % des citoyens vivent à des niveaux de salaire ou revenu qui perdent progressivement du pouvoir d'achat.
Les études menés dans le monde sur l'évolution du salaire précaire, concluent avec une réduction progressive du pouvoir d'achat dans les ex-pays développés.
Parmi ces études voyons plusieurs graphiques
Voici un graphique sur les travaux rendus publiques de Mathilde Gaini, Aude Leduc et Augustin Vicard soulignent l'impact sur les plus jeunes de la situation économique globale.
Certains données reflètent sans difficulté l'évolution de l'économie, et l'emploi devenu une simple variable d'ajustement pour des employeur "mondialisés" c'est à dire des groupes internationaux
Cette graphique est une sorte d'instrument de mesure, autant que d'autres graphiques sur la réalité économique, qu'il convienne de voir au-delà de la lorgnette, (sur un plan, municipale, départementale et même national) ; voir de la même manière qui fonctionne l'économie c'est-à-dire GLOBALISÉE ou MONDIALISÉ
(extrait du BILAN DE 10 ANS D'OBSERVATION DE LA PAUVRETE ET DE L'EXCLUSION SOCIALE... édité par l'Observatoire National de la Pauvreté et de l'Exclusion sociale. ONPES
Lecture des conséquences
Il me semble que l'histoire est suffisamment parlante en matière d'économie, il est logique constater la régression de l'activité économique résultant d'une offre supérieure à la demande. C'est-à-dire que les politiques d'austérité induisent systématiquement dans une aggravation de la crise, installant la récession.
Il faut observer le tableau au revenu, avant d'avancer une quelconque hypothèse, alors prenons quelques pays significatifs ; Espagne, Italie, Royaume-Uni, Suède et France :
Le liens pour les chiffres :
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=98&ref_id=CMPDD005
Il devienne nécessaire de confronter deux réalités :
D'une part le chômage qu'augmente, et qui touche les plus faibles, et d'autre part un revenu qui semble se comporter, "comment un charme" de toute évidence cela signifie que même si les plus faibles perdent du pouvoir d'achat, il y a d'autres que le conservent.
Puisque 75 % des gens ou plus vivent du SMIG, et que nous vivons dans une république ?
Vivre dans une république signifie avant tout adhérer à un constitution et justement le préambule de la constitution qui sert de cadre fondateur à la RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, dit dans l'article premier je cite :
..."La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales."...
Si le texte ci-dessus et placé tout au début de cette charte magne, cela relève d'une certaine transcendance de son contenu par rapport au reste.
La France est donc une république, laïque, DÉMOCRATIQUE et sociale. Qui assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens... Hors ce qui montrent les graphiques ici, clichés issus des études relativement dignes de crédit ; semble s’éloigner des préconisations de la constitution.
1° Le salaire des classes populaires est relativement en régression.
2° L'emploi des classes populaires est progressivement supprimé
3° La fiscalité est discrètement transférait vers les classes populaires.
C'est trois raisons doivent donner de matière à réfléchir, non pas à ceux désignés comment représentants politiques des citoyens (par la voie légitime du suffrage) non pas aux divers groupements de défense des intérêts des classes ouvrières ; mais aux classes populaires, elles mêmes, car l'histoire est là pour nous démontrer que qui conque aura pris la défense des démunis jusqu'aujourd'hui semble définitivement avoir échoue et de manière sévère.
Même si je persiste à rabâcher une sorte de rengaine, aux jeux de mes détracteurs, il est nécessaire, que cette lecture, percute, impacte, motive le lecteur ouvrier, le lecteur sans emploi, de manière à lui faire prendre conscience, non pas d'une volonté personnelle de prosélytisme en vers un courant politique, ou un groupement quelconque. Non ! L'ouvrier, le chômeur doit arriver par la lecture de ces lignes à constater que le chemin pour tenter d'inverser l'évolution de l'économie passe par d'autres mesures, d'autres décisions en tout cas éloignes du panorama actuel MONDIALISÉ de politique économique, sachant que certains gouvernements peuvent servir d'exemple, et je vais citer le gouvernement de monsieur EVO MORALES pour un pays petit en Amérique latine. La Bolivie.
Alors voir un autre support ou instrument de mesure de l'économie, c'est à dire les recettes ou mieux le revenu de l'état :
Sans doute que le consommateur lambda via la taxe sur la valeur ajouté et l'impôt sur le revenu font entrer le plus gros des recettes de l'état.
Pour supporter certaines affirmations, nous pouvons reprendre le graphique du document d'un rapport présenté à l’Élysée sous le titre de PARTAGE DE LA VALEUR AJOUTÉE, PARTAGE DES PROFITS ET EXCÈS DE RÉMUNÉRATION EN FRANCE sous la direction de monsieur Jean-Philippe Cotis directeur général de l'Insee
La lecture "visuelle" de l'évolution des chiffres qui ici sont une sorte de photographie pédagogique de la réalité économique ; permettent de comprendre que toute volonté politique de réduction du budget de l'état quelque soit le nom choisie, est en vérité de l'austérité, et que dans tout le cas de figure c'est les ménages modestes qu'en payent le plus lourd tribut.
Bien entendu que la consommation des ménages une fois atteinte par des politiques d'austérité va réduire les recettes de BERCY, étant donnée qu'elle contribue de manière systématique (les salaires les plus bas se transforment en consommation à 100%) à alimenter les recettes voir "graphique 3".
Le graphique 4 montre une distribution du profit où l'épargne salariale reste que de 7 %, phénomène qui conforte l'hypothèse qui veut que les bas salaires se transforment en combustible du cycle primaire de l'économie.
D'autre part des études affirment que le salaire reste une composante donc l'évolution ne fait que diminuer comment le preuve le montre Céline Prigent de la division Croissance et politiques macroéconomiques de l'INSEE, dans sont document intitulé "La part des salaires dans la valeur ajoutée en France : une approche macroéconomique"
Le graphique 5 montre une perte de salaire très significatifs pour l'industrie à partir de 1985 alors que les salaires semblaient évoluer de pair avec l'évolution du PIB jusqu'à là. Mais un regard dans ce même graphique du salaire "hors industrie" est très instructif puisque dans la valeur ajoutée, le salaire se réduit aussi.
L'évolution de la perte du pouvoir d'achat, est ici montrée par des outils divers, graphiques et documentés, pour souligner une constante, dans la gestion politique de la droite comment de la gauche.
Si le salaire et ou le revenu des ménages, continue à décroître il est logique que la demande décroit aussi.
Cela nous mène à nous poser la question non moins fondamentale :
A quoi bon de chercher à favoriser l'offre si la demande elle est volontairement attaquée par une politique agressive fiscalement ?
IMAGES D'ECONOMIE
C'est navrant de trouver surtout parmi les classes populaires, parmi par fois des patrons d'entreprises des ZOMBIES, des ÉCERVELÉS qui sous l'excuse absurde qui veut éviter d'être qualifié de "communiste" sont des esclaves in fine d'une idéologie où moins de 3 % de parasites, des sangsues de la finance dérobent, INJUSTEMENT, IMPUNÉMENT plus de 90 % du revenu issue de la valeur travail, de la valeur ajoutée.
Si nous croissons le graphique 2 ici avec le graphique 5 très vite nous nous rendons compte que bien que certains présumés personnalités politiques oseraient parler d'un léger mieux des classes populaires MAJORITAIRES en DÉMOCRATIE :
D'une part le revenu en France se porte mieux que dans d'autres pays de la zone Euro.
D'autre part que le salaire (LE POUVOIR D'ACHAT de plus de70 % ) des classes populaires MAJORITAIRES en DÉMOCRATIE est réduit dans une vision macroéconomique
Mais des "apprentis sorciers" de la gestion de la cité entendez "la politique" semblent bien s'obstiner à favoriser l'offre plutôt que la demande, s'obstiner à transférer la fiscalité sur les classes populaires plutôt que sur le revenu du capital.
Je serais intellectuellement pas honnête, si face à cette situation, j'omets d'ajouter que dans le fond le cap sociopolitique est dicté par une idéologie, idéologie qu'il ne faut pas citer au risque d'être maudit, au pire d'être classé de pro-soviétique, surtout aux États Unis, dire la vérité équivaux à être communiste.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny samedi 19 avril 2014
Última edición por Admin el Mar 29 Abr - 13:29, editado 1 vez (Razón : Jean-Marc Ayrault, Arneau Montbourg, François Patria, Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ, Austérité, Parti Socialiste)
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Monsieur VALLS se trompe!
A : monsieur Le ex-Premier Ministre Jean-Marc Ayrault
De : un béotien lambda ouvrier immigré et illettré (1)
Copie : à plusieurs sénateurs (voir la liste dans la photo)
" />
Date: Mardi 29 avril 2014
Objet : Monsieur VALLS se trompe !
Bonjours monsieur
C'est un trop grand honneur que de s'adresser à une personnalité à la dimension d'un premier ministre.
C'est avec grand joie, respect et admiration que depuis mon humble foyer, j'écris ces quelques lignes, à l'adresse d'une personnalité de votre niveau, tout en étant très conscients que par des raisons de volume du courriel, par les occupations aux quelles une personnalité de votre niveau est confronté ; mes mots resteraient facilement oubliés, dans les meilleurs des cas, par un clic partiraient à la poubelle.
Malgré quoi, je vais tout de même d'abord vous remercier pour le courage avec lequel vous avait assumé la lourde tâche pendant le gouvernement Ayrault.
Je ne suis pas d'accord avec la politique d'austérité et mon niveau à priori ne me permettrai d'aborder un tel degré de complication en matière de politique.
Sauf que pendant des années, déjà j'ai me suis investi humble mais sur dans le rôle pédagogique de diffuser aux quatre points cardinaux, mes observations.
A priori, un ouvrier n'y songe même pas étudier des sujets d'économie politique, mais une fois investi de certains tâches au sein du syndicalisme, et passionné depuis des années pour la sociologie, ce sont nombreux les sujets que j'écris déjà et qu'auraient au passage permit à mon discernement d'accumuler une certains expérience :
Monsieur VALLS se trompe ! Au bout ce le patronat qui va recueillir les bénéfices et laisser une France au taux de chômage proche de 10 %
Parce que l'histoire est là pour prouver l'évolution du pouvoir d'achat !
J'ai des arguments contondants, inaliénables pour prouver où va la société :
1° austérité
2° l'économie en images
3° Je suis naïfs!
Mais où va le monde alors ?
4° Tout le monde sais qui récupérera les 50 Md €!
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
21 rue des Sœurs Lecoq
89300 Joigny
De : un béotien lambda ouvrier immigré et illettré (1)
Copie : à plusieurs sénateurs (voir la liste dans la photo)
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Date: Mardi 29 avril 2014
Objet : Monsieur VALLS se trompe !
Bonjours monsieur
C'est un trop grand honneur que de s'adresser à une personnalité à la dimension d'un premier ministre.
C'est avec grand joie, respect et admiration que depuis mon humble foyer, j'écris ces quelques lignes, à l'adresse d'une personnalité de votre niveau, tout en étant très conscients que par des raisons de volume du courriel, par les occupations aux quelles une personnalité de votre niveau est confronté ; mes mots resteraient facilement oubliés, dans les meilleurs des cas, par un clic partiraient à la poubelle.
Malgré quoi, je vais tout de même d'abord vous remercier pour le courage avec lequel vous avait assumé la lourde tâche pendant le gouvernement Ayrault.
Je ne suis pas d'accord avec la politique d'austérité et mon niveau à priori ne me permettrai d'aborder un tel degré de complication en matière de politique.
Sauf que pendant des années, déjà j'ai me suis investi humble mais sur dans le rôle pédagogique de diffuser aux quatre points cardinaux, mes observations.
A priori, un ouvrier n'y songe même pas étudier des sujets d'économie politique, mais une fois investi de certains tâches au sein du syndicalisme, et passionné depuis des années pour la sociologie, ce sont nombreux les sujets que j'écris déjà et qu'auraient au passage permit à mon discernement d'accumuler une certains expérience :
Monsieur VALLS se trompe ! Au bout ce le patronat qui va recueillir les bénéfices et laisser une France au taux de chômage proche de 10 %
Parce que l'histoire est là pour prouver l'évolution du pouvoir d'achat !
J'ai des arguments contondants, inaliénables pour prouver où va la société :
1° austérité
2° l'économie en images
3° Je suis naïfs!
Mais où va le monde alors ?
4° Tout le monde sais qui récupérera les 50 Md €!
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
21 rue des Sœurs Lecoq
89300 Joigny
Alston, CDD et chômage
ALSTON CDD et CHÔMAGE
Trois sujets en apparence différents : Alston, La retraite, Les contrats à durée déterminée.
Le néo-libéralisme, pousse les nations à la privatisation, puis crée des monopoles ; le marge de manœuvre des nations lorsque les entreprises stratégiques sortent du statut de fonction publique, est tout près de zéro.
S’il est nécessaire de faire la mea culpa de la part des organisations de défense des intérêts des travailleurs, soit ! Cela dit les représentants des travailleurs ont accès et connaissance de la santé économique des entreprises sous l’égide de l’état. Il serait absurde alors exiger des niveau de revenu inadaptés pour les fonctionnaires. Il y a l’exemple du transport ferroviaire de marchandise, beaucoup plus écologique que le transport par camion, mais nous sommes face à des directives politiques frêles ; il a manqué terriblement la volonté politique pour favoriser le transport ferroviaire. De la même manière, nous constatons que la téléphonie mobile coûte plus cher en France, aux utilisateurs, curieusement la téléphonie est privatisée, des personnes comment Carlos Slim Helù (deuxième milliardaire au monde) fait fortune dans plusieurs pays au monde grâce à la téléphonie débutant lors de la privatisation de l’entreprise mexicaine équivalent de FRANCE TELECOM appelait TELMEX; Mais France Télécom ne serait pas une entreprise viable ?
Alston suivra le même chemin de Arcelor, il n’est nullement nécessaire une quelconque connaissance en économie politique, ni aucune boule de cristal, pour arriver à prévoir la suite.
Bien sur que le les trois sujets sont intimement liés, puisque par la destruction d’emplois en France, l’équilibre indispensable entre nombre de travailleurs " cotisant " et nombre de retraités " bénéficiaires " est volontairement rompu. Après que les entreprises sont privatisés, et qu’elles auraient passé entre plusieurs mains, (des holding) des sociétés de portefeuille par la plus part avec maison mère aux îles Caiman, île de Jersey et similaires. Pour parler plus simple nos entreprises ne le sont plus, une logue liste de fermetures, de délocalisations, de fermetures, sont là dans l’histoire des licenciements des dix derniers années, pour supporter sans AUCUNE DIFFICULTÉ, mon argumentation.
Les patrons se serrent les coudes par cupidité
Alors que la classe ouvrière part en ordre dispersée, les patrons eux se serrent les coudes, même s’il défendent des intérêts totalement opposés ; puisque l’industrie de la finance, récupère la coquette somme de plus de 90 % du fruit du travail en étant composé de moins de 4 % de la population mondiale.
Les entreprises des production TANGIBLE, RÉELLE, VÉRITABLE de valeur ajouté, préfèrent continuer à défendre le système pourrit, malsain, injuste, aucun patron que je sache questionne le moins du monde le système. Alors que ce système rend instable, incertaine une vision à moyen et long terme de l’économie. Parce que l’industrie de la spéculation, avide de dividendes, émulations et autres primes, qui conforment le plus gros de revenu des traders, des banquiers, etc. transforme la terre dans un immense casino.
Quiconque tenterait d’éviter d’aborder des sujets du genre évasion fiscale, paradis fiscaux, le rôle de la privatisation dans la paupérisation des nations, en tant que syndicale, je suis ouvert à toute mise en cause des acquis sociaux, à condition de mise à plat de la fiscalité, et de la création d’un corps spécialisé, pour nettoyer le CGI, de toute incitation à ceux que pour beaucoup est dé-nominé " optimisation fiscale ".
Les entreprises sans visibilité à moyen et long terme, sans pouvoir savoir quel est le chiffre d’affaires à trois ou quatre mois, comment le montrent nombreux études, paupérisa l’emploi. C’est ainsi que le travaille temporaire, connaît en moins de dix ans, une progression phénoménale. En parallèle nous voyons évoluer les CDD. Et d’ailleurs la notion de CDI, à été discrètement modifié du Code du Travail ; en tout cas un CDI ne présente pas la même signification d’il y a 20 ans, car le licenciements économique est subjacent dans l’esprit des travailleurs, à tout moment l’employeur qui décide à Londres, New York ou Tokyo risque d’adopter le projet de fermeture d’un cite en France.
Les leaders syndicaux, au-delà des constats, ne proposent rien, en absolu, chose très curieuse, car Jean JAURÈS à sont époque " lui " proposé des solutions, pire encore nous avons des leaders syndicaux qui osent présenter des statuts dans les quels stipulent qu’il est interdit d’aborder des thèmes inhérents aux partis politiques !
Personnellement je trouve absurde l’absence d’un parti politique des travailleurs (1), l’idée que les classes ouvrières, puissent avoir pour choix, par exemple le vote pour un parti politique de droite ! Car ce que monsieur Jean JAURÈS à exprime à sont époque sur les classes sociales reste plus que jamais d’actualité. C’est justement parce que l’ouvrier à perdu de vue sa position au sein de la société, c’est parce que l’ouvrier à été formaté voir rendu " écervelé " qu’il peu de nous jours valider par le vote, des parfaits incapables pour gouverner un pays. Pour être concis, je ne suis pas étonné de l’absence d’un parti politique des travailleurs, puisque les travailleurs s’identifient venu l’heure du suffrage avec les patrons, plus grave encore ceux accrédités pour défendre leurs intérêts, osent laisser la porte ouverte à l’erreur. En affirmant qu’il sont neutres. Alors comment s’étonner qu’il y ait des ouvriers et chômeurs qui votent extrême droite ?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone (ouvrier, immigré, illettré avec carte syndicale et du PS)
Joigny jeudi 1 mai 2014
(1) http://toulouse-philo.forumpro.fr/t165-bipartisme#468
Trois sujets en apparence différents : Alston, La retraite, Les contrats à durée déterminée.
Le néo-libéralisme, pousse les nations à la privatisation, puis crée des monopoles ; le marge de manœuvre des nations lorsque les entreprises stratégiques sortent du statut de fonction publique, est tout près de zéro.
S’il est nécessaire de faire la mea culpa de la part des organisations de défense des intérêts des travailleurs, soit ! Cela dit les représentants des travailleurs ont accès et connaissance de la santé économique des entreprises sous l’égide de l’état. Il serait absurde alors exiger des niveau de revenu inadaptés pour les fonctionnaires. Il y a l’exemple du transport ferroviaire de marchandise, beaucoup plus écologique que le transport par camion, mais nous sommes face à des directives politiques frêles ; il a manqué terriblement la volonté politique pour favoriser le transport ferroviaire. De la même manière, nous constatons que la téléphonie mobile coûte plus cher en France, aux utilisateurs, curieusement la téléphonie est privatisée, des personnes comment Carlos Slim Helù (deuxième milliardaire au monde) fait fortune dans plusieurs pays au monde grâce à la téléphonie débutant lors de la privatisation de l’entreprise mexicaine équivalent de FRANCE TELECOM appelait TELMEX; Mais France Télécom ne serait pas une entreprise viable ?
Alston suivra le même chemin de Arcelor, il n’est nullement nécessaire une quelconque connaissance en économie politique, ni aucune boule de cristal, pour arriver à prévoir la suite.
Bien sur que le les trois sujets sont intimement liés, puisque par la destruction d’emplois en France, l’équilibre indispensable entre nombre de travailleurs " cotisant " et nombre de retraités " bénéficiaires " est volontairement rompu. Après que les entreprises sont privatisés, et qu’elles auraient passé entre plusieurs mains, (des holding) des sociétés de portefeuille par la plus part avec maison mère aux îles Caiman, île de Jersey et similaires. Pour parler plus simple nos entreprises ne le sont plus, une logue liste de fermetures, de délocalisations, de fermetures, sont là dans l’histoire des licenciements des dix derniers années, pour supporter sans AUCUNE DIFFICULTÉ, mon argumentation.
Les patrons se serrent les coudes par cupidité
Alors que la classe ouvrière part en ordre dispersée, les patrons eux se serrent les coudes, même s’il défendent des intérêts totalement opposés ; puisque l’industrie de la finance, récupère la coquette somme de plus de 90 % du fruit du travail en étant composé de moins de 4 % de la population mondiale.
Les entreprises des production TANGIBLE, RÉELLE, VÉRITABLE de valeur ajouté, préfèrent continuer à défendre le système pourrit, malsain, injuste, aucun patron que je sache questionne le moins du monde le système. Alors que ce système rend instable, incertaine une vision à moyen et long terme de l’économie. Parce que l’industrie de la spéculation, avide de dividendes, émulations et autres primes, qui conforment le plus gros de revenu des traders, des banquiers, etc. transforme la terre dans un immense casino.
Quiconque tenterait d’éviter d’aborder des sujets du genre évasion fiscale, paradis fiscaux, le rôle de la privatisation dans la paupérisation des nations, en tant que syndicale, je suis ouvert à toute mise en cause des acquis sociaux, à condition de mise à plat de la fiscalité, et de la création d’un corps spécialisé, pour nettoyer le CGI, de toute incitation à ceux que pour beaucoup est dé-nominé " optimisation fiscale ".
Les entreprises sans visibilité à moyen et long terme, sans pouvoir savoir quel est le chiffre d’affaires à trois ou quatre mois, comment le montrent nombreux études, paupérisa l’emploi. C’est ainsi que le travaille temporaire, connaît en moins de dix ans, une progression phénoménale. En parallèle nous voyons évoluer les CDD. Et d’ailleurs la notion de CDI, à été discrètement modifié du Code du Travail ; en tout cas un CDI ne présente pas la même signification d’il y a 20 ans, car le licenciements économique est subjacent dans l’esprit des travailleurs, à tout moment l’employeur qui décide à Londres, New York ou Tokyo risque d’adopter le projet de fermeture d’un cite en France.
Les leaders syndicaux, au-delà des constats, ne proposent rien, en absolu, chose très curieuse, car Jean JAURÈS à sont époque " lui " proposé des solutions, pire encore nous avons des leaders syndicaux qui osent présenter des statuts dans les quels stipulent qu’il est interdit d’aborder des thèmes inhérents aux partis politiques !
Personnellement je trouve absurde l’absence d’un parti politique des travailleurs (1), l’idée que les classes ouvrières, puissent avoir pour choix, par exemple le vote pour un parti politique de droite ! Car ce que monsieur Jean JAURÈS à exprime à sont époque sur les classes sociales reste plus que jamais d’actualité. C’est justement parce que l’ouvrier à perdu de vue sa position au sein de la société, c’est parce que l’ouvrier à été formaté voir rendu " écervelé " qu’il peu de nous jours valider par le vote, des parfaits incapables pour gouverner un pays. Pour être concis, je ne suis pas étonné de l’absence d’un parti politique des travailleurs, puisque les travailleurs s’identifient venu l’heure du suffrage avec les patrons, plus grave encore ceux accrédités pour défendre leurs intérêts, osent laisser la porte ouverte à l’erreur. En affirmant qu’il sont neutres. Alors comment s’étonner qu’il y ait des ouvriers et chômeurs qui votent extrême droite ?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone (ouvrier, immigré, illettré avec carte syndicale et du PS)
Joigny jeudi 1 mai 2014
(1) http://toulouse-philo.forumpro.fr/t165-bipartisme#468
Gramophone- membre
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Discernement sur l'économie politique
Une pitrerie
Discernement sur l'économie politique
J'aime m'exprimer sans doute un peu trop aux yeux des lecteurs.
Cela-étant je reste toujours ouvert à l'échange tant que nous restions dans le sujet.
Plusieurs personnalités au sein des cercles politiques, journalistiques et financiers rabâchent sans cesse des mesures en faveur de la croissance.
Soit, bien que plusieurs méthodes s'offrent à nous (les béotiens, les quidams, les illettrés) je vais aborder une parmi d'autres pour mesure le PIB
Déjà le PIB traduit, je le découvre (lol) produit intérieur brut ; allez voyons la page 462 du livre ISBN 978-2-8041-5202-4 intitulé "principes d'économie moderne" 3ème édition (2009) traduction de la 4ème édition américaine par Françoise Nougués :
Le PIB correspond à la valeur monétaire du total des biens et services produits pour la consommation finale à l'intérieur des frontières d'un pays au cours d'une période de temps (généralement un an)
Une des méthodes, qui me convienne très bien pour définir le PIB est la formule :
PIB = Consommation + Investissement + acquisitions publiques + Exportations – Importations.
Avouons que la croissance d'une certaine manière doit déteindre sur le comportement du PIB !
Si non ceux qui prennent comment thermomètre pour mesurer la croissance seraient des abrutis !
Étant un passionné de la praxis, voir du pragmatisme regardons de très près cette formule.
1° Acquisitions publiques
Puisque à la date 2 mai 2014 nous entendons dans les médias parler beaucoup de ALSTON, et puisque ALSTON en quelques sortes comment l'était ARCELOR travailleraient dans des domaines si non pas stratégiques, au moins clés de l'économie. Alors je me dit (toujours au sujet de notre formule du PIB, sous le titre "acquisitions publiques", que l'état doit sans doute appliquer des normes voir s'adapter à des contraintes venus de la CEE ? Chose que jamais aura fait le Royaume Unit CURIEUSEMENT, oui ils ont intégré l'Europe sous la dame de fer, pour y toucher des subventions, et surtout sans intégrer la zone monétaire ! (je m'éloigne du sujet ? Pas vraiment !
DIRECTIVE 2004/25/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
du 21 avril 2004
concernant les offres publiques d’acquisition
(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE) en plus ils osent marquer cela, de qui s'en fou-on ?
Oui pour raccourcir je vous dire que c'est le texte qui doit être respecté dans une négociation du genre ALSTON et Général Electric ou un autre. Devinez ? Le mot "veto" ne figure même pas dans le dit document, Si c'est un document pour obliger les état à privatiser, normal que ce genre de mots soit soigneusement exclu !
2° Prenons l'opération isolé : Exportations – Importations.
De toute évidence depuis presque vingt ans, les néo-libéraux ne jurent que par le passage à la société de l'industrie tertiaire, plus favorable voir viable pour vendre la notion de nation dédiée à l'industrie financière.
S'ensuit la logique de la désertification SOIGNEUSEMENT PROGRAMMÉE de la production industrielle.
Ensuite des guignols sous étiquettes, de touts les courants politique confondus, oseraient même parler d'action, des organisations, des ministères pour l'emploi ? Il y a même ceux qui arrivaient à pondre des ministères du "redressement productif" il faut trouver des écervelés parmi nous les quidams, les béotiens, les pauvres, (présents à l'heure du suffrage à raison de 72 voir 75 % des suffragants, et nous sommes en démocratie)
J'ai déjà présenté ici et la des chiffres, des sources et même des graphiques sur la place du travail en tant que transformation de matières, pourvoyeur sociale de revenu, mais aussi d'entrées clés au budget de l'état (48 % de recettes de l'état en TVA, 24% d'impôt sur le revenu, moins de 5 % des recettes issues des assurances et de l'industrie financière, ne parlons pas des sources d'emploi de la branche fiances) voir le sujet "l’économie en image, édite par votre serviteur"
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Toujours dans le sujet !
Oui donc voici que le pays se trouve à importer plus qu'il exporte, d'où le déficit dans la balance commerciale. D'où une faiblesse dans cette formule du PIB, d'où un croissance désastreuse bien sur proche de zéro. Quand nous avons la chance de pas être en négatif.
3° Investissements
Le gouvernement précédent aurait augmenté la dette de la France de presque 700 Milliards d'euros, par un procès où la loi TEPA, les niches fiscales, protégeaient solidement les bourgeois, (titre donnée par Jean Jaurès, à une partie spécifique des gens, de sont point de vue des classes sociales), la dette aura ainsi passé de 1000 milliards à près de 1650 milliards, pour donner une idée la mesure d’exonération des heures supplémentaires une des "trop rares niches en faveur des travailleurs" coûtait environs 12 milliards par an, distribuée en moins de 4 milliards pour la poche des travailleurs "exonérés" et le reste, 8 milliards en exonérations patronales.
Le gouvernement actuel, semble négliger l'enseignement et surtout le coût d'une telle politique favorable ou bénéfique avant tout aux dividendes. Je me suis permis avant d'élaborer cette rédaction d'évaluer l'évolution du pouvoir d'achat dans les derniers années. Pour éviter d'avoir l'air "c..." déconnecté de la réalité. Les études réalisés dans le domaine du revenu, du pouvoir d'achat, de l'emploi, donnent une tendance. Difficile d'inverser pendant le temps d'un mandat présidentiel, pour des raisons évidentes, d'ailleurs les politiques d’austérité, n'auraient jamais donnait des résultats favorables au développement de dite "croissance" :
https://actualite.forumpro.fr/t60p105-economie-politique-et-subvention#1509
4° Consommation
La consommation, reste ici un sujet presque accessoire, voir invisible pour les néo-libéraux, aveugles puisque déconnectés de la réalité de la rue, pourtant, mainte fois j'ai souligné, non pas une découverte, mais l'importance de la consommation, pour l'évaluation de l'économie d'un pays. C'est pour quoi dans mes analyses j'insiste sur la TVA, sur sont volume dans les recettes, c'est parce que le pays le plus moderne en mensonge et le plus abusif au monde, donne à travers ses chiffres sur la consommation des ménages et le taux de des-emploi, la base pour l’ajustement mensuel de l'économie.
Toujours dans le sujet !
Les mesures d'austérité, de restriction "violente" du pouvoir d'achat, vont d'abord toucher les recettes de l'état qui sur la TVA occupent presque la moitié du budget, en suite un quart ¼ représenté en "impôt sur le revenu" est touché par effet mécanique, logique, évident, (suppression d'emploi, fruit de la contraction du pouvoir d'achat, qui pousse les ménages à restreindra leur consommation, qui se verra sur la réduction des commandes, qu'obligera les employeurs, a réduire le personnel, déjà dans beaucoup d'études, connu comment des CDD à plus de 80 % des embouches, et le personnel en contrat précaire ou intérimaire. L'austérité, nous l'enseigne l'histoire est le chemin le plus court vers la récession économique.
N'oublions pas la formule, pour ceux d'entre nous comment moi, c'est à dire des ignorant en économie.
PIB = Consommation + Investissement + acquisitions publiques + Exportations – Importations.
Il est si simple de critiquer, mais sans jamais donner des alternative
L'alternative reste difficile, parce que depuis les accords de Bretton Woods du 22 juillet 1944, et même avant dans la volonté de certains d'évader la fiscalité (voir le film "La city ou les finances en eux troubles" ou encore le film "LET'S MAKE MONEY"; une longue liste de mesures auraient rendu les nations frêles, impuissantes vis à vis des sangsues de la finance, du genre GOLMAND SACHS!
Qui aura mise en place un tel bordel sous la forme de normes? Pas les classes populaires bien entendu, mais alors pour quoi c'est aux classes populaires de payer?
Par Ego autem semper
le 2 mai 2014
Discernement sur l'économie politique
J'aime m'exprimer sans doute un peu trop aux yeux des lecteurs.
Cela-étant je reste toujours ouvert à l'échange tant que nous restions dans le sujet.
Plusieurs personnalités au sein des cercles politiques, journalistiques et financiers rabâchent sans cesse des mesures en faveur de la croissance.
Soit, bien que plusieurs méthodes s'offrent à nous (les béotiens, les quidams, les illettrés) je vais aborder une parmi d'autres pour mesure le PIB
Déjà le PIB traduit, je le découvre (lol) produit intérieur brut ; allez voyons la page 462 du livre ISBN 978-2-8041-5202-4 intitulé "principes d'économie moderne" 3ème édition (2009) traduction de la 4ème édition américaine par Françoise Nougués :
Le PIB correspond à la valeur monétaire du total des biens et services produits pour la consommation finale à l'intérieur des frontières d'un pays au cours d'une période de temps (généralement un an)
Une des méthodes, qui me convienne très bien pour définir le PIB est la formule :
PIB = Consommation + Investissement + acquisitions publiques + Exportations – Importations.
Avouons que la croissance d'une certaine manière doit déteindre sur le comportement du PIB !
Si non ceux qui prennent comment thermomètre pour mesurer la croissance seraient des abrutis !
Étant un passionné de la praxis, voir du pragmatisme regardons de très près cette formule.
1° Acquisitions publiques
Puisque à la date 2 mai 2014 nous entendons dans les médias parler beaucoup de ALSTON, et puisque ALSTON en quelques sortes comment l'était ARCELOR travailleraient dans des domaines si non pas stratégiques, au moins clés de l'économie. Alors je me dit (toujours au sujet de notre formule du PIB, sous le titre "acquisitions publiques", que l'état doit sans doute appliquer des normes voir s'adapter à des contraintes venus de la CEE ? Chose que jamais aura fait le Royaume Unit CURIEUSEMENT, oui ils ont intégré l'Europe sous la dame de fer, pour y toucher des subventions, et surtout sans intégrer la zone monétaire ! (je m'éloigne du sujet ? Pas vraiment !
DIRECTIVE 2004/25/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL
du 21 avril 2004
concernant les offres publiques d’acquisition
(Texte présentant de l’intérêt pour l’EEE) en plus ils osent marquer cela, de qui s'en fou-on ?
Oui pour raccourcir je vous dire que c'est le texte qui doit être respecté dans une négociation du genre ALSTON et Général Electric ou un autre. Devinez ? Le mot "veto" ne figure même pas dans le dit document, Si c'est un document pour obliger les état à privatiser, normal que ce genre de mots soit soigneusement exclu !
2° Prenons l'opération isolé : Exportations – Importations.
De toute évidence depuis presque vingt ans, les néo-libéraux ne jurent que par le passage à la société de l'industrie tertiaire, plus favorable voir viable pour vendre la notion de nation dédiée à l'industrie financière.
S'ensuit la logique de la désertification SOIGNEUSEMENT PROGRAMMÉE de la production industrielle.
Ensuite des guignols sous étiquettes, de touts les courants politique confondus, oseraient même parler d'action, des organisations, des ministères pour l'emploi ? Il y a même ceux qui arrivaient à pondre des ministères du "redressement productif" il faut trouver des écervelés parmi nous les quidams, les béotiens, les pauvres, (présents à l'heure du suffrage à raison de 72 voir 75 % des suffragants, et nous sommes en démocratie)
J'ai déjà présenté ici et la des chiffres, des sources et même des graphiques sur la place du travail en tant que transformation de matières, pourvoyeur sociale de revenu, mais aussi d'entrées clés au budget de l'état (48 % de recettes de l'état en TVA, 24% d'impôt sur le revenu, moins de 5 % des recettes issues des assurances et de l'industrie financière, ne parlons pas des sources d'emploi de la branche fiances) voir le sujet "l’économie en image, édite par votre serviteur"
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Toujours dans le sujet !
Oui donc voici que le pays se trouve à importer plus qu'il exporte, d'où le déficit dans la balance commerciale. D'où une faiblesse dans cette formule du PIB, d'où un croissance désastreuse bien sur proche de zéro. Quand nous avons la chance de pas être en négatif.
3° Investissements
Le gouvernement précédent aurait augmenté la dette de la France de presque 700 Milliards d'euros, par un procès où la loi TEPA, les niches fiscales, protégeaient solidement les bourgeois, (titre donnée par Jean Jaurès, à une partie spécifique des gens, de sont point de vue des classes sociales), la dette aura ainsi passé de 1000 milliards à près de 1650 milliards, pour donner une idée la mesure d’exonération des heures supplémentaires une des "trop rares niches en faveur des travailleurs" coûtait environs 12 milliards par an, distribuée en moins de 4 milliards pour la poche des travailleurs "exonérés" et le reste, 8 milliards en exonérations patronales.
Le gouvernement actuel, semble négliger l'enseignement et surtout le coût d'une telle politique favorable ou bénéfique avant tout aux dividendes. Je me suis permis avant d'élaborer cette rédaction d'évaluer l'évolution du pouvoir d'achat dans les derniers années. Pour éviter d'avoir l'air "c..." déconnecté de la réalité. Les études réalisés dans le domaine du revenu, du pouvoir d'achat, de l'emploi, donnent une tendance. Difficile d'inverser pendant le temps d'un mandat présidentiel, pour des raisons évidentes, d'ailleurs les politiques d’austérité, n'auraient jamais donnait des résultats favorables au développement de dite "croissance" :
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4° Consommation
La consommation, reste ici un sujet presque accessoire, voir invisible pour les néo-libéraux, aveugles puisque déconnectés de la réalité de la rue, pourtant, mainte fois j'ai souligné, non pas une découverte, mais l'importance de la consommation, pour l'évaluation de l'économie d'un pays. C'est pour quoi dans mes analyses j'insiste sur la TVA, sur sont volume dans les recettes, c'est parce que le pays le plus moderne en mensonge et le plus abusif au monde, donne à travers ses chiffres sur la consommation des ménages et le taux de des-emploi, la base pour l’ajustement mensuel de l'économie.
Toujours dans le sujet !
Les mesures d'austérité, de restriction "violente" du pouvoir d'achat, vont d'abord toucher les recettes de l'état qui sur la TVA occupent presque la moitié du budget, en suite un quart ¼ représenté en "impôt sur le revenu" est touché par effet mécanique, logique, évident, (suppression d'emploi, fruit de la contraction du pouvoir d'achat, qui pousse les ménages à restreindra leur consommation, qui se verra sur la réduction des commandes, qu'obligera les employeurs, a réduire le personnel, déjà dans beaucoup d'études, connu comment des CDD à plus de 80 % des embouches, et le personnel en contrat précaire ou intérimaire. L'austérité, nous l'enseigne l'histoire est le chemin le plus court vers la récession économique.
N'oublions pas la formule, pour ceux d'entre nous comment moi, c'est à dire des ignorant en économie.
PIB = Consommation + Investissement + acquisitions publiques + Exportations – Importations.
Il est si simple de critiquer, mais sans jamais donner des alternative
L'alternative reste difficile, parce que depuis les accords de Bretton Woods du 22 juillet 1944, et même avant dans la volonté de certains d'évader la fiscalité (voir le film "La city ou les finances en eux troubles" ou encore le film "LET'S MAKE MONEY"; une longue liste de mesures auraient rendu les nations frêles, impuissantes vis à vis des sangsues de la finance, du genre GOLMAND SACHS!
Qui aura mise en place un tel bordel sous la forme de normes? Pas les classes populaires bien entendu, mais alors pour quoi c'est aux classes populaires de payer?
Par Ego autem semper
le 2 mai 2014
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
à l'attention des hommes politiques
SIGNAL D'ALARME
C’est avec solennité, respect et humbles intentions, qu’en tant que simple citoyen lambda, tout en mesurant hypothétique portée de mes propos, je tente de sonner l’alarme, au près de ceux et celles qu’en mon nom et en nom des millions de suffragants arrivaient à siéger dans les instances politiques, économiques, de manière légitime.
Il me semble important rappeler que les erreurs s’accumulent en matière de gestion des affaires publiques. L’accumulation de ces erreurs déborde au point que le béotien, le quidam, montre déjà par l’abstention, le debout d’une position, qui mériterait la plus haute attention de la part de ceux et celles qui se sentent jusqu’alors occuper des postes légitimes, au sens large de la démocratie représentative.
Une sonnette d’alarme
Oui depuis 1992 tout en étant citoyen lambda, de surcroît immigré, illettré, sans doute que par des textes illisibles, jonchés d’incohérences, linguistiques, je tente d’attirer l’attention de la bienséance sur la nécessité d’améliorer les conditions de vie des classes populaires. Sans quoi, ce que jusqu’ici est tout juste de l’abstention, se transforme en quelque chose de plus mauvais, car le chaos, est la conséquence logique des dérives politiques. Certains faits tristes de l’histoire de l’humanité, faits trop graves ; restent pourtant des mesures, comment des thermomètres, qui mesurent l’étendu des dégâts.
Sans aucune intention de faire de l’apologie, Les faits du 11 mars 2004 de la gare d’ATOCHE à Madrid, les faits au World Trade Center le 11 septembre 2001, sont des fait très graves dans l’histoire de l’humanité, mais comment les génocides, les guerres, derrière lesquels nous devons avouer la présence d’une réaction ou conséquence. Tout commence par l’insatisfaction, par anticonformisme, par la désapprobation et pour quoi pas par l’abstention de suffragants ?
Comment est-t-il possible qu’en une journée puisse circulaire à la city à Londres l’équivalent de quatre fois le PIB d’une année d’une grande nation ?
Comment est-t-il possible que des documents, comment " Lest’s make money ", " La city ou les finances en eux troubles " puisent montrer plus que des scènes de science fiction, des faits réels, sur le comportement de moins de 3 % des gens qui réussissent à récupérer plus de 90 % du fruit du travail ?
https://actualite.forumpro.fr/t60p105-economie-politique-et-subvention#1509
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Cerete Cordoba Colombia samedi 3 mai 2014
C’est avec solennité, respect et humbles intentions, qu’en tant que simple citoyen lambda, tout en mesurant hypothétique portée de mes propos, je tente de sonner l’alarme, au près de ceux et celles qu’en mon nom et en nom des millions de suffragants arrivaient à siéger dans les instances politiques, économiques, de manière légitime.
Il me semble important rappeler que les erreurs s’accumulent en matière de gestion des affaires publiques. L’accumulation de ces erreurs déborde au point que le béotien, le quidam, montre déjà par l’abstention, le debout d’une position, qui mériterait la plus haute attention de la part de ceux et celles qui se sentent jusqu’alors occuper des postes légitimes, au sens large de la démocratie représentative.
Une sonnette d’alarme
Oui depuis 1992 tout en étant citoyen lambda, de surcroît immigré, illettré, sans doute que par des textes illisibles, jonchés d’incohérences, linguistiques, je tente d’attirer l’attention de la bienséance sur la nécessité d’améliorer les conditions de vie des classes populaires. Sans quoi, ce que jusqu’ici est tout juste de l’abstention, se transforme en quelque chose de plus mauvais, car le chaos, est la conséquence logique des dérives politiques. Certains faits tristes de l’histoire de l’humanité, faits trop graves ; restent pourtant des mesures, comment des thermomètres, qui mesurent l’étendu des dégâts.
Sans aucune intention de faire de l’apologie, Les faits du 11 mars 2004 de la gare d’ATOCHE à Madrid, les faits au World Trade Center le 11 septembre 2001, sont des fait très graves dans l’histoire de l’humanité, mais comment les génocides, les guerres, derrière lesquels nous devons avouer la présence d’une réaction ou conséquence. Tout commence par l’insatisfaction, par anticonformisme, par la désapprobation et pour quoi pas par l’abstention de suffragants ?
Comment est-t-il possible qu’en une journée puisse circulaire à la city à Londres l’équivalent de quatre fois le PIB d’une année d’une grande nation ?
Comment est-t-il possible que des documents, comment " Lest’s make money ", " La city ou les finances en eux troubles " puisent montrer plus que des scènes de science fiction, des faits réels, sur le comportement de moins de 3 % des gens qui réussissent à récupérer plus de 90 % du fruit du travail ?
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Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Cerete Cordoba Colombia samedi 3 mai 2014
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un autre système est possible?
Géopolitique
Les activités commerciales à la taille du monde sont un outil.
Le pouvoir politique a était volontairement démolit avec l’outil en question.
Pendant des années, j’observai certains faits, très concrets, en relation étroite avec l’évolution des peuples. Certaines personnalités influentes réussissent à mentir par omission. Le mensonge en question reste strictement en lien direct avec le contrôle globalisé des échanges commerciaux.
Le lecteur remarquera sans peine l’absence volontaire d’un mot clé, mot qui fait allusion à une sorte de science avec pour objet à la base d’administrer les revenus et dépenses, avec le but de maintenir l’équilibre d’un budget.
L’évolution de la science en question, vu sous l’angle des idées de Darwin et Smith, ( lire l’influence du travail sur l’évolution et la spécialisation) a pour résultat une sorte de pratique typique du caméléon, car la science en question a était accoutrée en cupidité, avarice, boursicotage, argutie permettant à moins de 3 % des gens sur la terre de subtiliser plus de 90 % du fruit du travail.
Les idées détaillées par Darwin mais aussi par Smith en 1776 sous l’œuvre intitulé "Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations " sont à la base d’un procès de thésaurisation que depuis n’arrête d’évoluer.
Certains obstacles, certainement "maladroite ", auraient surgit ici et là, face à un procès en évolution constante, hélas toute idéologie opposé au procès, jusqu’aujourd’hui a échoué.
La raison principale de cet échec, prends ses racines, dans le lobby très puissant qui détruit à la base tout germe d’un quelconque bloc idéologique en opposition.
Un des obstacles majeurs à l’hégémonie brutale du système, aurait été l’idéologie marxiste, mise en pratique dans la URSS et qui termine avec le 16 novembre 1989, date de la chute symbolique du mur de Berlin.
La balance ou l’équilibre
L’impartialité est un fondement inébranlable de toute action ou jugement. Il faut une dose importante de honnêteté intellectuelle pour admettre déjà l’idée d’aller analyser l’opinion contraire.
De toute évidence, les bourgeois tel que définit par Jean Jaurès ; jouit de la plus complaisante connivence de la part des ceux que le suffrage élève au rang de représentants des peuples.
Cette complicité, saupoudrée de lobby commence par l’abolition de toute trace ou tentative de développer dans les enfants aux écoles, collèges et lycée, l’art de discerner. C’est ainsi qu’un adolescent ou adolescente en France, arrive à prendre pour bannière de sa page FACEBOOK, ou porter une impression sur le " tee-shirt " par exemple un cliché sur le drapeau du Royaume Unit, des USA, ou d’une marque mondiale de chaussures, ou de boisons, sans expérimenter le moins du monde une gène quelconque. Si la colonisation intellectuelle est profonde!
Comment arriver à chercher dans un cadre si pathétique, à parler de besoin d’équilibre !
Dès la plus tendre âge, les enfants sont attaqués au subliminal pour les rendre prédisposés, à se tenir à distance de la notion de discernement. Derrière une fausse liberté d’opinion, l’individu est conditionné à se méfier des notions d’équilibre idéologique. Les horreurs, de l’époque STALING le goulag sont des sujets mise en avant, pour stigmatiser la manipulation absurde, inadmissible d’une idéologie.
La balance ou équilibre doit se faire non pas par rapport aux mauvais exemples, et moins encore avec une omission volontaire, des défauts d’un système si imparfait, qui est communiste chaque fois que les banques par cupidité ont besoin d’argent, et devienne capitaliste lorsque les banques doivent partager les bénéfices. Un système qui réussi merveilleusement à occulter plus de 35 millions de mort chaque année, dans ce que certains admettent être déjà la " troisième guerre mondiale ". Une guerre sournoise, ou l’arme est plus létale que celle utilisé le 6 août 1945 à Hiroshima, cette arme est l’argent.
En Bolivie, au Brésil, en Équateur, des régimes sociales plus équilibrés, semblent montrer qu'il est possible une autre manière de gouverner.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
samedi 3 mai 2014
Les activités commerciales à la taille du monde sont un outil.
Le pouvoir politique a était volontairement démolit avec l’outil en question.
Pendant des années, j’observai certains faits, très concrets, en relation étroite avec l’évolution des peuples. Certaines personnalités influentes réussissent à mentir par omission. Le mensonge en question reste strictement en lien direct avec le contrôle globalisé des échanges commerciaux.
Le lecteur remarquera sans peine l’absence volontaire d’un mot clé, mot qui fait allusion à une sorte de science avec pour objet à la base d’administrer les revenus et dépenses, avec le but de maintenir l’équilibre d’un budget.
L’évolution de la science en question, vu sous l’angle des idées de Darwin et Smith, ( lire l’influence du travail sur l’évolution et la spécialisation) a pour résultat une sorte de pratique typique du caméléon, car la science en question a était accoutrée en cupidité, avarice, boursicotage, argutie permettant à moins de 3 % des gens sur la terre de subtiliser plus de 90 % du fruit du travail.
Les idées détaillées par Darwin mais aussi par Smith en 1776 sous l’œuvre intitulé "Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations " sont à la base d’un procès de thésaurisation que depuis n’arrête d’évoluer.
Certains obstacles, certainement "maladroite ", auraient surgit ici et là, face à un procès en évolution constante, hélas toute idéologie opposé au procès, jusqu’aujourd’hui a échoué.
La raison principale de cet échec, prends ses racines, dans le lobby très puissant qui détruit à la base tout germe d’un quelconque bloc idéologique en opposition.
Un des obstacles majeurs à l’hégémonie brutale du système, aurait été l’idéologie marxiste, mise en pratique dans la URSS et qui termine avec le 16 novembre 1989, date de la chute symbolique du mur de Berlin.
La balance ou l’équilibre
L’impartialité est un fondement inébranlable de toute action ou jugement. Il faut une dose importante de honnêteté intellectuelle pour admettre déjà l’idée d’aller analyser l’opinion contraire.
De toute évidence, les bourgeois tel que définit par Jean Jaurès ; jouit de la plus complaisante connivence de la part des ceux que le suffrage élève au rang de représentants des peuples.
Cette complicité, saupoudrée de lobby commence par l’abolition de toute trace ou tentative de développer dans les enfants aux écoles, collèges et lycée, l’art de discerner. C’est ainsi qu’un adolescent ou adolescente en France, arrive à prendre pour bannière de sa page FACEBOOK, ou porter une impression sur le " tee-shirt " par exemple un cliché sur le drapeau du Royaume Unit, des USA, ou d’une marque mondiale de chaussures, ou de boisons, sans expérimenter le moins du monde une gène quelconque. Si la colonisation intellectuelle est profonde!
Comment arriver à chercher dans un cadre si pathétique, à parler de besoin d’équilibre !
Dès la plus tendre âge, les enfants sont attaqués au subliminal pour les rendre prédisposés, à se tenir à distance de la notion de discernement. Derrière une fausse liberté d’opinion, l’individu est conditionné à se méfier des notions d’équilibre idéologique. Les horreurs, de l’époque STALING le goulag sont des sujets mise en avant, pour stigmatiser la manipulation absurde, inadmissible d’une idéologie.
La balance ou équilibre doit se faire non pas par rapport aux mauvais exemples, et moins encore avec une omission volontaire, des défauts d’un système si imparfait, qui est communiste chaque fois que les banques par cupidité ont besoin d’argent, et devienne capitaliste lorsque les banques doivent partager les bénéfices. Un système qui réussi merveilleusement à occulter plus de 35 millions de mort chaque année, dans ce que certains admettent être déjà la " troisième guerre mondiale ". Une guerre sournoise, ou l’arme est plus létale que celle utilisé le 6 août 1945 à Hiroshima, cette arme est l’argent.
En Bolivie, au Brésil, en Équateur, des régimes sociales plus équilibrés, semblent montrer qu'il est possible une autre manière de gouverner.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
samedi 3 mai 2014
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L'Europe donc nous parlons
L’Europe donc nous parlons, La Europa de la que hablamos
IN FRENCH AND THEN IN SPANISH
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny le 18 mai 2014
Budget : D’après les chiffres 2007 – 2013 de 1025 milliards d’euros
46 % (471,5 milliards d’€) pour l’emploi et la croissance
39,5 % (404,88, milliards d’€) pour l’agriculture
9,3 % (95,33 milliards d’€) pour la politique extérieure
2,4 % (24,6 milliards d’€) constitue des allocations pour la sécurité, la justice et les citoyens
2,8 % (28,7 milliards d’€) correspond aux frais de fonctionnement
Objectifs
1- Sociale :
D’après la constitution Européenne, donc à sont article 3 alinéa 3 il est écrit que que le but est une économie équilibrée et sociale, un peu plus bas est écrit que la CEE combat l’exclusion sociale et la discrimination, autant quel favorise la protection sociale, l’égalité et la solidarité entre les générations, etc., etc. (les gouvernements nationaux affirment que la politique CEE est favorable au rallongement de la durée de cotisations pour la retraite néanmoins la CEE ne semble en tout cas se prononcer de tout contre la tendance à rallonger la durée de cotissations)
2- Finances :
L’union monétaire semble très bien ficelée, à l’exception très curieuse du Royaume Unit seul pays qui se dit membre de la CEE sans avoir adopte la monnaie, à tel point que dans l’article 29 de la constitution de la CEE, au numérale 4 une partie à été même aménagé en sa faveur, lui permettant absolue indépendance monétaire.
Contradiction majeure : Au chapitre II sur la politique économique et monétaire (article III-69) à peine déguisé par un mot (parallèlement) la constitution parle de monnaie unique, dans le but ultime de garantir la stabilité des prix.
Entre 1992 et 2002 (année d’entrée de la France en zone Euro) le prix de la baguette augmente de 3,53F à 4,32F de l’ordre de 18 % alors que de 2002 à 2012 l’augmentation est de l’ordre de 20,70 %
3- Résultats : (veuillez faire un clic sur l'image pour la voir entière merci)
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Alors que 85,5 % du budget de la communauté européenne semble destiné à l’emploi, la croissance et l’agriculture, avec un regard impartial mais critique, je me permets d’apporter un graphique issue des chiffres EUROSTAT (voir chiffres dans le lien déposé au graphique) pour des raisons évidentes démographiques et de lisibilité, je me suis permis le choix de quelques pays à côté du volume global pour les 27 nations ;
Dans toutes les circonstances, c’est l’Allemagne qui semble s’en sortir avec une santé financière insolente sans égale vis à vis du reste de la zone euro. Ce n’est évidemment pas un phénomène en liaison avec la taille démographique ou géographique des nations, puisque la Suède et la Norvège présentent des chiffres positives.
Pour les pourfendeurs de la protection sociale acolytes du néo-libéralisme, justement le Royaume Unit se trouve deux fois pire que la France. Avec une mention particulière pour le Luxembourg (paradis fiscale) avec a peine un demi million d’habitants, réussi à maintenir une économie aux valeur positifs.
IN SPANISH
La Europa de la que hablamos
Presupuesto según las cifras 2007 a 2013 de un total de 1025 millares de Euros
46% (471.5 millares €) por el empleo y el desarrollo económico
39.5% (403.88 millares €) por la agricultura
9.3% (95.33 millares €) por la política exterior
2.4% (24.6 millares €) constituye auxilios para la seguridad, la justicia y la ciudadana
2.8% (28.7 millares €) correspondiente a los gastos de funcionamiento)
OBJETIVOS
1- Social
Según figura en la constitución Europea, concretamente en el articulo 3 linea 3 esta escrito que el objetivo es una economía en equilibrio y social, más abajo figura escrito que la CEE combate la exclusión y la discriminación, al igual que es favorable por el bienestar familiar, la igualdad y la solidaridad entre las generaciones, etc., etc. (los gobiernos nacionales afirman que la política europea se inclina al incremento de la edad por adquirir derecho a la pensión o jubilación, en todo caso la CEE no se destaca en ningún momento por sus criticas de la tendencia de los países de la zona a aumentar la edad de derecho a la jubilación)
2 – Finanzas
La unión monetaria parece bien definida, a la excepción de Inglaterra, solo país que se considera miembro de la CEE sin adoptar la moneda única, a tal punto que el articulo 29 de la constitución en su numeral 4 contempla un texto hecho a la medida para los ingleses. Así este país dispone de toda la independencia monetaria y la libertad para mantener relaciones sombrías con los paraísos fiscales,
Contradicción mayor: en el capitulo II en cuanto a la política económica y monetaria (articulo III-69) apenas disfrazado por una palabra (paralelamente) la constitución habla de moneda única con el objetivo ultimo de garantizar la estabilidad de precios:
Entre 1992 y 2002 (año en que Francia incorporó la zona Euro) el precio del pan pasa de 3,53 Francos a 4.32 Francos es decir que aumenta de 18% Mientras que entre 2002 y 2012 el aumento del precio es de 20.7% además que el peso oficial pasa de 350 gramos a 250 gramos.
Resultados
Como se puede constatar 85.5% del presupuesto europeo es destinado al empleo, el desarrollo económico y la agricultura; con una mirada imparcial pero critica, me permito aportar construido sobre las cifras oficiales EUROSTAT (ver cifras en totalidad en el ligado (link) incrustado en el gráfico) por razones evidentes demográficas y de visibilidad, me he permitido escoger algunos países dentro de la lista de las 27 naciones.
En todas las circunstancias, vemos que Alemania logra destacarse con una salud financiera insolente, sin igual frente al resto de países de la zona euro. No es de toda evidencia un fenómeno ligado con la talla demográfica o geográfica, puesto que la Suecia y la Noruega presentan cifras positivas.
Frente a la legión de enemigos de la protección social (cajas de compensación familiar) acólitos del satánico neo-liberalismo, justamente Inglaterra vive dos veces más peor en términos de balanza comercial que Francia, (sabiendo que la protección social en ese país es soportada fundamentalmente de manera individual por los ciudadanos). Con una mención especial por LUXEMBURGO (paraíso fiscal) con menos de medio millón de habitantes y que logra mantener una economía de valores positivos.
IN FRENCH AND THEN IN SPANISH
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny le 18 mai 2014
Budget : D’après les chiffres 2007 – 2013 de 1025 milliards d’euros
46 % (471,5 milliards d’€) pour l’emploi et la croissance
39,5 % (404,88, milliards d’€) pour l’agriculture
9,3 % (95,33 milliards d’€) pour la politique extérieure
2,4 % (24,6 milliards d’€) constitue des allocations pour la sécurité, la justice et les citoyens
2,8 % (28,7 milliards d’€) correspond aux frais de fonctionnement
Objectifs
1- Sociale :
D’après la constitution Européenne, donc à sont article 3 alinéa 3 il est écrit que que le but est une économie équilibrée et sociale, un peu plus bas est écrit que la CEE combat l’exclusion sociale et la discrimination, autant quel favorise la protection sociale, l’égalité et la solidarité entre les générations, etc., etc. (les gouvernements nationaux affirment que la politique CEE est favorable au rallongement de la durée de cotisations pour la retraite néanmoins la CEE ne semble en tout cas se prononcer de tout contre la tendance à rallonger la durée de cotissations)
2- Finances :
L’union monétaire semble très bien ficelée, à l’exception très curieuse du Royaume Unit seul pays qui se dit membre de la CEE sans avoir adopte la monnaie, à tel point que dans l’article 29 de la constitution de la CEE, au numérale 4 une partie à été même aménagé en sa faveur, lui permettant absolue indépendance monétaire.
Contradiction majeure : Au chapitre II sur la politique économique et monétaire (article III-69) à peine déguisé par un mot (parallèlement) la constitution parle de monnaie unique, dans le but ultime de garantir la stabilité des prix.
Entre 1992 et 2002 (année d’entrée de la France en zone Euro) le prix de la baguette augmente de 3,53F à 4,32F de l’ordre de 18 % alors que de 2002 à 2012 l’augmentation est de l’ordre de 20,70 %
3- Résultats : (veuillez faire un clic sur l'image pour la voir entière merci)
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Alors que 85,5 % du budget de la communauté européenne semble destiné à l’emploi, la croissance et l’agriculture, avec un regard impartial mais critique, je me permets d’apporter un graphique issue des chiffres EUROSTAT (voir chiffres dans le lien déposé au graphique) pour des raisons évidentes démographiques et de lisibilité, je me suis permis le choix de quelques pays à côté du volume global pour les 27 nations ;
Dans toutes les circonstances, c’est l’Allemagne qui semble s’en sortir avec une santé financière insolente sans égale vis à vis du reste de la zone euro. Ce n’est évidemment pas un phénomène en liaison avec la taille démographique ou géographique des nations, puisque la Suède et la Norvège présentent des chiffres positives.
Pour les pourfendeurs de la protection sociale acolytes du néo-libéralisme, justement le Royaume Unit se trouve deux fois pire que la France. Avec une mention particulière pour le Luxembourg (paradis fiscale) avec a peine un demi million d’habitants, réussi à maintenir une économie aux valeur positifs.
IN SPANISH
La Europa de la que hablamos
Presupuesto según las cifras 2007 a 2013 de un total de 1025 millares de Euros
46% (471.5 millares €) por el empleo y el desarrollo económico
39.5% (403.88 millares €) por la agricultura
9.3% (95.33 millares €) por la política exterior
2.4% (24.6 millares €) constituye auxilios para la seguridad, la justicia y la ciudadana
2.8% (28.7 millares €) correspondiente a los gastos de funcionamiento)
OBJETIVOS
1- Social
Según figura en la constitución Europea, concretamente en el articulo 3 linea 3 esta escrito que el objetivo es una economía en equilibrio y social, más abajo figura escrito que la CEE combate la exclusión y la discriminación, al igual que es favorable por el bienestar familiar, la igualdad y la solidaridad entre las generaciones, etc., etc. (los gobiernos nacionales afirman que la política europea se inclina al incremento de la edad por adquirir derecho a la pensión o jubilación, en todo caso la CEE no se destaca en ningún momento por sus criticas de la tendencia de los países de la zona a aumentar la edad de derecho a la jubilación)
2 – Finanzas
La unión monetaria parece bien definida, a la excepción de Inglaterra, solo país que se considera miembro de la CEE sin adoptar la moneda única, a tal punto que el articulo 29 de la constitución en su numeral 4 contempla un texto hecho a la medida para los ingleses. Así este país dispone de toda la independencia monetaria y la libertad para mantener relaciones sombrías con los paraísos fiscales,
Contradicción mayor: en el capitulo II en cuanto a la política económica y monetaria (articulo III-69) apenas disfrazado por una palabra (paralelamente) la constitución habla de moneda única con el objetivo ultimo de garantizar la estabilidad de precios:
Entre 1992 y 2002 (año en que Francia incorporó la zona Euro) el precio del pan pasa de 3,53 Francos a 4.32 Francos es decir que aumenta de 18% Mientras que entre 2002 y 2012 el aumento del precio es de 20.7% además que el peso oficial pasa de 350 gramos a 250 gramos.
Resultados
Como se puede constatar 85.5% del presupuesto europeo es destinado al empleo, el desarrollo económico y la agricultura; con una mirada imparcial pero critica, me permito aportar construido sobre las cifras oficiales EUROSTAT (ver cifras en totalidad en el ligado (link) incrustado en el gráfico) por razones evidentes demográficas y de visibilidad, me he permitido escoger algunos países dentro de la lista de las 27 naciones.
En todas las circunstancias, vemos que Alemania logra destacarse con una salud financiera insolente, sin igual frente al resto de países de la zona euro. No es de toda evidencia un fenómeno ligado con la talla demográfica o geográfica, puesto que la Suecia y la Noruega presentan cifras positivas.
Frente a la legión de enemigos de la protección social (cajas de compensación familiar) acólitos del satánico neo-liberalismo, justamente Inglaterra vive dos veces más peor en términos de balanza comercial que Francia, (sabiendo que la protección social en ese país es soportada fundamentalmente de manera individual por los ciudadanos). Con una mención especial por LUXEMBURGO (paraíso fiscal) con menos de medio millón de habitantes y que logra mantener una economía de valores positivos.
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L'Europe donc nous parlons
Notes d’économie
Certaines doutes
Qui est derrière les maux de la société ?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny le lundi 18 août 2014
Depuis 1971 la monnaie papier est indexée sur la solidité de la confiance : (pédagogie) Le USA ont décidé ne plus assumer dans leur FED l’échange du dollar pour ça valeur en or.
Depuis 1944 à Bretton Woods sous l’égide des USA, se sont établi des règles imposés sur l’économie mondiale. (deux sujets que j’ai régulièrement abordé, sujets qui méritent, vraiment notre attention).
La crise de 2008, crée de toute pièce pour les USA.
La réponse des banques centrales (l’état), sous la forme de renflouement des banques (privées), a eut comment but fondamentale, d’assurer le revenu d’une infime minorité du milieu des sangsues de la finance. Par ricoché, l’augmentation artificielle de billets de banque (du papier) en circulation aurait nécessairement une réaction (en retard) du système économique mondialisé.
Voyons qui se frotte les mains avec la misère
J’aurai souligné le flux monétaire " artificiel " maintenu par la FED aux USA à raison de 80 milliards par moi, il y encore même pas un an ? La BCE, aura reçu l’injonction de GOLMAN SACH, de couvrir la fraude grecque, fraude soigneusement préparée par cette banque ou le PDG touche non moins de 60 millions de dollars par an, salaire équivalent de Ben Bernanke, vu la ségrégation sur le salaire je ne sais pas combien gagne madame Janet Yellen ; la moitie de Mario Dragui selons la presse spécialisée.
Voyons que pendant que les classes populaires évoluent vers la paupérisation, certains personnes, en nombre réduit, touchent des millions. Exemple la BCE semble avoir augmenté ses résultats favorables de plus de 40 % pour la période 2013 2014.
Qui est affecté avec le casino que devienne la terre entière ?
Pendant que le chômage augment ? Oui, le chômage augmente, parce c’est des gens pauvres qui ne comprennent rien à l’économie, parce si bien dans les pays comment la France, ces gens augmentent c’est aussi l’état qui reste visé, sont système de santé et sont système de sécurité sociale, sont les objectifs, puisque le plein emploi, garantisse la couverture sociale. c’est à dire un taux de chômage aux alentours de 5 %, nous sommes loin.
La place de la France ?
La France est comment une table de jeux dans ce grand casino qui est le monde pour moins de 3 % des gens sur la terre. La méconnaissance, l’indifférence, l’individualisme de 97 % du reste donc plus de 70 % des gens sur la terre comment moi ; sont les seules raisons pour les quelles se maintienne l’injustice dans le monde (sans nombrilisme) ce sont des maux facile à diagnostiquer et soigner.
Le ministre Montebourg
La loi de l’offre et la demande exigé lors d’une modification ou aide de l’état que les deux facteurs soient aidés par des mesures à valeur égale. Aider l’un des deux isolé, n’aura une incidence favorable à l’économe. 50 milliards en aide à l’offre, favorisé la thésaurisation fondamentalement. Puis les circuits secondaires de la finance. Le cycle primaire de l’économie est ainsi freiné.
Par lucidité, par honnêteté, nous les béotiens, les gueux, les ignares, nous devrions avoir un degré de lucidité digne de la réalité économique mondialisée, dans laquelle la France reste torpillée avec violence, par un système qui risque d’avoir autant de longévité comment il aura du temps de maintenir les gueux comment moi à l’écart des décessions importantes comment simples spectateurs et boulimiques consommateurs que nous sommes. Monsieur Montebourg, autant que le gouvernement, tente par touts les moyens de faire les yeux doux au système, (aide de plus de 50 milliards à un côté de l’équation " la production " mais tant que la consommation, ne soit pas aidé (crédit au logement, crédit vert, pour rénovation de l’habitat, crédit à l’achat de la voiture écologique, électrique, hybride, crédit pour développer les énergies renouvelables, crédit ou réduction d’impôt pour les plus modestes(1))
(1) Il faut favoriser des foyer au revenu fixé au maximum à (valeur à négocier) deux à quatre fois le salaire minimum légale, Pour la simple et bonne raison que le capital pourrais s’engouffrer dedans et profiter : des grandes entreprises bénéficieraient des avantages, pour se goinfrer, l’industrie (grosses entreprises de bâtiment et travaux publique, construirait et rempliraient les demandes de l’état pour récupérer le plus gros de l’aide, au but les comptes seraient faussés, avec des chiffres d’aide réelles mais favorables fondamentalement au capitale.
Si j’ai une aide fiscale pour lancer des travaux avec un revenu d’environs 4500€/mois, voir moins il doit y avoir environs 10 voir 15 millions de foyers en France dans des conditions semblables. Si l’aide n’a pas de barème ou plafond limité par le revenu, l’aide de l’état pourrai bénéficier des spécialistes de l’immobilière, lesquels si bien profiteraient, obtiendraient le maximum du volume prévu par l’état. Une société ou entreprise disposant de plusieurs million de liquidité, des juristes, prendra moins de temps à mettre en place un projet qu’un citoyen lambda, au but l’enveloppe prévu sera très vite asséché sans que ce soit les classes populaires les bénéficier.
Certaines doutes
Qui est derrière les maux de la société ?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny le lundi 18 août 2014
Depuis 1971 la monnaie papier est indexée sur la solidité de la confiance : (pédagogie) Le USA ont décidé ne plus assumer dans leur FED l’échange du dollar pour ça valeur en or.
Depuis 1944 à Bretton Woods sous l’égide des USA, se sont établi des règles imposés sur l’économie mondiale. (deux sujets que j’ai régulièrement abordé, sujets qui méritent, vraiment notre attention).
La crise de 2008, crée de toute pièce pour les USA.
La réponse des banques centrales (l’état), sous la forme de renflouement des banques (privées), a eut comment but fondamentale, d’assurer le revenu d’une infime minorité du milieu des sangsues de la finance. Par ricoché, l’augmentation artificielle de billets de banque (du papier) en circulation aurait nécessairement une réaction (en retard) du système économique mondialisé.
Voyons qui se frotte les mains avec la misère
J’aurai souligné le flux monétaire " artificiel " maintenu par la FED aux USA à raison de 80 milliards par moi, il y encore même pas un an ? La BCE, aura reçu l’injonction de GOLMAN SACH, de couvrir la fraude grecque, fraude soigneusement préparée par cette banque ou le PDG touche non moins de 60 millions de dollars par an, salaire équivalent de Ben Bernanke, vu la ségrégation sur le salaire je ne sais pas combien gagne madame Janet Yellen ; la moitie de Mario Dragui selons la presse spécialisée.
Voyons que pendant que les classes populaires évoluent vers la paupérisation, certains personnes, en nombre réduit, touchent des millions. Exemple la BCE semble avoir augmenté ses résultats favorables de plus de 40 % pour la période 2013 2014.
Qui est affecté avec le casino que devienne la terre entière ?
Pendant que le chômage augment ? Oui, le chômage augmente, parce c’est des gens pauvres qui ne comprennent rien à l’économie, parce si bien dans les pays comment la France, ces gens augmentent c’est aussi l’état qui reste visé, sont système de santé et sont système de sécurité sociale, sont les objectifs, puisque le plein emploi, garantisse la couverture sociale. c’est à dire un taux de chômage aux alentours de 5 %, nous sommes loin.
La place de la France ?
La France est comment une table de jeux dans ce grand casino qui est le monde pour moins de 3 % des gens sur la terre. La méconnaissance, l’indifférence, l’individualisme de 97 % du reste donc plus de 70 % des gens sur la terre comment moi ; sont les seules raisons pour les quelles se maintienne l’injustice dans le monde (sans nombrilisme) ce sont des maux facile à diagnostiquer et soigner.
Le ministre Montebourg
La loi de l’offre et la demande exigé lors d’une modification ou aide de l’état que les deux facteurs soient aidés par des mesures à valeur égale. Aider l’un des deux isolé, n’aura une incidence favorable à l’économe. 50 milliards en aide à l’offre, favorisé la thésaurisation fondamentalement. Puis les circuits secondaires de la finance. Le cycle primaire de l’économie est ainsi freiné.
Par lucidité, par honnêteté, nous les béotiens, les gueux, les ignares, nous devrions avoir un degré de lucidité digne de la réalité économique mondialisée, dans laquelle la France reste torpillée avec violence, par un système qui risque d’avoir autant de longévité comment il aura du temps de maintenir les gueux comment moi à l’écart des décessions importantes comment simples spectateurs et boulimiques consommateurs que nous sommes. Monsieur Montebourg, autant que le gouvernement, tente par touts les moyens de faire les yeux doux au système, (aide de plus de 50 milliards à un côté de l’équation " la production " mais tant que la consommation, ne soit pas aidé (crédit au logement, crédit vert, pour rénovation de l’habitat, crédit à l’achat de la voiture écologique, électrique, hybride, crédit pour développer les énergies renouvelables, crédit ou réduction d’impôt pour les plus modestes(1))
(1) Il faut favoriser des foyer au revenu fixé au maximum à (valeur à négocier) deux à quatre fois le salaire minimum légale, Pour la simple et bonne raison que le capital pourrais s’engouffrer dedans et profiter : des grandes entreprises bénéficieraient des avantages, pour se goinfrer, l’industrie (grosses entreprises de bâtiment et travaux publique, construirait et rempliraient les demandes de l’état pour récupérer le plus gros de l’aide, au but les comptes seraient faussés, avec des chiffres d’aide réelles mais favorables fondamentalement au capitale.
Si j’ai une aide fiscale pour lancer des travaux avec un revenu d’environs 4500€/mois, voir moins il doit y avoir environs 10 voir 15 millions de foyers en France dans des conditions semblables. Si l’aide n’a pas de barème ou plafond limité par le revenu, l’aide de l’état pourrai bénéficier des spécialistes de l’immobilière, lesquels si bien profiteraient, obtiendraient le maximum du volume prévu par l’état. Une société ou entreprise disposant de plusieurs million de liquidité, des juristes, prendra moins de temps à mettre en place un projet qu’un citoyen lambda, au but l’enveloppe prévu sera très vite asséché sans que ce soit les classes populaires les bénéficier.
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Date d'inscription : 21/02/2009
message à madame Aureli Filippetti
Remerciements aux ministres frondeurs
Mes plus sincères félicitations d'ouvrier ignare mais très attentifs à des sujets peu intéressant d'habitude pour des béotiens de mon acabit, madame Aureli Filippetti
Les frondeurs
La base de la gauche à fait confiance à une personne pour gouverner, la base semble montrer par les municipales, par les européennes, sont total désaccord avec la politique menée par le gouvernement.
Il faut beaucoup de courage aux ministres démissionnaires pour récupérer leur liberté et un univers en accords avec l’idéologie de Jean Jaurès.
Le plus béotiens des ignares pourra comprendre la réalité en regardant au moins la vidéo donc le lien est ici-joint puisque l’extraordinaire discours de l’économiste Thomas Piketti reste difficile par des gens comment moi, car, oui, je suis un immigré, illettré :
https://www.dailymotion.com/video/xlpx1f_documentaire-city-de-londres-la-finance-en-eaux-troubles_news
J’ai le DVD de " let’s make money "
Donc je vous invite humblement à faire la publicité aussi au moins d’un extrait, qui doit être connu de tout ouvrier, de tout chômeur, de tout membre des classes populaires :
https://www.dailymotion.com/video/xazgpq_let-s-make-money-part6_news
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
ouvrier, syndical résident en France depuis 1988
Joigny le 26 août 2014
Mes plus sincères félicitations d'ouvrier ignare mais très attentifs à des sujets peu intéressant d'habitude pour des béotiens de mon acabit, madame Aureli Filippetti
Les frondeurs
La base de la gauche à fait confiance à une personne pour gouverner, la base semble montrer par les municipales, par les européennes, sont total désaccord avec la politique menée par le gouvernement.
Il faut beaucoup de courage aux ministres démissionnaires pour récupérer leur liberté et un univers en accords avec l’idéologie de Jean Jaurès.
Le plus béotiens des ignares pourra comprendre la réalité en regardant au moins la vidéo donc le lien est ici-joint puisque l’extraordinaire discours de l’économiste Thomas Piketti reste difficile par des gens comment moi, car, oui, je suis un immigré, illettré :
https://www.dailymotion.com/video/xlpx1f_documentaire-city-de-londres-la-finance-en-eaux-troubles_news
J’ai le DVD de " let’s make money "
Donc je vous invite humblement à faire la publicité aussi au moins d’un extrait, qui doit être connu de tout ouvrier, de tout chômeur, de tout membre des classes populaires :
https://www.dailymotion.com/video/xazgpq_let-s-make-money-part6_news
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
ouvrier, syndical résident en France depuis 1988
Joigny le 26 août 2014
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Qui sont le frondeurs du PS?
Je risque d'être mal vu par certains, mais je crois qu'il est beaucoup mieux quand on explique les raisons. (déclaré personne non-gratta)
Pour quoi Arnaud Montebourg a raison
Si Aureli Filippetti, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg auraient pris la lourde décision de quitter le gouvernement, la raison prends support sur les fondements mêmes de l’idéologie, mais plus encore de la logique économique.
Un comparatif entre l’action de Herbert Hoover et Franklin D. Roosevelt me semble permettre de répondre à " qui conque " aujourd’hui aurait " la moindre envie " de continuer une politique axée sur l’offre.
Je n’oublie " surtout " pas, la motivation pour laquelle le 22 avril (28,63%) et le 6 mai 2012 (51,64%) le peuple de France aura fini pour choisir sous la bannière " PS " un président. Un socialiste vraie ne dois pas oublier que le FN avait fait au premier tour 17,9 % des voix.
Un " vraie " socialiste, ne peu pas se résoudre à voir aux élections municipales 2014 que la liste socialiste ne fait que 5,73 % moins que le FN ; Un vraie socialiste ne peu pas non plus supporter que pour les européennes 2014 soit encore le FN qui rafle la mise avec 24 sièges.
Qui oublie que la politique SARKOZY et la loi TEPA aura coûté 670 milliards d’euros, d’accroissement de la dette de la France ? Qui oublie que la politique axée sur l’offre et l’accroissement de la fiscalité sur les ménages aura causée la perte des élections présidentielles à la droite ?
Ceux et celles qui ne comprennent pas, ne sont pas à mon sens, en capacité de garantir, ni la pérennité du parti socialiste au pouvoir, ni l’amélioration de l’harmonie sociale et l’économie de la France.
J'ai des doutes sur les vrais frondeurs du Parti Socialiste France
Certainement que des lecteurs, auraient envie de s'opposer au texte ci-dessus? Je suis ouvert pour entendre leurs arguments....
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit GRAMOPHONE
Joigny dimanche 31 août 2014
Pour quoi Arnaud Montebourg a raison
Si Aureli Filippetti, Benoît Hamon et Arnaud Montebourg auraient pris la lourde décision de quitter le gouvernement, la raison prends support sur les fondements mêmes de l’idéologie, mais plus encore de la logique économique.
Un comparatif entre l’action de Herbert Hoover et Franklin D. Roosevelt me semble permettre de répondre à " qui conque " aujourd’hui aurait " la moindre envie " de continuer une politique axée sur l’offre.
Je n’oublie " surtout " pas, la motivation pour laquelle le 22 avril (28,63%) et le 6 mai 2012 (51,64%) le peuple de France aura fini pour choisir sous la bannière " PS " un président. Un socialiste vraie ne dois pas oublier que le FN avait fait au premier tour 17,9 % des voix.
Un " vraie " socialiste, ne peu pas se résoudre à voir aux élections municipales 2014 que la liste socialiste ne fait que 5,73 % moins que le FN ; Un vraie socialiste ne peu pas non plus supporter que pour les européennes 2014 soit encore le FN qui rafle la mise avec 24 sièges.
Qui oublie que la politique SARKOZY et la loi TEPA aura coûté 670 milliards d’euros, d’accroissement de la dette de la France ? Qui oublie que la politique axée sur l’offre et l’accroissement de la fiscalité sur les ménages aura causée la perte des élections présidentielles à la droite ?
Ceux et celles qui ne comprennent pas, ne sont pas à mon sens, en capacité de garantir, ni la pérennité du parti socialiste au pouvoir, ni l’amélioration de l’harmonie sociale et l’économie de la France.
J'ai des doutes sur les vrais frondeurs du Parti Socialiste France
Certainement que des lecteurs, auraient envie de s'opposer au texte ci-dessus? Je suis ouvert pour entendre leurs arguments....
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit GRAMOPHONE
Joigny dimanche 31 août 2014
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La richesse et sa distribution
La richesse et sa distribution La riqueza y su distribución.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 9 septembre 2014
Pris au piège
write in french and Spanish
Voilà un journaliste NICOLAS DOZE que dit qu’il faut baisser la fiscalité sur l’univers des finances, mais en même temps dit que les prix auraient reculé et qu'il faut créer de l’attractivité (comprenez réduire tout obstacle à l'enrichissement accéléré) pour loger un maximum de valeur ajouté.
compétitivité: relance industrialisation
Il en faut pas penser industrie cela ne sert à rien, il faut penser compétitivité et il faut s’attaquer aux raisons de notre sous-compétitivité, faire une politique industrielle, ou faire une politique de la relance le résultat sera le même.
Ci-dessous l'intervention du spécialiste en économie de BFM business Nicolas Doze
Que-ce qu’il nous faut pour avoir de la croissance ?
Du capital, donc il faut baisser la fiscalité sur le capital car c’est la matière première de l’innovation et l’innovation est la matière première de la croissance, il faut aussi du capital humain, donc la réforme de la formation professionnelle de l’éducation est absolument indispensable, il faut une montée en gamme des compétences professionnelles c’est un impératif, et il faut changer le dialogue sociale, la place des syndicats ce n’est pas à l’Elysé, ce n’est pas au conseil économique et sociale, c’est dans les entreprises. Arrêtons de vouloir acheter français cela ne sert a rein. Par contre il faut vendre français et vendre français dans le monde entier.
Relancer la croissance est sauver l’industrie ?
On l’entend souvent mais au fait c’est un débat biaise, sur la désindustrialisation de la France, l’indice de production industrielle n’a pas bougé depuis 1993 par contre c’est l’emploi industrielle qu’a baisé à cause du progrès industriel, à cause de la robotisation même si l’on manque des robots, la part de l’industrie elle a baisé dans le PIB mais au fait ce sont les prix des produits industriels qu’ont reculé par rapport au service. Le véritable enjeu c’est de créer de l’attractivité pour loger un maximum de valeur ajoutée sur notre territoire, alors cette France elle crée une nouvelle technique mais elle n’invente rien et elle ne finance rien.
Analyse et arguments
Mon analyse du sujet (1)
Depuis mon illettrisme je suis obligé de faire usage des chiffres et de graphiques pour argumenter face à des éminences dans le domaine économique et de la communication.
J'ai déjà présenté des information ; qui pour le quidams, pour le béotien de mon acabit restent indigestes, dans un sujet intitulé "l'économie en image" (lien ci-dessous) en date du 20 septembre 2011 :
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Fiscalité sur le capital
Je reprends mon bâton de pèlerin ou discours pédagogique sans la moindre pédanterie.
Est-ce le capital (système financier, assurances) un domaine fortement pourvoyeur d'emploi ?
Le graphique ci-dessus (faire un clic dessous pour voir en entier) avec lien pour la source nous donne la réponse :
De toute évidence non !
Alors et prenant comme base de notre recherche déjà l'emploi, sachant que 25 % des recette de la France viennent de l’impôt sur le revenu, et que non loin de 49 % de ces mêmes recettes sont strictement issues de la TVA.
Nous sommes en droit de nous poser une question corollaire ; Pour quoi pas chercher à savoir qui fait la valeur ajouté ?
Tiens bonne question, il se trouve que je n'aime pas les longues phrases de rhétorique, mnémotechnique destinés à entourlouper les néophytes, si bien chaque métier est en droit de disposer de sont propre dictionnaire, il et autant vraie que l'image dûment supportée par des sources parle à tout citoyen de QI inférieur, voir le plus bas, autant que ceux que comment moi occupent l'étage le plus bas de la pyramide de Maslow.
Par déduction élémentaire, 49 + 25 = 74 % des recettes de l'état français viennent du travail. Je reste très friands de la garantie des sources donc d'abord un lien pour un document PDF :
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ENTFRA13.pdf
A quoi servirait un maximum de valeur ajouté en France ?
A gaver les sangsues de la finance "tout d'abord", puisque les chiffres ne donnent rien de positive venant de l'industrie des finances et par cause, la création de valeur ajouté (de plus-value) se fait "exclusivement" lors de la conjonction entre l'entreprise, les matières premières et la main du travailleur. Le graphique nous permet de constater que l'apport à l'économie des activités financières, et des assurances, n'est que de 5% un peu moins de la moitié de l'industrie, un tiers du commerce.
Si le système financier ne crée pas d'emploi (il en détruit et par milliers avec fermeture des usines)
Si les sangsues de la finance ne créent pas de la valeur ajouté ; puisque la spéculation, réussi par des tactiques très anciennes, par connivence, et conflit d'intérêts, (entre députés, sénateurs, ministres et banquier) à détourner les lois à leur faveur tout en détriment du consommateur lambda.
à quoi bon la croissance?
Sur l'indignation et la responsabilité
Je trouve (pour reprendre des mots d'une haute autorité au gouvernement) que c'est INDIGNE et IRRESPONSABLE, favoriser les finances : Je ne suis pas naïf, car une hirondelle ne fait pas la pluie, l'ensemble des pays au monde, sont tributaires des desiderata des groupes tel que Bilderberg, OMC, FMI, Rothschild, FED, BCE, Goldman Sachs, etc., qui restent la parte visible du iceberg.
Cela traduit quoi ? Que la France est prisonnière d'un destin donc je ne veut pas noircir les traits, mais par contre je veux bien faire comprendre autant aux gens de la haut comment aux gens d'en ba, que monsieur Hermann Scheer politologue et économiste allemand a bien raison, lorsqu'il aborde le sujets des "petits gens, des pauvres gens" dans le document LET'S MAKE MONEY sortie le 15 avril 2009 réalisé par Erwin Wagenhofer d'une durée de une heure et 47 minutes
(1) Je suis un ouvrier, de l'industrie automobile, immigrant colombien, un parfait illettré, ignare vis à vis de mon milieu sociale ici, avec un bac en métallurgie de l'Institut Technique Industriel à Cartago (Vallée du cauca en Colombie) et ayant fait des études à l'Université Pédagogique et Technologique de Péreira (département du Risaralda également en Colombie) Résident et naturalisé en France depuis 1988, passionné de sociologie, et d'économie politique.
Bibliographie:
20 000 milliards de dollards (Edourd Tétreau); Le Triomphe de la Cupidité (Joseph E. Stiglitz); La République des mallettes, Ces 600 milliards qui manquent à la France (Pierre Pan); autres auteurs John Stuart Mill, Adam Smith, Thomas Piketti, Etienne Chouard, Mirek Zaki, dans une liste non exhaustive.
La riqueza y su distribución.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 9 septembre 2014
Pris au piège
He aquí un periodista NICOLAS DOZE que dice que hay que bajar los impuestos en el mundo de las finanzas, pero al mismo tiempo dice que los precios han bajado y que hay que crear atractivo (comprender reducir cualquier obstáculo al enriquecimiento acelerado ) para dar cabida al máximo valor añadido.
Competitividad: reactivación de la industrialización
No hay que pensar en la industria, es inútil, hay que pensar en la competitividad y hay que abordar las razones de nuestra falta de competitividad, hacer una política industrial, o hacer una política de recuperación, el resultado será el mismo.
A continuación se muestra la intervención del especialista en economía empresarial de BFM, Nicolas Doze
¿Qué necesitamos para crecer?
Capital, entonces debemos bajar los impuestos al capital porque es la materia prima para la innovación y la innovación es la materia prima para el crecimiento, también necesitamos capital humano, por lo tanto la reforma de la formación profesional en educación es absolutamente esencial, necesitamos mejorar las competencias profesionales, es un imperativo, y debemos cambiar el diálogo social, el lugar de los sindicatos no está en el Elíseo, no está en el consejo económico y social, está en las empresas. Dejemos de querer comprar francés, no sirve de nada. Por otra parte, debemos vender francés y vender francés en todo el mundo.
¿Relanzar el crecimiento está salvando la industria?
Lo escuchamos a menudo, pero en realidad es un debate sesgado, sobre la desindustrialización de Francia, el índice de producción industrial no ha cambiado desde 1993, por otro lado, es el empleo industrial el que ha jodido debido al progreso industrial, debido a la robotización. Incluso si nos faltan robots, la participación de la industria en el PIB ha caído, pero en realidad son los precios de los productos industriales los que han caído en comparación con los servicios. El verdadero desafío es crear atractivo para dar cabida al máximo valor añadido en nuestro territorio, por lo que Francia está creando una nueva técnica pero no inventa nada y no financia nada.
Análisis y argumentos
Mi análisis del tema (1)
Desde mi analfabetismo me he visto obligado a utilizar cifras y gráficos para argumentar contra eminencias en los campos económico y de la comunicación.
Ya he presentado información; que para el ciudadano medio, para el filisteo de mi calaña, sigue siendo indigerible, en un tema titulado "la economía en imágenes" (enlace abajo) de fecha 20 de septiembre de 2011[/b ]:
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Impuestos sobre el capital
Tomo mi bastón de peregrino o discurso pedagógico sin la menor pedantería.
¿Es el capital (sistema financiero, seguros) un área que proporciona empleo en gran medida?
El gráfico de arriba (haga clic a continuación para verlo completo) con enlace a la fuente nos da la respuesta:
¡Obviamente no!
Así, y tomando ya el empleo como base de nuestra investigación, sabiendo que el 25% de los ingresos de Francia proviene del impuesto sobre la renta, y que no está lejos del 49%[/ b] de estos mismos ingresos provienen estrictamente del [b]IVA.
Tenemos derecho a hacer una pregunta corolaria; ¿Por qué no intentar descubrir quién añade valor?
Buena pregunta, resulta que no me gustan las frases largas de retórica, mnemónicos destinados a engañar a los neófitos, por eso cada profesión tiene derecho a tener su propio diccionario, es tan cierto como la imagen debidamente sustentada en fuentes le habla a cualquier ciudadano. con un coeficiente intelectual más bajo, o incluso el más bajo, tanto como aquellos como yo ocupamos el piso más bajo de la pirámide de Maslow.
Por deducción elemental, 49 + 25 = 74% de los ingresos del Estado francés provienen del trabajo. Sigo siendo muy aficionado a garantizar las fuentes, así que primero un enlace a un documento PDF:
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ENTFRA13.pdf
¿Para qué se utilizaría el máximo valor añadido en Francia?
Para alimentar las sanguijuelas de las finanzas "antes que nada", ya que las cifras no dan nada positivo provenientes de la industria financiera y por lo tanto, la creación de valor agregado (es más -valor) se hace " exclusivamente" durante la conjunción entre la empresa, las materias primas y la mano del trabajador. El gráfico nos permite ver que la aportación a la economía de las actividades financieras, y de los seguros, es sólo del 5%, algo menos de la mitad de la industria, un tercio del comercio.
Si el sistema financiero no crea empleos (destruye miles de ellos con el cierre de fábricas)
Si las sanguijuelas de las finanzas no crean valor agregado; desde la especulación, sucedida por tácticas muy antiguas, por la colusión y el conflicto de intereses (entre diputados, senadores, ministros y banqueros) para desviar las leyes a su favor y en detrimento del consumidor medio.
¿cuál es el punto de crecimiento?
Sobre la indignación y la responsabilidad
Considero (para utilizar las palabras de una alta autoridad del gobierno) que es INDIGNO y IRRESPONSABLE, favorecer las finanzas: no soy ingenuo, porque una golondrina no hace lluvia, todos los países del mundo dependen de los deseos de grupos como Bilderberg, OMC, FMI, Rothschild, FED, BCE, Goldman Sachs, etc., que siguen siendo la parte visible del iceberg .
¿A qué se traduce esto? Que Francia es prisionera de un destino así que no quiero oscurecer los rasgos, pero por otro lado quiero dejar claro tanto a la gente de arriba como a la gente de abajo, que el Sr. Hermann Scheer tiene razón el politólogo y economista alemán cuando aborda el tema de "gente pequeña, gente pobre" en el documento GANEMOS DINERO publicado el 15 de abril de 2009. por Erwin Wagenhofer que dura una hora y 47 minutos
(1) Soy trabajador, de la industria automotriz, inmigrante colombiano, completamente analfabeto, ignorante de mi entorno social aquí, con bachillerato en metalurgia del Instituto Técnico Industrial de Cartago (Valle del Cauca en Colombia) y habiendo estudiado en la Universidad Pedagógica. y Universidad Tecnológica de Péreira (departamento de Risaralda también en Colombia) Residente y naturalizado en Francia desde 1988, apasionado por la sociología y la economía política.
Bibliografía:
20.000 mil millones de dólares (Edourd Tétreau); El triunfo de la codicia (Joseph E. Stiglitz); La República de los Maletines, Esos 600 mil millones que le faltan a Francia (Pierre Pan); otros autores John Stuart Mill, Adam Smith, Thomas Piketti, Etienne Chouard, Mirek Zaki, en una lista no exhaustiva.[/b][/size]
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 9 septembre 2014
Pris au piège
write in french and Spanish
Voilà un journaliste NICOLAS DOZE que dit qu’il faut baisser la fiscalité sur l’univers des finances, mais en même temps dit que les prix auraient reculé et qu'il faut créer de l’attractivité (comprenez réduire tout obstacle à l'enrichissement accéléré) pour loger un maximum de valeur ajouté.
compétitivité: relance industrialisation
Il en faut pas penser industrie cela ne sert à rien, il faut penser compétitivité et il faut s’attaquer aux raisons de notre sous-compétitivité, faire une politique industrielle, ou faire une politique de la relance le résultat sera le même.
Ci-dessous l'intervention du spécialiste en économie de BFM business Nicolas Doze
Que-ce qu’il nous faut pour avoir de la croissance ?
Du capital, donc il faut baisser la fiscalité sur le capital car c’est la matière première de l’innovation et l’innovation est la matière première de la croissance, il faut aussi du capital humain, donc la réforme de la formation professionnelle de l’éducation est absolument indispensable, il faut une montée en gamme des compétences professionnelles c’est un impératif, et il faut changer le dialogue sociale, la place des syndicats ce n’est pas à l’Elysé, ce n’est pas au conseil économique et sociale, c’est dans les entreprises. Arrêtons de vouloir acheter français cela ne sert a rein. Par contre il faut vendre français et vendre français dans le monde entier.
Relancer la croissance est sauver l’industrie ?
On l’entend souvent mais au fait c’est un débat biaise, sur la désindustrialisation de la France, l’indice de production industrielle n’a pas bougé depuis 1993 par contre c’est l’emploi industrielle qu’a baisé à cause du progrès industriel, à cause de la robotisation même si l’on manque des robots, la part de l’industrie elle a baisé dans le PIB mais au fait ce sont les prix des produits industriels qu’ont reculé par rapport au service. Le véritable enjeu c’est de créer de l’attractivité pour loger un maximum de valeur ajoutée sur notre territoire, alors cette France elle crée une nouvelle technique mais elle n’invente rien et elle ne finance rien.
Analyse et arguments
Mon analyse du sujet (1)
Depuis mon illettrisme je suis obligé de faire usage des chiffres et de graphiques pour argumenter face à des éminences dans le domaine économique et de la communication.
J'ai déjà présenté des information ; qui pour le quidams, pour le béotien de mon acabit restent indigestes, dans un sujet intitulé "l'économie en image" (lien ci-dessous) en date du 20 septembre 2011 :
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Fiscalité sur le capital
Je reprends mon bâton de pèlerin ou discours pédagogique sans la moindre pédanterie.
Est-ce le capital (système financier, assurances) un domaine fortement pourvoyeur d'emploi ?
Le graphique ci-dessus (faire un clic dessous pour voir en entier) avec lien pour la source nous donne la réponse :
De toute évidence non !
Alors et prenant comme base de notre recherche déjà l'emploi, sachant que 25 % des recette de la France viennent de l’impôt sur le revenu, et que non loin de 49 % de ces mêmes recettes sont strictement issues de la TVA.
Nous sommes en droit de nous poser une question corollaire ; Pour quoi pas chercher à savoir qui fait la valeur ajouté ?
Tiens bonne question, il se trouve que je n'aime pas les longues phrases de rhétorique, mnémotechnique destinés à entourlouper les néophytes, si bien chaque métier est en droit de disposer de sont propre dictionnaire, il et autant vraie que l'image dûment supportée par des sources parle à tout citoyen de QI inférieur, voir le plus bas, autant que ceux que comment moi occupent l'étage le plus bas de la pyramide de Maslow.
Par déduction élémentaire, 49 + 25 = 74 % des recettes de l'état français viennent du travail. Je reste très friands de la garantie des sources donc d'abord un lien pour un document PDF :
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ENTFRA13.pdf
A quoi servirait un maximum de valeur ajouté en France ?
A gaver les sangsues de la finance "tout d'abord", puisque les chiffres ne donnent rien de positive venant de l'industrie des finances et par cause, la création de valeur ajouté (de plus-value) se fait "exclusivement" lors de la conjonction entre l'entreprise, les matières premières et la main du travailleur. Le graphique nous permet de constater que l'apport à l'économie des activités financières, et des assurances, n'est que de 5% un peu moins de la moitié de l'industrie, un tiers du commerce.
Si le système financier ne crée pas d'emploi (il en détruit et par milliers avec fermeture des usines)
Si les sangsues de la finance ne créent pas de la valeur ajouté ; puisque la spéculation, réussi par des tactiques très anciennes, par connivence, et conflit d'intérêts, (entre députés, sénateurs, ministres et banquier) à détourner les lois à leur faveur tout en détriment du consommateur lambda.
à quoi bon la croissance?
Sur l'indignation et la responsabilité
Je trouve (pour reprendre des mots d'une haute autorité au gouvernement) que c'est INDIGNE et IRRESPONSABLE, favoriser les finances : Je ne suis pas naïf, car une hirondelle ne fait pas la pluie, l'ensemble des pays au monde, sont tributaires des desiderata des groupes tel que Bilderberg, OMC, FMI, Rothschild, FED, BCE, Goldman Sachs, etc., qui restent la parte visible du iceberg.
Cela traduit quoi ? Que la France est prisonnière d'un destin donc je ne veut pas noircir les traits, mais par contre je veux bien faire comprendre autant aux gens de la haut comment aux gens d'en ba, que monsieur Hermann Scheer politologue et économiste allemand a bien raison, lorsqu'il aborde le sujets des "petits gens, des pauvres gens" dans le document LET'S MAKE MONEY sortie le 15 avril 2009 réalisé par Erwin Wagenhofer d'une durée de une heure et 47 minutes
(1) Je suis un ouvrier, de l'industrie automobile, immigrant colombien, un parfait illettré, ignare vis à vis de mon milieu sociale ici, avec un bac en métallurgie de l'Institut Technique Industriel à Cartago (Vallée du cauca en Colombie) et ayant fait des études à l'Université Pédagogique et Technologique de Péreira (département du Risaralda également en Colombie) Résident et naturalisé en France depuis 1988, passionné de sociologie, et d'économie politique.
Bibliographie:
20 000 milliards de dollards (Edourd Tétreau); Le Triomphe de la Cupidité (Joseph E. Stiglitz); La République des mallettes, Ces 600 milliards qui manquent à la France (Pierre Pan); autres auteurs John Stuart Mill, Adam Smith, Thomas Piketti, Etienne Chouard, Mirek Zaki, dans une liste non exhaustive.
Spanish
La riqueza y su distribución.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 9 septembre 2014
Pris au piège
He aquí un periodista NICOLAS DOZE que dice que hay que bajar los impuestos en el mundo de las finanzas, pero al mismo tiempo dice que los precios han bajado y que hay que crear atractivo (comprender reducir cualquier obstáculo al enriquecimiento acelerado ) para dar cabida al máximo valor añadido.
Competitividad: reactivación de la industrialización
No hay que pensar en la industria, es inútil, hay que pensar en la competitividad y hay que abordar las razones de nuestra falta de competitividad, hacer una política industrial, o hacer una política de recuperación, el resultado será el mismo.
A continuación se muestra la intervención del especialista en economía empresarial de BFM, Nicolas Doze
¿Qué necesitamos para crecer?
Capital, entonces debemos bajar los impuestos al capital porque es la materia prima para la innovación y la innovación es la materia prima para el crecimiento, también necesitamos capital humano, por lo tanto la reforma de la formación profesional en educación es absolutamente esencial, necesitamos mejorar las competencias profesionales, es un imperativo, y debemos cambiar el diálogo social, el lugar de los sindicatos no está en el Elíseo, no está en el consejo económico y social, está en las empresas. Dejemos de querer comprar francés, no sirve de nada. Por otra parte, debemos vender francés y vender francés en todo el mundo.
¿Relanzar el crecimiento está salvando la industria?
Lo escuchamos a menudo, pero en realidad es un debate sesgado, sobre la desindustrialización de Francia, el índice de producción industrial no ha cambiado desde 1993, por otro lado, es el empleo industrial el que ha jodido debido al progreso industrial, debido a la robotización. Incluso si nos faltan robots, la participación de la industria en el PIB ha caído, pero en realidad son los precios de los productos industriales los que han caído en comparación con los servicios. El verdadero desafío es crear atractivo para dar cabida al máximo valor añadido en nuestro territorio, por lo que Francia está creando una nueva técnica pero no inventa nada y no financia nada.
Análisis y argumentos
Mi análisis del tema (1)
Desde mi analfabetismo me he visto obligado a utilizar cifras y gráficos para argumentar contra eminencias en los campos económico y de la comunicación.
Ya he presentado información; que para el ciudadano medio, para el filisteo de mi calaña, sigue siendo indigerible, en un tema titulado "la economía en imágenes" (enlace abajo) de fecha 20 de septiembre de 2011[/b ]:
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Impuestos sobre el capital
Tomo mi bastón de peregrino o discurso pedagógico sin la menor pedantería.
¿Es el capital (sistema financiero, seguros) un área que proporciona empleo en gran medida?
El gráfico de arriba (haga clic a continuación para verlo completo) con enlace a la fuente nos da la respuesta:
¡Obviamente no!
Así, y tomando ya el empleo como base de nuestra investigación, sabiendo que el 25% de los ingresos de Francia proviene del impuesto sobre la renta, y que no está lejos del 49%[/ b] de estos mismos ingresos provienen estrictamente del [b]IVA.
Tenemos derecho a hacer una pregunta corolaria; ¿Por qué no intentar descubrir quién añade valor?
Buena pregunta, resulta que no me gustan las frases largas de retórica, mnemónicos destinados a engañar a los neófitos, por eso cada profesión tiene derecho a tener su propio diccionario, es tan cierto como la imagen debidamente sustentada en fuentes le habla a cualquier ciudadano. con un coeficiente intelectual más bajo, o incluso el más bajo, tanto como aquellos como yo ocupamos el piso más bajo de la pirámide de Maslow.
Por deducción elemental, 49 + 25 = 74% de los ingresos del Estado francés provienen del trabajo. Sigo siendo muy aficionado a garantizar las fuentes, así que primero un enlace a un documento PDF:
http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/ENTFRA13.pdf
¿Para qué se utilizaría el máximo valor añadido en Francia?
Para alimentar las sanguijuelas de las finanzas "antes que nada", ya que las cifras no dan nada positivo provenientes de la industria financiera y por lo tanto, la creación de valor agregado (es más -valor) se hace " exclusivamente" durante la conjunción entre la empresa, las materias primas y la mano del trabajador. El gráfico nos permite ver que la aportación a la economía de las actividades financieras, y de los seguros, es sólo del 5%, algo menos de la mitad de la industria, un tercio del comercio.
Si el sistema financiero no crea empleos (destruye miles de ellos con el cierre de fábricas)
Si las sanguijuelas de las finanzas no crean valor agregado; desde la especulación, sucedida por tácticas muy antiguas, por la colusión y el conflicto de intereses (entre diputados, senadores, ministros y banqueros) para desviar las leyes a su favor y en detrimento del consumidor medio.
¿cuál es el punto de crecimiento?
Sobre la indignación y la responsabilidad
Considero (para utilizar las palabras de una alta autoridad del gobierno) que es INDIGNO y IRRESPONSABLE, favorecer las finanzas: no soy ingenuo, porque una golondrina no hace lluvia, todos los países del mundo dependen de los deseos de grupos como Bilderberg, OMC, FMI, Rothschild, FED, BCE, Goldman Sachs, etc., que siguen siendo la parte visible del iceberg .
¿A qué se traduce esto? Que Francia es prisionera de un destino así que no quiero oscurecer los rasgos, pero por otro lado quiero dejar claro tanto a la gente de arriba como a la gente de abajo, que el Sr. Hermann Scheer tiene razón el politólogo y economista alemán cuando aborda el tema de "gente pequeña, gente pobre" en el documento GANEMOS DINERO publicado el 15 de abril de 2009. por Erwin Wagenhofer que dura una hora y 47 minutos
(1) Soy trabajador, de la industria automotriz, inmigrante colombiano, completamente analfabeto, ignorante de mi entorno social aquí, con bachillerato en metalurgia del Instituto Técnico Industrial de Cartago (Valle del Cauca en Colombia) y habiendo estudiado en la Universidad Pedagógica. y Universidad Tecnológica de Péreira (departamento de Risaralda también en Colombia) Residente y naturalizado en Francia desde 1988, apasionado por la sociología y la economía política.
Bibliografía:
20.000 mil millones de dólares (Edourd Tétreau); El triunfo de la codicia (Joseph E. Stiglitz); La República de los Maletines, Esos 600 mil millones que le faltan a Francia (Pierre Pan); otros autores John Stuart Mill, Adam Smith, Thomas Piketti, Etienne Chouard, Mirek Zaki, en una lista no exhaustiva.[/b][/size]
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j'accuse l'indifférence et l'ignorance avec l'opportunisme
J’accuse ou
La porté des mots et le partage
j'accuse l'indifférence et l'ignorance avec l'opportunisme
Je suis un mouton ou un citoyen avec envie de comprendre?
Si vous voulez tout savoir en une phrase, je vous prie de passer votre chemin, La vidéo intitulé "LA CITY OU LES FINANCES EN EAUX TROUBLES" dure elle, presque 50 minutes...
Combien de temps dédie le citoyen lambda, le béotien, le quidam, chaque jour aux jeux du genre Candy crush Saga?
Les état généraux du parti socialiste ont lieu a présent, mais à quoi bon des mots? à quoi bon des idées? à quoi bon tant de bruit? Si rien ni personne veut voir la réalité en face? Mais déjà qui connais la réalité? Quel est la raisons de tant des maux de la société?
Tu d’abord, les mots n’ont aucune valeur sans le partage, je me rends compte que l’évolution de la société, est catastrophique à cause de nous, de chaque citoyen.
Il faut arrêter de se cacher derrière des mots, des expressions populistes, de se tromper au suffrage en faveur de élites que derrière le populisme font du prosélytisme.
A qui la responsabilité du chaos ?
https://www.youtube.com/watch?v=ex8Xe5w-cjk
Chaque citoyen a une norme responsabilité, car c’est à travers du vote que certains mauvais gouvernants prennent le pouvoir ; mais il faut que le citoyen lambda arrête de se considérer un enfant en matière de discernement. La France est conduite pour un chemin, où les dirigeants s’efforcent à adapter la nation, en la transformant en machine à faire de la richesse.
Attention, le Royaume Uni, l’Irlande, les USA, sont des pays avec des législations, très fortement favorables à l’investissement, des pays aux lois très faibles en faveur des gens modestes, des lois très légères sur l’emploi ; Alors pour quoi leur dette externe est autant ou plus forte que la dette de la France ? Alors pour quoi le taux de chômage est semblable ou supérieur à celui de la France ?
Attention : certains commentaires à la télévision semblent accuser la rigidité de la législation sur le travail, de s’opposer à la croissance ! Mais regardons par exemple le temps de travail ? Je viens de partager un tableau sur les heures hebdomadaires comparatives par pays en Europe ! La France elle se trouve au milieu du tableau. En plus les pays nordiques qui travaillent moins, sont dotés d’une législation sur le travail, d’une législation sociale plus favorable aux classes populaires, un taux de syndicalisme de plus de 80 %, !
Qui profite de la richesse ?
C’est vraiment les mots, d’abord qui ne sont pas lus, mais des mots qui n’entrent pas par discernement dans notre esprit. La raisons majeur qui laisse à des parfaits incapables, le soin de gouverner, parce que nous les " petits gens " (dit par Hermann Scheer) nous nous laissons convaincre par " des mots " de la rhétorique populiste. Par la suite nous arrivons à l’absurde, l’injuste, où 3 % des gens sur la terre récupèrent plus de 90 % de la richesse produite.
Qui sont les complices ?
Tant que les leaders politiques, tentent s’évader un tel sujet, de la puissance écrasante de 3 % des nantis, cause directe de touts les maux de la société, je trouve que leur discours sera simplement faux. Faux parce que comment le souligne Thomas Piketti, Joseph E. Stiglitz ou encore Miret Saky parmi d’autres, c’est la concentration de richesses en main d’une minorité, qui crée les tensions, la misère, l’ignorance, c’est-à-dire touts les maux de la société.
Les élites qui gouvernent par connivence, par conflit d’intérêts, sont des complices, des exécutants de la méthode imposé par les sangsues de la finance ; méthode qui mène l’humanité à sa perte par cause de la cupidité de moins de 3 % des gens sur le terre !
Le citoyen lambda " volontairement " maintenu à l’écart de la connaissance, par l’éducation national associé à l’environnement et des parents forts de leur indifférence et individualisme induits par le système ; sont autant responsables que les leaders politiques et syndicaux de touts les maux de la société.
La porté des mots et le partage
j'accuse l'indifférence et l'ignorance avec l'opportunisme
Je suis un mouton ou un citoyen avec envie de comprendre?
Si vous voulez tout savoir en une phrase, je vous prie de passer votre chemin, La vidéo intitulé "LA CITY OU LES FINANCES EN EAUX TROUBLES" dure elle, presque 50 minutes...
Combien de temps dédie le citoyen lambda, le béotien, le quidam, chaque jour aux jeux du genre Candy crush Saga?
Les état généraux du parti socialiste ont lieu a présent, mais à quoi bon des mots? à quoi bon des idées? à quoi bon tant de bruit? Si rien ni personne veut voir la réalité en face? Mais déjà qui connais la réalité? Quel est la raisons de tant des maux de la société?
Tu d’abord, les mots n’ont aucune valeur sans le partage, je me rends compte que l’évolution de la société, est catastrophique à cause de nous, de chaque citoyen.
Il faut arrêter de se cacher derrière des mots, des expressions populistes, de se tromper au suffrage en faveur de élites que derrière le populisme font du prosélytisme.
A qui la responsabilité du chaos ?
https://www.youtube.com/watch?v=ex8Xe5w-cjk
Chaque citoyen a une norme responsabilité, car c’est à travers du vote que certains mauvais gouvernants prennent le pouvoir ; mais il faut que le citoyen lambda arrête de se considérer un enfant en matière de discernement. La France est conduite pour un chemin, où les dirigeants s’efforcent à adapter la nation, en la transformant en machine à faire de la richesse.
Attention, le Royaume Uni, l’Irlande, les USA, sont des pays avec des législations, très fortement favorables à l’investissement, des pays aux lois très faibles en faveur des gens modestes, des lois très légères sur l’emploi ; Alors pour quoi leur dette externe est autant ou plus forte que la dette de la France ? Alors pour quoi le taux de chômage est semblable ou supérieur à celui de la France ?
Attention : certains commentaires à la télévision semblent accuser la rigidité de la législation sur le travail, de s’opposer à la croissance ! Mais regardons par exemple le temps de travail ? Je viens de partager un tableau sur les heures hebdomadaires comparatives par pays en Europe ! La France elle se trouve au milieu du tableau. En plus les pays nordiques qui travaillent moins, sont dotés d’une législation sur le travail, d’une législation sociale plus favorable aux classes populaires, un taux de syndicalisme de plus de 80 %, !
Qui profite de la richesse ?
C’est vraiment les mots, d’abord qui ne sont pas lus, mais des mots qui n’entrent pas par discernement dans notre esprit. La raisons majeur qui laisse à des parfaits incapables, le soin de gouverner, parce que nous les " petits gens " (dit par Hermann Scheer) nous nous laissons convaincre par " des mots " de la rhétorique populiste. Par la suite nous arrivons à l’absurde, l’injuste, où 3 % des gens sur la terre récupèrent plus de 90 % de la richesse produite.
Qui sont les complices ?
Tant que les leaders politiques, tentent s’évader un tel sujet, de la puissance écrasante de 3 % des nantis, cause directe de touts les maux de la société, je trouve que leur discours sera simplement faux. Faux parce que comment le souligne Thomas Piketti, Joseph E. Stiglitz ou encore Miret Saky parmi d’autres, c’est la concentration de richesses en main d’une minorité, qui crée les tensions, la misère, l’ignorance, c’est-à-dire touts les maux de la société.
Les élites qui gouvernent par connivence, par conflit d’intérêts, sont des complices, des exécutants de la méthode imposé par les sangsues de la finance ; méthode qui mène l’humanité à sa perte par cause de la cupidité de moins de 3 % des gens sur le terre !
Le citoyen lambda " volontairement " maintenu à l’écart de la connaissance, par l’éducation national associé à l’environnement et des parents forts de leur indifférence et individualisme induits par le système ; sont autant responsables que les leaders politiques et syndicaux de touts les maux de la société.
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