Economie, politique et subvention
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Economie, politique et subvention
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Economie, politique et subvention
par Nestor Elias Ramirez Jimenez ou Gramophone
Joigny Dimanche 1 mars 2009
Les anciens philosophes, quatre siècles avant J.C. avaient une notion claire des commerçants.
D'ailleurs pour au moins un philosophe le commerçant été la seule personne à préconiser la qualité de sa marchandise sans avoir le certitude, un menteur !
Toujours à cette époque déjà, les affaires d’État et le commerce ne devaient pas être mêles.
Attention aux détracteurs, je vais couper court car il y avais des esclaves, bonnement admis pour tant, donc nous ne sommes ici à parler d'un idéologie, morte et enterrait. (communisme et socialisme! hors de question)
Je crois pour démarrer, et restant concis, que aucun citoyen ne doit être plus puissant que l’État; ou alors l’État n'est saura plus souverain, incapable de satisfaire sont rôle tel les services tel que la santé, l'éducation, la téléphonie, l'emploi. l'eau, l'électricité; (voir discours du président du Bolivie au sujet des obligations de l’État nation)
Nous devons admettre le divorce entre pouvoir politique et pouvoir économique, alors nous devons admettre que le système avec collusion avérée est une erreur. Parce que la législation fini par favoriser le lobby des puissants.
C'est si simple, si l’État n'est pas en possession des sources économiques, capables de lui garantir la suprématie. Cela implique que le pouvoir est nécessairement ailleurs.
Si l’État n'a pas le pouvoir économique, en aucune manière il n'est pas en capacité de jouer le rôle qu'est le sien.
Un ancien sage ( PLATÓN quatre siècles avant J.C.) l'affirmait avec raison : "Personne doit être plus puissant que l’État"
Par contre l’État ne doit pas tricher; la je fait référence aux lois basiques de l'économie. "Loi de l'offre et la demande" et "loi du marché concurrentiel sans entraves".
Du temps de ces sages hommes avant J.C. la taille même de leur société ne pouvant pas permettre l'analyse d'aujourd'hui. Il faut donc admettre que l’État ou Organisation mondiale de l'administration n'existe pas alors qu'il y a des banques à la taille du monde? Il y a là quelque chose qui ne tourne pas rond!
Chaque pays, cherche à concocter dans son coin sa combinaison de mesures, alors que le pouvoir économique lui, se trouve dimensionné à la taille de la terre.
Croire en mesures protectionnistes et subventions pour les pays, est dangereux, pour la société. Car cela signifie que la santé financière de la branche en difficultés, n'est pas compétitive et se trouve par capillarité à l'échelle de la terre concurrencée ailleurs. Ou pire les règles et mécanisme de gestion et de contrôle son inopérants.
Quelque soit l'origine de la difficulté, en soit le système capitaliste est en défaut, pour une raison très simple encore. (d'un grand économiste) "Propre de l'être humain, il veut toujours avoir plus" (écrit en 1843 par John Stuart Mill dans "Système de logique") Puisque la richesse à quitté le pouvoir politique à la fin de la monarchie (le roi été à la tête de tous les pouvoirs) De nous jours les gouvernements nationaux sont des parfaits incapables vis-à-vis du système économique mondiale.
Les USA sont un exemple pitoyable de manque de prévoyance, avec des techniques sauvages de maintien du crédit immobilier par exemple. L'aide des États aux banques, à l'industrie automobile n'est qu'un exemple dans le même sens, qui donne des facilités majeures aux spéculateurs sous forme de carte blanche pour continuer à abuser du marché.
Reste ridicule, cela étant croire que l'accès à la propriété doit se faire via le crédit, où en vingt ans une personne paye deux, trois fois le prix du bien, quand il arrive, puisque dans beaucoup de cas, l'actualité le démontre c'est pas possible, puis la réglementation est faite pour que le profit soit privatisé et les pertes mise à charge du contribuable.
Economie, politique et subvention
par Nestor Elias Ramirez Jimenez ou Gramophone
Joigny Dimanche 1 mars 2009
Les anciens philosophes, quatre siècles avant J.C. avaient une notion claire des commerçants.
D'ailleurs pour au moins un philosophe le commerçant été la seule personne à préconiser la qualité de sa marchandise sans avoir le certitude, un menteur !
Toujours à cette époque déjà, les affaires d’État et le commerce ne devaient pas être mêles.
Attention aux détracteurs, je vais couper court car il y avais des esclaves, bonnement admis pour tant, donc nous ne sommes ici à parler d'un idéologie, morte et enterrait. (communisme et socialisme! hors de question)
Je crois pour démarrer, et restant concis, que aucun citoyen ne doit être plus puissant que l’État; ou alors l’État n'est saura plus souverain, incapable de satisfaire sont rôle tel les services tel que la santé, l'éducation, la téléphonie, l'emploi. l'eau, l'électricité; (voir discours du président du Bolivie au sujet des obligations de l’État nation)
Nous devons admettre le divorce entre pouvoir politique et pouvoir économique, alors nous devons admettre que le système avec collusion avérée est une erreur. Parce que la législation fini par favoriser le lobby des puissants.
C'est si simple, si l’État n'est pas en possession des sources économiques, capables de lui garantir la suprématie. Cela implique que le pouvoir est nécessairement ailleurs.
Si l’État n'a pas le pouvoir économique, en aucune manière il n'est pas en capacité de jouer le rôle qu'est le sien.
Un ancien sage ( PLATÓN quatre siècles avant J.C.) l'affirmait avec raison : "Personne doit être plus puissant que l’État"
Par contre l’État ne doit pas tricher; la je fait référence aux lois basiques de l'économie. "Loi de l'offre et la demande" et "loi du marché concurrentiel sans entraves".
Du temps de ces sages hommes avant J.C. la taille même de leur société ne pouvant pas permettre l'analyse d'aujourd'hui. Il faut donc admettre que l’État ou Organisation mondiale de l'administration n'existe pas alors qu'il y a des banques à la taille du monde? Il y a là quelque chose qui ne tourne pas rond!
Chaque pays, cherche à concocter dans son coin sa combinaison de mesures, alors que le pouvoir économique lui, se trouve dimensionné à la taille de la terre.
Croire en mesures protectionnistes et subventions pour les pays, est dangereux, pour la société. Car cela signifie que la santé financière de la branche en difficultés, n'est pas compétitive et se trouve par capillarité à l'échelle de la terre concurrencée ailleurs. Ou pire les règles et mécanisme de gestion et de contrôle son inopérants.
Quelque soit l'origine de la difficulté, en soit le système capitaliste est en défaut, pour une raison très simple encore. (d'un grand économiste) "Propre de l'être humain, il veut toujours avoir plus" (écrit en 1843 par John Stuart Mill dans "Système de logique") Puisque la richesse à quitté le pouvoir politique à la fin de la monarchie (le roi été à la tête de tous les pouvoirs) De nous jours les gouvernements nationaux sont des parfaits incapables vis-à-vis du système économique mondiale.
Les USA sont un exemple pitoyable de manque de prévoyance, avec des techniques sauvages de maintien du crédit immobilier par exemple. L'aide des États aux banques, à l'industrie automobile n'est qu'un exemple dans le même sens, qui donne des facilités majeures aux spéculateurs sous forme de carte blanche pour continuer à abuser du marché.
Reste ridicule, cela étant croire que l'accès à la propriété doit se faire via le crédit, où en vingt ans une personne paye deux, trois fois le prix du bien, quand il arrive, puisque dans beaucoup de cas, l'actualité le démontre c'est pas possible, puis la réglementation est faite pour que le profit soit privatisé et les pertes mise à charge du contribuable.
Última edición por Cogito ergo sum el Jue 14 Ago - 3:16, editado 1 vez
Gramophone- membre
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Localisation : joigny
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Une fausse idée de démocratie
DÉMOCRATIE ET REPRÉSENTATIVITÉ
geschrieben in 68159 Mannheim am Montag, den 26. Dezember 2022 von (twitter) @gramophonefr @gramophone89
Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément, c’est une expression attribuée à Nicolas Boileau (1636 – 1711)
Si depuis la définition étymologique de démocratie, c’est-à-dire gouvernance du peuple, par le peuple, nous y voyons que quelque chose, semble ne pas correspondre ; force est de constater, qu’il s’avère d’hors et déjà, d’un inconvénient et pas de moindres.
Les grandes majorités, ne veulent pas entendre parler
De fil et aiguille nous nous rendons compte que malgré un si grand problème, « Celles et Ceux les plus concernés, sont les premiers à chercher à éluder la question. Huit de chaque dix français, vivent avec moins de deux mil euros par mois (2000€/mois) ; donc si « nous » sommes UNE MAJORITÉ, le problème est que la gouvernance et le parlement ne favorise pas les intérêts des majorités.
Une fausse idée de démocratie
Il faut appeler le pain pain et le vin vin, le droit d’élire implique de loin le droit d’être élu aussi. Tant que cette règle ne soit appliquée, personne pourrait considérer que nous vivons en démocratie.
Donc pour conclure: d’un côté les gens les plus concernés, ne veulent rien savoir, de l’autre les minorités sachant que gouverner rapporte gros, réussissent à s’imposer sans le moindre mal.
Est-ce que jusqu’ici tout est claire? Hélas c’est plus compliqué que cela, puisque l’individualisme et l’indifférence sont des armes, utilisés sans se cacher pour celles et ceux qui depuis des siècles contrôlent touts les domaines politiques dans touts les pays et communautés au monde. La fausse idée de démocratie est introduite dans le discernement de chaque citoyen par touts les moyens. À force d’entendre le dire, chacun des majorités ouvrières, fini par le prendre pour un fait.
Les classes populaires, qui se trouvent à quatre-vingt-dix, (voir plus) présentes en la société, devraient, faire plus attention au moment des campagnes électorales, pour y choisir au premier tour avec une majorité écrasante, une personne qui soit déjà non pas membre d’une élite traditionnelle, mais plutôt, issue de « notre » même classe sociale, ou du moins différent des propositions mante fois répétés par les différents canaux presse et réseaux sociaux
Rappelons encore le message du politologue Allemand HERMANN SCHEER, qu’invite aux classes populaires à se rassembler, à fonder des associations, pour tout d’abord étudier les causes et conséquences de las politiques néo-libérales, et à en fin chercher après diagnostique, établir une stratégie démocratique de reprise du contrôle de la gouvernance.
DEMOKRATIE UND REPRÄSENTATIVITÄT
Was wir uns gut vorstellen, ist klar gesagt, und die Worte, um es zu sagen, fallen leicht, es ist ein Ausdruck, der Nicolas Boileau (1636 – 1711) zugeschrieben wird.
Wenn wir aus der etymologischen Definition von Demokratie, dh Herrschaft des Volkes durch das Volk, sehen, dass etwas nicht zu stimmen scheint; Es ist klar, dass es sich als eine Unannehmlichkeit herausstellt und nicht zuletzt.
Die großen Mehrheiten wollen nichts davon hören
Faden und Nadel erkennen wir, dass trotz eines so großen Problems „diejenigen, die sich am meisten Sorgen machen, die ersten sind, die versuchen, der Frage auszuweichen. Acht von zehn Franzosen leben von weniger als zweitausend Euro im Monat (2000€/Monat); Wenn „wir“ also EINE MEHRHEIT sind, besteht das Problem darin, dass Regierungsführung und Parlament die Interessen der Mehrheiten nicht bevorzugen.
Eine falsche Vorstellung von Demokratie
Wir müssen Brot Brot und Wein Wein nennen, das Wahlrecht impliziert bei weitem auch das Recht, gewählt zu werden. Solange diese Regel nicht angewendet wird, kann niemand glauben, dass wir in einer Demokratie leben.
Fazit: Auf der einen Seite wollen die am meisten Betroffenen nichts wissen, auf der anderen Seite schaffen es die Minderheiten, die wissen, dass sich Regieren auszahlt, ohne den geringsten Schaden durchzusetzen.
Ist soweit alles klar? Leider ist es noch komplizierter, denn Individualismus und Gleichgültigkeit sind Waffen, die ohne sich zu verstecken für diejenigen eingesetzt werden, die seit Jahrhunderten alle politischen Bereiche in allen Ländern und Gemeinschaften der Welt kontrollieren. Die falsche Vorstellung von Demokratie wird mit allen Mitteln in das Urteilsvermögen jedes Bürgers eingeführt. Aufgrund dessen, dass es gesagt wird, hält jede der arbeitenden Mehrheiten es für eine Tatsache.
Die Volksschichten, die neunzig (oder noch mehr) in der Gesellschaft präsent sind, sollten bei Wahlkämpfen stärker darauf achten, im ersten Wahlgang mit überwältigender Mehrheit eine Person zu wählen, die ohnehin nicht Mitglied einer traditionellen Elite ist, sondern eher , aus "unserer" gleichen sozialen Schicht oder zumindest anders als die Vorschläge, die von den verschiedenen Pressekanälen und sozialen Netzwerken immer wieder wiederholt werden
Erinnern wir uns auch an die Botschaft des deutschen Politikwissenschaftlers HERMANN SCHEER, der die Arbeiterklasse einlädt, sich zu versammeln, Vereine zu gründen, zunächst die Ursachen und Folgen neoliberaler Politik zu studieren und schließlich nach Diagnosen zu suchen, zu etablieren eine demokratische Strategie zur Wiedererlangung der Kontrolle über die Regierungsführung.
DEMOCRACIA Y REPRESENTATIVA
Lo que concebimos bien está claramente expresado, y las palabras para decirlo vienen fácilmente, es una expresión atribuida a Nicolas Boileau (1636 – 1711)
Si de la definición etimológica de democracia, es decir gobierno del pueblo, por el pueblo, vemos que algo, parece no corresponder; está claro que resulta ser un inconveniente y no menos importante.
Las grandes mayorías, no quieren oír hablar
Nos damos cuenta que a pesar de tan gran problema, “los más afectados, son los primeros en buscar evadir la pregunta. Ocho de cada diez franceses viven con menos de dos mil euros al mes (2000€/mes); entonces si "nosotros" somos MAYORÍA, el problema es que la gobernabilidad y el parlamento no favorecen los intereses de las mayorías.
Una falsa idea de democracia
Al pan hay que llamarlo pan y al vino vino, el derecho a elegir implica también el derecho a ser elegido. Mientras no se aplique esta regla, nadie podría considerar que vivimos en una democracia.
Así que para concluir: por un lado la gente más afectada, no quiere saber nada, por otro las minorías sabiendo que gobernar permite enriquecerse, logran imponerse sin el menor inconveniente.
¿Está todo claro hasta ahora? Desgraciadamente es más complicado, ya que el individualismo y la indiferencia son armas, usadas sin disimular por quienes durante siglos han controlado todos los espacios políticos en todos los países y comunidades del mundo. La falsa idea de democracia se introduce en el discernimiento de todo ciudadano por todos los medios. A fuerza de oírlo, cada una de las mayorías trabajadoras acaba por darlo por hecho.
Las clases populares, que son nueve de cada diez personas (o incluso más) presentes en la sociedad, deberían prestar más atención durante las campañas electorales, para elegir desde la primera vuelta con una mayoría abrumadora, a una persona que no es miembro de una élite tradicional, sino más bien , de "nuestra" misma clase social, o al menos diferente de las propuestas reiteradamente repetidas por los distintos canales de prensa y redes sociales
Recordemos también el mensaje del politólogo alemán HERMANN SCHEER, que invita a las clases trabajadoras a unirse, a fundar asociaciones, a estudiar primero las causas y consecuencias de las políticas neo-liberales, y finalmente a buscar diagnósticos, establecer una estrategia democrática para recuperar el control y la gobernabilidad en favor de las mayorías
DÉFAUTS DE LA GOUVERNANCE
LES DÉFAUTS DE LA GOUVERNANCE
le lundi 26 décembre 2022 par (twitter) @gramophonefr ou @gramophone89
Même s’ils y sortent ici et là des opposants idéologiques, même s’il y a les rideaux de fumée, c’est-à-dire tout genre de sujet qui puisse se prêter à éveiller les passions du grand publique, comment l’avortement, le mariage pour des gens du même sexe, la prolifération des minorités, les féministes, et bien d’autres. Le destin de la terre entière reste un thème plus qu’important, simplement fondamental.
Quel discours pourrait être celui que vont transmettre touts les canaux donc dispose le système ?
Est-ce un discours raisonnable en faveur de l’harmonie, la paix et l’équilibre climatique?
Est-ce possible qu’un discours en faveur des meilleurs conditions de vie serait audible?
Doit-t-on commencer pour savoir c’est qu’est le bien et le mal, le bonheur et le malheur ?
e
Déjà nous sommes adeptes du plaisir, d’ailleurs lorsque le cerveaux humain, n’a un niveau de maturité suffisant, sont propriétaire est proie facile des addictions, même le désir sexuel, les sentiments amoureux, s’inscrivaient dans un procès de chimie ou une molécule nommé dopamine est présente. Il est nécessaire faire appel aux connaissances institutionnelles telles que les apports de Pavlov, Skinner, Piaget, entre autres pour avoir une approximation frêle du complexe labyrinthe au cerveau humain où ; après la présence de certains conditions, opèrent suffisamment des connections synaptiques pour conduire l’individu à une « réponse » qui est toujours « conséquence » dans un procès, qui permettrait des liaisons entre souvenirs, stimulus, et facteurs installés par l’environnement et les règles sociales.
La dopamine est un neurotransmetteur naturellement produite par le corps humain, il y bien d’autres substances chimiques, nécessaires pour permettre la communication dans le cerveau. C’est une partie du cerveau qui produit la dopamine, sont nom est l’hypothalamus, vraisemblablement vers la moelle épinière locus niger, et les corps striés dans la partie, le défit de la neuroscience de comprendre la dopamine signifie en quelques sortes comprendre comment naissent les pensées humaines.
Puisque nous sommes là, il est temps d’aborder un autre organe humain quelque fois renommé le deuxième cerveau, ce sont les intestins, et autre hormone du nom sérotonine, elle est liée à la satisfaction de la récompense, une autre forme de bonheur. La sérotonine est un néuromodulateur, c’est-à-dire une molécule produite par les neurones pour moduler la communication entre d’autres neurones dans notre cerveau. Les fonctions de la sérotonine sont nombreuses et encore peu décrites pour certaines. Elle est impliquée notamment dans la régulation des comportements, l’humeur, l’anxiété ou encore l’apprentissage. Elle serait également impliquée dans la motivation et la prise de décision. En augmentant la quantité de sérotonine disponible par le biais des inhibiteurs sélectifs de recapture de sérotonine il est possible de traiter des pathologies de type dépression profonde. Reste a étudier l’effet sur motivation et intérêt, pas encore suffisamment étudies, lors de ce genre de traitement.
Depuis un angle stoïque il est même probable répondre à tout dans le sens le plus arrangeant probable. Une critique importante qu’il faut faire au mysticisme, aux religions, au stoïcisme, les place comment les outils le plus puissant pour le contrôle de masses de puissance supérieur aux hormones, puisque la neuroscience aura grande ouverte la porte aux demiurges de la politique, qui par chance aujourd’hui, finissent « à moitié » démasquées, par des études, des thèses, des livres, que le quidam de base, hélas, n’osera jamais lire.
Nous sommes là en face des théories solidement installés avant que le développements et l’évolution des sciences puise mettre en claire des procès en temps réel dans le cerveau humain. C’est donc un règne sans partage, pendant de siècles, qui pour cela reste très ancré dans l’inconscient collectif. Il se croie depuis l’eudémonisme qu’il y a pas d’opposition probable entre bonheur et raison, dans le meilleur des mondes le bonheur « individuel » et donc supporté par ma raison de vivre. Hors cette base reste de nous jours adopté par plusieurs variantes donc l’exposant principal est l’école autrichienne (économie, 1947 avec Wilhelm Röpke, Ludwig Heinrich Edler von Mises et Friedrich August von Hayek) depuis 1947 et réponse à John Maynard Keynes (Bretton Woods 1944) ce qu’il y a du bon pour le stoïcisme ici est que moins de un pourcent (1%) des gens sur la terre, réussissent à recouper quatre-vingt-deux pour cent (82%) du fruit du travail (source organisation anglaise OXFAM, confirme à pue prêt par le journaliste CNN et écrivain Andres Oppenheimer lorsqu’il observe qu’un t-shirt produit au Pérou pour huit dollars (8US$) est vendu à New York pour quatre-vingt-cinq (85US$). Ici le stoïcisme permet à une infime minorité, de s’octroie un maximum de bénéfices grâce à l’individualisme et l’indifférence qui règne dans les frêles discernements des plus précaires, le tout supporté par pain et cirque, sans oublier le stoïcisme qui explique aux acolytes des diverses religions, sectes et similaires que le destin est ordonné par le ou les Dieux, donc il faut accepter les mandats de ou des dieux.
Pour conclure le discours proche des idéaux en faveur des majorités, fini bloqué par le pouvoir du système qui réussi à prendre le cerveaux humain tel de la patte à modeler, lire travaux de Raymond Aron, Michel Foucault, Noam Chomsky entre autres. Dit de manière plus claire, la conscience de « nous » les quidams est celle des zombies, ni plus ni moins, c’est là raison pour laquelle depuis Sarkozy seul des dangers pour la société auraient réussi à occuper le fauteuil de l’Élysée. La protection sociale sera abolie par l'ultra libéralisme si les classes populaires ne cherchent pas à se rassembler et se défendre avec les outils donc se dispose aujourd'hui, c'est à dire par un vote massif pour des véritables représentants du peuple
Le stoïcisme est une philosophie fondée à la fin du IVème siècle avant J.C par Zénon de Kition, philosophe grec d'origine phénicienne. Elle a pour but ultime la recherche de la sagesse morale et considère que la seule source du bonheur est la vertu, et non le plaisir. Termes antonymes : épicurisme, hédonisme.
Épictète (50 - 125) met fortement en avant la partie éthique de la philosophie. Bien qu'il enseigne également la logique stoïcienne, il insiste fortement sur la prépondérance de l'action et sa philosophie est avant tout pratique. Fidèle aux conceptions traditionnelles de l'école du portique, il présente l'Homme comme soumis à un destin rationnel (fatum stoicum) et inexorable, ordonné par les lois de la nature. Son enseignement se veut une méthode pour atteindre le bonheur en se concentrant uniquement sur ce qui dépend de nous et en acceptant tout décret du destin (dans le sens stoïcien). L'Homme doit donc accomplir son devoir en dépit des circonstances, en tenant compte de sa nature sociale et en considérant les autres de manière rationnelle et bienveillante.
La notion de destin, quelle que soit la manière dont on l’interprète, se réfère à l’homme et à ses actions. Dans l’imaginaire pré philosophique, les causes ou les mécanismes du destin étaient naturellement les dieux, les volontés, les passions et les actions – en un mot, les interventions des dieux dans le monde humain. Dans l’imaginaire tragique en particulier, ces interventions revêtaient souvent le caractère de l’incompréhensible, du point de vue humain, et de l’imprévu, plus souvent négatif que positif. La notion de destin se mêlait donc à celle de hasard (τAχη). Comme les interventions des dieux sont parfois des réactions directes aux actions de l’homme, le destin apparaît déjà en ce sens comme une conséquence des actions humaines. Dans ce cas, il y a, bien entendu, comme le montrent les exemples d’usage de la forme conditionnelle dans les prédictions oraculaires [3][3]Voir la note de Whittaker et Louis (1990), p. 134, n. 421., l’idée, réconfortante pour certaines personnes, que le destin est, du moins jusqu’à un certain point, prévisible ou même contrôlable, ce en quoi il se distingue du hasard.
La notion de destin (εδμαρμ≅νη, fatum) fut probablement introduite dans un contexte philosophique par Platon. On voit facilement cependant qu’il ne s’agit pas chez lui d’une véritable théorie sur un sujet philosophique déjà établi, comme ce sera le cas plus tard Sur le thème du destin dans la philosophie antique, voir…. Il reste que, pour les théories platoniciennes postérieures, les textes de Platon constituent des sources, encore peu techniques, à la fois des intuitions qui guident leurs développements et de leurs principaux éléments.
Envisageons d’abord l’idée du choix des vies dans le mythe d’Er au livre X de la République. Le récit commence vers 617 d 6, lorsque l’âme d’Er le Pamphylien entend le prêtre de Lachésis, l’une des trois Moires ou déesses du destin, prononcer un discours pour instruire les âmes avant que celles-ci ne fassent le choix de leur prochaine vie :
L’eudémonisme (du grec : εὐδαιμονία / eudaimonía, « béatitude ») est une doctrine philosophique posant comme principe que le bonheur est le but de la vie humaine. Le bonheur n'est pas perçu comme opposé à la raison, il en est la finalité naturelle. Ce lien entre raison et bonheur est particulièrement mis en avant par le stoïcisme mais se retrouve également dans d'autres courants philosophiques issus de l'époque hellénistique. Il se différencie de l'hédonisme, doctrine qui fixe le plaisir et non le bonheur comme but de la vie humaine.
On peut en revanche rattacher à l'eudémonisme la recherche de la félicité chez Spinoza ainsi que l'idéal du bonheur (ou bien) commun au XVIIIe siècle (Article er de la constitution française de 1793, utilitarisme, théorie de la main invisible d'Adam Smith, ).
L'eudémonisme qualifie les doctrines éthiques qui font du bonheur le souverain bien et le critère ultime de choix des actions humaines : c'est le cas depuis Socrate de la quasi-totalité des écoles de philosophie antiques, mais celles-ci s'opposent en ce qui concerne les moyens pour atteindre le bonheur1.
L'eudémonisme se fonde sur une confiance générale en l'être humain qui reste la clé irremplaçable de l'humanisme. La doctrine se concentre sur cette seule chance d'épanouissement que constitue la vie terrestre et c'est par conséquent à la réussite de cette vie, au bonheur immédiat ou rationalisé sur un temps long, tant au sien qu'à celui d'autrui, qu'elle consacre logiquement l'essentiel de son effort
DEFECTOS DE GOBERNANZA
Aunque surjan aquí y allá opositores ideológicos, aunque haya cortinas de humo, es decir cualquier tipo de tema que pueda prestarse a despertar las pasiones del gran público, como el aborto, el matrimonio entre personas del mismo sexo, la proliferación de minorías, feministas, y muchos otros. El destino de toda la tierra sigue siendo un tema más que importante, simplemente fundamental.
¿Qué discurso podría ser el que transmitirá todos los canales con los que cuenta el sistema?
¿Es este un discurso razonable a favor de la armonía, la paz y el equilibrio climático?
¿Es posible que se escuche un discurso a favor de mejores condiciones de vida?
¿Tenemos que empezar a saber lo que es bueno y malo, la felicidad y la infelicidad?
La neurociencia complementa la filosofía y la psicología
Ya somos seguidores del placer, más aún cuando el cerebro humano, no tiene un nivel de madurez suficiente, su dueño es presa fácil de las adicciones, incluso el deseo sexual, los sentimientos de amor, fueron parte de un proceso químico donde una molécula llamada dopamina es presente. Es necesario apelar a conocimientos institucionales como los aportes de Pavlov, Skinner, Piaget, entre otros para tener una frágil aproximación al complejo laberinto del cerebro humano donde; luego de la presencia de ciertas condiciones, operarían conexiones sinápticas suficientes para conducir al individuo a una "respuesta" que es siempre "consecuencia" en un proceso, lo que permitiría conexiones entre recuerdos, estímulos y factores instalados por el ambiente y las reglas sociales.
La dopamina es un neurotransmisor producido naturalmente por el cuerpo humano, hay otras sustancias químicas necesarias para permitir la comunicación en el cerebro, una parte del cerebro produce dopamina, su nombre es el hipotálamo, presumiblemente hacia la médula espinal locus niger, y los cuerpos estriados en parte, el desafío de la neurociencia para entender la dopamina significa de alguna manera entender cómo nacen los pensamientos humanos.
Ya que estamos aquí, es hora de abordar otro órgano humano a veces llamado el segundo cerebro, son los intestinos, y otra hormona llamada serotonina, está relacionada con la satisfacción de la recompensa, otra forma de felicidad. La serotonina es un neuromodulador, es decir, una molécula producida por las neuronas para modular la comunicación entre otras neuronas de nuestro cerebro. Las funciones de la serotonina son numerosas y todavía están mal descritas para algunos. Está implicado en particular en la regulación del comportamiento, el estado de ánimo, la ansiedad y el aprendizaje. Ella también estaría involucrada en la motivación y la toma de decisiones. Al aumentar la cantidad de serotonina disponible a través de los inhibidores selectivos de la recaptación de serotonina, es posible tratar patologías como la depresión profunda. Queda por estudiar el efecto sobre la motivación y el interés, aún no suficientemente estudiado, durante este tipo de tratamiento.
Desde un ángulo estoico, incluso es probable que responda a todo en el sentido más complaciente. Una crítica importante que se le debe hacer a la mística, a las religiones, al estoicismo, las ubica como las herramientas más poderosas para el control de masas de poder superiores a las hormonas, ya que la neurociencia tendrá la puerta abierta de par en par a los demiurgos de la política, quienes por el azar hoy, acaban "medio" desenmascarados, por estudios, tesis, libros, que la persona básica, ¡ay!, nunca se atreverá a leer.
Estamos ahí frente a las teorías firmemente establecidas antes de que los desarrollos y la evolución de las ciencias puedan poner en claro procesos en tiempo real en el cerebro humano. Es por tanto un reinado indiscutido, desde hace siglos, que por ello sigue muy anclado en el inconsciente colectivo. Se ha creído desde el eudemonismo que no hay oposición probable entre felicidad y razón, en el mejor de los mundos felicidad "individual" y por lo tanto sustentada en mi razón de vivir. Fuera de esta base sigue siendo hoy adoptado por varias variantes por lo que el principal exponente es la escuela austriaca (economía, 1947 con Wilhelm Röpke, Ludwig Heinrich Edler von Mises y Friedrich August von Hayek) desde 1947 y respuesta a John Maynard Keynes (Bretton Woods 1944) Lo que es bueno para el estoicismo aquí es que menos del uno por ciento (1%) de las personas en la tierra logran recortar el ochenta y dos por ciento (82%) del fruto del trabajo (fuente Organización inglesa OXFAM, confirmó por el periodista y escritor de CNN Andrés Oppenheimer cuando observa que una camiseta producida en Perú por ocho dólares (8US$) se vende en Nueva York por ochenta y cinco (85US$) Aquí el estoicismo permite que una ínfima minoría obtenga máximos beneficios gracias a el individualismo y la indiferencia que reina en los frágiles discernimientos de los más precarios, todo sostenido por el pan y el circo, sin olvidar el estoicismo que explica a los acólitos de las diversas religiones, sectas y similares que el destino lo ordena el dios(es) , por lo tanto, uno debe aceptar los mandatos de los dioses.
Para concluir el discurso cercano a los ideales a favor de las mayorías, terminó bloqueado por el poder del sistema que logra tomar el cerebro humano como una pata para modelar, leer las obras de Raymond Aron, Michel Foucault, Noam Chomsky entre otros. . Dicho más claramente, la conciencia de "nosotros" los legos es la de los zombis, ni más ni menos, por lo que desde Sarkozy solo los peligros para la sociedad habrían logrado ocupar la silla del Elíseo.
El estoicismo es una filosofía fundada a finales del siglo IV a.C. por Zenón de Kition, un filósofo griego de origen fenicio. Su fin último es la búsqueda de la sabiduría moral y considera que la única fuente de felicidad es la virtud, no el placer. Antónimos: epicúreo, hedonismo.
Epicteto (50 - 125) enfatiza fuertemente la parte ética de la filosofía. Aunque también enseña lógica estoica, enfatiza fuertemente la preponderancia de la acción y su filosofía es ante todo práctica. Fiel a las concepciones tradicionales de la escuela del pórtico, presenta al Hombre sujeto a un destino racional (fatum stoicum) e inexorable, ordenado por las leyes de la naturaleza. Su enseñanza pretende ser un método para alcanzar la felicidad centrándonos únicamente en lo que depende de nosotros y aceptando cualquier decreto del destino (en el sentido estoico). El hombre debe, por tanto, cumplir con su deber a pesar de las circunstancias, teniendo en cuenta su naturaleza social y considerando a los demás de manera racional y benévola.
La noción de destino, cualquiera que sea su interpretación, se refiere al hombre y sus acciones. En la imaginación prefilosófica, las causas o mecanismos del destino eran naturalmente los dioses, las voluntades, las pasiones y las acciones, en una palabra, las intervenciones de los dioses en el mundo humano. En la imaginación trágica en particular, estas intervenciones asumían a menudo el carácter de lo incomprensible, desde el punto de vista humano, y lo imprevisto, más a menudo negativo que positivo. La noción de destino se mezclaba, pues, con la de azar (τAχη). Como las intervenciones de los dioses son a veces reacciones directas a las acciones del hombre, el destino aparece ya en este sentido como consecuencia de las acciones humanas. En este caso la hay, por supuesto, como muestran los ejemplos de uso de la forma condicional en las predicciones oraculares [3][3]Véase la nota de Whittaker y Louis (1990), p. 134, núm. 421., la idea, reconfortante para algunas personas, de que el destino es, al menos hasta cierto punto, predecible o incluso controlable, es decir, lo que lo distingue del azar.
La noción de destino (εδμαρμ≅νη, fatum) probablemente fue introducida en un contexto filosófico por Platón. Es fácil ver, sin embargo, que para él no es una teoría real sobre un tema filosófico ya establecido, como será el caso más adelante. Sobre el tema del destino en la filosofía antigua, ver…. Resta que, para las teorías platónicas posteriores, los textos de Platón constituyen fuentes, todavía poco técnicas, tanto de las intuiciones que guían sus desarrollos como de sus elementos principales.
Consideremos primero la idea de elegir vidas en el mito de Er en el Libro X de la República. La historia comienza alrededor del 617 d 6, cuando el alma de Er el Panfilio escucha al sacerdote de Lachesis, una de las tres Parcas o diosas, pronunciar un discurso para instruir a las almas antes de que hagan la elección de su próxima vida:
El eudemonismo (del griego: εὐδαιμονία / eudaimonía, "bienaventuranza") es una doctrina filosófica que postula que la felicidad es la meta de la vida humana. La felicidad no se ve como opuesta a la razón, es su propósito natural. Este vínculo entre razón y felicidad es particularmente destacado por el estoicismo, pero también se encuentra en otras corrientes filosóficas del período helenístico. Se diferencia del hedonismo, doctrina que establece el placer y no la felicidad como fin de la vida humana.
Por otro lado, podemos vincular al eudemonismo la búsqueda de la felicidad en Spinoza así como el ideal de felicidad (o bien) común al siglo XVIII (artículo 1 de la constitución francesa de 1793, utilitarismo, teoría de la mano invisible de Adam Smith, ).
El eudaemonismo matiza las doctrinas éticas que hacen de la felicidad el bien supremo y el criterio último para elegir las acciones humanas: así ha sido desde Sócrates para casi todas las escuelas de filosofía antigua, pero se oponen en cuanto a los medios para alcanzar la felicidad.
El eudaemonismo se basa en una confianza general en los seres humanos, que sigue siendo la clave insustituible del humanismo. La doctrina se concentra en esta única posibilidad de realización que constituye la vida terrena y es por tanto al éxito de esta vida, a la felicidad inmediata o racionalizada a lo largo del tiempo, tanto para uno mismo como para los demás, que lógicamente dedica más de su esfuerzo.
le lundi 26 décembre 2022 par (twitter) @gramophonefr ou @gramophone89
Même s’ils y sortent ici et là des opposants idéologiques, même s’il y a les rideaux de fumée, c’est-à-dire tout genre de sujet qui puisse se prêter à éveiller les passions du grand publique, comment l’avortement, le mariage pour des gens du même sexe, la prolifération des minorités, les féministes, et bien d’autres. Le destin de la terre entière reste un thème plus qu’important, simplement fondamental.
LE DISCOURS INAUDIBLE
Quel discours pourrait être celui que vont transmettre touts les canaux donc dispose le système ?
Est-ce un discours raisonnable en faveur de l’harmonie, la paix et l’équilibre climatique?
Est-ce possible qu’un discours en faveur des meilleurs conditions de vie serait audible?
Doit-t-on commencer pour savoir c’est qu’est le bien et le mal, le bonheur et le malheur ?
Les neurosciences viennent complémenter la philosophie et la psychologi
e Déjà nous sommes adeptes du plaisir, d’ailleurs lorsque le cerveaux humain, n’a un niveau de maturité suffisant, sont propriétaire est proie facile des addictions, même le désir sexuel, les sentiments amoureux, s’inscrivaient dans un procès de chimie ou une molécule nommé dopamine est présente. Il est nécessaire faire appel aux connaissances institutionnelles telles que les apports de Pavlov, Skinner, Piaget, entre autres pour avoir une approximation frêle du complexe labyrinthe au cerveau humain où ; après la présence de certains conditions, opèrent suffisamment des connections synaptiques pour conduire l’individu à une « réponse » qui est toujours « conséquence » dans un procès, qui permettrait des liaisons entre souvenirs, stimulus, et facteurs installés par l’environnement et les règles sociales.
La dopamine est un neurotransmetteur naturellement produite par le corps humain, il y bien d’autres substances chimiques, nécessaires pour permettre la communication dans le cerveau. C’est une partie du cerveau qui produit la dopamine, sont nom est l’hypothalamus, vraisemblablement vers la moelle épinière locus niger, et les corps striés dans la partie, le défit de la neuroscience de comprendre la dopamine signifie en quelques sortes comprendre comment naissent les pensées humaines.
Puisque nous sommes là, il est temps d’aborder un autre organe humain quelque fois renommé le deuxième cerveau, ce sont les intestins, et autre hormone du nom sérotonine, elle est liée à la satisfaction de la récompense, une autre forme de bonheur. La sérotonine est un néuromodulateur, c’est-à-dire une molécule produite par les neurones pour moduler la communication entre d’autres neurones dans notre cerveau. Les fonctions de la sérotonine sont nombreuses et encore peu décrites pour certaines. Elle est impliquée notamment dans la régulation des comportements, l’humeur, l’anxiété ou encore l’apprentissage. Elle serait également impliquée dans la motivation et la prise de décision. En augmentant la quantité de sérotonine disponible par le biais des inhibiteurs sélectifs de recapture de sérotonine il est possible de traiter des pathologies de type dépression profonde. Reste a étudier l’effet sur motivation et intérêt, pas encore suffisamment étudies, lors de ce genre de traitement.
Depuis un angle stoïque il est même probable répondre à tout dans le sens le plus arrangeant probable. Une critique importante qu’il faut faire au mysticisme, aux religions, au stoïcisme, les place comment les outils le plus puissant pour le contrôle de masses de puissance supérieur aux hormones, puisque la neuroscience aura grande ouverte la porte aux demiurges de la politique, qui par chance aujourd’hui, finissent « à moitié » démasquées, par des études, des thèses, des livres, que le quidam de base, hélas, n’osera jamais lire.
Il y a du bon et du moins bon dans le stoïcisme
Nous sommes là en face des théories solidement installés avant que le développements et l’évolution des sciences puise mettre en claire des procès en temps réel dans le cerveau humain. C’est donc un règne sans partage, pendant de siècles, qui pour cela reste très ancré dans l’inconscient collectif. Il se croie depuis l’eudémonisme qu’il y a pas d’opposition probable entre bonheur et raison, dans le meilleur des mondes le bonheur « individuel » et donc supporté par ma raison de vivre. Hors cette base reste de nous jours adopté par plusieurs variantes donc l’exposant principal est l’école autrichienne (économie, 1947 avec Wilhelm Röpke, Ludwig Heinrich Edler von Mises et Friedrich August von Hayek) depuis 1947 et réponse à John Maynard Keynes (Bretton Woods 1944) ce qu’il y a du bon pour le stoïcisme ici est que moins de un pourcent (1%) des gens sur la terre, réussissent à recouper quatre-vingt-deux pour cent (82%) du fruit du travail (source organisation anglaise OXFAM, confirme à pue prêt par le journaliste CNN et écrivain Andres Oppenheimer lorsqu’il observe qu’un t-shirt produit au Pérou pour huit dollars (8US$) est vendu à New York pour quatre-vingt-cinq (85US$). Ici le stoïcisme permet à une infime minorité, de s’octroie un maximum de bénéfices grâce à l’individualisme et l’indifférence qui règne dans les frêles discernements des plus précaires, le tout supporté par pain et cirque, sans oublier le stoïcisme qui explique aux acolytes des diverses religions, sectes et similaires que le destin est ordonné par le ou les Dieux, donc il faut accepter les mandats de ou des dieux.
L’abolition du discernement par le biais des médiats et réseaux sociaux
Pour conclure le discours proche des idéaux en faveur des majorités, fini bloqué par le pouvoir du système qui réussi à prendre le cerveaux humain tel de la patte à modeler, lire travaux de Raymond Aron, Michel Foucault, Noam Chomsky entre autres. Dit de manière plus claire, la conscience de « nous » les quidams est celle des zombies, ni plus ni moins, c’est là raison pour laquelle depuis Sarkozy seul des dangers pour la société auraient réussi à occuper le fauteuil de l’Élysée. La protection sociale sera abolie par l'ultra libéralisme si les classes populaires ne cherchent pas à se rassembler et se défendre avec les outils donc se dispose aujourd'hui, c'est à dire par un vote massif pour des véritables représentants du peuple
Notes de sources diverses :
Le stoïcisme est une philosophie fondée à la fin du IVème siècle avant J.C par Zénon de Kition, philosophe grec d'origine phénicienne. Elle a pour but ultime la recherche de la sagesse morale et considère que la seule source du bonheur est la vertu, et non le plaisir. Termes antonymes : épicurisme, hédonisme.
Épictète (50 - 125) met fortement en avant la partie éthique de la philosophie. Bien qu'il enseigne également la logique stoïcienne, il insiste fortement sur la prépondérance de l'action et sa philosophie est avant tout pratique. Fidèle aux conceptions traditionnelles de l'école du portique, il présente l'Homme comme soumis à un destin rationnel (fatum stoicum) et inexorable, ordonné par les lois de la nature. Son enseignement se veut une méthode pour atteindre le bonheur en se concentrant uniquement sur ce qui dépend de nous et en acceptant tout décret du destin (dans le sens stoïcien). L'Homme doit donc accomplir son devoir en dépit des circonstances, en tenant compte de sa nature sociale et en considérant les autres de manière rationnelle et bienveillante.
La notion de destin, quelle que soit la manière dont on l’interprète, se réfère à l’homme et à ses actions. Dans l’imaginaire pré philosophique, les causes ou les mécanismes du destin étaient naturellement les dieux, les volontés, les passions et les actions – en un mot, les interventions des dieux dans le monde humain. Dans l’imaginaire tragique en particulier, ces interventions revêtaient souvent le caractère de l’incompréhensible, du point de vue humain, et de l’imprévu, plus souvent négatif que positif. La notion de destin se mêlait donc à celle de hasard (τAχη). Comme les interventions des dieux sont parfois des réactions directes aux actions de l’homme, le destin apparaît déjà en ce sens comme une conséquence des actions humaines. Dans ce cas, il y a, bien entendu, comme le montrent les exemples d’usage de la forme conditionnelle dans les prédictions oraculaires [3][3]Voir la note de Whittaker et Louis (1990), p. 134, n. 421., l’idée, réconfortante pour certaines personnes, que le destin est, du moins jusqu’à un certain point, prévisible ou même contrôlable, ce en quoi il se distingue du hasard.
La notion de destin (εδμαρμ≅νη, fatum) fut probablement introduite dans un contexte philosophique par Platon. On voit facilement cependant qu’il ne s’agit pas chez lui d’une véritable théorie sur un sujet philosophique déjà établi, comme ce sera le cas plus tard Sur le thème du destin dans la philosophie antique, voir…. Il reste que, pour les théories platoniciennes postérieures, les textes de Platon constituent des sources, encore peu techniques, à la fois des intuitions qui guident leurs développements et de leurs principaux éléments.
Envisageons d’abord l’idée du choix des vies dans le mythe d’Er au livre X de la République. Le récit commence vers 617 d 6, lorsque l’âme d’Er le Pamphylien entend le prêtre de Lachésis, l’une des trois Moires ou déesses du destin, prononcer un discours pour instruire les âmes avant que celles-ci ne fassent le choix de leur prochaine vie :
L’eudémonisme (du grec : εὐδαιμονία / eudaimonía, « béatitude ») est une doctrine philosophique posant comme principe que le bonheur est le but de la vie humaine. Le bonheur n'est pas perçu comme opposé à la raison, il en est la finalité naturelle. Ce lien entre raison et bonheur est particulièrement mis en avant par le stoïcisme mais se retrouve également dans d'autres courants philosophiques issus de l'époque hellénistique. Il se différencie de l'hédonisme, doctrine qui fixe le plaisir et non le bonheur comme but de la vie humaine.
On peut en revanche rattacher à l'eudémonisme la recherche de la félicité chez Spinoza ainsi que l'idéal du bonheur (ou bien) commun au XVIIIe siècle (Article er de la constitution française de 1793, utilitarisme, théorie de la main invisible d'Adam Smith, ).
L'eudémonisme qualifie les doctrines éthiques qui font du bonheur le souverain bien et le critère ultime de choix des actions humaines : c'est le cas depuis Socrate de la quasi-totalité des écoles de philosophie antiques, mais celles-ci s'opposent en ce qui concerne les moyens pour atteindre le bonheur1.
L'eudémonisme se fonde sur une confiance générale en l'être humain qui reste la clé irremplaçable de l'humanisme. La doctrine se concentre sur cette seule chance d'épanouissement que constitue la vie terrestre et c'est par conséquent à la réussite de cette vie, au bonheur immédiat ou rationalisé sur un temps long, tant au sien qu'à celui d'autrui, qu'elle consacre logiquement l'essentiel de son effort
DEFECTOS DE GOBERNANZA
Aunque surjan aquí y allá opositores ideológicos, aunque haya cortinas de humo, es decir cualquier tipo de tema que pueda prestarse a despertar las pasiones del gran público, como el aborto, el matrimonio entre personas del mismo sexo, la proliferación de minorías, feministas, y muchos otros. El destino de toda la tierra sigue siendo un tema más que importante, simplemente fundamental.
EL DISCURSO INAUDIBLE
¿Qué discurso podría ser el que transmitirá todos los canales con los que cuenta el sistema?
¿Es este un discurso razonable a favor de la armonía, la paz y el equilibrio climático?
¿Es posible que se escuche un discurso a favor de mejores condiciones de vida?
¿Tenemos que empezar a saber lo que es bueno y malo, la felicidad y la infelicidad?
La neurociencia complementa la filosofía y la psicología
Ya somos seguidores del placer, más aún cuando el cerebro humano, no tiene un nivel de madurez suficiente, su dueño es presa fácil de las adicciones, incluso el deseo sexual, los sentimientos de amor, fueron parte de un proceso químico donde una molécula llamada dopamina es presente. Es necesario apelar a conocimientos institucionales como los aportes de Pavlov, Skinner, Piaget, entre otros para tener una frágil aproximación al complejo laberinto del cerebro humano donde; luego de la presencia de ciertas condiciones, operarían conexiones sinápticas suficientes para conducir al individuo a una "respuesta" que es siempre "consecuencia" en un proceso, lo que permitiría conexiones entre recuerdos, estímulos y factores instalados por el ambiente y las reglas sociales.
La dopamina es un neurotransmisor producido naturalmente por el cuerpo humano, hay otras sustancias químicas necesarias para permitir la comunicación en el cerebro, una parte del cerebro produce dopamina, su nombre es el hipotálamo, presumiblemente hacia la médula espinal locus niger, y los cuerpos estriados en parte, el desafío de la neurociencia para entender la dopamina significa de alguna manera entender cómo nacen los pensamientos humanos.
Ya que estamos aquí, es hora de abordar otro órgano humano a veces llamado el segundo cerebro, son los intestinos, y otra hormona llamada serotonina, está relacionada con la satisfacción de la recompensa, otra forma de felicidad. La serotonina es un neuromodulador, es decir, una molécula producida por las neuronas para modular la comunicación entre otras neuronas de nuestro cerebro. Las funciones de la serotonina son numerosas y todavía están mal descritas para algunos. Está implicado en particular en la regulación del comportamiento, el estado de ánimo, la ansiedad y el aprendizaje. Ella también estaría involucrada en la motivación y la toma de decisiones. Al aumentar la cantidad de serotonina disponible a través de los inhibidores selectivos de la recaptación de serotonina, es posible tratar patologías como la depresión profunda. Queda por estudiar el efecto sobre la motivación y el interés, aún no suficientemente estudiado, durante este tipo de tratamiento.
Desde un ángulo estoico, incluso es probable que responda a todo en el sentido más complaciente. Una crítica importante que se le debe hacer a la mística, a las religiones, al estoicismo, las ubica como las herramientas más poderosas para el control de masas de poder superiores a las hormonas, ya que la neurociencia tendrá la puerta abierta de par en par a los demiurgos de la política, quienes por el azar hoy, acaban "medio" desenmascarados, por estudios, tesis, libros, que la persona básica, ¡ay!, nunca se atreverá a leer.
Hay bueno y malo en el estoicismo.
Estamos ahí frente a las teorías firmemente establecidas antes de que los desarrollos y la evolución de las ciencias puedan poner en claro procesos en tiempo real en el cerebro humano. Es por tanto un reinado indiscutido, desde hace siglos, que por ello sigue muy anclado en el inconsciente colectivo. Se ha creído desde el eudemonismo que no hay oposición probable entre felicidad y razón, en el mejor de los mundos felicidad "individual" y por lo tanto sustentada en mi razón de vivir. Fuera de esta base sigue siendo hoy adoptado por varias variantes por lo que el principal exponente es la escuela austriaca (economía, 1947 con Wilhelm Röpke, Ludwig Heinrich Edler von Mises y Friedrich August von Hayek) desde 1947 y respuesta a John Maynard Keynes (Bretton Woods 1944) Lo que es bueno para el estoicismo aquí es que menos del uno por ciento (1%) de las personas en la tierra logran recortar el ochenta y dos por ciento (82%) del fruto del trabajo (fuente Organización inglesa OXFAM, confirmó por el periodista y escritor de CNN Andrés Oppenheimer cuando observa que una camiseta producida en Perú por ocho dólares (8US$) se vende en Nueva York por ochenta y cinco (85US$) Aquí el estoicismo permite que una ínfima minoría obtenga máximos beneficios gracias a el individualismo y la indiferencia que reina en los frágiles discernimientos de los más precarios, todo sostenido por el pan y el circo, sin olvidar el estoicismo que explica a los acólitos de las diversas religiones, sectas y similares que el destino lo ordena el dios(es) , por lo tanto, uno debe aceptar los mandatos de los dioses.
La abolición del discernimiento a través de los medios de comunicación y las redes sociales
Para concluir el discurso cercano a los ideales a favor de las mayorías, terminó bloqueado por el poder del sistema que logra tomar el cerebro humano como una pata para modelar, leer las obras de Raymond Aron, Michel Foucault, Noam Chomsky entre otros. . Dicho más claramente, la conciencia de "nosotros" los legos es la de los zombis, ni más ni menos, por lo que desde Sarkozy solo los peligros para la sociedad habrían logrado ocupar la silla del Elíseo.
Notas de varias fuentes:
El estoicismo es una filosofía fundada a finales del siglo IV a.C. por Zenón de Kition, un filósofo griego de origen fenicio. Su fin último es la búsqueda de la sabiduría moral y considera que la única fuente de felicidad es la virtud, no el placer. Antónimos: epicúreo, hedonismo.
Epicteto (50 - 125) enfatiza fuertemente la parte ética de la filosofía. Aunque también enseña lógica estoica, enfatiza fuertemente la preponderancia de la acción y su filosofía es ante todo práctica. Fiel a las concepciones tradicionales de la escuela del pórtico, presenta al Hombre sujeto a un destino racional (fatum stoicum) e inexorable, ordenado por las leyes de la naturaleza. Su enseñanza pretende ser un método para alcanzar la felicidad centrándonos únicamente en lo que depende de nosotros y aceptando cualquier decreto del destino (en el sentido estoico). El hombre debe, por tanto, cumplir con su deber a pesar de las circunstancias, teniendo en cuenta su naturaleza social y considerando a los demás de manera racional y benévola.
La noción de destino, cualquiera que sea su interpretación, se refiere al hombre y sus acciones. En la imaginación prefilosófica, las causas o mecanismos del destino eran naturalmente los dioses, las voluntades, las pasiones y las acciones, en una palabra, las intervenciones de los dioses en el mundo humano. En la imaginación trágica en particular, estas intervenciones asumían a menudo el carácter de lo incomprensible, desde el punto de vista humano, y lo imprevisto, más a menudo negativo que positivo. La noción de destino se mezclaba, pues, con la de azar (τAχη). Como las intervenciones de los dioses son a veces reacciones directas a las acciones del hombre, el destino aparece ya en este sentido como consecuencia de las acciones humanas. En este caso la hay, por supuesto, como muestran los ejemplos de uso de la forma condicional en las predicciones oraculares [3][3]Véase la nota de Whittaker y Louis (1990), p. 134, núm. 421., la idea, reconfortante para algunas personas, de que el destino es, al menos hasta cierto punto, predecible o incluso controlable, es decir, lo que lo distingue del azar.
La noción de destino (εδμαρμ≅νη, fatum) probablemente fue introducida en un contexto filosófico por Platón. Es fácil ver, sin embargo, que para él no es una teoría real sobre un tema filosófico ya establecido, como será el caso más adelante. Sobre el tema del destino en la filosofía antigua, ver…. Resta que, para las teorías platónicas posteriores, los textos de Platón constituyen fuentes, todavía poco técnicas, tanto de las intuiciones que guían sus desarrollos como de sus elementos principales.
Consideremos primero la idea de elegir vidas en el mito de Er en el Libro X de la República. La historia comienza alrededor del 617 d 6, cuando el alma de Er el Panfilio escucha al sacerdote de Lachesis, una de las tres Parcas o diosas, pronunciar un discurso para instruir a las almas antes de que hagan la elección de su próxima vida:
El eudemonismo (del griego: εὐδαιμονία / eudaimonía, "bienaventuranza") es una doctrina filosófica que postula que la felicidad es la meta de la vida humana. La felicidad no se ve como opuesta a la razón, es su propósito natural. Este vínculo entre razón y felicidad es particularmente destacado por el estoicismo, pero también se encuentra en otras corrientes filosóficas del período helenístico. Se diferencia del hedonismo, doctrina que establece el placer y no la felicidad como fin de la vida humana.
Por otro lado, podemos vincular al eudemonismo la búsqueda de la felicidad en Spinoza así como el ideal de felicidad (o bien) común al siglo XVIII (artículo 1 de la constitución francesa de 1793, utilitarismo, teoría de la mano invisible de Adam Smith, ).
El eudaemonismo matiza las doctrinas éticas que hacen de la felicidad el bien supremo y el criterio último para elegir las acciones humanas: así ha sido desde Sócrates para casi todas las escuelas de filosofía antigua, pero se oponen en cuanto a los medios para alcanzar la felicidad.
El eudaemonismo se basa en una confianza general en los seres humanos, que sigue siendo la clave insustituible del humanismo. La doctrina se concentra en esta única posibilidad de realización que constituye la vida terrena y es por tanto al éxito de esta vida, a la felicidad inmediata o racionalizada a lo largo del tiempo, tanto para uno mismo como para los demás, que lógicamente dedica más de su esfuerzo.
LOS PROCESOS DE PAZ
Sobre el proceso de paz
Escrito en Barcelona el lunes 26 de diciembre 2022 por (Twitter) @gramophonefr @gramophone89
La paz es más que un estado social, una consecuencia, de una lista importante de condiciones.
Una de las primeras condiciones está íntimamente en relación con el indice de GINI, más útil en términos de bienestar social que el PIB. Desde luego que toda acción destinada a llevar al dialogo las partes en conflicto es ya un paso de gran importancia para un proceso de paz.
Es desde todo punto de vista ingenuo, suponer que los diferentes tratados firmados en algunos países podrían significar el paro integral de las hostilidades.
La credibilidad de la prensa se vería ampliamente beneficiada, con la presencia de gente con licencia pero suficientemente “imparcial” para asumir la realidad de fondo en este genero de conflictos.
Si bien los intelectuales de la familia ultra-liberal, intentan incrustar en el discernimiento popular la absurda idea de un proceso de paz, que estaría generado solo por las firmas sobre un trozo de papel. Es evidente que esa conducta esta induciendo la opinión en un error.
Primero porque si bien un acuerdo puede llevar una parte de grupos alzados en armas a asumir una vida civil, de una parte, esto ya ha ocurrido en Colombia, y muchos de los firmantes, han terminado asesinados.
En segundo lugar y basados sobre la experiencia, parte de los insurgentes se oponen a los acuerdos, dejando en consecuencia el país sometido a la violencia. Peor aún otras formas de violencia, continúan pues es extremamente violento, morirse por falta de servicios de salud, mientras los propietarios de las EPS, pasan excelentes vacaciones en Europa, en las Bahamas, la delincuencia común, otra forma de violencia consecuencia directa de la situación precaria de setenta por ciento de la población. Sin olvidar que la mitad de los dineros del estado destinados a mejorar las infraestructuras se desaparece en corrupción. La corrupción es una forma de violencia porque incrementa la miseria.
Escrito en Barcelona el lunes 26 de diciembre 2022 por (Twitter) @gramophonefr @gramophone89
La paz es más que un estado social, una consecuencia, de una lista importante de condiciones.
Una de las primeras condiciones está íntimamente en relación con el indice de GINI, más útil en términos de bienestar social que el PIB. Desde luego que toda acción destinada a llevar al dialogo las partes en conflicto es ya un paso de gran importancia para un proceso de paz.
Es desde todo punto de vista ingenuo, suponer que los diferentes tratados firmados en algunos países podrían significar el paro integral de las hostilidades.
La credibilidad de la prensa se vería ampliamente beneficiada, con la presencia de gente con licencia pero suficientemente “imparcial” para asumir la realidad de fondo en este genero de conflictos.
Si bien los intelectuales de la familia ultra-liberal, intentan incrustar en el discernimiento popular la absurda idea de un proceso de paz, que estaría generado solo por las firmas sobre un trozo de papel. Es evidente que esa conducta esta induciendo la opinión en un error.
Primero porque si bien un acuerdo puede llevar una parte de grupos alzados en armas a asumir una vida civil, de una parte, esto ya ha ocurrido en Colombia, y muchos de los firmantes, han terminado asesinados.
En segundo lugar y basados sobre la experiencia, parte de los insurgentes se oponen a los acuerdos, dejando en consecuencia el país sometido a la violencia. Peor aún otras formas de violencia, continúan pues es extremamente violento, morirse por falta de servicios de salud, mientras los propietarios de las EPS, pasan excelentes vacaciones en Europa, en las Bahamas, la delincuencia común, otra forma de violencia consecuencia directa de la situación precaria de setenta por ciento de la población. Sin olvidar que la mitad de los dineros del estado destinados a mejorar las infraestructuras se desaparece en corrupción. La corrupción es una forma de violencia porque incrementa la miseria.
LA MUSICA UNA MANERA DE GANAR MUCHO DINERO
Lyanno, Rauw Alejandro - Poderosa
La música es una forma de arte, es un componente indispensable de la cultura de los pueblos, es absolutamente natural que cada generación, escoja su genero musical, dentro del cual, necesariamente encontraría un abanico amplio de artistas.
La industria de la música, representa un movimiento fenomenal de dinero En 2021, los ingresos de música grabada en los Estados Unidos crecieron un 23 % a 15,000 millones de dólares en ventas minoristas estimadas valor. Todos los principales formatos de música crecieron en comparación con el año anterior, con la excepción de las descargas digitales. Las suscripciones pagas continuaron siendo el mayor motor de crecimiento, lo que resultó en la sexta vez consecutiva año de crecimiento de los ingresos de la música. A valor mayorista, los ingresos de 2021 aumentaron un 22% a 9.8 mil millones de dólares. En términos nominales, estos niveles de ingresos superan el récord de 14.6 mil millones de dólares reportado en 1999, pero Las cifras ajustadas por inflación de 2021 se mantienen un 37 % por debajo de ese nivel de valor.
Los géneros de música, se ven afectados por los cambios de generación, así que por la moda. Solo aquellas personas que al vivir de la canción, comprenden estas dos claves, logran por su adaptación mantenerse en el mercado. Por las demás personas, queda el factor nostalgia, es decir que por no citar gentes de la tercera edad escucharan música de los años cincuenta.
Surge un tema polémico en cuanto al folclor, puesto que se trata de formas autóctonas de música, que serían desalojadas por una producción de moda, que gusta a las nuevas generaciones. Habría necesariamente desacuerdo vehemente entre los gustos de personas de diferentes generaciones, en cuanto más años hubiese de diferencia mayor es la talla del desacuerdo.
Las nuevas generaciones no tendrían niveles de empatía suficientes, SIN GENERALIZAR para aceptar que otro genero de música, ademas de ser “nuestra” pudiesen ser escuchados. La explicación se encuentra en una palabra clave: “IMPERIALISMO” los géneros musicales que no son autóctonos, que son impuestos, por todos los canales, para mejorar las ventas, terminan permitiendo que las grandes industrias aumenten su capital, destruyendo el folclor, la cultura autóctona de los pueblos.
La musique est une forme d'art, c'est une composante indispensable de la culture du peuple, il est tout à fait naturel que chaque génération choisisse son genre musical, au sein duquel elle trouverait nécessairement un large éventail d'artistes.
L'industrie de la musique représente un mouvement d'argent phénoménal En 2021, les revenus de la musique enregistrée aux États-Unis ont augmenté de 23 % pour atteindre 15 milliards de dollars en valeur estimée des ventes au détail. Tous les principaux formats de musique ont progressé par rapport à l'année précédente, à l'exception des téléchargements numériques. Les abonnements payants ont continué d'être le principal moteur de croissance, entraînant la sixième année consécutive de croissance des revenus de la musique. À la valeur de gros, les revenus de 2021 ont augmenté de 22 % pour atteindre 9,8 milliards de dollars. En termes nominaux, ces niveaux de revenus dépassent le record de 14,6 milliards de dollars enregistré en 1999, mais les chiffres de 2021 corrigés de l'inflation restent inférieurs de 37 % à ce niveau de valeur.
Les genres musicaux sont affectés par les changements de génération, ainsi que par la mode. Seuls ceux qui, en vivant de la chanson, comprennent ces deux clés, parviennent à rester sur le marché grâce à leur adaptation. Pour le reste du peuple, le facteur nostalgie demeure, c'est-à-dire que, sans parler des personnes du troisième âge, ils vont écouter de la musique des années 50.
Une question controversée se pose en matière de folklore, puisqu'il s'agit de musiques autochtones, qui seraient supplantées par une production à la mode, appréciée des nouvelles générations. Il y aurait nécessairement un désaccord véhément entre les goûts des personnes de générations différentes, plus il y avait d'années de différence, plus l'ampleur du désaccord était grande.
Les nouvelles générations n'auraient pas des niveaux d'empathie suffisants, SANS GÉNÉRALISER pour accepter qu'un autre genre de musique, en plus d'être « le nôtre », puisse se faire entendre. L'explication se trouve dans un mot clé : « IMPERIALISME » les genres musicaux qui ne sont pas autochtones, qui s'imposent, par toutes les filières, pour améliorer les ventes, finissent par permettre aux grandes industries d'augmenter leur capital, détruisant le folklore, la culture indigène au peuples.
La música es una forma de arte, es un componente indispensable de la cultura de los pueblos, es absolutamente natural que cada generación, escoja su genero musical, dentro del cual, necesariamente encontraría un abanico amplio de artistas.
Fundamentalmente la música permite a algunas personas de vivir muy bien
La industria de la música, representa un movimiento fenomenal de dinero En 2021, los ingresos de música grabada en los Estados Unidos crecieron un 23 % a 15,000 millones de dólares en ventas minoristas estimadas valor. Todos los principales formatos de música crecieron en comparación con el año anterior, con la excepción de las descargas digitales. Las suscripciones pagas continuaron siendo el mayor motor de crecimiento, lo que resultó en la sexta vez consecutiva año de crecimiento de los ingresos de la música. A valor mayorista, los ingresos de 2021 aumentaron un 22% a 9.8 mil millones de dólares. En términos nominales, estos niveles de ingresos superan el récord de 14.6 mil millones de dólares reportado en 1999, pero Las cifras ajustadas por inflación de 2021 se mantienen un 37 % por debajo de ese nivel de valor.
Los géneros de música, se ven afectados por los cambios de generación, así que por la moda. Solo aquellas personas que al vivir de la canción, comprenden estas dos claves, logran por su adaptación mantenerse en el mercado. Por las demás personas, queda el factor nostalgia, es decir que por no citar gentes de la tercera edad escucharan música de los años cincuenta.
Surge un tema polémico en cuanto al folclor, puesto que se trata de formas autóctonas de música, que serían desalojadas por una producción de moda, que gusta a las nuevas generaciones. Habría necesariamente desacuerdo vehemente entre los gustos de personas de diferentes generaciones, en cuanto más años hubiese de diferencia mayor es la talla del desacuerdo.
¿Se debería buscar un terreno de tolerancia?
Las nuevas generaciones no tendrían niveles de empatía suficientes, SIN GENERALIZAR para aceptar que otro genero de música, ademas de ser “nuestra” pudiesen ser escuchados. La explicación se encuentra en una palabra clave: “IMPERIALISMO” los géneros musicales que no son autóctonos, que son impuestos, por todos los canales, para mejorar las ventas, terminan permitiendo que las grandes industrias aumenten su capital, destruyendo el folclor, la cultura autóctona de los pueblos.
La musique est une forme d'art, c'est une composante indispensable de la culture du peuple, il est tout à fait naturel que chaque génération choisisse son genre musical, au sein duquel elle trouverait nécessairement un large éventail d'artistes.
Fondamentalement, la musique permet à certaines personnes de très bien vivre
L'industrie de la musique représente un mouvement d'argent phénoménal En 2021, les revenus de la musique enregistrée aux États-Unis ont augmenté de 23 % pour atteindre 15 milliards de dollars en valeur estimée des ventes au détail. Tous les principaux formats de musique ont progressé par rapport à l'année précédente, à l'exception des téléchargements numériques. Les abonnements payants ont continué d'être le principal moteur de croissance, entraînant la sixième année consécutive de croissance des revenus de la musique. À la valeur de gros, les revenus de 2021 ont augmenté de 22 % pour atteindre 9,8 milliards de dollars. En termes nominaux, ces niveaux de revenus dépassent le record de 14,6 milliards de dollars enregistré en 1999, mais les chiffres de 2021 corrigés de l'inflation restent inférieurs de 37 % à ce niveau de valeur.
Les genres musicaux sont affectés par les changements de génération, ainsi que par la mode. Seuls ceux qui, en vivant de la chanson, comprennent ces deux clés, parviennent à rester sur le marché grâce à leur adaptation. Pour le reste du peuple, le facteur nostalgie demeure, c'est-à-dire que, sans parler des personnes du troisième âge, ils vont écouter de la musique des années 50.
Une question controversée se pose en matière de folklore, puisqu'il s'agit de musiques autochtones, qui seraient supplantées par une production à la mode, appréciée des nouvelles générations. Il y aurait nécessairement un désaccord véhément entre les goûts des personnes de générations différentes, plus il y avait d'années de différence, plus l'ampleur du désaccord était grande.
Faut-il chercher un terrain de tolérance ?
Les nouvelles générations n'auraient pas des niveaux d'empathie suffisants, SANS GÉNÉRALISER pour accepter qu'un autre genre de musique, en plus d'être « le nôtre », puisse se faire entendre. L'explication se trouve dans un mot clé : « IMPERIALISME » les genres musicaux qui ne sont pas autochtones, qui s'imposent, par toutes les filières, pour améliorer les ventes, finissent par permettre aux grandes industries d'augmenter leur capital, détruisant le folklore, la culture indigène au peuples.
sobre la farsa de democracia
gobernabilidad, ideologías y coaliciones
Escrito el 28 de diciembre 2022
La democracia desde su definición etimológica no solo sugiere sino que exige que la gestión de los intereses de los ciudadanos, se otorgue de manera indiscriminada a personas que representen LITERALMENTE las mayorías. Por haber logrado, asistir a espacios de TWITTER donde desde el titulo su sugeriría, que personas de ideologías opuestas, logren llegar a un terreno de consenso, podría avanzar (de manera arbitraría)
El debate filosófico sobre los temas centrales de la relación modernidad – posmodernidad no ha perdido vigencia y más bien se ha desplazado hacia sus connotaciones gnoseológica y epistemológica, es decir, hacia las polémicas referidas a la relación Filosofía – Ciencia, dentro de la cual ocupa un lugar especial el tema de la ideología. En esta primera década del tercer milenio se recrudece la labor desideologizadora del imperialismo como parte de su política hegemónica fundada en la globalización neo-liberal. Ante la desenfrenada carrera por el dominio del mundo y las crecientes calamidades sociales y ambientales generadas por el capitalismo salvaje, se precisa de una verdadera y profunda revolución en las ideas, Como modesta contribución a esta batalla se presenta este trabajo con el objetivo de sistematizar los diversos enfoques del concepto de ideología y su expresión en el contexto del debate filosófico de lo moderno y lo postmoderno.
Si desde una visión general, la más imparcial y tangible, la humanidad esta enterada por la facilidad y la agilidad de las redes sociales, debemos admitir sin la sombra de una duda que el 14 de enero del año 2011 Zine el-Abidine Ben Ali es destituido luego de diez días, por un proceso donde las redes sociales coadyuvaron. Pero no se puede omitir una realidad discreta y es que los lideres de países del tercer mundo son soportados, asesorados, por potencias extranjeras, por lo tanto son protegidos y de todas maneras reciben el apoyo logístico, de inteligencia, hasta el día en que la potencia, estima, incomodo continuar exponiéndose ante la opinión internacional, podríamos recuperar las entrevistas a los medios de comunicación de la señora Michèle Alliot-Marie ministra de justicia hasta noviembre 2010 del gobierno de Nicolas Sarkozy que a la época facilitaba el aporte de material especializado anti – revuelta.
En cuanto a servicios secretos de inteligencia, en todos los países, fundamentalmente del tercer mundo desde los años setenta, la administración de universidades, fue progresivamente encomendada sea informantes, sea a especialistas de servicios secretos. Esta táctica se inscribe en un programa coordinado desde la CIA, Interpol y el MOSSAD, para erradicar toda incubación, de focos ideológicos divergentes frente al imperialismo ultra-liberal, al tiempo que se favorecía sistemáticamente la intervención de profesores con cátedra epistemológica arrodillada.
Este proceso permite que desde los años 90 a nuestros días los egresados de universidades latinoamericanas, estén formateados, para comportarse como un Psittacidae. Algunos eminentes catedráticos de grandes universidades en Estados Unidos « sin embargo » logran preservar no sin dificultad la libertad de consciencia y sobre todo la independencia de la sociología, incluso en Inglaterra se dispone de especialistas en flujos bancarios como es John Christensen, quien conoce con lujo de detalles, el funcionamiento de la evasión fiscale vía los paraísos fiscales
Intervención de Noam Chomsky en la universidad de Boston:
Andrés Oppenheimer nos habla de especulación :
https://rpp.pe/mundo/latinoamerica/andres-oppenheimer-un-polo-ralph-lauren-que-se-produce-en-peru-vale-us-85-en-miami-y-solo-us-85-dolares-va-al-productor-peruano-noticia-1073492
Oxfam nos presenta unas cifras similares por el año 2018:
https://www.oxfam.org/es/notas-prensa/el-1-mas-rico-de-la-poblacion-mundial-acaparo-el-82-de-la-riqueza-generada-el-ano
Intervención de John Christensen sobre la especulación:
Sobre la base de tesis, con metodología, de libros densos, de opiniones de premios Nobel, como es el caso de Joseph E. Stiglitz:
Las multinacionales abusan de la legislación para salir impunes:
Hoy los laboratorios farmacéuticos abusan de la legislación para asesinar:
Oclusión directa entre delincuentes, gobiernos y multinacionales
Podemos constatar que hoy los gobiernos, se comportan como servidores de las grandes multinacionales, por la via del lobby:
Que podría quedar de la noción de democracia si la legislación hoy es impuesta en favor de los intereses de grande multinacionales
Escrito el 28 de diciembre 2022
La democracia desde su definición etimológica no solo sugiere sino que exige que la gestión de los intereses de los ciudadanos, se otorgue de manera indiscriminada a personas que representen LITERALMENTE las mayorías. Por haber logrado, asistir a espacios de TWITTER donde desde el titulo su sugeriría, que personas de ideologías opuestas, logren llegar a un terreno de consenso, podría avanzar (de manera arbitraría)
El debate filosófico sobre los temas centrales de la relación modernidad – posmodernidad no ha perdido vigencia y más bien se ha desplazado hacia sus connotaciones gnoseológica y epistemológica, es decir, hacia las polémicas referidas a la relación Filosofía – Ciencia, dentro de la cual ocupa un lugar especial el tema de la ideología. En esta primera década del tercer milenio se recrudece la labor desideologizadora del imperialismo como parte de su política hegemónica fundada en la globalización neo-liberal. Ante la desenfrenada carrera por el dominio del mundo y las crecientes calamidades sociales y ambientales generadas por el capitalismo salvaje, se precisa de una verdadera y profunda revolución en las ideas, Como modesta contribución a esta batalla se presenta este trabajo con el objetivo de sistematizar los diversos enfoques del concepto de ideología y su expresión en el contexto del debate filosófico de lo moderno y lo postmoderno.
Si desde una visión general, la más imparcial y tangible, la humanidad esta enterada por la facilidad y la agilidad de las redes sociales, debemos admitir sin la sombra de una duda que el 14 de enero del año 2011 Zine el-Abidine Ben Ali es destituido luego de diez días, por un proceso donde las redes sociales coadyuvaron. Pero no se puede omitir una realidad discreta y es que los lideres de países del tercer mundo son soportados, asesorados, por potencias extranjeras, por lo tanto son protegidos y de todas maneras reciben el apoyo logístico, de inteligencia, hasta el día en que la potencia, estima, incomodo continuar exponiéndose ante la opinión internacional, podríamos recuperar las entrevistas a los medios de comunicación de la señora Michèle Alliot-Marie ministra de justicia hasta noviembre 2010 del gobierno de Nicolas Sarkozy que a la época facilitaba el aporte de material especializado anti – revuelta.
En cuanto a servicios secretos de inteligencia, en todos los países, fundamentalmente del tercer mundo desde los años setenta, la administración de universidades, fue progresivamente encomendada sea informantes, sea a especialistas de servicios secretos. Esta táctica se inscribe en un programa coordinado desde la CIA, Interpol y el MOSSAD, para erradicar toda incubación, de focos ideológicos divergentes frente al imperialismo ultra-liberal, al tiempo que se favorecía sistemáticamente la intervención de profesores con cátedra epistemológica arrodillada.
Este proceso permite que desde los años 90 a nuestros días los egresados de universidades latinoamericanas, estén formateados, para comportarse como un Psittacidae. Algunos eminentes catedráticos de grandes universidades en Estados Unidos « sin embargo » logran preservar no sin dificultad la libertad de consciencia y sobre todo la independencia de la sociología, incluso en Inglaterra se dispone de especialistas en flujos bancarios como es John Christensen, quien conoce con lujo de detalles, el funcionamiento de la evasión fiscale vía los paraísos fiscales
Intervención de Noam Chomsky en la universidad de Boston:
Andrés Oppenheimer nos habla de especulación :
https://rpp.pe/mundo/latinoamerica/andres-oppenheimer-un-polo-ralph-lauren-que-se-produce-en-peru-vale-us-85-en-miami-y-solo-us-85-dolares-va-al-productor-peruano-noticia-1073492
Oxfam nos presenta unas cifras similares por el año 2018:
https://www.oxfam.org/es/notas-prensa/el-1-mas-rico-de-la-poblacion-mundial-acaparo-el-82-de-la-riqueza-generada-el-ano
Intervención de John Christensen sobre la especulación:
Sobre la base de tesis, con metodología, de libros densos, de opiniones de premios Nobel, como es el caso de Joseph E. Stiglitz:
Las multinacionales abusan de la legislación para salir impunes:
Hoy los laboratorios farmacéuticos abusan de la legislación para asesinar:
Oclusión directa entre delincuentes, gobiernos y multinacionales
Podemos constatar que hoy los gobiernos, se comportan como servidores de las grandes multinacionales, por la via del lobby:
Que podría quedar de la noción de democracia si la legislación hoy es impuesta en favor de los intereses de grande multinacionales
Donde hay sociedad, hay derecho y hay conflicto
ubi societas, ibi ius; ibi litis
write in french and spanish
die Realität der Politik in der Geschichte der Menschheit geschrieben von Twitter @gramophonefr @gramophone89
(french) La première chose qui ressort, c'est que quiconque a le temps de réfléchir, c'est parce qu'il a les moyens pour que ce qui est nécessaire au niveau inférieur de la pyramide MASLOV ne soit pas, même de loin, un obstacle à sa soif de connaissance. Être un hypocrite est possible, en effet, c'est le seul moyen d'avancer dans tous les domaines de la société.
Au départ on pense que quelqu'un a la facilité d'acquérir des connaissances, pour des raisons génétiques, cependant Adimante et Glaucon, ni Potoné (frères et soeur de Platon) n'étaient aussi brillants que Platon, soi-disant ils ont grandi dans le même cadre familial, et sous le même les conditions. Difficile de savoir avec certitude si c'est Cratyle, qui est censé donner les premières leçons de philosophie à Platon, cependant on sait que Cratyle a été formé par Héraclite.
Malgré son grand penchant pour la poésie, vers l'âge de vingt ans, lorsqu'il relate Socrate, Platon met le feu à ses tragédies, poèmes lyriques, etc., en découvrant l'importance de la vertu, car on pensait que depuis la réforme de l'individu il est possible de réformer la société qui serait vertueuse, harmonieuse, pacifique. Sans doute comme son cousin Critias et son oncle Charmide mais la douleur de voir comment le trentenaire a agi l'a vite éloigné de cette intention.
Lo primero que salta a la vista, es que quien dispone de tiempo para pensar, es porque dispone de medios para que, lo necesario en el nivel bajo de la pirámide de MASLOV, no sea ni remotamente un obstáculo en su sed de saber. Ser hipócrita, es posible, es más es la sola manera de avanzar en todos los dominios de la sociedad.
Inicialmente pensamos que alguien tiene facilidad para adquirir conocimiento, debido a razones genéticas, sin embargo Adimante et Glaucon, ni Potoné (hermanos y hermana de Platón) fueron tan brillantes como Platón, supuestamente crecieron en el mismo cuadro familiar, y con las mismas condiciones. Difícil de saber a ciencia cierta si es Cratyle, quien se supone que da las primeras lecciones de filosofía a Platón, sin embargo se sabe que Cratyle fue formado por Héraclito.
A pesar de su gran disposición por la poesía, aproximadamente a la edad de veinte años al relacionarse con Sócrates Platón mete candela a sus tragedias, poemas líricos etc., al descubrir la importancia de la virtud, puesto que se pensaba que desde la reforma del individuo se logra reformar la sociedad que sería virtuosa harmoniosa, pacifica. Sin lugar a dudas como su primo Critias y su tío Charmide pero el dolor de ver como actuaban los treinta, lo alejaron rápidamente de esa intención
(french) (wikipedia) ...”Les Trente Tyrans désignent diverses périodes de gouvernement : Dans la Grèce antique, les Trente Tyrans étaient un gouvernement oligarchique composé de trente magistrats dits tyrans, qui succéda à la démocratie athénienne à la fin de la guerre du Péloponnèse, pendant Moins d'un an, dans la 404.
Dans la Rome antique, les Trente Tyrans sont une série d'usurpateurs qui vivaient ou auraient vécu au 3ème siècle après JC, à l'époque de Valérien, Gallien, Claude le Gothique et Aurélien entre 253 (fin de "l'Anarchie Militaire") . et 268 (premiers "empereurs illyriens")"...
On ne peut pas oublier que Socrate finit sa vie de manière drastique, qu'il s'accepte contre la volonté de ses amis (des gens riches qui auraient facilement soudoyé des gardes pour s'évader.
(wikipedia) ...”Los Treinta Tiranos designa varios períodos de gobierno: En la antigua Grecia, los Treinta Tiranos eran un gobierno oligárquico formado por treinta magistrados llamados tiranos, que sucedieron a la democracia ateniense al final de la Guerra del Peloponeso, durante menos de un año, en el 404.
En la antigua Roma, los Treinta Tiranos son una serie de usurpadores que vivieron o se dice que vivieron en el siglo III d.C., durante la época de Valeriano, Galiano, Claudio el Gótico y Aureliano entre el 253 (final de la "Anarquía Militar"). y 268 (primeros "Emperadores ilirios")”...
No podemos olvidar que Sócrates termina su vida de una manera drástica, que se acoge contra la voluntad de sus amigos (adinerados que con extrema facilidad habrían sobornado guardias para la evasión.
(French) Il y a un parallèle entre ce qui s'est passé il y a trois ou quatre siècles en Grèce, et ce qui se passe aujourd'hui dans le monde, le plus "terrifiant" est que le commun des mortels doit admettre qu'en réalité il n'y a pas de changement. Ce qui s'est passé le 6 janvier 2021 à Washington, comme ce qui s'est passé avec le président Castillo au Pérou, avec Evo Morales en Bolivie, et l'attentat du dimanche 8 janvier 2023 contre Luis Inácio Lula da Silva, sont des actes qui ont en commun, le même intention, de la part d'une infime minorité.
En réalité, ceux qui risquent leur peau, ceux qui mettent les morts dans toute confrontation sont les plus ignorants, curieusement la majorité, car il s'agit de "nous" personnes sans discernement suffisant, sans éducation, déficients intellectuels, pour acquérir les armes intellectuelles de discernement à la manière de René Descartes pour ne pas en citer d'autres. Mais cette incapacité monumentale a une cause, que Michel Faucoult décrit en détail
Hay un paralelo entre lo que ocurrió tres o cuatro siglos en Grecia, y lo que ocurre hoy en el mundo, lo más “terrorífico” es que el común de los mortales, debe admitir que en realidad no hay cambios. Lo que ocurrió el seis de enero del 2021 en Washington, como lo que ocurrió con el presidente Castillo en Perú, con Evo Morales en Bolivia, y la tentativa del domingo ocho de enero 2023 Contra Luis Inácio Lula da Silva, son actos que tienen en común, una misma intención, de parte de una ínfima minoría.
En realidad quienes arriesgan el pellejo, quienes ponen los muertos en toda confrontación son los más ignorantes, curiosamente las mayorías, porque se trata de “nosotros” gente sin suficiente discernimiento, sin educación, invalido intelectualmente, para adquirir las armas intelectuales del discernimiento a la manera de René Descartes por no citar otros. Pero esa monumental incapacidad tiene una causa, que describe con lujo de detalles Michel Faucoult
(French) Les attaques violentes contre les institutions publiques brésiliennes par des partisans de l'ancien président d'extrême droite Jair Bolsonaro ont été largement condamnées par les dirigeants politiques et les organisations du monde entier.
Dimanche 8 janvier, des partisans de l'ancien président d'extrême droite brésilien Jair Bolsonaro ont envahi la Cour suprême fédérale, le Congrès national et le Palais du Planalto, siège du président, brisant le blocus de la police militaire et de la Force de sécurité nationale sur l'esplanade de les ministres dans la capitale Brasilia. Après avoir envahi le siège des trois pouvoirs de l'État, les groupes violents ont vandalisé les bâtiments, pillé l'armurerie du Palais du Planalto et causé d'énormes dégâts aux institutions publiques.
Los violentos ataques contra instituciones públicas brasileñas por parte de simpatizantes del expresidente ultraderechista Jair Bolsonaro han sido ampliamente condenados por líderes políticos y organizaciones de todo el mundo
El domingo 8 de enero, simpatizantes del expresidente ultraderechista brasileño Jair Bolsonaro invadieron el Supremo Tribunal Federal, el Congreso Nacional y el Palacio del Planalto, sede del presidente, rompiendo el bloqueo de la Policía Militar y la Fuerza Nacional de Seguridad en la Explanada de los Ministros en la capital Brasilia. Tras invadir las sedes de los tres poderes del Estado, los grupos violentos vandalizaron los edificios, saquearon la armería del Palacio del Planalto y causaron tremendos daños a las instituciones públicas.
Suite aux actes de violence, le président Luiz Inácio Lula da Silva a condamné la situation, critiqué la complicité des forces de sécurité publique de Brasilia dans les attentats et décrété l'intervention fédérale dans la sécurité publique de Brasilia jusqu'au 31 janvier.
Tras los hechos de violencia, el presidente Luiz Inácio Lula da Silva condenó la situación, criticó la complicidad de las fuerzas de seguridad pública de Brasilia en los ataques y decretó la intervención federal en la seguridad pública de Brasilia hasta el 31 de enero.
Ce sont deux termes qui méritent d'être considérés, peut-être vaut-il la peine de mentionner Max Weber entre autres, puisqu'il a considéré, je pense, une différence qui doit s'inscrire ici. Car le pouvoir accordé légitimement par le vote et la constitution, ne satisfait pas nécessairement les "intérêts" d'une minorité qui, de par sa solvabilité financière, impose ses intérêts sur les intérêts supérieurs de toute une nation.
De toutes les définitions du « pouvoir » discutées, celle de Max Weber est sans doute celle qui a été le plus citée. Pourtant, chez presque aucun de ceux qui l'ont fait, il n'a tenu compte de ce que Weber ajoute, après sa définition : il dit que ce concept de pouvoir est "sociologiquement amorphe", c'est-à-dire qu'il est trop général, trop abstrait, par lui-même il fonctionne .comme clé d'analyse des sociétés historiques ou contemporaines. Qui domine, le fait parce que le népotisme permet à la collusion de se développer, la collusion sont les facteurs qui vont contribuer à générer des "idées délétères" communément ce qu'est la corruption.
Weber propose de recourir à une autre notion, qui se retrouve sous la notion de pouvoir le spécifiant et le concentrant : celle de « Herrschaft » (domination). La distinction et la complémentarité entre "Macht" (pouvoir) et "Herrschaft" n'ont guère été reprises par tous ceux qui se sont inspirés de Weber, pourtant très important pour comprendre l'approche sociologique de Weber, dans le cadre de ses préoccupations politiques. il importe également d'identifier la place occupée par la sociologie du droit dans l'œuvre de Weber.
Son dos términos que merecen ser considerados, quizá conviene citar a Max Weber entre otros, pues el ha considerado pienso, una diferencia que aquí debe encajar. Puesto que el poder otorgado de manera legitima por el sufragio y la constitución, no satisface necesariamente los “intereses” de una minoría que desde su solvencia financiera, impone sus intereses a los intereses superiores de toda una nación.
De todas las definiciones de “poder” discutidas, es sin duda el de Max Weber el que más se ha citado. Sin embargo en casi ninguno de los que lo hicieron tuvo en cuenta lo que Weber añade, después de su definición: dice que este concepto de poder es "sociolológicamente amorfo", lo que significa que es demasiado general, demasiado abstracto, por sí solo sirve como clave para el análisis de las sociedades históricas o contemporáneas. Quien domina, lo hace porque el nepotismo permite desarrollar la colusión, la connivencia son los factores que van a coadyuvar para generar “ideas deletéreas” comúnmente lo que es corrupción.
Weber sugiere recurrir a otra noción, que se encuentra bajo la noción de poder especificándolo y concentrándolo: el de "Herrschaft" (dominación). La distinción y complementariedad entre "Macht" (poder) y "Herrschaft" apenas han sido retomadas por todos aquellos que se inspiraron en Weber, sin embargo muy importantes para entender el enfoque sociológico de Weber, en el contexto de sus preocupaciones políticas. también es importante identificar el lugar que ocupa la sociología del derecho en el conjunto de la obra de Weber.
Lorsque l'autorité et le pouvoir sont disponibles, comme c'est le cas avec le gouverneur Ibaneis Rocha, cela conduit à des dérives très dangereuses contre les fondements juridiques de la démocratie et de la République. Il n'est pas possible à partir de ce concept de s'éloigner des préceptes de Cesare Beccaria Bonesana (1738 – 1798)
Auteur intellectuel et auteur matériel : Bien que les lois ne punissent pas l'intention, ce n'est pas pour cela qu'on dit qu'un crime lorsqu'il commence par une action qui manifeste la volonté de la commettre ne mérite aucune peine, mais toujours moins que la même commission de celui-ci. L'importance d'entraver une attaque autorise la sanction ; mais de même qu'entre celle-ci et l'exécution il peut y avoir un certain intervalle, de même la plus grande peine réservée au crime consommé peut donner lieu au repentir. Il en va de même lorsqu'il y a des complices, et non pas tous des exécuteurs immédiats, mais pour une raison différente. Quand beaucoup d'hommes s'unissent pour une action risquée, en proportion de leur grandeur ils essaient de la rendre la même pour tous ; alors il sera plus difficile de trouver quelqu'un qui accepte d'être l'exécuteur, courant un plus grand risque que les autres complices. La seule exception serait dans le cas où l'exécuteur testamentaire recevait un prix; ayant alors une plus grande récompense pour le plus grand risque, la sanction doit être proportionnée. Ces discours paraîtront bien métaphysiques à ceux qui ne réfléchissent pas à l'utilité que les lois laissent le moins possible de motifs d'accord entre ceux qui essaient de s'associer pour commettre un crime.
Pour cette raison, le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes a suspendu le gouverneur du district fédéral de Brasilia, Ibaneis Rocha, pendant 90 jours. Moraes a déterminé que Rocha était au courant des préparatifs d'actions violentes, et que de tels événements ne pouvaient se produire qu'avec le consentement et la participation effective des autorités de sécurité à Brasilia.
Cuando se dispone de autoridad y poder como es el caso del gobernador Ibaneis Rocha, se llega a derivas muy peligrosas contra las bases legales de la democracia y la República. No se puede desde este concepto alejarse de los preceptos de Cesare Beccaria Bonesana (1738 – 1798)
Autor intelectual y autor material: Aunque las leyes no castiguen la intención, no por eso decimos que un delito cuando empieza por alguna acción que manifiesta la voluntad de cometerlo no merezca algún castigo, pero siempre menor a la misma comisión de él. La importancia de estorbar un atentado autoriza la pena; pero así como entre éste y la ejecución puede haber algún intervalo, así la pena mayor reserva- da al delito consumado, puede dar lugar al arrepentimiento. Lo mismo es cuando haya cómplices, y no todos ejecutores inmediatos, sino por alguna razón diversa. Cuando muchos hombres se unen para una acción arriesgada, a proporción de su tamaño procuran que sea igual para todos; luego será más dificultoso encontrar quien se conforme con ser el ejecutor, corriendo mayor riesgo que los demás cómplices. La única excepción sería en el caso que al ejecutor se le señalase un premio; teniendo entonces una recompensa mayor por el mayor riesgo, la pena debería ser proporcionada. Estos discursos parecerán muy metafísicos a quien no reflexione cuánta utilidad hay en que las leyes dejen los menos motivos de acuerdo que fuere posible entre los que se intenten asociar para cometer un delito.
Por ello, el juez de la Corte Suprema Alexandre de Moraes, suspendió por 90 días al gobernador del Distrito Federal de Brasilia, Ibaneis Rocha. Moraes determinó que Rocha estaba al tanto de los preparativos de las acciones violentas, y tales hechos sólo podían ocurrir con el consentimiento y la participación efectiva de las autoridades en materia de seguridad en Brasilia.
"Absolument rien ne justifie l'omission et la conspiration du secrétaire à la Sécurité publique et du gouverneur du District fédéral avec des criminels qui avaient annoncé auparavant qu'ils commettraient des actes de violence contre les pouvoirs constitués", a écrit le juge Moraes.
Les attentats sont survenus une semaine seulement après l'investiture du chef du Parti des travailleurs brésiliens (PT), Lula da Silva. Les attaques ont été largement condamnées par les dirigeants et les organisations politiques au Brésil, ainsi que dans le monde, comme du terrorisme et une tentative de coup d'État.
Les événements de Washington et ceux de Brasilia ont un lien fort avec ce qui arrive au président Castillo du Pérou, l'absence de moralité absolue de ceux qui auraient perpétré des actes contraires à la constitution tant aux États-Unis qu'au Pérou et au Brésil est évidente. et à la démocratie. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'il s'agit de trois actes avec un objectif identique. Une « atteinte grave » à la démocratie.
“Absolutamente nada justifica la omisión y conspiración del Secretario de Seguridad Pública y del Gobernador del Distrito Federal con delincuentes que previamente habían anunciado que cometerían actos violentos contra los poderes constituidos”, escribió el juez Moraes.
Los ataques se produjeron apenas una semana después de la toma de posesión del líder del Partido de los Trabajadores de Brasil (PT), Lula da Silva. Los ataques han sido ampliamente condenados por líderes políticos y organizaciones en Brasil, así como en todo el mundo, como terrorismo y un intento de golpe.
Los acontecimientos de Washington y los de Brasilia tienen un enlace fuerte con lo que le ocurre al presidente Castillo del Perú, salta a la vista la ausencia de moral absoluta de quienes habrían perpetrado tanto en Estados Unidos como en Perú y Brasil actos contrarios a la constitución y a la democracia. Lo que se debe recordar es que son tres actos con un objetivo idéntico. Un “grave ataque” a la democracia.
Peut-être qu'avec l'avènement de la laïcité, les gens ont perdu leur moralité, en tout cas Emile Durkheim ("Éducation morale") dans son ouvrage prend en compte la notion de peur religieuse, qui empêcherait le commun des mortels de commettre des crimes, en fait le " quidam" aujourd'hui, avec l'entrée en vigueur des gouvernements laïcs.
…« La morale, avons-nous dit, est essentiellement une discipline. Par conséquent, chaque discipline a un double objectif : apporter une certaine régulation dans le comportement des citoyens, en indiquant certains objectifs qui, soit dit en passant, limitent leurs horizons. La discipline offre des habitudes à la volonté y compris des freins. Elle régule et contient. Elle répond à ce qui est régulier, ce qui est permanent dans les relations entre hommes. Puisque la vie sociale est toujours en quelque sorte une continuité, puisque les mêmes combinaisons de circonstances se répètent périodiquement, il est naturel que certaines manières de se comporter, qui apparaissent comme des idéaux par rapport à la nature des choses, se répètent avec la même périodicité. C'est la régularité relative des conditions diverses auxquelles nous sommes confrontés qui impliquent cette régularité relative des comportements. L'utilité de la raison morale apparaît chaque fois beaucoup moins évidente, il semble même qu'une violence discrète soit infligée à la nature humaine. Limiter l'être, mettre des obstacles à la libre expression, c'est bien l'empêcher d'être « lui-même » lui-même. Nous admettons donc que cette limitation est une condition de la santé morale et de l'harmonie sociale. L'homme, en effet, est fait pour vivre dans un milieu, déterminé, limité, si vaste pourtant, qui lui permet d'être ; et l'ensemble des actes qui constituent la vie sont destinés à s'adapter au milieu, ou à s'y adapter. L'activité qu'il [les médias] nous sollicite participe à forger la même détermination. Vivre, c'est entrer en harmonie avec le monde physique qui nous entoure, avec le monde social dont chacun de nous fait partie. Aussi vaste que cela puisse paraître, il est en réalité limité. Les finalités que nous pourrions normalement avoir seront également délimitées, dans un périmètre, et nul ne devra franchir les frontières"...
Acaso con la llegada de la laicida, las gentes han perdido la moral, en todo caso Emile Durkheim (“La educación Moral”) en su trabajo tiene en consideración la noción de temor religioso, que impediría que el vulgo cometa delitos, en efecto el “quidam” de hoy, con la entrada en vigencia de gobiernos laicos.
…“La moral hemos dicho, es esencialmente una disciplina. Por lo tanto, toda disciplina posee un doble objeto: realizar cierta regulación en la conducta de los ciudadanos, señalando fines determinados que, a propósito, limiten sus horizontes. La disciplina ofrece habitudes a la voluntad incluyendo frenos. Ella regulariza y contiene. Ella responde a aquello que es regular, lo permanente en las relaciones de los hombres entre ellos. Puesto que la vida social es siempre en alguna medida, una continuidad, puesto que las mismas combinaciones de circunstancias se repiten periódicamente, es natural que ciertas maneras de comportarse, que figuran como ideales en relación con la naturaleza de las cosas, se repetirían con la misma periodicidad. Es la regularidad relativa de condiciones diversas ante las cuales nos vemos confrontados que implican esa regularidad relativa del comportamiento. La utilidad de la razón moral aparece distante menos evidente cada vez, incluso parece ser que se le inflige una violencia discreta a la naturaleza humana. Limitar el ser, ponerle obstáculos a la libre expresión, es ciertamente impedirle de ser “él” mismo. Por tanto admitimos que esta limitación es condición de la salud moral y de la armonía social. El hombre, en efecto, esta hecho para vivir en un medio, determinado, limitado, si vasto, sin embargo, que le permita de ser; y el conjunto de actos que constituyen la vida tienen por objeto, adaptarnos al medio, o de adaptarnos a él. La actividad que él [medio] solicita de nosotros participa a forjar la misma determinación. Vivir es entrar en armonía con el mundo físico que nos rodea, con el mundo social del cual somos miembros cada cual. Por extenso que pueda parecer en realidad él es limitado. Los fines que podríamos tener normalmente, serán igualmente delimitados, en un perímetro, y nadie debe traspasar las fronteras”…
Quant à Viktor Orban, Emanuel Macron, Donald Trump et Jair Bolsonaro, ont dans leur vision profonde de gouverner quelque chose en commun avec Axel Kayser et Javier Milei, déjà utilisé dans leur gouvernement par Margaret Thatcher, vous n'avez pas besoin d'un doctorat d'Oxford, de Harvard ou de la Sorbonne pour identifier ces personnes.
En cuanto al Viktor Orban, Emanuel Macron, Donald Trump y Jair Bolsonaro, tienen en su visión profunda de gobernar algo en común con Axel Kayser y Javier Milei, que ya fue usado en su gobierno por Margaret Thatcher, no es necesario un doctorado de Oxford, Harvard o la Sorbona para identificar esas personas.
... « Cette peine n'est pas nécessaire lorsqu'on sait avec certitude qu'un tel détenu a commis un tel crime, de telle sorte que les questions sont inutiles, de même que l'aveu du crime, lorsque d'autres preuves justifient la criminalité. Ce dernier cas est le plus ordinaire, car l'expérience montre que dans la plupart des procès les prévenus nient »… (Traité des crimes et peines Cesare Beccario)
...“No es necesaria esta pena cuando se sepa de cierto que tal reo haya cometido tal delito, de tal modo que las preguntas sean inútiles, como lo es la confesión del delito, cuando otras pruebas justifican la criminalidad. Este último caso es el más ordinario, porque la experiencia demuestra que en la mayor parte de los procesos los reos niegan”… (Tratado de los delitos y de las penas Cesare Beccario)
https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-825/les-derniers-jours-de-socrate---le-monde-plus-nobl/
http://beq.ebooksgratuits.com/Philosophie/index.htm
https://www.lemonde.fr/en/international/article/2022/10/13/january-6-panel-subpoenas-trump-for-testimony-on-capitol-attack_6000262_4.html
https://peoplesdispatch.org/2023/01/09/coup-attempt-in-brazil-condemned-by-leaders-from-across-the-globe/
https://monoskop.org/images/4/40/Foucault_Michel_Les_mots_et_les_choses.pdf
Notas sobre la democracia y la visión de Gustavo Bolivar
write in french and spanish
die Realität der Politik in der Geschichte der Menschheit geschrieben von Twitter @gramophonefr @gramophone89
(french) La première chose qui ressort, c'est que quiconque a le temps de réfléchir, c'est parce qu'il a les moyens pour que ce qui est nécessaire au niveau inférieur de la pyramide MASLOV ne soit pas, même de loin, un obstacle à sa soif de connaissance. Être un hypocrite est possible, en effet, c'est le seul moyen d'avancer dans tous les domaines de la société.
Au départ on pense que quelqu'un a la facilité d'acquérir des connaissances, pour des raisons génétiques, cependant Adimante et Glaucon, ni Potoné (frères et soeur de Platon) n'étaient aussi brillants que Platon, soi-disant ils ont grandi dans le même cadre familial, et sous le même les conditions. Difficile de savoir avec certitude si c'est Cratyle, qui est censé donner les premières leçons de philosophie à Platon, cependant on sait que Cratyle a été formé par Héraclite.
Malgré son grand penchant pour la poésie, vers l'âge de vingt ans, lorsqu'il relate Socrate, Platon met le feu à ses tragédies, poèmes lyriques, etc., en découvrant l'importance de la vertu, car on pensait que depuis la réforme de l'individu il est possible de réformer la société qui serait vertueuse, harmonieuse, pacifique. Sans doute comme son cousin Critias et son oncle Charmide mais la douleur de voir comment le trentenaire a agi l'a vite éloigné de cette intention.
Lo primero que salta a la vista, es que quien dispone de tiempo para pensar, es porque dispone de medios para que, lo necesario en el nivel bajo de la pirámide de MASLOV, no sea ni remotamente un obstáculo en su sed de saber. Ser hipócrita, es posible, es más es la sola manera de avanzar en todos los dominios de la sociedad.
Inicialmente pensamos que alguien tiene facilidad para adquirir conocimiento, debido a razones genéticas, sin embargo Adimante et Glaucon, ni Potoné (hermanos y hermana de Platón) fueron tan brillantes como Platón, supuestamente crecieron en el mismo cuadro familiar, y con las mismas condiciones. Difícil de saber a ciencia cierta si es Cratyle, quien se supone que da las primeras lecciones de filosofía a Platón, sin embargo se sabe que Cratyle fue formado por Héraclito.
A pesar de su gran disposición por la poesía, aproximadamente a la edad de veinte años al relacionarse con Sócrates Platón mete candela a sus tragedias, poemas líricos etc., al descubrir la importancia de la virtud, puesto que se pensaba que desde la reforma del individuo se logra reformar la sociedad que sería virtuosa harmoniosa, pacifica. Sin lugar a dudas como su primo Critias y su tío Charmide pero el dolor de ver como actuaban los treinta, lo alejaron rápidamente de esa intención
(french) (wikipedia) ...”Les Trente Tyrans désignent diverses périodes de gouvernement : Dans la Grèce antique, les Trente Tyrans étaient un gouvernement oligarchique composé de trente magistrats dits tyrans, qui succéda à la démocratie athénienne à la fin de la guerre du Péloponnèse, pendant Moins d'un an, dans la 404.
Dans la Rome antique, les Trente Tyrans sont une série d'usurpateurs qui vivaient ou auraient vécu au 3ème siècle après JC, à l'époque de Valérien, Gallien, Claude le Gothique et Aurélien entre 253 (fin de "l'Anarchie Militaire") . et 268 (premiers "empereurs illyriens")"...
On ne peut pas oublier que Socrate finit sa vie de manière drastique, qu'il s'accepte contre la volonté de ses amis (des gens riches qui auraient facilement soudoyé des gardes pour s'évader.
(wikipedia) ...”Los Treinta Tiranos designa varios períodos de gobierno: En la antigua Grecia, los Treinta Tiranos eran un gobierno oligárquico formado por treinta magistrados llamados tiranos, que sucedieron a la democracia ateniense al final de la Guerra del Peloponeso, durante menos de un año, en el 404.
En la antigua Roma, los Treinta Tiranos son una serie de usurpadores que vivieron o se dice que vivieron en el siglo III d.C., durante la época de Valeriano, Galiano, Claudio el Gótico y Aureliano entre el 253 (final de la "Anarquía Militar"). y 268 (primeros "Emperadores ilirios")”...
No podemos olvidar que Sócrates termina su vida de una manera drástica, que se acoge contra la voluntad de sus amigos (adinerados que con extrema facilidad habrían sobornado guardias para la evasión.
Nada que ver con la actualidad
(French) Il y a un parallèle entre ce qui s'est passé il y a trois ou quatre siècles en Grèce, et ce qui se passe aujourd'hui dans le monde, le plus "terrifiant" est que le commun des mortels doit admettre qu'en réalité il n'y a pas de changement. Ce qui s'est passé le 6 janvier 2021 à Washington, comme ce qui s'est passé avec le président Castillo au Pérou, avec Evo Morales en Bolivie, et l'attentat du dimanche 8 janvier 2023 contre Luis Inácio Lula da Silva, sont des actes qui ont en commun, le même intention, de la part d'une infime minorité.
En réalité, ceux qui risquent leur peau, ceux qui mettent les morts dans toute confrontation sont les plus ignorants, curieusement la majorité, car il s'agit de "nous" personnes sans discernement suffisant, sans éducation, déficients intellectuels, pour acquérir les armes intellectuelles de discernement à la manière de René Descartes pour ne pas en citer d'autres. Mais cette incapacité monumentale a une cause, que Michel Faucoult décrit en détail
Hay un paralelo entre lo que ocurrió tres o cuatro siglos en Grecia, y lo que ocurre hoy en el mundo, lo más “terrorífico” es que el común de los mortales, debe admitir que en realidad no hay cambios. Lo que ocurrió el seis de enero del 2021 en Washington, como lo que ocurrió con el presidente Castillo en Perú, con Evo Morales en Bolivia, y la tentativa del domingo ocho de enero 2023 Contra Luis Inácio Lula da Silva, son actos que tienen en común, una misma intención, de parte de una ínfima minoría.
En realidad quienes arriesgan el pellejo, quienes ponen los muertos en toda confrontación son los más ignorantes, curiosamente las mayorías, porque se trata de “nosotros” gente sin suficiente discernimiento, sin educación, invalido intelectualmente, para adquirir las armas intelectuales del discernimiento a la manera de René Descartes por no citar otros. Pero esa monumental incapacidad tiene una causa, que describe con lujo de detalles Michel Faucoult
(French) Les attaques violentes contre les institutions publiques brésiliennes par des partisans de l'ancien président d'extrême droite Jair Bolsonaro ont été largement condamnées par les dirigeants politiques et les organisations du monde entier.
Dimanche 8 janvier, des partisans de l'ancien président d'extrême droite brésilien Jair Bolsonaro ont envahi la Cour suprême fédérale, le Congrès national et le Palais du Planalto, siège du président, brisant le blocus de la police militaire et de la Force de sécurité nationale sur l'esplanade de les ministres dans la capitale Brasilia. Après avoir envahi le siège des trois pouvoirs de l'État, les groupes violents ont vandalisé les bâtiments, pillé l'armurerie du Palais du Planalto et causé d'énormes dégâts aux institutions publiques.
Los violentos ataques contra instituciones públicas brasileñas por parte de simpatizantes del expresidente ultraderechista Jair Bolsonaro han sido ampliamente condenados por líderes políticos y organizaciones de todo el mundo
El domingo 8 de enero, simpatizantes del expresidente ultraderechista brasileño Jair Bolsonaro invadieron el Supremo Tribunal Federal, el Congreso Nacional y el Palacio del Planalto, sede del presidente, rompiendo el bloqueo de la Policía Militar y la Fuerza Nacional de Seguridad en la Explanada de los Ministros en la capital Brasilia. Tras invadir las sedes de los tres poderes del Estado, los grupos violentos vandalizaron los edificios, saquearon la armería del Palacio del Planalto y causaron tremendos daños a las instituciones públicas.
Suite aux actes de violence, le président Luiz Inácio Lula da Silva a condamné la situation, critiqué la complicité des forces de sécurité publique de Brasilia dans les attentats et décrété l'intervention fédérale dans la sécurité publique de Brasilia jusqu'au 31 janvier.
Tras los hechos de violencia, el presidente Luiz Inácio Lula da Silva condenó la situación, criticó la complicidad de las fuerzas de seguridad pública de Brasilia en los ataques y decretó la intervención federal en la seguridad pública de Brasilia hasta el 31 de enero.
Poder y dominación
Ce sont deux termes qui méritent d'être considérés, peut-être vaut-il la peine de mentionner Max Weber entre autres, puisqu'il a considéré, je pense, une différence qui doit s'inscrire ici. Car le pouvoir accordé légitimement par le vote et la constitution, ne satisfait pas nécessairement les "intérêts" d'une minorité qui, de par sa solvabilité financière, impose ses intérêts sur les intérêts supérieurs de toute une nation.
De toutes les définitions du « pouvoir » discutées, celle de Max Weber est sans doute celle qui a été le plus citée. Pourtant, chez presque aucun de ceux qui l'ont fait, il n'a tenu compte de ce que Weber ajoute, après sa définition : il dit que ce concept de pouvoir est "sociologiquement amorphe", c'est-à-dire qu'il est trop général, trop abstrait, par lui-même il fonctionne .comme clé d'analyse des sociétés historiques ou contemporaines. Qui domine, le fait parce que le népotisme permet à la collusion de se développer, la collusion sont les facteurs qui vont contribuer à générer des "idées délétères" communément ce qu'est la corruption.
Weber propose de recourir à une autre notion, qui se retrouve sous la notion de pouvoir le spécifiant et le concentrant : celle de « Herrschaft » (domination). La distinction et la complémentarité entre "Macht" (pouvoir) et "Herrschaft" n'ont guère été reprises par tous ceux qui se sont inspirés de Weber, pourtant très important pour comprendre l'approche sociologique de Weber, dans le cadre de ses préoccupations politiques. il importe également d'identifier la place occupée par la sociologie du droit dans l'œuvre de Weber.
Son dos términos que merecen ser considerados, quizá conviene citar a Max Weber entre otros, pues el ha considerado pienso, una diferencia que aquí debe encajar. Puesto que el poder otorgado de manera legitima por el sufragio y la constitución, no satisface necesariamente los “intereses” de una minoría que desde su solvencia financiera, impone sus intereses a los intereses superiores de toda una nación.
De todas las definiciones de “poder” discutidas, es sin duda el de Max Weber el que más se ha citado. Sin embargo en casi ninguno de los que lo hicieron tuvo en cuenta lo que Weber añade, después de su definición: dice que este concepto de poder es "sociolológicamente amorfo", lo que significa que es demasiado general, demasiado abstracto, por sí solo sirve como clave para el análisis de las sociedades históricas o contemporáneas. Quien domina, lo hace porque el nepotismo permite desarrollar la colusión, la connivencia son los factores que van a coadyuvar para generar “ideas deletéreas” comúnmente lo que es corrupción.
Weber sugiere recurrir a otra noción, que se encuentra bajo la noción de poder especificándolo y concentrándolo: el de "Herrschaft" (dominación). La distinción y complementariedad entre "Macht" (poder) y "Herrschaft" apenas han sido retomadas por todos aquellos que se inspiraron en Weber, sin embargo muy importantes para entender el enfoque sociológico de Weber, en el contexto de sus preocupaciones políticas. también es importante identificar el lugar que ocupa la sociología del derecho en el conjunto de la obra de Weber.
Un peligroso ataque a la democracia
Lorsque l'autorité et le pouvoir sont disponibles, comme c'est le cas avec le gouverneur Ibaneis Rocha, cela conduit à des dérives très dangereuses contre les fondements juridiques de la démocratie et de la République. Il n'est pas possible à partir de ce concept de s'éloigner des préceptes de Cesare Beccaria Bonesana (1738 – 1798)
Auteur intellectuel et auteur matériel : Bien que les lois ne punissent pas l'intention, ce n'est pas pour cela qu'on dit qu'un crime lorsqu'il commence par une action qui manifeste la volonté de la commettre ne mérite aucune peine, mais toujours moins que la même commission de celui-ci. L'importance d'entraver une attaque autorise la sanction ; mais de même qu'entre celle-ci et l'exécution il peut y avoir un certain intervalle, de même la plus grande peine réservée au crime consommé peut donner lieu au repentir. Il en va de même lorsqu'il y a des complices, et non pas tous des exécuteurs immédiats, mais pour une raison différente. Quand beaucoup d'hommes s'unissent pour une action risquée, en proportion de leur grandeur ils essaient de la rendre la même pour tous ; alors il sera plus difficile de trouver quelqu'un qui accepte d'être l'exécuteur, courant un plus grand risque que les autres complices. La seule exception serait dans le cas où l'exécuteur testamentaire recevait un prix; ayant alors une plus grande récompense pour le plus grand risque, la sanction doit être proportionnée. Ces discours paraîtront bien métaphysiques à ceux qui ne réfléchissent pas à l'utilité que les lois laissent le moins possible de motifs d'accord entre ceux qui essaient de s'associer pour commettre un crime.
Pour cette raison, le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes a suspendu le gouverneur du district fédéral de Brasilia, Ibaneis Rocha, pendant 90 jours. Moraes a déterminé que Rocha était au courant des préparatifs d'actions violentes, et que de tels événements ne pouvaient se produire qu'avec le consentement et la participation effective des autorités de sécurité à Brasilia.
Cuando se dispone de autoridad y poder como es el caso del gobernador Ibaneis Rocha, se llega a derivas muy peligrosas contra las bases legales de la democracia y la República. No se puede desde este concepto alejarse de los preceptos de Cesare Beccaria Bonesana (1738 – 1798)
Autor intelectual y autor material: Aunque las leyes no castiguen la intención, no por eso decimos que un delito cuando empieza por alguna acción que manifiesta la voluntad de cometerlo no merezca algún castigo, pero siempre menor a la misma comisión de él. La importancia de estorbar un atentado autoriza la pena; pero así como entre éste y la ejecución puede haber algún intervalo, así la pena mayor reserva- da al delito consumado, puede dar lugar al arrepentimiento. Lo mismo es cuando haya cómplices, y no todos ejecutores inmediatos, sino por alguna razón diversa. Cuando muchos hombres se unen para una acción arriesgada, a proporción de su tamaño procuran que sea igual para todos; luego será más dificultoso encontrar quien se conforme con ser el ejecutor, corriendo mayor riesgo que los demás cómplices. La única excepción sería en el caso que al ejecutor se le señalase un premio; teniendo entonces una recompensa mayor por el mayor riesgo, la pena debería ser proporcionada. Estos discursos parecerán muy metafísicos a quien no reflexione cuánta utilidad hay en que las leyes dejen los menos motivos de acuerdo que fuere posible entre los que se intenten asociar para cometer un delito.
Por ello, el juez de la Corte Suprema Alexandre de Moraes, suspendió por 90 días al gobernador del Distrito Federal de Brasilia, Ibaneis Rocha. Moraes determinó que Rocha estaba al tanto de los preparativos de las acciones violentas, y tales hechos sólo podían ocurrir con el consentimiento y la participación efectiva de las autoridades en materia de seguridad en Brasilia.
"Absolument rien ne justifie l'omission et la conspiration du secrétaire à la Sécurité publique et du gouverneur du District fédéral avec des criminels qui avaient annoncé auparavant qu'ils commettraient des actes de violence contre les pouvoirs constitués", a écrit le juge Moraes.
Les attentats sont survenus une semaine seulement après l'investiture du chef du Parti des travailleurs brésiliens (PT), Lula da Silva. Les attaques ont été largement condamnées par les dirigeants et les organisations politiques au Brésil, ainsi que dans le monde, comme du terrorisme et une tentative de coup d'État.
Les événements de Washington et ceux de Brasilia ont un lien fort avec ce qui arrive au président Castillo du Pérou, l'absence de moralité absolue de ceux qui auraient perpétré des actes contraires à la constitution tant aux États-Unis qu'au Pérou et au Brésil est évidente. et à la démocratie. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'il s'agit de trois actes avec un objectif identique. Une « atteinte grave » à la démocratie.
“Absolutamente nada justifica la omisión y conspiración del Secretario de Seguridad Pública y del Gobernador del Distrito Federal con delincuentes que previamente habían anunciado que cometerían actos violentos contra los poderes constituidos”, escribió el juez Moraes.
Los ataques se produjeron apenas una semana después de la toma de posesión del líder del Partido de los Trabajadores de Brasil (PT), Lula da Silva. Los ataques han sido ampliamente condenados por líderes políticos y organizaciones en Brasil, así como en todo el mundo, como terrorismo y un intento de golpe.
Los acontecimientos de Washington y los de Brasilia tienen un enlace fuerte con lo que le ocurre al presidente Castillo del Perú, salta a la vista la ausencia de moral absoluta de quienes habrían perpetrado tanto en Estados Unidos como en Perú y Brasil actos contrarios a la constitución y a la democracia. Lo que se debe recordar es que son tres actos con un objetivo idéntico. Un “grave ataque” a la democracia.
Peut-être qu'avec l'avènement de la laïcité, les gens ont perdu leur moralité, en tout cas Emile Durkheim ("Éducation morale") dans son ouvrage prend en compte la notion de peur religieuse, qui empêcherait le commun des mortels de commettre des crimes, en fait le " quidam" aujourd'hui, avec l'entrée en vigueur des gouvernements laïcs.
…« La morale, avons-nous dit, est essentiellement une discipline. Par conséquent, chaque discipline a un double objectif : apporter une certaine régulation dans le comportement des citoyens, en indiquant certains objectifs qui, soit dit en passant, limitent leurs horizons. La discipline offre des habitudes à la volonté y compris des freins. Elle régule et contient. Elle répond à ce qui est régulier, ce qui est permanent dans les relations entre hommes. Puisque la vie sociale est toujours en quelque sorte une continuité, puisque les mêmes combinaisons de circonstances se répètent périodiquement, il est naturel que certaines manières de se comporter, qui apparaissent comme des idéaux par rapport à la nature des choses, se répètent avec la même périodicité. C'est la régularité relative des conditions diverses auxquelles nous sommes confrontés qui impliquent cette régularité relative des comportements. L'utilité de la raison morale apparaît chaque fois beaucoup moins évidente, il semble même qu'une violence discrète soit infligée à la nature humaine. Limiter l'être, mettre des obstacles à la libre expression, c'est bien l'empêcher d'être « lui-même » lui-même. Nous admettons donc que cette limitation est une condition de la santé morale et de l'harmonie sociale. L'homme, en effet, est fait pour vivre dans un milieu, déterminé, limité, si vaste pourtant, qui lui permet d'être ; et l'ensemble des actes qui constituent la vie sont destinés à s'adapter au milieu, ou à s'y adapter. L'activité qu'il [les médias] nous sollicite participe à forger la même détermination. Vivre, c'est entrer en harmonie avec le monde physique qui nous entoure, avec le monde social dont chacun de nous fait partie. Aussi vaste que cela puisse paraître, il est en réalité limité. Les finalités que nous pourrions normalement avoir seront également délimitées, dans un périmètre, et nul ne devra franchir les frontières"...
Acaso con la llegada de la laicida, las gentes han perdido la moral, en todo caso Emile Durkheim (“La educación Moral”) en su trabajo tiene en consideración la noción de temor religioso, que impediría que el vulgo cometa delitos, en efecto el “quidam” de hoy, con la entrada en vigencia de gobiernos laicos.
…“La moral hemos dicho, es esencialmente una disciplina. Por lo tanto, toda disciplina posee un doble objeto: realizar cierta regulación en la conducta de los ciudadanos, señalando fines determinados que, a propósito, limiten sus horizontes. La disciplina ofrece habitudes a la voluntad incluyendo frenos. Ella regulariza y contiene. Ella responde a aquello que es regular, lo permanente en las relaciones de los hombres entre ellos. Puesto que la vida social es siempre en alguna medida, una continuidad, puesto que las mismas combinaciones de circunstancias se repiten periódicamente, es natural que ciertas maneras de comportarse, que figuran como ideales en relación con la naturaleza de las cosas, se repetirían con la misma periodicidad. Es la regularidad relativa de condiciones diversas ante las cuales nos vemos confrontados que implican esa regularidad relativa del comportamiento. La utilidad de la razón moral aparece distante menos evidente cada vez, incluso parece ser que se le inflige una violencia discreta a la naturaleza humana. Limitar el ser, ponerle obstáculos a la libre expresión, es ciertamente impedirle de ser “él” mismo. Por tanto admitimos que esta limitación es condición de la salud moral y de la armonía social. El hombre, en efecto, esta hecho para vivir en un medio, determinado, limitado, si vasto, sin embargo, que le permita de ser; y el conjunto de actos que constituyen la vida tienen por objeto, adaptarnos al medio, o de adaptarnos a él. La actividad que él [medio] solicita de nosotros participa a forjar la misma determinación. Vivir es entrar en armonía con el mundo físico que nos rodea, con el mundo social del cual somos miembros cada cual. Por extenso que pueda parecer en realidad él es limitado. Los fines que podríamos tener normalmente, serán igualmente delimitados, en un perímetro, y nadie debe traspasar las fronteras”…
Quant à Viktor Orban, Emanuel Macron, Donald Trump et Jair Bolsonaro, ont dans leur vision profonde de gouverner quelque chose en commun avec Axel Kayser et Javier Milei, déjà utilisé dans leur gouvernement par Margaret Thatcher, vous n'avez pas besoin d'un doctorat d'Oxford, de Harvard ou de la Sorbonne pour identifier ces personnes.
En cuanto al Viktor Orban, Emanuel Macron, Donald Trump y Jair Bolsonaro, tienen en su visión profunda de gobernar algo en común con Axel Kayser y Javier Milei, que ya fue usado en su gobierno por Margaret Thatcher, no es necesario un doctorado de Oxford, Harvard o la Sorbona para identificar esas personas.
... « Cette peine n'est pas nécessaire lorsqu'on sait avec certitude qu'un tel détenu a commis un tel crime, de telle sorte que les questions sont inutiles, de même que l'aveu du crime, lorsque d'autres preuves justifient la criminalité. Ce dernier cas est le plus ordinaire, car l'expérience montre que dans la plupart des procès les prévenus nient »… (Traité des crimes et peines Cesare Beccario)
...“No es necesaria esta pena cuando se sepa de cierto que tal reo haya cometido tal delito, de tal modo que las preguntas sean inútiles, como lo es la confesión del delito, cuando otras pruebas justifican la criminalidad. Este último caso es el más ordinario, porque la experiencia demuestra que en la mayor parte de los procesos los reos niegan”… (Tratado de los delitos y de las penas Cesare Beccario)
Fuentes:
https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-825/les-derniers-jours-de-socrate---le-monde-plus-nobl/
http://beq.ebooksgratuits.com/Philosophie/index.htm
https://www.lemonde.fr/en/international/article/2022/10/13/january-6-panel-subpoenas-trump-for-testimony-on-capitol-attack_6000262_4.html
https://peoplesdispatch.org/2023/01/09/coup-attempt-in-brazil-condemned-by-leaders-from-across-the-globe/
https://monoskop.org/images/4/40/Foucault_Michel_Les_mots_et_les_choses.pdf
LA RÉALITÉ DE LA RETRAITE
DISONS LES CHOSES CLAIRES SUR LA RETRAITE
Écrit à la jonquera (Espagne) le samedi 18 février 2023 par (twitter) @gramophonefr @gramophone89 ou @M29_NOCOMMENT
Une grande ennemie de la raison pourrait être la certitude, mais pas plus maléfique que le stoïcisme même.
Alors cela nous pousse dans des niveaux épistémiques de mesure. Mais surtout de méfiance, pour ne pas tomber dans le piège à sots du PANEM ET CIRCENSES.
Maintenant arrêtons tout de suite les grandiloquences, allons au grain, puisque Lionel Jospin (un socialiste) à voulu favoriser « le patronat » oui, un socialiste à installé le CICE, (crédit d’impôt pour la création d’emploi) avec un enveloppe de douce milliards d’euros d’époque.
Oui mais est arrivé sous le gouvernement d’un autre socialiste, (curieux vraiment) Hollande que le loup entre dans le poulailler, un envoyé de la banque Rothschild, il faut appeler un chat un chat, un infiltré des finances dans la gouvernance de la France. Comment pour art de magie, le CICE est tout de suite gonflé à cinquante milliards.
Qui depuis touts ces années à vu, descendre le taux de chômage ? Personne, car le chômage est un outils, (de la main invisible de Smith) le taux de chômage élevé est la conséquence d’un procès que tout le monde connais, où le secteur secondaire (secteur primaire production de matières premières, secteur secondaire transformation des matières et formation de valeur ajouté seul manière de faire de la richesse, et secteur tertiaire, de la spéculation financière :
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
Oui il y a des gens qui vivaient comment des sangsues, des parasites, dans l’univers de la spéculation, les mêmes qui se protègent par un outils godillot à leur service, c’est à dire la presse. La plus part des médiats fonctionnent comment des haut-parleur du discours de moins de un pour cent (1% voir le site OXFAM) :
https://www.oxfam.org/es/notas-prensa/el-1-mas-rico-de-la-poblacion-mundial-acaparo-el-82-de-la-riqueza-generada-el-ano
Oui dans la dernière réunion de DAVOS s’est dit que si la fiscalité au monde fonctionné correctement à chaque être humain sur la terre le correspondrait 7000€ par mois, si touts les travailleurs de la terre (Hermann Scheer) prenaient le temps d’analyser les causes de leur misère, commencerait alors une période d’harmonie et paix pour l’humanité. Il y a un excellent document de Erwin Wagenhofer intitulé « Let’s make money » alors l’humanité entière arriérait à comprendre la réalité, réalité que le ministre du travail en France Olivier Dussopt connais parfaitement, ça ne pourra pas être autre-mot, ou alors il sera de toutes manière un imposteur.
Un imposteur qui pourrait pas oublier le CICE, qui pourrait pas oublier qu’il y a cent cinquante sept milliard d’exonération d’impôts au plus grandes entreprises. Entreprises qui a peine seraient responsables de moins de 18 % de l’emploi en France, tandis que les artisans (1) « eux » doivent payer les tarifs de gaz dix fois plus chères !
Quand le pouvoir sous l’influence du lobbying financier à fait passer de soixante à soixante deux ans l’âge légale pour pour avoir le droit à la retraite, je me rappel avoir dis aux collèges syndicaux, que les manifestations d’un jours, n’allaient pas faire modifier l’intention du système financier, aujourd’hui je maintien mon opinion, ce n’est pas des manifestions d’un jours qui feraient reculer Macron et ses acolytes ! En mai 1968 il y a eut une véritable action de la rue, une vraie mouvance qui à réussi à faire que le salaire soit augmenté en moyenne de 14 %, (2) c’est ce genre de positions qui doit prendre non seul les travailleurs, mais aussi les artisans, s’ils avaient vraiment du cerveau ! Chose que je me permet de douter ! Sachant que des gens comment Jean-Claude Mailly a reçu en échange des loyaux services, un poste à Bruxelles !!! Mon petit doigt me dit que la classe ouvrière et les artisans fonctionnent avec la même intelligence des zombies ! Grace à PANEM ET CIRCENSES
(1) Parlons des artisans, il se trouve que eux sont responsables de plus de 80 % de l’emploie en France, mais curieusement à l’heure de passer pour la casse fiscalité, l’état préfère par cause du lobby privilégier les plus haut revenu, ceux que le lecteur à déjà constaté dans les chiffres INSEE, publiées ici en haut ne payent pas 10 % d’impôts, comment le fait savoir en sont moment Eva Jolie en tant que juge dans l’affaire ELF, Pour ceux et celles qui auraient la mémoire courte, ou voudraient oublier que entre la CEE et le gouvernement auraient voulu détruire EDF & GDF, ordonnant que soit privatisé, avec le seule et unique but de détruire la fonction publique, avec la dérégulation des marchés des énergies et du gaz, tenez vous bien, en vendant l’énergie à perte aux naissants entreprises privés ! Oui cela n’a pas été rendus publique par les médiats godillots, l’énergie d’EDF fallait la vendre à perte aux entreprises pour permettre que ceux-là puissent faire des bénéfices, Bien sur les utilisateurs aujourd’hui à peine vont se rendre compte de ce qu’a été mantes fois escrimé par les syndicats comment dangereux, oui, mêmes syndicaux décriés, pas suivis par les artisans à l’époque, artisans qui sans doute voient de bon œil que le nie de syndicalistes communistes soient vite fait défauts. Mais ce sont les mêmes artisans qu’aujourd’hui voient leur facture de gaz multiplié par dix, oh les pauvres !!!
(2) Il doit y avoir un peuple français, qui face honneur aux victimes de 1831 lors de la révolte des canuts à Lyon, Il faudra faire honneur aux victimes de la COMMUNE DE PARIS qui pendant dix jours auraient lutté pour des acquis que des gouvernant envoyé des groupes financiers aujourd’hui cherchent à effacer sans oublier la révolte de Carmaux 1892, Aimé Césaire à bien fait comprendre au peuple que les acquis ne se réussissent pas en salles feutrés, avec signatures des pays, ni au palais de Luxembourg, ni au palais de l’Élysée mais avec le sang des héros versés dans la rue.
Écrit à la jonquera (Espagne) le samedi 18 février 2023 par (twitter) @gramophonefr @gramophone89 ou @M29_NOCOMMENT
Une grande ennemie de la raison pourrait être la certitude, mais pas plus maléfique que le stoïcisme même.
Alors cela nous pousse dans des niveaux épistémiques de mesure. Mais surtout de méfiance, pour ne pas tomber dans le piège à sots du PANEM ET CIRCENSES.
Maintenant arrêtons tout de suite les grandiloquences, allons au grain, puisque Lionel Jospin (un socialiste) à voulu favoriser « le patronat » oui, un socialiste à installé le CICE, (crédit d’impôt pour la création d’emploi) avec un enveloppe de douce milliards d’euros d’époque.
Oui mais est arrivé sous le gouvernement d’un autre socialiste, (curieux vraiment) Hollande que le loup entre dans le poulailler, un envoyé de la banque Rothschild, il faut appeler un chat un chat, un infiltré des finances dans la gouvernance de la France. Comment pour art de magie, le CICE est tout de suite gonflé à cinquante milliards.
Qui depuis touts ces années à vu, descendre le taux de chômage ? Personne, car le chômage est un outils, (de la main invisible de Smith) le taux de chômage élevé est la conséquence d’un procès que tout le monde connais, où le secteur secondaire (secteur primaire production de matières premières, secteur secondaire transformation des matières et formation de valeur ajouté seul manière de faire de la richesse, et secteur tertiaire, de la spéculation financière :
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
Oui il y a des gens qui vivaient comment des sangsues, des parasites, dans l’univers de la spéculation, les mêmes qui se protègent par un outils godillot à leur service, c’est à dire la presse. La plus part des médiats fonctionnent comment des haut-parleur du discours de moins de un pour cent (1% voir le site OXFAM) :
https://www.oxfam.org/es/notas-prensa/el-1-mas-rico-de-la-poblacion-mundial-acaparo-el-82-de-la-riqueza-generada-el-ano
Oui dans la dernière réunion de DAVOS s’est dit que si la fiscalité au monde fonctionné correctement à chaque être humain sur la terre le correspondrait 7000€ par mois, si touts les travailleurs de la terre (Hermann Scheer) prenaient le temps d’analyser les causes de leur misère, commencerait alors une période d’harmonie et paix pour l’humanité. Il y a un excellent document de Erwin Wagenhofer intitulé « Let’s make money » alors l’humanité entière arriérait à comprendre la réalité, réalité que le ministre du travail en France Olivier Dussopt connais parfaitement, ça ne pourra pas être autre-mot, ou alors il sera de toutes manière un imposteur.
Un imposteur qui pourrait pas oublier le CICE, qui pourrait pas oublier qu’il y a cent cinquante sept milliard d’exonération d’impôts au plus grandes entreprises. Entreprises qui a peine seraient responsables de moins de 18 % de l’emploi en France, tandis que les artisans (1) « eux » doivent payer les tarifs de gaz dix fois plus chères !
Quand le pouvoir sous l’influence du lobbying financier à fait passer de soixante à soixante deux ans l’âge légale pour pour avoir le droit à la retraite, je me rappel avoir dis aux collèges syndicaux, que les manifestations d’un jours, n’allaient pas faire modifier l’intention du système financier, aujourd’hui je maintien mon opinion, ce n’est pas des manifestions d’un jours qui feraient reculer Macron et ses acolytes ! En mai 1968 il y a eut une véritable action de la rue, une vraie mouvance qui à réussi à faire que le salaire soit augmenté en moyenne de 14 %, (2) c’est ce genre de positions qui doit prendre non seul les travailleurs, mais aussi les artisans, s’ils avaient vraiment du cerveau ! Chose que je me permet de douter ! Sachant que des gens comment Jean-Claude Mailly a reçu en échange des loyaux services, un poste à Bruxelles !!! Mon petit doigt me dit que la classe ouvrière et les artisans fonctionnent avec la même intelligence des zombies ! Grace à PANEM ET CIRCENSES
(1) Parlons des artisans, il se trouve que eux sont responsables de plus de 80 % de l’emploie en France, mais curieusement à l’heure de passer pour la casse fiscalité, l’état préfère par cause du lobby privilégier les plus haut revenu, ceux que le lecteur à déjà constaté dans les chiffres INSEE, publiées ici en haut ne payent pas 10 % d’impôts, comment le fait savoir en sont moment Eva Jolie en tant que juge dans l’affaire ELF, Pour ceux et celles qui auraient la mémoire courte, ou voudraient oublier que entre la CEE et le gouvernement auraient voulu détruire EDF & GDF, ordonnant que soit privatisé, avec le seule et unique but de détruire la fonction publique, avec la dérégulation des marchés des énergies et du gaz, tenez vous bien, en vendant l’énergie à perte aux naissants entreprises privés ! Oui cela n’a pas été rendus publique par les médiats godillots, l’énergie d’EDF fallait la vendre à perte aux entreprises pour permettre que ceux-là puissent faire des bénéfices, Bien sur les utilisateurs aujourd’hui à peine vont se rendre compte de ce qu’a été mantes fois escrimé par les syndicats comment dangereux, oui, mêmes syndicaux décriés, pas suivis par les artisans à l’époque, artisans qui sans doute voient de bon œil que le nie de syndicalistes communistes soient vite fait défauts. Mais ce sont les mêmes artisans qu’aujourd’hui voient leur facture de gaz multiplié par dix, oh les pauvres !!!
(2) Il doit y avoir un peuple français, qui face honneur aux victimes de 1831 lors de la révolte des canuts à Lyon, Il faudra faire honneur aux victimes de la COMMUNE DE PARIS qui pendant dix jours auraient lutté pour des acquis que des gouvernant envoyé des groupes financiers aujourd’hui cherchent à effacer sans oublier la révolte de Carmaux 1892, Aimé Césaire à bien fait comprendre au peuple que les acquis ne se réussissent pas en salles feutrés, avec signatures des pays, ni au palais de Luxembourg, ni au palais de l’Élysée mais avec le sang des héros versés dans la rue.
Gramophone escribió:Échange et évolution
Petite parenthèse:
NUIT DÉBUT
Effet de meute
L'exemple le plus palpable de cette hypothèse est la fulgurante manière comment l'Élysée est conquis par un personne inconnue de la politique deux ans avant.
Sans intention péjorative, l’humain, par nature, reste de par sont héritage génétique très grégaire. Étant sensible à des intentions louables à la base, dans le milieu sauvage, cette particularité est une qualité, mais dans la société des humains c’est très différent.
Je vais démontrer de manière facile, comment l’humain grégaire est en fait fragilisé par cette caractéristique hérité dans l’ADN.
En fait le nombre de personnes réunis à Paris, sous injonction discrète mais massive auraient été manipulées, facilement par la suite. Dans l’effervescence même du moment sans arriver à trouver des réponses tangibles ; C’est-à-dire, que la loi contra le travail dite loi EL KHOMRI (loi en réalité dicté par EMMANUEL MACRON et MANUEL VALLS), à été voté, parce que la seule réponse possible de la rue, passe par une grève générale.
Une grève général
Les leaders syndicaux français, vivent tout en haut de l’échelle sociale, si bien, qu’ils se sentent plutôt proches du pouvoir que des millions de petits ouvriers, qui seraient sensés défendre. De manière ponctuelle les quelques leaders tout en haut de l’appareil syndical, ne peuvent pas prendre la décision de lancer une grève générale, la raison est évidente.
La gouvernance
Si bien la masse de personnes, est indispensable pour obliger le pouvoir à satisfaire la volonté du peuple (d’ailleurs la définition étymologique de démocratie est violé sans aucun gène par le pouvoir), très vite la tête d’une mouvement à été prise par des personnes, désireuses de notoriété plutôt que souhaiter un changement, sans doute des personnes avec un très haut niveau d’études (1). Parce que la tête des syndicats, étant déjà plie au desiderata du pouvoir, ne pouvait adopter les mesures contraignantes solides contre le gouvernement. Du moment que les décisions ne sont pas issues de la volonté populaire, est validés par les syndicats, il n’y a pas de grève général. Sans grève générale le gouvernement a les mains libres pour imposer la volonté de l’industrie financière.
(1) Les hauts études en France et dans le monde, ouvrent les portes, pour les études de sociologie, au pouvoir politique bien sur, il faut alors comprendre que la collusion ou connivence entre pouvoir et « soi-disant » leader de mouvement populaire est IMPOSSIBLE.
Le coup de poignard au dos
Les gens grégaires donc, sont ainsi trais en vérité, et leur mouvement est inutile, pourtant en moins de 72 heures, avec une grève général de travailleurs, la situation aurait été tout autre. Là hélas, nous sommes devant l’avortement d’un soulèvement populaire. En plus très vite une ribambelle d’anarchistes, (en vérité quelques uns) s’approprient du slogan NUIT DÉBUT, pour pondre sur le web des faux mouvement dits « révolutionnaire » Pour que des gens au comportement standard c’est à dire grégaire ou moutonnier tombent une deuxième fois dans le panneau de la TRÈS BONNE ŒUVRE
Aujourd'hui dimanche 8 mai 2016 je vais tenter de rendre hommage à des milliers de personnes, que tentent par leur courage, de montrer leur mécontentement devant le système. Mais pouvons "nous" le peuple aller plus loin? OUI à condition d'être solidaires, à condition de savoir beaucoup des choses, depuis ma très modeste place, dans un blog, voilà des années que je tente d'informer, oui sans même pas savoir m'exprimer dans votre langue car je suis d'origine colombienne. Voilà mon humble hommage dans un texte publié déjà il y quelques années!
Pour diverses raisons, en dehors de ma volonté, je me trouvé isolé vis à vis des faits, des actes, des volontés, pour qui le but ultime est un changement en faveur de l'altruisme, de l'humanisme et du fait de l'harmonie.
Pour diverses raisons, contraires à mon souhait, je dois fondamentalement avouer que, la société, (cela les gens qui participent l'on bien comprit) a besoin d'un changement fondamentale.
Praxis
Il me viens à l'esprit les enseignements de mes professeurs, à l'Institut Technique Industriel de Cartago et mes professeurs de sociologie à l'Université Technologique de Pereira en Colombie, malgré quoi, je reste pour mes égaux ici un ignare, un illettré du seul fait de ne pas disposer d’autant de connaissances sur le sol des grandes et que j'admire, comment Descartes, Pascal, puis pour les contemporains, Marcel Conche, Pierre Péan, Étienne Chouar, ou le grand Thomas Piketty.
Chers messieurs, chères dames, vous que vous trouvez aujourd'hui en opposition au système, vous que voulez que cela change, vous que sacrifiez vos nuits, sache que je suis ici dans un tout petit village de bourgogne, disposé à apporter, plus qu'une aide virtuelle, plus que des mots sur un message, même si matériellement tout semble démontrer que rien je pourrai vous apporter. Je vous pressente mes plus humbles excuses, pour ne pas être parmi vous, par contre, je voudrai que vous sachez qu'il y un ordre logique indispensable, chronologique, dans toutes les choses ; sans quoi l'échec nous guette. Dans des termes simples il y a des étapes dans l'action des humains, et il faut savoir les ordonner puis savoir surtout passer de l'une à l'autre.
Je vais les ordonner de manière arbitraire, d'abord il faut l'indignation, mais elle n'a lieu que s'il y a de l'injustice, hors une petite injustice ne pourra pas être le catalyseur de la révolte telle qu'il y a eu lieu en 1789 ou encore en 1968.
L'injustice est la plus part du temps conduite avec sophistication, prenez par exemple les facilités fiscales des sénateur, députés et assimilés, c'est une injustice, que eux même rendent invisible par arrangements qui deviennent des lois !
L'injustice majeure est celle de l'ignorance, les peuples, les lambda “ nous ” sommes maintenus à l'écart de bien d'arrangements entre gouvernants et le lobby de la chimie, du tabac, etc, comment le démontre avec courage Élise Lucet dans ses émissions !
Le gouvernement aura voulu, initialement défaire la protection de l'emploie, sous l'autel de la cupidité, puis avec le peuple dans la rue, tente d'appliquer une sorte de placebos, des petites modifications, le pompon ! Ils osent affirmer que c'est de leur initiative qu'il y a de l'échange avec les syndicats, alors qu'il a fallu que les gens, surtout les étudiants, comment en 68 (et vous savez pour quoi?) sortent à la rue, pour qu'ils soient obligés donc de tenir compte non pas des intérêts de Pierre Gattaz seulement mais aussi, ils découvrent tout à coup que la législation du travail aura permit par des petits pas, rendre le travail humain, parce que il y a eut la réduction du temps de travail, d'abord le droit au repos dominicale, après la semaine de 48 heures, après l’interdiction du travail pour les enfants, ou encore le droit aux congés, etc., etc.
Je tente chères dames, chers messieurs depuis ma très humble place d'observateur, de vous offrir quelques notes, qui font fois, non pas de ma DÉCOUVERTE SOUDAINE des injustices, mais voilà des années que par des mots maladroite, je tente d'informer, et surtout de faire savoir à mes égaux que c'est le peuple EN DÉMOCRATIE qui doit être favorisé, hors arrive aujourd'hui tout le contraire, et ça SE LA PLUS GRANDE INJUSTICE que nous devons supporter. Les dates des textes vous donnent l'idée du temps que j'ai du investir avec passion, avec intérêt pour un moment que je dois avouer j’attende déjà depuis des années !
Il y a donc les étapes, la première étant de savoir, la deuxième étant de s'indigner TOUTS ENSEMBLE, la troisième est celle de prendre des initiatives, par la voie de l'analyse à tête froide c'est-à-dire avec des palier, des vérifications, décider des choses réalisables, mais surtout qui seraient les fondations d'autres choses, comment quand nous construisons une maison, puisque jamais il faut commencer par le toit, la quatrième étape sera de mettre en pratique toutes les décisions, dans le bon ordre.
Le peuple est préparé ?
La vérité je ne le sais pas, mais il y a des fortes chances pour qu'il réussisse là MAINTENANT, AUJOURD'HUI à faire ce donc il est LUI SEUL CAPABLE !
L'écris très mal en français car ma langue maternelle reste l'espagnol, je suis arrivé en France à 30 ans, mille excuses d'avance
En 2004 j'ai tentai de faire sonner l'alarme :
http://gramophone.uniterre.com/29102/Je+suis+na%C3%AFf+quoi!.html
Après sans être écouté, j'ai voulu dire au peuple que c'est lui qu'est le plus fort mais il ne le sais pas :
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Voici le texte original publié en 2011.
COMMENT ÉVITER LES CRISES BANCAIRES
Par la création des coopératives ouvrières, destinées à concurrencer le crédit, l'assurance et les centrales d'achat entre autres.
(fr) Certains chiffres présentent autant de zéros que les lire donne le mal de mer
Je vais prouver par des chiffres et graphiques que c'est les travailleurs, monsieur et madame tout le monde en tant que masse de consommation, ceux qu'ont le pouvoir malgré qu'ils se croient impuissants parce que pour ignorance et indifférence induites cèdent le pouvoir à des incapables, et des banquier usuriers, à des sangsues quoi
(English) some numbers on the money with many zeros cause headache
(fr) Il est difficile vouloir écrire et faire lire aux internautes des sujets alors que lire l'horoscope, ou jouer sur le dernier jeux d'un réseau sociale est plus agréable.
(English) It's hard to want to write and want to read, has the people texts on the economy as they prefer reading the horoscope for example or play the latest new game released in social networks
Déjà, voyons une comparaison entre les niches fiscales et le déficit de la protection sociale, pour avoir une vision claire de la réalité des finances de la France:
chiffres en milliards d'euros
Le livre d'Antoine Peillon parle de 219 Milliards d'euros qui quittent le France chaque année!
Cela dit nombre des faits au quotidien dans l'univers de la politique économique concernent toute la population, car les problèmes de la Grèce ou le Portugal, la Espagne ou ailleurs en termes de dette externe, serons tôt ou tard solutionnés par un effort des contribuables c'est à dire messieurs dames de vous et moi.
The entire population is directly affected by every change of economic policy, the defaults of external debt of countries type Greece, Portugal or Spain; sooner or later must be paid to the taxpayer of the whole of Europe
Certains internautes, par facilité intellectuel, auraient tendance à répéter ici et là, ce qu'ils auraient écouté du voisin ou des membres du groupe UMP qui s'empressaient d'habitude à designer le bouc émissaire, par des raccourcis grotesques, mais que le citoyen type aurait facilité à gober sans le moindre envie d'analyser.
Some Internet users, by cause of intellectual ease, would tend to repeat here and there, they would have listened to the neighbor or government officials who were eager to designate the usual real fake responsible for economic crisis; routinely with shortcuts grotesque, but the typical citizen would ease to swallow without the slightest desire to analyze.
Quel est le comportement des Nations vis à vis de la crise?
Il est difficile de comparer toutes les nations, néanmoins nous pouvons trouver ces informations dans le site de la OCDE, cela dit un graphique nous enseigne de manière simple visuelle cela, je me permets en conséquence de vous présenter un graphique comparatif de plusieurs pays, avec source OCDE en lien
Si le navigateur ne permet pas de voir en entier le graphique voici un lien où vous pouvez le voir en entier:
https://nsa22.casimages.com/img/2012/04/05/120405053237191458.jpg
NOTE: Dans divers support web les internautes soucieux de la vérité, nous ferons tout le nécessaire pour publier des éclaircissements indispensables face aux mensonges, dans le seul but de démasquer le faux et le vraie!
SARKOZY : il y a-t-il un pays au monde qu'a fait mieux que la France ! Il n'y a pas !
C'est FAUX, la suède ! Monsieur Sarkozy mais pas seulement Islande, Allemagne, voilà un graphique, source OCDE !
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QUI GENERE DE L'ARGENT?
D'où sort-t-il l'argent qui circule dans les banques, en tant que salaire, crédit, impôt, etc?
La France comment bien d'autres pays démocratiques disposent des organismes de gestion des chiffres c'est le cas de Institut National des Statistiques et Études Économiques INSEE
Le lien vous permet de contrôler la véracité des informations:
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NATTEF09203
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QUI DISPOSE DU PATRIMOINE?
Le patrimoine est distribué dans ce cas si, en fonction de catégories socioprofessionnelles et comparé aux ménages, le lien donne les chiffres dans le site de l'INSEE:
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QUI PRODUIT LA VALEUR AJOUTÉE?
Qui génère en France la valeur ajoutée si nous regardons les catégories, la réponse est lisible dans un graphique, avec lien pour les données source bien entendu, c'est la transformation des matières qui génère presque la moitie du PIB de la FRANCE, un lien pour observer les données source:
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lien pour les données INSEE:
http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NATTEF09225
Même tableau en %
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Certains internautes de mauvaise fois peuvent trouver cela irrégulière, c'est leur droit mais alors, où sont leurs chiffres, leurs sources et leurs analyses?
Par Nestor Elias Ramirez JImenez dit gramophone, Monteria (Colombie) le mardi 20 septembre 2011
SALUD COLOMBIA
*LAS EPS,
MORDISCO
GRANDE*
MORDISCO
GRANDE*
20/02/2023 PERPIGNAN FR
El poder de la corrupción mueve anualmente entre el 8 y 15 % del PIB mundial, entre 7,7 y 14,5 billones de dólares: ¡UFF! Pienso en esto, al intentar abordar el tema de la salud, subido de tono ante la respectiva reforma propuesta.
Por Octavio Quintero - febrero 10 de 2023
Puede argumentarse válidamente que el gran problema mundial es la corrupción inmersa en todas las actividades imaginables al alcance del ser humano, 24 horas al día 7 días a la semana (24/7), desde el tráfico de personas y el comercio de órganos humanos, pasando por las guerras internas y externas, la violencia, el narcotráfico y el tráfico clandestino de armas.
El Índice de Percepción mundial de la Corrupción (IPC/2022), nos informa que estamos perdiendo la batalla en este campo. “Los niveles no han variado en once años consecutivos”… La sociedad convive con la corrupción y los gobiernos la consienten y, en buena medida, forman parte activa de ella, en un contexto cada vez más violento.
Piénsese, no más, cuánto dinero sucio mueve el narcotráfico: una investigación de Global Financial Integrity estima que los flujos narcofinancieros entre EE.UU, México y Colombia, los principales actores en América, pueden alcanzar los 121.000 millones de dólares anuales; súmenle el contrabando de mercancías y armas… ¿Cuántos miles de millones de dólares se esconden en paraísos fiscales? (11,3 billones –cifra alucinante—en su mayor parte por evasión de impuestos y delitos varios, según estudio publicado por la OCDE)… Agréguenle, para no alargar el cuento, la corrupción que permea todo el libre mercado, en el que destacan actividades como la industria farmacéutica que llenó sus arcas y bolsillos de funcionarios corruptos en estos aciagos años de pandemia.
En resumen, las actividades criminales, abiertas o emboscadas en negocios lícitos, mueven anualmente entre 8 y 15 % del PIB global, calculado por el Banco Mundial en 2021 en 96,51 billones de dólares… En cifras concretas, entre 7,7 y 14,5 billones de dólares: ¡UFF!
Este IPC también está muy ligado con la violencia. Los países que tienen las puntuaciones más altas en violencia coinciden con los que tienen puntuaciones muy bajas en transparencia. “Los gobiernos asediados por la corrupción carecen de capacidad para proteger a las personas y, a su vez, en esos contextos, el descontento público tiene más probabilidades de transformarse en violencia. Este círculo vicioso impacta a países de todas las regiones”. Colombia, por ejemplo, se destaca en Latinoamérica.
También este persistente IPC puede ser tomado como testimonio fehaciente del fracaso del neoliberalismo, pues, se instauró bajo la premisa de que la gestión privada era crisol de moralidad; y no hay tal. Se olvidó que la corrupción siempre es plural, es decir, si antes se generaba en la gestión del Estado en connivencia con la empresa privada, ahora se genera en la gestión de la empresa privada en connivencia con el Estado. El cambio fue de sujeto activo a pasivo, y viceversa. Di Lampedusa no lo habría imaginado mejor.
Pienso en esto, al intentar abordar el tema de la salud en Colombia, subido de tono por estos días, ante la respectiva reforma propuesta por el Gobierno Petro en desarrollo, valga la aclaración, de la Ley Estatutaria de Salud expedida hace ocho años, 1751/15: “… El Estado adoptará políticas para asegurar la igualdad de trato y oportunidades en el acceso a las actividades de promoción, prevención, diagnóstico, tratamiento, rehabilitación y paliación para todas las personas. De conformidad con el artículo 49 de la Constitución Política, su prestación como servicio público esencial obligatorio, se ejecuta bajo la indelegable dirección, supervisión, organización, regulación, coordinación y control del Estado (art. 2º).
Nunca antes se había visto a la empresa privada tan “preocupada” por la salud de los colombianos como hoy. Se opone rotundamente a que el Estado asuma directamente el manejo de los billonarios recursos públicos de un nuevo sistema sanitario que gire en torno a la prevención y predicción de las enfermedades de la gente. Pareciera, pensando mal, que al sector privado le resulta mejor negocio el modelo actual basado en paliar enfermedades hasta la muerte de los pacientes. El modelo propuesto, por el contrario, pretende implantar la medicina predictiva y preventiva, dos ítem distintos, pero complementarios, como explica la ministra Carolina Corcho, en el ojo del huracán.
Este pulso evoca el debate que se libró en el pasado reciente en torno al Instituto Colombiano de Seguros Sociales (ICSS), que se “resolvió” con la creación de las EPS, y la consiguiente liquidación del ICSS. La historia es larga y está contada parcialmente, en cuanto a que en el imaginario colectivo quedó instalada la idea de que el sistema colapsó, simple y llanamente, porque estaba en manos del Estado. Y no es del todo cierto; mejor dicho, sí y no… Es cierto que desde el Presidente Carlos Lleras Restrepo (1966-1970), en adelante, el Estado dejó de aportar su parte al ICSS; dispuso dónde colocar los fondos; clientelizo y politizó el Seguro Social que llegó a tener 40.000 trabajadores, gobernado por gerentes y juntas directivas, nacional y regionales, extraídas del sector político. Pero si la solución era poner la administración y el manejo de los recursos públicos en manos privadas, ¿por qué, entonces, el sistema hoy también está colapsado?, y por la misma causa: ¡Corrupción!
En el tema concreto de las EPS, que nos ocupa, es tristemente famoso el caso de Saludcoop que colapsó dejando una huella de corrupción estimada por la Contraloría General en 1,4 billones de pesos, sumada a la corrupción de otras 100 EPS liquidadas entre el 2003 y el 2015, muchas adscritas a congresistas según un trino reciente del exministro Rudolf Hommes, artífice de la Ley 100 de 1993 que les dio vida, cuyas deudas insolutas no han sido siquiera cuantificadas, más los 16,6 billones de hoy que adeudan a clínicas y hospitales las que se ahogan en su propio mar de corrupción. Con decir, para cerrar el tema, que solo cinco EPS, de las 30 que sobreviven, cumplen en estos momentos con las reservas técnicas para prestar el servicio de intermediarias financieras en el sistema de salud.
Aquí desembocamos en el problema mayor: escuetamente se trata de dilucidar si seguimos dejando que los recursos públicos los siga malversando el sector privado o volvemos a darle un chance al sector estatal. Así de simple.
Sea lo que sea, pienso, y es teoría universal con suficiente ilustración, que la salud preventiva y predictiva resulta más humana y eficiente, en términos de gestión de los recursos. Es a lo que apuntan las últimas recomendaciones de la Organización Mundial de la Salud (OMS) a raíz de la pandemia que cogió al mundo “con los calzones abajo”, como se dice comúnmente. Con el solo hecho de que el nuevo modelo apunte a esa meta, vale apostar al cambio.
Pero no dejo de concluir (¿quién conmigo?) que el celo de la empresa privada, más allá de su dudosa preocupación por la población, pasa por el negocio y consiguiente corrupción implícita en las EPS; se está jugando el manejo de 51,2 billones de pesos (presupuesto de salud para 2023)… Sobre el 10% que, calculan los entendidos es la media del CVY (¿cómo voy yo?), estaríamos hablando de un botín de 5,12 billones de pesos, fuera de las ganancias, elevadas de por sí, de la intermediación financiera en Colombia. Da para mover cielo y tierra con tal de no perder el negocio y meter el mordisco.
_________________________
Fin de folio.- Una periodista de la BBC le pidió a Zelenski, en rueda de prensa, que la abrazara. El Pdte ucraniano rompió el protocolo, y ella, la independencia periodística.
Argumentos y Praxis
QUIÉNES GENERAN DINERO?
Traducción del francés 24/05/2024
¿De dónde viene el dinero que circula en los bancos, como salario, crédito, impuestos, etc.?
Francia, como muchos otros países democráticos, cuenta con organismos de gestión de cifras, este es el caso del Instituto Nacional de Estadística y de Estudios Económicos INSEE.
El enlace permite comprobar la veracidad de la información:
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
Traducción del francés 24/05/2024
¿De dónde viene el dinero que circula en los bancos, como salario, crédito, impuestos, etc.?
Francia, como muchos otros países democráticos, cuenta con organismos de gestión de cifras, este es el caso del Instituto Nacional de Estadística y de Estudios Económicos INSEE.
El enlace permite comprobar la veracidad de la información:
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
Bibliografía de base
A través de diversos actores presentes en diferentes siglos de la existencia de la humanidad; es muy probable recoger una bibliografía, que contiene conceptos que permiten iluminar, aclarar nuestro discernimiento, dándonos así una retórica soportada y argumentada difícil de contradecir.
Es a causa del discurso utilizado por algunas personas que presumen nivel alto de Cultura, que he tomado el tiempo de recopilar el pensamiento de pensadores conocidos ( Wilhelm Röpke, Ludwig von Mises entre otros)
Sin embargo evitan citar las fuentes de sus opiniones, en general es un contenido que fácilmente podemos contradecir debido a que no tiene fuentes. Todo concepto sociológico ideológico sin fundamentos es fácilmente refutable, opinar pues sin fundamentos es solo eso opinión, doxa equivalente a las hojas secas en otoño
Ludwig von Mises
La base ideológica de **Ludwig von Mises** (a veces llamado incorrectamente Frédéric von Mises) está en el **liberalismo clásico** y el **individualismo** dentro de la **escuela austríaca de economía**. Mises fue un defensor del **libre mercado** y un crítico de la intervención del Estado en la economía, planteando que la libertad económica es esencial para la prosperidad y el desarrollo humano.
Mises creía que el sistema de precios en el mercado libre es el mejor mecanismo para coordinar la actividad económica, ya que permite la asignación eficiente de recursos basada en las preferencias individuales y la competencia. Rechazaba el **socialismo** y la **planificación centralizada**, argumentando que estas alternativas son ineficaces y terminan restringiendo las libertades individuales. En su obra *La acción humana*, expone los principios de la "praxeología," que estudia la acción humana desde la lógica de los fines y los medios, partiendo de que las personas actúan racionalmente para satisfacer sus deseos y necesidades.
A nivel político, Mises promovió un sistema de gobierno con mínima intervención en la vida económica y social, defendiendo que la **propiedad privada** y la **libertad de mercado** son fundamentales para la paz y el progreso social.
En resumen, la base ideológica de Ludwig von Mises es el **liberalismo clásico**, caracterizado por una fuerte defensa del mercado libre, el individualismo, y una visión anti-estatista en economía.
Wilhelm Röpke
fue un economista y sociólogo alemán conocido por su influencia en el desarrollo de la “economía social de mercado”, un modelo que busca un equilibrio entre la “libre competencia” y un “estado social” que garantice ciertos estándares de bienestar para la sociedad. Röpke consideraba que ni el capitalismo desenfrenado ni el socialismo centralizado eran adecuados, proponiendo en cambio un sistema económico en el que el mercado esté regulado por principios éticos y sociales.
Su enfoque, a menudo llamado "ordoliberalismo," influyó significativamente en la reconstrucción económica de Alemania tras la Segunda Guerra Mundial. Junto a otros economistas alemanes, Röpke promovió una visión del mercado basada en la **dignidad humana, la solidaridad y la responsabilidad social**. Argumentaba que la economía debería servir a las personas, y no al revés, y enfatizaba la importancia de pequeñas y medianas empresas, el respeto a la propiedad privada y la descentralización económica para evitar monopolios y concentraciones de poder.
Röpke también aportó a la **teoría de la economía humanista**, que sostiene que la economía debe integrarse a una visión ética y cultural más amplia. Creía que el crecimiento económico no es el único fin de una sociedad, y que se deben tomar en cuenta los valores culturales, la cohesión social y la calidad de vida.
En resumen, Wilhelm Röpke aportó a la ciencia económica una **visión humanista del mercado**, que busca combinar los principios de la competencia y la libertad económica con el bienestar social y ético. Su economía social de mercado sigue siendo influyente en los modelos de políticas públicas de varios países, especialmente en Europa.
Frédéric Lordon
https://www.youtube.com/live/dDY3aczWOd0?si=bGdKcVOjz9no222b
Es un economista y sociólogo francés conocido por su análisis crítico del capitalismo y sus aportes a una **sociología de las emociones** inspirada en el pensamiento de Spinoza y el marxismo. Su trabajo destaca por integrar economía, política y filosofía, explorando cómo las estructuras económicas afectan y moldean las emociones, motivaciones y deseos de los individuos dentro del sistema capitalista.
Uno de sus aportes centrales es la idea de que el **capitalismo** opera no solo a través de estructuras económicas, sino también a través de un sistema emocional que captura los deseos y las pasiones de los individuos. Lordon sostiene que las empresas capitalistas generan una "servidumbre voluntaria" al movilizar las emociones de las personas, haciéndoles aceptar condiciones de trabajo y explotación como algo deseable o inevitable. Este enfoque se inspira en la filosofía de Spinoza, particularmente en su teoría de las pasiones, lo que lleva a Lordon a estudiar cómo el poder se mantiene no solo por coerción, sino también por la manipulación de deseos y afectos.
Lordon también ha sido crítico del **neoliberalismo** y sus efectos, sugiriendo que el sistema capitalista promueve un tipo de subordinación en la que las personas internalizan sus deseos de acuerdo con las expectativas del mercado y la economía. En su obra *Capitalismo, deseo y servidumbre*, profundiza en cómo los deseos individuales son moldeados y canalizados hacia la reproducción del sistema capitalista.
En resumen, los aportes de Frédéric Lordon a la sociología incluyen una **sociología de las emociones** y del **deseo en el capitalismo**, destacando cómo las estructuras económicas influyen en las pasiones y deseos de las personas, lo que facilita su integración y sumisión a los sistemas de poder capitalistas.
Thomas Hobbes
Thomas Hobbes es asociado principalmente con el **absolutismo político** y el **materialismo** en filosofía. Su obra más famosa, *Leviatán*, plantea la necesidad de un **gobierno fuerte y centralizado** para evitar el caos y la violencia inherentes a la naturaleza humana. Hobbes considera que, en su estado natural, los seres humanos vivirían en una situación de "guerra de todos contra todos" (bellum omnium contra omnes), por lo cual es necesario un contrato social donde los individuos cedan su libertad a un **soberano absoluto** a cambio de seguridad y orden.
En cuanto a la filosofía, Hobbes es un **materialista** y **determinista**, creyendo que todos los fenómenos, incluida la mente y las emociones humanas, son producto de interacciones materiales y físicas. Rechaza la idea de la existencia de "alma" o principios no materiales, lo que también lo distingue de otros filósofos de su época.
John Locke
John Locke es uno de los principales representantes del **liberalismo clásico** y del **empirismo**. Su pensamiento político y filosófico fue fundamental para el desarrollo de la teoría liberal, defendiendo ideas como la **libertad individual**, el **derecho a la propiedad privada**, la **tolerancia religiosa**, y la idea de que el poder político debe tener un origen consensuado en los gobernados, lo cual inspiró conceptos modernos de democracia y derechos humanos.
En filosofía, Locke es una figura clave del **empirismo**, que sostiene que el conocimiento humano proviene de la experiencia sensorial y que la mente es una "tabula rasa" (una hoja en blanco) al nacer. Esta postura se opone al **racionalismo**, que defiende que algunas ideas y conocimientos son innatos.
En resumen, las dos corrientes ideológicas que acoge a Locke son el **liberalismo clásico** en política y el **empirismo** en filosofía.
Monique Pinçon-Charlot
https://youtu.be/JEOj91N7tn8?si=ml-V4tgbC8ejFTRo
La socióloga francesa **Monique Pinçon-Charlot** basa su pensamiento en un análisis crítico de las clases altas y su poder en la sociedad, enfocándose en el **capitalismo** y la **dinámica de la élite económica y política**. Junto a su esposo y también sociólogo Michel Pinçon, ha investigado cómo las élites mantienen y reproducen sus privilegios, estructurando relaciones sociales y económicas que perpetúan las desigualdades.
Pinçon-Charlot considera que la **burguesía** (o clase alta) no solo se beneficia del sistema capitalista, sino que actúa activamente para sostenerlo y fortalecerlo mediante mecanismos de cohesión interna, redes de poder, y exclusión social. Esto incluye el uso de **instituciones** como la educación, la política y la economía para mantener la concentración de la riqueza y el poder en un grupo reducido. Su enfoque también resalta el papel de los intereses corporativos y de la influencia de los grandes capitales en la política, cuestionando el supuesto de neutralidad de los sistemas democráticos.
En resumen, la base del pensamiento de Monique Pinçon-Charlot es un **análisis sociológico crítico de la burguesía y el capitalismo**, explorando cómo estos perpetúan las desigualdades y los privilegios de clase a través de redes de poder y exclusión.
Propositos recogidos en La Jagua cordoba, el martes 5 de noviembre 2024 por (Twitter) @gramophonefr
Re: Economie, politique et subvention
PORQUE LOS POBRES ELIGEN SUS PROPIOS VERDUGOS
Les candidats de droite parviennent souvent à arriver au pouvoir, même dans des contextes où la population pauvre est majoritaire, pour plusieurs raisons complexes. Voici quelques explications possibles :
1. Discours de sécurité et ordre :
Les candidats de droite mettent souvent en avant des politiques de sécurité, de lutte contre le crime, et d'ordre public, qui peuvent séduire une partie de la population pauvre confrontée à des problèmes d'insécurité dans leur quotidien. Ce discours de fermeté et d'autorité peut créer un sentiment de protection.
2. Soutien des classes moyennes :
La droite attire souvent les classes moyennes, qui craignent parfois de basculer vers la pauvreté. En promettant de protéger leurs acquis et de réduire les impôts, elle réussit à mobiliser ce groupe social, qui se sent proche de la situation des plus pauvres sans en faire partie.
3. Discours de l'ascension sociale :
Les candidats de droite misent sur des valeurs comme le travail, le mérite, et l'entrepreneuriat. Ils présentent souvent leurs politiques comme des moyens pour les gens de "se sortir de la pauvreté" par leurs propres efforts. Cette idée d'ascension sociale peut séduire une partie de la population pauvre en quête de meilleures perspectives.
4. Critique de l'État providence:
Dans certains contextes, les partis de droite critiquent l'État providence, le présentant comme inefficace et responsable de la dépendance à l'assistance sociale. En promettant des réformes et une meilleure gestion économique, ils arrivent à convaincre une partie de la population pauvre qui peut voir la bureaucratie comme un obstacle à leurs propres aspirations.
5. Usage de médias influents :
Les partis de droite sont parfois soutenus par des médias influents, ce qui leur permet de diffuser largement leurs idées. La couverture médiatique peut influencer les perceptions et conduire une partie de la population pauvre à croire que les solutions proposées par la droite sont les plus adaptées.
6. Faiblesse ou division de la gauche:
Dans certains cas, les partis de gauche sont divisés ou perçus comme inefficaces, ce qui peut détourner une partie de la population pauvre de leurs programmes. Si les candidats de gauche n'apportent pas des solutions concrètes ou ne parviennent pas à s'unir, cela profite aux candidats de droite.
7. Promesses d’emploi :
Les candidats de droite insistent souvent sur la création d’emplois par le secteur privé et le soutien aux entreprises, affirmant que cela permettra une réduction de la pauvreté. En se concentrant sur l'économie de marché et en mettant en avant l'emploi, ils attirent des électeurs préoccupés par leur avenir professionnel.
8. Populisme et slogans simplifiés :
Dans certains cas, les candidats de droite utilisent un discours populiste qui simplifie les problèmes sociaux et économiques, attribuant des causes uniques aux difficultés de la population (immigration, bureaucratie, etc.). Ces discours simplifiés, bien que réducteurs, peuvent toucher une partie de la population qui ressent fortement ces problématiques.
Ainsi, les candidats de droite réussissent souvent à toucher des segments divers de la population, y compris certains groupes parmi les plus défavorisés, en s'appuyant sur des discours variés et des stratégies qui répondent à certaines attentes ou peurs
.
Solo la verdad
The traditional press and the highest spheres of justice in a country are under the total control of narco-parapolitics.
(French) La presse traditionnelle et les plus hautes sphères de la justice d’un pays sont sous le contrôle total de la narco-parapolitique.
https://www.youtube.com/live/KVvLXQtR2Dw?si=IcaokdPfQAgcSqQK
En el ataque al Palacio de Justicia que ocurrió?
What happened in the attack on the Palace of Justice?
(French) Que s'est-il passé lors de l'attaque du Palais de Justice ?
Los detalles:
https://youtu.be/R0S6S67kzBo?si=sF-yBOsUpOxOOyjw
The president of a country was perfectly aware of the genocide, Two planes departed from military bases in the north of the country with 120 men from the Armed Self-Defense Forces of Colombia AUC
(French)Le président d'un pays était parfaitement au courant du génocide, Deux avions ont décollé de bases militaires dans le nord du pays avec 120 hommes des Forces armées d'autodéfense de Colombie AUC
The two aircraft arrived at military airports from where the armed men went to the town of MAPIRIPAN where for almost a week they murdered people and even played soccer with the heads of some of them:
(French)Les deux avions sont arrivés aux aéroports militaires d'où les hommes armés se sont rendus dans la ville de MAPIRIPAN où, pendant près d'une semaine, ils ont assassiné des gens et ont même joué au football avec les têtes de certains d'entre eux :
https://youtu.be/WaAioreP2FU?si=6-1LLoY0cofeTf88
So that today the brother-in-law of the previous president comes out with a clumsy speech of innocence! especially with a LESSON about the press?
(French)si bien qu'aujourd'hui le beau-frère du précédent président sort un discours maladroit avec tête d'innocence! surtout avec une LECENCE de presse ?
(French) La presse traditionnelle et les plus hautes sphères de la justice d’un pays sont sous le contrôle total de la narco-parapolitique.
https://www.youtube.com/live/KVvLXQtR2Dw?si=IcaokdPfQAgcSqQK
En el ataque al Palacio de Justicia que ocurrió?
What happened in the attack on the Palace of Justice?
(French) Que s'est-il passé lors de l'attaque du Palais de Justice ?
Los detalles:
https://youtu.be/R0S6S67kzBo?si=sF-yBOsUpOxOOyjw
The president of a country was perfectly aware of the genocide, Two planes departed from military bases in the north of the country with 120 men from the Armed Self-Defense Forces of Colombia AUC
(French)Le président d'un pays était parfaitement au courant du génocide, Deux avions ont décollé de bases militaires dans le nord du pays avec 120 hommes des Forces armées d'autodéfense de Colombie AUC
The two aircraft arrived at military airports from where the armed men went to the town of MAPIRIPAN where for almost a week they murdered people and even played soccer with the heads of some of them:
(French)Les deux avions sont arrivés aux aéroports militaires d'où les hommes armés se sont rendus dans la ville de MAPIRIPAN où, pendant près d'une semaine, ils ont assassiné des gens et ont même joué au football avec les têtes de certains d'entre eux :
https://youtu.be/WaAioreP2FU?si=6-1LLoY0cofeTf88
So that today the brother-in-law of the previous president comes out with a clumsy speech of innocence! especially with a LESSON about the press?
(French)si bien qu'aujourd'hui le beau-frère du précédent président sort un discours maladroit avec tête d'innocence! surtout avec une LECENCE de presse ?
Acto sesgado contra la Vice-présidente del Ecuador
ECUADOR:
Una Justicia muy acomodada a ?
Información de fuente en Quito fecha 9/11/2024
︎ Da Vergüenza como aíslan a la Sra. VICEPRESIDENTA
Para que no ocupe la Presidencia en época en que Noboa partícipa electoralmente por la presidencia de la República ECUADOR.
Da vergüenza de la Justicia que le da él tiempo de elecciones como suspendida, de qué?
A ella Constitucionalmente le toca reemplazar al Presidente de la República del Ecuador
Ahora la Justicia actúa muy rápidamente?
Queremos a la Sra, Verónica Abad como así lo dice la Constitución de la República del Ecuador como presidenta del Ecuador, ahora él pueblo castigará en las Urnas a los violadores de la Constitución de la R. del Ecuador.
Una Justicia muy acomodada a ?
Información de fuente en Quito fecha 9/11/2024
︎ Da Vergüenza como aíslan a la Sra. VICEPRESIDENTA
Para que no ocupe la Presidencia en época en que Noboa partícipa electoralmente por la presidencia de la República ECUADOR.
Da vergüenza de la Justicia que le da él tiempo de elecciones como suspendida, de qué?
A ella Constitucionalmente le toca reemplazar al Presidente de la República del Ecuador
Ahora la Justicia actúa muy rápidamente?
Queremos a la Sra, Verónica Abad como así lo dice la Constitución de la República del Ecuador como presidenta del Ecuador, ahora él pueblo castigará en las Urnas a los violadores de la Constitución de la R. del Ecuador.
SESGO PERIODÍSTICO
Ana Bejarano LOS DANIELES
En cuanto a Benedetti
Sunday, November 10, 2024 by @gramophonefr (Twitter)
Write in english and spanish
ATENCIÓN AL SESGO PERIODÍSTICO
Introduction (french)
Lorsqu’on a un niveau universitaire, pour aborder certains sujets précis de politique et d’économie politique, il est évident que l’on a le niveau qui permet de comprendre quand il faut ou non agir avec « autocensure », avec prudence, notamment dans le cas d'un gouvernement, le premier de gauche dans l'histoire de la Colombie, qui n'aura bien sûr pas l'expérience ni (Olmedo López) suffisamment de personnes pour gérer des situations absolument délicates en termes de gouvernance d'un pays.
Y para concluir, podemos afirmar que este Gobierno permite la libertad de expresión al punto que muchas personas creen poder hacerle daño a la imagen del Presidente GUSTAVO PETRO, porque están seguros de que no serán asesinados (SI HAY CAMBIO) por estas razones, Pierre García cometió errores y desapareció, cuando Karin ABoudine cometió error y quedó impune, el Ñeñe Hernández aporto millones de dolares para la campsña de Ivan Duque, la prensa entonces no se criticó pero se ataca la campaña de Petro quizás porque la Federación del magisterio participó
Porque los periodistas que lo hubiesen hecho en la prensa tradicional corrían el riesgo de morir o simplemente no lo hicieron porque eran personas afines y próximas “cuñados” del Presidente de la República.
UNE PREUVE DU CHANGEMENT
Et pour conclure, nous pouvons affirmer que ce gouvernement permet la liberté d'expression au point que beaucoup de gens croient pouvoir nuire à l'image du président GUSTAVO PETRO, car ils sont sûrs qu'ils ne seront pas assassinés pour ces raisons.
Pierre García a fait des erreurs et a disparu.
Karin ABoudine a fait une erreur et est restée impunie.
Ñeñe Hernández a contribué avec des millions de dollars à la campagne d'Ivan Duque, la presse godillote n’a pas critiqué à l'époque mais la campagne de Petro a peut-être été attaquée parce que la Fédération des enseignants a participé
Les journalistes qui l’auraient fait dans la presse traditionnelle risquaient de mourir ou ne l’avaient tout simplement pas fait parce qu’ils partageaient les mêmes idées et étaient de proches « beaux-frères » du Président de la République?
In the history of more than two centuries of the Presidency of the Republic of Colombia, there are always some people who, by tradition, know the electoral mechanism, the very process in which the President is elected, and these people, by tradition of several decades, generally swear to defend a common cause with the candidate they choose.
I doubt that a candidate in a delicate situation such as that of the Presidency of the Republic would be one hundred percent unaware of details of the personality, the vices, the customs of the people who, at a moment of campaign, decide to swear loyalty to a presidential project.
Yes, a presidential candidate knows the tricks of the political tradition in Colombia, and it is very likely that he even knows the behavioural deviations, vices or customs of high-ranking people like Mr. Benedetti. For legal reasons we must give the benefit of the doubt to the fact that we are making a constructive criticism of the traditional situation of the electoral process in Colombia for several centuries. Perhaps it is the work of history and not of the courts to decide whether the situation of political support for a left-wing electoral campaign is compromised by accepting support (votes) from people who morally and ethically should not have participated.
In the name of freedom of expression, any journalist or person who wishes to act in severe criticism of the behaviour of candidates, later presidents, can elaborate, write and publish their critical position as long as they have evidence to the contrary. The situation becomes complicated, it stops being information, accusation, efficient criticism to become a rhetoric that attacks, damages the image in this exact case of GUSTAVO PETRO.
When you have access to a newspaper column, access to a microphone, to the power that one has within the media, it is very interesting to know if the people who make the criticisms, who know that they are destructive and will cause damage; did so with previous candidates who from every point of view, as history shows with the 8000 process, with the cartel of the toga, Néstor Humberto Martínez and ODEBRESCH, made mistakes, even of much greater gravity than those mistakes (1) but at no time did they receive such severe criticism!
Which allows us to affirm, without the shadow of a doubt, that the journalism that President Gustavo Petro attacks is a journalism that is biased
En la historia de más de dos siglos de Presidencia de la República de Colombia, siempre se encuentran algunas personas que por tradición conocen el mecanismo electoral, el proceso mismo en el cual se elige el Presidente y esas personas por tradición de varias décadas en general juran defender una causa común con el candidato que eligen.
Dudo que un candidato en situación delicada como es la de la Presidencia de la República ignore ciento por ciento detalles de la personalidad, de los vicios, de las costumbres de las personas que en un momento de campaña deciden jurar fidelidad a un proyecto de Presidencia.
Sí, un candidato presidencial conoce las mañas de la tradición política en Colombia es muy probable que incluso conozca las derivas en comportamiento, los vicios o las costumbres de personas de alto rango como el señor Benedetti. Por razones jurídicas debemos dejar el beneficio de la duda al hecho en el cual estamos haciendo una crítica constructiva de la situación tradicional de varios siglos del proceso electoral en Colombia. Quizás sea el trabajo de la historia y no de los tribunales decidir si la situación de los apoyos políticos de una campaña electoral de izquierda está comprometida, al aceptar apoyos (votos) de personas que moralmente, éticamente no hubiesen debido participar.
En nombre de la libertad de expresión, todo periodista a toda persona que desee actuar en críticas severas del comportamiento de los candidatos, posteriormente presidentes; pueden elaborar, escribir publicar su posición crítica mientras tengan pruebas de lo contrario. La situación se complica, deja de ser una información, acusación, una crítica eficiente para transformarse en un una retórica que ataca, deteriora la imagen en este caso exacto de GUSTAVO PETRO.
Cuando se tiene acceso a una columna de un periodico, asceso a un microfono, al poder que se tiene dentro de los medios de comunicación, es interesantísimo saber si las personas que hacen las críticas, que saben que son destructivas que van a producir daño; Lo hicieron con candidatos anteriores que desde todo punto de vista, lo muestra la historia con el proceso 8000, con el cartel de la toga, Néstor Humberto Martínez y ODEBRESCH, Cometieron errores, incluso de mucha más gravedad que esos errores(1) pero en ningún momento recibieron una crítica tan severa!
Lo que nos permite afirmar, sin la sombra de una duda, que ese periodismo que ataca el Presidente Gustavo Petro es un periodismo que está sesgado
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En cuanto a Benedetti
Sunday, November 10, 2024 by @gramophonefr (Twitter)
Write in english and spanish
ATENCIÓN AL SESGO PERIODÍSTICO
Introduction (french)
Lorsqu’on a un niveau universitaire, pour aborder certains sujets précis de politique et d’économie politique, il est évident que l’on a le niveau qui permet de comprendre quand il faut ou non agir avec « autocensure », avec prudence, notamment dans le cas d'un gouvernement, le premier de gauche dans l'histoire de la Colombie, qui n'aura bien sûr pas l'expérience ni (Olmedo López) suffisamment de personnes pour gérer des situations absolument délicates en termes de gouvernance d'un pays.
Y para concluir, podemos afirmar que este Gobierno permite la libertad de expresión al punto que muchas personas creen poder hacerle daño a la imagen del Presidente GUSTAVO PETRO, porque están seguros de que no serán asesinados (SI HAY CAMBIO) por estas razones, Pierre García cometió errores y desapareció, cuando Karin ABoudine cometió error y quedó impune, el Ñeñe Hernández aporto millones de dolares para la campsña de Ivan Duque, la prensa entonces no se criticó pero se ataca la campaña de Petro quizás porque la Federación del magisterio participó
Porque los periodistas que lo hubiesen hecho en la prensa tradicional corrían el riesgo de morir o simplemente no lo hicieron porque eran personas afines y próximas “cuñados” del Presidente de la República.
UNE PREUVE DU CHANGEMENT
Et pour conclure, nous pouvons affirmer que ce gouvernement permet la liberté d'expression au point que beaucoup de gens croient pouvoir nuire à l'image du président GUSTAVO PETRO, car ils sont sûrs qu'ils ne seront pas assassinés pour ces raisons.
Pierre García a fait des erreurs et a disparu.
Karin ABoudine a fait une erreur et est restée impunie.
Ñeñe Hernández a contribué avec des millions de dollars à la campagne d'Ivan Duque, la presse godillote n’a pas critiqué à l'époque mais la campagne de Petro a peut-être été attaquée parce que la Fédération des enseignants a participé
Les journalistes qui l’auraient fait dans la presse traditionnelle risquaient de mourir ou ne l’avaient tout simplement pas fait parce qu’ils partageaient les mêmes idées et étaient de proches « beaux-frères » du Président de la République?
In the history of more than two centuries of the Presidency of the Republic of Colombia, there are always some people who, by tradition, know the electoral mechanism, the very process in which the President is elected, and these people, by tradition of several decades, generally swear to defend a common cause with the candidate they choose.
I doubt that a candidate in a delicate situation such as that of the Presidency of the Republic would be one hundred percent unaware of details of the personality, the vices, the customs of the people who, at a moment of campaign, decide to swear loyalty to a presidential project.
Yes, a presidential candidate knows the tricks of the political tradition in Colombia, and it is very likely that he even knows the behavioural deviations, vices or customs of high-ranking people like Mr. Benedetti. For legal reasons we must give the benefit of the doubt to the fact that we are making a constructive criticism of the traditional situation of the electoral process in Colombia for several centuries. Perhaps it is the work of history and not of the courts to decide whether the situation of political support for a left-wing electoral campaign is compromised by accepting support (votes) from people who morally and ethically should not have participated.
In the name of freedom of expression, any journalist or person who wishes to act in severe criticism of the behaviour of candidates, later presidents, can elaborate, write and publish their critical position as long as they have evidence to the contrary. The situation becomes complicated, it stops being information, accusation, efficient criticism to become a rhetoric that attacks, damages the image in this exact case of GUSTAVO PETRO.
When you have access to a newspaper column, access to a microphone, to the power that one has within the media, it is very interesting to know if the people who make the criticisms, who know that they are destructive and will cause damage; did so with previous candidates who from every point of view, as history shows with the 8000 process, with the cartel of the toga, Néstor Humberto Martínez and ODEBRESCH, made mistakes, even of much greater gravity than those mistakes (1) but at no time did they receive such severe criticism!
Which allows us to affirm, without the shadow of a doubt, that the journalism that President Gustavo Petro attacks is a journalism that is biased
In spanish
En la historia de más de dos siglos de Presidencia de la República de Colombia, siempre se encuentran algunas personas que por tradición conocen el mecanismo electoral, el proceso mismo en el cual se elige el Presidente y esas personas por tradición de varias décadas en general juran defender una causa común con el candidato que eligen.
Dudo que un candidato en situación delicada como es la de la Presidencia de la República ignore ciento por ciento detalles de la personalidad, de los vicios, de las costumbres de las personas que en un momento de campaña deciden jurar fidelidad a un proyecto de Presidencia.
Sí, un candidato presidencial conoce las mañas de la tradición política en Colombia es muy probable que incluso conozca las derivas en comportamiento, los vicios o las costumbres de personas de alto rango como el señor Benedetti. Por razones jurídicas debemos dejar el beneficio de la duda al hecho en el cual estamos haciendo una crítica constructiva de la situación tradicional de varios siglos del proceso electoral en Colombia. Quizás sea el trabajo de la historia y no de los tribunales decidir si la situación de los apoyos políticos de una campaña electoral de izquierda está comprometida, al aceptar apoyos (votos) de personas que moralmente, éticamente no hubiesen debido participar.
En nombre de la libertad de expresión, todo periodista a toda persona que desee actuar en críticas severas del comportamiento de los candidatos, posteriormente presidentes; pueden elaborar, escribir publicar su posición crítica mientras tengan pruebas de lo contrario. La situación se complica, deja de ser una información, acusación, una crítica eficiente para transformarse en un una retórica que ataca, deteriora la imagen en este caso exacto de GUSTAVO PETRO.
Cuando se tiene acceso a una columna de un periodico, asceso a un microfono, al poder que se tiene dentro de los medios de comunicación, es interesantísimo saber si las personas que hacen las críticas, que saben que son destructivas que van a producir daño; Lo hicieron con candidatos anteriores que desde todo punto de vista, lo muestra la historia con el proceso 8000, con el cartel de la toga, Néstor Humberto Martínez y ODEBRESCH, Cometieron errores, incluso de mucha más gravedad que esos errores(1) pero en ningún momento recibieron una crítica tan severa!
Lo que nos permite afirmar, sin la sombra de una duda, que ese periodismo que ataca el Presidente Gustavo Petro es un periodismo que está sesgado
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sobre un presidente guerrillero
UN PRESIDENTE GUERRILLERO
Certain contents with specific levels of rhetoric are not pronounced by ignorant people, but by people with hypocrisy and a will to destroy and denigrate other people; this effect is only possible when the message falls into the ears of people without a sufficient level of knowledge to discern
El castigo de encarcelamiento tiene varias razones y propósitos fundamentales dentro del sistema de justicia que incluyen:
Rehabilitación: La cárcel actúa como una forma de castigo para las personas que han violado la ley, especialmente en delitos graves como "GENOCIDIO". Es una respuesta que busca equilibrar el daño causado y que, en teoría, corresponde a la gravedad del delito cometido. Este concepto debe entenderse dentro de un proceso de reintegración a la sociedad de forma productiva y respetuosa de la ley. Hablamos de un “objetivo” que se cumplirá de manera proporcional al nivel de justicia del país respectivo (en Colombia sin duda menos que en países como Alemania, Noruega, Suecia.
Es sin embargo de conocimiento publico que este principio se aplica cuando en el seno del centro democrático (partido de ultra derecha) en Colombia (1) son admitidos algunos miembros del grupo de guerrilla de universitarios que nace luego de los hechos donde la derecha tradicional en el año 1970 se burla del proceso electoral, dando origen al movimiento M-19. Entre los miembros del M19 hoy activos en el CENTRO DEMOCRÁTICO se cuentan Everth Bustamante, Rosemberg Pabón, Augusto Osorno.
Cuando se analiza en funcionamiento de la justicia colombiana. Lo primero que podemos destacar es que desde las más altas esferas, se promueve la impunidad durante estos dos siglos donde ha gobernado una elite compuesta de facinerosos o rufianes como Emilio TAPIA, como Mario Andres Urán, Herles Rodrigo Ariza Becerra teniente coronel retirado de la policía, quien puede olvidar a Martha Janeth Mancera quien acusa erradamente por cargos diferentes a Francisco Javier Martínez Ardila alias Pacho Malo, ex-agente del CTI, quien fue detenido en Medellín mucho tiempo después de que la prensa lo vinculara al narcotráfico. En esta introducción “amañada” discrepamos de la teoria de Robert Martinson, “nada podría influir en la rehabilitación de los reclusos” 1974 si ejecutamos una lectura rigurosa de los trabajos de Federico Lordon, Monique Pinçon-Charlot, Miranda Friker, James Gilligan, Shadd Maruna, en una lista no exhaustiva. Estos últimos autores inducirían al lector y la justicia como la educación a realizar ingentes esfuerzos más efectivos en rehabilitación, enfocándose en la reducción de reincidencia.
Las pruebas que implican a Mancera
https://youtu.be/biWCPefFYzU?si=5JMNraeyljtlL8Ys
Barbosa y Maancera:
https://youtu.be/vmoZnTZM9L0?si=XyWLaRnpwhc-c2qP
Para que se perpetúe la impunidad durante siglos, es necesario una acumulación de falencias, que son evidentes en Colombia, lo más interesante sería el famoso “proceso ocho-mil” como lo es el caso tratado y que lleva a prisión a varias personas, llamado la “YIDISPOLITICA”, la corrupción afecta inexcusablemente todos los niveles de las instituciones del sistema de justicia en países como Colombia. Desde luego que se trata de una cadena de factores que son entrelazados como la debilidad institucional, fruto del proceso como se eligen quienes se supone irían a las altas cortes, hoy no ocurren amenazas y violencia como la sufrió y le costó la vida el 30 de abril de 1984, Rodrigo Lara Bonilla Ministro de Justicia de Belisario Betancourt asesinado en Bogotá en un atentado ordenado por el cartel de Medellín como represalia por sus esfuerzos contra el narcotráfico.
No se puede justificar los altos niveles de corrupción, sin los altos niveles de impunidad, que solo son posibles cuando los más altos representantes de la justicia en un país, son RESPONSABLES EN PRIMER GRADO, en ese orden de ideas, surgen como en 1970 en 1964 en la vereda MARQUETALIA, bajo la constante de INOPERANTE justicia grupos armados por fuera de la ley. Para nadie es un secreto los trágicos hechos (masacre de las bananeras) de 1928 que implican las fuerzas del orden en una masacre, curiosamente bajo otro nombre una empresa extranjera acaba de ser acusada de participar a financiar hoy los grupos armados de extrema derecha
Otro ejemplo de INOPERANTE JUSTICIA es el caso ODEBRETCH (2) puesto que otros países la clase política si fue juzgada excepto en Colombia, es el caso en el Perú donde un ex-presidente fue juzgado, así que en otros países como México. Por el contrario en Colombia un ejemplo, palpable es que en la procuraduría General de la Nación hacen parte de la nomina dos altos miembros de la inteligencia, que justamente trabajaban para el gobierno de Iván Duque durante el periodo de la compra del programa producido en la empresa NSO con base en Israel.
Si hay algo que no podría operar en materia de justicia y castigo en la idiosincrasia de las clases políticas colombianas es el concepto de John Braithwaite con su teoría de la reintegración se basa en el concepto de shaming (deshonra), aquí justamente presuntamente un candidato a ocupar un puesto en una corte, SE NEGARIA A RECIBIR DE MANOS DEL SEÑOR PRESIDENTE DE LA REPUBLICA DE MANERA SIMBOLICA el cargo.
Algo en OPOSICIÓN ABSOLUTA a la más ortoxa teoría de la criminalogía dentro de las teorías del derecho, estaríamos ante la pataleta del “niño mimado y “beotien” con un gesto irreflexivo e imprudente, incitando una parte de la población a emularle alejándose de la teoría de Braithwaite, quien afirma que la rehabilitación es efectiva si la sociedad participa en la reintegración del delincuente sin estigmatización permanente. Braithwaite es un defensor de la justicia restaurativa, que busca reconciliar a los delincuentes con sus comunidades como parte de su rehabilitación; sobre todo si consideramos que la pena fue solo de 18 meses, lejos del perjuicio que un ex-presidente causa a la sociedad con un proceso en el cual sus abogados solo podrán lograr exoneración por preclusión. en los delitos de fraude procesal, soborno en actuación penal y soborno a testigos, mientras por marrullas y asesinatos y desapariciones de testigos no se le puede juzgar como genocida.
Es un acto de irrespeto mayor a la soberanía de un país, si el presidente de la república, no hubiese estado informado, de las actividades tan importantes, ejecutadas por los Estados Unidos en el suelo de Colombia, tener el mensaje HIPÓCRITA de que Iván Duque no fue tenido al corriente, es lo más absurdo que se puede hacer publico! Entonces es admitir que no era él quien dirigía el país? Cosa que siempre ha ocurrido en realidad, así son algunas personas que justamente hablan de honor, de patria, de soberanía, a las que Álvaro Uribe Vélez les suprimió la mesada catorce.
Estos temas de “impunidad” y “soberanía” contribuyen a plantar el escenario que varios autores en la historia del derecho y la criminalogía han tratado, podemos comenzar de manera arbitraria por Cesare Beccaria quien aborda la racionalidad y la humanidad como bases para un sistema de justicia, como igual debemos considerar ya que estamos en el sujeto del autor Beccaria un aparte interesante para la administración de la justicia; hablamos de la proporcionalidad de la pena en función del delito cometido.
Aquí seria hipócrita, injusto olvidar donde han militado luego del M19, Everth Bustamante, Rosemberg Pabón, Augusto Osorno dentro del cuadro stricto sensu de la rehabilitación, pero si enlodando, destruyendo la reputación del actual presidente de la República de Colombia doctor Gustavo Petro Urrego. El objetivo de la pena no debe ser la venganza, la cárcel tiene la función de prevención y disuasión para Cesare Beccaria. Recordando desde luego la noción de proporcionalidad de la pena, ante un severo tribunal militar, fueron 18 meses de prisión a los que se condena en 1985, luego de torturas, solo se le aplica la sanción por porte ilegal de armas, además de llevar consigo material subversivo (publicidad evocando actividades del M19)
En muchos de mis documentos he debido hacer figurar autores para no aparecer como plagiario, Beccaria sin lugar a dudas igual fue influenciado por Thomas Hobbes, John Locke y Jean Jaques Rousseau puesto que la razón primordial de la justicia debe reflejar ese contrato social, el derecho de sancionar solo busca proteger el “bien común” pero no imponer castigos arbitrarios, base fundamental de un sistema legal basado en los derechos humanos y la justicia social. Para concluir con el aporte de Beccaria podemos afirmar que su aporte a las leyes busca un sistema de justicia basado en la racionalidad, que no es la que muestra un candidato a un alto cargo en una institución de justicia cuando por capricho de niño mimado e ignorante se opone a que sea la prima autoridad de la nación quien le entrega simbólicamente el cargo, menos un sistema humano y aún menos un sistema justo, mostrando un significativo nivel de sectarismo embrutecedor. En linea sin lugar a dudas con el propósito de Edwin Sutherland, que me permite presumir que el “niño mimado, sectario, lo hace porque como decían los abuelos “el que con lobos anda…” según Sutherland el comportamiento criminal se aprende en contextos sociales, aquí la narcoparapolítica, a logrado llegar a convertir los más altos miembros de las instancias superiores de la justicia, siguiendo a Sutherland se hace necesario programas de rehabilitación con la intención de transformar el entono criminal en los altos niveles de la gestión de las tres ramas del poder cambiando la corrupción por un entorno pro-social. Que es lo que trata con empeño y falencias, de hacer el presidente de la República doctor Gustavo Petro Urrego. Que es a lo que se oponen de manera incluso asesina por tradición quienes hoy se sienten temerosos de que una justicia eficiente los descubra como lo que siempre han sido: corruptos.
(1) Álvaro Uribe Vélez en el otoño año 2001 participó en reuniones con los miembros de grupos guerrilleros denominados Auto defensas Armadas de Colombia, donde se le colabora activamente con métodos violentos, para que la población se vea obligada a votar por quien con el proceso de la Yidispolitica, incluso logra gobernar durante dos periodos consecutivos, es una historia rigurosamente documentada a disposición del publico
(2) En ningún momento podríamos desvincular a Nestor Humberto Martinez de los hechos en los cuales mueren Jorge Enrique Pizano y su hijo, una vez más debemos considerar el trabajo de Beccaria, hablamos de la “celeridad y certeza en la aplicación de la ley, es decir que para que una pena sea efectiva,, debe aplicarse rápidamente después del delito. 4. Rechazo de la pena de muerte y la tortura: Beccaria fue uno de los primeros en criticar abiertamente la pena de muerte y el uso de la tortura como herramientas de la justicia penal. Sostenía que estas prácticas eran ineficaces y contrarias a los principios de humanidad, influyendo en movimientos para abolir la pena de muerte y mejorar el trato a los acusados.
Certain contents with specific levels of rhetoric are not pronounced by ignorant people, but by people with hypocrisy and a will to destroy and denigrate other people; this effect is only possible when the message falls into the ears of people without a sufficient level of knowledge to discern
El castigo de encarcelamiento tiene varias razones y propósitos fundamentales dentro del sistema de justicia que incluyen:
Rehabilitación: La cárcel actúa como una forma de castigo para las personas que han violado la ley, especialmente en delitos graves como "GENOCIDIO". Es una respuesta que busca equilibrar el daño causado y que, en teoría, corresponde a la gravedad del delito cometido. Este concepto debe entenderse dentro de un proceso de reintegración a la sociedad de forma productiva y respetuosa de la ley. Hablamos de un “objetivo” que se cumplirá de manera proporcional al nivel de justicia del país respectivo (en Colombia sin duda menos que en países como Alemania, Noruega, Suecia.
Es sin embargo de conocimiento publico que este principio se aplica cuando en el seno del centro democrático (partido de ultra derecha) en Colombia (1) son admitidos algunos miembros del grupo de guerrilla de universitarios que nace luego de los hechos donde la derecha tradicional en el año 1970 se burla del proceso electoral, dando origen al movimiento M-19. Entre los miembros del M19 hoy activos en el CENTRO DEMOCRÁTICO se cuentan Everth Bustamante, Rosemberg Pabón, Augusto Osorno.
Cuando se analiza en funcionamiento de la justicia colombiana. Lo primero que podemos destacar es que desde las más altas esferas, se promueve la impunidad durante estos dos siglos donde ha gobernado una elite compuesta de facinerosos o rufianes como Emilio TAPIA, como Mario Andres Urán, Herles Rodrigo Ariza Becerra teniente coronel retirado de la policía, quien puede olvidar a Martha Janeth Mancera quien acusa erradamente por cargos diferentes a Francisco Javier Martínez Ardila alias Pacho Malo, ex-agente del CTI, quien fue detenido en Medellín mucho tiempo después de que la prensa lo vinculara al narcotráfico. En esta introducción “amañada” discrepamos de la teoria de Robert Martinson, “nada podría influir en la rehabilitación de los reclusos” 1974 si ejecutamos una lectura rigurosa de los trabajos de Federico Lordon, Monique Pinçon-Charlot, Miranda Friker, James Gilligan, Shadd Maruna, en una lista no exhaustiva. Estos últimos autores inducirían al lector y la justicia como la educación a realizar ingentes esfuerzos más efectivos en rehabilitación, enfocándose en la reducción de reincidencia.
Las pruebas que implican a Mancera
https://youtu.be/biWCPefFYzU?si=5JMNraeyljtlL8Ys
Barbosa y Maancera:
https://youtu.be/vmoZnTZM9L0?si=XyWLaRnpwhc-c2qP
IMPUNIDAD
Para que se perpetúe la impunidad durante siglos, es necesario una acumulación de falencias, que son evidentes en Colombia, lo más interesante sería el famoso “proceso ocho-mil” como lo es el caso tratado y que lleva a prisión a varias personas, llamado la “YIDISPOLITICA”, la corrupción afecta inexcusablemente todos los niveles de las instituciones del sistema de justicia en países como Colombia. Desde luego que se trata de una cadena de factores que son entrelazados como la debilidad institucional, fruto del proceso como se eligen quienes se supone irían a las altas cortes, hoy no ocurren amenazas y violencia como la sufrió y le costó la vida el 30 de abril de 1984, Rodrigo Lara Bonilla Ministro de Justicia de Belisario Betancourt asesinado en Bogotá en un atentado ordenado por el cartel de Medellín como represalia por sus esfuerzos contra el narcotráfico.
No se puede justificar los altos niveles de corrupción, sin los altos niveles de impunidad, que solo son posibles cuando los más altos representantes de la justicia en un país, son RESPONSABLES EN PRIMER GRADO, en ese orden de ideas, surgen como en 1970 en 1964 en la vereda MARQUETALIA, bajo la constante de INOPERANTE justicia grupos armados por fuera de la ley. Para nadie es un secreto los trágicos hechos (masacre de las bananeras) de 1928 que implican las fuerzas del orden en una masacre, curiosamente bajo otro nombre una empresa extranjera acaba de ser acusada de participar a financiar hoy los grupos armados de extrema derecha
Otro ejemplo de INOPERANTE JUSTICIA es el caso ODEBRETCH (2) puesto que otros países la clase política si fue juzgada excepto en Colombia, es el caso en el Perú donde un ex-presidente fue juzgado, así que en otros países como México. Por el contrario en Colombia un ejemplo, palpable es que en la procuraduría General de la Nación hacen parte de la nomina dos altos miembros de la inteligencia, que justamente trabajaban para el gobierno de Iván Duque durante el periodo de la compra del programa producido en la empresa NSO con base en Israel.
Si hay algo que no podría operar en materia de justicia y castigo en la idiosincrasia de las clases políticas colombianas es el concepto de John Braithwaite con su teoría de la reintegración se basa en el concepto de shaming (deshonra), aquí justamente presuntamente un candidato a ocupar un puesto en una corte, SE NEGARIA A RECIBIR DE MANOS DEL SEÑOR PRESIDENTE DE LA REPUBLICA DE MANERA SIMBOLICA el cargo.
Algo en OPOSICIÓN ABSOLUTA a la más ortoxa teoría de la criminalogía dentro de las teorías del derecho, estaríamos ante la pataleta del “niño mimado y “beotien” con un gesto irreflexivo e imprudente, incitando una parte de la población a emularle alejándose de la teoría de Braithwaite, quien afirma que la rehabilitación es efectiva si la sociedad participa en la reintegración del delincuente sin estigmatización permanente. Braithwaite es un defensor de la justicia restaurativa, que busca reconciliar a los delincuentes con sus comunidades como parte de su rehabilitación; sobre todo si consideramos que la pena fue solo de 18 meses, lejos del perjuicio que un ex-presidente causa a la sociedad con un proceso en el cual sus abogados solo podrán lograr exoneración por preclusión. en los delitos de fraude procesal, soborno en actuación penal y soborno a testigos, mientras por marrullas y asesinatos y desapariciones de testigos no se le puede juzgar como genocida.
SOBERANÍA
Es un acto de irrespeto mayor a la soberanía de un país, si el presidente de la república, no hubiese estado informado, de las actividades tan importantes, ejecutadas por los Estados Unidos en el suelo de Colombia, tener el mensaje HIPÓCRITA de que Iván Duque no fue tenido al corriente, es lo más absurdo que se puede hacer publico! Entonces es admitir que no era él quien dirigía el país? Cosa que siempre ha ocurrido en realidad, así son algunas personas que justamente hablan de honor, de patria, de soberanía, a las que Álvaro Uribe Vélez les suprimió la mesada catorce.
Estos temas de “impunidad” y “soberanía” contribuyen a plantar el escenario que varios autores en la historia del derecho y la criminalogía han tratado, podemos comenzar de manera arbitraria por Cesare Beccaria quien aborda la racionalidad y la humanidad como bases para un sistema de justicia, como igual debemos considerar ya que estamos en el sujeto del autor Beccaria un aparte interesante para la administración de la justicia; hablamos de la proporcionalidad de la pena en función del delito cometido.
Aquí seria hipócrita, injusto olvidar donde han militado luego del M19, Everth Bustamante, Rosemberg Pabón, Augusto Osorno dentro del cuadro stricto sensu de la rehabilitación, pero si enlodando, destruyendo la reputación del actual presidente de la República de Colombia doctor Gustavo Petro Urrego. El objetivo de la pena no debe ser la venganza, la cárcel tiene la función de prevención y disuasión para Cesare Beccaria. Recordando desde luego la noción de proporcionalidad de la pena, ante un severo tribunal militar, fueron 18 meses de prisión a los que se condena en 1985, luego de torturas, solo se le aplica la sanción por porte ilegal de armas, además de llevar consigo material subversivo (publicidad evocando actividades del M19)
EL CONTRATO SOCIAL
En muchos de mis documentos he debido hacer figurar autores para no aparecer como plagiario, Beccaria sin lugar a dudas igual fue influenciado por Thomas Hobbes, John Locke y Jean Jaques Rousseau puesto que la razón primordial de la justicia debe reflejar ese contrato social, el derecho de sancionar solo busca proteger el “bien común” pero no imponer castigos arbitrarios, base fundamental de un sistema legal basado en los derechos humanos y la justicia social. Para concluir con el aporte de Beccaria podemos afirmar que su aporte a las leyes busca un sistema de justicia basado en la racionalidad, que no es la que muestra un candidato a un alto cargo en una institución de justicia cuando por capricho de niño mimado e ignorante se opone a que sea la prima autoridad de la nación quien le entrega simbólicamente el cargo, menos un sistema humano y aún menos un sistema justo, mostrando un significativo nivel de sectarismo embrutecedor. En linea sin lugar a dudas con el propósito de Edwin Sutherland, que me permite presumir que el “niño mimado, sectario, lo hace porque como decían los abuelos “el que con lobos anda…” según Sutherland el comportamiento criminal se aprende en contextos sociales, aquí la narcoparapolítica, a logrado llegar a convertir los más altos miembros de las instancias superiores de la justicia, siguiendo a Sutherland se hace necesario programas de rehabilitación con la intención de transformar el entono criminal en los altos niveles de la gestión de las tres ramas del poder cambiando la corrupción por un entorno pro-social. Que es lo que trata con empeño y falencias, de hacer el presidente de la República doctor Gustavo Petro Urrego. Que es a lo que se oponen de manera incluso asesina por tradición quienes hoy se sienten temerosos de que una justicia eficiente los descubra como lo que siempre han sido: corruptos.
(1) Álvaro Uribe Vélez en el otoño año 2001 participó en reuniones con los miembros de grupos guerrilleros denominados Auto defensas Armadas de Colombia, donde se le colabora activamente con métodos violentos, para que la población se vea obligada a votar por quien con el proceso de la Yidispolitica, incluso logra gobernar durante dos periodos consecutivos, es una historia rigurosamente documentada a disposición del publico
(2) En ningún momento podríamos desvincular a Nestor Humberto Martinez de los hechos en los cuales mueren Jorge Enrique Pizano y su hijo, una vez más debemos considerar el trabajo de Beccaria, hablamos de la “celeridad y certeza en la aplicación de la ley, es decir que para que una pena sea efectiva,, debe aplicarse rápidamente después del delito. 4. Rechazo de la pena de muerte y la tortura: Beccaria fue uno de los primeros en criticar abiertamente la pena de muerte y el uso de la tortura como herramientas de la justicia penal. Sostenía que estas prácticas eran ineficaces y contrarias a los principios de humanidad, influyendo en movimientos para abolir la pena de muerte y mejorar el trato a los acusados.
PAN Y CIRCO
En la introducción de un libro de Murray N. Rothbard de titulo “El hombre, la economía y el Estado” en un Tratado sobre principios de economía leí… y comprendo porque la educación superior produce corruptos y mercaderes de la falacia
https://www.facebook.com/share/p/157p9r69Dd/
la extrema derecha trabaja se reúne escribe pública porque la sociedad demócrata somos en mayoría analfabetas que no podemos alinear dos frases sobre el sistema financiero, pero podemos pasar horas hablando de fútbol o tonterías de ese género
Ne pensez pas que je suis si stupide de croire que le mauvais gouvernement disparaîtra en un seul mandat.
The far right works, meets and writes publicly because the majority of social democratic society is illiterate and we cannot align two sentences about the financial system, but we can spend hours talking about football or nonsense of that kind.
Крайне правые работают, встречаются, пишут публично, потому что социал-демократическое общество по большей части неграмотно, и мы не можем связать два предложения о финансовой системе, но мы можем часами говорить о футболе или подобной чепухе.
Die extreme Rechte arbeitet, trifft sich, schreibt öffentlich, weil die sozialdemokratische Gesellschaft größtenteils aus Analphabeten besteht und wir nicht zwei Sätze über das Finanzsystem unter einen Hut bringen können, aber wir können stundenlang über Fußball oder solchen Unsinn reden.
Skrajna prawica pracuje, spotyka się, pisze publicznie, ponieważ większość z nas w społeczeństwie demokratycznym to analfabeci i nie potrafimy ułożyć dwóch zdań na temat systemu finansowego, ale możemy godzinami rozmawiać o piłce nożnej i tego typu bzdurach.
https://www.facebook.com/share/p/157p9r69Dd/
la extrema derecha trabaja se reúne escribe pública porque la sociedad demócrata somos en mayoría analfabetas que no podemos alinear dos frases sobre el sistema financiero, pero podemos pasar horas hablando de fútbol o tonterías de ese género
Ne pensez pas que je suis si stupide de croire que le mauvais gouvernement disparaîtra en un seul mandat.
The far right works, meets and writes publicly because the majority of social democratic society is illiterate and we cannot align two sentences about the financial system, but we can spend hours talking about football or nonsense of that kind.
Крайне правые работают, встречаются, пишут публично, потому что социал-демократическое общество по большей части неграмотно, и мы не можем связать два предложения о финансовой системе, но мы можем часами говорить о футболе или подобной чепухе.
Die extreme Rechte arbeitet, trifft sich, schreibt öffentlich, weil die sozialdemokratische Gesellschaft größtenteils aus Analphabeten besteht und wir nicht zwei Sätze über das Finanzsystem unter einen Hut bringen können, aber wir können stundenlang über Fußball oder solchen Unsinn reden.
Skrajna prawica pracuje, spotyka się, pisze publicznie, ponieważ większość z nas w społeczeństwie demokratycznym to analfabeci i nie potrafimy ułożyć dwóch zdań na temat systemu finansowego, ale możemy godzinami rozmawiać o piłce nożnej i tego typu bzdurach.
Escrito en 1583 por Jean Bodin
Para qué obviar, buscamos una igualdad, que muchos han elogiado mucho, llamándola madre nodriza de la paz y la amistad entre los súbditos. Y por el contrario, la desigualdad es fuente de todas las enemistades, facciones, odios, parcialidades, porque el que tiene más que otro, y el que se ve más rico en bienes, quiere también ser superior en honor, en deleites, en placeres, en comida, en ropa; quiere ser reverenciado por los pobres a quienes desprecia y pisotea; y los pobres, por su parte, desarrollan una extrema envidia y celos al verse a sí mismos como dignos o más dignos que los ricos, y sin embargo verse abrumados por la pobreza, el hambre, la miseria y la contumelia.
Por eso varios legisladores antiguos dividieron el [p. 430] bienes por igual a cada uno de los súbditos, como dice desde nuestra memoria Tomás Moro, Canciller de Inglaterra, en su República, que la única forma de seguridad pública es que los hombres vivan en comunidad de bienes: lo cual no se puede hacer donde hay es propiedad.
Y Platón, teniendo el poder de establecer la República y nueva colonia de los tebanos y focenses, con el consentimiento de los súbditos que le nombraron embajadores para tal efecto, se fue sin hacer nada, porque los ricos no querían compartir sus propiedades con los pobre. Lo cual hizo Licurgo con peligro de su vida, pues después de desterrar el uso del oro y la plata, dividió todas las herencias en partes iguales.
Y aunque Solón no pudo hacer lo mismo, si no le faltaba voluntad, ya que le concedió la rescisión de las obligaciones y la abolición general de las deudas. Y como en Lacedemonia se recibió oro y plata, después de la victoria de Lisandro, y se introdujo la ley testamentaria, que en parte causaba la desigualdad de propiedades, el rey Agis, queriendo reducir todo a la antigua igualdad, hizo traer todos los bonos. el cual arrojó al fuego, diciendo que nunca había visto un fuego tan hermoso; luego comenzó a compartir sus posesiones también con otros.
Además, habiendo tomado el tirano Nabis la ciudad de Argos, publicó dos edictos, uno para dejar todas las deudas y el otro para dividir las herencias entre cada duas faces, dice Livio, novantibus res ad plebem in optimates accendendam. Y aunque los romanos eran más equitativos y mejor comprendidos en materia de justicia que otros pueblos, concedían a menudo la rescisión general de las deudas, unas veces por una cuarta parte, otras por un tercio y otras por la totalidad.
Y [ellos] no tenían medios más convenientes para
apaciguar repentinamente el malestar y la sedición. De modo que los señores de los Thurianos, habiendo adquirido todas las herencias, [p. 431] la gente común, al verse endeudada y desprovista de toda propiedad, expulsó a los ricos de sus bienes y casas.
Por eso varios legisladores antiguos dividieron el [p. 430] bienes por igual a cada uno de los súbditos, como dice desde nuestra memoria Tomás Moro, Canciller de Inglaterra, en su República, que la única forma de seguridad pública es que los hombres vivan en comunidad de bienes: lo cual no se puede hacer donde hay es propiedad.
Y Platón, teniendo el poder de establecer la República y nueva colonia de los tebanos y focenses, con el consentimiento de los súbditos que le nombraron embajadores para tal efecto, se fue sin hacer nada, porque los ricos no querían compartir sus propiedades con los pobre. Lo cual hizo Licurgo con peligro de su vida, pues después de desterrar el uso del oro y la plata, dividió todas las herencias en partes iguales.
Y aunque Solón no pudo hacer lo mismo, si no le faltaba voluntad, ya que le concedió la rescisión de las obligaciones y la abolición general de las deudas. Y como en Lacedemonia se recibió oro y plata, después de la victoria de Lisandro, y se introdujo la ley testamentaria, que en parte causaba la desigualdad de propiedades, el rey Agis, queriendo reducir todo a la antigua igualdad, hizo traer todos los bonos. el cual arrojó al fuego, diciendo que nunca había visto un fuego tan hermoso; luego comenzó a compartir sus posesiones también con otros.
Además, habiendo tomado el tirano Nabis la ciudad de Argos, publicó dos edictos, uno para dejar todas las deudas y el otro para dividir las herencias entre cada duas faces, dice Livio, novantibus res ad plebem in optimates accendendam. Y aunque los romanos eran más equitativos y mejor comprendidos en materia de justicia que otros pueblos, concedían a menudo la rescisión general de las deudas, unas veces por una cuarta parte, otras por un tercio y otras por la totalidad.
Y [ellos] no tenían medios más convenientes para
apaciguar repentinamente el malestar y la sedición. De modo que los señores de los Thurianos, habiendo adquirido todas las herencias, [p. 431] la gente común, al verse endeudada y desprovista de toda propiedad, expulsó a los ricos de sus bienes y casas.
Question sur pollution a la IA
Write in Espanish and French
Traducido del francés por Google
(Español) ¿Pueden lograr los humanos reducir la contaminación a través del ultraliberalismo?
El ultraliberalismo, como doctrina económica que aboga por un mercado libre con una mínima intervención estatal, no parece haber conducido directamente a una reducción significativa de la contaminación. De hecho, en muchos casos este enfoque puede haber tenido efectos contrarios al objetivo de reducir la contaminación.
He aquí algunas razones por las que el ultraliberalismo no ha llevado a una reducción de la contaminación, e incluso puede haberla empeorado:
1. Ausencia de regulaciones ambientales estrictas: El ultraliberalismo defiende la idea de que los mercados deben autorregularse y que el Estado debe intervenir lo menos posible. En ese marco, se pueden reducir o eliminar las regulaciones ambientales que limitan las emisiones contaminantes, protegen los ecosistemas e imponen estándares más estrictos, lo que a menudo ha llevado a un aumento de la contaminación.
2. Priorizar el crecimiento económico a corto plazo: El énfasis en el rápido crecimiento económico, a menudo a expensas de las preocupaciones ambientales, ha llevado a prácticas industriales contaminantes. Las empresas, al tratar de maximizar sus ganancias, pueden tener un incentivo para no invertir en tecnologías más limpias si esto reduce su rentabilidad a corto plazo.
3. Privatización de los recursos naturales: En un sistema ultraliberal, los recursos naturales a menudo se privatizan y explotan sin tener en cuenta las externalidades ambientales (como la contaminación). Esto puede conducir a una sobreexplotación de los recursos naturales y a un aumento de la contaminación, porque las empresas privadas no siempre tienen incentivos para limitar su impacto ambiental, a menos que se impongan regulaciones o impuestos a la contaminación.
4. Desigualdades y falta de justicia ambiental: el ultraliberalismo puede exacerbar las desigualdades económicas y sociales, que también pueden tener un impacto ambiental. Las poblaciones más pobres y vulnerables suelen ser las más expuestas a la contaminación, mientras que los más ricos pueden permitirse tecnologías más limpias y menos contaminantes.
Sin embargo, es importante señalar que el ultraliberalismo también puede ofrecer ciertas soluciones a través de la innovación. En algunos casos, la competencia entre empresas puede estimular el desarrollo de tecnologías más ecológicas, pero estas innovaciones a menudo siguen siendo insuficientes sin regulaciones o incentivos adecuados.
En conclusión, si bien el ultraliberalismo ha contribuido a ciertos avances económicos, no ha permitido reducir efectivamente la contaminación, excepto cuando se ponen en marcha medidas regulatorias estatales o acuerdos internacionales. Para una reducción real de la contaminación, es esencial un equilibrio entre el desarrollo económico y las regulaciones ambientales
L'ultralibéralisme, en tant que doctrine économique qui prône un marché libre avec une intervention minimale de l'État, ne semble pas avoir directement conduit à une réduction significative de la pollution. En fait, dans de nombreux cas, cette approche peut avoir eu des effets contraires à l'objectif de la réduction de la pollution.
Voici quelques raisons pour lesquelles l'ultralibéralisme n'a pas conduit à une réduction de la pollution, et peut même l'avoir aggravée :
1. Absence de régulations environnementales strictes : L'ultralibéralisme défend l'idée que les marchés devraient être autorégulés et que l'État devrait intervenir le moins possible. Dans un tel cadre, les réglementations environnementales qui limitent les émissions polluantes, protègent les écosystèmes et imposent des normes plus strictes peuvent être réduites ou supprimées, ce qui a souvent conduit à une augmentation de la pollution.
2. Privilégier la croissance économique à court terme : L'accent mis sur la croissance économique rapide, souvent au détriment de préoccupations environnementales, a conduit à des pratiques industrielles polluantes. Les entreprises, en cherchant à maximiser leurs profits, peuvent être incitées à ne pas investir dans des technologies plus propres si cela réduit leur rentabilité à court terme.
3. Privatisation des ressources naturelles : Dans un système ultralibéral, les ressources naturelles sont souvent privatisées et exploitées sans prendre en compte les externalités environnementales (telles que la pollution). Cela peut conduire à une surexploitation des ressources naturelles et à une pollution accrue, car les entreprises privées n'ont pas toujours d'incitations à limiter leur impact environnemental, à moins que des régulations ou des taxes sur la pollution ne soient imposées.
4. Inégalités et absence de justice environnementale : L'ultralibéralisme peut exacerber les inégalités économiques et sociales, ce qui peut également avoir un impact environnemental. Les populations les plus pauvres et vulnérables sont souvent les plus exposées à la pollution, tandis que les plus riches peuvent se permettre des technologies plus propres et moins polluantes.
Cependant, il est important de noter que l'ultralibéralisme peut aussi offrir certaines solutions à travers l'innovation. La concurrence entre entreprises peut, dans certains cas, stimuler le développement de technologies plus écologiques, mais ces innovations restent souvent insuffisantes sans des régulations ou des incitations appropriées.
En conclusion, si l'ultralibéralisme a contribué à certains progrès économiques, il n'a pas permis de réduire efficacement la pollution, sauf lorsque des mesures de régulation étatiques ou des accords internationaux sont mis en place. Pour une véritable réduction de la pollution, un équilibre entre développement économique et régulations environnementales est essentiel
Traducido del francés por Google
(Español) ¿Pueden lograr los humanos reducir la contaminación a través del ultraliberalismo?
El ultraliberalismo, como doctrina económica que aboga por un mercado libre con una mínima intervención estatal, no parece haber conducido directamente a una reducción significativa de la contaminación. De hecho, en muchos casos este enfoque puede haber tenido efectos contrarios al objetivo de reducir la contaminación.
He aquí algunas razones por las que el ultraliberalismo no ha llevado a una reducción de la contaminación, e incluso puede haberla empeorado:
1. Ausencia de regulaciones ambientales estrictas: El ultraliberalismo defiende la idea de que los mercados deben autorregularse y que el Estado debe intervenir lo menos posible. En ese marco, se pueden reducir o eliminar las regulaciones ambientales que limitan las emisiones contaminantes, protegen los ecosistemas e imponen estándares más estrictos, lo que a menudo ha llevado a un aumento de la contaminación.
2. Priorizar el crecimiento económico a corto plazo: El énfasis en el rápido crecimiento económico, a menudo a expensas de las preocupaciones ambientales, ha llevado a prácticas industriales contaminantes. Las empresas, al tratar de maximizar sus ganancias, pueden tener un incentivo para no invertir en tecnologías más limpias si esto reduce su rentabilidad a corto plazo.
3. Privatización de los recursos naturales: En un sistema ultraliberal, los recursos naturales a menudo se privatizan y explotan sin tener en cuenta las externalidades ambientales (como la contaminación). Esto puede conducir a una sobreexplotación de los recursos naturales y a un aumento de la contaminación, porque las empresas privadas no siempre tienen incentivos para limitar su impacto ambiental, a menos que se impongan regulaciones o impuestos a la contaminación.
4. Desigualdades y falta de justicia ambiental: el ultraliberalismo puede exacerbar las desigualdades económicas y sociales, que también pueden tener un impacto ambiental. Las poblaciones más pobres y vulnerables suelen ser las más expuestas a la contaminación, mientras que los más ricos pueden permitirse tecnologías más limpias y menos contaminantes.
Sin embargo, es importante señalar que el ultraliberalismo también puede ofrecer ciertas soluciones a través de la innovación. En algunos casos, la competencia entre empresas puede estimular el desarrollo de tecnologías más ecológicas, pero estas innovaciones a menudo siguen siendo insuficientes sin regulaciones o incentivos adecuados.
En conclusión, si bien el ultraliberalismo ha contribuido a ciertos avances económicos, no ha permitido reducir efectivamente la contaminación, excepto cuando se ponen en marcha medidas regulatorias estatales o acuerdos internacionales. Para una reducción real de la contaminación, es esencial un equilibrio entre el desarrollo económico y las regulaciones ambientales
(French)
Est-ce les humains auraient réussi par le biais de l'ultraliberalisme réduire la pollution?L'ultralibéralisme, en tant que doctrine économique qui prône un marché libre avec une intervention minimale de l'État, ne semble pas avoir directement conduit à une réduction significative de la pollution. En fait, dans de nombreux cas, cette approche peut avoir eu des effets contraires à l'objectif de la réduction de la pollution.
Voici quelques raisons pour lesquelles l'ultralibéralisme n'a pas conduit à une réduction de la pollution, et peut même l'avoir aggravée :
1. Absence de régulations environnementales strictes : L'ultralibéralisme défend l'idée que les marchés devraient être autorégulés et que l'État devrait intervenir le moins possible. Dans un tel cadre, les réglementations environnementales qui limitent les émissions polluantes, protègent les écosystèmes et imposent des normes plus strictes peuvent être réduites ou supprimées, ce qui a souvent conduit à une augmentation de la pollution.
2. Privilégier la croissance économique à court terme : L'accent mis sur la croissance économique rapide, souvent au détriment de préoccupations environnementales, a conduit à des pratiques industrielles polluantes. Les entreprises, en cherchant à maximiser leurs profits, peuvent être incitées à ne pas investir dans des technologies plus propres si cela réduit leur rentabilité à court terme.
3. Privatisation des ressources naturelles : Dans un système ultralibéral, les ressources naturelles sont souvent privatisées et exploitées sans prendre en compte les externalités environnementales (telles que la pollution). Cela peut conduire à une surexploitation des ressources naturelles et à une pollution accrue, car les entreprises privées n'ont pas toujours d'incitations à limiter leur impact environnemental, à moins que des régulations ou des taxes sur la pollution ne soient imposées.
4. Inégalités et absence de justice environnementale : L'ultralibéralisme peut exacerber les inégalités économiques et sociales, ce qui peut également avoir un impact environnemental. Les populations les plus pauvres et vulnérables sont souvent les plus exposées à la pollution, tandis que les plus riches peuvent se permettre des technologies plus propres et moins polluantes.
Cependant, il est important de noter que l'ultralibéralisme peut aussi offrir certaines solutions à travers l'innovation. La concurrence entre entreprises peut, dans certains cas, stimuler le développement de technologies plus écologiques, mais ces innovations restent souvent insuffisantes sans des régulations ou des incitations appropriées.
En conclusion, si l'ultralibéralisme a contribué à certains progrès économiques, il n'a pas permis de réduire efficacement la pollution, sauf lorsque des mesures de régulation étatiques ou des accords internationaux sont mis en place. Pour une véritable réduction de la pollution, un équilibre entre développement économique et régulations environnementales est essentiel
La Inteligencia artificial confronta a ROTHBARD con CHOMSKY
QUE OPINA LA INTELIGENCIA ARTIFICIAL SOBRE LA CONFRONTACIÓN DEL APORTE AL FUTURO DE LA HUMANIDAD ENTRE MURRAY ROTHBARD Y NOAM CHOMSKY
La confrontación intelectual entre Noam Chomsky y Murray Rothbard es relevante para el futuro de la humanidad debido a sus visiones contrastantes sobre la política, la economía y la sociedad. Ambos pensadores, aunque compartían algunas preocupaciones sobre el poder y la injusticia, representaban tradiciones filosóficas y políticas completamente distintas. Estas diferencias ofrecen una perspectiva valiosa para el análisis de cómo podrían estructurarse sociedades más justas y sostenibles.
1. Visión sobre el Estado y el poder:
Chomsky es un crítico acérrimo del poder estatal, pero también destaca la necesidad de una intervención estatal para garantizar derechos humanos, justicia social y la equidad económica. En su visión, un Estado democrático y participativo es crucial para frenar el poder de las corporaciones y proteger a los más vulnerables.
Rothbard, por otro lado, es uno de los principales exponentes del anarquismo de mercado y el libertarismo, abogando por la eliminación total del Estado. Rothbard defendía que el mercado libre y la propiedad privada, sin interferencia estatal, garantizarían la paz y la prosperidad. Según él, el Estado es una institución coercitiva que viola la libertad individual.
La confrontación entre estos dos puntos de vista ofrece una reflexión sobre la tensión entre la libertad individual y la necesidad de instituciones que regulen el poder para proteger los derechos colectivos. En términos de futuro, esta confrontación arroja preguntas sobre cómo equilibrar el poder estatal y la libertad individual en un mundo globalizado y tecnológicamente avanzado.
2. Enfoque sobre la economía:
Chomsky critica el capitalismo neoliberal y sus efectos desiguales sobre las clases bajas y medias, señalando la concentración de la riqueza y el poder en pocas manos como una amenaza para la democracia. Para Chomsky, la economía debe estar regulada para garantizar la justicia social y la equidad, con un fuerte enfoque en los derechos humanos y la cooperación internacional.
Rothbard, en contraste, propugna un sistema de economía de mercado completamente libre, donde el intercambio voluntario y la propiedad privada son la base de la prosperidad. A su juicio, las intervenciones estatales en la economía son innecesarias y contraproducentes, ya que el mercado es capaz de autorregularse para promover el bienestar de todos.
Este desacuerdo es fundamental para el futuro económico global, ya que invita a reflexionar sobre qué modelo económico puede ser más efectivo para enfrentar los retos del cambio climático, la automatización, la globalización y las crisis económicas recurrentes.
3. Derechos humanos y justicia social:
Chomsky pone un fuerte énfasis en la justicia social, el acceso a la educación, la salud y la participación democrática. Considera que el poder debe estar distribuido de manera más equitativa para evitar las desigualdades estructurales que perpetúan la pobreza y la discriminación.
Rothbard también se preocupa por la justicia, pero su enfoque se basa en la justicia distributiva a través de un sistema basado en el respeto a los derechos de propiedad individual. Según Rothbard, la libertad individual y la no agresión son los principios fundamentales para alcanzar una sociedad justa, sin la intervención del Estado.
El debate sobre los derechos humanos en el contexto de la economía global y las tecnologías emergentes (como la inteligencia artificial) es esencial para determinar qué tipo de política puede garantizar una mayor justicia y equidad en el futuro.
4. Globalización y poder corporativo:
Chomsky es crítico de la globalización neoliberal, argumentando que las grandes corporaciones y los gobiernos transnacionales están consolidando su poder a expensas de los pueblos. Para Chomsky, una democratización de las instituciones internacionales y el fortalecimiento de la sociedad civil son claves para contrarrestar estas dinámicas.
Rothbard, aunque también crítico del poder estatal y corporativo, ve la solución en la descentralización y la libre competencia de mercados. Cree que la reducción del poder del Estado permitiría que las corporaciones compitieran de manera justa en un mercado libre, eliminando los incentivos para la corrupción y la explotación.
El contraste entre ambas posiciones ofrece una reflexión importante para la humanidad: ¿cómo podemos crear un orden global que promueva la justicia social, la democracia y el bienestar sin caer en los excesos del poder estatal o la tiranía del mercado libre?
En resumen:
La confrontación entre Chomsky y Rothbard ofrece un debate fundamental sobre el futuro de la humanidad: la tensión entre la necesidad de intervención estatal para garantizar justicia social y la defensa de libertades individuales a través de un mercado libre. Esta discusión invita a considerar cómo equilibrar el poder político, las relaciones económicas y los derechos humanos en un contexto de creciente globalización y avances tecnológicos.
Propósitos recogidos por (Twitter) @gramophonefr ou gramophone89 le dimanche 24 novembre 2024 vers 18:27 à JOIGNY
La confrontación intelectual entre Noam Chomsky y Murray Rothbard es relevante para el futuro de la humanidad debido a sus visiones contrastantes sobre la política, la economía y la sociedad. Ambos pensadores, aunque compartían algunas preocupaciones sobre el poder y la injusticia, representaban tradiciones filosóficas y políticas completamente distintas. Estas diferencias ofrecen una perspectiva valiosa para el análisis de cómo podrían estructurarse sociedades más justas y sostenibles.
1. Visión sobre el Estado y el poder:
Chomsky es un crítico acérrimo del poder estatal, pero también destaca la necesidad de una intervención estatal para garantizar derechos humanos, justicia social y la equidad económica. En su visión, un Estado democrático y participativo es crucial para frenar el poder de las corporaciones y proteger a los más vulnerables.
Rothbard, por otro lado, es uno de los principales exponentes del anarquismo de mercado y el libertarismo, abogando por la eliminación total del Estado. Rothbard defendía que el mercado libre y la propiedad privada, sin interferencia estatal, garantizarían la paz y la prosperidad. Según él, el Estado es una institución coercitiva que viola la libertad individual.
La confrontación entre estos dos puntos de vista ofrece una reflexión sobre la tensión entre la libertad individual y la necesidad de instituciones que regulen el poder para proteger los derechos colectivos. En términos de futuro, esta confrontación arroja preguntas sobre cómo equilibrar el poder estatal y la libertad individual en un mundo globalizado y tecnológicamente avanzado.
2. Enfoque sobre la economía:
Chomsky critica el capitalismo neoliberal y sus efectos desiguales sobre las clases bajas y medias, señalando la concentración de la riqueza y el poder en pocas manos como una amenaza para la democracia. Para Chomsky, la economía debe estar regulada para garantizar la justicia social y la equidad, con un fuerte enfoque en los derechos humanos y la cooperación internacional.
Rothbard, en contraste, propugna un sistema de economía de mercado completamente libre, donde el intercambio voluntario y la propiedad privada son la base de la prosperidad. A su juicio, las intervenciones estatales en la economía son innecesarias y contraproducentes, ya que el mercado es capaz de autorregularse para promover el bienestar de todos.
Este desacuerdo es fundamental para el futuro económico global, ya que invita a reflexionar sobre qué modelo económico puede ser más efectivo para enfrentar los retos del cambio climático, la automatización, la globalización y las crisis económicas recurrentes.
3. Derechos humanos y justicia social:
Chomsky pone un fuerte énfasis en la justicia social, el acceso a la educación, la salud y la participación democrática. Considera que el poder debe estar distribuido de manera más equitativa para evitar las desigualdades estructurales que perpetúan la pobreza y la discriminación.
Rothbard también se preocupa por la justicia, pero su enfoque se basa en la justicia distributiva a través de un sistema basado en el respeto a los derechos de propiedad individual. Según Rothbard, la libertad individual y la no agresión son los principios fundamentales para alcanzar una sociedad justa, sin la intervención del Estado.
El debate sobre los derechos humanos en el contexto de la economía global y las tecnologías emergentes (como la inteligencia artificial) es esencial para determinar qué tipo de política puede garantizar una mayor justicia y equidad en el futuro.
4. Globalización y poder corporativo:
Chomsky es crítico de la globalización neoliberal, argumentando que las grandes corporaciones y los gobiernos transnacionales están consolidando su poder a expensas de los pueblos. Para Chomsky, una democratización de las instituciones internacionales y el fortalecimiento de la sociedad civil son claves para contrarrestar estas dinámicas.
Rothbard, aunque también crítico del poder estatal y corporativo, ve la solución en la descentralización y la libre competencia de mercados. Cree que la reducción del poder del Estado permitiría que las corporaciones compitieran de manera justa en un mercado libre, eliminando los incentivos para la corrupción y la explotación.
El contraste entre ambas posiciones ofrece una reflexión importante para la humanidad: ¿cómo podemos crear un orden global que promueva la justicia social, la democracia y el bienestar sin caer en los excesos del poder estatal o la tiranía del mercado libre?
En resumen:
La confrontación entre Chomsky y Rothbard ofrece un debate fundamental sobre el futuro de la humanidad: la tensión entre la necesidad de intervención estatal para garantizar justicia social y la defensa de libertades individuales a través de un mercado libre. Esta discusión invita a considerar cómo equilibrar el poder político, las relaciones económicas y los derechos humanos en un contexto de creciente globalización y avances tecnológicos.
Propósitos recogidos por (Twitter) @gramophonefr ou gramophone89 le dimanche 24 novembre 2024 vers 18:27 à JOIGNY
Adoctrinamiento
https://www.facebook.com/share/p/18TdNKG9t2/
CONCLUSION Regarding the violence that corresponds to hatred, aporophobia, xenophobia and genocide, which are not exclusive or endemic phenomena of any country; due to the presence of "constants" for the corroboration of the "modus operandi" after deeply studying the works presented here attached to a more rigorous and extensive list. We can see that the "filter" censorship mechanisms lead the various actors in the educational process to self-censorship, which corresponds to [sometimes] unconscious indoctrination; since the human brain systematically filters [censoring] content that, by belonging to ideologies in direct opposition to ultra-liberalism, implies a high risk of being profiled with the deadly consequences that this fact means.
ADOCTRINAMIENTO Y CULTURA
https://x.com/i/spaces/1mnxeAoyRjPxX
Demostraremos que la educación interviene en el adoctrinamiento de la sociedad
Muchos especialistas en comportamiento nos demuestran que el cerebro humano es (metáfora) como una plastilina, en cuanto comprendemos, que se logra modificar el comportamiento, nos introducimos en un terreno, muy preciso, de “modificación” del discernimiento, puesto que el comportamiento está íntimamente en relación con la conciencia.
Si el medio SOCIETAL donde nos desarrollamos, permite por condiciones específicas de “harmonía social” es probable casi que con certeza, que nuestra manera de ver el mundo, nuestra respuesta como miembros de la sociedad favorable a la aplicación “estricta” de los derechos humanos.
Al observar las estadísticas de delitos, de crímenes esta hipótesis toma sentido, pues los índices de criminalidad frente a los índices de aplicación de políticas sociales; nos dejan la “certeza absoluta” de este nexo. En aquellos países que existe más discriminación, más marcada diferencia de redistribución del fruto del trabajo (leer a Thomas Piketty) los índices de criminalidad son mayores.
La censura
Todo lo que nuestro cerebro realiza, es el fruto de la interacción entre el medio ambiente y el individuo; enseguida se opera un proceso complejo que procesa el histórico y lo percibido (desde los sentidos) para elaborar la respuesta (leer B. F. Skinner, Jean Piaget) si en ambiente es favorable a una línea ideológica, sabemos que el cerebro se encarga de filtrar o censurar aquella línea ideológica:
…“Dentro de las modernas técnicas terapéuticas conocidas con el nombre de behaviour therapy, el modelo operante es ampliamente utilizado. En la actualidad, cuando se usan procedimientos que tienen su fundamento directo en los hallazgos de Skinner – y más especialmente en su técnica de modelado de la conducta a través de aproximaciones sucesivas* - se habla incluso ya de reinforcement therapy.
Aunque podríamos, quizá, remontar el origen de la behaviour therapy a la célebre experiencia de Watson con el pequeño Albert (1920), su aceptación y desarrollo son frutos de los últimos quince años”…
Agentes que producen behaviour therpy son en ese ambiente COTIDIANO todos los entes dedicados a la comunicación, todas las situaciones culturales por banales que parezcan :
…“en accidente de tránsito en la calle “x” con carrera “y” dos personas perdieron la vida en un accidente entre una moto y un automóvil”…
…“Tres cuerpos sin vida fueron encontrados en la vereda “n” al parecer la tres personas pertenecían a la misma familia, su muerte fue provocada por arma de fuego”…
Este género de contenido sería normal en un territorio donde LA JUSTICIA es incompetente, es suficiente comparar dl género de noticias de una radio de Suecia con el equivalente e. MÉXICO BRASIL O COLOMBIA . Por consiguiente los educadores sin excepción de nivel:
…“We are Peeping Toms at the keyhole of eternity. But at least we can try to take the stuffing out of the keyhole, which blocks even our limited view. —Arthur Koestler, Janus: A Summing Up1 Our sense organs and our brain operate as an intricate kind of filter which limits and directs the mind’s clairvoyant powers, so that under normal conditions attention is concentrated on just those objects or situations that are of biological importance for the survival of the organism and its species...Asarule, it would seem, the mind rejects ideas coming from another mind as the body rejects grafts coming from another body”... (Cyril Burt 1883-1971)
…“Nuestro cuerpo tiene dos filtros que sustentan la vida: el hígado y los riñones. Nuestro hígado, de dos kilos y medio, atrapa las toxinas y otras sustancias que entran en el cuerpo y las neutraliza rápidamente. Cuando funciona a su máxima capacidad, puede filtrar dos litros de sangre por minuto. Nuestros riñones, del tamaño de un puño, también son filtros sofisticados. Cada día procesan aproximadamente 200 litros de sangre, reabsorbiendo elementos valiosos y filtrando alrededor de dos litros de desechos y agua sobrante, eliminándolos a través de los uréteres y la vejiga. Pero quizás el filtro más eficiente del cuerpo pasa en gran medida desapercibido: nuestro cerebro”…
…“The Doors of Perception, which helped galvanize the counterculture of the 1960s, novelist Aldous Huxley wrote, “[E]ach one of us is potentially Mind at Large. But in so far as we are animals, our business at all costs is to survive.
To make biological survival possible, Mind at Large has to be funneled through the reducing valve of the brain and nervous system. What comes out at the other end is a measly trickle of the kind of consciousness which will help us to stay alive on the surface of this particular planet.”3 Huxley, like Henri Bergson, Ferdinand Schiller, William James, and others before him, believed the brain functions as a filter, normally shutting out perceptions, memories, and thoughts that are not necessary for the survival and reproduction of the organism.
Rather than producing consciousness, these observers believed the brain largely eliminates it, diminishing what consciousness is capable of revealing to us. As astrophysicist David Darling says in his book Soul Search, we are conscious not because of the brain, but despite it.4 Frederic W. H. Myers (1843-1901), the British classical scholar, poet, and philosopher, advanced a sophisticated filter theory of brain function that was endorsed by his friend and colleague William James, the Harvard physician and psychologist who is widely considered the founder of American psychology. James, with his superb capacity for metaphor, suggested that the brain acts as a lens or prism that filters, reduces, redirects, or otherwise alters incoming light in a systematic fashion.5 But James didn’t consider lenses or prisms as the ultimate metaphor for the brain.
As University of Virginia psychologist andconsciousness researcher Edward F. Kelly states in his analysis of Myers’ views, “Subsequent advocates of transmission or filter models have tended naturally to update this basic picture with reference to emerging technologies such as radio and television” that serve as the filter instead of lenses or prisms”… Fuente: https://www.researchgate.net/publication/319186916
Traducido por Google:
…“En Las puertas de la percepción, que ayudó a galvanizar la contracultura de la década de 1960, el novelista Aldous Huxley escribió: “Cada uno de nosotros es potencialmente una mente en libertad. Pero en la medida en que somos animales, nuestro negocio a toda costa es sobrevivir.
Para que sea posible la supervivencia biológica, la mente en libertad tiene que ser canalizada a través de la válvula reductora del cerebro y el sistema nervioso. Lo que sale por el otro extremo es un mísero hilo de la clase de conciencia que nos ayudará a permanecer vivos en la superficie de este planeta en particular”. 3 Huxley, como Henri Bergson, Ferdinand Schiller, William James y otros antes que él, creía que el cerebro funciona como un filtro, que normalmente excluye las percepciones, los recuerdos y los pensamientos que no son necesarios para la supervivencia y la reproducción del organismo.
En lugar de producir conciencia, estos observadores creían que el cerebro la elimina en gran medida, disminuyendo lo que la conciencia es capaz de revelarnos. Como dice el astrofísico David Darling en su libro Soul Search, somos conscientes no gracias al cerebro, sino a pesar de él.4 Frederic W. H. Myers (1843-1901), el erudito clásico, poeta y filósofo británico, propuso una sofisticada teoría del filtro de la función cerebral que fue respaldada por su amigo y colega William James, el médico y psicólogo de Harvard que es ampliamente considerado el fundador de la psicología estadounidense. James, con su magnífica capacidad para la metáfora, sugirió que el cerebro actúa como una lente o prisma que filtra, reduce, redirige o altera de otro modo la luz entrante de manera sistemática.5 Pero James no consideraba que las lentes o los prismas fueran la metáfora definitiva del cerebro.
Como afirma el psicólogo de la Universidad de Virginia e investigador de la conciencia Edward F. Kelly en su análisis de las opiniones de Myers, “los defensores posteriores de los modelos de transmisión o filtro han tendido naturalmente a actualizar esta imagen básica con referencia a tecnologías emergentes como la radio y la televisión” que sirven como filtro en lugar de lentes o prismas”…
CONCLUSIÓN En cuanto a la violencia que corresponde al odio, aporofobía, xenofobia y genocidio, que no son exclusividad o fenómeno endémico de ningún país; por el hecho de la presencia de “constantes” para la corroboración del “modus operandi” luego de estudiar profundamente los trabajos aquí presentes adjuntos a una lista más rigurosa y extensa. Podemos constatar que los mecanismos “filtros” censura llevan a los diversos actores del proceso educativo a la autocensura, que corresponde al adoctrinamiento [en ocasiones] inconsciente; puesto que el cerebro humano filtra sistemáticamente [censurando] contenidos que por pertenecer a ideologías en oposición directa al ultraliberalismo, implican un riesgo alto de ser perfilados con las consecuencias mortales que este hecho significa.
¿Es que en un ambiente violento la educación bajo imperativos rígidos de espionaje de estado, puede quedarse indemne de influencias ideológicas?
En un ambiente violento, donde la educación está sujeta a imperativos rígidos y al espionaje estatal, es prácticamente imposible que se mantenga indemne de influencias ideológicas. La educación es un espacio profundamente moldeado por el contexto sociopolítico, y en estas circunstancias, se convierte en un instrumento de control y reproducción de las ideologías dominantes.
1. El contexto violento: En un ambiente de violencia, la educación puede ser utilizada para justificar el estado de cosas, promoviendo narrativas que legitimen el orden imperante y desalentando cualquier forma de pensamiento crítico. Esto limita la capacidad de los educandos para cuestionar la realidad y los sistemas de poder
2. Imperativos rígidos: La rigidez en las normas educativas impuestas desde el poder central suele implicar la transmisión de valores e ideas que consolidan la autoridad del Estado. Se priorizan las lealtades al sistema, mientras se reprime cualquier forma de disidencia.
3. Espionaje y vigilancia: La vigilancia estatal en el ámbito educativo no solo controla los contenidos enseñados, sino que también inhibe la libertad de cátedra y el debate abierto. Esto fomenta un clima de autocensura entre docentes y estudiantes, quienes temen represalias por expresar ideas contrarias al discurso oficial.
4. Influencia ideológica inevitable: La ideología no es algo que se pueda evitar; siempre está presente en la educación, ya sea de manera explícita o implícita. Sin embargo, en un contexto de control estatal, esta ideología se imbuye de los intereses del poder, eliminando o marginalizando las perspectivas alternativas.
En resumen, la educación en un contexto así no puede quedar indemne de influencias ideológicas. Más bien, se convierte en un medio para perpetuar las estructuras de poder existentes, a menos que haya resistencia activa por parte de los actores educativos o fuerzas externas que introduzcan nuevas perspectivas.
Write in English and Spanish
CONCLUSION Regarding the violence that corresponds to hatred, aporophobia, xenophobia and genocide, which are not exclusive or endemic phenomena of any country; due to the presence of "constants" for the corroboration of the "modus operandi" after deeply studying the works presented here attached to a more rigorous and extensive list. We can see that the "filter" censorship mechanisms lead the various actors in the educational process to self-censorship, which corresponds to [sometimes] unconscious indoctrination; since the human brain systematically filters [censoring] content that, by belonging to ideologies in direct opposition to ultra-liberalism, implies a high risk of being profiled with the deadly consequences that this fact means.
Español
ADOCTRINAMIENTO Y CULTURA
https://x.com/i/spaces/1mnxeAoyRjPxX
Demostraremos que la educación interviene en el adoctrinamiento de la sociedad
Muchos especialistas en comportamiento nos demuestran que el cerebro humano es (metáfora) como una plastilina, en cuanto comprendemos, que se logra modificar el comportamiento, nos introducimos en un terreno, muy preciso, de “modificación” del discernimiento, puesto que el comportamiento está íntimamente en relación con la conciencia.
Si el medio SOCIETAL donde nos desarrollamos, permite por condiciones específicas de “harmonía social” es probable casi que con certeza, que nuestra manera de ver el mundo, nuestra respuesta como miembros de la sociedad favorable a la aplicación “estricta” de los derechos humanos.
Al observar las estadísticas de delitos, de crímenes esta hipótesis toma sentido, pues los índices de criminalidad frente a los índices de aplicación de políticas sociales; nos dejan la “certeza absoluta” de este nexo. En aquellos países que existe más discriminación, más marcada diferencia de redistribución del fruto del trabajo (leer a Thomas Piketty) los índices de criminalidad son mayores.
La censura
Todo lo que nuestro cerebro realiza, es el fruto de la interacción entre el medio ambiente y el individuo; enseguida se opera un proceso complejo que procesa el histórico y lo percibido (desde los sentidos) para elaborar la respuesta (leer B. F. Skinner, Jean Piaget) si en ambiente es favorable a una línea ideológica, sabemos que el cerebro se encarga de filtrar o censurar aquella línea ideológica:
…“Dentro de las modernas técnicas terapéuticas conocidas con el nombre de behaviour therapy, el modelo operante es ampliamente utilizado. En la actualidad, cuando se usan procedimientos que tienen su fundamento directo en los hallazgos de Skinner – y más especialmente en su técnica de modelado de la conducta a través de aproximaciones sucesivas* - se habla incluso ya de reinforcement therapy.
Aunque podríamos, quizá, remontar el origen de la behaviour therapy a la célebre experiencia de Watson con el pequeño Albert (1920), su aceptación y desarrollo son frutos de los últimos quince años”…
Agentes que producen behaviour therpy son en ese ambiente COTIDIANO todos los entes dedicados a la comunicación, todas las situaciones culturales por banales que parezcan :
…“en accidente de tránsito en la calle “x” con carrera “y” dos personas perdieron la vida en un accidente entre una moto y un automóvil”…
…“Tres cuerpos sin vida fueron encontrados en la vereda “n” al parecer la tres personas pertenecían a la misma familia, su muerte fue provocada por arma de fuego”…
Este género de contenido sería normal en un territorio donde LA JUSTICIA es incompetente, es suficiente comparar dl género de noticias de una radio de Suecia con el equivalente e. MÉXICO BRASIL O COLOMBIA . Por consiguiente los educadores sin excepción de nivel:
…“We are Peeping Toms at the keyhole of eternity. But at least we can try to take the stuffing out of the keyhole, which blocks even our limited view. —Arthur Koestler, Janus: A Summing Up1 Our sense organs and our brain operate as an intricate kind of filter which limits and directs the mind’s clairvoyant powers, so that under normal conditions attention is concentrated on just those objects or situations that are of biological importance for the survival of the organism and its species...Asarule, it would seem, the mind rejects ideas coming from another mind as the body rejects grafts coming from another body”... (Cyril Burt 1883-1971)
…“Nuestro cuerpo tiene dos filtros que sustentan la vida: el hígado y los riñones. Nuestro hígado, de dos kilos y medio, atrapa las toxinas y otras sustancias que entran en el cuerpo y las neutraliza rápidamente. Cuando funciona a su máxima capacidad, puede filtrar dos litros de sangre por minuto. Nuestros riñones, del tamaño de un puño, también son filtros sofisticados. Cada día procesan aproximadamente 200 litros de sangre, reabsorbiendo elementos valiosos y filtrando alrededor de dos litros de desechos y agua sobrante, eliminándolos a través de los uréteres y la vejiga. Pero quizás el filtro más eficiente del cuerpo pasa en gran medida desapercibido: nuestro cerebro”…
…“The Doors of Perception, which helped galvanize the counterculture of the 1960s, novelist Aldous Huxley wrote, “[E]ach one of us is potentially Mind at Large. But in so far as we are animals, our business at all costs is to survive.
To make biological survival possible, Mind at Large has to be funneled through the reducing valve of the brain and nervous system. What comes out at the other end is a measly trickle of the kind of consciousness which will help us to stay alive on the surface of this particular planet.”3 Huxley, like Henri Bergson, Ferdinand Schiller, William James, and others before him, believed the brain functions as a filter, normally shutting out perceptions, memories, and thoughts that are not necessary for the survival and reproduction of the organism.
Rather than producing consciousness, these observers believed the brain largely eliminates it, diminishing what consciousness is capable of revealing to us. As astrophysicist David Darling says in his book Soul Search, we are conscious not because of the brain, but despite it.4 Frederic W. H. Myers (1843-1901), the British classical scholar, poet, and philosopher, advanced a sophisticated filter theory of brain function that was endorsed by his friend and colleague William James, the Harvard physician and psychologist who is widely considered the founder of American psychology. James, with his superb capacity for metaphor, suggested that the brain acts as a lens or prism that filters, reduces, redirects, or otherwise alters incoming light in a systematic fashion.5 But James didn’t consider lenses or prisms as the ultimate metaphor for the brain.
As University of Virginia psychologist andconsciousness researcher Edward F. Kelly states in his analysis of Myers’ views, “Subsequent advocates of transmission or filter models have tended naturally to update this basic picture with reference to emerging technologies such as radio and television” that serve as the filter instead of lenses or prisms”… Fuente: https://www.researchgate.net/publication/319186916
Traducido por Google:
…“En Las puertas de la percepción, que ayudó a galvanizar la contracultura de la década de 1960, el novelista Aldous Huxley escribió: “Cada uno de nosotros es potencialmente una mente en libertad. Pero en la medida en que somos animales, nuestro negocio a toda costa es sobrevivir.
Para que sea posible la supervivencia biológica, la mente en libertad tiene que ser canalizada a través de la válvula reductora del cerebro y el sistema nervioso. Lo que sale por el otro extremo es un mísero hilo de la clase de conciencia que nos ayudará a permanecer vivos en la superficie de este planeta en particular”. 3 Huxley, como Henri Bergson, Ferdinand Schiller, William James y otros antes que él, creía que el cerebro funciona como un filtro, que normalmente excluye las percepciones, los recuerdos y los pensamientos que no son necesarios para la supervivencia y la reproducción del organismo.
En lugar de producir conciencia, estos observadores creían que el cerebro la elimina en gran medida, disminuyendo lo que la conciencia es capaz de revelarnos. Como dice el astrofísico David Darling en su libro Soul Search, somos conscientes no gracias al cerebro, sino a pesar de él.4 Frederic W. H. Myers (1843-1901), el erudito clásico, poeta y filósofo británico, propuso una sofisticada teoría del filtro de la función cerebral que fue respaldada por su amigo y colega William James, el médico y psicólogo de Harvard que es ampliamente considerado el fundador de la psicología estadounidense. James, con su magnífica capacidad para la metáfora, sugirió que el cerebro actúa como una lente o prisma que filtra, reduce, redirige o altera de otro modo la luz entrante de manera sistemática.5 Pero James no consideraba que las lentes o los prismas fueran la metáfora definitiva del cerebro.
Como afirma el psicólogo de la Universidad de Virginia e investigador de la conciencia Edward F. Kelly en su análisis de las opiniones de Myers, “los defensores posteriores de los modelos de transmisión o filtro han tendido naturalmente a actualizar esta imagen básica con referencia a tecnologías emergentes como la radio y la televisión” que sirven como filtro en lugar de lentes o prismas”…
CONCLUSIÓN En cuanto a la violencia que corresponde al odio, aporofobía, xenofobia y genocidio, que no son exclusividad o fenómeno endémico de ningún país; por el hecho de la presencia de “constantes” para la corroboración del “modus operandi” luego de estudiar profundamente los trabajos aquí presentes adjuntos a una lista más rigurosa y extensa. Podemos constatar que los mecanismos “filtros” censura llevan a los diversos actores del proceso educativo a la autocensura, que corresponde al adoctrinamiento [en ocasiones] inconsciente; puesto que el cerebro humano filtra sistemáticamente [censurando] contenidos que por pertenecer a ideologías en oposición directa al ultraliberalismo, implican un riesgo alto de ser perfilados con las consecuencias mortales que este hecho significa.
Que responde la Inteligencia Artificial?
¿Es que en un ambiente violento la educación bajo imperativos rígidos de espionaje de estado, puede quedarse indemne de influencias ideológicas?
En un ambiente violento, donde la educación está sujeta a imperativos rígidos y al espionaje estatal, es prácticamente imposible que se mantenga indemne de influencias ideológicas. La educación es un espacio profundamente moldeado por el contexto sociopolítico, y en estas circunstancias, se convierte en un instrumento de control y reproducción de las ideologías dominantes.
1. El contexto violento: En un ambiente de violencia, la educación puede ser utilizada para justificar el estado de cosas, promoviendo narrativas que legitimen el orden imperante y desalentando cualquier forma de pensamiento crítico. Esto limita la capacidad de los educandos para cuestionar la realidad y los sistemas de poder
2. Imperativos rígidos: La rigidez en las normas educativas impuestas desde el poder central suele implicar la transmisión de valores e ideas que consolidan la autoridad del Estado. Se priorizan las lealtades al sistema, mientras se reprime cualquier forma de disidencia.
3. Espionaje y vigilancia: La vigilancia estatal en el ámbito educativo no solo controla los contenidos enseñados, sino que también inhibe la libertad de cátedra y el debate abierto. Esto fomenta un clima de autocensura entre docentes y estudiantes, quienes temen represalias por expresar ideas contrarias al discurso oficial.
4. Influencia ideológica inevitable: La ideología no es algo que se pueda evitar; siempre está presente en la educación, ya sea de manera explícita o implícita. Sin embargo, en un contexto de control estatal, esta ideología se imbuye de los intereses del poder, eliminando o marginalizando las perspectivas alternativas.
En resumen, la educación en un contexto así no puede quedar indemne de influencias ideológicas. Más bien, se convierte en un medio para perpetuar las estructuras de poder existentes, a menos que haya resistencia activa por parte de los actores educativos o fuerzas externas que introduzcan nuevas perspectivas.
Última edición por Admin el Jue 5 Dic - 9:13, editado 6 veces
ADOCTRINAMIENTO Y CULTURA la educación es clave
Dos temas
1° El voto por la extrema derecha de IMMIGRANTES en España
2° báscula entre Razón y Sentimientos
El hecho de que un inmigrante pobre vote por la extrema derecha en España (o en cualquier otro país) puede parecer, a primera vista, contradictorio, dado que muchos partidos de extrema derecha suelen tener posturas restrictivas hacia la inmigración y discursos que culpan a los inmigrantes de problemas económicos o sociales. Sin embargo, hay varios factores que podrían explicar por qué esto ocurre:
The fact that a poor immigrant votes for the far right in Spain (or any other country) may seem, at first glance, contradictory, given that many far-right parties tend to have restrictive stances towards immigration and discourses that blame immigrants for economic or social problems. However, there are several factors that could explain why this happens:
1. Identidad y pertenencia Speeches on security and stability
Un inmigrante puede apoyar a la extrema derecha si se siente alineado con los valores culturales, religiosos o sociales que promueve este partido. Esto puede suceder si cree que así puede integrarse mejor o demostrar lealtad al país que lo acoge.
An immigrant may support the far right if he feels aligned with the cultural, religious or social values promoted by this party. This may happen if he believes that this way he can better integrate or demonstrate loyalty to the country that welcomes him.
An immigrant may support the far right if he feels aligned with the cultural, religious or social values promoted by this party. This may happen if he believes that this way he can better integrate or demonstrate loyalty to the country that welcomes him.
2. Discursos sobre seguridad y estabilidad 2. Speeches on security and stability
Los partidos de extrema derecha suelen centrarse en la seguridad, el orden y la lucha contra el crimen. Un inmigrante que vive en un entorno inseguro podría sentirse atraído por estas promesas, incluso si implican políticas más duras hacia la inmigración.
Far-right parties often focus on security, order and fighting crime. An immigrant living in an unsafe environment might be attracted by these promises, even if they imply tougher policies towards immigration.
3. Competencia Económica Economic competition
Si un inmigrante percibe que otros grupos de inmigrantes están compitiendo directamente por los mismos recursos o beneficios sociales, podría sentirse tentado a votar por un partido que prometa limitar la llegada de más personas.
If an immigrant perceives that other immigrant groups are competing directly for the same resources or social benefits, he or she might be tempted to vote for a party that promises to limit the arrival of more people.
4. Desinformación
Los discursos populistas pueden ser efectivos entre personas vulnerables o desinformadas. Un inmigrante podría ser influenciado por narrativas simplistas que culpan a otros sectores por sus dificultades económicas.
Populist discourses can be effective among vulnerable or uninformed people. An immigrant could be influenced by simplistic narratives that blame other sectors for their economic difficulties.
5. Descontento con otros partidos
La falta de alternativas políticas convincentes puede llevar a algunas personas, incluidos inmigrantes, a optar por partidos de extrema derecha como forma de protesta contra el sistema político en general.
6. Contexto personal o nacional
Algunos inmigrantes provienen de países donde los valores conservadores o autoritarios están más arraigados. Esto podría hacer que encuentren más natural apoyar un partido que represente estas ideas en su nuevo país.
Aunque no es un comportamiento mayoritario, estos factores muestran que es posible. Es importante recordar que el voto es una decisión compleja que no siempre responde a intereses evidentes o colectivos, sino también a experiencias personales, percepciones y emociones.
El hecho de que un inmigrante pobre vote por la extrema derecha en España (o en cualquier otro país) puede parecer, a primera vista, contradictorio, dado que muchos partidos de extrema derecha suelen tener posturas restrictivas hacia la inmigración y discursos que culpan a los inmigrantes de problemas económicos o sociales. Sin embargo, hay varios factores que podrían explicar por qué esto ocurre:
1. Identidad y pertenencia
Un inmigrante puede apoyar a la extrema derecha si se siente alineado con los valores culturales, religiosos o sociales que promueve este partido. Esto puede suceder si cree que así puede integrarse mejor o demostrar lealtad al país que lo acoge.
2. Discursos sobre seguridad y estabilidad
Los partidos de extrema derecha suelen centrarse en la seguridad, el orden y la lucha contra el crimen. Un inmigrante que vive en un entorno inseguro podría sentirse atraído por estas promesas, incluso si implican políticas más duras hacia la inmigración.
3. Competencia económica
Si un inmigrante percibe que otros grupos de inmigrantes están compitiendo directamente por los mismos recursos o beneficios sociales, podría sentirse tentado a votar por un partido que prometa limitar la llegada de más personas.
4. Desinformación
Los discursos populistas pueden ser efectivos entre personas vulnerables o desinformadas. Un inmigrante podría ser influenciado por narrativas simplistas que culpan a otros sectores por sus dificultades económicas.
5. Descontento con otros partidos
La falta de alternativas políticas convincentes puede llevar a algunas personas, incluidos inmigrantes, a optar por partidos de extrema derecha como forma de protesta contra el sistema político en general.
The lack of compelling political alternatives may lead some people, including immigrants, to turn to far-right parties as a form of protest against the political system in general.
6. Contexto personal o nacional
Algunos inmigrantes provienen de países donde los valores conservadores o autoritarios están más arraigados. Esto podría hacer que encuentren más natural apoyar un partido que represente estas ideas en su nuevo país.
Aunque no es un comportamiento mayoritario, estos factores muestran que es posible. Es importante recordar que el voto es una decisión compleja que no siempre responde a intereses evidentes o colectivos, sino también a experiencias personales, percepciones y emociones.
Some immigrants come from countries where conservative or authoritarian values are more deeply rooted. This might make it more natural for them to support a party that represents these ideas in their new country.
Although it is not a majority behaviour, these factors show that it is possible. It is important to remember that voting is a complex decision that does not always respond to obvious or collective interests, but also to personal experiences, perceptions and emotions.
1° El voto por la extrema derecha de IMMIGRANTES en España
2° báscula entre Razón y Sentimientos
ADOCTRINAMIENTO Y CULTURA
EL VOTO UN IMMIGRANTE EN ESPAÑA THE VOTE OF AN IMMIGRANT IN SPAIN
El hecho de que un inmigrante pobre vote por la extrema derecha en España (o en cualquier otro país) puede parecer, a primera vista, contradictorio, dado que muchos partidos de extrema derecha suelen tener posturas restrictivas hacia la inmigración y discursos que culpan a los inmigrantes de problemas económicos o sociales. Sin embargo, hay varios factores que podrían explicar por qué esto ocurre:
The fact that a poor immigrant votes for the far right in Spain (or any other country) may seem, at first glance, contradictory, given that many far-right parties tend to have restrictive stances towards immigration and discourses that blame immigrants for economic or social problems. However, there are several factors that could explain why this happens:
1. Identidad y pertenencia Speeches on security and stability
Un inmigrante puede apoyar a la extrema derecha si se siente alineado con los valores culturales, religiosos o sociales que promueve este partido. Esto puede suceder si cree que así puede integrarse mejor o demostrar lealtad al país que lo acoge.
An immigrant may support the far right if he feels aligned with the cultural, religious or social values promoted by this party. This may happen if he believes that this way he can better integrate or demonstrate loyalty to the country that welcomes him.
An immigrant may support the far right if he feels aligned with the cultural, religious or social values promoted by this party. This may happen if he believes that this way he can better integrate or demonstrate loyalty to the country that welcomes him.
2. Discursos sobre seguridad y estabilidad 2. Speeches on security and stability
Los partidos de extrema derecha suelen centrarse en la seguridad, el orden y la lucha contra el crimen. Un inmigrante que vive en un entorno inseguro podría sentirse atraído por estas promesas, incluso si implican políticas más duras hacia la inmigración.
Far-right parties often focus on security, order and fighting crime. An immigrant living in an unsafe environment might be attracted by these promises, even if they imply tougher policies towards immigration.
3. Competencia Económica Economic competition
Si un inmigrante percibe que otros grupos de inmigrantes están compitiendo directamente por los mismos recursos o beneficios sociales, podría sentirse tentado a votar por un partido que prometa limitar la llegada de más personas.
If an immigrant perceives that other immigrant groups are competing directly for the same resources or social benefits, he or she might be tempted to vote for a party that promises to limit the arrival of more people.
4. Desinformación
Los discursos populistas pueden ser efectivos entre personas vulnerables o desinformadas. Un inmigrante podría ser influenciado por narrativas simplistas que culpan a otros sectores por sus dificultades económicas.
Populist discourses can be effective among vulnerable or uninformed people. An immigrant could be influenced by simplistic narratives that blame other sectors for their economic difficulties.
5. Descontento con otros partidos
La falta de alternativas políticas convincentes puede llevar a algunas personas, incluidos inmigrantes, a optar por partidos de extrema derecha como forma de protesta contra el sistema político en general.
6. Contexto personal o nacional
Algunos inmigrantes provienen de países donde los valores conservadores o autoritarios están más arraigados. Esto podría hacer que encuentren más natural apoyar un partido que represente estas ideas en su nuevo país.
Aunque no es un comportamiento mayoritario, estos factores muestran que es posible. Es importante recordar que el voto es una decisión compleja que no siempre responde a intereses evidentes o colectivos, sino también a experiencias personales, percepciones y emociones.
Bascula entre lógica razón frente a pasión y sentimientos
El hecho de que un inmigrante pobre vote por la extrema derecha en España (o en cualquier otro país) puede parecer, a primera vista, contradictorio, dado que muchos partidos de extrema derecha suelen tener posturas restrictivas hacia la inmigración y discursos que culpan a los inmigrantes de problemas económicos o sociales. Sin embargo, hay varios factores que podrían explicar por qué esto ocurre:
1. Identidad y pertenencia
Un inmigrante puede apoyar a la extrema derecha si se siente alineado con los valores culturales, religiosos o sociales que promueve este partido. Esto puede suceder si cree que así puede integrarse mejor o demostrar lealtad al país que lo acoge.
2. Discursos sobre seguridad y estabilidad
Los partidos de extrema derecha suelen centrarse en la seguridad, el orden y la lucha contra el crimen. Un inmigrante que vive en un entorno inseguro podría sentirse atraído por estas promesas, incluso si implican políticas más duras hacia la inmigración.
3. Competencia económica
Si un inmigrante percibe que otros grupos de inmigrantes están compitiendo directamente por los mismos recursos o beneficios sociales, podría sentirse tentado a votar por un partido que prometa limitar la llegada de más personas.
4. Desinformación
Los discursos populistas pueden ser efectivos entre personas vulnerables o desinformadas. Un inmigrante podría ser influenciado por narrativas simplistas que culpan a otros sectores por sus dificultades económicas.
5. Descontento con otros partidos
La falta de alternativas políticas convincentes puede llevar a algunas personas, incluidos inmigrantes, a optar por partidos de extrema derecha como forma de protesta contra el sistema político en general.
The lack of compelling political alternatives may lead some people, including immigrants, to turn to far-right parties as a form of protest against the political system in general.
6. Contexto personal o nacional
Algunos inmigrantes provienen de países donde los valores conservadores o autoritarios están más arraigados. Esto podría hacer que encuentren más natural apoyar un partido que represente estas ideas en su nuevo país.
Aunque no es un comportamiento mayoritario, estos factores muestran que es posible. Es importante recordar que el voto es una decisión compleja que no siempre responde a intereses evidentes o colectivos, sino también a experiencias personales, percepciones y emociones.
Some immigrants come from countries where conservative or authoritarian values are more deeply rooted. This might make it more natural for them to support a party that represents these ideas in their new country.
Although it is not a majority behaviour, these factors show that it is possible. It is important to remember that voting is a complex decision that does not always respond to obvious or collective interests, but also to personal experiences, perceptions and emotions.
COMO PUEDE CAMBIAR COLOMBIA
LA POLÍTICA
QUE
COLOMBIA
NECESITA
QUE
COLOMBIA
NECESITA
Es sumamente ambicioso el título sin embargo la aplicación de cambios radicales expuestos aquí debajo, equivale a recuperar en solo presupuesto de Colombia a precios del año 2022, una suma de 34,9 billones de pesos ; a continuación una corta descripción con argumento como base justifica que suprimiendo la corrupción que permite dilapidar el erario público y evadir impuestos, no se necesitaría reformas fiscales sucesivas e inadaptadas per se, además de llegar a un estado de equidad que aleja la sociedad de oficio de esa cultura del delito y la violencia
La política que Colombia necesita no es la que proponen los candidatos presidenciales que intentan MOSTRARSE ANTE LA OPINIÓN PUBLICA como algo nuevo, pero que mienten como siempre.
No es probable, desde ningún punto de vista, lograr en un gobierno, cambiar LA CULTURA que se ha instalado en casi dos siglos de desarrollo de “malas mañas”, en Colombia o en cualquier país del mundo. Si no es probable un cambio en cuatro años, que es un hecho absoluto, estamos obligado a salir de la falsedad, porque el discurso de quienes ahora intentan mostrarse como innovadores, está absolutamente constante o idéntico a lo que siempre han prometido. Sabemos que “las promesas” solo deben ser creídas por quienes las han hecho, y esto es valido para cualquier país del mundo.
Deberíamos comprender que si políticas a corto plazo no funcionan; se hace necesario buscar “políticas a mediano y largo plazo”. Debemos hablar de un enfoque integral con estrategias preventivas, educativas, que si analizamos, demuestran que ha faltado ética absoluta a nivel institucional.
En lenguaje lambda (popular) las tres ramas del poder habrán avanzado, en favor de la impunidad. Hecho real incluso y sobre todo en la justicia AL MÁS ALTO NIVEL. (Corte Suprema de Justicia, Corte Constitucional, Fiscalía y Procuraduría) debemos recordar el proceso Ocho-mil, la Yidispolitica, lo que hizo en América latina con ODEBRETCH.
Estrategia de prevención
Para salir de una cultura de impunidad auspiciada por los más altos niveles de la justicia, se exigen estrategias preventivas inicialmente. Esto es algo INDISPENSABLE, pero desde el punto de vista de la normatividad, casi IMPOSIBLE, es más, ellos los aforados, los instalados en esos cargos, lo saben, puesto que no son elegidos la fecha de elección presidencial. Solo vemos un ejemplo de cambio MUY RÁPIDO, que ocurrió en TAIWAN, que solo se tomó medio siglo para llegar a ser hoy (una ciudad) ha ser potencia mundial.
Las causas de la corrupción se encuentran arraigadas en la ley, la estructura profundas del Estado colombiano, deben ser corregidas, se debería “intentar” transparencia, usar estrategia política favorable a la transparencia, se debe intentar desde el cambio de las normas el fortalecimiento institucional.
Un paso obligado en búsqueda de esa transparencia, podría ser la digitalización de los tramites. Lo que implica un alto nivel de seguridad en la gestión de datos. (hablamos del almacenamiento de información personal, de salud, bancaria de los usuarios) En palabras accesibles a todos, desde las cárceles del país, los delincuentes abusan de la fragilidad de la informática para recuperar información y vaciar las cuentas bancarias.
Una practica eficazmente usada contra la corrupción es permitir que desde la casa, todo ciudadano pueda consultar cualquier licitación abierta lo que favorece, la transparencia global en los presupuestos; desde los municipios hasta los ministerios, incluyendo el parlamento que maneja de manera “muy oscura el dinero”.
Cuando todos los contratos y licitaciones de un país estén a disposición de todos los ciudadanos en plataformas en linea, incluyendo la integralidad de las informaciones, sobre todo tipo de proyectos, incluyendo “absolutamente” desde licitación pasando por la adjudicación y terminando con ejecución e inauguración. Para esto podrían servir incluso las redes sociales, en lugar de tanto contenido “exclusivo de una cultura barata”
Es una evidencia “monumental” que la auditoría, la veeduría son absolutamente “ineficientes”, esto lo prueba la evolución de la corrupción y la impunidad. Nos confrontamos a personas que de manera benévola se han instalado con el tiempo, personas que han sido seleccionados por los políticos porque consideran que podrán ser manipulados gracias a los viáticos para asistir a convenciones, que las personas involucradas tomarían como “beneficios” y “privilegios” cuando de todas maneras son dineros que oficialmente están destinados a ese menester.
Todo proyecto que surge desde el erario publico deben recibir una revisión periódica, que verifique, con profesionalismo, todos los procesos intentando encontrar eventuales irregularidades en un nivel preventivo, es decir mucho antes de que la corrupción alcance niveles irreversibles. Esto solo se logra con personal “profesional” es decir con formación, que exige estándares que ya existen en países como los escandinavos, en fin se buscan los países con menos corrupción, se importa la metodología para buscar garantizar proyectos competitivos, transparentes incluso debido a que el monitoreo se logra por profesionales con salario incluso de una entidad que les pueda hacer RESPONSABLES y que sean elegidos en una selección o examen; igual que se puedan destituir por “in-eficiencia”. Hablamos pues de una evaluación de los riesgos en todos los sectores en particular vulnerables como son la salud, la educación, la minería, la contratación publica.
Toda persona encontrada involucrada en un error, delito o irregularidad debe ser declarada inhabilitada para participar en una estructura que presente licitación. Hoy existe datacredito, se inhabilitan millones de personas, para usar el crédito, de igual manera debe existir un mecanismo “eficaz” para personas que infrinjan la reglamentación en contratación con dineros del erario publico.
Las licitaciones deben obedecer a una normatividad que evita sistemáticamente especificaciones que son trampas para introducir corrupción favoreciendo amigos y o contratistas.
La constante que se desprende de los altos niveles de corrupción en las tres ramas del poder, se ha desarrollado debido al alejamiento por razones lógicas de estándares con valores éticos, esa impunidad que favorece la corrupción y todo tipo de delitos contra el estado de derecho.
Se traduce esto por la necesidad “imperativa” de introducir en todos los niveles de la educación; un programa con promoción ética y valores, con énfasis en las carreras de gestión publica. Insisto que no se corrige en cuatro años dos siglos de una cultura delincuente absoluta en el manejo del erario publico. Aquí se insiste en la noción de evaluación continuada incluso de los puestos de auditoría o veeduría.
Una constatación más se destaca bajo la denominación de hegemonía, que se traduce en la realidad, en muchos casos por la pena de muerte, para aquellas personas que intentasen ser rigurosas en las labores de veeduría. Una vez más desde puestos como la personería de los municipios, se filtrarían las personas, señalando sistemáticamente ante asesinos de profesión las personas que tratan de realizar auditoría profesional.
Aquí faltan los servicios del CTI, de la fiscalía, los servicios secretos de inteligencia, ocupados hasta hoy a seguir personas del sindicalismo, de los partidos “de izquierda”, la oposición a la política tradicional de los NARCOPARAPOLITICOS que conducen a Colombia desde hace muchos años en toda impunidad.
Los canales de denuncia deben garantizar que los datos del denunciante no sean usados contra esa persona, esto se debe al nivel “alto” de corrupción, que hoy a permeado aquí la justicia en primer plano.
La evolución vertiginosa de las tecnologías de la informática, conllevan el poder publico a buscar introducir un monitoreo, desde la IA, para usar algoritmos capacitados para monitorear las irregularidades en los procesos de gestión del erario publico.
Dentro de esta visión innovadora debemos hablar de la tecnología de la ledger distribution, (es una base de datos de transacciones que se comparte y sinccroniza en múltiples computadoras y ubicaciones) hablamos de registro digital descentralizado de transacciones compartidas pero inmutables o inmodificables llamado por gente que usa mucho ingles en su discurso “el blockchain”
Una nota sobre el “blockchain”: Cada bloque es tan seguro como su portal de banca on-line –casi imposible de hackear–. Los ledgers del blockchain pueden incorporar una amplia gama de documentos, incluyendo préstamos, títulos inmobiliarios, manifiestos de logística, y casi cualquier cosa de valor. La información de Big Data puede ser compartida en un entorno de verificación múltiple que es perfecto para intercambiar información segura en tiempo real.
Dado que la tecnología avanza, los casos de uso evolucionan. A medida que se expande el número de verticales de negocio que usan blockchain, la adherencia a las leyes de confidencialidad de datos se vuelve primordial.
El blockchain como servicio (BaaS) incorpora la plataforma de blockchain para ledger distribuido dentro del modelo de entrega de software y licencias basado en la nube que ya es popular entre las empresas que buscan reducir costos aumentando a la vez la seguridad y eficiencia. El BaaS brinda las ya mencionadas responsabilidad, transparencia y seguridad del blockchain sin usar recursos internos, ya que los prestadores de servicios mantienen la red de BaaS en la nube.
El impulso a la tecnología de blockchain claramente está creciendo, y Gartner estima que el blockchain generará USD 3,1 billones en valor de negocios para el 2030.
Una vez implementada la modernización de la informática, ya se puede ofrecer al gran publico toda la información sobre presupuestos, licitaciones, ejecución de proyectos de manera a que sea de acceso libre para personas y empresas dedicadas a la auditoría.
Para garantizar la honra y la vida de quienes se aventuren en auditoría, se necesitan medidas rigurosas, como la gestión de los puestos de funcionarios, que deben ser desplazados o cambiados de ciudad de manera regular, desde luego aquí cuando todo es manejado a la manera SAP que proviene de una empresa alemana que usa la sigla “systemanalyse prograññentwicklung” o desarrollo de programas de sistemas de análisis, en el año 2024 el nombre es SAP SE donde SE significa sociedad europea, una empresa pública registrada de conformidad con la legislación estándar de la Union Europea
Recuerdo un libro que me obsequió Olivier Ihl de titulo “Le mérite et la République” quizás aquí adquiere importancia capital, puesto que los empleados públicos (funcionarios) podrían recibir incentivos cuando se destaquen por su transparencia e integridad, incluso se puede instalar normas donde la bonificación o prima de transparencia adquiera más valor que la conducta que favorece corrupción e impunidad.
Este discurso no se escucha en las entrevistas de personas que hoy hablan de soluciones milagrosas para el futuro de Colombia. No se puede escuchar porque esas personas viven en un mundo diferente del común de los colombianos, No se puede escuchar porque son personas que en realidad estarían tratando de convencer a los “colombianos ingenuos”, aquellos que van a las urnas basados en lo que a diario publican los medios de comunicación tradicionales.
Lo que el colombiano de a pie, no quiere comprender es que los medios de comunicación tradicionales tienen la única misión de meterles en la cabeza todo tipo de conceptos que a lo mejor son insuficientes, en el peor de los casos sin real soporte o justificación. En verdad un candidato que pertenece a las clases políticas tradicionales, no estaría en medida de proponer EN ABSOLUTO nada; puesto que en realidad su casta de privilegiados ha gobernado durante varios siglos. Durante ese tiempo solo han logrado aumentar las prebendas, los privilegios para ellos incrementando la desigualdad, la miseria y la ignorancia que IMPIDE A UNA PERSONA HOY pensar con independencia ideológica.
Las notas aquí respuestas, no surgen de mi iluminación santa, pero son consecuencia exclusiva de la lectura de muy pocos autores, desde luego he descubierto resúmenes de gran valor, infortunadamente los colombianos chocamos contra la muralla del idioma que nos hace ignorantes de muchos contenidos de un valor monumental (los enlaces conducen a un sitio web común de comercio en línea, pero no es la única fuente para adquirir libros, ni recibo ningún apoyo financiero o publicitario) :[/color]
Le Mérite et la République: Essai sur la société des émules
Le Capital au XXIe siècle de Thomas Piketty
Essai sur le principe de population
Le Prix de l'Inégalité
Morale et communication
Suprimiendo la corrupción que permite dilapidar el erario publico y evadir impuestos, no se necesitarían reformas fiscales sucesivas e inadaptadas per se, además de llegar a un estado de equidad que aleja la sociedad de oficio de esa cultura del delito y la violencia
CONSECUENCIA DEL ULTRALIBERALISMO
LA PENSÉE DES TRAVAILLEURS
Texte écrit en Français et traduit par Google à l'Espagnol
Je sais bien que lorsque j’écris, mon texte est détesté par les classes populaires, parce que le contenu va mettre en lumière, des déficiences, de la méconnaissance de grandes majorités.
Pourtant je cherche à faire de la pédagogie depuis plus de trente ans, mais je suis conscient de heurter une muraille, composée d’une longue liste de facteurs, donc l’ignorance de mes colistiers n’est que l’addition de nombreux travaux sournois (quelques fois) ; au plein jour d’autres fois. Mais toujours mannes par un nombre de personnes dérisoire par rapport à la population qui subis comment conséquences, une augmentation progressive des charges en santé, en éducation, sous forme de charge fiscale qu’augmente.
Pour mieux comprendre la réalité chaque lecteur pourrait vérifier les différences, dans la qualité et le coût de l’ensemble des services publiques. Dans les année quatre-vingt beaucoup de services pouvaient être obtenus en quelques jours dans la mairie de villes de dix ou quinze mille habitants. L’hôpital de ce genre de villes avaient même la maternité. La caisse de sécurité sociale avait des services dans ces mêmes villes, aussi il y avait un bureau des impôts, un bureau pour voir des gens pour des questions d’électricité et du gaz (EDF-GDFF), la liste d’évolutions où tout se traduit par la disparition pure et simple des services publiques, en même temps que les charges fiscales sont transmises aux classes populaires, puisque les gouvernements favorisent l’ultra-libéralisme, que pour moi n’est rien d’autre que du malthusianisme.
Je ne serait pas lu, par les personnes qui sont le plus affectées par le changement ?
Par chance j’ai la collaboration des personnes qui connaissent l’informatique beaucoup mieux que moi, et donnent de bonnes nouvelles, du genre, hier vers neuf heures de matin il y avait dans ton forum seize personnes. Moi en fait je me contente de savoir qu’au moins une personne pourrait lire mes textes. La tentation de faire un livre, partage ma vie depuis plus de trente ans, en même temps, ne pas publier dans un forum, mais vendre, me semble à traire mes égaux ; car acheter un livre n’est pas une habitude des classes ouvrières, même si je connaît des copains « ouvriers » qui font tout leur possible pour réussir aller voir leur équipe à Barcelone ou Madrid.
Quand dans les années soixante certaines usines avaient plus de trente-mil emplois, il y avait un sentiment de camaraderie, même un sentiment de force pour le nombre de salariés, peut-être le syndicalisme avait un sens. Je sais qu’aujourd’hui le syndicalisme dans un pays comment la France ne représente que cinq ou sept pour cent des travailleurs. Hors dans ses conditions ; le code du travail n’aurait personne pour le défendre, si en plus, dès la basse les leader sont soigneusement filtrés, pour avoir au but du temps dans la gestion uniquement des personnes, moins revendicatives!
L’identité des personnes qui pour vivre obtiennent leur revenu d’un salaire, qui cela soit dans la fonction publique, (qu’aujourd’hui déjà n’est plus grande) ou dans les emplois privés, qu’aujourd’hui non plus sont importants. Oui parce le malthusianisme (mal nommé ultralibérales) fait passer le taux de chômage de cinq pour cent à vingt-cinq pour cent. Réduisant les classes ouvriers par la misère, fait qui lobotomise aussi la conscience de classes.
L’économie mondiale est supporté pour trois domaines :
le système primaire, qui produit des matières sans procès (le charbon) voir la production agricole comment le grain de blé.
le système secondaire, qui à pour charge la transformation des matières primaires, nous parlons des boulangeries, l’industrie de la sidérurgie, l’industrie de l’automobile, la production d’électricité, les stations de transformation du pétrole en essence ou diesel, etc.
Le système tertiaire , qui s’occupe des assurances, les banques.
Dans les années quatre vingt j’ai pris le temps de faire des graphiques pour montrer à partir des chiffres de l’INSEE les proportions d’apport des trois systèmes de production du PIB, que donnent des éclaircissements ou des lumières pour la compréhension du sujet sans besoin de se casser la tête (pour un ouvrier, qu’arrive fatigué de l’usine, ce n’est pas simple de lire des chiffres dans un tableau pour tirer des conclusions)
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
Dans les usines, quand il y a moins de personnes, il faut rendre efficient la ligne, pour cela la charge de travail est augmentée, d’après le docteur de la médecin du travail Laurent Garrouste présente toute une carrière dédiée à aider la classe ouvrière :
https://jorfsearch.steinertriples.ch/name/Laurent%20Garrouste
Le docteur Garrouste, avec bien d’autres professionnels de la santé savaient et travaillent sur les TMS, (Troubles Musculo-squelettiques) sujet que tout travailleur devrait connaître :
https://documentation.ehesp.fr/memoires/2015/mip/groupe%2023.pdf
Helas, j’insiste sur la misère intellectuelle à laquelle est induit tout travailler, surtout aujourd’hui où les postes de travail le plus physiques, sont occupés par des personnes, qui dans la chaîne de production parlent plutôt entre elles, et pour avoir assisté aux lieux de travail, je sais qu’ils parlent en leur langue qui est la langue d’où ils viennent, des pays du tiers monde. Pour avoir travaillé dans l’industrie, j’ai vu des travailleurs, que pour méconnaissance auraient arrivé à devenir des handicapés en moins de deux ans. Moi-même au sein du CHSCT, j’avais du mal à être présent dans des postes réservés à des personnes capables, (postes très physiques) des personnes qui comment moi immigré « nous » voulions montrer notre capacité à respecter les cadences exigés. En échange au but d’un temps, nous avions devenu des handicapés par cause des TMS
Je me souviens de la naïveté de beaucoup de gens, «les syndicaux sont des parasites» parce si bien il y a « des brebis galeuses » dans tous les domaines, il est possible que parmi les syndicalistes aille aussi des personnes qui abusent de leur privilèges. Avantages qui ne pourraient pas être proches de ceux qui siègent au palais Bourbon dans le septième arrondissement, ou au palais de Luxembourg dans le quartier d’à côté, Paris sixième.
Le syndicalisme est affaiblit par plusieurs facteurs, mais ils auraient un lien constante, la méconnaissance des travailleur et fonctionnaires, qui profitent de la loi, puisque les négociations syndicales bénéficient toute la classe ouvrière, donc payer la carte syndicale n’est pas nécessaire, les travailleurs peuvent donc éviter payer la carte tout en profitant de la lutte syndicale. C’est mesquin mais c’est un fait.
L’ultralibéralisme favorise la naissance du travail temporaire, car il faut adapter les emplois, aux incertitudes qui génère cette forme de « casino » qui est devenu le prix des marchandises exposées aux bourses de valeurs. Faire un contrat à durée indéfini n’est pas possible, car les clients peuvent tôt ou tard changer de fournisseur, au point aujourd’hui que des composant viennent de Singapour, de Taïwan, de Chine, lors de la pandémie La France c’est trouvé en rupture de certains matériaux parce qu’il y avait de la concurrence, où d’autres pays avaient passé commande avant. L’industrie automobile est arrivé à arrêter les chaînes de production pour manque de composant aussi. L’industrie pharmaceutique à fait que bon nombre de médicaments manquaient dans les pharmacies de la France et d’autres pays parce en plus la pandémie avait obligé à fermer les sites de production dans le monde.
Les inégalités économiques augmentent, les différents gouvernements transfèrent les efforts fiscaux des entreprises vers les travailleurs, la sécurité sociale est assumé progressivement non par par le budget de l’état, issu des prélèvement sociaux sur les feuilles de salaire.
Puisque l’ultra-libéralisme, réduit l’emploi, l’état, perds progressivement une source de budget issu des prélèvements sur le salaire, et pour réduire le poids fiscale sur les entreprises du CAC40 (exonérations pour plus de cent-quatre-vingt milliards d’euros) il faut faire naître le concept de la mutuelle, du ticket modérateur, etc., de la même manière qu’avait né la vignette, naisse aussi la CSG.
https://www.assurance-maladie.ameli.fr/qui-sommes-nous/histoire
Là il faut admettre que le syndicalisme n’avait plus le poids qu’avait à la sortie de la deuxième guerre mondiale, quand un ouvrier au départ «ajusteur-outilleur» fils d’Ambroise Croizat et de Louise Jeannette Piccino, nous parlons d’Ambroise Croizat, qui par le syndicalisme arrive à devenir pendant six ans député français, aussi Ministre du Travail donc deux ans au service de Charles de Gaulle, puis conduit le projet de naissance de la Sécurité Sociale en 1945. Aujourd’hui l’ultra-libéralisme ne permet plus que des gens de ce talant arrivaient à faire des lois en faveur de leur classe sociale.
Il est possible voir des ouvrier français regardent de travers aux ouvriers immigrés, d’où naisse dans des esprits tordus l’idée de canaliser le racisme pour donner naissance à des partis qu’en rien alors se différencièrent du parti d’Adolf Hitler, oui nous avons parmi la classe ouvrière, la base électorale des partis qui en sont conduits pour les BOURREAUX des classes populaires, qui sont en sois des gens très proches dans l’idéologie ultralibérale, avec libertaires, fascistes et anarchistes
PENSAMIENTO DE LOS TRABAJADORES
Sé bien que cuando escribo, mi texto es odiado por las clases populares, porque el contenido resaltará las deficiencias y la ignorancia de la gran mayoría.
Sin embargo, llevo más de treinta años intentando hacer pedagogía, pero soy consciente de que me topo con un muro, compuesto por una larga lista de factores, por lo que el desconocimiento de mis compañeros de fórmula es sólo la suma de muchos trabajos solapados (un pocas veces); a plena luz del día otras veces. Pero siguen siendo ganancias inesperadas de un número irrisorio de personas en comparación con la población que sufre las consecuencias, un aumento progresivo de los costes en salud, en educación, en forma de aumento de la carga fiscal.
Para comprender mejor la realidad, cada lector podría comprobar las diferencias en la calidad y el coste de todos los servicios públicos. En los años 80, muchos servicios podían obtenerse en pocos días en los ayuntamientos de ciudades de diez o quince mil habitantes. El hospital de este tipo de ciudad tenía incluso una sala de maternidad. La caja de seguridad social tenía servicios en estos mismos pueblos, también había una oficina de impuestos, una oficina de atención a la gente para temas de electricidad y gas (EDF-GDFF), la lista de urbanizaciones donde todo resulta en la desaparición pura y simple de los servicios públicos. , al mismo tiempo que las cargas fiscales se trasladan a las clases trabajadoras, ya que los gobiernos favorecen el ultraliberalismo, que para mí no es otra cosa que el malthusianismo.
Por suerte cuento con la colaboración de gente que sabe mucho mejor de informática que yo, y dan buenas noticias, como que ayer sobre las nueve de la mañana había dieciséis personas en tu foro. De hecho, me alegra saber que al menos una persona podría leer mis textos. La tentación de hacer un libro, que ha compartido mi vida durante más de treinta años, al mismo tiempo, no publicar en un foro, sino vender, me parece exprimir a mis iguales; porque comprar un libro no es un hábito de la clase trabajadora, aunque conozco amigos “de clase trabajadora” que hacen todo lo posible para lograr ir a ver a su equipo a Barcelona o Madrid.
Cuando en los años sesenta algunas fábricas tenían más de treinta mil puestos de trabajo, había un sentimiento de camaradería, incluso un sentimiento de fuerza por el número de empleados, tal vez el sindicalismo tenía un significado. Sé que hoy el sindicalismo en un país como Francia sólo representa el cinco o el siete por ciento de los trabajadores. Fuera en sus condiciones; El Código del Trabajo no tendría quién lo defienda, si además, de abajo hacia arriba se filtra cuidadosamente a los dirigentes, para tener como objetivo el tiempo en la gestión sólo de personas, ¡menos exigentes!
Es importante la identidad de las personas que, para vivir, obtienen sus ingresos de un salario, ya sea en el servicio público (que hoy ya no es grande) o en el empleo privado, que ya no es el caso. Sí, porque el malthusianismo (mal llamado ultraliberalismo) aumenta la tasa de desempleo del cinco por ciento al veinticinco por ciento. Reducir a las clases trabajadoras a través de la pobreza, hecho que también lobotomiza la conciencia de clase.
La economía global se apoya en tres áreas:
el sistema primario, que produce materiales sin proceso (carbón), ve la producción agrícola como el grano de trigo.
el sistema secundario, que se encarga de la transformación de las materias primas, estamos hablando de las panaderías, la industria siderúrgica, la industria del automóvil, la producción de electricidad, las estaciones de transformación del petróleo en gasolina o diésel, etc.
El sistema terciario, que se ocupa de los seguros y los bancos.
En los años ochenta me tomé el tiempo de hacer gráficos para mostrar a partir de cifras del INSEE las proporciones de contribución de los tres sistemas de producción del PIB, que aportan aclaraciones o ideas para comprender el tema sin tener que devanarse los sesos (para un trabajador que llega cansado). fábrica, no es fácil leer cifras en una tabla para sacar conclusiones)
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
En las fábricas, cuando hay menos gente, es necesario hacer eficiente la línea, para ello se aumenta la carga de trabajo, según el doctor en medicina del trabajo Laurent Garrouste presenta toda una carrera dedicada a ayudar a la clase trabajadora:
https://jorfsearch.steinertriples.ch/name/Laurent%20Garrouste
El Doctor Garrouste, junto con muchos otros profesionales de la salud, conoció y trabajó sobre los TME (Trastornos Musculoesqueléticos), un tema que todo trabajador debería conocer:
https://documentation.ehesp.fr/memoires/2015/mip/groupe%2023.pdf
Lamentablemente, insisto en la miseria intelectual a la que conduce todo trabajo, especialmente hoy en día cuando los puestos de trabajo más físicos están ocupados por personas que en la cadena de producción prefieren hablar entre sí, y por haber asistido en el lugar de trabajo, sé que hablan. en su idioma que es el idioma de donde vienen, de países del tercer mundo. Habiendo trabajado en la industria, he visto trabajadores que, por falta de conocimiento, habrían quedado discapacitados en menos de dos años. Yo mismo, dentro del CHSCT, tuve dificultades para estar presente en puestos reservados para personas capaces, (puestos muy físicos) personas que como yo inmigramos “nosotros” queríamos mostrar nuestra capacidad para respetar el ritmo requerido. A cambio de un tiempo, quedamos discapacitados debido a los TME.
Recuerdo la ingenuidad de mucha gente, "los sindicalistas son unos parásitos" porque si bien hay "ovejas malas" en todos los ámbitos, es posible que entre los sindicalistas también haya gente que abusa de sus privilegios. Ventajas que no podrían estar cerca de quienes se sientan en el Palacio Borbón en el distrito VII, o en el Palacio de Luxemburgo en el distrito vecino, París VI.
El sindicalismo se ve debilitado por varios factores, pero tendrían un vínculo constante, el desconocimiento de los trabajadores y funcionarios, que se aprovechan de la ley, ya que las negociaciones sindicales benefician a toda la clase trabajadora, por lo que no es necesario pagar la tarjeta sindical, el De este modo, los trabajadores pueden evitar pagar la tarjeta y beneficiarse de la lucha sindical. Es mezquino pero es un hecho.
El ultraliberalismo favorece el nacimiento del trabajo temporal, porque los empleos deben adaptarse a las incertidumbres que generan esta forma de “casino” que se ha convertido en el precio de los bienes expuestos en las bolsas. Hacer un contrato de duración indefinida no es posible, porque los clientes tarde o temprano pueden cambiar de proveedor, hasta el punto de que hoy los componentes provienen de Singapur, Taiwán, China, durante la pandemia Francia se quedó sin ciertos materiales porque había competencia, donde otros Los países habían realizado pedidos antes. La industria del automóvil también ha conseguido parar líneas de producción por falta de componentes. La industria farmacéutica provocó la falta de un gran número de medicamentos en las farmacias de Francia y de otros países porque la pandemia había obligado a cerrar centros de producción en todo el mundo.
Las desigualdades económicas aumentan, los diferentes gobiernos transfieren los esfuerzos fiscales de las empresas a los trabajadores, la seguridad social se asume poco a poco no a través del presupuesto estatal, sino a través de deducciones sociales en las nóminas.
Dado que el ultraliberalismo reduce el empleo, el Estado pierde progresivamente una fuente de presupuesto procedente de las deducciones sobre las nóminas, y para reducir la carga fiscal de las empresas del CAC40 (exenciones por más de ciento ochenta mil millones de euros) es necesario crear el concepto de mutualidad. , tarifas de usuario, etc., de la misma manera que nació la viñeta, también nació el CSG.
https://www.assurance-médie.ameli.fr/qui-sommes-nous/histoire
Aquí debemos admitir que el sindicalismo ya no tenía el peso que tenía al final de la Segunda Guerra Mundial, cuando un trabajador inicialmente "fabricante de herramientas" hijo de Ambroise Croizat y Louise Jeannette Piccino, estamos hablando de Ambroise Croizat, quien a través de El sindicalismo llegó a ser diputado francés durante seis años, también ministro de Trabajo durante dos años al servicio de Charles de Gaulle y luego lideró el proyecto para el nacimiento de la Seguridad Social en 1945. Hoy, el ultraliberalismo ya no permite que personas de este talento puedan hacer leyes a favor de su clase social.
Es posible ver a trabajadores franceses mirando de reojo a los trabajadores inmigrantes, de ahí la idea de canalizar el racismo para dar origen a partidos que en nada se diferenciaban del partido de Adolf Hitler, sí tenemos entre la clase trabajadora, la base electoral. de partidos que están dirigidos por los VERDUGOS de las clases populares, que son en sí mismos personas muy cercanas en ideología ultraliberal, a libertarios, fascistas y anarquistas.
Texte écrit en Français et traduit par Google à l'Espagnol
Je sais bien que lorsque j’écris, mon texte est détesté par les classes populaires, parce que le contenu va mettre en lumière, des déficiences, de la méconnaissance de grandes majorités.
Pourtant je cherche à faire de la pédagogie depuis plus de trente ans, mais je suis conscient de heurter une muraille, composée d’une longue liste de facteurs, donc l’ignorance de mes colistiers n’est que l’addition de nombreux travaux sournois (quelques fois) ; au plein jour d’autres fois. Mais toujours mannes par un nombre de personnes dérisoire par rapport à la population qui subis comment conséquences, une augmentation progressive des charges en santé, en éducation, sous forme de charge fiscale qu’augmente.
Pour mieux comprendre la réalité chaque lecteur pourrait vérifier les différences, dans la qualité et le coût de l’ensemble des services publiques. Dans les année quatre-vingt beaucoup de services pouvaient être obtenus en quelques jours dans la mairie de villes de dix ou quinze mille habitants. L’hôpital de ce genre de villes avaient même la maternité. La caisse de sécurité sociale avait des services dans ces mêmes villes, aussi il y avait un bureau des impôts, un bureau pour voir des gens pour des questions d’électricité et du gaz (EDF-GDFF), la liste d’évolutions où tout se traduit par la disparition pure et simple des services publiques, en même temps que les charges fiscales sont transmises aux classes populaires, puisque les gouvernements favorisent l’ultra-libéralisme, que pour moi n’est rien d’autre que du malthusianisme.
Je ne serait pas lu, par les personnes qui sont le plus affectées par le changement ?
Par chance j’ai la collaboration des personnes qui connaissent l’informatique beaucoup mieux que moi, et donnent de bonnes nouvelles, du genre, hier vers neuf heures de matin il y avait dans ton forum seize personnes. Moi en fait je me contente de savoir qu’au moins une personne pourrait lire mes textes. La tentation de faire un livre, partage ma vie depuis plus de trente ans, en même temps, ne pas publier dans un forum, mais vendre, me semble à traire mes égaux ; car acheter un livre n’est pas une habitude des classes ouvrières, même si je connaît des copains « ouvriers » qui font tout leur possible pour réussir aller voir leur équipe à Barcelone ou Madrid.
L’Ultra-libéralisme modifie l’identité des classes populaires
Quand dans les années soixante certaines usines avaient plus de trente-mil emplois, il y avait un sentiment de camaraderie, même un sentiment de force pour le nombre de salariés, peut-être le syndicalisme avait un sens. Je sais qu’aujourd’hui le syndicalisme dans un pays comment la France ne représente que cinq ou sept pour cent des travailleurs. Hors dans ses conditions ; le code du travail n’aurait personne pour le défendre, si en plus, dès la basse les leader sont soigneusement filtrés, pour avoir au but du temps dans la gestion uniquement des personnes, moins revendicatives!
L’identité des personnes qui pour vivre obtiennent leur revenu d’un salaire, qui cela soit dans la fonction publique, (qu’aujourd’hui déjà n’est plus grande) ou dans les emplois privés, qu’aujourd’hui non plus sont importants. Oui parce le malthusianisme (mal nommé ultralibérales) fait passer le taux de chômage de cinq pour cent à vingt-cinq pour cent. Réduisant les classes ouvriers par la misère, fait qui lobotomise aussi la conscience de classes.
L’ultralibéralisme dégrade les conditions de travailleurs
L’économie mondiale est supporté pour trois domaines :
le système primaire, qui produit des matières sans procès (le charbon) voir la production agricole comment le grain de blé.
le système secondaire, qui à pour charge la transformation des matières primaires, nous parlons des boulangeries, l’industrie de la sidérurgie, l’industrie de l’automobile, la production d’électricité, les stations de transformation du pétrole en essence ou diesel, etc.
Le système tertiaire , qui s’occupe des assurances, les banques.
Dans les années quatre vingt j’ai pris le temps de faire des graphiques pour montrer à partir des chiffres de l’INSEE les proportions d’apport des trois systèmes de production du PIB, que donnent des éclaircissements ou des lumières pour la compréhension du sujet sans besoin de se casser la tête (pour un ouvrier, qu’arrive fatigué de l’usine, ce n’est pas simple de lire des chiffres dans un tableau pour tirer des conclusions)
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
Dans les usines, quand il y a moins de personnes, il faut rendre efficient la ligne, pour cela la charge de travail est augmentée, d’après le docteur de la médecin du travail Laurent Garrouste présente toute une carrière dédiée à aider la classe ouvrière :
https://jorfsearch.steinertriples.ch/name/Laurent%20Garrouste
Le docteur Garrouste, avec bien d’autres professionnels de la santé savaient et travaillent sur les TMS, (Troubles Musculo-squelettiques) sujet que tout travailleur devrait connaître :
https://documentation.ehesp.fr/memoires/2015/mip/groupe%2023.pdf
Helas, j’insiste sur la misère intellectuelle à laquelle est induit tout travailler, surtout aujourd’hui où les postes de travail le plus physiques, sont occupés par des personnes, qui dans la chaîne de production parlent plutôt entre elles, et pour avoir assisté aux lieux de travail, je sais qu’ils parlent en leur langue qui est la langue d’où ils viennent, des pays du tiers monde. Pour avoir travaillé dans l’industrie, j’ai vu des travailleurs, que pour méconnaissance auraient arrivé à devenir des handicapés en moins de deux ans. Moi-même au sein du CHSCT, j’avais du mal à être présent dans des postes réservés à des personnes capables, (postes très physiques) des personnes qui comment moi immigré « nous » voulions montrer notre capacité à respecter les cadences exigés. En échange au but d’un temps, nous avions devenu des handicapés par cause des TMS
L’ultralibéralisme affaiblit le syndicalisme
Je me souviens de la naïveté de beaucoup de gens, «les syndicaux sont des parasites» parce si bien il y a « des brebis galeuses » dans tous les domaines, il est possible que parmi les syndicalistes aille aussi des personnes qui abusent de leur privilèges. Avantages qui ne pourraient pas être proches de ceux qui siègent au palais Bourbon dans le septième arrondissement, ou au palais de Luxembourg dans le quartier d’à côté, Paris sixième.
Le syndicalisme est affaiblit par plusieurs facteurs, mais ils auraient un lien constante, la méconnaissance des travailleur et fonctionnaires, qui profitent de la loi, puisque les négociations syndicales bénéficient toute la classe ouvrière, donc payer la carte syndicale n’est pas nécessaire, les travailleurs peuvent donc éviter payer la carte tout en profitant de la lutte syndicale. C’est mesquin mais c’est un fait.
L’ultralibéralisme favorise la naissance du travail temporaire, car il faut adapter les emplois, aux incertitudes qui génère cette forme de « casino » qui est devenu le prix des marchandises exposées aux bourses de valeurs. Faire un contrat à durée indéfini n’est pas possible, car les clients peuvent tôt ou tard changer de fournisseur, au point aujourd’hui que des composant viennent de Singapour, de Taïwan, de Chine, lors de la pandémie La France c’est trouvé en rupture de certains matériaux parce qu’il y avait de la concurrence, où d’autres pays avaient passé commande avant. L’industrie automobile est arrivé à arrêter les chaînes de production pour manque de composant aussi. L’industrie pharmaceutique à fait que bon nombre de médicaments manquaient dans les pharmacies de la France et d’autres pays parce en plus la pandémie avait obligé à fermer les sites de production dans le monde.
L’ultralibéralisme pousse les classes populaires vers l’extrême droite
Les inégalités économiques augmentent, les différents gouvernements transfèrent les efforts fiscaux des entreprises vers les travailleurs, la sécurité sociale est assumé progressivement non par par le budget de l’état, issu des prélèvement sociaux sur les feuilles de salaire.
Puisque l’ultra-libéralisme, réduit l’emploi, l’état, perds progressivement une source de budget issu des prélèvements sur le salaire, et pour réduire le poids fiscale sur les entreprises du CAC40 (exonérations pour plus de cent-quatre-vingt milliards d’euros) il faut faire naître le concept de la mutuelle, du ticket modérateur, etc., de la même manière qu’avait né la vignette, naisse aussi la CSG.
Les ordonnances des 4 et 19 octobre 1945
https://www.assurance-maladie.ameli.fr/qui-sommes-nous/histoire
Là il faut admettre que le syndicalisme n’avait plus le poids qu’avait à la sortie de la deuxième guerre mondiale, quand un ouvrier au départ «ajusteur-outilleur» fils d’Ambroise Croizat et de Louise Jeannette Piccino, nous parlons d’Ambroise Croizat, qui par le syndicalisme arrive à devenir pendant six ans député français, aussi Ministre du Travail donc deux ans au service de Charles de Gaulle, puis conduit le projet de naissance de la Sécurité Sociale en 1945. Aujourd’hui l’ultra-libéralisme ne permet plus que des gens de ce talant arrivaient à faire des lois en faveur de leur classe sociale.
Il est possible voir des ouvrier français regardent de travers aux ouvriers immigrés, d’où naisse dans des esprits tordus l’idée de canaliser le racisme pour donner naissance à des partis qu’en rien alors se différencièrent du parti d’Adolf Hitler, oui nous avons parmi la classe ouvrière, la base électorale des partis qui en sont conduits pour les BOURREAUX des classes populaires, qui sont en sois des gens très proches dans l’idéologie ultralibérale, avec libertaires, fascistes et anarchistes
L’ultralibéralisme réduit à néant la protection sociale
(texte en construction...)PENSAMIENTO DE LOS TRABAJADORES
Sé bien que cuando escribo, mi texto es odiado por las clases populares, porque el contenido resaltará las deficiencias y la ignorancia de la gran mayoría.
Sin embargo, llevo más de treinta años intentando hacer pedagogía, pero soy consciente de que me topo con un muro, compuesto por una larga lista de factores, por lo que el desconocimiento de mis compañeros de fórmula es sólo la suma de muchos trabajos solapados (un pocas veces); a plena luz del día otras veces. Pero siguen siendo ganancias inesperadas de un número irrisorio de personas en comparación con la población que sufre las consecuencias, un aumento progresivo de los costes en salud, en educación, en forma de aumento de la carga fiscal.
Para comprender mejor la realidad, cada lector podría comprobar las diferencias en la calidad y el coste de todos los servicios públicos. En los años 80, muchos servicios podían obtenerse en pocos días en los ayuntamientos de ciudades de diez o quince mil habitantes. El hospital de este tipo de ciudad tenía incluso una sala de maternidad. La caja de seguridad social tenía servicios en estos mismos pueblos, también había una oficina de impuestos, una oficina de atención a la gente para temas de electricidad y gas (EDF-GDFF), la lista de urbanizaciones donde todo resulta en la desaparición pura y simple de los servicios públicos. , al mismo tiempo que las cargas fiscales se trasladan a las clases trabajadoras, ya que los gobiernos favorecen el ultraliberalismo, que para mí no es otra cosa que el malthusianismo.
¿No me leerían las personas más afectadas por el cambio?
Por suerte cuento con la colaboración de gente que sabe mucho mejor de informática que yo, y dan buenas noticias, como que ayer sobre las nueve de la mañana había dieciséis personas en tu foro. De hecho, me alegra saber que al menos una persona podría leer mis textos. La tentación de hacer un libro, que ha compartido mi vida durante más de treinta años, al mismo tiempo, no publicar en un foro, sino vender, me parece exprimir a mis iguales; porque comprar un libro no es un hábito de la clase trabajadora, aunque conozco amigos “de clase trabajadora” que hacen todo lo posible para lograr ir a ver a su equipo a Barcelona o Madrid.
El ultraliberalismo modifica la identidad de las clases trabajadoras
Cuando en los años sesenta algunas fábricas tenían más de treinta mil puestos de trabajo, había un sentimiento de camaradería, incluso un sentimiento de fuerza por el número de empleados, tal vez el sindicalismo tenía un significado. Sé que hoy el sindicalismo en un país como Francia sólo representa el cinco o el siete por ciento de los trabajadores. Fuera en sus condiciones; El Código del Trabajo no tendría quién lo defienda, si además, de abajo hacia arriba se filtra cuidadosamente a los dirigentes, para tener como objetivo el tiempo en la gestión sólo de personas, ¡menos exigentes!
Es importante la identidad de las personas que, para vivir, obtienen sus ingresos de un salario, ya sea en el servicio público (que hoy ya no es grande) o en el empleo privado, que ya no es el caso. Sí, porque el malthusianismo (mal llamado ultraliberalismo) aumenta la tasa de desempleo del cinco por ciento al veinticinco por ciento. Reducir a las clases trabajadoras a través de la pobreza, hecho que también lobotomiza la conciencia de clase.
El ultraliberalismo degrada las condiciones de los trabajadores
La economía global se apoya en tres áreas:
el sistema primario, que produce materiales sin proceso (carbón), ve la producción agrícola como el grano de trigo.
el sistema secundario, que se encarga de la transformación de las materias primas, estamos hablando de las panaderías, la industria siderúrgica, la industria del automóvil, la producción de electricidad, las estaciones de transformación del petróleo en gasolina o diésel, etc.
El sistema terciario, que se ocupa de los seguros y los bancos.
En los años ochenta me tomé el tiempo de hacer gráficos para mostrar a partir de cifras del INSEE las proporciones de contribución de los tres sistemas de producción del PIB, que aportan aclaraciones o ideas para comprender el tema sin tener que devanarse los sesos (para un trabajador que llega cansado). fábrica, no es fácil leer cifras en una tabla para sacar conclusiones)
https://actualite.forumpro.fr/t60-economie-politique-et-subvention#713
En las fábricas, cuando hay menos gente, es necesario hacer eficiente la línea, para ello se aumenta la carga de trabajo, según el doctor en medicina del trabajo Laurent Garrouste presenta toda una carrera dedicada a ayudar a la clase trabajadora:
https://jorfsearch.steinertriples.ch/name/Laurent%20Garrouste
El Doctor Garrouste, junto con muchos otros profesionales de la salud, conoció y trabajó sobre los TME (Trastornos Musculoesqueléticos), un tema que todo trabajador debería conocer:
https://documentation.ehesp.fr/memoires/2015/mip/groupe%2023.pdf
Lamentablemente, insisto en la miseria intelectual a la que conduce todo trabajo, especialmente hoy en día cuando los puestos de trabajo más físicos están ocupados por personas que en la cadena de producción prefieren hablar entre sí, y por haber asistido en el lugar de trabajo, sé que hablan. en su idioma que es el idioma de donde vienen, de países del tercer mundo. Habiendo trabajado en la industria, he visto trabajadores que, por falta de conocimiento, habrían quedado discapacitados en menos de dos años. Yo mismo, dentro del CHSCT, tuve dificultades para estar presente en puestos reservados para personas capaces, (puestos muy físicos) personas que como yo inmigramos “nosotros” queríamos mostrar nuestra capacidad para respetar el ritmo requerido. A cambio de un tiempo, quedamos discapacitados debido a los TME.
El ultraliberalismo debilita el sindicalismo
Recuerdo la ingenuidad de mucha gente, "los sindicalistas son unos parásitos" porque si bien hay "ovejas malas" en todos los ámbitos, es posible que entre los sindicalistas también haya gente que abusa de sus privilegios. Ventajas que no podrían estar cerca de quienes se sientan en el Palacio Borbón en el distrito VII, o en el Palacio de Luxemburgo en el distrito vecino, París VI.
El sindicalismo se ve debilitado por varios factores, pero tendrían un vínculo constante, el desconocimiento de los trabajadores y funcionarios, que se aprovechan de la ley, ya que las negociaciones sindicales benefician a toda la clase trabajadora, por lo que no es necesario pagar la tarjeta sindical, el De este modo, los trabajadores pueden evitar pagar la tarjeta y beneficiarse de la lucha sindical. Es mezquino pero es un hecho.
El ultraliberalismo favorece el nacimiento del trabajo temporal, porque los empleos deben adaptarse a las incertidumbres que generan esta forma de “casino” que se ha convertido en el precio de los bienes expuestos en las bolsas. Hacer un contrato de duración indefinida no es posible, porque los clientes tarde o temprano pueden cambiar de proveedor, hasta el punto de que hoy los componentes provienen de Singapur, Taiwán, China, durante la pandemia Francia se quedó sin ciertos materiales porque había competencia, donde otros Los países habían realizado pedidos antes. La industria del automóvil también ha conseguido parar líneas de producción por falta de componentes. La industria farmacéutica provocó la falta de un gran número de medicamentos en las farmacias de Francia y de otros países porque la pandemia había obligado a cerrar centros de producción en todo el mundo.
El ultraliberalismo empuja a las clases trabajadoras hacia la extrema derecha
Las desigualdades económicas aumentan, los diferentes gobiernos transfieren los esfuerzos fiscales de las empresas a los trabajadores, la seguridad social se asume poco a poco no a través del presupuesto estatal, sino a través de deducciones sociales en las nóminas.
Dado que el ultraliberalismo reduce el empleo, el Estado pierde progresivamente una fuente de presupuesto procedente de las deducciones sobre las nóminas, y para reducir la carga fiscal de las empresas del CAC40 (exenciones por más de ciento ochenta mil millones de euros) es necesario crear el concepto de mutualidad. , tarifas de usuario, etc., de la misma manera que nació la viñeta, también nació el CSG.
Las órdenes del 4 y 19 de octubre de 1945
https://www.assurance-médie.ameli.fr/qui-sommes-nous/histoire
Aquí debemos admitir que el sindicalismo ya no tenía el peso que tenía al final de la Segunda Guerra Mundial, cuando un trabajador inicialmente "fabricante de herramientas" hijo de Ambroise Croizat y Louise Jeannette Piccino, estamos hablando de Ambroise Croizat, quien a través de El sindicalismo llegó a ser diputado francés durante seis años, también ministro de Trabajo durante dos años al servicio de Charles de Gaulle y luego lideró el proyecto para el nacimiento de la Seguridad Social en 1945. Hoy, el ultraliberalismo ya no permite que personas de este talento puedan hacer leyes a favor de su clase social.
Es posible ver a trabajadores franceses mirando de reojo a los trabajadores inmigrantes, de ahí la idea de canalizar el racismo para dar origen a partidos que en nada se diferenciaban del partido de Adolf Hitler, sí tenemos entre la clase trabajadora, la base electoral. de partidos que están dirigidos por los VERDUGOS de las clases populares, que son en sí mismos personas muy cercanas en ideología ultraliberal, a libertarios, fascistas y anarquistas.
El ultraliberalismo reduce a nada la protección social
(texto en construcción...)Sobre elecciones 2026
POR QUIÉN VOTAR
EN COLOMBIA
PARA EL 2026
EN COLOMBIA
PARA EL 2026
Write in Spanish and French
La situación política “no endémica” de Colombia, es suficientemente “delicada” para intentar en una frase lapidaría, explicar todo, ademas usar un enlace, permite al lector, observar hechos pruebas, sin tenerse que identificar, sin necesidad de exponer su ideología; quizás es pretencioso, suponer que personas que campan en posiciones que no les corresponde, logren identificar el error, es ambicioso, lo intentaré:
Los hechos
La monumental lista de hechos en donde la humanidad a soportado “todo tipo de violencias” va mucho más lejos de lo que sabemos. Solo por que al principio y siempre, menos de uno por cada cien seres humanos, “por capricho” se ha creído dueño y señor de la razón. Lo que ocurrió en Ruanda, Darfur, Kosovo, Las cruzadas, la segregación sangrienta en África del sur, en Estados Unidos, para no citar mucho más. Son demostraciones fehacientes del carácter sanguinario de una mínima cantidad de verdugos de los más indefensos. Una prueba del uso de la fuerza contra los demás por capricho de muy pocas personas, lo que ocurrió en los campos de concentración en Rusia llamados Goulags, o lo que ocurrió en los campos de concentración de Adolphe Hitler, debe ser incluido sin ninguna excepción. Por Colombia es igual.
Genocidio
Cuando se asesinan de manera sistemática varias personas, por una razón de tipo étnica, política, o cualquiera que sea la motivación, es un genocidio. La humanidad entera tiene las heridas, en la historia, algunas de las cuales son cicatrizadas de manera artificial, quien gana la guerra, quien gobierna, impone el relato. Pero si tomáramos el tiempo de leer algunos autores, que me inspiran cada día, lograríamos cambiar a un nivel riguroso de búsqueda selectiva de conocimientos.
Incluso las pruebas no valen para nada ante la ignorancia
Me incomoda no solo la plasticidad del cerebro, más aún, el filtro que usa el cerebro frente a la llegada de conceptos, cuando estos no coinciden con los patrones ideológicos, preestablecidos oficialmente por la interacción entre el medio ambiente y nosotros “yo tengo estas ideas, porque son las de mi familia” se habla de sesgos cognitivos, que se imponen frente a cualquier realidad probada.
Traición a la patria
Justamente, entramos en un tema, de importancia mayor, el nacionalismo, es una herramienta clave, es más Joseph Goebbels fue un elemento clave en el adoctrinamiento del pueblo hasta llevarlo a cometer un genocidio, en Colombia, toda persona sin excepción, que ha pasado por formación para llevar un uniforme al ser incorporado, pasará por obligación por un proceso de “adoctrinamiento” en el cual se le adiestra como se hace con los perros, para seguir ciegamente ordenes, incluso hasta el sacrificio de la vida.
Es casi imposible, el proceso inverso, es decir sacar de la mente de eses tipo de personas, una inmensa cantidad de conceptos y sobre todo de reflejos. Todo como en un paquete intitulado “lealtad y honor” Dudo que se pueda tener una conversación de nivel riguroso en epistemología con muchas personas que un día fueron “domados”, “adiestrados” para matar los enemigos del “maltusianismo” mal llamado liberalismo y otros nombres como “anarco-libertarismo”; me marco una persona que se disgusto conmigo porque para ella, no se puede confundir el “neo-liberalismo” ni con “ultra-liberalismo” menos con libertarismo, anarquía…. En fin durante casi una década, mantuve diálogos con enarco-capitalistas, durante un periodo de estudio de esas ideas, lo que me llevaría al fondo, o base ideológica de una lista grande de variables, que en fin de cuentas, se basan en Murray Rothbard, Ayn Rand, Milton Friedman, Ludwing von Mises, entre otros, pero a su vez estos toman las ideas de David Ricardo, Thomas Malthus, Jean Batiste Say, Vincent de Gournay y Adam Smith, por lo fundamental.
Cuando ya hemos leído algunas de estas personas, ya es algo simple evitar perderse debido a una táctica poderosa de distracción donde en realidad soportados por los sesgos cognitivos y el método Goebbels, vía los medios de comunicación y las redes sociales, se distribuye más que un mensaje, más que un discurso, !Se esta produciendo aquel discernimiento artificial que hace que los seres humanos durante siglos continúen a votar por sus verdugos, al parecer el pueblo de México, como el pueblo de Brasil, han logrado romper las cadenas de la manipulación.
En realidad se traiciona a la patria cuando se cree que dejando que las ideas del maltusianismo mal llamado libertarismo destruya los servicios publicas como la educación, la salud para enriquecer a menos de uno por ciento de la gente. En realidad es traición al pueblo colombiano cuando incluso se llega al genocidio para satisfacer la sed de sangre de un demente o un ambicioso, quienes solo en realidad desean ser cada vez más adinerados a “todo costo” incluso pasando por el genocidio (Escrito en Mapiripan Colombia el 3 de diciembre del año 2024 por (twitter) @gramophonefr o @gramophone89)
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D’ICI 2026
EN COLOMBIE
D’ICI 2026
La situation politique « non endémique » de la Colombie est suffisamment « délicate » pour tenter, dans une phrase lapidaire, de tout expliquer, également à l'aide d'un lien, permettant au lecteur d'observer les faits et les preuves, sans avoir à s'identifier, sans avoir à s'identifier. exposer leur idéologie; C'est peut-être prétentieux, de supposer que des personnes qui occupent des postes qui ne leur correspondent pas, parviennent à identifier l'erreur, c'est ambitieux, je vais essayer :
Les faits
La liste monumentale des événements au cours desquels l’humanité a enduré « toutes sortes de violences » va bien plus loin que nous ne le pensons. Seulement parce qu’au début et toujours, moins d’un être humain sur cent, « sur un coup de tête » s’est cru propriétaire et seigneur de la raison. Ce qui s'est passé au Rwanda, au Darfour, au Kosovo, aux Croisades, à la ségrégation sanglante en Afrique australe, aux États-Unis, pour n'en citer que quelques-uns. Ce sont des démonstrations fiables du caractère sanguinaire d’un nombre minimum de bourreaux des plus sans défense. Les preuves de l'usage de la force contre autrui au gré d'un très petit nombre de personnes, ce qui s'est passé dans les camps de concentration en Russie appelés Goulags, ou ce qui s'est passé dans les camps de concentration d'Adolphe Hitler, doivent être incluses sans exception. Pour la Colombie, c'est pareil.
Génocide
Lorsque plusieurs personnes sont systématiquement assassinées, pour une raison ethnique, politique ou quelle qu’en soit la motivation, il s’agit d’un génocide. L’humanité toute entière a des blessures dans l’histoire, dont certaines sont artificiellement guéries ; celui qui gagne la guerre, celui qui gouverne, impose l’histoire. Mais si nous prenions le temps de lire certains auteurs, qui m'inspirent au quotidien, nous pourrions passer à un niveau rigoureux de recherche sélective du savoir.
Même les preuves ne valent rien face à l’ignorance.
Je suis mal à l'aise non seulement avec la plasticité du cerveau, mais plus encore avec le filtre que le cerveau utilise face à l'arrivée de concepts, lorsque ceux-ci ne coïncident pas avec les schémas idéologiques, officiellement préétablis par l'interaction entre les l’environnement et nous. « J’ai ces idées, parce que ce sont celles de ma famille » on parle de biais cognitifs, qui s’imposent face à toute réalité avérée.
trahison du pays
Justement, nous abordons un sujet de plus grande importance, le nationalisme, c'est un outil clé, en plus, Joseph Goebbels a été un élément clé dans l'endoctrinement du peuple jusqu'à ce qu'il le conduise à commettre un génocide, en Colombie, chaque personne sans exception, qui a réussi l'entraînement au port de l'uniforme dès son incorporation, il passera nécessairement par un processus « d'endoctrinement » dans lequel il est entraîné comme on le fait avec les chiens, à suivre aveuglément les ordres, au point même de sacrifier sa vie.
Il est presque impossible, dans le sens inverse, d'extraire de l'esprit de ce type de personnes une immense quantité de concepts et, surtout, de réflexions. Tout comme dans un paquet intitulé « loyauté et honneur ». Je doute que l'on puisse avoir une conversation d'un niveau rigoureux en épistémologie avec beaucoup de gens qui un jour ont été « apprivoisés », « entraînés » pour tuer les ennemis du « malthusianisme » mal nommé libéralisme et d'autres noms comme « anarcho-libertarianisme » ; J'ai été marqué par une personne qui était dégoûtée de moi car pour lui, le « néolibéralisme » ne peut pas être confondu avec « l'ultralibéralisme » et encore moins avec le libertarisme, l'anarchie…. Quoi qu'il en soit, pendant près d'une décennie, j'ai entretenu des dialogues avec les énarcho-capitalistes, pendant une période d'étude de ces idées, qui me mènerait au fond, ou des bases idéologiques d'une longue liste de variables, qui, en fin de compte, sont basées sur Murray Rothbard, Ayn Rand, Milton Friedman, Ludwig von Mises, entre autres, mais à leur tour, ils reprennent fondamentalement les idées de David Ricardo, Thomas Malthus, Jean Batiste Say, Vincent de Gournay et Adam Smith.
Quand on a déjà lu certaines de ces personnes, c'est déjà quelque chose de simple pour éviter de se perdre à cause d'une puissante tactique de distraction où en réalité soutenue par des biais cognitifs et la méthode Goebbels, via les médias et les réseaux sociaux, elle est diffusée plus d'une fois. message, plus qu'un discours, qu'un discernement artificiel est en train de se produire qui fait que les êtres humains continuent pendant des siècles à voter pour leurs bourreaux, apparemment le peuple du Mexique, comme le peuple du Brésil, a réussi à briser les chaînes de la manipulation.
En réalité, le pays est trahi lorsqu’il croit que permettre aux idées du malthusianisme, appelé à tort libertarianisme, de détruire des services publics tels que l’éducation et la santé n’enrichit que moins d’un pour cent de la population. En réalité, c'est une trahison du peuple colombien que de recourir au génocide même pour satisfaire la soif de sang d'un fou ou d'un ambitieux, qui ne veut en réalité que devenir de plus en plus riche à « tout prix », même en passant par le génocide. à Mapiripan Colombie le 3 décembre 2024 par (twitter) @gramophonefr ou @gramophone89)
https://www.conte.harvard.edu/brain-plasticity/
https://theconversation.com/your-brains-built-in-biases-insulate-your-beliefs-from-contradictory-facts-150509
https://www.geo.fr/histoire/goebbels-et-le-grand-spectacle-de-la-propagande-nazie-200479
https://youtu.be/SnVC_ST0-sw?si=mHuBI2JYNLZbzFY2
Une autre histoire
La otra historia
Solo aparece en la historia el contenido que curiosamente podemos demostrar, es incompleto, es más, los graduados en ciencias puras, incluso economía, hoy se encuentran amputados de una parte no menos importante de la historia.
Al punto que al escuchar el discurso de personas con diploma de politologia de prestigiosas universidades, gracias a la semiotica y la semiología, ya percibimos un profundo “sesgo ideológico”
Surge la primera duda sobre el pensamiento que se impone, a la cultura universitaria, hablando de politologia, con rigor epistémico, siguiendo el esfuerzo de autores como Hermann SCHEER o Emile Durkheim, sobre todo en su capacidad de asumir la posición imparcial en ideología.
Es fundamental para entrar a asumir intereses generales, que necesariamente se opondrán a la superficialidad de cálculos electorales y financieros a muy corto plazo. Como son los intereses generales de personas como Ayn Rand o Murray Rothbard por los más destacados o ilustres representantes; de una corriente que hoy aparentemente podría considerarse diversificada pero que finalmente de una parte impone sus intereses económicos al resto de la humanidad. De otra parte se ocupa de anular toda posibilidad del nacimiento y desarrollo de ideologías contrarias.
La historia nos demuestra, como los títulos universitarios excluyen toda esperanza de que un matemático, un geologo, un odontologo, o cualquier ingeniero, pueda incluir en su discernimiento la lectura de la geopolítica de un Joseph Stiglitz, de un Ramón Grosfogel, Pedro Reygadas, un Frédéric Lordon o la apreciada Monique Pinçon-Charlot o su esposo.
Hablamos de concepciones muy rigurosas de una geopolítica, en donde se impone como prioridad el interés social y la preservacion del ambiente socioeconómico en absoluto respecto de una naturaleza donde la huella del humano debe ser lo menos destructiva posible. Estas razones reflejan el interés científico que no encontramos en Milton Friedman ni en Frédéric von Mises.
Para completar este monumental cuadro patético; es muy probable, un hecho en numerosos centros universitarios, que las políticas educativas, estén reservadas a idolatras consumados de una línea que “arbitrariamente” podríamos definir como “imperialismo occidental”. Quizás incluso en redes sociales se intente impedir que este tipo de contenido, reciba visibilidad. Además incluso en el sindicalismo, se filtra, la evolución favorable a quienes tuviesen afinidad (inconsciente) con Milton Friedman y Murray Rothbard.
Aquí se tiene la clave mayor para lograr por nepotismo y hegemonía, mantener una proporción de uno por ciento, muy felices, de controlar el mundo. Es decir que la historia nos muestra en ejemplo Francia, donde las empresas públicas, las administraciones, cada vez son menos visibles. Desaparece así la eficiencia del contacto humano remplazado por una máquina que jamás podrá brindarle una respuesta que siempre va de “marque 1 para… marque 2 para…. Enseguida lo obligan a quedarse media hora escuchando música, para que por ausencia de asistencia la máquina cuelgue. Al mismo tiempo que el peso del estado se transfiere descaradamente a las clases menos favorecidas. Exonerando cada vez más las multinacionales, lo prueba el trabajo temporal, la privatización del transporte de pasajeros, con un aumento vertiginoso de los privilegios de menos de 0,01 que son los parlamentarios que desde luego confeccionan las leyes contra los intereses de las mayorías y contra el futuro de la vida sobre la tierra.
Si quienes hoy asumen el trabajo de establecer contenido eminentemente educativo, continúan a arrodillarse ante la dictadura del capital, supongo, “lo deseo fervientemente” que sean juzgados por la historia, en todo caso, en treinta años de vida en Europa, siempre he intentado hacer pedagogía en ese sentido del interés general.
written by @gramophonefr from Twitter written by @gramophonefr on Twitter ..."languages are walls that attempt to separate peoples; allowing phenomenal levels of ignorance"...
"Languages are walls that attempt to separate peoples; allowing phenomenal levels of ignorance"
Only the content that we can curiously prove appears in history, it is incomplete, what is more, graduates in pure sciences, including economics, today find themselves cut off from a no less important part of history.
To the point that when listening to the speech of people with a degree in political science from prestigious universities, thanks to semiotics and semiology, we already perceive a deep "ideological bias"
The first doubt arises about the thinking that is imposed on university culture, speaking of political science, with epistemic rigor, following the efforts of authors such as Hermann SCHEER or Emile Durkheim, especially in their ability to assume an impartial position in ideology.
It is essential to assume general interests, which will necessarily oppose the superficiality of electoral and financial calculations in the very short term. Such as the general interests of people like Ayn Rand or Murray Rothbard, the most prominent or illustrious representatives of a current that today could apparently be considered diversified but which ultimately, on the one hand, imposes its economic interests on the rest of humanity. On the other hand, it is concerned with eliminating any possibility of the birth and development of contrary ideologies.
History shows us that university degrees exclude any hope that a mathematician, a geologist, a dentist, or any engineer, can include in his or her discernment the reading of the geopolitics of a Joseph Stiglitz, a Ramón Grosfogel, Pedro Reygadas, a Frédéric Lordon or the esteemed Monique Pinçon-Charlot or her husband.
We are talking about very rigorous conceptions of geopolitics, where the social interest and the preservation of the socioeconomic environment are imposed as a priority, in absolute respect to a nature where the human footprint must be as little destructive as possible. These reasons reflect the scientific interest that we do not find in Milton Friedman or in Frédéric von Mises.
To complete this monumental pathetic picture, it is very likely, a fact in many university centers, that educational policies are reserved for consummate idolaters of a line that we could “arbitrarily” define as “Western imperialism.” Perhaps even on social networks there is an attempt to prevent this type of content from receiving visibility. Furthermore, even in unionism, the favorable evolution of those who have (unconscious) affinity with Milton Friedman and Murray Rothbard is filtered.
Here lies the greatest key to achieving, through nepotism and hegemony, the maintenance of a proportion of one percent, who are very happy to control the world. In other words, history shows us the example of France, where public companies, administrations, are becoming less and less visible. Thus, the efficiency of human contact disappears, replaced by a machine that can never give you an answer, which always goes from “press 1 for… press 2 for….” You are then forced to stay for half an hour listening to music, only for the machine to hang up due to the lack of assistance. At the same time, the weight of the state is shamelessly transferred to the less favored classes. Multinationals are increasingly exonerating themselves, as is proven by temporary work, the privatization of passenger transport, with a vertiginous increase in the privileges of less than 0.01 who are the parliamentarians who of course make the laws against the interests of the majority and against the future of life on earth.
If those who today take on the task of establishing eminently educational content continue to kneel before the dictatorship of capital, I suppose, “I fervently hope” that they will be judged by history, in any case, in thirty years of life in Europe, I have always tried to educate in that sense of general interest
..."los idiomas son murallas que intentan separar los pueblos; permitiendo niveles fenomenales de ignorancia"... (@gramophonefr en Twitter) texto en español e Ingles
Solo aparece en la historia el contenido que curiosamente podemos demostrar, es incompleto, es más, los graduados en ciencias puras, incluso economía, hoy se encuentran amputados de una parte no menos importante de la historia.
Al punto que al escuchar el discurso de personas con diploma de politologia de prestigiosas universidades, gracias a la semiotica y la semiología, ya percibimos un profundo “sesgo ideológico”
Surge la primera duda sobre el pensamiento que se impone, a la cultura universitaria, hablando de politologia, con rigor epistémico, siguiendo el esfuerzo de autores como Hermann SCHEER o Emile Durkheim, sobre todo en su capacidad de asumir la posición imparcial en ideología.
Es fundamental para entrar a asumir intereses generales, que necesariamente se opondrán a la superficialidad de cálculos electorales y financieros a muy corto plazo. Como son los intereses generales de personas como Ayn Rand o Murray Rothbard por los más destacados o ilustres representantes; de una corriente que hoy aparentemente podría considerarse diversificada pero que finalmente de una parte impone sus intereses económicos al resto de la humanidad. De otra parte se ocupa de anular toda posibilidad del nacimiento y desarrollo de ideologías contrarias.
La historia nos demuestra, como los títulos universitarios excluyen toda esperanza de que un matemático, un geologo, un odontologo, o cualquier ingeniero, pueda incluir en su discernimiento la lectura de la geopolítica de un Joseph Stiglitz, de un Ramón Grosfogel, Pedro Reygadas, un Frédéric Lordon o la apreciada Monique Pinçon-Charlot o su esposo.
Hablamos de concepciones muy rigurosas de una geopolítica, en donde se impone como prioridad el interés social y la preservacion del ambiente socioeconómico en absoluto respecto de una naturaleza donde la huella del humano debe ser lo menos destructiva posible. Estas razones reflejan el interés científico que no encontramos en Milton Friedman ni en Frédéric von Mises.
Para completar este monumental cuadro patético; es muy probable, un hecho en numerosos centros universitarios, que las políticas educativas, estén reservadas a idolatras consumados de una línea que “arbitrariamente” podríamos definir como “imperialismo occidental”. Quizás incluso en redes sociales se intente impedir que este tipo de contenido, reciba visibilidad. Además incluso en el sindicalismo, se filtra, la evolución favorable a quienes tuviesen afinidad (inconsciente) con Milton Friedman y Murray Rothbard.
Aquí se tiene la clave mayor para lograr por nepotismo y hegemonía, mantener una proporción de uno por ciento, muy felices, de controlar el mundo. Es decir que la historia nos muestra en ejemplo Francia, donde las empresas públicas, las administraciones, cada vez son menos visibles. Desaparece así la eficiencia del contacto humano remplazado por una máquina que jamás podrá brindarle una respuesta que siempre va de “marque 1 para… marque 2 para…. Enseguida lo obligan a quedarse media hora escuchando música, para que por ausencia de asistencia la máquina cuelgue. Al mismo tiempo que el peso del estado se transfiere descaradamente a las clases menos favorecidas. Exonerando cada vez más las multinacionales, lo prueba el trabajo temporal, la privatización del transporte de pasajeros, con un aumento vertiginoso de los privilegios de menos de 0,01 que son los parlamentarios que desde luego confeccionan las leyes contra los intereses de las mayorías y contra el futuro de la vida sobre la tierra.
Si quienes hoy asumen el trabajo de establecer contenido eminentemente educativo, continúan a arrodillarse ante la dictadura del capital, supongo, “lo deseo fervientemente” que sean juzgados por la historia, en todo caso, en treinta años de vida en Europa, siempre he intentado hacer pedagogía en ese sentido del interés general.
The other story
written by @gramophonefr from Twitter written by @gramophonefr on Twitter ..."languages are walls that attempt to separate peoples; allowing phenomenal levels of ignorance"...
"Languages are walls that attempt to separate peoples; allowing phenomenal levels of ignorance"
Only the content that we can curiously prove appears in history, it is incomplete, what is more, graduates in pure sciences, including economics, today find themselves cut off from a no less important part of history.
To the point that when listening to the speech of people with a degree in political science from prestigious universities, thanks to semiotics and semiology, we already perceive a deep "ideological bias"
The first doubt arises about the thinking that is imposed on university culture, speaking of political science, with epistemic rigor, following the efforts of authors such as Hermann SCHEER or Emile Durkheim, especially in their ability to assume an impartial position in ideology.
It is essential to assume general interests, which will necessarily oppose the superficiality of electoral and financial calculations in the very short term. Such as the general interests of people like Ayn Rand or Murray Rothbard, the most prominent or illustrious representatives of a current that today could apparently be considered diversified but which ultimately, on the one hand, imposes its economic interests on the rest of humanity. On the other hand, it is concerned with eliminating any possibility of the birth and development of contrary ideologies.
History shows us that university degrees exclude any hope that a mathematician, a geologist, a dentist, or any engineer, can include in his or her discernment the reading of the geopolitics of a Joseph Stiglitz, a Ramón Grosfogel, Pedro Reygadas, a Frédéric Lordon or the esteemed Monique Pinçon-Charlot or her husband.
We are talking about very rigorous conceptions of geopolitics, where the social interest and the preservation of the socioeconomic environment are imposed as a priority, in absolute respect to a nature where the human footprint must be as little destructive as possible. These reasons reflect the scientific interest that we do not find in Milton Friedman or in Frédéric von Mises.
To complete this monumental pathetic picture, it is very likely, a fact in many university centers, that educational policies are reserved for consummate idolaters of a line that we could “arbitrarily” define as “Western imperialism.” Perhaps even on social networks there is an attempt to prevent this type of content from receiving visibility. Furthermore, even in unionism, the favorable evolution of those who have (unconscious) affinity with Milton Friedman and Murray Rothbard is filtered.
Here lies the greatest key to achieving, through nepotism and hegemony, the maintenance of a proportion of one percent, who are very happy to control the world. In other words, history shows us the example of France, where public companies, administrations, are becoming less and less visible. Thus, the efficiency of human contact disappears, replaced by a machine that can never give you an answer, which always goes from “press 1 for… press 2 for….” You are then forced to stay for half an hour listening to music, only for the machine to hang up due to the lack of assistance. At the same time, the weight of the state is shamelessly transferred to the less favored classes. Multinationals are increasingly exonerating themselves, as is proven by temporary work, the privatization of passenger transport, with a vertiginous increase in the privileges of less than 0.01 who are the parliamentarians who of course make the laws against the interests of the majority and against the future of life on earth.
If those who today take on the task of establishing eminently educational content continue to kneel before the dictatorship of capital, I suppose, “I fervently hope” that they will be judged by history, in any case, in thirty years of life in Europe, I have always tried to educate in that sense of general interest
Fundamentos ideologicos de política
Críticas al Gobierno de Gustavo Petro
Escrito el martes 17 de diciembre 2024 en Mapiripán Colombia por un anónimo
Es indispensable constatar la abismal diferencia entre los hechos tangibles y la retórica soportada por gran parte de la prensa colombiana. Durante la campaña presidencial, ya unos “seudo analistas” económicos comenzaron a instalar la falsedad con la intensión hipócrita de hacer desvanecer la confianza de los colombianos. La frase incluso fue retomada por los diversos medios:
… “antes de un año el dólar estará a 5000$ por encima del peso”…
Algunos retardados mentales, inclusive salieron con megáfonos en la vía en la Florida (colonia colombiana) gritando:
…“si votan por Petro Colombia se volvera Venezuela”…
Sólo se puede tratar de personas con deficiencias cognoscitivas, son evidentemente minusvalídos mentales, que se identifican con aquellos que atacaron el Capitolio en Washington el 6 de enero del 2021. Se trata de inválidos del discernimiento, que pueden solo equivocarse en ese género de terreno. La ideología manejada de manera violenta sangrienta como la maneja Javier Milei en Argentina o Emmanuel Macron en Francia. Es un discurso muy estupido pero es el solo mensaje valido porque es ferozmente hecho primicia por un volumen importante de medios de comunicación.
Gustavo Petro ha tenido dificultades para consolidar mayorías estables en el Congreso, puesto que las dos cámaras son per se una antesala destinada a impedir que el presupuesto sea destinado a obras de interés público, debido a que este siempre se ha elegido por votación comprada por los líderes narcotraficantes y paramilitares. No podemos pensar que la acción de la familia Rodríguez Orejuela o del Ñeñe Hernández son hechos aislados, por el contrario las más altas cortes, la fiscalia y la Procuraduría General están infiltradas, en un bloqué cuya fragmentación política logra bloquear recursos o voluntad para ejecutar políticas de forma eficiente. Este factor incluso es de orden circunstancial
Es absolutamente evidente que la aprobación de presupuestos, la contratación pública y los mecanismos de control pueden retrasar o anular incluso las directivas o iniciativas. Desde las altas cortes, donde lo que importa es más los intereses de los dueños de los bancos que los intereses generales y de futuro del país.
Las reuniones de 180 economistas en el FMI han decretado, como las agencias de notación Moody’s, Standard and Poor’s entre otras, que la gestión del gobierno del economista Gustavo Petro. De igual manera que el gerente de Ecopetrol, quien afirma el incremento de ganancias, igual el turismo, la distribución de tierras un paquete de medidas que ponen la moneda colombiana ante el mundo entero como una de las que résisté mejor en términos de devalucion e inflación. Hechos que no se ven suficientemente difundidos en los medios de comunicación. Lo que pone en evidencia el sesgo ideológico que le hace daño a Gustavo Petro; pero le hace un daño MONUMENTAL al futuro del pais.
En cuanto a las expectativas, la esperanza de cambio, debemos considerar que con un parlamento comprado por los dueños del país (Char, Gilinski, Sarmiento Agulo) es imposible legislar en favor de los intereses de las grandes mayorías. Pero es ingenuo y muy peligroso pensar que estamos ante un fenómeno endémico de Colombia. Puesto que Milei, Trump, Macron son dignos herederos de Margaret Thatcher.
El peligro mortal para el futuro lo confirma la IA, no podríamos continuar a ocultar la evidencia; los trabajos de personalidades de la sociología y la economía política de la talla de Joseph Stiglitz, David Card, Premios Nobel de Economía o de Frédéric Lordon y Monique Pinçon-Charlot a la dirección del prestigiosas Centro Francés CNRS, confortan la retórica que se opone a Frédéric von Hayek, Milton Friedman y Murray Rothbard.
El MALTHUSIANISMO mal llamado ultraliberalismo o liberalismo o libertarismo, tiene bases ideológicas incompatibles con el futuro de la vida sobre la tierra
Escrito el martes 17 de diciembre 2024 en Mapiripán Colombia por un anónimo
Es indispensable constatar la abismal diferencia entre los hechos tangibles y la retórica soportada por gran parte de la prensa colombiana. Durante la campaña presidencial, ya unos “seudo analistas” económicos comenzaron a instalar la falsedad con la intensión hipócrita de hacer desvanecer la confianza de los colombianos. La frase incluso fue retomada por los diversos medios:
… “antes de un año el dólar estará a 5000$ por encima del peso”…
Algunos retardados mentales, inclusive salieron con megáfonos en la vía en la Florida (colonia colombiana) gritando:
…“si votan por Petro Colombia se volvera Venezuela”…
Sólo se puede tratar de personas con deficiencias cognoscitivas, son evidentemente minusvalídos mentales, que se identifican con aquellos que atacaron el Capitolio en Washington el 6 de enero del 2021. Se trata de inválidos del discernimiento, que pueden solo equivocarse en ese género de terreno. La ideología manejada de manera violenta sangrienta como la maneja Javier Milei en Argentina o Emmanuel Macron en Francia. Es un discurso muy estupido pero es el solo mensaje valido porque es ferozmente hecho primicia por un volumen importante de medios de comunicación.
Gustavo Petro ha tenido dificultades para consolidar mayorías estables en el Congreso, puesto que las dos cámaras son per se una antesala destinada a impedir que el presupuesto sea destinado a obras de interés público, debido a que este siempre se ha elegido por votación comprada por los líderes narcotraficantes y paramilitares. No podemos pensar que la acción de la familia Rodríguez Orejuela o del Ñeñe Hernández son hechos aislados, por el contrario las más altas cortes, la fiscalia y la Procuraduría General están infiltradas, en un bloqué cuya fragmentación política logra bloquear recursos o voluntad para ejecutar políticas de forma eficiente. Este factor incluso es de orden circunstancial
Es absolutamente evidente que la aprobación de presupuestos, la contratación pública y los mecanismos de control pueden retrasar o anular incluso las directivas o iniciativas. Desde las altas cortes, donde lo que importa es más los intereses de los dueños de los bancos que los intereses generales y de futuro del país.
Las reuniones de 180 economistas en el FMI han decretado, como las agencias de notación Moody’s, Standard and Poor’s entre otras, que la gestión del gobierno del economista Gustavo Petro. De igual manera que el gerente de Ecopetrol, quien afirma el incremento de ganancias, igual el turismo, la distribución de tierras un paquete de medidas que ponen la moneda colombiana ante el mundo entero como una de las que résisté mejor en términos de devalucion e inflación. Hechos que no se ven suficientemente difundidos en los medios de comunicación. Lo que pone en evidencia el sesgo ideológico que le hace daño a Gustavo Petro; pero le hace un daño MONUMENTAL al futuro del pais.
En cuanto a las expectativas, la esperanza de cambio, debemos considerar que con un parlamento comprado por los dueños del país (Char, Gilinski, Sarmiento Agulo) es imposible legislar en favor de los intereses de las grandes mayorías. Pero es ingenuo y muy peligroso pensar que estamos ante un fenómeno endémico de Colombia. Puesto que Milei, Trump, Macron son dignos herederos de Margaret Thatcher.
El peligro mortal para el futuro lo confirma la IA, no podríamos continuar a ocultar la evidencia; los trabajos de personalidades de la sociología y la economía política de la talla de Joseph Stiglitz, David Card, Premios Nobel de Economía o de Frédéric Lordon y Monique Pinçon-Charlot a la dirección del prestigiosas Centro Francés CNRS, confortan la retórica que se opone a Frédéric von Hayek, Milton Friedman y Murray Rothbard.
El MALTHUSIANISMO mal llamado ultraliberalismo o liberalismo o libertarismo, tiene bases ideológicas incompatibles con el futuro de la vida sobre la tierra
Palabras mayores
People, these are BIG WORDS
Leute, das sind GROSSE WORTE
Gente esto son PALABRAS MAYORES
Todos nosotros sin excepción alguna; nos encuentros, como los de la noche del 14 de abril de 1912, en el interior del Royal Mail Ship (titanic)
Varias clases sociales convivimos, pero quienes (creen que el dinero abundante salva) no se preocupan, [..."Eux also subiront la même catastrophe mais avec beaucoup plus de pertes que ces mendiants qui savent survivre sans rien"...]
Übersetzung ins Deutsche
Wir alle ohne Ausnahme; Wir befinden uns, wie die Menschen in der Nacht des 14. April 1912, im Inneren des Royal Mail Ship (Titanic)
Verschiedene soziale Klassen existieren nebeneinander, aber diejenigen, die (glauben, dass viel Geld spart), machen sich keine Sorgen, [..."Eux hat auch die Même-Katastrophe hochgeladen, aber mit beaucoup plus pertes that ces mendiants qui savent survivre sans rien"...]
English
All of us, without exception, find ourselves, like the people of the night of April 14, 1912, inside the Royal Mail Ship (Titanic)
Several social classes live together, but those (who believe that abundant money saves) do not care, [..."They also suffered the same catastrophe but with much more loss than those beggars who managed to survive without money"...]
Leute, das sind GROSSE WORTE
Gente esto son PALABRAS MAYORES
Todos nosotros sin excepción alguna; nos encuentros, como los de la noche del 14 de abril de 1912, en el interior del Royal Mail Ship (titanic)
Varias clases sociales convivimos, pero quienes (creen que el dinero abundante salva) no se preocupan, [..."Eux also subiront la même catastrophe mais avec beaucoup plus de pertes que ces mendiants qui savent survivre sans rien"...]
Übersetzung ins Deutsche
Wir alle ohne Ausnahme; Wir befinden uns, wie die Menschen in der Nacht des 14. April 1912, im Inneren des Royal Mail Ship (Titanic)
Verschiedene soziale Klassen existieren nebeneinander, aber diejenigen, die (glauben, dass viel Geld spart), machen sich keine Sorgen, [..."Eux hat auch die Même-Katastrophe hochgeladen, aber mit beaucoup plus pertes that ces mendiants qui savent survivre sans rien"...]
English
All of us, without exception, find ourselves, like the people of the night of April 14, 1912, inside the Royal Mail Ship (Titanic)
Several social classes live together, but those (who believe that abundant money saves) do not care, [..."They also suffered the same catastrophe but with much more loss than those beggars who managed to survive without money"...]
Cerebros impermeables
LAS MURALLAS DE LA IGNORANCIA
Do working class people remain precarious because they want to?
Texto escrito el miércoles 18 de diciembre 2024 en Mapiripán; en Francés y traducido al Español
(Ein paar Zeilen zur intellektuellen Faulheit der Mehrheit der Bevölkerung, die Emmanuel Macron wählen wird, debo traducir al español con Google: ..."Unas líneas sobre la pereza intelectual de la mayoría de la población que votará por Emmanuel Macron"...)
(Français) Il est assez aisé de prouver que le moins de un pour cents des gens qu'on garde le pouvoir par hégémonie et népotisme, en réalité la seule chose qu'ils auraient fait est réussir par corruption a récupérer plus de la moitié de l'argent des impôts des plus pauvres pour édifier leur empire de cupidité.
(Deutsch) Es lässt sich ganz einfach beweisen, dass weniger als ein Prozent der Menschen, die durch Herrschaft und Vetternwirtschaft an der Macht blieben, in Wirklichkeit das Einzige, was sie erreicht hätten, darin bestand, durch Korruption mehr als die Hälfte der Geldsteuern von den Ärmsten zurückzufordern, um ihr Imperium aufzubauen der Gier.
(English) It is quite easy to prove that the less than one percent of people who have kept power through hegemony and nepotism, in reality the only thing they have achieved is to succeed through corruption in recovering more than half of the tax money of the poorest to build their empire of greed.
Nosotros, TODA la humanidad, estamos en el mismo barco; pero hoy y desde hace siglos, menos de una de cada cien personas en el planeta lo hace de una manera que ponga en peligro el futuro de toda la humanidad. Sé muy bien que estoy intentando un discurso inaudible, porque quienes lo sabrán, con nivel suficiente, no pueden luchar contra los muros de la ignorancia, estoy hablando de personas del nivel de Hermann SCHEER, John CHRISTENSEN, Monique PINCON -CHALOT, Frederic LORDON, Joseph STIGLITZ, en una lista no exhaustiva.
Incluso sé que en las personas más cercanas a mí afirman que mi comportamiento sigue siendo muy aislado, lo que sin duda me empuja a buscar con insistencia, en primer lugar, la razón clave por la que la gente avanza con tanta calma hacia lo que los científicos sabían de antemano que es un callejón sin salida para la vida sobre la tierra. Yo solo no investigo el tema, mi motivación crece aún más cuando descubro que los estudiosos (y estoy a años luz de su nivel de conocimiento) han realizado excelentes trabajos sobre la insensibilidad ideológica de ocho de cada diez seres humanos.
Habría cometido un error monumental, si irreflexivamente, hubiese ofendido la gente, por la indiferencia y el individualismo (patología que afecta a ochenta y nueve de cada cien trabajadores del planeta), hubiera querido echarnos la culpa a “nosotros los demás”, que en realidad somos quienes , por ignorancia “inducida”, somos capaces de olvidar las palabras del filósofo francés MARCEL CONCHE, quien dijo que la humanidad nunca ha conocido la democracia. Sí, la ignorancia del resto [de nosotros] está cuidadosamente planificada, e incluso denunciaré a aquellos en el sindicalismo que se atreven a decir que la política y el sindicalismo no tienen nada en común. Sé, desde hace años, que el discurso en el que se cuestiona el sindicalismo, es inmediatamente declarado un gran sacrilegio, por lo que corro el riesgo de ser excomulgado del sindicalismo. Pero volvamos a la raíz del tema de la insensibilidad ideológica de las grandes mayorías, que sigue siendo básicamente el problema principal.
A partir del momento en que más de noventa y nueve de cada cien ciudadanos serían engañados en su discernimiento e ideología, la hegemonía y el nepotismo tendrían por delante largas generaciones de vida sin preocuparse por las consecuencias de sus actos. De hecho, los trabajos de grandes estudiosos del tema, como François Dubet …« La decadencia de la institución »… texto donde el sociólogo François Dubet, trabaja sobre las condiciones sociales y la evolución de las clases trabajadoras. Explora en particular la forma en que las transformaciones sociales (como la precariedad y la atomización de las relaciones sociales) afectan la percepción de las clases trabajadoras frente a las ideologías dominantes. Según Dubet, las clases trabajadoras tienden a recurrir a identidades y valores que les permiten afrontar la crisis social y a menudo prefieren estar al margen de los debates ideológicos.
También podemos encontrar a Howard Becker …« Outsiders ».. (1963): sociólogo estadounidense, publicando en 1963, “Outsiders” es un libro de sociología revolucionario escrito por Howard S. Becker, un reconocido sociólogo estadounidense. El libro revolucionó el estudio de la desviación social, desafiando los puntos de vista tradicionales e introduciendo el concepto de "teoría del etiquetado". El trabajo de Becker explora cómo los grupos sociales crean y hacen cumplir reglas, y cómo los individuos que violan estas reglas son etiquetados como "forasteros" o "desviados". Becker nos habla de la teoría del etiquetado: sostiene que la desviación no es inherente al comportamiento de un individuo, sino que es creada por el proceso de etiquetado.
Cuando un grupo define un acto como desviado, se vuelve desviado. Emprendedores morales: Introduce el concepto de “emprendedores morales”, individuos que promueven y hacen cumplir activamente las normas morales, a menudo etiquetando y estigmatizando a quienes las violan. La desviación como proceso social: enfatiza que la desviación no es una característica fija de un individuo, sino más bien un proceso dinámico moldeado por interacciones y etiquetas sociales. Interaccionismo simbólico: el libro aplica los principios del interaccionismo simbólico, enfatizando la importancia de los símbolos, significados e interacciones en la configuración de la realidad social.
Becker es conocido por su trabajo sobre la desviación y la marginación. Aunque su obra no aborda específicamente la insensibilidad ideológica de las clases trabajadoras, ofrece conceptos útiles para comprender cómo ciertos grupos sociales (incluidas las clases trabajadoras) pueden ser excluidos de los debates dominantes, recurriendo así a valores y creencias que los protegen. apartarlos de la ideología dominante… (trabajo en recopilar el aporte de otros autores)
David Harvey Neoliberalismo: Historia de una ideología económica (2005). Como geógrafo y teórico social, Harvey ha trabajado sobre cómo el neoliberalismo y los cambios económicos globales han impactado a las clases trabajadoras. Aborda la cuestión de la "dimisión" y cómo la crisis ideológica ha sido exacerbada por el dominio de la ideología neoliberal, que dificulta el compromiso ideológico de las clases trabajadoras para enfrentar un mundo económico que está fuera de su control.
Podríamos hacer una especie de apología de la obra de David Harvey, si hablamos de la mano invisible de Adam Smith, en el sentido de que la humanidad se encuentra demasiado enfrentada fuerzas fuertes, que convergen a favor del capital. Al tener el suficiente cuidado de escuchar a personas de indiscutible nivel en la materia, me vienen a la mente dos palabras que son nepotismo y hegemonía, para decirlo al público más amplio, hay que convocar muy bien- parábolas conocidas en libros de alto nivel en religión. El padre siempre ha estado en los consejos de administración de las empresas más grandes del mundo, por lo que el hijo automáticamente tiene las mismas relaciones y las mismas oportunidades.
Dicho de otra manera, los hijos de familias empobrecidas lograrían como máximo (en el mejor de los casos) tener un bachillerato, por lo que los ingresos se acercarían al salario mínimo, en empleos que sólo se ofrecen para empresas de trabajo temporal. Mientras que el hijo del CEO, el CO de las empresas más grandes, se graduará en las universidades más grandes (porque el nivel de ingresos de los padres podrá pagar) y, por lo tanto, comenzará a recibir un salario promedio diez o incluso veinte veces mayor. la de los niños precarios por el capitalismo. Esta realidad tangible es en parte lo que Smith llamó la mano invisible. Un aporte interesante de David Harvey con el que estoy completamente de acuerdo, es esta intención de quitar la máscara del neoliberalismo, ya que su fuerza se adquiere en gran medida, cuando la frontera entre gobernanza y sistema bancario, desde hoy la gestión de los países más influyentes del planeta está en manos de una especie de marionetas o marionetas al servicio del capital
Esta realidad tangible es en parte lo que Smith llamó la mano invisible. Un aporte interesante de David Harvey con el que estoy completamente de acuerdo, es esta intención de quitar la máscara del neoliberalismo, ya que su fuerza se adquiere en gran medida, cuando la frontera entre gobernanza y sistema bancario, desde hoy la gestión de los países más influyentes del planeta está en manos de una especie de marionetas o marionetas al servicio del capital. Cuando no se trata de arribistas de la talla de Donald Trump o Emmanuel Macron, las instituciones se encuentran, por tanto, bajo control bancario.
Esto permite sobre todo la sostenibilidad de una normatividad acomodada que favorezca al sistema financiero globalizado. Estamos ante libertarios, que no tienen el menor pudor a la hora de destruir el contrato social en esta carrera por la rentabilidad donde el desempleo es una variable, que mantendrá el mercado laboral sin cualificación al precio más bajo. (si no quieres trabajar, vendrán decenas de otros inmigrantes a hacerlo) En esto mi posición quizás sea opuesta a la de David Harvey. Incluso diría, por lo que observo, que los libertarios se mantienen en sus casillas, en contra de lo que se quería en Bretton Woodsen 1945 bajo el nombre de Acuerdo General sobre Aranceles Aduaneros y Comercio , proceso iniciado en 1947 con la Société du Mont Pèlerin donde se reunieron Mises, Hayek, Rocket entre otros, quienes son considerados por los anarco-libertarios como sus gurús.
Donde coincido fácilmente con Harvey es en esta visión de destrucción salvaje, con un genocidio programado en la evolución retrógrada de las regulaciones laborales, en una acelerada desregulación del derecho, una privatización salvaje de los servicios públicos, que durante mucho tiempo fueron un baluarte legítimo contra la especulación, sobre el precio de los servicios de electricidad, agua, telefonía, transporte público. Etc., aunque el keynesianismono es una panacea, al menos bajo su regulación existía el respeto al contrato social. Estamos hablando de los conceptos que fanáticos de la talla de Donald Trump o Emmanuel Macron están tratando de hacer desaparecer.
Me hubiera gustado añadir al trabajo de David Harvey, que tiene la particularidad de una mirada muy amplia sobre los daños del “neomalthusianismo” al lograr considerar cómo en un solo corpus tanto la política de Ronald Reagan, Margaret Thatcher, la obra del general Pinochet tras el golpe de Estado orquestado por Estados Unidos en 1973, no caería en angelismo al pensar que se trata de personas sin ninguna relación. Ya que a pesar de todo hay una cosa en común, y no menos importante, una guerra de ideas, donde toda idea de clase social precaria es desangrada, conduciendo más que a la esclavitud, a la extinción de la vida en la tierra.
Hay un concepto abordado por David Harvey, que en mi opinión es muy relevante, cuando frente al público en general, todo parece suceder accidentalmente, incluso sin ninguna coordinación, existe "un deseo de artificialmente borrar» esta diversidad de caminos hacia el anarco-libertarismo; aunque es clave para el análisis epistémico, encontrar las diferencias geopolíticas que existen entre el golpe de Estado de 1973 contra Salvador Allende en Chile, las políticas deRonald Reagan o la de Margaret Thatcher, o incluso Jair Bolsonaro en Brasil, o incluso Viktor Orban en Hungría, hasta el final de las cuentas Son hechos que se suceden entre sí, con el advenimiento de los dos períodos de gobernación de Emmanuel Macron, o la llegada a la presidencia de Argentina de Javier Milei Hay Harvey. Subraya la tendencia de estas minorías de una burguesía en el poder a dominar la destrucción de la capacidad del Estado para tener el control, nada sorprendente cuando estudiamos sus fuentes de inspiración entre otras. Murray Rothbard y Ayn Rand.
Porque la privatización elimina cualquier posibilidad de tener el más mínimo medio de regular el precio al consumidor, estamos hablando del precio de antaño llamado “servicios públicos"; es decir, donde había un paciente por salud, hoy hay un solo cliente, que podrá pagar la salud hasta sus posibilidades, pagar el complemento de salud (una mutual empresa privada que no existía hasta los años 80). Donde había servicios de luz, gas o telefonía, regulados en precio como servicio público, hoy son “solo clientes” donde el precio pasa incluso a estar prohibido para los más vulnerables. Donde antes había atención pública por parte de seres humanos en las distintas oficinas de salud, hacienda pública, ayuntamiento, hoy hay una máquina automática, que limita las opciones, llevándote a renunciar al servicio de manera violenta porque la máquina te mantiene ocupado durante un tiempo. un cuarto de hora o media hora, luego cuelga al final de ese tiempo. Los ejemplos estarían disponibles para llenar una enciclopedia.
Aquí es donde deberíamos hacernos las preguntas correctas (Hermann SCHEER) el peso de las cargas, los impuestos siguen aumentando, para los más frágiles, pero los más frágiles (también frágiles de cerebro) siguen creyendo que La clase política tiene los medios para ayudarlos. Gran error, ya que en los ministerios, en el parlamento, en los que están en el poder, hay enviados directamente del sistema bancario y (financiero) internacional. Un extracto de un texto sobre el trabajo de Harvey:
...“Tercer punto de inflexión frente a ciertos discursos convencionales: el deseo de no borrar artificialmente la diversidad de caminos hacia el neoliberalismo. Margaret Thatcher y Ronald Reagan no tomaron el mismo camino; no más que Francia y China. David Harvey no deja la historia en paz. No sólo tiene en cuenta las especificidades nacionales de los procesos de neoliberalización, sino que también sabe señalar ciertas regularidades. En particular ésta: “la neoliberalización también crea las condiciones
para la formación de clases, y a medida que el poder de una clase se fortalece, esta última tiende […] a querer liberarse de su dependencia del poder estatal, así como reorientar el poder del Estado según líneas neoliberales”. Por lo tanto, entendemos que no siempre son las mismas clases dominantes las que han impulsado el neoliberalismo: a veces es la comunidad empresarial; A veces, como en el caso francés, es la nobleza estatal la que está activa en primera línea...
Christophe Guilluy Francia periférica (2014) Geógrafo y ensayista, Christophe Guilluy es uno de los investigadores que se hizo conocido por su trabajo sobre la "Francia periférica", donde describe un declive ideológico y político de las clases trabajadoras, particularmente en las zonas rurales y en los suburbios. Analiza cómo la distancia de estas clases de los centros urbanos y las élites intelectuales ha llevado a una forma de insensibilidad hacia las principales ideologías contemporáneas, que parecen fuera de su alcance en relación con sus preocupaciones inmediatas.
A partir de ahora, dos Francias se ignoran y se enfrentan: la Francia de las metrópolis, brillante escaparate de una globalización feliz, donde conviven ejecutivos e inmigrantes, y la Francia periférica de las ciudades pequeñas y medianas, de las zonas rurales alejadas de la las áreas de empleo más populares. Nadie habla nunca de este último, que concentra al 60% de la población francesa. Esta Francia, dejada atrás y fácilmente despreciada, ahora se asocia con la precariedad social y el voto del Frente Nacional. ¿Cómo llegamos aquí? ¿Por qué hemos sacrificado a las clases trabajadoras en el altar de una globalización voluntaria y desigual, antítesis de los valores reivindicados por la clase política? ¿Cómo puede esta Francia popular cambiar la situación y recuperar su primer lugar? En este ensayo polémico y contundente, Christophe Guilluy elabora un diagnóstico intransigente de nuestro país y esboza los contornos de una contra sociedad por venir... Estudio de creación Flammarion Flammarion, París, 2014
La cuestión de la insensibilidad ideológica de las clases trabajadoras es estudiada por varios investigadores en diversos campos, en particular en la sociología, las ciencias políticas, la psicología social y la filosofía política. A continuación se presentan algunos investigadores y escuelas de pensamiento que abordan, directa o indirectamente, este fenómeno y las razones de esta insensibilidad ideológica.
La cuestión de la insensibilidad ideológica de las clases trabajadoras es estudiada por varios investigadores en diversos campos, en particular en la sociología, las ciencias políticas, la psicología social y la filosofía política. A continuación se presentan algunos investigadores y escuelas de pensamiento que abordan, directa o indirectamente, este fenómeno y las razones de esta insensibilidad ideológica.
Cuando tenga tiempo agregaré en esta nota un poco del trabajo magistral de Pierre Bourdieu, además del trabajo de Eric Fassin, Michel Pialoux, Loic Wacquant y Catherine Malabou.
(trabajo en progreso...)
Nous l’humanité TOUTE ENTIÈRE, nous nous trouvons dans le même bateaux ; mais aujourd’hui et depuis des siècles, moins de un de chaque cents personnes, sur la planète, le font de manière a mettre en péril l’avenir de l’humanité entière . Je sais pertinemment que je tente un discours inaudible, parce que ceux et celles qui le savaient, avec suffisamment de niveau déjà ne peuvent pas lutter contre des murailles d’ignorance, je parle des personnes du niveau de Hermann SCHEER , John CHRISTENSEN, Monique PINCON-CHALOT, Frederic Lordon, Joseph STIGLITZ, dans une liste non exhaustive.
Je sais même que dans mon plus proche entourage, mon comportement reste très isolé, cela me pousse indéniablement à chercher avec insistance, tout d’abord, la raison clé pour laquelle, les gens avanceraient d’une manière si tranquille vers ce que les scientifiques savaient à l’avance est un chemin sans issu. Moi tout seul ne cherche pas sur le sujet, ma motivation est encore plus croissante dès lorsque je trouve que des érudites, (et je suis à des années lumière de leur niveau de connaissance), auraient fait des excellents travaux sur l’insensibilité idéologique de huit de chaque dix êtres humains.
J’ai plusieurs fois écris sur l’approche multidisciplinaire «indispensable» condition sine quoi non, pour réussir à réaliser un travail rigoureux du point de vue épistémique; en fait il aura fallu, le travail de la philosophie politique («Les six livres de la République» de Jean Bodin, La République de Platon, An Essay on the Principle of Population de Thomas Malthus, et quelques livres et auteurs contemporains comment Frederic Lordon, Monique Pinçon-charlot ou Thomas Piketty, (entre autres, bien que je ne soit pas un lecteur des romains) pour comprendre que les écrits de Ayn Rand, Murray Rothbard, ainsi que les idées de leurs acolytes, sont des romans sans aucune réel liaison avec la réalité.
J’aurais commis une erreur monumental, si de manière irréfléchie, offusqué par l’indifférence et l’individualisme (pathologie qui affecte quatre-vingt-neuf de chaque cent travailleurs sur la terre), alors j’aurais voulu faire supporter la faute sur « nous autres » qui en réalité, sommes qui, pour méconnaissance « induite » sommes capables d’oublier les paroles du philosophe français MARCEL CONCHE, qui disait que l’humanité n’a jamais connue la démocratie. Oui l’ignorance de nous autres, elle est soigneusement programmée, et je vais même dénoncer ceux et celles dans les syndicalisme, qu’osent dire que la politique et le syndicalisme n’auraient rien en commun. Je sais depuis des années, que le discours, où le syndicalisme soit mise en cause, est tout de suite, déclaré un sacrilège majeur, je risque l’excommunions du syndicalisme pour cette raison. Mais revenons au fond du problème de l’insensibilité idéologique des grandes majorités qui reste à la base le principal problème.
Du moment ou plus de quatre-vingt-dix-neuf de chaque cents citoyens, seraient induits dans l’erreur dans le discernement et leur idéologie, l’hégémonie et le népotisme auraient devant eux des longues générations de vie sans se soucier des conséquences de leurs actes. En effet les travaux de grands érudites dans la matière tel que François Dubet Le déclin de l'institution, Sociologue, François Dubet a travaillé sur les conditions sociales et l’évolution des classes populaires. Il explore notamment la manière dont les transformations sociales (comme la précarisation et l'atomisation des relations sociales) affectent la perception des classes populaires face aux idéologies dominantes. Selon Dubet, les classes populaires ont tendance à se replier sur des identités et des valeurs qui leur permettent de faire face à la crise sociale, ils préfèrent être souvent en marge des débats idéologiques
...«À vrai dire, certaines expériences semblent plus «dramatiques » ou significatives que d'autres si l'on en juge par le titre de certains chapitres ou sous-chapitres : « une expérience assiégée » pour les professeurs, « les pôles de l'expérience » pour les infirmières, « une expérience critique » pour les travailleurs sociaux, alors que les instituteurs ont droit à « une mutation maîtrisée.
L'ambition théorique de cet ouvrage est élevée puisqu'on est en droit de le lire comme le troisième volume d'une « théorie générale » dont le premier volume a été consacré à une théorie de l'acteur (« Sociologie de l'expérience », 1994) et dont le deuxième volume a présenté une théorie de la structure sociale (« Dans quelle société vivons-nous ? », 1998). Selon François Dubet lui-même, « ce livre peut être lu comme une théorie de la socialisation s'efforçant d'articuler les deux premiers types de problèmes ». C'est déjà dire l'importance de ce livre, et une incitation à le lire attentivement, pour qui sait la place occupée par François Dubet dans la sociologie française, celle de l'École en particulier.
Cependant l'essentiel n'est sans doute pas là pour François Dubet, et il l'écrit en toutes lettres à la fin de son introduction. C'est ce qui donne tout son sens à ce livre qui n'est pas seulement un ouvrage à ambition théorique élevée mais aussi un « livre d'intervention » (ce qui est rare et donc précieux) : « En France, une grande partie des intellectuels et des acteurs sociaux ne peuvent se défaire d'une irrépressible mélancolie face au déclin des institutions qui ont forgé une grande part de l'identité nationale et des représentations de la citoyenneté nichées dans les histoires et identités les plus personnelles et les plus intimes parfois. Sans suggérer de solution miraculeuse, j'aimerais que ce livre permette de résister à une double tentation : celle de l'impossible retour à un âge d'or qui n'a jamais existé, et celle de la dissolution du travail personnel sur autrui dans un simple enchevêtrement de services
La question posée est celle de savoir de quelles connaissances, de quelles informations les responsables politiques ont besoin pour éclairer leur réflexion et mettre en place des actions en ce domaine. Le projet de l'OCDE (et donc les textes de l'ouvrage) est imprégné de la conviction que la recherche en Éducation a quelque chose à apporter aux décideurs ; il est aussi empreint de la conviction que la responsabilité des chercheurs ne s'arrête pas à la fabrication de chiffres mais doit expliciter le plus possible leurs fondements théoriques et leur mode de construction. D'où un ouvrage qui mêle de façon originale, voire inédite, considérations théoriques, méthodologiques et politiques, autour de la mesure des inégalités dans les systèmes éducatifs. En particulier, l'ouvrage propose plusieurs textes théoriques (ceux de L. Benadusi et D. Meuret), qui s'efforcent de faire le lien entre des conceptions de la justice (chez les théoriciens des sciences politiques) et des théories sociologiques des inégalités (chez les sociologues de l'éducation) d'une part, et d'autre part la conception d'indicateurs statistiques pertinents pour les appréhender, que le politique pourrait, en toute connaissance de cause et selon sa conception de l'égalité, choisir d'utiliser»…
Nous pouvons trouver aussi Howard Becker Outsiders (1963): Sociologue américain, publié en 1963, « Outsiders » est un livre de sociologie révolutionnaire de Howard S. Becker, un sociologue américain de renom. Le livre a révolutionné l’étude de la déviance sociale, en remettant en question les points de vue traditionnels et en introduisant le concept de « théorie de l’étiquetage ». Le travail de Becker explore la manière dont les groupes sociaux créent et appliquent des règles, et comment les individus qui violent ces règles sont étiquetés comme « outsiders » ou « déviants ». Becker nous parle de la Théorie de l’étiquetage : il soutient que la déviance n’est pas inhérente au comportement d’un individu, mais qu’elle est plutôt créée par le processus d’étiquetage. Lorsqu’un groupe définit un acte comme déviant, il devient déviant. Entrepreneurs moraux : Il introduit le concept d’« entrepreneurs moraux », des individus qui promeuvent et appliquent activement les normes morales, souvent en étiquetant et en stigmatisant ceux qui les violent. La déviance en tant que processus social : Il souligne que la déviance n’est pas une caractéristique fixe d’un individu, mais plutôt un processus dynamique façonné par les interactions sociales et l’étiquetage. Interactionnisme symbolique : Le livre applique les principes de l’interactionnisme symbolique, soulignant l’importance des symboles, des significations et des interactions dans la formation de la réalité sociale.
Nous connaissons déjà une doctrine psychologique associée à l’école de Chicago, voir les concepts traités aussi par G. H. Mead, (1977) , c’est un concept resté très discret, voir invisible, réservé aux échanges verbeux, peut-être il faut remonter à 1937 où Herbert Blumer en parlerait sous plusieurs dénominations comment « analyse stigmatique » « théorie de la réaction sociale » dans les cercles très fermés de la sociologie et la psychologie sociale des États Unis des années 60 (Manis et Meltzer 1972)
Pour conclure le sujet de l’étiquetage, il y a une stigmatisation quelques fois très violente sur une partie de la population, qui réussi à amoindrir ceux et celles qui vont finir pour croire qu’ils sont une capacité « inférieure » mais justement c’est le travail des chercheurs d’établir que c’est de la ségrégation, de la discrimination, donc le libre « Injustice épistémique de Miranda Fricker entre autres parle avec beaucoup d’éloquence.
Becker est connu pour ses travaux sur la déviance et la marginalisation. Bien que son travail ne porte pas spécifiquement sur l'insensibilité idéologique des classes populaires, il offre des concepts utiles pour comprendre comment certains groupes sociaux (dont les classes populaires) peuvent être exclues des débats dominants, se repliant alors sur des valeurs et des croyances qui les protègent de l'idéologie dominante
David Harvey Le néolibéralisme : Histoire d'une idéologie économique (2005). En tant que géographe et théoricien social, Harvey a travaillé sur la manière dont le néolibéralisme et les changements économiques mondiaux ont impacté les classes populaires. Il aborde la question de la "résignation" et de la façon dont la crise idéologique s’est exacerbée par la domination de l'idéologie néolibérale, qui rend difficile l'engagement idéologique des classes populaires face à un monde économique qui est hors de leur contrôle.
Nous pourrions faire une sorte d’apologie avec le travail de David Harvey, si nous parlons de la main invisible d’Adam Smith, dans le sens où, l’humanité se trouve face à des forces bien trop fortes, qui convergent en faveur du capital. En prenant suffisamment soin d’écouter des personnes d’un niveau non discutable en la matière, me viennent à l’esprit deux mots, qui sont népotisme et hégémonie, pour le dire au plus large publique, il faut faire appel au paraboles très connues dans des livres de haut niveau en religion. Le père à été toujours dans les conseils d’administration de plus grandes entreprises du monde, donc le fils tiens d’office les mêmes relations et les mêmes opportunités. Dit d’une autre manière, les enfants des familles paupérisées, arriveraient tout au plus (dans le meilleur des cas) a avoir un baccalauréat, donc le revenu aurait un montant proche du salaire minimum, dans des emplois que seul sont offerts pour des entreprises de travail temporaire. Tandis que le fils du PDG, du CO des plus grandes entreprises, lui sortira des plus grandes universités, (parce que le niveau de revenu des parents, pourra payer) et donc va commencer a recevoir un salaire moyen dix voir vingt fois celui des enfants précarisés par le capitalisme. Cette réalité tangible est en partie celle que Smith à nommée la main invisible. Un apport intéressant de David Harvey avec lequel je suis entièrement d’accord, est cette intention de faire tomber le masque du néolibéralisme, puisque sa force est en grande partie acquise, lorsque fait disparaître la frontière entre gouvernance et système bancaire, puisque aujourd’hui la gestion des pays le plus influents de la planète se trouve en mains d’une sorte de godillots ou des pantins au service du capital. Quand ce ne pas des arrivistes de la taille de Donald Trump ou Emmanuel Macron, Les institutions se trouvent donc sous le contrôle bancaire.
Ceci permet avant tout la pérennité d’une normativité accommodé favorisant le système financière mondialisé. Nous sommes en face des libertariens, qui n’ont la moindre petite gêne lorsque détruisent le contrat sociale dans cette course à la rentabilité où le chômage est une variable, qui viendra maintenir le marché de l’emploi sans qualification au plus bas prix. (si vous ne voulez pas travailler, il viendraient des dizaines d’autre personnes immigrés pour le faire) En cela ma position est peut-être en opposition avec celle de David Harvey. Je dirait même par ce que j’observe que les libertaires, restent droits dans leur botes, contre ce qu’était voulu à Bretton Woods en 1945 sous le nom de General Agreement on Tariffs and Trade, procès qu’est initié en 1947 avec la Société du Mont Pèlerin où se sont réunis Mises, Hayek, Rocket entre autres, qui sont considérés par les anarcolibertaires comment leurs gurus.
Là où je rejoint volontiers Harvey est dans cette vision de destruction sauvage, avec un génocide programmé dans les évolution rétrogrades de la réglementation du travail, dans une déréglementation accéléré des loi, une privatisation sauvage des services publiques, qui long temps étaient un rempart légitime contre la spéculation, sur le prix des services d’électricité, de l’eau, de la téléphonie, les transport en commun. Etc., Bien que le keynésianisme n’est pas la panacée, au moins sous leur réglementation il y avait respect du contrat social. Nous parlons des concepts aux quels des énergumènes de la taille de Donald Trump ou Emmanuel Macron, tentent faire disparaître.
J’aurais voulu abonder dans le travail de David Harvey, qui a la particularité d’un regard très large sur les préjudices du « néomalthusianisme » quand réussi a considérer comment un seul corpus autant la politique de Ronald Reagan, de Margaret Thatcher, le travail du Général Pinochet suite au coup d’état orchestré par les États Unis en 1973, je ne tomberais pas dans l’angélisme en pensant que ce soit des personnes sans aucune relation. Puisqu’il y a malgré tout une chose en commun, et pas des moindres, une guerre des idées, où est saignée à mort tout idée de classe sociale précaire, menant plus qu’à l’esclavage, à l’extinction de la vie sur la terre.
Il y a un concept abordé par David Harvey, qui à mon sens est très pertinent, quand devant le grand publique, tout semble arriver accidentellement, voir hors toute coordination, il y a « une volonté de gommer artificiellement » cette diversité des voies vers l’anarcho -libertarisme ; bien qu’il soit clé pour l’analyse épistémique, trouver les différences géopolitiques, qu’existent entre le coup d’état de 1973 contre Salvador Allende au Chili, la politique de Ronald Reagan ou celle de Margaret Thatcher, ou encore Jair Bolsonaro au Brésil, ou encore Viktor Orban en Hongrie, au but des comptes sont des faits qui s’enchaînent entre si, avec l’avènement des deux périodes de gouvernance d’Emmanuel Macron, ou encore de l’arrivé à la présidence d’Argentine de Javier Milei. Là Harvey souligne la tendance de ces minorités d’une bourgeoisie au pouvoir a maîtriser la destruction de la capacité de l’état d’avoir le contrôle, rien d’étonnant lorsque l’on étudie leur sources d’inspiration entre autres Murray Rothbard et Ayn Rand.
Car la privatisation supprime toute possibilité d’avoir le moindre moyen de réglementer le prix au consommateur, nous parlons du prix antan apelé « services publiques » ; c’est-à-dire que là où il y avait un patient pour la santé, aujourd’hui il y a seul un client, lequel pourra payer une santé à hauteur de ses moyens, payer un complément santé sous le nom de mutuelle. Là où il y avait des services d’électricité, de gaz ou de téléphonie, réglementés au prix en tant que service publique, aujourd’hui ce sont « aussi des clients » où le prix devient même interdit pour les plus fragiles. Là où il y avait une attention au publique par des êtres humains dans les différents bureaux de la santé, du trésor publique, de la mairie, il y aujourd’hui une machine automatique, que limite les choix, vous conduisant à renoncer au service de manière violent car la machine vous occupe un quart d’heure ou un demi-heure, puis raccroche au but de se temps là. Les exemples seraient disponibles pour remplir une encyclopédie.
C’est là, où nous devrions nous poser les bonnes questions (Hermann SCHEER) le poids des charges, la fiscalité ne cesse d’accroître, pour les plus fragiles, mais les plus fragiles (aussi fragiles de cerveaux) continuent à croire que la classe politique dispose des moyens de leur venir en aide. Grossière erreur, puisque dans les ministères, dans le parlement, dans les gouvernants, se trouvent des envoyés tout droit du système bancaire, (financier) international. Un extrait d’un texte où l’on traite l’œuvre de Harvey :
...« Troisième point d’inflexion face à certains discours convenus : la volonté de ne pas artificiellement gommer la diversité des voies vers le néolibéralisme. Margaret Thatcher et Ronald Reagan n’ont pas emprunté le même chemin ; pas plus que la France et la Chine. David Harvey ne fait pas table rase de l’histoire. Non seulement, il tient compte des spécificités nationales des processus de néolibéralisation, mais il sait également pointer certaines régularités. Notamment celle-ci : « la néolibéralisation crée aussi les conditions
pour la formation de classes, et à mesure que le pouvoir d’une classe se renforce, cette dernière a tendance […] à vouloir se dégager de sa dépendance à l’égard du pouvoir d’État, ainsi qu’à réorienter le pouvoir d’État suivant des lignes néolibérales ». On comprend dès lors que ce ne sont pas toujours les mêmes classes dominantes qui ont impulsé le néolibéralisme : tantôt ce sont les milieux d’affaires ; parfois, comme dans le cas français, c’est la noblesse d’État qui s’active en première ligne »...
Christophe Guilluy La France périphérique (2014) Géographe et essayiste, Christophe Guilluy est l’un des chercheurs qui s’est fait connaître pour ses travaux sur la "France périphérique", où il décrit un déclin idéologique et politique des classes populaires, notamment dans les zones rurales et les banlieues. Il analyse comment l’éloignement de ces classes des centres urbains et des élites intellectuelles a conduit à une forme d'insensibilité aux grandes idéologies contemporaines, qui semblent hors de portée par rapport à leurs préoccupations immédiates
Désormais, deux France s’ignorent et se font face : la France des métropoles, brillante vitrine de la mondialisation heureuse, où cohabitent cadres et immigrés, et la France périphérique des petites et moyennes villes, des zones rurales éloignées des bassins d’emplois les plus dynamiques. De cette dernière, qui concentre 60 % de la population française, personne ne parle jamais. Laissée pour compte, volontiers méprisée, cette France-là est désormais associée à la précarité sociale et au vote Front national. Comment en sommes-nous arrivés là ? Pourquoi a-t-on sacrifié les classes populaires sur l’autel d’une mondialisation volontiers communautariste et inégalitaire, aux antipodes des valeurs dont se réclame la classe politique ? Comment cette France populaire peut-elle changer la donne, et regagner la place qui est la sienne, la première ? Dans cet essai polémique et percutant, Christophe Guilluy dresse un diagnostic sans complaisance de notre pays, et esquisse les contours d’une contre-société à venir... Création Studio Flammarion Flammarion, Paris, 2014 … (travail en cours)
La question de l’insensibilité idéologique des classes populaires est étudiée par plusieurs chercheurs dans des domaines variés, notamment en sociologie, en sciences politiques, en psychologie sociale et en philosophie politique. Voici quelques chercheurs et courants de pensée qui abordent, de près ou de loin, ce phénomène et les raisons de cette insensibilité idéologique.
Quand j’aurai du temps je vais ajouter dans cette note un peu du magistrale travail de Pierre Bourdieu, en plus le travail d’Eric Fassin, Michel Pialoux, Loic Wacquant et Catherine Malabou
Do working class people remain precarious because they want to?
Texto escrito el miércoles 18 de diciembre 2024 en Mapiripán; en Francés y traducido al Español
(Ein paar Zeilen zur intellektuellen Faulheit der Mehrheit der Bevölkerung, die Emmanuel Macron wählen wird, debo traducir al español con Google: ..."Unas líneas sobre la pereza intelectual de la mayoría de la población que votará por Emmanuel Macron"...)
(Français) Il est assez aisé de prouver que le moins de un pour cents des gens qu'on garde le pouvoir par hégémonie et népotisme, en réalité la seule chose qu'ils auraient fait est réussir par corruption a récupérer plus de la moitié de l'argent des impôts des plus pauvres pour édifier leur empire de cupidité.
(Deutsch) Es lässt sich ganz einfach beweisen, dass weniger als ein Prozent der Menschen, die durch Herrschaft und Vetternwirtschaft an der Macht blieben, in Wirklichkeit das Einzige, was sie erreicht hätten, darin bestand, durch Korruption mehr als die Hälfte der Geldsteuern von den Ärmsten zurückzufordern, um ihr Imperium aufzubauen der Gier.
(English) It is quite easy to prove that the less than one percent of people who have kept power through hegemony and nepotism, in reality the only thing they have achieved is to succeed through corruption in recovering more than half of the tax money of the poorest to build their empire of greed.
En español
Nosotros, TODA la humanidad, estamos en el mismo barco; pero hoy y desde hace siglos, menos de una de cada cien personas en el planeta lo hace de una manera que ponga en peligro el futuro de toda la humanidad. Sé muy bien que estoy intentando un discurso inaudible, porque quienes lo sabrán, con nivel suficiente, no pueden luchar contra los muros de la ignorancia, estoy hablando de personas del nivel de Hermann SCHEER, John CHRISTENSEN, Monique PINCON -CHALOT, Frederic LORDON, Joseph STIGLITZ, en una lista no exhaustiva.
Incluso sé que en las personas más cercanas a mí afirman que mi comportamiento sigue siendo muy aislado, lo que sin duda me empuja a buscar con insistencia, en primer lugar, la razón clave por la que la gente avanza con tanta calma hacia lo que los científicos sabían de antemano que es un callejón sin salida para la vida sobre la tierra. Yo solo no investigo el tema, mi motivación crece aún más cuando descubro que los estudiosos (y estoy a años luz de su nivel de conocimiento) han realizado excelentes trabajos sobre la insensibilidad ideológica de ocho de cada diez seres humanos.
Habría cometido un error monumental, si irreflexivamente, hubiese ofendido la gente, por la indiferencia y el individualismo (patología que afecta a ochenta y nueve de cada cien trabajadores del planeta), hubiera querido echarnos la culpa a “nosotros los demás”, que en realidad somos quienes , por ignorancia “inducida”, somos capaces de olvidar las palabras del filósofo francés MARCEL CONCHE, quien dijo que la humanidad nunca ha conocido la democracia. Sí, la ignorancia del resto [de nosotros] está cuidadosamente planificada, e incluso denunciaré a aquellos en el sindicalismo que se atreven a decir que la política y el sindicalismo no tienen nada en común. Sé, desde hace años, que el discurso en el que se cuestiona el sindicalismo, es inmediatamente declarado un gran sacrilegio, por lo que corro el riesgo de ser excomulgado del sindicalismo. Pero volvamos a la raíz del tema de la insensibilidad ideológica de las grandes mayorías, que sigue siendo básicamente el problema principal.
A partir del momento en que más de noventa y nueve de cada cien ciudadanos serían engañados en su discernimiento e ideología, la hegemonía y el nepotismo tendrían por delante largas generaciones de vida sin preocuparse por las consecuencias de sus actos. De hecho, los trabajos de grandes estudiosos del tema, como François Dubet …« La decadencia de la institución »… texto donde el sociólogo François Dubet, trabaja sobre las condiciones sociales y la evolución de las clases trabajadoras. Explora en particular la forma en que las transformaciones sociales (como la precariedad y la atomización de las relaciones sociales) afectan la percepción de las clases trabajadoras frente a las ideologías dominantes. Según Dubet, las clases trabajadoras tienden a recurrir a identidades y valores que les permiten afrontar la crisis social y a menudo prefieren estar al margen de los debates ideológicos.
También podemos encontrar a Howard Becker …« Outsiders ».. (1963): sociólogo estadounidense, publicando en 1963, “Outsiders” es un libro de sociología revolucionario escrito por Howard S. Becker, un reconocido sociólogo estadounidense. El libro revolucionó el estudio de la desviación social, desafiando los puntos de vista tradicionales e introduciendo el concepto de "teoría del etiquetado". El trabajo de Becker explora cómo los grupos sociales crean y hacen cumplir reglas, y cómo los individuos que violan estas reglas son etiquetados como "forasteros" o "desviados". Becker nos habla de la teoría del etiquetado: sostiene que la desviación no es inherente al comportamiento de un individuo, sino que es creada por el proceso de etiquetado.
Cuando un grupo define un acto como desviado, se vuelve desviado. Emprendedores morales: Introduce el concepto de “emprendedores morales”, individuos que promueven y hacen cumplir activamente las normas morales, a menudo etiquetando y estigmatizando a quienes las violan. La desviación como proceso social: enfatiza que la desviación no es una característica fija de un individuo, sino más bien un proceso dinámico moldeado por interacciones y etiquetas sociales. Interaccionismo simbólico: el libro aplica los principios del interaccionismo simbólico, enfatizando la importancia de los símbolos, significados e interacciones en la configuración de la realidad social.
Becker es conocido por su trabajo sobre la desviación y la marginación. Aunque su obra no aborda específicamente la insensibilidad ideológica de las clases trabajadoras, ofrece conceptos útiles para comprender cómo ciertos grupos sociales (incluidas las clases trabajadoras) pueden ser excluidos de los debates dominantes, recurriendo así a valores y creencias que los protegen. apartarlos de la ideología dominante… (trabajo en recopilar el aporte de otros autores)
David Harvey Neoliberalismo: Historia de una ideología económica (2005). Como geógrafo y teórico social, Harvey ha trabajado sobre cómo el neoliberalismo y los cambios económicos globales han impactado a las clases trabajadoras. Aborda la cuestión de la "dimisión" y cómo la crisis ideológica ha sido exacerbada por el dominio de la ideología neoliberal, que dificulta el compromiso ideológico de las clases trabajadoras para enfrentar un mundo económico que está fuera de su control.
Podríamos hacer una especie de apología de la obra de David Harvey, si hablamos de la mano invisible de Adam Smith, en el sentido de que la humanidad se encuentra demasiado enfrentada fuerzas fuertes, que convergen a favor del capital. Al tener el suficiente cuidado de escuchar a personas de indiscutible nivel en la materia, me vienen a la mente dos palabras que son nepotismo y hegemonía, para decirlo al público más amplio, hay que convocar muy bien- parábolas conocidas en libros de alto nivel en religión. El padre siempre ha estado en los consejos de administración de las empresas más grandes del mundo, por lo que el hijo automáticamente tiene las mismas relaciones y las mismas oportunidades.
Dicho de otra manera, los hijos de familias empobrecidas lograrían como máximo (en el mejor de los casos) tener un bachillerato, por lo que los ingresos se acercarían al salario mínimo, en empleos que sólo se ofrecen para empresas de trabajo temporal. Mientras que el hijo del CEO, el CO de las empresas más grandes, se graduará en las universidades más grandes (porque el nivel de ingresos de los padres podrá pagar) y, por lo tanto, comenzará a recibir un salario promedio diez o incluso veinte veces mayor. la de los niños precarios por el capitalismo. Esta realidad tangible es en parte lo que Smith llamó la mano invisible. Un aporte interesante de David Harvey con el que estoy completamente de acuerdo, es esta intención de quitar la máscara del neoliberalismo, ya que su fuerza se adquiere en gran medida, cuando la frontera entre gobernanza y sistema bancario, desde hoy la gestión de los países más influyentes del planeta está en manos de una especie de marionetas o marionetas al servicio del capital
Esta realidad tangible es en parte lo que Smith llamó la mano invisible. Un aporte interesante de David Harvey con el que estoy completamente de acuerdo, es esta intención de quitar la máscara del neoliberalismo, ya que su fuerza se adquiere en gran medida, cuando la frontera entre gobernanza y sistema bancario, desde hoy la gestión de los países más influyentes del planeta está en manos de una especie de marionetas o marionetas al servicio del capital. Cuando no se trata de arribistas de la talla de Donald Trump o Emmanuel Macron, las instituciones se encuentran, por tanto, bajo control bancario.
Esto permite sobre todo la sostenibilidad de una normatividad acomodada que favorezca al sistema financiero globalizado. Estamos ante libertarios, que no tienen el menor pudor a la hora de destruir el contrato social en esta carrera por la rentabilidad donde el desempleo es una variable, que mantendrá el mercado laboral sin cualificación al precio más bajo. (si no quieres trabajar, vendrán decenas de otros inmigrantes a hacerlo) En esto mi posición quizás sea opuesta a la de David Harvey. Incluso diría, por lo que observo, que los libertarios se mantienen en sus casillas, en contra de lo que se quería en Bretton Woodsen 1945 bajo el nombre de Acuerdo General sobre Aranceles Aduaneros y Comercio , proceso iniciado en 1947 con la Société du Mont Pèlerin donde se reunieron Mises, Hayek, Rocket entre otros, quienes son considerados por los anarco-libertarios como sus gurús.
Donde coincido fácilmente con Harvey es en esta visión de destrucción salvaje, con un genocidio programado en la evolución retrógrada de las regulaciones laborales, en una acelerada desregulación del derecho, una privatización salvaje de los servicios públicos, que durante mucho tiempo fueron un baluarte legítimo contra la especulación, sobre el precio de los servicios de electricidad, agua, telefonía, transporte público. Etc., aunque el keynesianismono es una panacea, al menos bajo su regulación existía el respeto al contrato social. Estamos hablando de los conceptos que fanáticos de la talla de Donald Trump o Emmanuel Macron están tratando de hacer desaparecer.
Me hubiera gustado añadir al trabajo de David Harvey, que tiene la particularidad de una mirada muy amplia sobre los daños del “neomalthusianismo” al lograr considerar cómo en un solo corpus tanto la política de Ronald Reagan, Margaret Thatcher, la obra del general Pinochet tras el golpe de Estado orquestado por Estados Unidos en 1973, no caería en angelismo al pensar que se trata de personas sin ninguna relación. Ya que a pesar de todo hay una cosa en común, y no menos importante, una guerra de ideas, donde toda idea de clase social precaria es desangrada, conduciendo más que a la esclavitud, a la extinción de la vida en la tierra.
Hay un concepto abordado por David Harvey, que en mi opinión es muy relevante, cuando frente al público en general, todo parece suceder accidentalmente, incluso sin ninguna coordinación, existe "un deseo de artificialmente borrar» esta diversidad de caminos hacia el anarco-libertarismo; aunque es clave para el análisis epistémico, encontrar las diferencias geopolíticas que existen entre el golpe de Estado de 1973 contra Salvador Allende en Chile, las políticas deRonald Reagan o la de Margaret Thatcher, o incluso Jair Bolsonaro en Brasil, o incluso Viktor Orban en Hungría, hasta el final de las cuentas Son hechos que se suceden entre sí, con el advenimiento de los dos períodos de gobernación de Emmanuel Macron, o la llegada a la presidencia de Argentina de Javier Milei Hay Harvey. Subraya la tendencia de estas minorías de una burguesía en el poder a dominar la destrucción de la capacidad del Estado para tener el control, nada sorprendente cuando estudiamos sus fuentes de inspiración entre otras. Murray Rothbard y Ayn Rand.
Porque la privatización elimina cualquier posibilidad de tener el más mínimo medio de regular el precio al consumidor, estamos hablando del precio de antaño llamado “servicios públicos"; es decir, donde había un paciente por salud, hoy hay un solo cliente, que podrá pagar la salud hasta sus posibilidades, pagar el complemento de salud (una mutual empresa privada que no existía hasta los años 80). Donde había servicios de luz, gas o telefonía, regulados en precio como servicio público, hoy son “solo clientes” donde el precio pasa incluso a estar prohibido para los más vulnerables. Donde antes había atención pública por parte de seres humanos en las distintas oficinas de salud, hacienda pública, ayuntamiento, hoy hay una máquina automática, que limita las opciones, llevándote a renunciar al servicio de manera violenta porque la máquina te mantiene ocupado durante un tiempo. un cuarto de hora o media hora, luego cuelga al final de ese tiempo. Los ejemplos estarían disponibles para llenar una enciclopedia.
Aquí es donde deberíamos hacernos las preguntas correctas (Hermann SCHEER) el peso de las cargas, los impuestos siguen aumentando, para los más frágiles, pero los más frágiles (también frágiles de cerebro) siguen creyendo que La clase política tiene los medios para ayudarlos. Gran error, ya que en los ministerios, en el parlamento, en los que están en el poder, hay enviados directamente del sistema bancario y (financiero) internacional. Un extracto de un texto sobre el trabajo de Harvey:
...“Tercer punto de inflexión frente a ciertos discursos convencionales: el deseo de no borrar artificialmente la diversidad de caminos hacia el neoliberalismo. Margaret Thatcher y Ronald Reagan no tomaron el mismo camino; no más que Francia y China. David Harvey no deja la historia en paz. No sólo tiene en cuenta las especificidades nacionales de los procesos de neoliberalización, sino que también sabe señalar ciertas regularidades. En particular ésta: “la neoliberalización también crea las condiciones
para la formación de clases, y a medida que el poder de una clase se fortalece, esta última tiende […] a querer liberarse de su dependencia del poder estatal, así como reorientar el poder del Estado según líneas neoliberales”. Por lo tanto, entendemos que no siempre son las mismas clases dominantes las que han impulsado el neoliberalismo: a veces es la comunidad empresarial; A veces, como en el caso francés, es la nobleza estatal la que está activa en primera línea...
Christophe Guilluy Francia periférica (2014) Geógrafo y ensayista, Christophe Guilluy es uno de los investigadores que se hizo conocido por su trabajo sobre la "Francia periférica", donde describe un declive ideológico y político de las clases trabajadoras, particularmente en las zonas rurales y en los suburbios. Analiza cómo la distancia de estas clases de los centros urbanos y las élites intelectuales ha llevado a una forma de insensibilidad hacia las principales ideologías contemporáneas, que parecen fuera de su alcance en relación con sus preocupaciones inmediatas.
A partir de ahora, dos Francias se ignoran y se enfrentan: la Francia de las metrópolis, brillante escaparate de una globalización feliz, donde conviven ejecutivos e inmigrantes, y la Francia periférica de las ciudades pequeñas y medianas, de las zonas rurales alejadas de la las áreas de empleo más populares. Nadie habla nunca de este último, que concentra al 60% de la población francesa. Esta Francia, dejada atrás y fácilmente despreciada, ahora se asocia con la precariedad social y el voto del Frente Nacional. ¿Cómo llegamos aquí? ¿Por qué hemos sacrificado a las clases trabajadoras en el altar de una globalización voluntaria y desigual, antítesis de los valores reivindicados por la clase política? ¿Cómo puede esta Francia popular cambiar la situación y recuperar su primer lugar? En este ensayo polémico y contundente, Christophe Guilluy elabora un diagnóstico intransigente de nuestro país y esboza los contornos de una contra sociedad por venir... Estudio de creación Flammarion Flammarion, París, 2014
La cuestión de la insensibilidad ideológica de las clases trabajadoras es estudiada por varios investigadores en diversos campos, en particular en la sociología, las ciencias políticas, la psicología social y la filosofía política. A continuación se presentan algunos investigadores y escuelas de pensamiento que abordan, directa o indirectamente, este fenómeno y las razones de esta insensibilidad ideológica.
La cuestión de la insensibilidad ideológica de las clases trabajadoras es estudiada por varios investigadores en diversos campos, en particular en la sociología, las ciencias políticas, la psicología social y la filosofía política. A continuación se presentan algunos investigadores y escuelas de pensamiento que abordan, directa o indirectamente, este fenómeno y las razones de esta insensibilidad ideológica.
Cuando tenga tiempo agregaré en esta nota un poco del trabajo magistral de Pierre Bourdieu, además del trabajo de Eric Fassin, Michel Pialoux, Loic Wacquant y Catherine Malabou.
(trabajo en progreso...)
En Français
Nous l’humanité TOUTE ENTIÈRE, nous nous trouvons dans le même bateaux ; mais aujourd’hui et depuis des siècles, moins de un de chaque cents personnes, sur la planète, le font de manière a mettre en péril l’avenir de l’humanité entière . Je sais pertinemment que je tente un discours inaudible, parce que ceux et celles qui le savaient, avec suffisamment de niveau déjà ne peuvent pas lutter contre des murailles d’ignorance, je parle des personnes du niveau de Hermann SCHEER , John CHRISTENSEN, Monique PINCON-CHALOT, Frederic Lordon, Joseph STIGLITZ, dans une liste non exhaustive.
Je sais même que dans mon plus proche entourage, mon comportement reste très isolé, cela me pousse indéniablement à chercher avec insistance, tout d’abord, la raison clé pour laquelle, les gens avanceraient d’une manière si tranquille vers ce que les scientifiques savaient à l’avance est un chemin sans issu. Moi tout seul ne cherche pas sur le sujet, ma motivation est encore plus croissante dès lorsque je trouve que des érudites, (et je suis à des années lumière de leur niveau de connaissance), auraient fait des excellents travaux sur l’insensibilité idéologique de huit de chaque dix êtres humains.
J’ai plusieurs fois écris sur l’approche multidisciplinaire «indispensable» condition sine quoi non, pour réussir à réaliser un travail rigoureux du point de vue épistémique; en fait il aura fallu, le travail de la philosophie politique («Les six livres de la République» de Jean Bodin, La République de Platon, An Essay on the Principle of Population de Thomas Malthus, et quelques livres et auteurs contemporains comment Frederic Lordon, Monique Pinçon-charlot ou Thomas Piketty, (entre autres, bien que je ne soit pas un lecteur des romains) pour comprendre que les écrits de Ayn Rand, Murray Rothbard, ainsi que les idées de leurs acolytes, sont des romans sans aucune réel liaison avec la réalité.
J’aurais commis une erreur monumental, si de manière irréfléchie, offusqué par l’indifférence et l’individualisme (pathologie qui affecte quatre-vingt-neuf de chaque cent travailleurs sur la terre), alors j’aurais voulu faire supporter la faute sur « nous autres » qui en réalité, sommes qui, pour méconnaissance « induite » sommes capables d’oublier les paroles du philosophe français MARCEL CONCHE, qui disait que l’humanité n’a jamais connue la démocratie. Oui l’ignorance de nous autres, elle est soigneusement programmée, et je vais même dénoncer ceux et celles dans les syndicalisme, qu’osent dire que la politique et le syndicalisme n’auraient rien en commun. Je sais depuis des années, que le discours, où le syndicalisme soit mise en cause, est tout de suite, déclaré un sacrilège majeur, je risque l’excommunions du syndicalisme pour cette raison. Mais revenons au fond du problème de l’insensibilité idéologique des grandes majorités qui reste à la base le principal problème.
Du moment ou plus de quatre-vingt-dix-neuf de chaque cents citoyens, seraient induits dans l’erreur dans le discernement et leur idéologie, l’hégémonie et le népotisme auraient devant eux des longues générations de vie sans se soucier des conséquences de leurs actes. En effet les travaux de grands érudites dans la matière tel que François Dubet Le déclin de l'institution, Sociologue, François Dubet a travaillé sur les conditions sociales et l’évolution des classes populaires. Il explore notamment la manière dont les transformations sociales (comme la précarisation et l'atomisation des relations sociales) affectent la perception des classes populaires face aux idéologies dominantes. Selon Dubet, les classes populaires ont tendance à se replier sur des identités et des valeurs qui leur permettent de faire face à la crise sociale, ils préfèrent être souvent en marge des débats idéologiques
...«À vrai dire, certaines expériences semblent plus «dramatiques » ou significatives que d'autres si l'on en juge par le titre de certains chapitres ou sous-chapitres : « une expérience assiégée » pour les professeurs, « les pôles de l'expérience » pour les infirmières, « une expérience critique » pour les travailleurs sociaux, alors que les instituteurs ont droit à « une mutation maîtrisée.
L'ambition théorique de cet ouvrage est élevée puisqu'on est en droit de le lire comme le troisième volume d'une « théorie générale » dont le premier volume a été consacré à une théorie de l'acteur (« Sociologie de l'expérience », 1994) et dont le deuxième volume a présenté une théorie de la structure sociale (« Dans quelle société vivons-nous ? », 1998). Selon François Dubet lui-même, « ce livre peut être lu comme une théorie de la socialisation s'efforçant d'articuler les deux premiers types de problèmes ». C'est déjà dire l'importance de ce livre, et une incitation à le lire attentivement, pour qui sait la place occupée par François Dubet dans la sociologie française, celle de l'École en particulier.
Cependant l'essentiel n'est sans doute pas là pour François Dubet, et il l'écrit en toutes lettres à la fin de son introduction. C'est ce qui donne tout son sens à ce livre qui n'est pas seulement un ouvrage à ambition théorique élevée mais aussi un « livre d'intervention » (ce qui est rare et donc précieux) : « En France, une grande partie des intellectuels et des acteurs sociaux ne peuvent se défaire d'une irrépressible mélancolie face au déclin des institutions qui ont forgé une grande part de l'identité nationale et des représentations de la citoyenneté nichées dans les histoires et identités les plus personnelles et les plus intimes parfois. Sans suggérer de solution miraculeuse, j'aimerais que ce livre permette de résister à une double tentation : celle de l'impossible retour à un âge d'or qui n'a jamais existé, et celle de la dissolution du travail personnel sur autrui dans un simple enchevêtrement de services
La question posée est celle de savoir de quelles connaissances, de quelles informations les responsables politiques ont besoin pour éclairer leur réflexion et mettre en place des actions en ce domaine. Le projet de l'OCDE (et donc les textes de l'ouvrage) est imprégné de la conviction que la recherche en Éducation a quelque chose à apporter aux décideurs ; il est aussi empreint de la conviction que la responsabilité des chercheurs ne s'arrête pas à la fabrication de chiffres mais doit expliciter le plus possible leurs fondements théoriques et leur mode de construction. D'où un ouvrage qui mêle de façon originale, voire inédite, considérations théoriques, méthodologiques et politiques, autour de la mesure des inégalités dans les systèmes éducatifs. En particulier, l'ouvrage propose plusieurs textes théoriques (ceux de L. Benadusi et D. Meuret), qui s'efforcent de faire le lien entre des conceptions de la justice (chez les théoriciens des sciences politiques) et des théories sociologiques des inégalités (chez les sociologues de l'éducation) d'une part, et d'autre part la conception d'indicateurs statistiques pertinents pour les appréhender, que le politique pourrait, en toute connaissance de cause et selon sa conception de l'égalité, choisir d'utiliser»…
Nous pouvons trouver aussi Howard Becker Outsiders (1963): Sociologue américain, publié en 1963, « Outsiders » est un livre de sociologie révolutionnaire de Howard S. Becker, un sociologue américain de renom. Le livre a révolutionné l’étude de la déviance sociale, en remettant en question les points de vue traditionnels et en introduisant le concept de « théorie de l’étiquetage ». Le travail de Becker explore la manière dont les groupes sociaux créent et appliquent des règles, et comment les individus qui violent ces règles sont étiquetés comme « outsiders » ou « déviants ». Becker nous parle de la Théorie de l’étiquetage : il soutient que la déviance n’est pas inhérente au comportement d’un individu, mais qu’elle est plutôt créée par le processus d’étiquetage. Lorsqu’un groupe définit un acte comme déviant, il devient déviant. Entrepreneurs moraux : Il introduit le concept d’« entrepreneurs moraux », des individus qui promeuvent et appliquent activement les normes morales, souvent en étiquetant et en stigmatisant ceux qui les violent. La déviance en tant que processus social : Il souligne que la déviance n’est pas une caractéristique fixe d’un individu, mais plutôt un processus dynamique façonné par les interactions sociales et l’étiquetage. Interactionnisme symbolique : Le livre applique les principes de l’interactionnisme symbolique, soulignant l’importance des symboles, des significations et des interactions dans la formation de la réalité sociale.
Nous connaissons déjà une doctrine psychologique associée à l’école de Chicago, voir les concepts traités aussi par G. H. Mead, (1977) , c’est un concept resté très discret, voir invisible, réservé aux échanges verbeux, peut-être il faut remonter à 1937 où Herbert Blumer en parlerait sous plusieurs dénominations comment « analyse stigmatique » « théorie de la réaction sociale » dans les cercles très fermés de la sociologie et la psychologie sociale des États Unis des années 60 (Manis et Meltzer 1972)
Pour conclure le sujet de l’étiquetage, il y a une stigmatisation quelques fois très violente sur une partie de la population, qui réussi à amoindrir ceux et celles qui vont finir pour croire qu’ils sont une capacité « inférieure » mais justement c’est le travail des chercheurs d’établir que c’est de la ségrégation, de la discrimination, donc le libre « Injustice épistémique de Miranda Fricker entre autres parle avec beaucoup d’éloquence.
Becker est connu pour ses travaux sur la déviance et la marginalisation. Bien que son travail ne porte pas spécifiquement sur l'insensibilité idéologique des classes populaires, il offre des concepts utiles pour comprendre comment certains groupes sociaux (dont les classes populaires) peuvent être exclues des débats dominants, se repliant alors sur des valeurs et des croyances qui les protègent de l'idéologie dominante
David Harvey Le néolibéralisme : Histoire d'une idéologie économique (2005). En tant que géographe et théoricien social, Harvey a travaillé sur la manière dont le néolibéralisme et les changements économiques mondiaux ont impacté les classes populaires. Il aborde la question de la "résignation" et de la façon dont la crise idéologique s’est exacerbée par la domination de l'idéologie néolibérale, qui rend difficile l'engagement idéologique des classes populaires face à un monde économique qui est hors de leur contrôle.
Nous pourrions faire une sorte d’apologie avec le travail de David Harvey, si nous parlons de la main invisible d’Adam Smith, dans le sens où, l’humanité se trouve face à des forces bien trop fortes, qui convergent en faveur du capital. En prenant suffisamment soin d’écouter des personnes d’un niveau non discutable en la matière, me viennent à l’esprit deux mots, qui sont népotisme et hégémonie, pour le dire au plus large publique, il faut faire appel au paraboles très connues dans des livres de haut niveau en religion. Le père à été toujours dans les conseils d’administration de plus grandes entreprises du monde, donc le fils tiens d’office les mêmes relations et les mêmes opportunités. Dit d’une autre manière, les enfants des familles paupérisées, arriveraient tout au plus (dans le meilleur des cas) a avoir un baccalauréat, donc le revenu aurait un montant proche du salaire minimum, dans des emplois que seul sont offerts pour des entreprises de travail temporaire. Tandis que le fils du PDG, du CO des plus grandes entreprises, lui sortira des plus grandes universités, (parce que le niveau de revenu des parents, pourra payer) et donc va commencer a recevoir un salaire moyen dix voir vingt fois celui des enfants précarisés par le capitalisme. Cette réalité tangible est en partie celle que Smith à nommée la main invisible. Un apport intéressant de David Harvey avec lequel je suis entièrement d’accord, est cette intention de faire tomber le masque du néolibéralisme, puisque sa force est en grande partie acquise, lorsque fait disparaître la frontière entre gouvernance et système bancaire, puisque aujourd’hui la gestion des pays le plus influents de la planète se trouve en mains d’une sorte de godillots ou des pantins au service du capital. Quand ce ne pas des arrivistes de la taille de Donald Trump ou Emmanuel Macron, Les institutions se trouvent donc sous le contrôle bancaire.
Ceci permet avant tout la pérennité d’une normativité accommodé favorisant le système financière mondialisé. Nous sommes en face des libertariens, qui n’ont la moindre petite gêne lorsque détruisent le contrat sociale dans cette course à la rentabilité où le chômage est une variable, qui viendra maintenir le marché de l’emploi sans qualification au plus bas prix. (si vous ne voulez pas travailler, il viendraient des dizaines d’autre personnes immigrés pour le faire) En cela ma position est peut-être en opposition avec celle de David Harvey. Je dirait même par ce que j’observe que les libertaires, restent droits dans leur botes, contre ce qu’était voulu à Bretton Woods en 1945 sous le nom de General Agreement on Tariffs and Trade, procès qu’est initié en 1947 avec la Société du Mont Pèlerin où se sont réunis Mises, Hayek, Rocket entre autres, qui sont considérés par les anarcolibertaires comment leurs gurus.
Là où je rejoint volontiers Harvey est dans cette vision de destruction sauvage, avec un génocide programmé dans les évolution rétrogrades de la réglementation du travail, dans une déréglementation accéléré des loi, une privatisation sauvage des services publiques, qui long temps étaient un rempart légitime contre la spéculation, sur le prix des services d’électricité, de l’eau, de la téléphonie, les transport en commun. Etc., Bien que le keynésianisme n’est pas la panacée, au moins sous leur réglementation il y avait respect du contrat social. Nous parlons des concepts aux quels des énergumènes de la taille de Donald Trump ou Emmanuel Macron, tentent faire disparaître.
J’aurais voulu abonder dans le travail de David Harvey, qui a la particularité d’un regard très large sur les préjudices du « néomalthusianisme » quand réussi a considérer comment un seul corpus autant la politique de Ronald Reagan, de Margaret Thatcher, le travail du Général Pinochet suite au coup d’état orchestré par les États Unis en 1973, je ne tomberais pas dans l’angélisme en pensant que ce soit des personnes sans aucune relation. Puisqu’il y a malgré tout une chose en commun, et pas des moindres, une guerre des idées, où est saignée à mort tout idée de classe sociale précaire, menant plus qu’à l’esclavage, à l’extinction de la vie sur la terre.
Il y a un concept abordé par David Harvey, qui à mon sens est très pertinent, quand devant le grand publique, tout semble arriver accidentellement, voir hors toute coordination, il y a « une volonté de gommer artificiellement » cette diversité des voies vers l’anarcho -libertarisme ; bien qu’il soit clé pour l’analyse épistémique, trouver les différences géopolitiques, qu’existent entre le coup d’état de 1973 contre Salvador Allende au Chili, la politique de Ronald Reagan ou celle de Margaret Thatcher, ou encore Jair Bolsonaro au Brésil, ou encore Viktor Orban en Hongrie, au but des comptes sont des faits qui s’enchaînent entre si, avec l’avènement des deux périodes de gouvernance d’Emmanuel Macron, ou encore de l’arrivé à la présidence d’Argentine de Javier Milei. Là Harvey souligne la tendance de ces minorités d’une bourgeoisie au pouvoir a maîtriser la destruction de la capacité de l’état d’avoir le contrôle, rien d’étonnant lorsque l’on étudie leur sources d’inspiration entre autres Murray Rothbard et Ayn Rand.
Car la privatisation supprime toute possibilité d’avoir le moindre moyen de réglementer le prix au consommateur, nous parlons du prix antan apelé « services publiques » ; c’est-à-dire que là où il y avait un patient pour la santé, aujourd’hui il y a seul un client, lequel pourra payer une santé à hauteur de ses moyens, payer un complément santé sous le nom de mutuelle. Là où il y avait des services d’électricité, de gaz ou de téléphonie, réglementés au prix en tant que service publique, aujourd’hui ce sont « aussi des clients » où le prix devient même interdit pour les plus fragiles. Là où il y avait une attention au publique par des êtres humains dans les différents bureaux de la santé, du trésor publique, de la mairie, il y aujourd’hui une machine automatique, que limite les choix, vous conduisant à renoncer au service de manière violent car la machine vous occupe un quart d’heure ou un demi-heure, puis raccroche au but de se temps là. Les exemples seraient disponibles pour remplir une encyclopédie.
C’est là, où nous devrions nous poser les bonnes questions (Hermann SCHEER) le poids des charges, la fiscalité ne cesse d’accroître, pour les plus fragiles, mais les plus fragiles (aussi fragiles de cerveaux) continuent à croire que la classe politique dispose des moyens de leur venir en aide. Grossière erreur, puisque dans les ministères, dans le parlement, dans les gouvernants, se trouvent des envoyés tout droit du système bancaire, (financier) international. Un extrait d’un texte où l’on traite l’œuvre de Harvey :
...« Troisième point d’inflexion face à certains discours convenus : la volonté de ne pas artificiellement gommer la diversité des voies vers le néolibéralisme. Margaret Thatcher et Ronald Reagan n’ont pas emprunté le même chemin ; pas plus que la France et la Chine. David Harvey ne fait pas table rase de l’histoire. Non seulement, il tient compte des spécificités nationales des processus de néolibéralisation, mais il sait également pointer certaines régularités. Notamment celle-ci : « la néolibéralisation crée aussi les conditions
pour la formation de classes, et à mesure que le pouvoir d’une classe se renforce, cette dernière a tendance […] à vouloir se dégager de sa dépendance à l’égard du pouvoir d’État, ainsi qu’à réorienter le pouvoir d’État suivant des lignes néolibérales ». On comprend dès lors que ce ne sont pas toujours les mêmes classes dominantes qui ont impulsé le néolibéralisme : tantôt ce sont les milieux d’affaires ; parfois, comme dans le cas français, c’est la noblesse d’État qui s’active en première ligne »...
Christophe Guilluy La France périphérique (2014) Géographe et essayiste, Christophe Guilluy est l’un des chercheurs qui s’est fait connaître pour ses travaux sur la "France périphérique", où il décrit un déclin idéologique et politique des classes populaires, notamment dans les zones rurales et les banlieues. Il analyse comment l’éloignement de ces classes des centres urbains et des élites intellectuelles a conduit à une forme d'insensibilité aux grandes idéologies contemporaines, qui semblent hors de portée par rapport à leurs préoccupations immédiates
Désormais, deux France s’ignorent et se font face : la France des métropoles, brillante vitrine de la mondialisation heureuse, où cohabitent cadres et immigrés, et la France périphérique des petites et moyennes villes, des zones rurales éloignées des bassins d’emplois les plus dynamiques. De cette dernière, qui concentre 60 % de la population française, personne ne parle jamais. Laissée pour compte, volontiers méprisée, cette France-là est désormais associée à la précarité sociale et au vote Front national. Comment en sommes-nous arrivés là ? Pourquoi a-t-on sacrifié les classes populaires sur l’autel d’une mondialisation volontiers communautariste et inégalitaire, aux antipodes des valeurs dont se réclame la classe politique ? Comment cette France populaire peut-elle changer la donne, et regagner la place qui est la sienne, la première ? Dans cet essai polémique et percutant, Christophe Guilluy dresse un diagnostic sans complaisance de notre pays, et esquisse les contours d’une contre-société à venir... Création Studio Flammarion Flammarion, Paris, 2014 … (travail en cours)
La question de l’insensibilité idéologique des classes populaires est étudiée par plusieurs chercheurs dans des domaines variés, notamment en sociologie, en sciences politiques, en psychologie sociale et en philosophie politique. Voici quelques chercheurs et courants de pensée qui abordent, de près ou de loin, ce phénomène et les raisons de cette insensibilité idéologique.
Quand j’aurai du temps je vais ajouter dans cette note un peu du magistrale travail de Pierre Bourdieu, en plus le travail d’Eric Fassin, Michel Pialoux, Loic Wacquant et Catherine Malabou
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