PRAXIS PRAGMATISME ET POLITIQUE
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PRAXIS PRAGMATISME ET POLITIQUE
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IV. Rapports de force et « utopie »
écrit par E. BAROT voir lien en bas (document propriété intellectuel de l'auteur) j'ai pris le plaisir de lire dans un forum un sujet de politique et sociologie qui me semble digne de la connaissance de tout ouvrier ou chômeur en France et dans le monde.
i. Le primat de la force
La question n’est en tous cas pas de remettre en cause le suffrage universel, essentiel pour tout régime possiblement non représentatif, mais le magnifier est fort dangereux également : c’est aussi grâce au SU que des régimes fascistes sont nés.
Le sens et la justification éventuelle de l’injonction démocratique aujourd’hui ne saurait de toutes façons pas se suffire de l’appel à la souveraineté populaire.
Mon idée est que, si l’on veut radicaliser la lutte démocratique, l’on ne peut pas la « justifier » : C’est et cela restera à ce petit peuple sans droit de s’arroger le droit : autrement dit, tout est une question de rapport de forces et de qui imposera quoi, et de comment il l’imposera en fonction du « quoi » qu’il aura la volonté de vouloir faire advenir.
La première opération consistera à assumer cette nécessité de la force. Que cela se fasse au nom des droits de l’homme est une chose, qu’on utilise les structures juridiques en place pour défendre certaines libertés, certes : mais l’histoire nous montre que c’est toujours au fond la force qui fait le droit et que celui-ci vient toujours après.
La configuration politique actuelle est hautement ouverte même si, excepté l’hiver 2005-2006, le trait dominant des révoltes collectives des trente dernières années reste pour l’instant celui d’un arrêt avant l’affrontement réel : « réel » signifiant ici qui serait à nouveau capable de produire de l’irréversible.
Pourquoi ce non-passage à l’acte ? Nous avons quitté le matin du grand soir : la somme de défaites, d’errances accumulées, l’état déplorable du monde, le marasme intellectuel global des pensées de gauche, fait que l’espoir en un autre avenir a disparu.
Or, seul cet espoir serait synonyme d’un « tout à gagner » apte à supplanter ce que nous avons à perdre : lequel pousse logiquement en attendant à finalement choisir la soumission à l’ordre ambiant, quand cette soumission n’est pas carrément le choix initial.
La responsabilité historique de la social-démocratie est ici flagrante, et la situation actuelle partage nombre de traits avec celle d’il y a une trentaine d’années.
Il n’est donc pas étonnant que traditionnellement comme actuellement de façon intensifiée, cette social-démocratie participe activement avec son idiome propre, à ces ensemble de raccourcis révisionnistes qui continuent de délégitimer d’emblée toute remise en cause réelle de la société actuelle, immédiatement jugée comme par essence génératrice de machines terrorisantes.
Revenir aux racines de l’idéologie contemporaine, mettre en évidence, encore et toujours, le ciment du bloc idéologique hégémonique, revient donc à montrer à quel point ce révisionnisme politico-historique général, qui mélange formes de résistances et types de violences politiques qualitativement différentes, fait corps, au plus haut degré des nos oligarchies, avec la rhétorique de la « défense de la démocratie ».
On pourra d’une part « sourire des invectives grossières des valets de plume et de la protection sentencieuse des doctrinaires bourgeois bien intentionnés qui débitent leurs platitudes d’ignorants et leurs marottes de sectaires, sur le ton d’oracle de l’infaillibilité scientifique. »
Mais quand ces valets se font offensifs chiens de garde, on ne peut plus se contenter de sourire.
ii. Le danger de l’utopie
On comprend alors facilement le danger majeur que représente toute tentative de ré institution d’un possible politique, ou même d’un impossible utopique – la politique comme art de l’impossible nous dit S. Zizek .
La remise en cause réelle de l’ordre oligarchique corrélative de ce danger est certes immédiatement disqualifiée, au nom de la « démocratie » et d’un principe de « responsabilité » et de « réalité » qui a déjà choisi la réalité considérée comme pertinente.
D’aucuns rétorquent en permanence à ceux qui luttent qu’ils n’ont pas de « programme alternatif » : mais le black-out réalisé sur les forces de contre-propositions (pour sortir de la déliquescence de l’Université actuelle, par exemple), et le fait qu’un tel programme ne se décrète pas, sont deux premiers éléments à garder à l’esprit.
Plus généralement, derrière des slogans comme « Vive la Commune ! » visibles en manifestations, il y a aussi et surtout une posture, qui, quels que soient les biais par lesquels elle s’exprime, est celle du souci de rappeler qu’une autre façon de voir les choses, plus exigeante, plus émancipatrice, est une condition nécessaire de la vie collective.
La question n’est donc pas de défendre contre les tenants d’un « réalisme » plus ou moins pragmatique, plus ou moins offensif ou désabusé, un quelconque « principe utopie » qu’il disqualifient par principe, mais plutôt de voir que l’activité utopisante, bien plus que par ses contenus variés, est avant tout, comme l’explique le philosophie américain F. Jameson, méthode , opération dont la fonction est de faire éclater les limites imposées à la « bonne » imagination consensuelle, c’est-à-dire de nous renvoyer au visage notre imagination bridée, et nous pousser par là à reconstruire un sens du futur instillant au moins l’idée toute simple qu’il n’y a pas d’inéluctabilité, capitaliste en particulier. Décrypter les mécanismes idéologiques hégémoniques, les nouvelles « propagandes du quotidien » (É. Hazan ) est toujours aussi utile mais la mystification ne tient pas tant au contenu des représentations véhiculées qu’à la façon dont on formate les individus lambda à les recevoir : à savoir comme les seules possibles. Formatage et répression idéologiques dont par essence les logiques utopisantes sont la cible, et réciproquement. Marx l’écrivait déjà de façon limpide dans La guerre civile en France :
« La classe ouvrière n’espérait pas des miracles de la Commune. Elle n’a pas d’utopies toute faites à introduire par décret du peuple… Elle n’a pas à réaliser d’idéal, mais seulement à libérer les éléments de la société nouvelle que porte dans ses flancs la vieille société bourgeoise qui s’effondre »
Si donc le passage à l’acte de la puissance démocratique reprend une vigueur politique sous le sceau d’un sens du futur reconquis, cet activisme revu et corrigé ne véhiculera nécessairement qu’une esquisse de programme, ne saura être qu’une création continuée dont on ne peut donc pas présager des formes possibles : la Commune, ou tout autre nom qu’on pourra lui donner, reste à construire et à écrire. Contre le « réalisme », et la raison cynique d’une côté, le « narcissisme de la défaite » (Zizek) de l’autre, réveiller ce sens de la possibilité de l’impossible implique alors corrélativement de se rappeler qu’on ne peut donc pas non plus présager des moyens possibles qui seront les siens, lesquels seront fonction de l’ordre en place qui vendra chèrement sa peau, et de la façon dont elle la vendra. C’est de ce point de vue là que se ré-pose la question de la violence comme possible politique qui ne saurait être a priori rejeté.
Ouverture : résister et passer à l’acte contre la « Police » de l’accumulation
« Voter, ne pas voter, c’est pareil.
S’abstenir, en effet, c’est confirmer la majorité nouvelle, quelle qu’elle soit.
Quoi qu’on fasse à ce sujet, on n’aura rien fait si l’on ne lutte en même temps, cela veut dire dès aujourd’hui, contre le système de la démocratie indirecte qui nous réduit délibérément à l’impuissance en tentant, chacun selon ses ressources, d’organiser le vaste mouvement antihiérarchique qui conteste partout les institutions. » (Sartre)
C’est-à-dire ? Déjà, participer à cette reconstruction d’un nouveau sens du futur, l’autre visage d’un dépassement conséquent des défaites des luttes démocratiques, contre les mythes de la fin de l’histoire ou des idéologies autant que les mythes du « Grand soir ».
Ceci constitue aujourd’hui un élément essentiel de toute prospective théorico-pratique conforme aux exigences d’une lutte de classes aussi instruite qu’offensive.
Et si la démocratie est alors à penser contre la fiction de cet « espace public » confiné dont on nous rabâche les vertus, notre effort quotidien sera encore et toujours de lutter contre ce que Rancière appelle la « Police », la répression organisée, qui ne dit pas son nom, contre tout ce qui combat la logique d’accumulation privée des espaces possiblement communs – comme une université.
Résister à la priva(tisa)tion, et de façon plus offensive, dé-privatiser et réoccuper les espaces en question, ces espaces privés et privatisés qui n’ont aucune raison de l’être (comme les usines) puisque cette contradiction est le cœur du politique, localement comme mondialement.
Sartre rappelait qu’« Il n’y a pas des intellectuels et des masses.
Il y a des gens, qui veulent des choses, et en ce sens, ils sont tous égaux », même s’ils veulent des choses incompatibles.
Et ces rapports de forces peuvent bien sûr être violents : cette violence plus largement est la hantise du politique.
La violence de ceux qui résistent, ne saurait malgré tout être mise sur le même plan que la violence de ceux agressent : assimiler les deux, c’est de la malhonnêteté pure et simple, au moins en ce que cela consiste à refuser de voir le problème, et donc à marteler qu’il n’y a pas de problème social, mais seulement un problème de voyous (comme Sarkozy le dit depuis longtemps au sujet des émeutes de banlieues).
La question qui se pose sera de savoir si nous, les quelconques, serons capables d’accomplir les médiations suffisantes pour cette libération, pour conspirer efficacement, une fois encore, jusqu’à libérer l’Enfermé (Blanqui) : de nous réorganiser jusqu’à « désarmer la bourgeoisie, armer le peuple » avec les armes du XXIe siècle. En ces temps de populisme autoritaire et de politique socio-économique de la terre brûlée, il se pourrait que les occasions ne manquent pas de se poser concrètement la question : dès lors, nous verrons si nous sommes prêts à prendre les coups qu’un tel engagement impliquera.
La néo-punk Ruda Salska le chantait il y a peu dans Le bruit du bang : « Du lance-pierre au lance-flammes tout peut vite basculer »
E. Barot
http://toulouse-philo.forumpro.fr/msg.forum?mode=post&u=2
IV. Rapports de force et « utopie »
écrit par E. BAROT voir lien en bas (document propriété intellectuel de l'auteur) j'ai pris le plaisir de lire dans un forum un sujet de politique et sociologie qui me semble digne de la connaissance de tout ouvrier ou chômeur en France et dans le monde.
i. Le primat de la force
La question n’est en tous cas pas de remettre en cause le suffrage universel, essentiel pour tout régime possiblement non représentatif, mais le magnifier est fort dangereux également : c’est aussi grâce au SU que des régimes fascistes sont nés.
Le sens et la justification éventuelle de l’injonction démocratique aujourd’hui ne saurait de toutes façons pas se suffire de l’appel à la souveraineté populaire.
Mon idée est que, si l’on veut radicaliser la lutte démocratique, l’on ne peut pas la « justifier » : C’est et cela restera à ce petit peuple sans droit de s’arroger le droit : autrement dit, tout est une question de rapport de forces et de qui imposera quoi, et de comment il l’imposera en fonction du « quoi » qu’il aura la volonté de vouloir faire advenir.
La première opération consistera à assumer cette nécessité de la force. Que cela se fasse au nom des droits de l’homme est une chose, qu’on utilise les structures juridiques en place pour défendre certaines libertés, certes : mais l’histoire nous montre que c’est toujours au fond la force qui fait le droit et que celui-ci vient toujours après.
La configuration politique actuelle est hautement ouverte même si, excepté l’hiver 2005-2006, le trait dominant des révoltes collectives des trente dernières années reste pour l’instant celui d’un arrêt avant l’affrontement réel : « réel » signifiant ici qui serait à nouveau capable de produire de l’irréversible.
Pourquoi ce non-passage à l’acte ? Nous avons quitté le matin du grand soir : la somme de défaites, d’errances accumulées, l’état déplorable du monde, le marasme intellectuel global des pensées de gauche, fait que l’espoir en un autre avenir a disparu.
Or, seul cet espoir serait synonyme d’un « tout à gagner » apte à supplanter ce que nous avons à perdre : lequel pousse logiquement en attendant à finalement choisir la soumission à l’ordre ambiant, quand cette soumission n’est pas carrément le choix initial.
La responsabilité historique de la social-démocratie est ici flagrante, et la situation actuelle partage nombre de traits avec celle d’il y a une trentaine d’années.
Il n’est donc pas étonnant que traditionnellement comme actuellement de façon intensifiée, cette social-démocratie participe activement avec son idiome propre, à ces ensemble de raccourcis révisionnistes qui continuent de délégitimer d’emblée toute remise en cause réelle de la société actuelle, immédiatement jugée comme par essence génératrice de machines terrorisantes.
Revenir aux racines de l’idéologie contemporaine, mettre en évidence, encore et toujours, le ciment du bloc idéologique hégémonique, revient donc à montrer à quel point ce révisionnisme politico-historique général, qui mélange formes de résistances et types de violences politiques qualitativement différentes, fait corps, au plus haut degré des nos oligarchies, avec la rhétorique de la « défense de la démocratie ».
On pourra d’une part « sourire des invectives grossières des valets de plume et de la protection sentencieuse des doctrinaires bourgeois bien intentionnés qui débitent leurs platitudes d’ignorants et leurs marottes de sectaires, sur le ton d’oracle de l’infaillibilité scientifique. »
Mais quand ces valets se font offensifs chiens de garde, on ne peut plus se contenter de sourire.
ii. Le danger de l’utopie
On comprend alors facilement le danger majeur que représente toute tentative de ré institution d’un possible politique, ou même d’un impossible utopique – la politique comme art de l’impossible nous dit S. Zizek .
La remise en cause réelle de l’ordre oligarchique corrélative de ce danger est certes immédiatement disqualifiée, au nom de la « démocratie » et d’un principe de « responsabilité » et de « réalité » qui a déjà choisi la réalité considérée comme pertinente.
D’aucuns rétorquent en permanence à ceux qui luttent qu’ils n’ont pas de « programme alternatif » : mais le black-out réalisé sur les forces de contre-propositions (pour sortir de la déliquescence de l’Université actuelle, par exemple), et le fait qu’un tel programme ne se décrète pas, sont deux premiers éléments à garder à l’esprit.
Plus généralement, derrière des slogans comme « Vive la Commune ! » visibles en manifestations, il y a aussi et surtout une posture, qui, quels que soient les biais par lesquels elle s’exprime, est celle du souci de rappeler qu’une autre façon de voir les choses, plus exigeante, plus émancipatrice, est une condition nécessaire de la vie collective.
La question n’est donc pas de défendre contre les tenants d’un « réalisme » plus ou moins pragmatique, plus ou moins offensif ou désabusé, un quelconque « principe utopie » qu’il disqualifient par principe, mais plutôt de voir que l’activité utopisante, bien plus que par ses contenus variés, est avant tout, comme l’explique le philosophie américain F. Jameson, méthode , opération dont la fonction est de faire éclater les limites imposées à la « bonne » imagination consensuelle, c’est-à-dire de nous renvoyer au visage notre imagination bridée, et nous pousser par là à reconstruire un sens du futur instillant au moins l’idée toute simple qu’il n’y a pas d’inéluctabilité, capitaliste en particulier. Décrypter les mécanismes idéologiques hégémoniques, les nouvelles « propagandes du quotidien » (É. Hazan ) est toujours aussi utile mais la mystification ne tient pas tant au contenu des représentations véhiculées qu’à la façon dont on formate les individus lambda à les recevoir : à savoir comme les seules possibles. Formatage et répression idéologiques dont par essence les logiques utopisantes sont la cible, et réciproquement. Marx l’écrivait déjà de façon limpide dans La guerre civile en France :
« La classe ouvrière n’espérait pas des miracles de la Commune. Elle n’a pas d’utopies toute faites à introduire par décret du peuple… Elle n’a pas à réaliser d’idéal, mais seulement à libérer les éléments de la société nouvelle que porte dans ses flancs la vieille société bourgeoise qui s’effondre »
Si donc le passage à l’acte de la puissance démocratique reprend une vigueur politique sous le sceau d’un sens du futur reconquis, cet activisme revu et corrigé ne véhiculera nécessairement qu’une esquisse de programme, ne saura être qu’une création continuée dont on ne peut donc pas présager des formes possibles : la Commune, ou tout autre nom qu’on pourra lui donner, reste à construire et à écrire. Contre le « réalisme », et la raison cynique d’une côté, le « narcissisme de la défaite » (Zizek) de l’autre, réveiller ce sens de la possibilité de l’impossible implique alors corrélativement de se rappeler qu’on ne peut donc pas non plus présager des moyens possibles qui seront les siens, lesquels seront fonction de l’ordre en place qui vendra chèrement sa peau, et de la façon dont elle la vendra. C’est de ce point de vue là que se ré-pose la question de la violence comme possible politique qui ne saurait être a priori rejeté.
Ouverture : résister et passer à l’acte contre la « Police » de l’accumulation
« Voter, ne pas voter, c’est pareil.
S’abstenir, en effet, c’est confirmer la majorité nouvelle, quelle qu’elle soit.
Quoi qu’on fasse à ce sujet, on n’aura rien fait si l’on ne lutte en même temps, cela veut dire dès aujourd’hui, contre le système de la démocratie indirecte qui nous réduit délibérément à l’impuissance en tentant, chacun selon ses ressources, d’organiser le vaste mouvement antihiérarchique qui conteste partout les institutions. » (Sartre)
C’est-à-dire ? Déjà, participer à cette reconstruction d’un nouveau sens du futur, l’autre visage d’un dépassement conséquent des défaites des luttes démocratiques, contre les mythes de la fin de l’histoire ou des idéologies autant que les mythes du « Grand soir ».
Ceci constitue aujourd’hui un élément essentiel de toute prospective théorico-pratique conforme aux exigences d’une lutte de classes aussi instruite qu’offensive.
Et si la démocratie est alors à penser contre la fiction de cet « espace public » confiné dont on nous rabâche les vertus, notre effort quotidien sera encore et toujours de lutter contre ce que Rancière appelle la « Police », la répression organisée, qui ne dit pas son nom, contre tout ce qui combat la logique d’accumulation privée des espaces possiblement communs – comme une université.
Résister à la priva(tisa)tion, et de façon plus offensive, dé-privatiser et réoccuper les espaces en question, ces espaces privés et privatisés qui n’ont aucune raison de l’être (comme les usines) puisque cette contradiction est le cœur du politique, localement comme mondialement.
Sartre rappelait qu’« Il n’y a pas des intellectuels et des masses.
Il y a des gens, qui veulent des choses, et en ce sens, ils sont tous égaux », même s’ils veulent des choses incompatibles.
Et ces rapports de forces peuvent bien sûr être violents : cette violence plus largement est la hantise du politique.
La violence de ceux qui résistent, ne saurait malgré tout être mise sur le même plan que la violence de ceux agressent : assimiler les deux, c’est de la malhonnêteté pure et simple, au moins en ce que cela consiste à refuser de voir le problème, et donc à marteler qu’il n’y a pas de problème social, mais seulement un problème de voyous (comme Sarkozy le dit depuis longtemps au sujet des émeutes de banlieues).
La question qui se pose sera de savoir si nous, les quelconques, serons capables d’accomplir les médiations suffisantes pour cette libération, pour conspirer efficacement, une fois encore, jusqu’à libérer l’Enfermé (Blanqui) : de nous réorganiser jusqu’à « désarmer la bourgeoisie, armer le peuple » avec les armes du XXIe siècle. En ces temps de populisme autoritaire et de politique socio-économique de la terre brûlée, il se pourrait que les occasions ne manquent pas de se poser concrètement la question : dès lors, nous verrons si nous sommes prêts à prendre les coups qu’un tel engagement impliquera.
La néo-punk Ruda Salska le chantait il y a peu dans Le bruit du bang : « Du lance-pierre au lance-flammes tout peut vite basculer »
E. Barot
http://toulouse-philo.forumpro.fr/msg.forum?mode=post&u=2
Un fusible qui saute...
403 MILLIONS
La justice française semble disposer d'un dossier lourd
Le délit est celui de escroquerie en bande organisée
Monsieur Stéphane Richard présumé innocent dans un dossier de escroquerie en bande organisée.
La justice semble en liberté en France, puisque un éminent membre du PS en la personne de Jérôme Cahuzac est mise en examen sous la charge de évasion fiscale. Monsieur Richard, reste à mes yeux un fusible ou un pion dans l’échiquier, du dossier d'arbitrage de l'affaire TAPIS.
Je reste sur ma faim, quant au nombre croissant de dossiers de la justice en France, où des pions sont incriminés, où des ombres, des doutes, tournent au tour d'un gros poisson, qui jusqu'à maintenant semble s'en sortir blanc comme neige; l'attentat de Karachi, Le général Kadafi invité sur tapis rouge le 14 juillet, Les visites a madame Betancourt, et maintenant le dossier d'arbitrage dans l'affaire TAPIS.
La justice française semble disposer d'un dossier lourd
Le délit est celui de escroquerie en bande organisée
Monsieur Stéphane Richard présumé innocent dans un dossier de escroquerie en bande organisée.
La justice semble en liberté en France, puisque un éminent membre du PS en la personne de Jérôme Cahuzac est mise en examen sous la charge de évasion fiscale. Monsieur Richard, reste à mes yeux un fusible ou un pion dans l’échiquier, du dossier d'arbitrage de l'affaire TAPIS.
Je reste sur ma faim, quant au nombre croissant de dossiers de la justice en France, où des pions sont incriminés, où des ombres, des doutes, tournent au tour d'un gros poisson, qui jusqu'à maintenant semble s'en sortir blanc comme neige; l'attentat de Karachi, Le général Kadafi invité sur tapis rouge le 14 juillet, Les visites a madame Betancourt, et maintenant le dossier d'arbitrage dans l'affaire TAPIS.
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Date d'inscription : 21/02/2009
Extrémisme et politique
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Extrémisme et politique
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny vendredi 14 juin 2013
Dédié à mes amis des réseaux sociaux. À mes amis de FACEBOOK, entre autres Guy Verdier, Zahia Benabid, Horia Benbouali, Jean-Jacques Giraud, Giovanni Falcetta, Nathalie Audin, dans une liste non exhaustive
Avancer en impartialité sur un sujet si sensible, reste un exercice difficile
Sur le plan pratique, les personnes leur quotidien, nous risquerions de tomber dans le roman médiocre. Sur le plan des idées, le domaine qui je vais traiter ici, il y a nécessairement deux types de personnes.
L'extrémisme, je n'aimerais pas y classer, mais cela reste nécessaire, peu être classé en deux grands domaines, du domaine religieux et du domaine politique à niveau mondiale.
La religion et la politique ont domine les cercles du pouvoir parce que la religion à l'origine, sans vouloir être méprisant, permettez aisément l'explication de l'origine de la pluie, l'éclaire, le soleil aux béotiens, de la part des non moins despotes bourgeois au pouvoir depuis que la notion de propriété privée aurait commencé à se développer (lire Jean Jaques Rousseau) Nous aurions beaucoup du mal à différencier le pouvoir religieux et le pouvoir politique parmi les nations avant l’avènement de la RÉPUBLIQUE, pour la France en 1789.
Sans doute des érudites théoriciens de la théologie, auraient-t-il des moyens d'argumenter face à mon opinion « ici » simpliste sur les religions ?
Sans aucune doute que le béotien, le quidam de base, serait tenté d'être beaucoup plus sauvage sans le frein indispensable de la peur, au quel cas, je suis d'accord pour admettre que l'outil religion reste indispensable, en tant que moyen de maintenir l'ordre, l’éthique et la morale dans une société. A noter que j'approuve volontiers cet bon coté moraliste sans la moindre intention de prosélytisme. Mais alors pour quoi doper la conscience avec des croyances ? Tout simplement parce que c'est le moyen le moins onéreux de maintenir la conscience populaire en laisse.
Les principes d'éthique, justice, morale
En place et lieu d'une éducation civique solide, les civilisations auraient trouvé mieux d'instruire les peuples avec les différentes religions.
Oui mais nous devions parler d'extrémisme ?
J'y reviens !
Oui à force d’empoisonner la conscience sociale, avec des promesses de paradis et vie éternelle, voilà que (en matière d'extrémisme religieux) des gens arrivaient même aux extrêmes de vouloir devenir des héros en se faisant exploser avec une ceinture d'explosifs.
Bravo ! Les intellectuels qu'auraient pondu cette idée, d'empoisonner la frêle conscience du petit peuple. Est-je répondu ?
Oui mais les autres extrémistes ?
Les quels ? A oui les extrémistes politiques !
Ceux-là ? Ils sont aussi de deux types ?
Ceux qu'abusent de l'ignorance des béotiens, des quidams, (une dangereuse minorité pourtant) puis le reste.
Comment ça ?
Oui Car les leaders extrémistes au plus haut niveau, arrivaient à intenter de pondre des idées, à ficeler des élucubrations, qu'une fois épandes aux quatre points cardinaux, ba par fois arrivaient à prendre ici et là, dans des cerveaux aussi frêles que ceux qui se laissent amadouer par une religion.
L'extrémisme politique
Du moment que le capitalisme aura réussi à participer dans la chute de l'empire URSS, (par moitié, car l'autre moitié de responsabilité correspond au taux de corruption endémique ? Mais non je plaisante, des leaders rouges) l'idéal de gauche devienne mécaniquement une UTOPIE. Comment disait Galileo Gallilei « et pourtant elle tourne » oui une toute petite île au caraïbe, oui, oui, CUBA, se trouve volontairement bloqué par l'impérialisme.
Une fois de plus j'envie de titiller des éventuels lecteur « intellectuels » Le capitalisme reste l'empire où moins de 3 % des gens imposent leur moindre envie au reste de la terre. Une de ces envies est fondamentale pour garantir la pérennité ! De faire croire au petit peuple que nous vivons en démocratie!
Le pire est que 99 % du petit peuple y croie !!!!!
Pour quoi je dit cela ? J'y crois à la démocratie, et j'y défends cette notion, mais il est faux, archi - faux avancer que nous vivons en démocratie. L'ensemble de mes interventions sur le web, (difficiles de ressembler) sont au fait une succession de signales d'alarme sur la dérivé dans un procès où des banquiers insolents, cyniques dépourvus du moindre sens d'éthique et de justice sociale, spéculent avec la bienveillance avérée à travers la législation fiscale, de la classe politique. Le système capitaliste dès lors n'aura dans ce sens rien de mieux ou plus honnête que les pratiques courantes dans l'empire URSS, La seule différence visible est que l'empire capitaliste y met touts les moyens médiatiques pour faire passer un message de bien-être. Les extrémistes de gauche semblent admettre donc l'horreur des GOULAGS, là où le capitalisme aura discrètement assassiné en Éthiopie ou en Somalie comment ailleurs dans le monde autant au plus de victimes. Hélas les médias sont un outil, duquel reste impossible de s’en servir jusqu'à l'arrivée heureuse du web ; bien que le nombre de lectures de certains sujets, le nombre de commentaires, me sers d'unité de mesure de l'impact de certains sujets.
Le grand danger
Lorsque des frêles cerveaux, sont affectés, de manière violente par une idée qu'à leurs yeux, peu être d'un niveau d'injustice insupportable, lorsque des cadres (imams, chefs de parti politique, instructeurs révolutionnaires) réussissent à éveiller la partie innée d'animal qu'existe dans chaque être humain. Naisse alors une sorte de monstre, capable de tuer !
Mais un tel monstre à mon sens n'est que l'outil, (auteur matériel dans le jargon pénale) l'aboutissement d'un procès, lancé par des auteurs intellectuels (les vrais responsables) manipulateurs.
Allons plus loin (pour titiller des éventuels intellectuels, toujours) C'est l'injustice, qu'éveille le mécontentement, qui est partie intégrante dans le procès de créations des extrémistes !
Conclusion
Éradiquer l'injustice sociale, les religions dans leur forme publique voir orthodoxe (lire radicale), l'ignorance, l'absence de conscience sociale, est le moyen le plus efficient pour éradiquer tout réponse aussi violente, de la part des béotiens. Un extrémiste qui ose un acte violent pouvant le conduire devant la justice dans le meilleur des cas ; reste un pauvre pommé sans véritable connaissance de la complexité « apparente » de la société.
Extrémisme et politique
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny vendredi 14 juin 2013
Dédié à mes amis des réseaux sociaux. À mes amis de FACEBOOK, entre autres Guy Verdier, Zahia Benabid, Horia Benbouali, Jean-Jacques Giraud, Giovanni Falcetta, Nathalie Audin, dans une liste non exhaustive
Avancer en impartialité sur un sujet si sensible, reste un exercice difficile
Sur le plan pratique, les personnes leur quotidien, nous risquerions de tomber dans le roman médiocre. Sur le plan des idées, le domaine qui je vais traiter ici, il y a nécessairement deux types de personnes.
L'extrémisme, je n'aimerais pas y classer, mais cela reste nécessaire, peu être classé en deux grands domaines, du domaine religieux et du domaine politique à niveau mondiale.
La religion et la politique ont domine les cercles du pouvoir parce que la religion à l'origine, sans vouloir être méprisant, permettez aisément l'explication de l'origine de la pluie, l'éclaire, le soleil aux béotiens, de la part des non moins despotes bourgeois au pouvoir depuis que la notion de propriété privée aurait commencé à se développer (lire Jean Jaques Rousseau) Nous aurions beaucoup du mal à différencier le pouvoir religieux et le pouvoir politique parmi les nations avant l’avènement de la RÉPUBLIQUE, pour la France en 1789.
Sans doute des érudites théoriciens de la théologie, auraient-t-il des moyens d'argumenter face à mon opinion « ici » simpliste sur les religions ?
Sans aucune doute que le béotien, le quidam de base, serait tenté d'être beaucoup plus sauvage sans le frein indispensable de la peur, au quel cas, je suis d'accord pour admettre que l'outil religion reste indispensable, en tant que moyen de maintenir l'ordre, l’éthique et la morale dans une société. A noter que j'approuve volontiers cet bon coté moraliste sans la moindre intention de prosélytisme. Mais alors pour quoi doper la conscience avec des croyances ? Tout simplement parce que c'est le moyen le moins onéreux de maintenir la conscience populaire en laisse.
Les principes d'éthique, justice, morale
En place et lieu d'une éducation civique solide, les civilisations auraient trouvé mieux d'instruire les peuples avec les différentes religions.
Oui mais nous devions parler d'extrémisme ?
J'y reviens !
Oui à force d’empoisonner la conscience sociale, avec des promesses de paradis et vie éternelle, voilà que (en matière d'extrémisme religieux) des gens arrivaient même aux extrêmes de vouloir devenir des héros en se faisant exploser avec une ceinture d'explosifs.
Bravo ! Les intellectuels qu'auraient pondu cette idée, d'empoisonner la frêle conscience du petit peuple. Est-je répondu ?
Oui mais les autres extrémistes ?
Les quels ? A oui les extrémistes politiques !
Ceux-là ? Ils sont aussi de deux types ?
Ceux qu'abusent de l'ignorance des béotiens, des quidams, (une dangereuse minorité pourtant) puis le reste.
Comment ça ?
Oui Car les leaders extrémistes au plus haut niveau, arrivaient à intenter de pondre des idées, à ficeler des élucubrations, qu'une fois épandes aux quatre points cardinaux, ba par fois arrivaient à prendre ici et là, dans des cerveaux aussi frêles que ceux qui se laissent amadouer par une religion.
L'extrémisme politique
Du moment que le capitalisme aura réussi à participer dans la chute de l'empire URSS, (par moitié, car l'autre moitié de responsabilité correspond au taux de corruption endémique ? Mais non je plaisante, des leaders rouges) l'idéal de gauche devienne mécaniquement une UTOPIE. Comment disait Galileo Gallilei « et pourtant elle tourne » oui une toute petite île au caraïbe, oui, oui, CUBA, se trouve volontairement bloqué par l'impérialisme.
Une fois de plus j'envie de titiller des éventuels lecteur « intellectuels » Le capitalisme reste l'empire où moins de 3 % des gens imposent leur moindre envie au reste de la terre. Une de ces envies est fondamentale pour garantir la pérennité ! De faire croire au petit peuple que nous vivons en démocratie!
Le pire est que 99 % du petit peuple y croie !!!!!
Pour quoi je dit cela ? J'y crois à la démocratie, et j'y défends cette notion, mais il est faux, archi - faux avancer que nous vivons en démocratie. L'ensemble de mes interventions sur le web, (difficiles de ressembler) sont au fait une succession de signales d'alarme sur la dérivé dans un procès où des banquiers insolents, cyniques dépourvus du moindre sens d'éthique et de justice sociale, spéculent avec la bienveillance avérée à travers la législation fiscale, de la classe politique. Le système capitaliste dès lors n'aura dans ce sens rien de mieux ou plus honnête que les pratiques courantes dans l'empire URSS, La seule différence visible est que l'empire capitaliste y met touts les moyens médiatiques pour faire passer un message de bien-être. Les extrémistes de gauche semblent admettre donc l'horreur des GOULAGS, là où le capitalisme aura discrètement assassiné en Éthiopie ou en Somalie comment ailleurs dans le monde autant au plus de victimes. Hélas les médias sont un outil, duquel reste impossible de s’en servir jusqu'à l'arrivée heureuse du web ; bien que le nombre de lectures de certains sujets, le nombre de commentaires, me sers d'unité de mesure de l'impact de certains sujets.
Le grand danger
Lorsque des frêles cerveaux, sont affectés, de manière violente par une idée qu'à leurs yeux, peu être d'un niveau d'injustice insupportable, lorsque des cadres (imams, chefs de parti politique, instructeurs révolutionnaires) réussissent à éveiller la partie innée d'animal qu'existe dans chaque être humain. Naisse alors une sorte de monstre, capable de tuer !
Mais un tel monstre à mon sens n'est que l'outil, (auteur matériel dans le jargon pénale) l'aboutissement d'un procès, lancé par des auteurs intellectuels (les vrais responsables) manipulateurs.
Allons plus loin (pour titiller des éventuels intellectuels, toujours) C'est l'injustice, qu'éveille le mécontentement, qui est partie intégrante dans le procès de créations des extrémistes !
Conclusion
Éradiquer l'injustice sociale, les religions dans leur forme publique voir orthodoxe (lire radicale), l'ignorance, l'absence de conscience sociale, est le moyen le plus efficient pour éradiquer tout réponse aussi violente, de la part des béotiens. Un extrémiste qui ose un acte violent pouvant le conduire devant la justice dans le meilleur des cas ; reste un pauvre pommé sans véritable connaissance de la complexité « apparente » de la société.
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Date d'inscription : 21/02/2009
Extrémisme et politique
Extrémisme et politique
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny vendredi 14 juin 2013
Dédié à mes amis des réseaux sociaux. À mes amis de FACEBOOK, entre autres Guy Verdier, Zahia Benabid, Horia Benbouali, Jean-Jacques Giraud, Giovanni Falcetta, Nathalie Audin, dans une liste non exhaustive
Avancer en impartialité sur un sujet si sensible, reste un exercice difficile
Sur le plan pratique, les personnes leur quotidien, nous risquerions de tomber dans le roman médiocre. Sur le plan des idées, le domaine qui je vais traiter ici, il y a nécessairement deux types de personnes.
L'extrémisme, je n'aimerais pas y classer, mais cela reste nécessaire, peu être classé en deux grands domaines, du domaine religieux et du domaine politique à niveau mondiale.
La religion et la politique ont domine les cercles du pouvoir parce que la religion à l'origine, sans vouloir être méprisant, permettez aisément l'explication de l'origine de la pluie, l'éclaire, le soleil aux béotiens, de la part des non moins despotes bourgeois au pouvoir depuis que la notion de propriété privée aurait commencé à se développer (lire Jean Jaques Rousseau) Nous aurions beaucoup du mal à différencier le pouvoir religieux et le pouvoir politique parmi les nations avant l’avènement de la RÉPUBLIQUE, pour la France en 1789.
Sans doute des érudites théoriciens de la théologie, auraient-t-il des moyens d'argumenter face à mon opinion « ici » simpliste sur les religions ?
Sans aucune doute que le béotien, le quidam de base, serait tenté d'être beaucoup plus sauvage sans le frein indispensable de la peur, au quel cas, je suis d'accord pour admettre que l'outil religion reste indispensable, en tant que moyen de maintenir l'ordre, l’éthique et la morale dans une société. A noter que j'approuve volontiers cet bon coté moraliste sans la moindre intention de prosélytisme. Mais alors pour quoi doper la conscience avec des croyances ? Tout simplement parce que c'est le moyen le moins onéreux de maintenir la conscience populaire en laisse.
Les principes d'éthique, justice, morale
En place et lieu d'une éducation civique solide, les civilisations auraient trouvé mieux d'instruire les peuples avec les différentes religions.
Oui mais nous devions parler d'extrémisme ?
J'y reviens !
Oui à force d’empoisonner la conscience sociale, avec des promesses de paradis et vie éternelle, voilà que (en matière d'extrémisme religieux) des gens arrivaient même aux extrêmes de vouloir devenir des héros en se faisant exploser avec une ceinture d'explosifs.
Bravo ! Les intellectuels qu'auraient pondu cette idée, d'empoisonner la frêle conscience du petit peuple. Est-je répondu ?
Oui mais les autres extrémistes ?
Les quels ? A oui les extrémistes politiques !
Ceux-là ? Ils sont aussi de deux types ?
Ceux qu'abusent de l'ignorance des béotiens, des quidams, (une dangereuse minorité pourtant) puis le reste.
Comment ça ?
Oui Car les leaders extrémistes au plus haut niveau, arrivaient à intenter de pondre des idées, à ficeler des élucubrations, qu'une fois épandes aux quatre points cardinaux, ba par fois arrivaient à prendre ici et là, dans des cerveaux aussi frêles que ceux qui se laissent amadouer par une religion.
L'extrémisme politique
Du moment que le capitalisme aura réussi à participer dans la chute de l'empire URSS, (par moitié, car l'autre moitié de responsabilité correspond au taux de corruption endémique ? Mais non je plaisante, des leaders rouges) l'idéal de gauche devienne mécaniquement une UTOPIE. Comment disait Galileo Gallilei « et pourtant elle tourne » oui une toute petite île au caraïbe, oui, oui, CUBA, se trouve volontairement bloqué par l'impérialisme.
Une fois de plus j'envie de titiller des éventuels lecteur « intellectuels » Le capitalisme reste l'empire où moins de 3 % des gens imposent leur moindre envie au reste de la terre. Une de ces envies est fondamentale pour garantir la pérennité ! De faire croire au petit peuple que nous vivons en démocratie!
Le pire est que 99 % du petit peuple y croie !!!!!
Pour quoi je dit cela ? J'y crois à la démocratie, et j'y défends cette notion, mais il est faux, archi - faux avancer que nous vivons en démocratie. L'ensemble de mes interventions sur le web, (difficiles de ressembler) sont au fait une succession de signales d'alarme sur la dérivé dans un procès où des banquiers insolents, cyniques dépourvus du moindre sens d'éthique et de justice sociale, spéculent avec la bienveillance avérée à travers la législation fiscale, de la classe politique. Le système capitaliste dès lors n'aura dans ce sens rien de mieux ou plus honnête que les pratiques courantes dans l'empire URSS, La seule différence visible est que l'empire capitaliste y met touts les moyens médiatiques pour faire passer un message de bien-être. Les extrémistes de gauche semblent admettre donc l'horreur des GOULAGS, là où le capitalisme aura discrètement assassiné en Éthiopie ou en Somalie comment ailleurs dans le monde autant au plus de victimes. Hélas les médias sont un outil, duquel reste impossible de s’en servir jusqu'à l'arrivée heureuse du web ; bien que le nombre de lectures de certains sujets, le nombre de commentaires, me sers d'unité de mesure de l'impact de certains sujets.
Le grand danger
Lorsque des frêles cerveaux, sont affectés, de manière violente par une idée qu'à leurs yeux, peu être d'un niveau d'injustice insupportable, lorsque des cadres (imams, chefs de parti politique, instructeurs révolutionnaires) réussissent à éveiller la partie innée d'animal qu'existe dans chaque être humain. Naisse alors une sorte de monstre, capable de tuer !
Mais un tel monstre à mon sens n'est que l'outil, (auteur matériel dans le jargon pénale) l'aboutissement d'un procès, lancé par des auteurs intellectuels (les vrais responsables) manipulateurs.
Allons plus loin (pour titiller des éventuels intellectuels, toujours) C'est l'injustice, qu'éveille le mécontentement, qui est partie intégrante dans le procès de créations des extrémistes !
Conclusion
Éradiquer l'injustice sociale, les religions dans leur forme publique voir orthodoxe (lire radicale), l'ignorance, l'absence de conscience sociale, est le moyen le plus efficient pour éradiquer tout réponse aussi violente, de la part des béotiens. Un extrémiste qui ose un acte violent pouvant le conduire devant la justice dans le meilleur des cas ; reste un pauvre pommé sans véritable connaissance de la complexité « apparente » de la société.
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny vendredi 14 juin 2013
Dédié à mes amis des réseaux sociaux. À mes amis de FACEBOOK, entre autres Guy Verdier, Zahia Benabid, Horia Benbouali, Jean-Jacques Giraud, Giovanni Falcetta, Nathalie Audin, dans une liste non exhaustive
Avancer en impartialité sur un sujet si sensible, reste un exercice difficile
Sur le plan pratique, les personnes leur quotidien, nous risquerions de tomber dans le roman médiocre. Sur le plan des idées, le domaine qui je vais traiter ici, il y a nécessairement deux types de personnes.
L'extrémisme, je n'aimerais pas y classer, mais cela reste nécessaire, peu être classé en deux grands domaines, du domaine religieux et du domaine politique à niveau mondiale.
La religion et la politique ont domine les cercles du pouvoir parce que la religion à l'origine, sans vouloir être méprisant, permettez aisément l'explication de l'origine de la pluie, l'éclaire, le soleil aux béotiens, de la part des non moins despotes bourgeois au pouvoir depuis que la notion de propriété privée aurait commencé à se développer (lire Jean Jaques Rousseau) Nous aurions beaucoup du mal à différencier le pouvoir religieux et le pouvoir politique parmi les nations avant l’avènement de la RÉPUBLIQUE, pour la France en 1789.
Sans doute des érudites théoriciens de la théologie, auraient-t-il des moyens d'argumenter face à mon opinion « ici » simpliste sur les religions ?
Sans aucune doute que le béotien, le quidam de base, serait tenté d'être beaucoup plus sauvage sans le frein indispensable de la peur, au quel cas, je suis d'accord pour admettre que l'outil religion reste indispensable, en tant que moyen de maintenir l'ordre, l’éthique et la morale dans une société. A noter que j'approuve volontiers cet bon coté moraliste sans la moindre intention de prosélytisme. Mais alors pour quoi doper la conscience avec des croyances ? Tout simplement parce que c'est le moyen le moins onéreux de maintenir la conscience populaire en laisse.
Les principes d'éthique, justice, morale
En place et lieu d'une éducation civique solide, les civilisations auraient trouvé mieux d'instruire les peuples avec les différentes religions.
Oui mais nous devions parler d'extrémisme ?
J'y reviens !
Oui à force d’empoisonner la conscience sociale, avec des promesses de paradis et vie éternelle, voilà que (en matière d'extrémisme religieux) des gens arrivaient même aux extrêmes de vouloir devenir des héros en se faisant exploser avec une ceinture d'explosifs.
Bravo ! Les intellectuels qu'auraient pondu cette idée, d'empoisonner la frêle conscience du petit peuple. Est-je répondu ?
Oui mais les autres extrémistes ?
Les quels ? A oui les extrémistes politiques !
Ceux-là ? Ils sont aussi de deux types ?
Ceux qu'abusent de l'ignorance des béotiens, des quidams, (une dangereuse minorité pourtant) puis le reste.
Comment ça ?
Oui Car les leaders extrémistes au plus haut niveau, arrivaient à intenter de pondre des idées, à ficeler des élucubrations, qu'une fois épandes aux quatre points cardinaux, ba par fois arrivaient à prendre ici et là, dans des cerveaux aussi frêles que ceux qui se laissent amadouer par une religion.
L'extrémisme politique
Du moment que le capitalisme aura réussi à participer dans la chute de l'empire URSS, (par moitié, car l'autre moitié de responsabilité correspond au taux de corruption endémique ? Mais non je plaisante, des leaders rouges) l'idéal de gauche devienne mécaniquement une UTOPIE. Comment disait Galileo Gallilei « et pourtant elle tourne » oui une toute petite île au caraïbe, oui, oui, CUBA, se trouve volontairement bloqué par l'impérialisme.
Une fois de plus j'envie de titiller des éventuels lecteur « intellectuels » Le capitalisme reste l'empire où moins de 3 % des gens imposent leur moindre envie au reste de la terre. Une de ces envies est fondamentale pour garantir la pérennité ! De faire croire au petit peuple que nous vivons en démocratie!
Le pire est que 99 % du petit peuple y croie !!!!!
Pour quoi je dit cela ? J'y crois à la démocratie, et j'y défends cette notion, mais il est faux, archi - faux avancer que nous vivons en démocratie. L'ensemble de mes interventions sur le web, (difficiles de ressembler) sont au fait une succession de signales d'alarme sur la dérivé dans un procès où des banquiers insolents, cyniques dépourvus du moindre sens d'éthique et de justice sociale, spéculent avec la bienveillance avérée à travers la législation fiscale, de la classe politique. Le système capitaliste dès lors n'aura dans ce sens rien de mieux ou plus honnête que les pratiques courantes dans l'empire URSS, La seule différence visible est que l'empire capitaliste y met touts les moyens médiatiques pour faire passer un message de bien-être. Les extrémistes de gauche semblent admettre donc l'horreur des GOULAGS, là où le capitalisme aura discrètement assassiné en Éthiopie ou en Somalie comment ailleurs dans le monde autant au plus de victimes. Hélas les médias sont un outil, duquel reste impossible de s’en servir jusqu'à l'arrivée heureuse du web ; bien que le nombre de lectures de certains sujets, le nombre de commentaires, me sers d'unité de mesure de l'impact de certains sujets.
Le grand danger
Lorsque des frêles cerveaux, sont affectés, de manière violente par une idée qu'à leurs yeux, peu être d'un niveau d'injustice insupportable, lorsque des cadres (imams, chefs de parti politique, instructeurs révolutionnaires) réussissent à éveiller la partie innée d'animal qu'existe dans chaque être humain. Naisse alors une sorte de monstre, capable de tuer !
Mais un tel monstre à mon sens n'est que l'outil, (auteur matériel dans le jargon pénale) l'aboutissement d'un procès, lancé par des auteurs intellectuels (les vrais responsables) manipulateurs.
Allons plus loin (pour titiller des éventuels intellectuels, toujours) C'est l'injustice, qu'éveille le mécontentement, qui est partie intégrante dans le procès de créations des extrémistes !
Conclusion
Éradiquer l'injustice sociale, les religions dans leur forme publique voir orthodoxe (lire radicale), l'ignorance, l'absence de conscience sociale, est le moyen le plus efficient pour éradiquer tout réponse aussi violente, de la part des béotiens. Un extrémiste qui ose un acte violent pouvant le conduire devant la justice dans le meilleur des cas ; reste un pauvre pommé sans véritable connaissance de la complexité « apparente » de la société.
Gramophone- membre
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Date d'inscription : 21/02/2009
Austérité ou croissance?
Certains économistes, osent même affirmer qu'il vaut mieux laisser filer la dévaluation, autant que la dette externe que prendre des mesures d'austérité
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny mardi 18 juin 2013
Le président d'un pays ne dispose pas des moyens pour changer l'évolution économique mondiale.
Même pour des nations de l'envergure de la France, reste assez difficile de mettre en place une politique de reprise économique favorable aux majorités populaires.
De toute évidence, lors des suffrages ce sont les masses populaires, majoritaires « d'ailleurs » dans toute nation de sur croit démocratique, qui représentaient inéluctablement une majorité.
Ainsi comment l'opinion populaire reste clé lors du suffrage universel en démocratie, nous avons des classes hégémoniques qui s’accaparent avec volonté acerbe touts les postes clés de la politique et la gestion de grandes entreprises et groupes industriels.
Ces deux phrases tenues comment « prémisses »
Nous pourrions conclure que les hommes politiques, pour des raisons que nombre de fois j'ai déjà confirmé dans mes textes (dans des blogs et forums) restent très proches dans la mise en pratique de la politique globale. Rien de clandestin ou illicite d'ailleurs, mais pour une foule de raisons, les leaders politiques arrivaient au but des années à chercher à mettre en place des mesures plutôt favorables aux nantis, sauf que les gens de droite appliqueraient sans la moindre ambiguïté ou complexe des politiques ouvertement bénéfiques aux plus riches. Tandis que les hommes politiques plutôt de gauche, vont se sentir redevables des majorités populaires « les seuls qui peuvent arriver à élire des personnes avec une étiquette en apparence DE GAUCHE » raison qui supporte des grandes réformes en faveur des classes populaires : la retraite à 60 ans, les 35 heures hebdomadaires. La cinquième semaine de congés payés, La définition de contrat à durée indéterminée, la création du Code du travail, la définition de accident de travail et ses conséquences dans la rémunération. La création de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, La création du Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail, Le droit à s'associer des ouvriers pour défendre leurs intérêts. Dans une liste non exhaustive bien entendu.
Un président avec étiquette A GAUCHE, pour être populaire, doit assumer certains mesures éminemment POPULAIRES adoptés en France non sans difficultés !
Un président de gauche, qui tente de faire passer une politique souhaité par le MEDEF, (augmentation de l'âge pour départ en retraite, diminution du champ d’application et avancées de la protection sociale en France) malgré avoir été élu par les classes populaires, voir par la voie d'une coalition avec des groupes aux idées de gauche ou des écologistes ; exemple type 1981, où François Mitterrand aura obtenu une coalition lui permettant d'occuper l’Élysée au but ; devient dès lors impopulaire, lorsque les électeur croient avoir été trompés !
Austérité.
La politique d'austérité, aura pour conséquences immédiates et automatiques, un frein accéléré à la consommation des ménages, cela se traduit par une suite logique où le ralentissement des activités économiques est l'indicateur le plus palpable, s'ensuit une cascade, avec destruction de l'emploi.
Dans cette suite logique d'austérité, lorsque le cahier de commandes des entreprises, se réduit (logique suite à la baisse de consommation de ménages) puisque le chômage augmente, ce sont les recettes de la protection sociale qui baissent et sont simultanément mise à mal « rien de paradoxale » par l'explosion des besoins d'indemnités. Pour qu'une nation comment la France soit en bonne santé économique le taux de chômage ne doit pas excéder 5,5 %, au-delà de 9 % de chômage, c'est alors de déficit de la protection sociale qui explose.
Certains économistes, osent même affirmer qu'il vaut mieux laisser filer la dévaluation, autant que la dette externe que prendre des mesures d'austérité.
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny mardi 18 juin 2013
Le président d'un pays ne dispose pas des moyens pour changer l'évolution économique mondiale.
Même pour des nations de l'envergure de la France, reste assez difficile de mettre en place une politique de reprise économique favorable aux majorités populaires.
De toute évidence, lors des suffrages ce sont les masses populaires, majoritaires « d'ailleurs » dans toute nation de sur croit démocratique, qui représentaient inéluctablement une majorité.
Ainsi comment l'opinion populaire reste clé lors du suffrage universel en démocratie, nous avons des classes hégémoniques qui s’accaparent avec volonté acerbe touts les postes clés de la politique et la gestion de grandes entreprises et groupes industriels.
Ces deux phrases tenues comment « prémisses »
Nous pourrions conclure que les hommes politiques, pour des raisons que nombre de fois j'ai déjà confirmé dans mes textes (dans des blogs et forums) restent très proches dans la mise en pratique de la politique globale. Rien de clandestin ou illicite d'ailleurs, mais pour une foule de raisons, les leaders politiques arrivaient au but des années à chercher à mettre en place des mesures plutôt favorables aux nantis, sauf que les gens de droite appliqueraient sans la moindre ambiguïté ou complexe des politiques ouvertement bénéfiques aux plus riches. Tandis que les hommes politiques plutôt de gauche, vont se sentir redevables des majorités populaires « les seuls qui peuvent arriver à élire des personnes avec une étiquette en apparence DE GAUCHE » raison qui supporte des grandes réformes en faveur des classes populaires : la retraite à 60 ans, les 35 heures hebdomadaires. La cinquième semaine de congés payés, La définition de contrat à durée indéterminée, la création du Code du travail, la définition de accident de travail et ses conséquences dans la rémunération. La création de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, La création du Comité d’Hygiène, de Sécurité et des Conditions de Travail, Le droit à s'associer des ouvriers pour défendre leurs intérêts. Dans une liste non exhaustive bien entendu.
Un président avec étiquette A GAUCHE, pour être populaire, doit assumer certains mesures éminemment POPULAIRES adoptés en France non sans difficultés !
Un président de gauche, qui tente de faire passer une politique souhaité par le MEDEF, (augmentation de l'âge pour départ en retraite, diminution du champ d’application et avancées de la protection sociale en France) malgré avoir été élu par les classes populaires, voir par la voie d'une coalition avec des groupes aux idées de gauche ou des écologistes ; exemple type 1981, où François Mitterrand aura obtenu une coalition lui permettant d'occuper l’Élysée au but ; devient dès lors impopulaire, lorsque les électeur croient avoir été trompés !
Austérité.
La politique d'austérité, aura pour conséquences immédiates et automatiques, un frein accéléré à la consommation des ménages, cela se traduit par une suite logique où le ralentissement des activités économiques est l'indicateur le plus palpable, s'ensuit une cascade, avec destruction de l'emploi.
Dans cette suite logique d'austérité, lorsque le cahier de commandes des entreprises, se réduit (logique suite à la baisse de consommation de ménages) puisque le chômage augmente, ce sont les recettes de la protection sociale qui baissent et sont simultanément mise à mal « rien de paradoxale » par l'explosion des besoins d'indemnités. Pour qu'une nation comment la France soit en bonne santé économique le taux de chômage ne doit pas excéder 5,5 %, au-delà de 9 % de chômage, c'est alors de déficit de la protection sociale qui explose.
Certains économistes, osent même affirmer qu'il vaut mieux laisser filer la dévaluation, autant que la dette externe que prendre des mesures d'austérité.
Politique et retraite
Retraite: Malaise et danger
L'homme politique semble être loin de prendre la mesure de l'évolution de la société.
électeurs déçus
Grand danger lors des commises électoraux à venir par exemple le sujet des retraites.
Quitte à aborder le sujet en toute impartialité
Mais alors madame Laurence PARISOT du MEDEF aura touta-fait raison de militer pour une augmentation de l'âge légale de départ en retraite à condition de considérer avec exactitude le type d'activité des candidats. Pour parler claire, il s'agit des sujets du genre niveau de rémunération, voir niveau socioprofessionnel, la pénibilité, entre autres.
Les nouvelles générations de niveau socioprofessionnel bas ; c'est-à-dire, des jeunes gens avec niveau CAP, voir en échec scolaire, sont ceux qui se trouvent le plus du temps sans emploi.
Les entreprises de travail temporaire, évoluent, il y a qu'avoir leur chiffre d'affaires. Au fait les employeurs, trouvent trop risqué d'une part, emboucher des CDI, (mot que le MEDEF tente de manière véhémente d'effacer de la législation) En deuxième lieu, les tâches les plus pénibles, celles qui sont à l'origine des maladies professionnelles, des troubles musculo-squelettiques sont assignés justement à des intérimaires ; (la doubler peine).
Aucun employeurs aujourd'hui, aucun cadre, aucune personne est en mesure de contredire, la réalité décrite ici-dessus.
C'est donc sur la base des faits, que les médecins conseil de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, les médecins de travail, que les inspections de travail, à niveau national connaissent et constatent au quotidien, mêmes faits que les leaders politiques connaissent mais qui personne semble vouloir tenir en compte.
Ici le Comité d'hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail des entreprises aptes à l'avoir auraient du jouer un rôle fondamentale. Je mesure mes mots, donc les représentant syndicaux, semblent manquer aussi à leur responsabilité.
Hypocrisie et responsabilité
Nous sommes hélas, obligés d'affirmer que la santé des classes populaires, n’intéresse personne, les politiques en premier, puis les « représentants » syndicaux en suite.
Il y a donc actuellement des discutions au plus haut niveau pour traiter le sujets de la retraite, des représentants de la classe ouvrière, (leaders syndicaux) et du patronat vont se réunir avec sans doute des représentants du gouvernement, alors que les représentants de la gauche (du Parti Socialiste) auraient durement critiqué la politique UMP au sujet des retraites ; je constate, sans étonnement, que le gouvernement tente d'appliquer la volonté de madame Laurence PARISOT.
Au but de comptes, l'âge légale de départ en retraite saura sans doute augmenté à 64 ans. Sans étonnement je crois déjà entendre la satisfaction du patronat, lorsque le nombre d'années de cotisation passera à 42 voir 44.
De toute évidence, le sujet de la pénibilité, saura mis à l'écart, ou a peine évoque avec un peu de chance dans quelques lignés, encore très défavorable à une société où la paupérisation s’accroît vertigineusement.
Nous pouvons constater que tant des gens de nous jours sans emploi, ne pourrons JAMAIS justifier 44 années de travail, sans oublier que leur santé, sans doute précaire aussi ne risque pas de leur permettre d'atteindre même pas l'âge de 60 ans, en possession de moyens physiques et psychiques leur permettant de profiter quelques années. Tandis que des gens des classes socioprofessionnels plutôt élevés, quant à eux aurons tout le potentiel de santé pour vivre sans doute beaucoup plus long temps et bien sur aisément du point de vue économique. 80 % des départ en retraite dans les deux derniers années, sont des défunts d'après mes observations, mais ces statistiques restent nulle doute cachés.
Tout peut encore être possible
Si les classes populaires, prennent conscience de leur place dans des discussions entre les leaders politiques et syndicaux. Le seul moyen de faire entendre leur voix reste le suffrage, gageons l'illusion que le gouvernement tiendra compte, de la souffrance au travail, de la situation de ces millions de gens, de classe modeste, millions de gens sans moyen d'exprimer leur voix, leur opinion, leur seul outil reste le suffrage !
Le gouvernement doit se souvenir que c'est le suffrage du peuple qu'à permit la victoire le 6 mai 2012
L'homme politique semble être loin de prendre la mesure de l'évolution de la société.
électeurs déçus
Grand danger lors des commises électoraux à venir par exemple le sujet des retraites.
Quitte à aborder le sujet en toute impartialité
Mais alors madame Laurence PARISOT du MEDEF aura touta-fait raison de militer pour une augmentation de l'âge légale de départ en retraite à condition de considérer avec exactitude le type d'activité des candidats. Pour parler claire, il s'agit des sujets du genre niveau de rémunération, voir niveau socioprofessionnel, la pénibilité, entre autres.
Les nouvelles générations de niveau socioprofessionnel bas ; c'est-à-dire, des jeunes gens avec niveau CAP, voir en échec scolaire, sont ceux qui se trouvent le plus du temps sans emploi.
Les entreprises de travail temporaire, évoluent, il y a qu'avoir leur chiffre d'affaires. Au fait les employeurs, trouvent trop risqué d'une part, emboucher des CDI, (mot que le MEDEF tente de manière véhémente d'effacer de la législation) En deuxième lieu, les tâches les plus pénibles, celles qui sont à l'origine des maladies professionnelles, des troubles musculo-squelettiques sont assignés justement à des intérimaires ; (la doubler peine).
Aucun employeurs aujourd'hui, aucun cadre, aucune personne est en mesure de contredire, la réalité décrite ici-dessus.
C'est donc sur la base des faits, que les médecins conseil de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie, les médecins de travail, que les inspections de travail, à niveau national connaissent et constatent au quotidien, mêmes faits que les leaders politiques connaissent mais qui personne semble vouloir tenir en compte.
Ici le Comité d'hygiène de Sécurité et des Conditions de Travail des entreprises aptes à l'avoir auraient du jouer un rôle fondamentale. Je mesure mes mots, donc les représentant syndicaux, semblent manquer aussi à leur responsabilité.
Hypocrisie et responsabilité
Nous sommes hélas, obligés d'affirmer que la santé des classes populaires, n’intéresse personne, les politiques en premier, puis les « représentants » syndicaux en suite.
Il y a donc actuellement des discutions au plus haut niveau pour traiter le sujets de la retraite, des représentants de la classe ouvrière, (leaders syndicaux) et du patronat vont se réunir avec sans doute des représentants du gouvernement, alors que les représentants de la gauche (du Parti Socialiste) auraient durement critiqué la politique UMP au sujet des retraites ; je constate, sans étonnement, que le gouvernement tente d'appliquer la volonté de madame Laurence PARISOT.
Au but de comptes, l'âge légale de départ en retraite saura sans doute augmenté à 64 ans. Sans étonnement je crois déjà entendre la satisfaction du patronat, lorsque le nombre d'années de cotisation passera à 42 voir 44.
De toute évidence, le sujet de la pénibilité, saura mis à l'écart, ou a peine évoque avec un peu de chance dans quelques lignés, encore très défavorable à une société où la paupérisation s’accroît vertigineusement.
Nous pouvons constater que tant des gens de nous jours sans emploi, ne pourrons JAMAIS justifier 44 années de travail, sans oublier que leur santé, sans doute précaire aussi ne risque pas de leur permettre d'atteindre même pas l'âge de 60 ans, en possession de moyens physiques et psychiques leur permettant de profiter quelques années. Tandis que des gens des classes socioprofessionnels plutôt élevés, quant à eux aurons tout le potentiel de santé pour vivre sans doute beaucoup plus long temps et bien sur aisément du point de vue économique. 80 % des départ en retraite dans les deux derniers années, sont des défunts d'après mes observations, mais ces statistiques restent nulle doute cachés.
Tout peut encore être possible
Si les classes populaires, prennent conscience de leur place dans des discussions entre les leaders politiques et syndicaux. Le seul moyen de faire entendre leur voix reste le suffrage, gageons l'illusion que le gouvernement tiendra compte, de la souffrance au travail, de la situation de ces millions de gens, de classe modeste, millions de gens sans moyen d'exprimer leur voix, leur opinion, leur seul outil reste le suffrage !
Le gouvernement doit se souvenir que c'est le suffrage du peuple qu'à permit la victoire le 6 mai 2012
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- Nombre de messages : 1453
Date d'inscription : 21/02/2009
LA PAZ EN COLOMBIA
PAZ EN COLOMBIA
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny viernes 21 de junio del año 2013
dedicado a Juanita Léon, Claudia Lopez, La silla vacia, Contra via, Hollam Morris, Gustavo Petro, Julio Cesar Aguirre, Piedad Cordoba entre otras personas
Preámbulo
Para abordar un sujeto de la complejidad de la violencia en una nación, son indispensables algunos requisitos; sin tomar el tiempo que podrá parecer desagradable al lector lambda, sera imposible argumentar de manera solida.
Historia
Pero a quien le interesa la historia?
A toda aquella persona interesada por conocer la integral de un sujeto, aquí la violencia en Colombia. Si usted lee estas lineas sin duda la mitad del trayecto hacia el interés esta echo, a mi de argumentar a partir de aquí suficientemente.
La metáfora
La metáfora es esa manera por la cual sin discursos elitistas llegamos a ser comprendidos hasta por el más humilde: Un hombre se presenta un día temprano a la oficina principal de policía de su localidad, en lágrimas, su ropa ensangrentada, diciendo que se rinde como responsable de dos muertes, la de su esposa y la de otra persona. Por horrible que pudiera parecer esta declaración, debemos admitir varias interpretaciones, según que la persona que interprete los asesinatos sea próximo o pariente de la persona asesinada, próximo o pariente de la esposa del sujeto, o la justicia. Y bien solo la justicia esta en capacidad de establecer la calidad de la pena o sanción.
Sabemos que varios miles de paginas y varios meses o años, serán necesarias en un expediente que un juez necesita para emitir un juicio próximo del ideal. Dejo al lector el campo libre para imaginar las causas del crimen (el móvil), les circunstancias atenuantes, etc., etc.
En paralelo la violencia por horrible que el sea, es la consecuencia de hechos, del comportamiento injusto de una parte de la sociedad. Detrás de estas palabras, me parece indispensable inscribir los hechos en la historia, por reducir el texto, corro el riesgo, solo pensemos a 1948 y aquel día particular del 9 de abril, cuando un abogado como nuestra directora de LSV, perdió la vida. Este hecho se inscribe por tanto entre otros de un enfrentamiento universal, conocido como lucha de clases, igual oposición entre ricos y pobres, desde 1930, se registran enfrentamientos en Colombia, desde luego que los grupos políticos terminan identificándose. De un lado la burguesía y del otro las clases populares.
Le 26 de mayo de 1964
El presidente Guillermo León Valencia, con ayuda de los Estados Unidos, declara la guerra, esta fecha podría ser inscrita en la historia como aquella del nacimiento de las FARC que es en aquella época el enemigo. No podemos olvidar que durante muchos años, desde 1930, pasando por 1948 los campesinos modestos, algunos sin tierra, otros desalojados, intentan simplemente vivir, frente a una clase política absolutamente incapaz de imponer orden y justicia. Según el tipo de análisis se habla de 100 mil a 300 mil victimas, campesinos por la mayoría, algunas veces atacados en la noche, salvajemente asesinados, casas quemadas, por quien? Según el testimonio aún hoy, transmitido oralmente “la chusma” atacaba las fincas, y quemaban las casas, matando sin piedad los habitantes.
Entre 1948 y 1961 son trece años de delitos graves que pueden asimilarse a genocidio, sin que las clases políticas, la burguesía intente el más mínimo acto, la más mínima intención de buscar y juzgar los responsables, algunos terratenientes, entre otros.
Desde luego que el partido comunista colombiano, llegó a considerar la necesidad de defensa de los campesinos, análisis que concluye con la decisión de asumir incluso “la lucha armada”
Evolución de la delincuencia armada
La injusticia genera la violencia que crea tensiones, insatisfacción, hoy los grupos guerrilleros, sin duda habrán dejado de lado la filosofía marxista leninista, por otros métodos pragmáticos de asegurar el ingreso económico. Los métodos sin duda corresponden exactamente a definiciones del código penal o del código civil, de nivel de crímenes y delitos.
La paz
Un grupo de intelectuales, se habrá dejado guiar por las promesas de paz, y desde luego firmaron pena de muerte, puesto que el M19 acepto la mano tendida del poder de estado, solo que uno a uno los lideres amnistiados fueron físicamente eliminados por los servicios del DAS Y EL F2.
Yo sueño con una utopía
Un día un presidente inteligente sabrá dirigirse a la nación vía Internet y todos los medios de comunicación para admitir los errores grotescos del estado que permitieron la evolución de la violencia y sus consecuencias?
Jamas un gobierno podrá indemnizar los herederos de miles de familias exterminadas, expropiadas desde aquella época a nuestros días.
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny viernes 21 de junio del año 2013
dedicado a Juanita Léon, Claudia Lopez, La silla vacia, Contra via, Hollam Morris, Gustavo Petro, Julio Cesar Aguirre, Piedad Cordoba entre otras personas
Preámbulo
Para abordar un sujeto de la complejidad de la violencia en una nación, son indispensables algunos requisitos; sin tomar el tiempo que podrá parecer desagradable al lector lambda, sera imposible argumentar de manera solida.
Historia
Pero a quien le interesa la historia?
A toda aquella persona interesada por conocer la integral de un sujeto, aquí la violencia en Colombia. Si usted lee estas lineas sin duda la mitad del trayecto hacia el interés esta echo, a mi de argumentar a partir de aquí suficientemente.
La metáfora
La metáfora es esa manera por la cual sin discursos elitistas llegamos a ser comprendidos hasta por el más humilde: Un hombre se presenta un día temprano a la oficina principal de policía de su localidad, en lágrimas, su ropa ensangrentada, diciendo que se rinde como responsable de dos muertes, la de su esposa y la de otra persona. Por horrible que pudiera parecer esta declaración, debemos admitir varias interpretaciones, según que la persona que interprete los asesinatos sea próximo o pariente de la persona asesinada, próximo o pariente de la esposa del sujeto, o la justicia. Y bien solo la justicia esta en capacidad de establecer la calidad de la pena o sanción.
Sabemos que varios miles de paginas y varios meses o años, serán necesarias en un expediente que un juez necesita para emitir un juicio próximo del ideal. Dejo al lector el campo libre para imaginar las causas del crimen (el móvil), les circunstancias atenuantes, etc., etc.
En paralelo la violencia por horrible que el sea, es la consecuencia de hechos, del comportamiento injusto de una parte de la sociedad. Detrás de estas palabras, me parece indispensable inscribir los hechos en la historia, por reducir el texto, corro el riesgo, solo pensemos a 1948 y aquel día particular del 9 de abril, cuando un abogado como nuestra directora de LSV, perdió la vida. Este hecho se inscribe por tanto entre otros de un enfrentamiento universal, conocido como lucha de clases, igual oposición entre ricos y pobres, desde 1930, se registran enfrentamientos en Colombia, desde luego que los grupos políticos terminan identificándose. De un lado la burguesía y del otro las clases populares.
Le 26 de mayo de 1964
El presidente Guillermo León Valencia, con ayuda de los Estados Unidos, declara la guerra, esta fecha podría ser inscrita en la historia como aquella del nacimiento de las FARC que es en aquella época el enemigo. No podemos olvidar que durante muchos años, desde 1930, pasando por 1948 los campesinos modestos, algunos sin tierra, otros desalojados, intentan simplemente vivir, frente a una clase política absolutamente incapaz de imponer orden y justicia. Según el tipo de análisis se habla de 100 mil a 300 mil victimas, campesinos por la mayoría, algunas veces atacados en la noche, salvajemente asesinados, casas quemadas, por quien? Según el testimonio aún hoy, transmitido oralmente “la chusma” atacaba las fincas, y quemaban las casas, matando sin piedad los habitantes.
Entre 1948 y 1961 son trece años de delitos graves que pueden asimilarse a genocidio, sin que las clases políticas, la burguesía intente el más mínimo acto, la más mínima intención de buscar y juzgar los responsables, algunos terratenientes, entre otros.
Desde luego que el partido comunista colombiano, llegó a considerar la necesidad de defensa de los campesinos, análisis que concluye con la decisión de asumir incluso “la lucha armada”
Evolución de la delincuencia armada
La injusticia genera la violencia que crea tensiones, insatisfacción, hoy los grupos guerrilleros, sin duda habrán dejado de lado la filosofía marxista leninista, por otros métodos pragmáticos de asegurar el ingreso económico. Los métodos sin duda corresponden exactamente a definiciones del código penal o del código civil, de nivel de crímenes y delitos.
La paz
Un grupo de intelectuales, se habrá dejado guiar por las promesas de paz, y desde luego firmaron pena de muerte, puesto que el M19 acepto la mano tendida del poder de estado, solo que uno a uno los lideres amnistiados fueron físicamente eliminados por los servicios del DAS Y EL F2.
Yo sueño con una utopía
Un día un presidente inteligente sabrá dirigirse a la nación vía Internet y todos los medios de comunicación para admitir los errores grotescos del estado que permitieron la evolución de la violencia y sus consecuencias?
Jamas un gobierno podrá indemnizar los herederos de miles de familias exterminadas, expropiadas desde aquella época a nuestros días.
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a Ivan Rioufol du Journal LE FIGARO
politique journalisme et impartialité
Je viens de lire le sujet de Ivan Rioufol sur la percée de l'extrême droite.
Nous vivons en démocratie
C'est au fait un leour, car les nantis règnent sans partage dans un système d'hégémonie perpétuelle.
S'aventurer précipitamment à donner au FRONT NATIONEL l'étiquette de parti favorable au peuple, est un grossier raccourci vis à vis de ce que les sociologues dominent "les classes populaires" et l'évolution historique des partis politiques.
Pendant la deuxième guerre mondiale nous pouvons trouver des actions précises, subordonnés au maréchal Petin; à l'encontre des maquisards.
La résistance alors été essentiellement composé de gens de divers horizons donc des ouvriers entre autres membres du parti communiste et pour certains aussi syndicalistes donc beaucoup auraient été radicalement exterminés par les pères fondateurs du FN.
L'extrême droite française inscrit ainsi sont empreinte indélébile, dans l'histoire.
Aucun doute que pour cause de méconnaissance voir par pure et simple ignorance (rien de plus logique, vu le niveau d'éducation) de nous jours des beotiens des quidams composent le gros de la base électorale de ce parti.
Si bien le manque d'identité doit être toléré sur une population désœuvré; par contre qu'un journaliste arrive à considérer un tel parti défenseur des classes populaires, me semble quelque chose d'absurde; plus que mensongère, car il est sur qu'il y a des gens dotés d'intelligence frêle, les seuls à avaler autant d'inepties.
Pour quoi progresse l'extrême droite en France.
Il est indispensable qu'il y ait des écervelles, en augmentation du à l'accroissement des nouvelles générations d'illettrés, analphabètes, des gens en échec scolaire. D'autre part nous avons des gens moyennement intelligents pour réussir à endormir à manipuler sans grande difficulté avec des concepts genre xénophobie, nationalisme, haine parmi d'autres sentiments .
Déjà que c'est parmi cette population que nous trouvons le taux de chômage le plus hauts. Un pourcentage de gens le moins formés se trouve en concurrence directe; ce alors que les craintes surgissent alimentant abondamment le reservoir de suffragants.
Je viens de lire le sujet de Ivan Rioufol sur la percée de l'extrême droite.
Nous vivons en démocratie
C'est au fait un leour, car les nantis règnent sans partage dans un système d'hégémonie perpétuelle.
S'aventurer précipitamment à donner au FRONT NATIONEL l'étiquette de parti favorable au peuple, est un grossier raccourci vis à vis de ce que les sociologues dominent "les classes populaires" et l'évolution historique des partis politiques.
Pendant la deuxième guerre mondiale nous pouvons trouver des actions précises, subordonnés au maréchal Petin; à l'encontre des maquisards.
La résistance alors été essentiellement composé de gens de divers horizons donc des ouvriers entre autres membres du parti communiste et pour certains aussi syndicalistes donc beaucoup auraient été radicalement exterminés par les pères fondateurs du FN.
L'extrême droite française inscrit ainsi sont empreinte indélébile, dans l'histoire.
Aucun doute que pour cause de méconnaissance voir par pure et simple ignorance (rien de plus logique, vu le niveau d'éducation) de nous jours des beotiens des quidams composent le gros de la base électorale de ce parti.
Si bien le manque d'identité doit être toléré sur une population désœuvré; par contre qu'un journaliste arrive à considérer un tel parti défenseur des classes populaires, me semble quelque chose d'absurde; plus que mensongère, car il est sur qu'il y a des gens dotés d'intelligence frêle, les seuls à avaler autant d'inepties.
Pour quoi progresse l'extrême droite en France.
Il est indispensable qu'il y ait des écervelles, en augmentation du à l'accroissement des nouvelles générations d'illettrés, analphabètes, des gens en échec scolaire. D'autre part nous avons des gens moyennement intelligents pour réussir à endormir à manipuler sans grande difficulté avec des concepts genre xénophobie, nationalisme, haine parmi d'autres sentiments .
Déjà que c'est parmi cette population que nous trouvons le taux de chômage le plus hauts. Un pourcentage de gens le moins formés se trouve en concurrence directe; ce alors que les craintes surgissent alimentant abondamment le reservoir de suffragants.
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Sur le déclin de la France
Notes sur l'intervention de monsieur Didier Migaud
Premier président de la Cour de comptes sur la situation des finances publiques
27/06/2013
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit gramophone
Le déficit de la France est du double de la moyenne européenne, l'Allemagne quant à elle aura dégagé des bénéfices pour la même année, quant à l'Italie elle a fait l'effort de réduire sont déficit à moins de 2 % du PIB (1,2%)
Il est vraie que l'Allemagne dégage des bénéfices ; mais alors il faut savoir que plusieurs raisons doivent être tenues en compte.
Puisqu'une commission parlementaire a visité nos voisins dans le but d'analyser les différences, commission composée par des membres autant du PS que du parti UMP, d'après les émissions sur la chaîne LCP & Public Sénat, les gens intéressés à la politique aurons constaté que cette commission n'a pas été d'accord dans la rédaction final du compte rendu.
La source de discorde étant à la base le constat d'un coût équivalent de la main d’œuvre.
D'ailleurs la commission n'a pas réussi à souligner d'autres spécificités du pays outra-Rhin.
Car la balance commerciale allemande reste bénéficiaire depuis des années, autant pour les exportations des machines outils, que pour des véhicules d'une qualité supérieure aux véhicules français.
De la même manière la commission n'aura pas pu souligner que plus de 6 millions de personnes reçoivent un taux horaire inférieur de près de 50 % du salaire le plus bas payé dans ce pays.
Il est par contre constaté l'effort fondamentale des grandes entreprises de parrainer d'autres plus petites, lors des leurs activité d'exportation.
La commission parlementaire aura aussi trouvé un excellent travail des régions très intimement associés aux entreprises dans le domaine de l'éducation ou la formation ainsi que de la recherche.
Il est moins négligeable le fait mécanique de coût de l'euro, tant qu'il se maintiendrait supérieur au dollar il aura un effet positif à la balance commerciale de l'Allemagne.
Devons nous avoir un niveau ENA ou HEC pour comprendre ?
Bien sur que non !
Allemagne n'est pas le modèle pour la France, elle ne le sera jamais, car les deux pays, disposent si bien d'une histoire parallèle, néanmoins nous avons du cultures différentes.
La France aura démontre être en capacité de réussir le summum de la qualité dans le domaine automobile, et cela pendant plusieurs années, car nous avons les automobiles RENAULT dans sa branche sport qu'aurons réussi à gagner pendant cinq années consécutifs la première place en formule 1. Sur le plan commerciale un tel résultat n'aura pas apporté les retombées logiques, pour différentes raisons, la première est logique, puisque les équipes ne sont pas les mêmes, sur les chaînes de production, l'économie moderne IMPOSE non pas de l'excellence mais une variable d'ajustement.
La variable d'ajustement
Le système économique moderne, évolue de manière tel, (extraction exagéré de bénéfices sur les marges de production de la part de la nébuleuse des finances) qu'il n'y a pas la moindre visibilité à moyen et long terme.
Hors pour une entreprise il est fondamentale d'établir des projets sur la base d'une économie stable. C'est alors que les salaires perdent leur RÔLE FONDAMENTALE d'élément fondamentale de REDISTRIBUTION DE LA VALEUR AJOUTÉE
Le salaire, donc devenu variable d'ajustement, interdit aux entreprises de faire travailler des gens qualifiés dans les chaînes de montage.
Par contre les entreprises de travail temporaire, font d'excellents bénéfices, hélas, dans une spirale infernal, moins il y a de visibilité (carnet de commandes) plus en résulte une nécessité de personnel temporaire.
Le résultat est une augmentation des incidents de qualité (1), une augmentation des maladies professionnelles, des TMS, est bien sur augmentation de stress au travail.
Nous leaders au parlement, nous leaders syndicaux, nos leaders politiques, vivent à des années lumière de ce genre de phénomènes, d'autant plus que l'industrie automobile française ne représente même pas 10 % de las recettes globales de la fiscalité de l'état.
Oui mais la France bascule dans un procès, guidé par la « nébuleuse des finances » sauf qu'un tel basculement se fait en détriment pur et simple de l'emploi.
Le tertiaire et l'emploi.
Dans les années 60 une usine comment RENAULT FLINS avait une moyenne de 30 mille salariés, aujourd'hui la même usine ne dépase pas les 5 mille emplois, et nous pourrions ainsi comparer les autres entreprises de l'industrie automobile, de production textile, etc.
En place et lieu nous avons depuis 1960 vu pousser les grandes surfaces, les groupes financiers, les banques.
Ces nouvelles entreprises, déjà ne produisent pas de la VALEUR AJOUTÉE. Non jamais !
Bien que leur chiffre d'affaires, grandi en parallèle avec celui des entreprises de travail temporaire, le revenu ne peu pas compenser le pouvoir d'achat généré par les emplois supprimés.
Une caissière de supermarché, et en général touts les postes crées représentent un revenu négligeable vis à vis des salaires pour les technicien de production dans l'industrie. Mais nous pourrions aller plus loin. Il y a déjà plus d'un an, j'ai me suis permis de faire l'analyse voir le tout résumé dans un graphique où les finances et les assurances n'arrivent pas à générer 5 % des recettes de l'état alors que d'autres formes de production avec création de VALEUR AJOUTÉE génèrent plus de 75 %. je vous invite a vérifier les graphiques avec des liens pour les sources INSEE.
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
La France perd de sa compétitivité, avec une certain collaboration des leaders politiques, syndicaux et le silence dangereux des grands analystes et philosophes.
La France perd en même temps de sont éclat, culturel, intellectuel, bien entendu, hélas cela mais fait trop de peine ! D'autant plus que les hommes politiques semblent anesthésies face à cette horrible réalité :
Le travail tertiaire est une spécificité de l’Angleterre et des paradis fiscaux, le pouvoir d'achat s'effondre comment peau de chagrin. Par disparation accéléré de l'emploi principal outil sociale de la REDISTRIBUTION DE LA VALEUR AJOUTÉE, donc disparation du pouvoir d'achat.
Le progrès insolent des entreprises de travail temporaire sont la prouve palpable des effets grotesques du fonctionnement des sangsues de la finance et leur effet sur l'évolution de la société civile.
(1) Par mes modestes connaissances en métallurgie, (bac en métallurgie et 30 d'expérience dans l'industrie) j'ai pu constater qu'une personne par fois sans connaissances basiques, théoriques en soudure, se trouve à ordonner à une personne intérimaire de faire un contrôle sur les soudures ; je ne suis pas de tout dans la caricature, je parle de la soudure, parce que c'est un domaine qui me semble familière, mais dans toutes les domaines, la nébuleuse des finances impose obligatoirement l'embouche de personnel temporaire, avec comment conséquence logique une atteinte tangible à la qualité de la production
Si nous avons à la tête de l'entreprise un spécialiste des finances d'ailleurs payé à 50% sur le CA, en place et lieu d'un ingénier avec expérience dans le domaine; il est improbable qu'il soit disposé à signer une demande d'achat si celle-ci dépasse ses prévisions de budget, même si cela se traduit par un risque vis à vis de la qualité, qui sans doute saura assumé avec en conséquence augmentation de stress.
Premier président de la Cour de comptes sur la situation des finances publiques
27/06/2013
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit gramophone
Le déficit de la France est du double de la moyenne européenne, l'Allemagne quant à elle aura dégagé des bénéfices pour la même année, quant à l'Italie elle a fait l'effort de réduire sont déficit à moins de 2 % du PIB (1,2%)
Il est vraie que l'Allemagne dégage des bénéfices ; mais alors il faut savoir que plusieurs raisons doivent être tenues en compte.
Puisqu'une commission parlementaire a visité nos voisins dans le but d'analyser les différences, commission composée par des membres autant du PS que du parti UMP, d'après les émissions sur la chaîne LCP & Public Sénat, les gens intéressés à la politique aurons constaté que cette commission n'a pas été d'accord dans la rédaction final du compte rendu.
La source de discorde étant à la base le constat d'un coût équivalent de la main d’œuvre.
D'ailleurs la commission n'a pas réussi à souligner d'autres spécificités du pays outra-Rhin.
Car la balance commerciale allemande reste bénéficiaire depuis des années, autant pour les exportations des machines outils, que pour des véhicules d'une qualité supérieure aux véhicules français.
De la même manière la commission n'aura pas pu souligner que plus de 6 millions de personnes reçoivent un taux horaire inférieur de près de 50 % du salaire le plus bas payé dans ce pays.
Il est par contre constaté l'effort fondamentale des grandes entreprises de parrainer d'autres plus petites, lors des leurs activité d'exportation.
La commission parlementaire aura aussi trouvé un excellent travail des régions très intimement associés aux entreprises dans le domaine de l'éducation ou la formation ainsi que de la recherche.
Il est moins négligeable le fait mécanique de coût de l'euro, tant qu'il se maintiendrait supérieur au dollar il aura un effet positif à la balance commerciale de l'Allemagne.
Devons nous avoir un niveau ENA ou HEC pour comprendre ?
Bien sur que non !
Allemagne n'est pas le modèle pour la France, elle ne le sera jamais, car les deux pays, disposent si bien d'une histoire parallèle, néanmoins nous avons du cultures différentes.
La France aura démontre être en capacité de réussir le summum de la qualité dans le domaine automobile, et cela pendant plusieurs années, car nous avons les automobiles RENAULT dans sa branche sport qu'aurons réussi à gagner pendant cinq années consécutifs la première place en formule 1. Sur le plan commerciale un tel résultat n'aura pas apporté les retombées logiques, pour différentes raisons, la première est logique, puisque les équipes ne sont pas les mêmes, sur les chaînes de production, l'économie moderne IMPOSE non pas de l'excellence mais une variable d'ajustement.
La variable d'ajustement
Le système économique moderne, évolue de manière tel, (extraction exagéré de bénéfices sur les marges de production de la part de la nébuleuse des finances) qu'il n'y a pas la moindre visibilité à moyen et long terme.
Hors pour une entreprise il est fondamentale d'établir des projets sur la base d'une économie stable. C'est alors que les salaires perdent leur RÔLE FONDAMENTALE d'élément fondamentale de REDISTRIBUTION DE LA VALEUR AJOUTÉE
Le salaire, donc devenu variable d'ajustement, interdit aux entreprises de faire travailler des gens qualifiés dans les chaînes de montage.
Par contre les entreprises de travail temporaire, font d'excellents bénéfices, hélas, dans une spirale infernal, moins il y a de visibilité (carnet de commandes) plus en résulte une nécessité de personnel temporaire.
Le résultat est une augmentation des incidents de qualité (1), une augmentation des maladies professionnelles, des TMS, est bien sur augmentation de stress au travail.
Nous leaders au parlement, nous leaders syndicaux, nos leaders politiques, vivent à des années lumière de ce genre de phénomènes, d'autant plus que l'industrie automobile française ne représente même pas 10 % de las recettes globales de la fiscalité de l'état.
Oui mais la France bascule dans un procès, guidé par la « nébuleuse des finances » sauf qu'un tel basculement se fait en détriment pur et simple de l'emploi.
Le tertiaire et l'emploi.
Dans les années 60 une usine comment RENAULT FLINS avait une moyenne de 30 mille salariés, aujourd'hui la même usine ne dépase pas les 5 mille emplois, et nous pourrions ainsi comparer les autres entreprises de l'industrie automobile, de production textile, etc.
En place et lieu nous avons depuis 1960 vu pousser les grandes surfaces, les groupes financiers, les banques.
Ces nouvelles entreprises, déjà ne produisent pas de la VALEUR AJOUTÉE. Non jamais !
Bien que leur chiffre d'affaires, grandi en parallèle avec celui des entreprises de travail temporaire, le revenu ne peu pas compenser le pouvoir d'achat généré par les emplois supprimés.
Une caissière de supermarché, et en général touts les postes crées représentent un revenu négligeable vis à vis des salaires pour les technicien de production dans l'industrie. Mais nous pourrions aller plus loin. Il y a déjà plus d'un an, j'ai me suis permis de faire l'analyse voir le tout résumé dans un graphique où les finances et les assurances n'arrivent pas à générer 5 % des recettes de l'état alors que d'autres formes de production avec création de VALEUR AJOUTÉE génèrent plus de 75 %. je vous invite a vérifier les graphiques avec des liens pour les sources INSEE.
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
La France perd de sa compétitivité, avec une certain collaboration des leaders politiques, syndicaux et le silence dangereux des grands analystes et philosophes.
La France perd en même temps de sont éclat, culturel, intellectuel, bien entendu, hélas cela mais fait trop de peine ! D'autant plus que les hommes politiques semblent anesthésies face à cette horrible réalité :
Le travail tertiaire est une spécificité de l’Angleterre et des paradis fiscaux, le pouvoir d'achat s'effondre comment peau de chagrin. Par disparation accéléré de l'emploi principal outil sociale de la REDISTRIBUTION DE LA VALEUR AJOUTÉE, donc disparation du pouvoir d'achat.
Le progrès insolent des entreprises de travail temporaire sont la prouve palpable des effets grotesques du fonctionnement des sangsues de la finance et leur effet sur l'évolution de la société civile.
(1) Par mes modestes connaissances en métallurgie, (bac en métallurgie et 30 d'expérience dans l'industrie) j'ai pu constater qu'une personne par fois sans connaissances basiques, théoriques en soudure, se trouve à ordonner à une personne intérimaire de faire un contrôle sur les soudures ; je ne suis pas de tout dans la caricature, je parle de la soudure, parce que c'est un domaine qui me semble familière, mais dans toutes les domaines, la nébuleuse des finances impose obligatoirement l'embouche de personnel temporaire, avec comment conséquence logique une atteinte tangible à la qualité de la production
Si nous avons à la tête de l'entreprise un spécialiste des finances d'ailleurs payé à 50% sur le CA, en place et lieu d'un ingénier avec expérience dans le domaine; il est improbable qu'il soit disposé à signer une demande d'achat si celle-ci dépasse ses prévisions de budget, même si cela se traduit par un risque vis à vis de la qualité, qui sans doute saura assumé avec en conséquence augmentation de stress.
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effets dévastateurs du capitalisme
Plaidoyer argumenté sur les dérives du né-libéralisme
ou les effets dévastateurs du capitalisme
Notes marginales
Joigny samedi 13 juillet 2013 par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Crise économique
"Donner des allumettes à un enfant pyromane, au milieu d'un bois en été"
Extrait
..."Obama avait aussi une autre vision, celle d'un pays moins divisé qu'il ne l'avait été sous Goerge W. BUSH, moins polarisé par des fractures idéologiques.
Il est possible que le nouveau président ait évité toute discussion en profondeur sur ce qui n'allait pas dans l'économie américaine – et plus précisément sur les méfaits des professionnels du secteur financier – parce qu'il craignait, s'il le faisait, de susciter le conflit à une heure où il nous fallait l'unité.
Un débat en profondeur conduirait-il à la cohésion sociale ou au conflit social exacerbé ? Si, comme le soutenaient certains observateurs, l'économie et la société n'avaient subi qu'une contusion mineure, le mieux était peut-être de les laisser guérir toutes seules. Mais le risque était que leurs problèmes soient comme ces blessures purulentes que l'on ne peut pas guérir qu'en les exposant aux effets antiseptiques du grand soleil, de la lumière"...
En conclusion
Le système financier aura mis à genoux le mecque du libéralisme débridé les États Unis d'Amérique !
Mais aussi le reste du monde !
Le pays le plus hostile au communisme sacrifié donc dans autel de la cupidité les intérêts de la nation, et pendant le sauvetage des banques, dans les grandes pays DU NEO LIBÉRALISME, le contribuable lambda, est appelé au secours des riches banquier à travers d'un plan. Qui encore de nous jours continue à coûter très cher : taux de chômage, pays en récession !
Qui aura finit pour payer ? Les classes populaires, les plus touches pour leur niveau socioprofessionnel, une sorte de variable d'ajustement au service des plus riches, qui s'enorgueillissent de continuer à tenir les pouvoirs politiques des nations à leurs pieds.
Donnez votre avis, cherchons ensemble des solutions, autres que celles des gens jusqu'ici, brillant par leur incompétence !
Crédit prédateur et usurier
Législation et connivence
Je ne suis pas aventuré depuis déjà il y a un certains nombre d'années dans des critiques, sans fondement.
Quand le forum du journal LE FIGARO existé, j'avais publié un sujet où le crédit à taux variable été belle et bien pointé du doigts.
Il faut savoir qu'avant la crise des SUBPRIMES aux USA, et encore de nous jours d'ailleurs existe en toute légalité le crédit à taux variable.
Dans le livre "LE RAPPORT STIGLITZ" je vais encore citer donc le prix Nobel d'économie au sujet :
..."La réglementation du crédit prédateur est essentiellement une question de protection du consommateur et de l'investissement, mais comme l'a montré cette crise, c'est aussi une question de gestion du risque.
On a préconisé l'élimination des restrictions sur l'usure au motif qu'elles encouragent la prise de risque.
Mais une telle mesure aurait pu aboutir à l'excès de risque et à l'exploitation abusive d'emprunteurs mal informés.
Les rendements excessifs engrangés par les prêteurs de ce type-là ont contribué au gonflement du secteur financier.
Le marché des prêts immobiliers SUBPRIME a donné des exemples de crédit prédateur, mais il y a eu également d'autres pratiques abusives.
Les régulateurs doivent être attentifs à la diversité des formes que peut prendre le couronnement ; il peut passer, par exemple, par les locations-ventes et les prêts sur salaire"...
Le législateur aux USA et ailleurs a bien permit, voir poussé par une fiscalité favorable les investisseur et les sangsues de la finance à accroître sans logique leur marges, d'autant plus que entre législateur, leaders politique et investisseur finalement il n'y pas de cloison sans doute, fait qui est supporté par l'agacement des autorités de Bercy, du à leur impuissance, lors qu'ils découvrent des volumes énormes d'évasion fiscale et que l'Elysée donne l'ordre abandonner (message reçu par la commission d'enquêtte parlementaire sur le rôle des banques dans l'évasion fiscale, émis à l'unanimité par Antoine Peillon et Fabrice Arti
http://www.publicsenat.fr/vod/audition/m.-antoine-peillon-et-m.-fabrice-arfi-par-la-commission-d-enquete-contre-la-fraude-fiscale/136291
ou les effets dévastateurs du capitalisme
Notes marginales
Joigny samedi 13 juillet 2013 par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Crise économique
"Donner des allumettes à un enfant pyromane, au milieu d'un bois en été"
Extrait
..."Obama avait aussi une autre vision, celle d'un pays moins divisé qu'il ne l'avait été sous Goerge W. BUSH, moins polarisé par des fractures idéologiques.
Il est possible que le nouveau président ait évité toute discussion en profondeur sur ce qui n'allait pas dans l'économie américaine – et plus précisément sur les méfaits des professionnels du secteur financier – parce qu'il craignait, s'il le faisait, de susciter le conflit à une heure où il nous fallait l'unité.
Un débat en profondeur conduirait-il à la cohésion sociale ou au conflit social exacerbé ? Si, comme le soutenaient certains observateurs, l'économie et la société n'avaient subi qu'une contusion mineure, le mieux était peut-être de les laisser guérir toutes seules. Mais le risque était que leurs problèmes soient comme ces blessures purulentes que l'on ne peut pas guérir qu'en les exposant aux effets antiseptiques du grand soleil, de la lumière"...
En conclusion
Le système financier aura mis à genoux le mecque du libéralisme débridé les États Unis d'Amérique !
Mais aussi le reste du monde !
Le pays le plus hostile au communisme sacrifié donc dans autel de la cupidité les intérêts de la nation, et pendant le sauvetage des banques, dans les grandes pays DU NEO LIBÉRALISME, le contribuable lambda, est appelé au secours des riches banquier à travers d'un plan. Qui encore de nous jours continue à coûter très cher : taux de chômage, pays en récession !
Qui aura finit pour payer ? Les classes populaires, les plus touches pour leur niveau socioprofessionnel, une sorte de variable d'ajustement au service des plus riches, qui s'enorgueillissent de continuer à tenir les pouvoirs politiques des nations à leurs pieds.
Donnez votre avis, cherchons ensemble des solutions, autres que celles des gens jusqu'ici, brillant par leur incompétence !
Crédit prédateur et usurier
Législation et connivence
Je ne suis pas aventuré depuis déjà il y a un certains nombre d'années dans des critiques, sans fondement.
Quand le forum du journal LE FIGARO existé, j'avais publié un sujet où le crédit à taux variable été belle et bien pointé du doigts.
Il faut savoir qu'avant la crise des SUBPRIMES aux USA, et encore de nous jours d'ailleurs existe en toute légalité le crédit à taux variable.
Dans le livre "LE RAPPORT STIGLITZ" je vais encore citer donc le prix Nobel d'économie au sujet :
..."La réglementation du crédit prédateur est essentiellement une question de protection du consommateur et de l'investissement, mais comme l'a montré cette crise, c'est aussi une question de gestion du risque.
On a préconisé l'élimination des restrictions sur l'usure au motif qu'elles encouragent la prise de risque.
Mais une telle mesure aurait pu aboutir à l'excès de risque et à l'exploitation abusive d'emprunteurs mal informés.
Les rendements excessifs engrangés par les prêteurs de ce type-là ont contribué au gonflement du secteur financier.
Le marché des prêts immobiliers SUBPRIME a donné des exemples de crédit prédateur, mais il y a eu également d'autres pratiques abusives.
Les régulateurs doivent être attentifs à la diversité des formes que peut prendre le couronnement ; il peut passer, par exemple, par les locations-ventes et les prêts sur salaire"...
Le législateur aux USA et ailleurs a bien permit, voir poussé par une fiscalité favorable les investisseur et les sangsues de la finance à accroître sans logique leur marges, d'autant plus que entre législateur, leaders politique et investisseur finalement il n'y pas de cloison sans doute, fait qui est supporté par l'agacement des autorités de Bercy, du à leur impuissance, lors qu'ils découvrent des volumes énormes d'évasion fiscale et que l'Elysée donne l'ordre abandonner (message reçu par la commission d'enquêtte parlementaire sur le rôle des banques dans l'évasion fiscale, émis à l'unanimité par Antoine Peillon et Fabrice Arti
http://www.publicsenat.fr/vod/audition/m.-antoine-peillon-et-m.-fabrice-arfi-par-la-commission-d-enquete-contre-la-fraude-fiscale/136291
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Cuando el capitalismo pierde la cabeza
Titulo: Cuando el capitalismo pierde la cabeza
Capitulo: La abolición de reglas se vuelve un delirio
Autor: José Eugenio STIGLITZ
Pagina 207
ISBN: 9782253109310
Maury-Imprimeurs - 45330 Malesherbes France
(un aparte)
..."Deducción de impuesto y protección contra la concurrencia son las formas más comunes de la ayuda disimulada a las empresas, Dentro de la lógica muy especial de Washington, dar a alguien 100 millones de dolares para hacer algo parece menos comprensible que decirle: Si usted lo hace sus impuestos bajaran de 100 millones de dolares. Un cheque que sale, no es la misma cosa que un cheque que no entra. Hay efectivamente una diferencia: Aquel que sale se ve mucho más, es entonces más fácil de intentar detenerlo. Los LOBBYSTAS (lobbing) de las empresas lo saben bien: Es por lo cual se esfuerzan en obtener tanto las subvenciones vía el código de los impuestos. Remarquemos a que punto hemos poco progresado en la supresión de ayudas fiscales, a pesar de la presión y el esfuerzo por reducir el déficit. Disponemos desde hace mucho tiempo de subvenciones fiscales de varios millares de dolares a las exportaciones, a pesar de desatar el disgusto de la concurrencia comercial, a tal punto que en 1998, fue depositada una denuncia ante la OMC (Organización Mundial del Comercio). Y desde luego ganaron. En lugar de abandonar nuestras subvenciones (USA), lo que se hizo fue intentar de adaptarlas a la reglamentación de la OMC"...
Capitulo: La abolición de reglas se vuelve un delirio
Autor: José Eugenio STIGLITZ
Pagina 207
ISBN: 9782253109310
Maury-Imprimeurs - 45330 Malesherbes France
(un aparte)
..."Deducción de impuesto y protección contra la concurrencia son las formas más comunes de la ayuda disimulada a las empresas, Dentro de la lógica muy especial de Washington, dar a alguien 100 millones de dolares para hacer algo parece menos comprensible que decirle: Si usted lo hace sus impuestos bajaran de 100 millones de dolares. Un cheque que sale, no es la misma cosa que un cheque que no entra. Hay efectivamente una diferencia: Aquel que sale se ve mucho más, es entonces más fácil de intentar detenerlo. Los LOBBYSTAS (lobbing) de las empresas lo saben bien: Es por lo cual se esfuerzan en obtener tanto las subvenciones vía el código de los impuestos. Remarquemos a que punto hemos poco progresado en la supresión de ayudas fiscales, a pesar de la presión y el esfuerzo por reducir el déficit. Disponemos desde hace mucho tiempo de subvenciones fiscales de varios millares de dolares a las exportaciones, a pesar de desatar el disgusto de la concurrencia comercial, a tal punto que en 1998, fue depositada una denuncia ante la OMC (Organización Mundial del Comercio). Y desde luego ganaron. En lugar de abandonar nuestras subvenciones (USA), lo que se hizo fue intentar de adaptarlas a la reglamentación de la OMC"...
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La mondialisation
QUAND LA SOCIÉTÉ IRA MIEUX ALORS?
La réponse reste d'une simplicité déconcertante, a condition de disposer d'un nombre limité d'outils, donc toutes les clés serons données ici-dessous
Titre: Quand le capitalisme perd la tête
Chapitre: Vers un nouvel idéalisme démocratique
Pages : 516/517
Auteur: Joseph Eugene Stiglitz (prix Nobel d'économie)
Dédié à des membres FO de la CNIEG (Caisse national de retraite des industries électriques et gazières)
Véronique Besson
secrétaire fédérale FO et membre du conseil d'administration de la CNIEG
Jean-Luc AZNAR
Assistant fédéral
Titulaire au conseil d'administration de la CNIEG
Jean-Luc ELOIRE
Assistant fédéral
Suppléant au conseil d'administration de la CNIEG
EXTRAIT
..."Avec la mondialisation, les problèmes que nous venons d'évoquer - le juste rôle de l’État, les limites des marchés, la manière dont l'économie façonne les comportements individuels et la société - sont débattus au niveau planétaire.
Nous sommes en train de fixer les règles du jeu, mais elles sont écrites par des institutions économiques internationales dans lesquelles CERTAINS PAYS ET CERTAINS INTÉRÊTS PARTICULIERS - et certains idéologies - ont un grand poids.
Si les États Unis parlent souvent d'état de droit, leur politique unilatéraliste en constitue un rejet au niveau international.
Ils sont pour des règles du jeu mondiales, mais craignent que l'Organisation Mondiale du Commerce OMC ou le TPI (Tribunal Pénal International) n’empiètent sur leur propres souveraineté. Bref, ils sont pour l’État de droit tant que ses effets sont conformes à leur volonté.
Si les États-Unis ont de telles craintes ; il n'y a pas besoins d'une longue réflexion pour comprendre ce que doivent ressentir les autres pays, en particulier les pays en développement pauvres qui voient ces institutions mondiales dominées par l'Amérique et les autres puissances industrielles avancées"...
Modeste interprétation
Maintenir la retraite par répartition, reste comment l'ensemble de services publiques, une véritable utopie, tant que la législation en particulier des pratiques de fiscalité, ne soient rendus justes. Les agents économiques (les représentants syndicaux aux instances et bureau de haut niveau de décision) ne peuvent pas ne pas être parfaitement au courant de la mascarade sur la fiscalité, l'évasion fiscale et les paradis fiscaux, et les conséquences sur les dérives du budget de la protection sociale comparons ce qu'est comparable s'il vous plaît! (dans le lien des graphiques sur l'économie française):
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Depuis mon poste d'ouvrier de la métallurgie, syndiqué, dois-je agir comment les 95 % des béotiens ?
Qui sont les responsables des crises économiques ?
Cela est l'atteinte de la grande majorité de leaders "politiques" mais hélas pour eux, le petit ouvrier, le petit travailleur intérimaire, le chômeur, doit commencer à se rendre à l'évidence, le "dit et adulé" système traditionnel, dit d'ailleurs démocratique, dans sont interprétation la plus large, (syndicalisme y compris) ; doit commencer à constater les profonds dégâts causés par cette (définition personnel qui me semble la plus proche) tendance de chacun à l'individualisme et l'indifférence induits (1).
Sans blagues !
Si la démocratie fonctionnée vraiment ! En grande partie les différentes crises de l'économie ne seraient pas possibles.
Pour quoi j'ose accuser ?
En tant qu'ouvrier immigré (arrivé en France depuis la Colombie en 1988) j'ai l'image plutôt "préjugé" d'arriver du fin fond de la jungle, à priori sans jamais avoir eux la moindre connaissance, habitude d'une personne civilisée. (2). Sauf que par des raisons hors propos, j'ai un bagage syndical et de connaissances, enrayé énormément par des difficultés avec une autre langue.
Il se trouve que la langue française reste après la langue de Shakespeare, la deuxième en diffusion des connaissances au monde. Voilà pour quoi, (3) j'ajouté des connaissances capitales à mon niveau, via le web ; où l’œuvre d’Étienne de la Boétie, (Lien pour LE DISCOURS DE LA SERVITUDE VOLONTAIRE http://classiques.uqac.ca/classiques/la_boetie_etienne_de/discours_de_la_servitude/discours_servitude_volontaire.pdf) ou encore (le discours de la méthode) http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/file/descartes_methode.pdf œuvre de Déscartes, mais encore LA RÉPUBLIQUE de Platon, œuvres de chevet, mises bout à bout avec des livres d'Antoine Peillon, Edourad Tétreau, puis bien sur Joseph E. Stiglitz nous donnent les clés d'une réalité où moins de 3% des gens réussissent à engranger plus de 90% de la richesse dans le monde grâce à des pratiques de fraude, de triche et de spéculation, avec une certains aide comment l'indifférence et l'individualisme qui les rends du coup légitimes grâce à une fiscalité sur mesure obtenu par le biais du lobby
J’accuse
L'indifférence et l'individualisme induits.
Quoi faire alors ?
Puisque dès l'intérieur du système un homme (J. E. Stiglitz) a le courage de dénoncer ouvertement l'iniquité, l'illégitimité, l'usurpation, voir l’hégémonie des castes dans la gestion du destin de l'humanité(4) Il est évident que les classes populaires, doivent être rassemblées (5), fait qu'implique un travail énorme d’éducation déjà des travailleurs, puis des changements profonds dans le fonctionnement de l'éducation et les médias. D'ailleurs les groupes syndicaux en France comment les communautés religieuses doivent disposer d'un espace d'expression équitable dans les chaînes de télévision publique.
Pour quand le changement ?
Une analyse consciencieux du paragraphe présentent, nous permet de constater que les crises économiques, qui accablent les classes populaires fondamentalement, continueront donc de se répéter, tant qu'une force solidaire constitué de "vrais" représentants des classes populaires, n'auraient adopté des mesures de cohésion suffisantes pour faire fonctionner une véritable démocratie, en France mais surtout dans le monde(6).
(1) La méconnaissance et l'indifférence sont des conséquences d'un procès prédéfini par un concours avéré entre les programmes d'éducation et l'environnement (médias, cercles intimes, familles, environnement socioprofessionnel), loin de moi, donc, une opinion proche du dédain, prétention ou mépris des classes populaires aux quelles je suis sensé appartenir.
(2) lien pour un curriculum vitae déjà présent dans la toile comment il est possible de constater par la date (11/04/2003)
http://nestor.ramirez.monsite-orange.fr/page1/index.html
(3) Suite aux pertinents efforts de mes excellents professeurs de sciences sociales, j'ai toujours tentais de trouver l'information à la source, plutôt que me laisser intoxiquer par les médias généralistes par oisiveté ou fainéantise.
(4) La réalité sociale reste de loin INTERNATIONALE, est le travail syndicale doit en conséquence être solidaire avec les pays voisins (Portugal, Grèce, Italie, etc.)
(5) Rassembler les classes sociales suppose déjà, la présence de conscience sociale, laquelle fait absolument défaut dans 90 % des classes populaires en France, Pour cette raisons, parler de démocratie reste le plus monumentale mensonge, si non veuillez m'expliquer pour quoi une nation avec 350 000 potentiels suffragants aurait l'option de voir élire au fauteuil de l’Élysée un représentant du groupe UMP, alors que le potentiel de suffragants du PS dépasse les 2,5 millions ? Zut à la fin ! Aucune action humaine peu être dissocié par convenance ou un but autre, de sont sens profonds, toute action humaine reste un acte politique. (le plus banal choix, lors d'un achat d'un produit, ainsi soit une barre de savon, de la part des masses des consommateurs, a une transcendance politique, car c'est un acte qui définit la vie ou le trépas des entreprises.
(6) De toute évidence la plus part des membres des classes populaires ignorent trop pour se rendre compte du pouvoir qui leur est tout simplement usurpé, par des castes illégitimes mais dominantes : le film Let's make money nous montre dans un extrait de 16 minutes, trop pour qu'une personne membre des classes sociales le plus atteintes par la crise, doté d'un cerveau normal ne réagisse pas, voir le lien ci-dessous :
https://www.dailymotion.com/video/xca149_let-s-make-money-sous-titres-franca_news#.UeUzsuGP-PI
La réponse reste d'une simplicité déconcertante, a condition de disposer d'un nombre limité d'outils, donc toutes les clés serons données ici-dessous
Titre: Quand le capitalisme perd la tête
Chapitre: Vers un nouvel idéalisme démocratique
Pages : 516/517
Auteur: Joseph Eugene Stiglitz (prix Nobel d'économie)
Dédié à des membres FO de la CNIEG (Caisse national de retraite des industries électriques et gazières)
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..."Avec la mondialisation, les problèmes que nous venons d'évoquer - le juste rôle de l’État, les limites des marchés, la manière dont l'économie façonne les comportements individuels et la société - sont débattus au niveau planétaire.
Nous sommes en train de fixer les règles du jeu, mais elles sont écrites par des institutions économiques internationales dans lesquelles CERTAINS PAYS ET CERTAINS INTÉRÊTS PARTICULIERS - et certains idéologies - ont un grand poids.
Si les États Unis parlent souvent d'état de droit, leur politique unilatéraliste en constitue un rejet au niveau international.
Ils sont pour des règles du jeu mondiales, mais craignent que l'Organisation Mondiale du Commerce OMC ou le TPI (Tribunal Pénal International) n’empiètent sur leur propres souveraineté. Bref, ils sont pour l’État de droit tant que ses effets sont conformes à leur volonté.
Si les États-Unis ont de telles craintes ; il n'y a pas besoins d'une longue réflexion pour comprendre ce que doivent ressentir les autres pays, en particulier les pays en développement pauvres qui voient ces institutions mondiales dominées par l'Amérique et les autres puissances industrielles avancées"...
Modeste interprétation
Maintenir la retraite par répartition, reste comment l'ensemble de services publiques, une véritable utopie, tant que la législation en particulier des pratiques de fiscalité, ne soient rendus justes. Les agents économiques (les représentants syndicaux aux instances et bureau de haut niveau de décision) ne peuvent pas ne pas être parfaitement au courant de la mascarade sur la fiscalité, l'évasion fiscale et les paradis fiscaux, et les conséquences sur les dérives du budget de la protection sociale comparons ce qu'est comparable s'il vous plaît! (dans le lien des graphiques sur l'économie française):
https://actualite.forumpro.fr/t60p15-economie-politique-et-subvention#713
Depuis mon poste d'ouvrier de la métallurgie, syndiqué, dois-je agir comment les 95 % des béotiens ?
Qui sont les responsables des crises économiques ?
Cela est l'atteinte de la grande majorité de leaders "politiques" mais hélas pour eux, le petit ouvrier, le petit travailleur intérimaire, le chômeur, doit commencer à se rendre à l'évidence, le "dit et adulé" système traditionnel, dit d'ailleurs démocratique, dans sont interprétation la plus large, (syndicalisme y compris) ; doit commencer à constater les profonds dégâts causés par cette (définition personnel qui me semble la plus proche) tendance de chacun à l'individualisme et l'indifférence induits (1).
Sans blagues !
Si la démocratie fonctionnée vraiment ! En grande partie les différentes crises de l'économie ne seraient pas possibles.
Pour quoi j'ose accuser ?
En tant qu'ouvrier immigré (arrivé en France depuis la Colombie en 1988) j'ai l'image plutôt "préjugé" d'arriver du fin fond de la jungle, à priori sans jamais avoir eux la moindre connaissance, habitude d'une personne civilisée. (2). Sauf que par des raisons hors propos, j'ai un bagage syndical et de connaissances, enrayé énormément par des difficultés avec une autre langue.
Il se trouve que la langue française reste après la langue de Shakespeare, la deuxième en diffusion des connaissances au monde. Voilà pour quoi, (3) j'ajouté des connaissances capitales à mon niveau, via le web ; où l’œuvre d’Étienne de la Boétie, (Lien pour LE DISCOURS DE LA SERVITUDE VOLONTAIRE http://classiques.uqac.ca/classiques/la_boetie_etienne_de/discours_de_la_servitude/discours_servitude_volontaire.pdf) ou encore (le discours de la méthode) http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/file/descartes_methode.pdf œuvre de Déscartes, mais encore LA RÉPUBLIQUE de Platon, œuvres de chevet, mises bout à bout avec des livres d'Antoine Peillon, Edourad Tétreau, puis bien sur Joseph E. Stiglitz nous donnent les clés d'une réalité où moins de 3% des gens réussissent à engranger plus de 90% de la richesse dans le monde grâce à des pratiques de fraude, de triche et de spéculation, avec une certains aide comment l'indifférence et l'individualisme qui les rends du coup légitimes grâce à une fiscalité sur mesure obtenu par le biais du lobby
J’accuse
L'indifférence et l'individualisme induits.
Quoi faire alors ?
Puisque dès l'intérieur du système un homme (J. E. Stiglitz) a le courage de dénoncer ouvertement l'iniquité, l'illégitimité, l'usurpation, voir l’hégémonie des castes dans la gestion du destin de l'humanité(4) Il est évident que les classes populaires, doivent être rassemblées (5), fait qu'implique un travail énorme d’éducation déjà des travailleurs, puis des changements profonds dans le fonctionnement de l'éducation et les médias. D'ailleurs les groupes syndicaux en France comment les communautés religieuses doivent disposer d'un espace d'expression équitable dans les chaînes de télévision publique.
Pour quand le changement ?
Une analyse consciencieux du paragraphe présentent, nous permet de constater que les crises économiques, qui accablent les classes populaires fondamentalement, continueront donc de se répéter, tant qu'une force solidaire constitué de "vrais" représentants des classes populaires, n'auraient adopté des mesures de cohésion suffisantes pour faire fonctionner une véritable démocratie, en France mais surtout dans le monde(6).
(1) La méconnaissance et l'indifférence sont des conséquences d'un procès prédéfini par un concours avéré entre les programmes d'éducation et l'environnement (médias, cercles intimes, familles, environnement socioprofessionnel), loin de moi, donc, une opinion proche du dédain, prétention ou mépris des classes populaires aux quelles je suis sensé appartenir.
(2) lien pour un curriculum vitae déjà présent dans la toile comment il est possible de constater par la date (11/04/2003)
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(3) Suite aux pertinents efforts de mes excellents professeurs de sciences sociales, j'ai toujours tentais de trouver l'information à la source, plutôt que me laisser intoxiquer par les médias généralistes par oisiveté ou fainéantise.
(4) La réalité sociale reste de loin INTERNATIONALE, est le travail syndicale doit en conséquence être solidaire avec les pays voisins (Portugal, Grèce, Italie, etc.)
(5) Rassembler les classes sociales suppose déjà, la présence de conscience sociale, laquelle fait absolument défaut dans 90 % des classes populaires en France, Pour cette raisons, parler de démocratie reste le plus monumentale mensonge, si non veuillez m'expliquer pour quoi une nation avec 350 000 potentiels suffragants aurait l'option de voir élire au fauteuil de l’Élysée un représentant du groupe UMP, alors que le potentiel de suffragants du PS dépasse les 2,5 millions ? Zut à la fin ! Aucune action humaine peu être dissocié par convenance ou un but autre, de sont sens profonds, toute action humaine reste un acte politique. (le plus banal choix, lors d'un achat d'un produit, ainsi soit une barre de savon, de la part des masses des consommateurs, a une transcendance politique, car c'est un acte qui définit la vie ou le trépas des entreprises.
(6) De toute évidence la plus part des membres des classes populaires ignorent trop pour se rendre compte du pouvoir qui leur est tout simplement usurpé, par des castes illégitimes mais dominantes : le film Let's make money nous montre dans un extrait de 16 minutes, trop pour qu'une personne membre des classes sociales le plus atteintes par la crise, doté d'un cerveau normal ne réagisse pas, voir le lien ci-dessous :
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C'est la démocratie ça?
Il se trouve qu'il y a quelques jours un philosophe français s'exprimait sur LA CHAÎNE PARLEMENTAIRE PUBLIC SÉNAT, pour dire que la démocratie n'existait pas vraiment!
Il s'agit de monsieur MARCEL CONCHE
Un lien pour ceux et celles qui voudrons aller plus loin:
Comment vivre mieux ...
Rediffusion le :
vendredi 06/09/2013 à 22h00
vendredi 06/09/2013 à 23h30
samedi 07/09/2013 à 07h30
Durée : 60 minutes
http://www.publicsenat.fr/emissions/bibliotheque-medicis/comment-vivre-mieux-.../jose-freches,marcel-conche,alain-connes/135450
J'ai un livre donc parmi d'autres et certains passages sont d'une grande importance. Non pas que le béotien type ne le sache pas? Non! Loin de là!
Le quidam est parfaitement au courant!
Oui je vais transcrire quelques lignes d'un livre et je vais exposer une opinion qui accable justement ceux et celles qui par indifférence ou individualisme légitiment carrément les crises et le chômage puis toutes les absurdités passés, présentes et a venir dans la société.
Titre: Quand le capitalisme perd la tête
Auteur: Joseph E. Stiglitz
Chapitre : Vers un nouvel idéalisme démocratique
Pages : 516/517
ISBN: 9782253109310
Éditeur: Le livre de poche (www.livredepoche.com)
Extrait:
..."Le problème, c'est que la mondialisation économique est allée plus vite que la mondialisation politique. Les États-Unis ont réussi à "vendre" l'idée de la démocratie dans le monde entier. En démocratie, aucun individu ne peu dicter tout seul le cours de choses: il n'y a que dans les dictatures que quelqu'un a toujours raison. Et, en démocratie, chaque parti essaie de persuader les autres des mérites de ses propositions.
Le leadership passe en général par l’élaboration d'un consensus: il consiste à trouver des approches qui représentent un compromis acceptable entre les points de vue et intérêts rivaux.
Mais sur le plan mondial, les États-Unis ont plusieurs fois dit clairement qu'il fallait qu'on leur donne raison. S'ils peuvent obtenir cet aval en usant de leur puissance, y compris économique, c'est tant mieux, mais s'ils ne le peuvent pas, ils suivront leur propre chemin.
C'est ainsi que, sous George W. Bush, le plus grand pays pollueur du monde en 2001 s'est retiré unilatéralement de l'accord international de réduction des gaz à effet de serre, émissions qui, à travers le réchauffement de la planète, ont des effets palpables sur le climat.
La mondialisation a intégré plus étroitement tous les pays; et cette intégration intensifie inévitablement le besoin d'action collective pour résoudre les problèmes communs.
Le monde entier partageant la même atmosphère, les émissions dans un pays – Les États-Unis – peuvent avoir de lourdes conséquences pour d'autres ; elles peuvent provoquer des inondations massives au Bangladesh ; voire la submersion de certains États insulaires du Pacifique. Néanmoins, les États-Unis sont réticents à accepter que les décisions qui affectent le monde entier soient prises d'une manière conforme aux principes démocratiques"...
Conclusions?
Le texte venant d'un ancien membre du FMI, conseiller de la maison blanche, pour Clinton et Obama, professeur des universités des États-Unis, et prix Nobel d'économie, qui plus est citoyen lui même des États-Unis d'Amérique, me semble d'une importance phénoménale.
Sur le plan économique comment sur le plan politique, cela montre noir sur blanc que l'indifférence et l'individualisme trouve sont apogée, sont zénith dans la légitimité qui s’octroi une seule nation de manière. bien plus qu'outrancière, intolérable.
Qui sera au bout le véritable responsable de l'évolution de la société?
La société elle même bien sur! Oui mais encore?
Oui puisque monsieur Stiglitz (je passe pour fastidieux ? En me répétant encore) a le courage mais aussi et surtout la lucidité intellectuel réservé aux philosophes, de reconnaître les erreurs d'un tel type de la part de sont pays.
Oui mais monsieur et madame tout le monde (vous et moi) nous par contre nous sommes loin d'autant de courage pour nous dire "stop" nous le peuple nous allons nous battre avec les mêmes armes, pour la vraie démocratie !
Non ! Nous restons dans notre petit coin, avec notre piètre confort sans rien vouloir savoir d'une hypothétique intention d'unir les forces et demander la vraie démocratie !!!!
Il s'agit de monsieur MARCEL CONCHE
Un lien pour ceux et celles qui voudrons aller plus loin:
Comment vivre mieux ...
Rediffusion le :
vendredi 06/09/2013 à 22h00
vendredi 06/09/2013 à 23h30
samedi 07/09/2013 à 07h30
Durée : 60 minutes
http://www.publicsenat.fr/emissions/bibliotheque-medicis/comment-vivre-mieux-.../jose-freches,marcel-conche,alain-connes/135450
J'ai un livre donc parmi d'autres et certains passages sont d'une grande importance. Non pas que le béotien type ne le sache pas? Non! Loin de là!
Le quidam est parfaitement au courant!
Oui je vais transcrire quelques lignes d'un livre et je vais exposer une opinion qui accable justement ceux et celles qui par indifférence ou individualisme légitiment carrément les crises et le chômage puis toutes les absurdités passés, présentes et a venir dans la société.
Titre: Quand le capitalisme perd la tête
Auteur: Joseph E. Stiglitz
Chapitre : Vers un nouvel idéalisme démocratique
Pages : 516/517
ISBN: 9782253109310
Éditeur: Le livre de poche (www.livredepoche.com)
Extrait:
..."Le problème, c'est que la mondialisation économique est allée plus vite que la mondialisation politique. Les États-Unis ont réussi à "vendre" l'idée de la démocratie dans le monde entier. En démocratie, aucun individu ne peu dicter tout seul le cours de choses: il n'y a que dans les dictatures que quelqu'un a toujours raison. Et, en démocratie, chaque parti essaie de persuader les autres des mérites de ses propositions.
Le leadership passe en général par l’élaboration d'un consensus: il consiste à trouver des approches qui représentent un compromis acceptable entre les points de vue et intérêts rivaux.
Mais sur le plan mondial, les États-Unis ont plusieurs fois dit clairement qu'il fallait qu'on leur donne raison. S'ils peuvent obtenir cet aval en usant de leur puissance, y compris économique, c'est tant mieux, mais s'ils ne le peuvent pas, ils suivront leur propre chemin.
C'est ainsi que, sous George W. Bush, le plus grand pays pollueur du monde en 2001 s'est retiré unilatéralement de l'accord international de réduction des gaz à effet de serre, émissions qui, à travers le réchauffement de la planète, ont des effets palpables sur le climat.
La mondialisation a intégré plus étroitement tous les pays; et cette intégration intensifie inévitablement le besoin d'action collective pour résoudre les problèmes communs.
Le monde entier partageant la même atmosphère, les émissions dans un pays – Les États-Unis – peuvent avoir de lourdes conséquences pour d'autres ; elles peuvent provoquer des inondations massives au Bangladesh ; voire la submersion de certains États insulaires du Pacifique. Néanmoins, les États-Unis sont réticents à accepter que les décisions qui affectent le monde entier soient prises d'une manière conforme aux principes démocratiques"...
Conclusions?
Le texte venant d'un ancien membre du FMI, conseiller de la maison blanche, pour Clinton et Obama, professeur des universités des États-Unis, et prix Nobel d'économie, qui plus est citoyen lui même des États-Unis d'Amérique, me semble d'une importance phénoménale.
Sur le plan économique comment sur le plan politique, cela montre noir sur blanc que l'indifférence et l'individualisme trouve sont apogée, sont zénith dans la légitimité qui s’octroi une seule nation de manière. bien plus qu'outrancière, intolérable.
Qui sera au bout le véritable responsable de l'évolution de la société?
La société elle même bien sur! Oui mais encore?
Oui puisque monsieur Stiglitz (je passe pour fastidieux ? En me répétant encore) a le courage mais aussi et surtout la lucidité intellectuel réservé aux philosophes, de reconnaître les erreurs d'un tel type de la part de sont pays.
Oui mais monsieur et madame tout le monde (vous et moi) nous par contre nous sommes loin d'autant de courage pour nous dire "stop" nous le peuple nous allons nous battre avec les mêmes armes, pour la vraie démocratie !
Non ! Nous restons dans notre petit coin, avec notre piètre confort sans rien vouloir savoir d'une hypothétique intention d'unir les forces et demander la vraie démocratie !!!!
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In Spanish and French
Spanish
... "Adam Smith argumentó que trabajando en su interés personal los individuos contribuyen al bien público. Pero hemos visto a lo largo de este libro, que a menudo no es el caso. Hemos subestimado la importancia virtudes tradicionales como la confianza y la lealtad en el funcionamiento de nuestro sistema económico. Anteriormente, había una relación de confianza y lealtad entre la empresa y su personal, por lo que en tiempos de recesión, las empresas conservaban a sus empleados . - y esto es suele ser así, en algunos países. En los Estados Unidos, la doctrina del beneficio económico inmediato ha cambiado todo eso y ahora los empleados que no son necesarios se lanzan inmediatamente a la calle – sin preocuparse del precio por la sociedad y sus familias. Las empresas que se muestran poco amables con el personal puede tener dificultades para contratar en el futuro, pero ya que sólo piensan en sus ganancias del día, a tal punto que prestan poca atención a los efectos a largo plazo.
French
..."Adam Smith soutenait qu'en œuvrant dans leur intérêt personnel les individus contribuent au bien public. Mais nous avons vu tout au long de ce livre que souvent ce n'est pas les cas. Nous avons sous-estimé l'importance de vertus traditionnelles comme la confiance et la loyauté dans le fonctionnement de notre système économique. Autrefois, il existait des rapports de confiance, de loyauté entre l'entreprise et sont personnel, si bien qu'en temps de récession les firmes conservaient souvent leurs salariées – et c'est toujours vrai dans certains pays. Mais, aux États-Unis, la doctrine économique du profit immédiat a changé tout cela ; aujourd'hui, les salariés dont on n'a pas besoin sont aussitôt jetés à la rue – sans souci du coût pour la société et pour leur famille. Les entreprises qui se montrent aussi implacables envers leur personnel auront peut-être du mal à recruter dans l'avenir mais, comme elles ne pensent qu'à leurs profits du jours, elles ne prêtent guère attention à ces effets à long terme.
Esto es sólo un ejemplo de toda una clase de fenómenos donde las acciones de un individuo tienen efectos individuales no se tienen en cuenta debidamente por el mercado. Las ganancias directores mencionados en capítulos anteriores se han logrado en parte a expensas de los accionistas y posesores de bonos. Cuando los actos de los individuos afectan a los demás sin compensación, estos son denominados como "externalidades". El derecho de toda persona a actuar en nombre de sus intereses personales debe estar limitada por las posibles consecuencias negativas sobre los demás. "La libertad" da a los individuos el derecho a vivir como lo consideran necesario - siempre y cuando no tenga efectos negativos sobre los demás.
Ce n'est là qu'un exemple de toute une catégorie de phénomènes où les actes d'un individu ont des effets qui ne sont pas convenablement pris en compte par les marchés. Les gains des directeurs évoqués dans les chapitres précédents ont été en partie réalisés aux dépens des actionnaires et des détenteurs d'obligations. Quand les actes de certains individus en affectent d'autres sans qu'il y ait compensation, on appelle leurs effets des "externalités" . Le droit de chacun à agir pour ses intérêts personnels est ou devrait être limité par les conséquences néfastes potentielles de des actes sur les autres. La "liberté" donne aux individus le droit de vivre comme ils l'entendent – pourvu que cela n'ait pas d'effets négatifs sur autrui.
El problema es que en nuestra sociedad compleja e integrada, el acto individual cada vez más, es probable que tenga este tipo de impacto. Si una persona fuma, otro tiene cáncer: el tabaquismo pasivo. Así, en algunos estados, se prohíbe fumar en el lugar de trabajo. Pero fumar en casa, en la intimidad? Esto tendra como resultado costos adicionales para la salud, y desde luego, con Medicare, atención médica para las personas de edad se financia por los contribuyentes que sont los que pagarán. "...
Le problème est que, dans notre société complexe et intégrée, l'acte individuel est de plus en plus susceptible d'avoir ce type d'impact. Un individu fume, un autre a un cancer : tabagisme passif. Donc dans certains états, il est interdit de fumer sur les lieux de travail. Mais fumer chez soi, dans l'intimité ? Cela engendrera des dépenses de santé supplémentaires, et puisque , avec Médicare, les soins médicaux des personnes âgées sont financés par l’État ce sont les contribuables qui vont payer."...
Extrait du livre intitulé "Quand le capitalisme perd la tête" aux pages 509 et 510 écrit pas Joseph E. Stiglitz (ISBN 9782253109310) éditions "Livres de Poche" Maury – Imprimeurs – 45330 Malesherbes France
Joseph Eugene Stiglitz
https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Eugene_Stiglitz
Joseph Eugene Stiglitz est un économiste américain né le 9 février 1943. Il a reçu en 2001 le prix Nobel d’Économie, pour un travail commun avec George Akerlof et Michael Spence. Il est l'un des fondateurs et des représentants les plus connus du « nouveau keynésianisme ». Il a acquis sa notoriété populaire à la suite de ses violentes critiques envers le FMI et la Banque mondiale, émises peu après son départ de la Banque mondiale en 2000, alors qu'il y était économiste en chef.
Parmi les recherches les plus connues de Stiglitz figure la théorie du screening, qui vise à obtenir de l’information privée de la part d’un agent économique : cette théorie, avec les lemons d’Akerlof et l’effet signal de Spence, est à la base de l’économie de l'information et du nouveau keynésianisme. Il s'intéresse aussi à l'économie du développement. On lui doit également la théorie du salaire d'efficience.
Vous savez que depuis la civilisation minoenne (2000 ans a.n.e.) en passant par tant d'autres formes de vie ou civilisations Assyrienne, Inca, Aztèque, etc. beaucoup de formes de gestion de la chose publique ont depuis existé. Qui peut croire que l'empire implanté depuis a peine quelques siècles cette fois-ci saurait immortel ? Il faut pour cela, bien sur une ensemble de conditions, que vous connaissait, reste utopique croire à la fin d'un empire ou civilisation sans effusion de sang. Gageons pour que les êtres humains modernes, aurons suffisamment mûri pour l'éviter.
Je suis un naïfs voyez vous :
http://www.votrejournal.net/Oui-je-sais-je-suis-un-naif_a486.html
Sincèrement avec autant de progrès, autant de technologie, des moyens de communication, j'ai l'intime conviction (trop naïfs sans doute) qu'il est possible de trouver par le dialogue, le plaidoyer, la joute des mots, par l’usage du verbe et l'éloquence, dans les cerveaux des peuples cette sorte de terrain fertile pour faire germer des idéaux nouveaux, sur la base si simple mais saine de la conception de Platon des notions de démocratie et de république. (sorry because I don't speak very well in French, i from of Colombie ans I think against the European man that I think bad)
Des symptômes de la fin d'un empire
In Spanish and French
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... "Adam Smith argumentó que trabajando en su interés personal los individuos contribuyen al bien público. Pero hemos visto a lo largo de este libro, que a menudo no es el caso. Hemos subestimado la importancia virtudes tradicionales como la confianza y la lealtad en el funcionamiento de nuestro sistema económico. Anteriormente, había una relación de confianza y lealtad entre la empresa y su personal, por lo que en tiempos de recesión, las empresas conservaban a sus empleados . - y esto es suele ser así, en algunos países. En los Estados Unidos, la doctrina del beneficio económico inmediato ha cambiado todo eso y ahora los empleados que no son necesarios se lanzan inmediatamente a la calle – sin preocuparse del precio por la sociedad y sus familias. Las empresas que se muestran poco amables con el personal puede tener dificultades para contratar en el futuro, pero ya que sólo piensan en sus ganancias del día, a tal punto que prestan poca atención a los efectos a largo plazo.
French
..."Adam Smith soutenait qu'en œuvrant dans leur intérêt personnel les individus contribuent au bien public. Mais nous avons vu tout au long de ce livre que souvent ce n'est pas les cas. Nous avons sous-estimé l'importance de vertus traditionnelles comme la confiance et la loyauté dans le fonctionnement de notre système économique. Autrefois, il existait des rapports de confiance, de loyauté entre l'entreprise et sont personnel, si bien qu'en temps de récession les firmes conservaient souvent leurs salariées – et c'est toujours vrai dans certains pays. Mais, aux États-Unis, la doctrine économique du profit immédiat a changé tout cela ; aujourd'hui, les salariés dont on n'a pas besoin sont aussitôt jetés à la rue – sans souci du coût pour la société et pour leur famille. Les entreprises qui se montrent aussi implacables envers leur personnel auront peut-être du mal à recruter dans l'avenir mais, comme elles ne pensent qu'à leurs profits du jours, elles ne prêtent guère attention à ces effets à long terme.
Esto es sólo un ejemplo de toda una clase de fenómenos donde las acciones de un individuo tienen efectos individuales no se tienen en cuenta debidamente por el mercado. Las ganancias directores mencionados en capítulos anteriores se han logrado en parte a expensas de los accionistas y posesores de bonos. Cuando los actos de los individuos afectan a los demás sin compensación, estos son denominados como "externalidades". El derecho de toda persona a actuar en nombre de sus intereses personales debe estar limitada por las posibles consecuencias negativas sobre los demás. "La libertad" da a los individuos el derecho a vivir como lo consideran necesario - siempre y cuando no tenga efectos negativos sobre los demás.
Ce n'est là qu'un exemple de toute une catégorie de phénomènes où les actes d'un individu ont des effets qui ne sont pas convenablement pris en compte par les marchés. Les gains des directeurs évoqués dans les chapitres précédents ont été en partie réalisés aux dépens des actionnaires et des détenteurs d'obligations. Quand les actes de certains individus en affectent d'autres sans qu'il y ait compensation, on appelle leurs effets des "externalités" . Le droit de chacun à agir pour ses intérêts personnels est ou devrait être limité par les conséquences néfastes potentielles de des actes sur les autres. La "liberté" donne aux individus le droit de vivre comme ils l'entendent – pourvu que cela n'ait pas d'effets négatifs sur autrui.
El problema es que en nuestra sociedad compleja e integrada, el acto individual cada vez más, es probable que tenga este tipo de impacto. Si una persona fuma, otro tiene cáncer: el tabaquismo pasivo. Así, en algunos estados, se prohíbe fumar en el lugar de trabajo. Pero fumar en casa, en la intimidad? Esto tendra como resultado costos adicionales para la salud, y desde luego, con Medicare, atención médica para las personas de edad se financia por los contribuyentes que sont los que pagarán. "...
Le problème est que, dans notre société complexe et intégrée, l'acte individuel est de plus en plus susceptible d'avoir ce type d'impact. Un individu fume, un autre a un cancer : tabagisme passif. Donc dans certains états, il est interdit de fumer sur les lieux de travail. Mais fumer chez soi, dans l'intimité ? Cela engendrera des dépenses de santé supplémentaires, et puisque , avec Médicare, les soins médicaux des personnes âgées sont financés par l’État ce sont les contribuables qui vont payer."...
Extrait du livre intitulé "Quand le capitalisme perd la tête" aux pages 509 et 510 écrit pas Joseph E. Stiglitz (ISBN 9782253109310) éditions "Livres de Poche" Maury – Imprimeurs – 45330 Malesherbes France
Joseph Eugene Stiglitz
https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Eugene_Stiglitz
Joseph Eugene Stiglitz est un économiste américain né le 9 février 1943. Il a reçu en 2001 le prix Nobel d’Économie, pour un travail commun avec George Akerlof et Michael Spence. Il est l'un des fondateurs et des représentants les plus connus du « nouveau keynésianisme ». Il a acquis sa notoriété populaire à la suite de ses violentes critiques envers le FMI et la Banque mondiale, émises peu après son départ de la Banque mondiale en 2000, alors qu'il y était économiste en chef.
Parmi les recherches les plus connues de Stiglitz figure la théorie du screening, qui vise à obtenir de l’information privée de la part d’un agent économique : cette théorie, avec les lemons d’Akerlof et l’effet signal de Spence, est à la base de l’économie de l'information et du nouveau keynésianisme. Il s'intéresse aussi à l'économie du développement. On lui doit également la théorie du salaire d'efficience.
Vous savez que depuis la civilisation minoenne (2000 ans a.n.e.) en passant par tant d'autres formes de vie ou civilisations Assyrienne, Inca, Aztèque, etc. beaucoup de formes de gestion de la chose publique ont depuis existé. Qui peut croire que l'empire implanté depuis a peine quelques siècles cette fois-ci saurait immortel ? Il faut pour cela, bien sur une ensemble de conditions, que vous connaissait, reste utopique croire à la fin d'un empire ou civilisation sans effusion de sang. Gageons pour que les êtres humains modernes, aurons suffisamment mûri pour l'éviter.
Je suis un naïfs voyez vous :
http://www.votrejournal.net/Oui-je-sais-je-suis-un-naif_a486.html
Sincèrement avec autant de progrès, autant de technologie, des moyens de communication, j'ai l'intime conviction (trop naïfs sans doute) qu'il est possible de trouver par le dialogue, le plaidoyer, la joute des mots, par l’usage du verbe et l'éloquence, dans les cerveaux des peuples cette sorte de terrain fertile pour faire germer des idéaux nouveaux, sur la base si simple mais saine de la conception de Platon des notions de démocratie et de république. (sorry because I don't speak very well in French, i from of Colombie ans I think against the European man that I think bad)
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
emploi et politique
Emploi et politique
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny, lundi 5 août 2013
Je vous prie d'excuser mon horrible niveau en langue française, car ma langue maternelle reste l'espagnol
Le taux d'emploi d'une nation reste assujetti à des aléas d'ordre exogène principalement, où les autorités nationales n'ont la moindre emprise.
Hélas toute opinion, action ou politique d'emploi qui oserait aborder la création d'un volume important d'emplois dans un pays reste plutôt de la démagogie et du prosélytisme plutôt.
Si nous aurions un regard éclectique, multidisciplinaire de la situation économique à la taille du monde, alors nous comprenions au mieux que certains élites croient de manière absurde qu'il est facile de faire croire tout et n'importe quoi au béotien, au quidam de base.
Vu que je me sens foncière et intellectuellement intimement lié aux classes populaires, je me donne sans compter à l'idée d'une pédagogie constante en faveur des gens de mon niveau, surtout moi, en tant qu'immigré, illettré dans la langue de Molière.
Dans un graphique tout simple d'un des blogs ou forums aux quels j'ai pour habitude intervenir, je donne par des chiffres vérifiables le poids en euros de différentes sources pour les caisses de l’État.
C'est un graphique très constructif puisqu'il montre que les finances et les assurances apportent moins de 3 % des recettes de la France, tandis que par exemple la TVA à elle seule apporte plus de 49 % aux comptes de la France et l'impôt sur le revenu arrive en deuxième avec presque 25 % de l'argent que recueilli l'état.
Alors que le béotien type est accoutumé à entendre par tout "que le royaume des finances et des banques sont les plus puissants au monde"
Simplement parce que par la voie du lobby ils arrivaient aisément d'une part a réussir au maximum l’évasion fiscale et de l'autre à faire passer toutes les lois favorables à leurs intérêts.
Alors que c'est le peuple, monsieur et madame tout le monde, qui par leur consommation soutiennent la véritable économie. Le salaire d'une personne au SMIG passe à 101 % dans le cycle primaire de l'économie, alors qu'une personne avec SMIG x10 quant à lui fait passer moins de 10 % dans l'économie primaire, et 90 % de sont revenu restant part dans des longues procès typiques très bien rodés de spéculation, où une des pratiques la plus connue reste la suppression d'emplois ; suite de cette analyse est illustré dans une fable dans un site internet sous le titre "l'économie expliqué aux enfants" :
http://www.alexandrie.org/viewtopic.php?topic=3080&forum=3
C'est l'économie expliqué AUX ENFANTS, bien sur les adultes comprennent tellement bien la réalité sociale que pour beaucoup de membres de classes populaires il y a ceux qui votent pour la droite et pire encore pour l'extrême droite....
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny, lundi 5 août 2013
Je vous prie d'excuser mon horrible niveau en langue française, car ma langue maternelle reste l'espagnol
Le taux d'emploi d'une nation reste assujetti à des aléas d'ordre exogène principalement, où les autorités nationales n'ont la moindre emprise.
Hélas toute opinion, action ou politique d'emploi qui oserait aborder la création d'un volume important d'emplois dans un pays reste plutôt de la démagogie et du prosélytisme plutôt.
Si nous aurions un regard éclectique, multidisciplinaire de la situation économique à la taille du monde, alors nous comprenions au mieux que certains élites croient de manière absurde qu'il est facile de faire croire tout et n'importe quoi au béotien, au quidam de base.
Vu que je me sens foncière et intellectuellement intimement lié aux classes populaires, je me donne sans compter à l'idée d'une pédagogie constante en faveur des gens de mon niveau, surtout moi, en tant qu'immigré, illettré dans la langue de Molière.
Dans un graphique tout simple d'un des blogs ou forums aux quels j'ai pour habitude intervenir, je donne par des chiffres vérifiables le poids en euros de différentes sources pour les caisses de l’État.
C'est un graphique très constructif puisqu'il montre que les finances et les assurances apportent moins de 3 % des recettes de la France, tandis que par exemple la TVA à elle seule apporte plus de 49 % aux comptes de la France et l'impôt sur le revenu arrive en deuxième avec presque 25 % de l'argent que recueilli l'état.
Alors que le béotien type est accoutumé à entendre par tout "que le royaume des finances et des banques sont les plus puissants au monde"
Simplement parce que par la voie du lobby ils arrivaient aisément d'une part a réussir au maximum l’évasion fiscale et de l'autre à faire passer toutes les lois favorables à leurs intérêts.
Alors que c'est le peuple, monsieur et madame tout le monde, qui par leur consommation soutiennent la véritable économie. Le salaire d'une personne au SMIG passe à 101 % dans le cycle primaire de l'économie, alors qu'une personne avec SMIG x10 quant à lui fait passer moins de 10 % dans l'économie primaire, et 90 % de sont revenu restant part dans des longues procès typiques très bien rodés de spéculation, où une des pratiques la plus connue reste la suppression d'emplois ; suite de cette analyse est illustré dans une fable dans un site internet sous le titre "l'économie expliqué aux enfants" :
http://www.alexandrie.org/viewtopic.php?topic=3080&forum=3
C'est l'économie expliqué AUX ENFANTS, bien sur les adultes comprennent tellement bien la réalité sociale que pour beaucoup de membres de classes populaires il y a ceux qui votent pour la droite et pire encore pour l'extrême droite....
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Date d'inscription : 21/02/2009
Emploi et croissance
Macroéconomie et emploi
Par Nestor Elias RAMIREZ JIEMNEZ dit gramophone
Joigny, mardi 6 août 2013
L'emploi et la croissance sont deux facteur d'économie qui restent intimement liés. Si nous regardons attentivement l'évolution de l'économie pendant des longs périodes, nous allons nous rendre compte que les courbes de croissance et d'emploi restent très proches.
A chaque fois que les banques retrouvent des difficultés, l'emploi est par la suite affecté. Hors l'univers financiers, présente la tendance à oublier que le salaire ; en particulier "les bas salaires" sont introduits systématiquement dans le cycle économique primaire.
Lorsqu'une panique fait irruption dans la nébuleuse des finances, la réponse produit l'effet opposé. C'est-à-dire, que l'économie subi une rétraction violente, amplifié par le manque de confiance.
Il faut admettre que la mal nommée "économie mondiale" vie sur le dos de la production, (sur les marchés des devises, sur le marché réel, production physique de biens, des matières, et des services) c'est en fait la valeur ajouté (1) qui par une myriade de tactiques très rusées, est sournoisement enlevé aux agents divers qui la créent pour enrichir une infime quantité de joueurs atteints d'une mièvrerie endémique et copieusement parsemée de cupidité.
La croissance
Les comptes des entreprises devraient permettre une évolution prévisible et contrôlée.
Prévisible, car le temps apporte l’expérience et avec une augmentation de la dextérité, nécessairement cela débouche sur une augmentation de la rentabilité accompagné d'une meilleure qualité. Donc le champ des expectatives s’accroît avec la satisfaction du client sur un certain nombre de condition de gestion efficiente des ressources humains et techniques.
Contrôlé, car l'augmentation du chiffre d'affaires, autorise la modernisation des équipes humains et techniques, que à leur tour créent les conditions, dans une spirale positive d'évolution : à majeur capacité de production, meilleur état financier de l'entreprise, s'en suit l’amélioration des conditions de travail, une longue liste de raisons iraient dans la spirale où l'environnement de travail procure au salarié les plus amples motivations.
Rotation de l'emploi
Un indicateur peu commenté dans certains cercles, (le turn-over) intimement lié au travail temporaire, mais pas seulement, est aussi un gaspillage monumentale de savoir faire et impacte de manière néfaste les cercles de production : Un ouvrier trouve un emploi temporaire, pendant une période de temps relative, il est nécessairement en-dessous de sa capacité optimale, car il doit apprendre les automatismes, (reconnaître des dizaines, voir des centaines de références, prends du temps, reconnaître les lieux dans le magasin, où trouver ses références quand elles sont correctement ranges, et les lieux dans l'usine où il doit les déposer, sans erreur) La dextérité abordée trois paragraphes ici-dessus, en fin, les effets des contrats temporaires, sur la production, sont très peu chiffres, car derrière se cache une forêt de causes donc le système capitaliste et de délocalisation ne veut surtout pas entendre des vérités.
Pour rester concis.
Le groupe MAMPOWER affiche un chiffre d'affaires pour l'année 2012 de 3.6 milliards d'euros, et dans sa page web, affirme que la France est le premier marché pour cette entreprise.
D'après les analystes le groupe ADECCO dit sont sont président François Davy aurait un bénéfice net pour l'année 2009 de 32 millions avec un chiffre d'affaires de 3.59 milliards d'euros, avec 33 % de sont activité en France.
La société RANDSTAD d'après sont site internet aurait réalisé un chiffre d'affaires de 14.18 milliards d'euros pour l'année 2010
Le développement du travail temporaire reste une mesure de la crainte des employeurs vis à vis du future des entreprises, Il faut lutter contre cette tendance introduit dans les prévision par la volatilité issue des marchés financiers déréglementés de plus en plus pour permettre un enrichissement vertigineux
Production industrielle
Production et richesse restent indéniablement liés. L'argent est le fruit de la transformation de la matière, des biens ou des services, mais je déteste cette formule toute faite qui met dans le même panier les biens et les services.
Lorsque un ouvrier touche 9,40€ pour une heure de travail, il crée de la richesse, sous forme de valeur ajouté, dans sont poste de travail, mais ensuite, s'il doit aller au médecin il doit débourser environs 25€, c'est un service indispensable au bon fonctionnement de la société, de toute évidence, mais en aucun cas, il y a une valeur ajoutée, parce qu'il n'y a pas de transformation de matière au sens littéral du terme. Prenons autre comparaison, lorsque l'ouvrier envoie son épouse se faire coiffer, il y a une transformation réelle, physique, mais au bout de cette chaîne, il n'y a pas une transformation de matières, avec ajout de valeur, avec création de valeur ajoutée, pouvant être marchandée, échangé par la suite d'autant plus que la belle coiffure est relativement éphémère.
Ici nous constatons donc la différence entre transformation de matière, et d'autres formes de travail indispensables au normal fonctionnement d'une société. Mais qui sont classés comment des services.
Le prix du travail et des services
Le prix du travail bien qu'il soit la source permettant touts les services, reste par cause d'un longue liste de facteurs de loin moins bien rémunéré que les services, en particulier les services bancaires et financiers. Un léger parcourt par le coté des notions de valeur et prix nous donnent un aperçu large des causes et conséquences de la valeur ou du prix.
Cela dit la France vis à vis des pays tel que le Royaume-Uni, l'Allemagne et les États-Unis depuis plus de quarante années, a perdu du terrain dans la production industrielle.
En même temps qu'aura tente de maintenir la protection sociale à un de plus hauts niveau de la planète. C'est hélas un comportement difficile de supporter économiquement, dans les années 60 les usines automobile comptaient de vingt à trente mille salariés, de nous jours les mêmes usines comptent même pas 1/10 de ce nombre d'emplois. Le constat est semblable pour bien d'autres formes de "création de la valeur ajouté" création de la richesse.
Le prix du travail n'est pas qu'une donné de consommation basique, le salaire et en particulier les bas salaires, sont le combustible principale du cycle économique, et en conséquence le salaire représente un élément d'équilibre ou harmonie sociale des plus importants dans une société.
Les spécialistes de la finance, que je ne pourrais jamais appeler des économistes, considèrent l'emploi comment une simple variable dans des simulations pour les meilleurs bénéfices à très court terme ; soit mais comment je déjà expliqué dans la fable "le capitalisme expliqué aux enfants" leur cupidité est telle qu'ils agissent comment le singe qui coupe à la base la branche dans laquelle il se trouve.
En détruisant l'emploi, c'est la consommation qu'est automatiquement touchée. Aucun emploi délocalisé est capable de garantir la consommation d'un emploi supprimé. En conclusion la suppression du pouvoir d'achat, est un frein direct, les "spécialistes de la finance" vont dans une puissante voiture, mais en voulant accélérer en fait ils se trompent et ils appuient de plus en plus sur le frein.
Dette externe et croissance.
Si nous fessions un graphique comparatif de l'évolution de la production industrielle, ensuite celui-ci superposé à l'évolution de la dette externe, nous pourrions constater que le japon présente autant une évolution en-dessus des autres en dette externe et production industrielle, dans cette même réflexion la France tout en souhaitant réduire le taux de dette externe, ne fait que augmenter le taux de chômage.
Car les moteurs de la croissance autres que la consommation, déjà en berne sont entre autres les grands projets d’infrastructure des villes, département, régions et de la nation. Aujourd’hui des projet pour développer les énergies renouvelables, les énergies propres, pour inciter le contribuable à réduire sa consommation seraient des politiques positives de croissance. Quitte à dépasser de deux ou trois points les objectifs de dette externe, fixés par la CEE. La France ne peut pas faire en 5 ans ce que l'Allemagne aura fait en quinze ou vingt années.
(1) La valeur ajoutée : http://www.alexandrie.org/viewtopic.php?topic=2368&forum=3
Par Nestor Elias RAMIREZ JIEMNEZ dit gramophone
Joigny, mardi 6 août 2013
L'emploi et la croissance sont deux facteur d'économie qui restent intimement liés. Si nous regardons attentivement l'évolution de l'économie pendant des longs périodes, nous allons nous rendre compte que les courbes de croissance et d'emploi restent très proches.
A chaque fois que les banques retrouvent des difficultés, l'emploi est par la suite affecté. Hors l'univers financiers, présente la tendance à oublier que le salaire ; en particulier "les bas salaires" sont introduits systématiquement dans le cycle économique primaire.
Lorsqu'une panique fait irruption dans la nébuleuse des finances, la réponse produit l'effet opposé. C'est-à-dire, que l'économie subi une rétraction violente, amplifié par le manque de confiance.
Il faut admettre que la mal nommée "économie mondiale" vie sur le dos de la production, (sur les marchés des devises, sur le marché réel, production physique de biens, des matières, et des services) c'est en fait la valeur ajouté (1) qui par une myriade de tactiques très rusées, est sournoisement enlevé aux agents divers qui la créent pour enrichir une infime quantité de joueurs atteints d'une mièvrerie endémique et copieusement parsemée de cupidité.
La croissance
Les comptes des entreprises devraient permettre une évolution prévisible et contrôlée.
Prévisible, car le temps apporte l’expérience et avec une augmentation de la dextérité, nécessairement cela débouche sur une augmentation de la rentabilité accompagné d'une meilleure qualité. Donc le champ des expectatives s’accroît avec la satisfaction du client sur un certain nombre de condition de gestion efficiente des ressources humains et techniques.
Contrôlé, car l'augmentation du chiffre d'affaires, autorise la modernisation des équipes humains et techniques, que à leur tour créent les conditions, dans une spirale positive d'évolution : à majeur capacité de production, meilleur état financier de l'entreprise, s'en suit l’amélioration des conditions de travail, une longue liste de raisons iraient dans la spirale où l'environnement de travail procure au salarié les plus amples motivations.
Rotation de l'emploi
Un indicateur peu commenté dans certains cercles, (le turn-over) intimement lié au travail temporaire, mais pas seulement, est aussi un gaspillage monumentale de savoir faire et impacte de manière néfaste les cercles de production : Un ouvrier trouve un emploi temporaire, pendant une période de temps relative, il est nécessairement en-dessous de sa capacité optimale, car il doit apprendre les automatismes, (reconnaître des dizaines, voir des centaines de références, prends du temps, reconnaître les lieux dans le magasin, où trouver ses références quand elles sont correctement ranges, et les lieux dans l'usine où il doit les déposer, sans erreur) La dextérité abordée trois paragraphes ici-dessus, en fin, les effets des contrats temporaires, sur la production, sont très peu chiffres, car derrière se cache une forêt de causes donc le système capitaliste et de délocalisation ne veut surtout pas entendre des vérités.
Pour rester concis.
Le groupe MAMPOWER affiche un chiffre d'affaires pour l'année 2012 de 3.6 milliards d'euros, et dans sa page web, affirme que la France est le premier marché pour cette entreprise.
D'après les analystes le groupe ADECCO dit sont sont président François Davy aurait un bénéfice net pour l'année 2009 de 32 millions avec un chiffre d'affaires de 3.59 milliards d'euros, avec 33 % de sont activité en France.
La société RANDSTAD d'après sont site internet aurait réalisé un chiffre d'affaires de 14.18 milliards d'euros pour l'année 2010
Le développement du travail temporaire reste une mesure de la crainte des employeurs vis à vis du future des entreprises, Il faut lutter contre cette tendance introduit dans les prévision par la volatilité issue des marchés financiers déréglementés de plus en plus pour permettre un enrichissement vertigineux
Production industrielle
Production et richesse restent indéniablement liés. L'argent est le fruit de la transformation de la matière, des biens ou des services, mais je déteste cette formule toute faite qui met dans le même panier les biens et les services.
Lorsque un ouvrier touche 9,40€ pour une heure de travail, il crée de la richesse, sous forme de valeur ajouté, dans sont poste de travail, mais ensuite, s'il doit aller au médecin il doit débourser environs 25€, c'est un service indispensable au bon fonctionnement de la société, de toute évidence, mais en aucun cas, il y a une valeur ajoutée, parce qu'il n'y a pas de transformation de matière au sens littéral du terme. Prenons autre comparaison, lorsque l'ouvrier envoie son épouse se faire coiffer, il y a une transformation réelle, physique, mais au bout de cette chaîne, il n'y a pas une transformation de matières, avec ajout de valeur, avec création de valeur ajoutée, pouvant être marchandée, échangé par la suite d'autant plus que la belle coiffure est relativement éphémère.
Ici nous constatons donc la différence entre transformation de matière, et d'autres formes de travail indispensables au normal fonctionnement d'une société. Mais qui sont classés comment des services.
Le prix du travail et des services
Le prix du travail bien qu'il soit la source permettant touts les services, reste par cause d'un longue liste de facteurs de loin moins bien rémunéré que les services, en particulier les services bancaires et financiers. Un léger parcourt par le coté des notions de valeur et prix nous donnent un aperçu large des causes et conséquences de la valeur ou du prix.
Cela dit la France vis à vis des pays tel que le Royaume-Uni, l'Allemagne et les États-Unis depuis plus de quarante années, a perdu du terrain dans la production industrielle.
En même temps qu'aura tente de maintenir la protection sociale à un de plus hauts niveau de la planète. C'est hélas un comportement difficile de supporter économiquement, dans les années 60 les usines automobile comptaient de vingt à trente mille salariés, de nous jours les mêmes usines comptent même pas 1/10 de ce nombre d'emplois. Le constat est semblable pour bien d'autres formes de "création de la valeur ajouté" création de la richesse.
Le prix du travail n'est pas qu'une donné de consommation basique, le salaire et en particulier les bas salaires, sont le combustible principale du cycle économique, et en conséquence le salaire représente un élément d'équilibre ou harmonie sociale des plus importants dans une société.
Les spécialistes de la finance, que je ne pourrais jamais appeler des économistes, considèrent l'emploi comment une simple variable dans des simulations pour les meilleurs bénéfices à très court terme ; soit mais comment je déjà expliqué dans la fable "le capitalisme expliqué aux enfants" leur cupidité est telle qu'ils agissent comment le singe qui coupe à la base la branche dans laquelle il se trouve.
En détruisant l'emploi, c'est la consommation qu'est automatiquement touchée. Aucun emploi délocalisé est capable de garantir la consommation d'un emploi supprimé. En conclusion la suppression du pouvoir d'achat, est un frein direct, les "spécialistes de la finance" vont dans une puissante voiture, mais en voulant accélérer en fait ils se trompent et ils appuient de plus en plus sur le frein.
Dette externe et croissance.
Si nous fessions un graphique comparatif de l'évolution de la production industrielle, ensuite celui-ci superposé à l'évolution de la dette externe, nous pourrions constater que le japon présente autant une évolution en-dessus des autres en dette externe et production industrielle, dans cette même réflexion la France tout en souhaitant réduire le taux de dette externe, ne fait que augmenter le taux de chômage.
Car les moteurs de la croissance autres que la consommation, déjà en berne sont entre autres les grands projets d’infrastructure des villes, département, régions et de la nation. Aujourd’hui des projet pour développer les énergies renouvelables, les énergies propres, pour inciter le contribuable à réduire sa consommation seraient des politiques positives de croissance. Quitte à dépasser de deux ou trois points les objectifs de dette externe, fixés par la CEE. La France ne peut pas faire en 5 ans ce que l'Allemagne aura fait en quinze ou vingt années.
(1) La valeur ajoutée : http://www.alexandrie.org/viewtopic.php?topic=2368&forum=3
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sur le rôle du travail dans la société
Économie sociale et solidaire ou la valeur travail
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny, mercredi 7 août 2013
Voilà que certains âmes bienveillantes, semblent commencer à intéresser à une autre manière de faire des bénéfices. Il y a quelques années des organisations du genre ATTAC causaient plutôt de la moquerie lorsque des sujets sur une alternative au capitalisme fou furent abordées.
Lorsque l'économiste écrivain Jacques Attali parlait de micro-crédit et de coopératives, les intellectuels "de droite" jugeaient ces idées, plutôt sans fondement, tirées par les cheveux
Mes premiers armes
Dans un forum jadis disparu (du journal LE FIGARO) j'avoue m'avoir fait les ongles, en matière de joute des mots. Maintes fois j'ai du plaider, à l'encontre de pseudo-saigneurs tout puissants dans les différentes rubriques, de toute évidence je savais lors de mon inscription que les attaques allaient être très violents, car à l'époque (2002) les semences de la mentalité SARKOZIENNE commençaient à montrer leurs premiers bourgeons.
Cette mentalité à pour bannière, le regard avec dédain des classes populaires, cela accolé à une cupidité sans égale, restent la base de ces idées bling-bling où l'apparence reste plus importante que le fond des idées.
Le consommateur lambda et la macroéconomie
C'est alors (dans le disparu forum du dit journal) que j'exposai l'importance de la consommation dans une économie, avec un argument sans doute discutable mais relativement valable, j'avais alors érigé mon argumentaire sur la base des chiffres du Comité des Constructeurs Français d'Automobiles. Où les modèles de voiture bas de gamme, (prix modeste) représentaient le plus gros des ventes. Alors que dans le haut de gamme, les ventes restent faibles. À l'époque j'ai déjà comparé le chiffre d'affaires de la puissante entreprise de logiciel "FENÊTRES" (Microsoft Windows) face au chiffre d'affaires de "Boeing" où un fabricant de produits intangibles (logiciels) arrivait à des bénéfices très élevés face à un constructeur d'un produit mille fois plus cher et mille fois plus grands, le bout étant de prouver que le consommateur lambda, monsieur et madame tout le monde avec leur caddy arrive à signifier beaucoup plus que le béotien croit ou plutôt que l'on lui fait croire.
À mesure que j'évoluai dans mes lectures sur des sources du genre OCDE, FED, INSEE, FMI, sites officiels des grandes monopoles, groupes financiers et banques, j’ajustai mon opinion, mes graphiques, pour arriver à comprendre qu'il y a des alternatives à la spéculation financière, mal nommé "économie". Au bout je suis content d'entendre ici et là aujourd'hui que le travail est un élément clé dans l'économie, que le travail sous forme des bas salaires, est aussi et surtout un élément très important dans le maintient de l'harmonie sociale. Oui l'emploi est le principal éléments du maintient d'une société à condition que celle-ci soit aussi éduqué et en pleine santé.
Joseph Eugène Stiglitz souligne que certains auraient détourné le bout de l'économie, en faisant un but en soit, pour s’enrichir, alors que l'économe est un moyen qui doit permettre une évolution équitable, légitime et juste pour les peuples de la terre.
Voilà donc qu'en fin certains intellectuels, certains politiques, commencent à se rendre à l'évidence ! Un peu tard non ?
Il y a du travail, puisque je répéterais toujours :
..."lorsqu'une personne au SMIG touche sa paye, 101 % réintégré d’immédiat le cycle primaire, tandis que quand il s'agit d'un SMIG fois 10 ou 20 fois, 90 % de revenu part dans des réseaux parallèles, souterrains, évasion fiscale, dans la spéculation, constituant un frein majeur au cycle économique, donnant des crises du genre 1929 et crise du crédit hypothécaire, née aux USA et contaminant l'économie mondiale à cause de "titrisations fanfaronnes" aux rendements de plus de 10 % voir 20 %"...
Un ouvrier (et dans chaque pays, les classes populaires sont majoritaires) a travers de sont revenu est le combustible fondamental de toute économie.
Plus de 49 % des entrées de la France viennent de la TVA, plus de 25 % d'entrées dans les caisses du ministère des finances viennent de l'impôt sur le revenu, alors que même pas 3 % viennent de la fiscalité des banques et des agences d'assurances ! Réveillons nous !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny, mercredi 7 août 2013
Voilà que certains âmes bienveillantes, semblent commencer à intéresser à une autre manière de faire des bénéfices. Il y a quelques années des organisations du genre ATTAC causaient plutôt de la moquerie lorsque des sujets sur une alternative au capitalisme fou furent abordées.
Lorsque l'économiste écrivain Jacques Attali parlait de micro-crédit et de coopératives, les intellectuels "de droite" jugeaient ces idées, plutôt sans fondement, tirées par les cheveux
Mes premiers armes
Dans un forum jadis disparu (du journal LE FIGARO) j'avoue m'avoir fait les ongles, en matière de joute des mots. Maintes fois j'ai du plaider, à l'encontre de pseudo-saigneurs tout puissants dans les différentes rubriques, de toute évidence je savais lors de mon inscription que les attaques allaient être très violents, car à l'époque (2002) les semences de la mentalité SARKOZIENNE commençaient à montrer leurs premiers bourgeons.
Cette mentalité à pour bannière, le regard avec dédain des classes populaires, cela accolé à une cupidité sans égale, restent la base de ces idées bling-bling où l'apparence reste plus importante que le fond des idées.
Le consommateur lambda et la macroéconomie
C'est alors (dans le disparu forum du dit journal) que j'exposai l'importance de la consommation dans une économie, avec un argument sans doute discutable mais relativement valable, j'avais alors érigé mon argumentaire sur la base des chiffres du Comité des Constructeurs Français d'Automobiles. Où les modèles de voiture bas de gamme, (prix modeste) représentaient le plus gros des ventes. Alors que dans le haut de gamme, les ventes restent faibles. À l'époque j'ai déjà comparé le chiffre d'affaires de la puissante entreprise de logiciel "FENÊTRES" (Microsoft Windows) face au chiffre d'affaires de "Boeing" où un fabricant de produits intangibles (logiciels) arrivait à des bénéfices très élevés face à un constructeur d'un produit mille fois plus cher et mille fois plus grands, le bout étant de prouver que le consommateur lambda, monsieur et madame tout le monde avec leur caddy arrive à signifier beaucoup plus que le béotien croit ou plutôt que l'on lui fait croire.
À mesure que j'évoluai dans mes lectures sur des sources du genre OCDE, FED, INSEE, FMI, sites officiels des grandes monopoles, groupes financiers et banques, j’ajustai mon opinion, mes graphiques, pour arriver à comprendre qu'il y a des alternatives à la spéculation financière, mal nommé "économie". Au bout je suis content d'entendre ici et là aujourd'hui que le travail est un élément clé dans l'économie, que le travail sous forme des bas salaires, est aussi et surtout un élément très important dans le maintient de l'harmonie sociale. Oui l'emploi est le principal éléments du maintient d'une société à condition que celle-ci soit aussi éduqué et en pleine santé.
Joseph Eugène Stiglitz souligne que certains auraient détourné le bout de l'économie, en faisant un but en soit, pour s’enrichir, alors que l'économe est un moyen qui doit permettre une évolution équitable, légitime et juste pour les peuples de la terre.
Voilà donc qu'en fin certains intellectuels, certains politiques, commencent à se rendre à l'évidence ! Un peu tard non ?
Il y a du travail, puisque je répéterais toujours :
..."lorsqu'une personne au SMIG touche sa paye, 101 % réintégré d’immédiat le cycle primaire, tandis que quand il s'agit d'un SMIG fois 10 ou 20 fois, 90 % de revenu part dans des réseaux parallèles, souterrains, évasion fiscale, dans la spéculation, constituant un frein majeur au cycle économique, donnant des crises du genre 1929 et crise du crédit hypothécaire, née aux USA et contaminant l'économie mondiale à cause de "titrisations fanfaronnes" aux rendements de plus de 10 % voir 20 %"...
Un ouvrier (et dans chaque pays, les classes populaires sont majoritaires) a travers de sont revenu est le combustible fondamental de toute économie.
Plus de 49 % des entrées de la France viennent de la TVA, plus de 25 % d'entrées dans les caisses du ministère des finances viennent de l'impôt sur le revenu, alors que même pas 3 % viennent de la fiscalité des banques et des agences d'assurances ! Réveillons nous !
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Re: PRAXIS PRAGMATISME ET POLITIQUE
Madame LAGARDE depuis le FMI tente d'introduire en France une très vielle recette de réduction de charges aux employeurs, tactique MEDEF bien sur! Toujours les mêmes... il faut pas les louper....
(Sorry I only speak SPANISH) Por experiencia sabemos que Kennedy en los años 70 intento relanzar la economía con la reducción de impuestos a las empresas, Hoy el FMI o madame LAGARDE (blanc bonnet bonnet blanc) preconiza una receta que en aquella época, fue inoperante.
Pero por que?
Porque cuando los burgueses pueden, siempre tratan de recuperar el máximo de dinero, piden que se les reduzca el impuesto pero no para crear empleo, sino para poder ganar más plata. Bien que la OPEP jugo un papel importante en la economía de esta época
(In french) Par expérience nous savons que Kennedy pendant les années 70s aura tentait une relance de l'économie pour juguler le taux élevé de chômage, par le biais de la réduction de la fiscalité aux entreprises. Aujourd'hui le FMI o madame LAGARDE (blanc bonnet bonnet blanc) préconise une recette que à l'époque inopérante.
Mais pour quoi?
Parce que les bourgeois chaque fois qu'ils peuvent, toujours cherchent à récupérer le maximum de bénéfices. Sil le MEDEF ou le FMI ou qui que ce soit demande la réduction des charges; cela ne se traduit pas par la création d'emploi, il est intellectuellement injuste d'oublier le rôle de l'OPEP dans les problèmes économiques de cette époque; pour rester en face avec l'histoire.
http://expressions-libres.forumdediscussions.com/t179p800-sociologie-et-actualite#17672
(Sorry I only speak SPANISH) Por experiencia sabemos que Kennedy en los años 70 intento relanzar la economía con la reducción de impuestos a las empresas, Hoy el FMI o madame LAGARDE (blanc bonnet bonnet blanc) preconiza una receta que en aquella época, fue inoperante.
Pero por que?
Porque cuando los burgueses pueden, siempre tratan de recuperar el máximo de dinero, piden que se les reduzca el impuesto pero no para crear empleo, sino para poder ganar más plata. Bien que la OPEP jugo un papel importante en la economía de esta época
(In french) Par expérience nous savons que Kennedy pendant les années 70s aura tentait une relance de l'économie pour juguler le taux élevé de chômage, par le biais de la réduction de la fiscalité aux entreprises. Aujourd'hui le FMI o madame LAGARDE (blanc bonnet bonnet blanc) préconise une recette que à l'époque inopérante.
Mais pour quoi?
Parce que les bourgeois chaque fois qu'ils peuvent, toujours cherchent à récupérer le maximum de bénéfices. Sil le MEDEF ou le FMI ou qui que ce soit demande la réduction des charges; cela ne se traduit pas par la création d'emploi, il est intellectuellement injuste d'oublier le rôle de l'OPEP dans les problèmes économiques de cette époque; pour rester en face avec l'histoire.
http://expressions-libres.forumdediscussions.com/t179p800-sociologie-et-actualite#17672
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PS UMP et FN
Attention c'est surtout par le manque de conscience de classe que les béotiens votent UMP ou FN
La conscience sociale
La société est un enchevêtrement de personnes, toutes différentes, il est injuste mais nécessaire classer les personnes, si nous voulons avoir une vision globale de la société.
Pour certains personnes reste désagréable classer les gens, mais en termes de sociologie, de histoire, un tel acte n'est pas de tout méprisant mais indispensable, allons à la métaphore, un arbre est grand donc il a des racines proportionnelles en taille, un iceberg est visible mais sa parte caché sera toujours nécessairement beaucoup plus importante.
Ainsi un parti politique ne sera jamais un groupe de personnes, à un moment donnée, NON JAMAIS ! Un partir politique, une classe sociale signifie aussi une histoire, que un adhérant doit connaître sans quoi, je suis dessolé il ne peu pas avoir de conscience sociale, de conscience de classe !
Bien sur certains personnes, donc le parti politique aurait un passé peu reluisant vont trouver absurde, déplacé, inutile tenter de vérifier soit leur histoire personnelle au sein du parti soit l'histoire du parti politique, du même, une personne, un citoyen pourrait se sentir mal alaise dans cette perspective.
L'histoire des classes sociales, ainsi que le classement par groupe socioprofessionnels, défini à quel parti politique doit se rallier une personne.
La conscience sociale
La société est un enchevêtrement de personnes, toutes différentes, il est injuste mais nécessaire classer les personnes, si nous voulons avoir une vision globale de la société.
Pour certains personnes reste désagréable classer les gens, mais en termes de sociologie, de histoire, un tel acte n'est pas de tout méprisant mais indispensable, allons à la métaphore, un arbre est grand donc il a des racines proportionnelles en taille, un iceberg est visible mais sa parte caché sera toujours nécessairement beaucoup plus importante.
Ainsi un parti politique ne sera jamais un groupe de personnes, à un moment donnée, NON JAMAIS ! Un partir politique, une classe sociale signifie aussi une histoire, que un adhérant doit connaître sans quoi, je suis dessolé il ne peu pas avoir de conscience sociale, de conscience de classe !
Bien sur certains personnes, donc le parti politique aurait un passé peu reluisant vont trouver absurde, déplacé, inutile tenter de vérifier soit leur histoire personnelle au sein du parti soit l'histoire du parti politique, du même, une personne, un citoyen pourrait se sentir mal alaise dans cette perspective.
L'histoire des classes sociales, ainsi que le classement par groupe socioprofessionnels, défini à quel parti politique doit se rallier une personne.
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C'est l'ignorance qui fait triompher le FN
35 % de personnes auraient donc une opinion proche ou favorable en vers le FN?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny dimanche 14 septembre 2013
http://www.leparisien.fr/politique/sondage-65-des-francais-ont-une-mauvaise-opinion-de-marine-le-pen-15-09-2013-3138381.php#xtor=EREC-109----1069314@1
Quels sont les raisons pour que en Europe des partis politiques du genre arrivaient à occuper des postes au seins des instances nationales et européennes ?
Quelles seraient les conséquences ?
Pédagogie
Préambule: Seul la connaissance et l'analyse approfondi nous ouvre des portes, que l'ignorance et la loi du moindre effort nous ferment en nous rendant dupes.
Le sujet ici dessous est donc trop long à lire pour qui conque préféré faire le psittaciforme
Dans toute démocratie, il y a des libertés fondamentales, donc la liberté d'expression et la liberté d'association. La personne qui veut faire face à mes propos est ainsi libre de le faire, par contre il existent des individus hypocrites, des imposteurs qui seul savaient parler derrière le dos. Voilà une des raisons fondamentales de l’existence des blogs, des sources intarissables d'information, tout en respectant la législation bien sur.
Le lien à continuation donne un aperçu sur l'histoire du FRONT NATIONAL
http://pluriel.free.fr/fn2.html
Nous trouvons là, des constantes, chaque fois que par diverses raisons, une colonie, une région ou un département, fini comment l’Algérie, Le Maroc, ou pendant un temps l'Alsace, un esprit particulier s'éveille en une partie de la population. Nous allons arbitrairement appeler cela NATIONALISME.
Derrière le mot "nationalisme" nous trouvons toute une large gamme de notions, des opinions, qui sont pour ainsi dire proches de la haine, la pédagogie nous mène automatiquement à chercher dans l'histoire, car il est compréhensible un certains niveau de rancune logique lorsque nous devons céder, rendre ou perdre parti de ce qu'est le territoire national à un moment donné de l’histoire.
Sauf que voilà, c'est juste cette histoire qui nous enseigne que, les frontières, les ethnies, les cultures, ne peuvent pas être statiques, bien au contraire, il y a un évolution permanente, et c'est justement la voie de la diplomatie, du dialogue qui fonctionne comment l'antidote à certains niveaux de violence, de guerre, dépassés heureusement car peu dignes de l'histoire de l'humanité.
Il faut donc expliquer aux nouvelles générations, certains faits, inscrits, indélébiles dans l'histoire, pour éviter qu'ils soient victimes par ignorance des discours sectaires, du prosélytisme des groupes de extrême droite.
Je ne vais pas remonter trop loin dans le temps à 400 000 ans avant notre ère, pas aller jusqu'à questionner l'homme Néandertalien, époque d'ailleurs, ou la notion de patrie, nation n'avaient pas lieu d'être, puisque nous savons et il faut enseigner que les premiers "Homo erectus" étaient des nomades, toujours à la recherche de zones plus riches en alimentation. Cela nous permet de rendre par la connaissance très relative cette idée de NATION, nous serions plus modestes, sachant que des nomades connus comment les Huns auraient venu de l'est vers le IV siècle sous le commandement d'Attila, puis les Tervinges, (Wisigoths) auraient réussi à percer jusqu'à l'Espagne, de la manière forte (étant des peuples barbares)
1500 ans avant notre ère, donc plus récent, ce sont les Celtes, qui dans un monde relativement plus humain, en tant que pasteurs nomades s'introduisent dans des territoires qu'à l'époque non même pas le nom de la France mais de la Gaule, le mot sédentaire commence à avoir un sens, les premières agglomérations, étroitement liées à la notion de propriété privée, naissent ici et là.
Avec la sédentarisation et la naissance de la propriété privée, démarrent une série de conflits, qui vont perdurer jusqu'à nous jours, lire donc la pensée de Jean Jacques Rousseau, entre autres. De toute évidence l’abandon des habitudes de chasseurs, cueilleurs, implique des besoins différents, C'est Charles Darwin qui me semble, réussi à donner au mieux les conséquences, sous sont idée, dans un livre intitulé "la Transformation du singe en homme".
Pour résumer donc Lutecia aujourd'hui Paris, et la Gaule, fait au début de notre ère, parti de l'empire romain, la notion de ville ou cité est adopté sur le modèle romain. C'est qu'une période de l'histoire avec relative paix, car quatre siècles plus tard, l'empire romain est affaibli, pour nous jeunes vandales aurait une connotation différente, alors que pour les romains au V siècle, cela signifié la guerre, un peuple qu'aura alors en presque vingt ans réussi à conquérir le sol que nous appelons France et même une partie qui correspond au nord du Maroc et l'Algérie. L’actuel sol de la France, à été occupé par bien d'autres peuples, dans sont histoire, puisque derrière les "vandales" venaient aussi les Suèves qui auraient même établie résidence dans la région que de nous jours correspond à la Galice. Une région à chevauchant la Belgique et le nord de la France mais aussi une zone calqué au Jura, fut dans cette période lieu de résidence d'une ethnie très proche des Vandales et des Suèves, il s'agit des Alains, ensemble auraient affronté l'empire romain, selon le récit d'un contemporain qui réponds au nom de Ammien Marcellin (soldat romain et historient pour l'occasion) même si certains d'entre eux étaient des anthropophages, il semblerait que les Alains scalpent leurs adversaires, les Alains auraient été moins sauvages que les Huns.
Des peuples germaniques ou initialement ayant eut leur fief dans l'actuelle Allemagne avant d'évoluer vers des terres plus tempérées ; auraient donc moultes fois occupé des régions de nous jours devenues la France. L'histoire correspond au passé sans doute, mais le présent saura en suite le passé, l'histoire se construit donc à chaque jours, fait que lui donne cette spécificité d’intemporelle, qui nous rendrait simplement ridicules, en souhaitant des frontières sempiternelles.
Voilà pour quoi le mot nationalisme, devienne pour moi, une simple notion, très relative, et lorsqu'une personne en face cherche à argumenter dans se sens, je ne vais pas m'en moquer, JAMAIS, mais, si cette personne, aurait une petite portion de "cogito" de rationalité, encore ce que Descartes définit si bien comment "la capacité de discerner" alors avec quelques mot je lui ôterai humblement et sain peine leur œillères ou lorgnettes.
En conclusion le fond de commerce de tout parti d'extrême droite, se base sur la haine, de l'autre ! Et le Front National en France, ne peu pas être du fait ni un parti républicain, moins encore en accord avec le principe des droits de l'homme et du citoyen, grands notions, qui dans ma conscience auraient une signification basique et indispensable dans toute aventure de vie en société.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny dimanche 14 septembre 2013
http://www.leparisien.fr/politique/sondage-65-des-francais-ont-une-mauvaise-opinion-de-marine-le-pen-15-09-2013-3138381.php#xtor=EREC-109----1069314@1
Quels sont les raisons pour que en Europe des partis politiques du genre arrivaient à occuper des postes au seins des instances nationales et européennes ?
Quelles seraient les conséquences ?
Pédagogie
Préambule: Seul la connaissance et l'analyse approfondi nous ouvre des portes, que l'ignorance et la loi du moindre effort nous ferment en nous rendant dupes.
Le sujet ici dessous est donc trop long à lire pour qui conque préféré faire le psittaciforme
Dans toute démocratie, il y a des libertés fondamentales, donc la liberté d'expression et la liberté d'association. La personne qui veut faire face à mes propos est ainsi libre de le faire, par contre il existent des individus hypocrites, des imposteurs qui seul savaient parler derrière le dos. Voilà une des raisons fondamentales de l’existence des blogs, des sources intarissables d'information, tout en respectant la législation bien sur.
Le lien à continuation donne un aperçu sur l'histoire du FRONT NATIONAL
http://pluriel.free.fr/fn2.html
Nous trouvons là, des constantes, chaque fois que par diverses raisons, une colonie, une région ou un département, fini comment l’Algérie, Le Maroc, ou pendant un temps l'Alsace, un esprit particulier s'éveille en une partie de la population. Nous allons arbitrairement appeler cela NATIONALISME.
Derrière le mot "nationalisme" nous trouvons toute une large gamme de notions, des opinions, qui sont pour ainsi dire proches de la haine, la pédagogie nous mène automatiquement à chercher dans l'histoire, car il est compréhensible un certains niveau de rancune logique lorsque nous devons céder, rendre ou perdre parti de ce qu'est le territoire national à un moment donné de l’histoire.
Sauf que voilà, c'est juste cette histoire qui nous enseigne que, les frontières, les ethnies, les cultures, ne peuvent pas être statiques, bien au contraire, il y a un évolution permanente, et c'est justement la voie de la diplomatie, du dialogue qui fonctionne comment l'antidote à certains niveaux de violence, de guerre, dépassés heureusement car peu dignes de l'histoire de l'humanité.
Il faut donc expliquer aux nouvelles générations, certains faits, inscrits, indélébiles dans l'histoire, pour éviter qu'ils soient victimes par ignorance des discours sectaires, du prosélytisme des groupes de extrême droite.
Je ne vais pas remonter trop loin dans le temps à 400 000 ans avant notre ère, pas aller jusqu'à questionner l'homme Néandertalien, époque d'ailleurs, ou la notion de patrie, nation n'avaient pas lieu d'être, puisque nous savons et il faut enseigner que les premiers "Homo erectus" étaient des nomades, toujours à la recherche de zones plus riches en alimentation. Cela nous permet de rendre par la connaissance très relative cette idée de NATION, nous serions plus modestes, sachant que des nomades connus comment les Huns auraient venu de l'est vers le IV siècle sous le commandement d'Attila, puis les Tervinges, (Wisigoths) auraient réussi à percer jusqu'à l'Espagne, de la manière forte (étant des peuples barbares)
1500 ans avant notre ère, donc plus récent, ce sont les Celtes, qui dans un monde relativement plus humain, en tant que pasteurs nomades s'introduisent dans des territoires qu'à l'époque non même pas le nom de la France mais de la Gaule, le mot sédentaire commence à avoir un sens, les premières agglomérations, étroitement liées à la notion de propriété privée, naissent ici et là.
Avec la sédentarisation et la naissance de la propriété privée, démarrent une série de conflits, qui vont perdurer jusqu'à nous jours, lire donc la pensée de Jean Jacques Rousseau, entre autres. De toute évidence l’abandon des habitudes de chasseurs, cueilleurs, implique des besoins différents, C'est Charles Darwin qui me semble, réussi à donner au mieux les conséquences, sous sont idée, dans un livre intitulé "la Transformation du singe en homme".
Pour résumer donc Lutecia aujourd'hui Paris, et la Gaule, fait au début de notre ère, parti de l'empire romain, la notion de ville ou cité est adopté sur le modèle romain. C'est qu'une période de l'histoire avec relative paix, car quatre siècles plus tard, l'empire romain est affaibli, pour nous jeunes vandales aurait une connotation différente, alors que pour les romains au V siècle, cela signifié la guerre, un peuple qu'aura alors en presque vingt ans réussi à conquérir le sol que nous appelons France et même une partie qui correspond au nord du Maroc et l'Algérie. L’actuel sol de la France, à été occupé par bien d'autres peuples, dans sont histoire, puisque derrière les "vandales" venaient aussi les Suèves qui auraient même établie résidence dans la région que de nous jours correspond à la Galice. Une région à chevauchant la Belgique et le nord de la France mais aussi une zone calqué au Jura, fut dans cette période lieu de résidence d'une ethnie très proche des Vandales et des Suèves, il s'agit des Alains, ensemble auraient affronté l'empire romain, selon le récit d'un contemporain qui réponds au nom de Ammien Marcellin (soldat romain et historient pour l'occasion) même si certains d'entre eux étaient des anthropophages, il semblerait que les Alains scalpent leurs adversaires, les Alains auraient été moins sauvages que les Huns.
Des peuples germaniques ou initialement ayant eut leur fief dans l'actuelle Allemagne avant d'évoluer vers des terres plus tempérées ; auraient donc moultes fois occupé des régions de nous jours devenues la France. L'histoire correspond au passé sans doute, mais le présent saura en suite le passé, l'histoire se construit donc à chaque jours, fait que lui donne cette spécificité d’intemporelle, qui nous rendrait simplement ridicules, en souhaitant des frontières sempiternelles.
Voilà pour quoi le mot nationalisme, devienne pour moi, une simple notion, très relative, et lorsqu'une personne en face cherche à argumenter dans se sens, je ne vais pas m'en moquer, JAMAIS, mais, si cette personne, aurait une petite portion de "cogito" de rationalité, encore ce que Descartes définit si bien comment "la capacité de discerner" alors avec quelques mot je lui ôterai humblement et sain peine leur œillères ou lorgnettes.
En conclusion le fond de commerce de tout parti d'extrême droite, se base sur la haine, de l'autre ! Et le Front National en France, ne peu pas être du fait ni un parti républicain, moins encore en accord avec le principe des droits de l'homme et du citoyen, grands notions, qui dans ma conscience auraient une signification basique et indispensable dans toute aventure de vie en société.
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Re: PRAXIS PRAGMATISME ET POLITIQUE
Prêche, prosélytisme et société
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ (ouvrier syndical FO, immigré et illettré)
Joigny le mardi 17 septembre 2013
Le penchant systématique de la critique selon l'idéologie reste salutaire à la société, sauf quand les médias deviennent des outils publicitaires, des simples canaux du prosélytisme.
Impartialité & sympathie
Le mot impartialité, me semble ici, même légèrement dissout dans des consignés admises comment norme pour le journaliste et pour toute personne, disposant d'autorisation légale de s'exprimer à travers les médias, sous le statut de salarié, car un professionnel de l'information reste assujettit à des principes qui je cite :
n’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
s’interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaires, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque ;
Hors lors du gouvernement précédent, ayant des conditions économiques plus favorables, aura adopté une politique, notamment avec la loi TEPA, d'un coût moyen par année de 75 milliards d'euros en niches fiscales, carrément favorables (idéologie) aux plus favorisés, par rappel les foyers fiscaux au patrimoine de plus de 15,5 millions d'euros, auraient ainsi reçu un chèque en moyen de 368261 euros. En fin cela est la conséquence d'une législation mise en place par le gouvernement SARKOZY qui plafonné l'impôt à 50 % du revenu.
La dette externe de la France aurait explosé au même temps, car le gouvernement SARKOZY alourdi celle-ci de plus de 600 milliards d'euros.
Une chaîne française, et un présentateur en particulier, présente avec stupeur la nouvelle qui dit que la France arrive à 2000 milliards d'euros de dette externe, près de 95 % du PIB. Avec l'intervention en directe de trois personnes, Jean-Paul Betbèze, Christian Saint-Etienne et Jean Marc Daniel
Qui sont les trois messieurs, voyons sur WIKIPEDIA :
Jean-Paul Betbèze :
Diplômé de HEC Paris (1972), il obtient le DEA 101 de l'université Paris-Dauphine (1974), passe un doctorat d'État en sciences économiques (1979) puis une thèse complémentaire (1980). Il enseigne aux universités de Caen et d'Amiens. En 1984, il passe l'agrégation des facultés de sciences économiques et obtient une chaire à l'université de Franche-Comté, qu'il conserve jusqu'en 1987, date à laquelle il rejoint l'université de Paris II (Panthéon-Assas). En 1989, il gagne le monde de l'entreprise et devient directeur des études économiques et financières du Crédit lyonnais. En 2003, à l'occasion de l'absorption du Lyonnais par le Crédit agricole, il devient conseiller du président et du directeur général de Crédit agricole SA
Christian Saint-Etienne :
Il est titulaire de deux Masters en sciences économiques (London School of Economics et de l'Université Carnegie-Mellon), a soutenu une thèse de doctorat d'État en sciences économiques à la faculté d'Assas et est titulaire d’un diplôme de l’ESCP Europe.
Après avoir été, en 1978, chercheur en sciences économiques à l’université Carnegie-Mellon à Pittsburgh, il est économiste au Fonds monétaire international (FMI) à Washington, D.C..
En 1984, après six ans passés aux États-Unis, il devient administrateur à l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) à Paris.
De 1987 à 1995, il est conseiller économique de la direction financière à la banque Crédit Lyonnais puis sous-directeur à la direction centrale des marchés des capitaux, au contrôle général et enfin contrôleur des engagements du groupe bancaire. Il est nommé à ce dernier poste au er janvier 1994, après le krach de la banque en 1993, et participe à la reconstruction du système interne de contrôle des risques.
En 1996, il fonde Conseil stratégique européen SA, un cabinet de conseil spécialisé en analyse stratégique des marchés et conseil stratégique pour les entreprises patrimoniales.
En 2007, il crée le club de réflexion « Générations citoyennes ».
Il est membre du conseil d'administration de Cofiroute comme administrateur indépendant depuis 2010
Jean Marc Daniel :
Après son diplôme de l’École polytechnique et de l’ENSAE ( École nationale de la statistique et de l’administration économique), il rejoint l’administration comme administrateur de l’INSEE. Il a alterné des fonctions dans l’administration active (direction régionale de l’INSEE à Lyon, direction du Budget, régime de Sécurité sociale des mineurs, Ministère des Affaires Étrangères), dans les cabinets ministériels (au Ministère de la Culture et au Ministère des Affaires Étrangères) et dans des fonctions d’économiste et d’enseignant (chargé d’étude à l’OFCE, cours donnés à ESCP Europe, à l’Ecole des Mines, à Paris X et à l’ENSAE). A l’heure actuelle, outre ses cours à ESCP Europe, il est responsable de l’enseignement d’économie aux élèves – ingénieurs du Corps des mines. Il est également chroniqueur au journal Le Monde - sur l’histoire des idées économiques - et directeur de la revue Sociétal. Il est en outre membre du conseil d’administration de la Société d’Économie Politique. Il travaille essentiellement sur la politique économique, dans ses dimensions théoriques et dans ses dimensions historiques.
La protection sociale et sont coût
Pour la idéologie néo-libérale, la politique face à la protection sociale, se réduit à la volonté de faire payer aux salariés, les charges inhérentes à leur santé, éducation et retraite ; sans l'exprimer ouvertement la idéologie néo-libéral tente plutôt d'introduire de manière lente et progressive, le système d'assurances et mutuelle complémentaires. Difficile pour un néophyte, un ignare, un béotien de voir la moindre incohérence dans le fond des propos typiques du patronat.
D'ailleurs la Mecque du capitalisme, les États Unis d'Amérique, fonctionnent plutôt ainsi, la plus part des pays, auraient enclenché depuis des années le procès, et pour éviter toute tentative d'opposition des syndicats, le programme inclus la disparition de la statut de fonctionnaire, car dans la fonction public se troue le noyau dur du syndicalisme en France jusqu'aux années 80 voir 90.
Pour cela il faut contourner la législation sur le travail, voir la modifier, ou carrément la détruire. Advienne alors l'aide tombé du ciel sous le nom de directive CE, nous nous trouvons face à l’injonction de ouvrir le marché à la concurrence, manière sournoise de casser les entreprises publiques de gestion par fois de domaines stratégiques comment le sont le nucléaire, la communication ; un obstacle monumental étant des entreprises puissantes de la taille de PTT ou encore EDF-GDF, Ainsi la porte est grande ouverte aux nantis, par preuve nous avons selon FORBES une évolution fulgurante de la fortune de monsieur Carlos Slim Helú à la tête de l'industrie de la téléphonie mobile en Amérique latine, où avant la France l'équivalent de FRANCE TELECOM a été privatisé.
Pouvons nous critiquer ?
Oui parce que la fonction publique, est autre chose que une entreprise avec but strictement lucratif. Oui les syndicats pourraient avoir leur par de responsabilité ?
Sauf que hélas nous sommes là dans un guerre fourbe entre deux groupes de privilégies, d'une part les leaders syndicaux, privilégies, parce que Jacques Chirac ou Denis Gautier-Sauvagnac en connaiseraient un morceau.
D'ailleurs vu la manière de faire face aux attaques en regle du MEDEF aux acquis. Nous serions en droit de douter de l'intégralité de certains personnalités du syndicalisme avec leurs mouvements ou manifestations d'un jours, que tout le monde sais, ne vont pas faire changer rien.
En toute impartialité, nous savons par la voie des études que dans beaucoup des pays, il y de l'infiltration de nombreuses organisations, universités et direction d'entreprises, de la part des équipes, très obscures mais sous les ordres directes des gouvernements. Mes origines (né en Colombie, pays que j'ai du quitter en catastrophe) m'ont permit de faire vite la liaison entre les services d'intelligence d'un pays petit, en guerre, mais disposant d'une des diasporas, si non la plus puissante, très enclin dans la gestion politique, économique dans presque touts les pays du monde, jamais de manière visible, publique mais toujours de manière fondamentalement discrète.
Les apôtres de Lucifer
Je ne m'étonne pas, de certains discours, très véhéments, toujours pro néo-libéraux, diffusés dans les médias, et surtout en boucle dans les chaînes de télévision dites spécialisées dans l'économie.
Ces discours, prônent des objectifs de manière systématique, du genre réduction du coût du travail, mise en face des pro industrialisation et l'industrie financière. Nous parlons donc des apôtres de la déréglementation total des marchés et de l'économie en général.
Qui peu contre dire des personnes ayant eut des études très poussés ?
A priori personne !
Hors un regard objectif nous ouvrirait d'autres portes, d'autres manières d'avancer pour la société. Prenons donc des exemples, L'économie d'un pays aurait évolué de manière favorable aux classes populaires dans les 10 derniers années. Le discours du président de ce pays ? Leur président, ancien leader syndical, considère que certains ressources comment l'eau, l’électricité, ne peuvent pas être base d'enrichissement des entreprisses privés. Pour réussir ce genre d’objectif il aura fallu modifier la législation, non pas en accord avec le FMI, et l'idéologie néo-libéral.
Quand on prend le temps, de s'informer dès l'intérieur du FMI, (par l’édition de livres d'un ex-membre du FMI sous le nom de Joseph Stiglitz) Nous pouvons alors comprendre pour quoi les pays du tiers monde s'enfoncent dans un paupérisme induit d'une part par la corruption de leurs gouvernants et d'autre par la volonté du FMI.
D'autre part, les néo-libéraux oublient trop vite que les deux grandes crises économiques de l'histoire ont démarré curieusement dans le même pays ! Ces apôtres de Lucifer oublient trop vite que l'économie français est loin du régime de croisière de places comment Londres, New-York en matière d'échange de devises, le marché d'échange qui représente d'après estimations sérieuses près de 1500 milliards de dollars par jour.
Forcement les paradis fiscaux sont un autre bémol vis a vis d'une fiscalité juste, sans oublier les notes du livre d'Antoine Peillon intitulé « ces 600 milliards qui manquent à la France » puisque d'après plusieurs sources non moins de 150 000 foyers fiscaux français auraient des comptes bancaires hors la France dans un but d'évasion fiscale.
Personnellement j'ai déjà relativisé le montant de la protection sociale, face à des magnitudes comparables, d'autant plus que le salarié expose sa santé, vend pour ainsi dire sa vie, en allant au travail, pour créer de la valeur ajouté, SEULE SOURCE de richesse tangible véritable, car même si les nantis n'aiment pas l'entendre, je le répéterais sans cesse « la transformation de matières par le travail, reste la seule véritable source de richesse » Les ouvriers, l'industrie, les machines sont donc le seul moyen de créer de la richesse, qu'en suite des sangsues, du genre banques, et sociétés d'investissement arrivaient à spolier dans une légitimité issue du lobby.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ (ouvrier syndical FO, immigré et illettré)
Joigny le mardi 17 septembre 2013
Le penchant systématique de la critique selon l'idéologie reste salutaire à la société, sauf quand les médias deviennent des outils publicitaires, des simples canaux du prosélytisme.
Impartialité & sympathie
Le mot impartialité, me semble ici, même légèrement dissout dans des consignés admises comment norme pour le journaliste et pour toute personne, disposant d'autorisation légale de s'exprimer à travers les médias, sous le statut de salarié, car un professionnel de l'information reste assujettit à des principes qui je cite :
n’use pas de la liberté de la presse dans une intention intéressée ;
s’interdit d’invoquer un titre ou une qualité imaginaires, d’user de moyens déloyaux pour obtenir une information ou surprendre la bonne foi de quiconque ;
Hors lors du gouvernement précédent, ayant des conditions économiques plus favorables, aura adopté une politique, notamment avec la loi TEPA, d'un coût moyen par année de 75 milliards d'euros en niches fiscales, carrément favorables (idéologie) aux plus favorisés, par rappel les foyers fiscaux au patrimoine de plus de 15,5 millions d'euros, auraient ainsi reçu un chèque en moyen de 368261 euros. En fin cela est la conséquence d'une législation mise en place par le gouvernement SARKOZY qui plafonné l'impôt à 50 % du revenu.
La dette externe de la France aurait explosé au même temps, car le gouvernement SARKOZY alourdi celle-ci de plus de 600 milliards d'euros.
Une chaîne française, et un présentateur en particulier, présente avec stupeur la nouvelle qui dit que la France arrive à 2000 milliards d'euros de dette externe, près de 95 % du PIB. Avec l'intervention en directe de trois personnes, Jean-Paul Betbèze, Christian Saint-Etienne et Jean Marc Daniel
Qui sont les trois messieurs, voyons sur WIKIPEDIA :
Jean-Paul Betbèze :
Diplômé de HEC Paris (1972), il obtient le DEA 101 de l'université Paris-Dauphine (1974), passe un doctorat d'État en sciences économiques (1979) puis une thèse complémentaire (1980). Il enseigne aux universités de Caen et d'Amiens. En 1984, il passe l'agrégation des facultés de sciences économiques et obtient une chaire à l'université de Franche-Comté, qu'il conserve jusqu'en 1987, date à laquelle il rejoint l'université de Paris II (Panthéon-Assas). En 1989, il gagne le monde de l'entreprise et devient directeur des études économiques et financières du Crédit lyonnais. En 2003, à l'occasion de l'absorption du Lyonnais par le Crédit agricole, il devient conseiller du président et du directeur général de Crédit agricole SA
Christian Saint-Etienne :
Il est titulaire de deux Masters en sciences économiques (London School of Economics et de l'Université Carnegie-Mellon), a soutenu une thèse de doctorat d'État en sciences économiques à la faculté d'Assas et est titulaire d’un diplôme de l’ESCP Europe.
Après avoir été, en 1978, chercheur en sciences économiques à l’université Carnegie-Mellon à Pittsburgh, il est économiste au Fonds monétaire international (FMI) à Washington, D.C..
En 1984, après six ans passés aux États-Unis, il devient administrateur à l’Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) à Paris.
De 1987 à 1995, il est conseiller économique de la direction financière à la banque Crédit Lyonnais puis sous-directeur à la direction centrale des marchés des capitaux, au contrôle général et enfin contrôleur des engagements du groupe bancaire. Il est nommé à ce dernier poste au er janvier 1994, après le krach de la banque en 1993, et participe à la reconstruction du système interne de contrôle des risques.
En 1996, il fonde Conseil stratégique européen SA, un cabinet de conseil spécialisé en analyse stratégique des marchés et conseil stratégique pour les entreprises patrimoniales.
En 2007, il crée le club de réflexion « Générations citoyennes ».
Il est membre du conseil d'administration de Cofiroute comme administrateur indépendant depuis 2010
Jean Marc Daniel :
Après son diplôme de l’École polytechnique et de l’ENSAE ( École nationale de la statistique et de l’administration économique), il rejoint l’administration comme administrateur de l’INSEE. Il a alterné des fonctions dans l’administration active (direction régionale de l’INSEE à Lyon, direction du Budget, régime de Sécurité sociale des mineurs, Ministère des Affaires Étrangères), dans les cabinets ministériels (au Ministère de la Culture et au Ministère des Affaires Étrangères) et dans des fonctions d’économiste et d’enseignant (chargé d’étude à l’OFCE, cours donnés à ESCP Europe, à l’Ecole des Mines, à Paris X et à l’ENSAE). A l’heure actuelle, outre ses cours à ESCP Europe, il est responsable de l’enseignement d’économie aux élèves – ingénieurs du Corps des mines. Il est également chroniqueur au journal Le Monde - sur l’histoire des idées économiques - et directeur de la revue Sociétal. Il est en outre membre du conseil d’administration de la Société d’Économie Politique. Il travaille essentiellement sur la politique économique, dans ses dimensions théoriques et dans ses dimensions historiques.
La protection sociale et sont coût
Pour la idéologie néo-libérale, la politique face à la protection sociale, se réduit à la volonté de faire payer aux salariés, les charges inhérentes à leur santé, éducation et retraite ; sans l'exprimer ouvertement la idéologie néo-libéral tente plutôt d'introduire de manière lente et progressive, le système d'assurances et mutuelle complémentaires. Difficile pour un néophyte, un ignare, un béotien de voir la moindre incohérence dans le fond des propos typiques du patronat.
D'ailleurs la Mecque du capitalisme, les États Unis d'Amérique, fonctionnent plutôt ainsi, la plus part des pays, auraient enclenché depuis des années le procès, et pour éviter toute tentative d'opposition des syndicats, le programme inclus la disparition de la statut de fonctionnaire, car dans la fonction public se troue le noyau dur du syndicalisme en France jusqu'aux années 80 voir 90.
Pour cela il faut contourner la législation sur le travail, voir la modifier, ou carrément la détruire. Advienne alors l'aide tombé du ciel sous le nom de directive CE, nous nous trouvons face à l’injonction de ouvrir le marché à la concurrence, manière sournoise de casser les entreprises publiques de gestion par fois de domaines stratégiques comment le sont le nucléaire, la communication ; un obstacle monumental étant des entreprises puissantes de la taille de PTT ou encore EDF-GDF, Ainsi la porte est grande ouverte aux nantis, par preuve nous avons selon FORBES une évolution fulgurante de la fortune de monsieur Carlos Slim Helú à la tête de l'industrie de la téléphonie mobile en Amérique latine, où avant la France l'équivalent de FRANCE TELECOM a été privatisé.
Pouvons nous critiquer ?
Oui parce que la fonction publique, est autre chose que une entreprise avec but strictement lucratif. Oui les syndicats pourraient avoir leur par de responsabilité ?
Sauf que hélas nous sommes là dans un guerre fourbe entre deux groupes de privilégies, d'une part les leaders syndicaux, privilégies, parce que Jacques Chirac ou Denis Gautier-Sauvagnac en connaiseraient un morceau.
D'ailleurs vu la manière de faire face aux attaques en regle du MEDEF aux acquis. Nous serions en droit de douter de l'intégralité de certains personnalités du syndicalisme avec leurs mouvements ou manifestations d'un jours, que tout le monde sais, ne vont pas faire changer rien.
En toute impartialité, nous savons par la voie des études que dans beaucoup des pays, il y de l'infiltration de nombreuses organisations, universités et direction d'entreprises, de la part des équipes, très obscures mais sous les ordres directes des gouvernements. Mes origines (né en Colombie, pays que j'ai du quitter en catastrophe) m'ont permit de faire vite la liaison entre les services d'intelligence d'un pays petit, en guerre, mais disposant d'une des diasporas, si non la plus puissante, très enclin dans la gestion politique, économique dans presque touts les pays du monde, jamais de manière visible, publique mais toujours de manière fondamentalement discrète.
Les apôtres de Lucifer
Je ne m'étonne pas, de certains discours, très véhéments, toujours pro néo-libéraux, diffusés dans les médias, et surtout en boucle dans les chaînes de télévision dites spécialisées dans l'économie.
Ces discours, prônent des objectifs de manière systématique, du genre réduction du coût du travail, mise en face des pro industrialisation et l'industrie financière. Nous parlons donc des apôtres de la déréglementation total des marchés et de l'économie en général.
Qui peu contre dire des personnes ayant eut des études très poussés ?
A priori personne !
Hors un regard objectif nous ouvrirait d'autres portes, d'autres manières d'avancer pour la société. Prenons donc des exemples, L'économie d'un pays aurait évolué de manière favorable aux classes populaires dans les 10 derniers années. Le discours du président de ce pays ? Leur président, ancien leader syndical, considère que certains ressources comment l'eau, l’électricité, ne peuvent pas être base d'enrichissement des entreprisses privés. Pour réussir ce genre d’objectif il aura fallu modifier la législation, non pas en accord avec le FMI, et l'idéologie néo-libéral.
Quand on prend le temps, de s'informer dès l'intérieur du FMI, (par l’édition de livres d'un ex-membre du FMI sous le nom de Joseph Stiglitz) Nous pouvons alors comprendre pour quoi les pays du tiers monde s'enfoncent dans un paupérisme induit d'une part par la corruption de leurs gouvernants et d'autre par la volonté du FMI.
D'autre part, les néo-libéraux oublient trop vite que les deux grandes crises économiques de l'histoire ont démarré curieusement dans le même pays ! Ces apôtres de Lucifer oublient trop vite que l'économie français est loin du régime de croisière de places comment Londres, New-York en matière d'échange de devises, le marché d'échange qui représente d'après estimations sérieuses près de 1500 milliards de dollars par jour.
Forcement les paradis fiscaux sont un autre bémol vis a vis d'une fiscalité juste, sans oublier les notes du livre d'Antoine Peillon intitulé « ces 600 milliards qui manquent à la France » puisque d'après plusieurs sources non moins de 150 000 foyers fiscaux français auraient des comptes bancaires hors la France dans un but d'évasion fiscale.
Personnellement j'ai déjà relativisé le montant de la protection sociale, face à des magnitudes comparables, d'autant plus que le salarié expose sa santé, vend pour ainsi dire sa vie, en allant au travail, pour créer de la valeur ajouté, SEULE SOURCE de richesse tangible véritable, car même si les nantis n'aiment pas l'entendre, je le répéterais sans cesse « la transformation de matières par le travail, reste la seule véritable source de richesse » Les ouvriers, l'industrie, les machines sont donc le seul moyen de créer de la richesse, qu'en suite des sangsues, du genre banques, et sociétés d'investissement arrivaient à spolier dans une légitimité issue du lobby.
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Los bancos y el pueblo
Los bancos y el pueblo
Praxis et proselitismo
Por Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cerete Cordoba Colombia el lunes 30 de septiembre del año 2013
Recuerdos al honorable presidente de Bolivia, Evo Morales, al honorable presidente de Ecuador señor Rafael Correa, a mis educadores que no menciono para levitar inconvenientes. A quien se robo mi corazón en las orillas del Sinú
Pocos hombres políticos en la historia de la ONU han asumido con valor la defensa del pueblo, entre ellos yo siento el gran honor de presentar dos pruebas en vídeo disponibles en YOUTUBE, seguro que solo el conocimiento, la razón y la justicia, deben servir como armas para hacer frente a la barbarie al abuso salvaje de los bancos:
Firma de la acta de deceso del compañero Salvador Allende:
Demostración de coraje del honorable compañero presidente Evo morales:
La manera rígida, severa agresiva con la cual se lleva a cabo la gestión de la economía en el mundo no deja la menor duda.
Los bancos como GOLMAND SACHS, sin ser numerosos, tratan de imprimir a la economía un ritmo infernal; a pesar de ciertas barreras, como la lengua, o el acceso a Internet por las personas más afectadas, por la metodología bancaria, debemos reconocer (como lo recuerda el doctor en ciencias políticas y fallecido líder de la izquierda alemana el señor Hermand Scheer) que nada cambiara en la sociedad entre tanto los más afectados, no tomen conciencia de la importancia de su participación activa en las decisiones de la política económica.
El poder
Antes de abordar cualquier proyecto, es indispensable el análisis del máximo numero de obstáculos, variables y demás simulaciones.
Los obstáculos
Sin duda el obstáculo mayor para un cambio radical de la economía mundial es el desconocimiento. Los habitantes de barrios populares, de invasiones, son las personas menos informadas y por una multitud de razones las que siendo más afectadas son las menos interesadas. Desde luego las clases populares en general son las más afectadas por la especulación creciente en los mercados mundiales.
Por tanto el circuito primario de la economía mundial alimenta en riquezas otros circuitos secundarios, terciarios, etc.,
Cuando un trabajador ( en una empresa los trabajadores representan casi 90% de la población) recibe su salario, este es inyectado automáticamente bajo la denominación de "CONSUMO" en la economía REAL, igualmente llamada CICLO PRIMARIO DE LA ECONOMÍA.
Cuando un TRADER gana 250 000US$ por mes, este dinero no es inyectado de manera sistemática en el ciclo primario de la economía, si no que entra a inflar las cifras de una economía virtual, en general, por lo cual la economía VIRTUAL parece ocupar 90% de la economía mundial.
De la misma manera todo salario que es superior a 10 o 20 veces el salario mínimo a veces 50 y 100 veces puesto que el señor Lloyd Blankfein director de Goldman Sachs obtiene un salario anual de más de 60 millones de dolares, y en plena crisis económica mundial.
Ademas en gran parte los métodos de Golmand Sachs son al originen de la famosa crisis del crédito hipotecario puesto que con el famoso ABACUS, Este banco gano justamente cuando toda la economía mundial perdía, como igual ganaron cuando lograron disimular las cuentas deficitarias de Grecia para permitir su ingreso en la Comunidad Económica Europea.
Sabiendo que al hacer entrar Grecia, habría necesariamente manera de asegurar por el resto de países, los platos rotos, es decir que los contribuyentes de Europa fueron tomados por tontos.
Conflicto de intereses
Los obstáculos, como lo vemos son de talla monumental. Puesto que que sectas secretas dominan y manejan todas las esferas del poder:
Mario Draghi presidente del Banco Central Europeo trabajó en GOLMAND SACHS,
Mario Monti presidente del consejo de ministros italiano, comisario europeo de la concurrencia, consultante desde 2005 de Golmand Sachs
Romano Prodi presidente de la Asamblea nacional italiana, Presidente de la Comision Europea, es consejero del Banco Goldman Sachs desde hace seis años
Mark Carney gobernador del banco central de Canada trabajo hasta el año 2000 en GOLMAND SACHS
Herny Paulson: fue secretario del Tesoro de los USA entre 2006 y 2006, igualmente director de Golmand Sachs entre 1999 et 2006
Si quisiéramos podríamos hacer listas interminables en las cuales la noción de conflicto de intereses es flagrante. Los consejos de dirección de las más grandes empresas, cuentan en sus listas casi siempre las mismas personas. En cambio la clase obrera, jamas intenta asociarse, ponerse de acuerdo y adoptar una estrategia clara concertada de defensa de sus intereses
La consecuencia automática?
Los trabajadores, los únicos que crean el valor agregado, la plusvalía, se dejan robar la riqueza de quienes se asocian justamente con ese único objetivo, y así la miseria aumenta para la mayoría de la gente.
El petroleo en ejemplo veamos una persona al hasard de una empresa dedicada como es Maurel & Prom empresa reconocida como operador petrolero en Africa y America latina el señor Michel Perret figura como director de perforación graduado de Instituto Francés del Petróleo (IFP) Ingeniero de Forex, Forex Neptuno y Elf Aquitaine, Shell consultor independiente, Elf, ENI, BHP Petroleum, la participación en la creación de BHP Petroleum en Australia, Joint Oil en Libia y la participación en la transformación de Maurel & Prom en compañía de la exploración y producción de petróleo. Directora de perforación Maurel & Prom desde octubre de 2001.
Donde quiera que miremos en la economía mundial hay una relación intima entre las empresas y un puñado de personas que abusan de las relaciones para hacerse cada vez más ricos, y o favorecer vía el lobby los intereses de sus círculos próximos. (familia y amigos). Mientras tanto la gente que crea que produce la riqueza en el mundo, es mantenida completamente alejada de una distribución justa del fruto del trabajo.
Por que?
Simplemente por que las clases populares, son voluntariamente mantenidas indiferentes, e ignorantes de la realidad. Hoy no es posible que un trabajador de India, un trabajador de China, un trabajador de Brasil y un trabajador de Colombia, o Mexico, o Perú puedan pensar al futuro juntos, primero por que sería imposible por que no tienen los medios para comunicarse puesto que la lengua en algunos casos lo impide, ademas simplemente por que no se creen comprometidos a entenderse, etc, etc,. En realidad los trabajadores por vivir desinteresados al futuro de manera unida son los primeros responsables del abuso de algunos parásitos, indelicados.
Quien es más fuerte?
Supongamos que los obreros de los países, dialogaran? Supongamos que decidieran crear una asociación común de talla mundial? Que esta asociación creara un fondo monetario, como una cooperativa, que todos los obreros decidieran de depositar su salario en esta forma de banco mundial del trabajo.
Puesto que el dinero real es la fuente del ciclo de la especulación
Si una cooperativa mundial de trabajadores, asume el mercadeo de productos de primera necesidad, el impacto sería monumental, el precio bajaría sistemáticamente, y el universo de las finanzas comenzaría a perder terreno, si enseguida la cooperativa internacional del trabajo abriera una linea de crédito al consumo, igual seguros de vida seguros para el vehículos.
Los trabajadores del mundo lograrían sin sangre, sin guerra absurda, cambiar su destino, y sería a su favor. Aquellos que hoy se burlan de los pobres tendrían que admitir que fueron estúpidos y que sin estudios en HARVARD, STNFORD ni BERKELEY, los más pobres, unidos sabrían vivir mucho mejor que bajo el poder de hipócritas, egoístas sabandijas que son muchas personas hoy a la cabeza de las más prestigiosas organizaciones financieras y bancarias. Como también infiltrados en los gobiernos de las más prestigiosas organizaciones de poder en el mundo.
Praxis et proselitismo
Por Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cerete Cordoba Colombia el lunes 30 de septiembre del año 2013
Recuerdos al honorable presidente de Bolivia, Evo Morales, al honorable presidente de Ecuador señor Rafael Correa, a mis educadores que no menciono para levitar inconvenientes. A quien se robo mi corazón en las orillas del Sinú
Pocos hombres políticos en la historia de la ONU han asumido con valor la defensa del pueblo, entre ellos yo siento el gran honor de presentar dos pruebas en vídeo disponibles en YOUTUBE, seguro que solo el conocimiento, la razón y la justicia, deben servir como armas para hacer frente a la barbarie al abuso salvaje de los bancos:
Firma de la acta de deceso del compañero Salvador Allende:
Demostración de coraje del honorable compañero presidente Evo morales:
La manera rígida, severa agresiva con la cual se lleva a cabo la gestión de la economía en el mundo no deja la menor duda.
Los bancos como GOLMAND SACHS, sin ser numerosos, tratan de imprimir a la economía un ritmo infernal; a pesar de ciertas barreras, como la lengua, o el acceso a Internet por las personas más afectadas, por la metodología bancaria, debemos reconocer (como lo recuerda el doctor en ciencias políticas y fallecido líder de la izquierda alemana el señor Hermand Scheer) que nada cambiara en la sociedad entre tanto los más afectados, no tomen conciencia de la importancia de su participación activa en las decisiones de la política económica.
El poder
Antes de abordar cualquier proyecto, es indispensable el análisis del máximo numero de obstáculos, variables y demás simulaciones.
Los obstáculos
Sin duda el obstáculo mayor para un cambio radical de la economía mundial es el desconocimiento. Los habitantes de barrios populares, de invasiones, son las personas menos informadas y por una multitud de razones las que siendo más afectadas son las menos interesadas. Desde luego las clases populares en general son las más afectadas por la especulación creciente en los mercados mundiales.
Por tanto el circuito primario de la economía mundial alimenta en riquezas otros circuitos secundarios, terciarios, etc.,
Cuando un trabajador ( en una empresa los trabajadores representan casi 90% de la población) recibe su salario, este es inyectado automáticamente bajo la denominación de "CONSUMO" en la economía REAL, igualmente llamada CICLO PRIMARIO DE LA ECONOMÍA.
Cuando un TRADER gana 250 000US$ por mes, este dinero no es inyectado de manera sistemática en el ciclo primario de la economía, si no que entra a inflar las cifras de una economía virtual, en general, por lo cual la economía VIRTUAL parece ocupar 90% de la economía mundial.
De la misma manera todo salario que es superior a 10 o 20 veces el salario mínimo a veces 50 y 100 veces puesto que el señor Lloyd Blankfein director de Goldman Sachs obtiene un salario anual de más de 60 millones de dolares, y en plena crisis económica mundial.
Ademas en gran parte los métodos de Golmand Sachs son al originen de la famosa crisis del crédito hipotecario puesto que con el famoso ABACUS, Este banco gano justamente cuando toda la economía mundial perdía, como igual ganaron cuando lograron disimular las cuentas deficitarias de Grecia para permitir su ingreso en la Comunidad Económica Europea.
Sabiendo que al hacer entrar Grecia, habría necesariamente manera de asegurar por el resto de países, los platos rotos, es decir que los contribuyentes de Europa fueron tomados por tontos.
Conflicto de intereses
Los obstáculos, como lo vemos son de talla monumental. Puesto que que sectas secretas dominan y manejan todas las esferas del poder:
Mario Draghi presidente del Banco Central Europeo trabajó en GOLMAND SACHS,
Mario Monti presidente del consejo de ministros italiano, comisario europeo de la concurrencia, consultante desde 2005 de Golmand Sachs
Romano Prodi presidente de la Asamblea nacional italiana, Presidente de la Comision Europea, es consejero del Banco Goldman Sachs desde hace seis años
Mark Carney gobernador del banco central de Canada trabajo hasta el año 2000 en GOLMAND SACHS
Herny Paulson: fue secretario del Tesoro de los USA entre 2006 y 2006, igualmente director de Golmand Sachs entre 1999 et 2006
Si quisiéramos podríamos hacer listas interminables en las cuales la noción de conflicto de intereses es flagrante. Los consejos de dirección de las más grandes empresas, cuentan en sus listas casi siempre las mismas personas. En cambio la clase obrera, jamas intenta asociarse, ponerse de acuerdo y adoptar una estrategia clara concertada de defensa de sus intereses
La consecuencia automática?
Los trabajadores, los únicos que crean el valor agregado, la plusvalía, se dejan robar la riqueza de quienes se asocian justamente con ese único objetivo, y así la miseria aumenta para la mayoría de la gente.
El petroleo en ejemplo veamos una persona al hasard de una empresa dedicada como es Maurel & Prom empresa reconocida como operador petrolero en Africa y America latina el señor Michel Perret figura como director de perforación graduado de Instituto Francés del Petróleo (IFP) Ingeniero de Forex, Forex Neptuno y Elf Aquitaine, Shell consultor independiente, Elf, ENI, BHP Petroleum, la participación en la creación de BHP Petroleum en Australia, Joint Oil en Libia y la participación en la transformación de Maurel & Prom en compañía de la exploración y producción de petróleo. Directora de perforación Maurel & Prom desde octubre de 2001.
Donde quiera que miremos en la economía mundial hay una relación intima entre las empresas y un puñado de personas que abusan de las relaciones para hacerse cada vez más ricos, y o favorecer vía el lobby los intereses de sus círculos próximos. (familia y amigos). Mientras tanto la gente que crea que produce la riqueza en el mundo, es mantenida completamente alejada de una distribución justa del fruto del trabajo.
Por que?
Simplemente por que las clases populares, son voluntariamente mantenidas indiferentes, e ignorantes de la realidad. Hoy no es posible que un trabajador de India, un trabajador de China, un trabajador de Brasil y un trabajador de Colombia, o Mexico, o Perú puedan pensar al futuro juntos, primero por que sería imposible por que no tienen los medios para comunicarse puesto que la lengua en algunos casos lo impide, ademas simplemente por que no se creen comprometidos a entenderse, etc, etc,. En realidad los trabajadores por vivir desinteresados al futuro de manera unida son los primeros responsables del abuso de algunos parásitos, indelicados.
Quien es más fuerte?
Supongamos que los obreros de los países, dialogaran? Supongamos que decidieran crear una asociación común de talla mundial? Que esta asociación creara un fondo monetario, como una cooperativa, que todos los obreros decidieran de depositar su salario en esta forma de banco mundial del trabajo.
Puesto que el dinero real es la fuente del ciclo de la especulación
Si una cooperativa mundial de trabajadores, asume el mercadeo de productos de primera necesidad, el impacto sería monumental, el precio bajaría sistemáticamente, y el universo de las finanzas comenzaría a perder terreno, si enseguida la cooperativa internacional del trabajo abriera una linea de crédito al consumo, igual seguros de vida seguros para el vehículos.
Los trabajadores del mundo lograrían sin sangre, sin guerra absurda, cambiar su destino, y sería a su favor. Aquellos que hoy se burlan de los pobres tendrían que admitir que fueron estúpidos y que sin estudios en HARVARD, STNFORD ni BERKELEY, los más pobres, unidos sabrían vivir mucho mejor que bajo el poder de hipócritas, egoístas sabandijas que son muchas personas hoy a la cabeza de las más prestigiosas organizaciones financieras y bancarias. Como también infiltrados en los gobiernos de las más prestigiosas organizaciones de poder en el mundo.
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Le rôle du journaliste et l'impartialité
Impartialité et cacophonie
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cerete Cordoba mardi 2 octobre 2013
Les leaders politiques sans aucune doute ont la liberté de leurs opinions, au risque de tirer leur image vers la médiocrité, car le député de la quatrième circonscription de la Seine et Marne Christian Jacob, par ses interventions à l'Assemblée National tente de substituer à une absurde autorité imaginaire de contrôle des relations entre les groupes politiques de la majorité. Nulle doute que ce genre d'interférences nous permet de mesurer la dimension d'incapacité des membres du groupe UMP à assumer leur rôle dans les deux chambres du parlement français.
Quant aux désaccords palpables de l'opinion au sein même du gouvernement français, plus qu'une forme de chahut ou désordre, sont à vraie dire la preuve irréfutable de la liberté d'opinion qui laisse à chacun par des raisons d'essence, de tempérament ou idiosyncrasie, intrinsèques à la gauche dans une lecture étymologique large.
La gauche, ne pourra JAMAIS parler d'une seule voix, c'est impossible, car déjà pour des raisons biologiques, chaque cerveau et unique, d'autant plus que la gauche au sens large, abrite plusieurs groupes avec leur conceptions spécifiques des notions tel que l'idéologie, et l'intérêt général.
La divergence
Nous sommes donc, avec un regard « intellectuel et ou philosophique » devant une véritable richesse, Car lorsque touts les membres d'un groupe, tentent de suivre un seul leader, lorsque touts les personnes tentent de se fondre derrière LA PENSÉE UNIQUE alors nous sommes au sein d'un groupe ou la consanguinité intellectuel produit nécessairement des défauts, où des perversions et faiblesses qui vont se refléter automatiquement par l’imposition des minorités, le lobby, très néfaste pour la constitution et pour la République.
La xénophobie
Tandis que des énergumènes sont très nuisibles à l'évolution juste de l'humanité, (Carlos Slim Helu, George Soros, Laskshmi Mittal. Dans une longue liste ou nous pourrions ajouter Mario Draghi, Mario Monti, Romano Prodi, Mark Carney, Herny Paulson avec quelque chose curieuse en commun !
Venir pointer du doigt donc des miséreux, comment un problème pour l'harmonie sociale, me semble très grave, c'est faillir VOLONTAIREMENT à la vérité, c'est plus qu'avoir tort, plus que de la connivence, de la complicité par défaut intellectuel.
Justement parce que si la société à la taille de la terre tourne mal, la cause se trouve dans des phénomènes du genre ABACUS, par cause des énergumènes du genre de Fabrice Tourre. Bien que au fin fond de la misère, certains pauvres gens, dépourvus de perspectives d'avenir reluisantes finissent par basculer de l'autre coté de la loi, pour s’approprier ici et la de quelques miettes, sans jamais vouloir faire l'apologie des actes contraires aux lois de la République.
Pour quoi la puissance d'un état semble frêle lorsqu'il faut s'attaquer à l'évasion fiscale, aux délits financiers, alors qu'elle utilise tout sont poids lorsqu'elle écrase des indigents ?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cerete Cordoba mardi 2 octobre 2013
Les leaders politiques sans aucune doute ont la liberté de leurs opinions, au risque de tirer leur image vers la médiocrité, car le député de la quatrième circonscription de la Seine et Marne Christian Jacob, par ses interventions à l'Assemblée National tente de substituer à une absurde autorité imaginaire de contrôle des relations entre les groupes politiques de la majorité. Nulle doute que ce genre d'interférences nous permet de mesurer la dimension d'incapacité des membres du groupe UMP à assumer leur rôle dans les deux chambres du parlement français.
Quant aux désaccords palpables de l'opinion au sein même du gouvernement français, plus qu'une forme de chahut ou désordre, sont à vraie dire la preuve irréfutable de la liberté d'opinion qui laisse à chacun par des raisons d'essence, de tempérament ou idiosyncrasie, intrinsèques à la gauche dans une lecture étymologique large.
La gauche, ne pourra JAMAIS parler d'une seule voix, c'est impossible, car déjà pour des raisons biologiques, chaque cerveau et unique, d'autant plus que la gauche au sens large, abrite plusieurs groupes avec leur conceptions spécifiques des notions tel que l'idéologie, et l'intérêt général.
La divergence
Nous sommes donc, avec un regard « intellectuel et ou philosophique » devant une véritable richesse, Car lorsque touts les membres d'un groupe, tentent de suivre un seul leader, lorsque touts les personnes tentent de se fondre derrière LA PENSÉE UNIQUE alors nous sommes au sein d'un groupe ou la consanguinité intellectuel produit nécessairement des défauts, où des perversions et faiblesses qui vont se refléter automatiquement par l’imposition des minorités, le lobby, très néfaste pour la constitution et pour la République.
La xénophobie
Tandis que des énergumènes sont très nuisibles à l'évolution juste de l'humanité, (Carlos Slim Helu, George Soros, Laskshmi Mittal. Dans une longue liste ou nous pourrions ajouter Mario Draghi, Mario Monti, Romano Prodi, Mark Carney, Herny Paulson avec quelque chose curieuse en commun !
Venir pointer du doigt donc des miséreux, comment un problème pour l'harmonie sociale, me semble très grave, c'est faillir VOLONTAIREMENT à la vérité, c'est plus qu'avoir tort, plus que de la connivence, de la complicité par défaut intellectuel.
Justement parce que si la société à la taille de la terre tourne mal, la cause se trouve dans des phénomènes du genre ABACUS, par cause des énergumènes du genre de Fabrice Tourre. Bien que au fin fond de la misère, certains pauvres gens, dépourvus de perspectives d'avenir reluisantes finissent par basculer de l'autre coté de la loi, pour s’approprier ici et la de quelques miettes, sans jamais vouloir faire l'apologie des actes contraires aux lois de la République.
Pour quoi la puissance d'un état semble frêle lorsqu'il faut s'attaquer à l'évasion fiscale, aux délits financiers, alors qu'elle utilise tout sont poids lorsqu'elle écrase des indigents ?
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Notion de république
La république vue par un illettré
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Cereté Cordoba Colombie le 6 octobre 2013
Texte dédié à Michel Grossiord, Sonia Mabrouk, et tout le personnel des chaînes ARTE, LCP, Public Sénat et aussi aux gens de la politique et le journalisme en général.
Voilà un mot galvaudé, et que certains néophytes improvisés politiques s'évertuent à nous imposer en guise d'étendard de leur légitimité soudoyait par la voie du suffrage.
La vraie définition reste vide de sont sens sans des accessoires indispensables comment c'est le cas de la constitution, l'ensemble des lois, ainsi que la démocratie, la langue, une zone géographique et sans doute quelques vestiges du point de vue ethnique, paléontologique dans leur définition strictement étymologique.
Chauvinisme
Nous serions tombé dans le favoritisme et la xénophobie, en adoptant certains discours fourbes insidieux, si par manque d'intégrité intellectuelle, nous aurions voulu regarder la notion de république, non pas inscrite dans l'histoire de l'évolution des civilisations, mais dans une vision à dimension obtuse, réductrice sous forme d'une portion de terre à un moment statique, figé dans le temps.
Non aucune nation au monde, est présente dans l'histoire dans sa configuration d'un jour, d'une année ou d'un siècle. Plus la frange de temps et d'espace avec la quel nous définissons une république sera réduite plus il sera captieux notre discours.
Chaque pays au monde est aujourd'hui et saura demain, la résultante d'une évolution, dans les meurs, dans sa législation, et dans sont évolution ethnique.
Justement l'évolution ethnique, est le fruit ou mieux encore la résultante ou l’effet collatéral de pratiques spécifiques de spéculation mènes par des idolâtres de la cupidité.
Prenons l'exemple, des populations du continent africain !
Leur richesses auraient été sciemment pillées et leurs leaders achetés pendant plus d'un siècle, et d'ailleurs cela continue de nous jours, le meilleur outil pour réprimer pour contrôler les peuples aura été celui qu'un penseur apostrophé comment "l'opium du peuple" ; hélas la tyrannie aura été si aveugle autant que leur soif d'asservir qu'il auraient oublié que l'homme trop soumis trop méprisé devienne à force irrationnel. Loin de moi l'idée de faire apologie à des idées hors la voie noble de la justice et la démocratie, loin d'une motivation panégyrique, j'ai depuis des années tenté de sonner une alarme, qui met en garde contre cette dérive qui permettait l'évolution d'un enseignement systématique voir exclusif, unique d'un livre sacré à des enfants assis à même le sol, dès l'âge de six ans de manière à leur rendre (au départ et pendant des années) aveugles, pendant que l'or noir été enlevé de leur sous-sol. Mais pas seulement cette source de développement indispensable à certains pays alors anoblis, d'autres matières premières ont été et sont toujours sortis à des pris dérisoires sans que leur rentabilité puisse permettre le développement d'une civilisation épanoui. Bien au contraire.
Aujourd'hui, des leaders politique de pacotille, oseraient se plaindre des taux inouïs de déplacement de population, aujourd'hui par hasard pourrions nous nous étonner de la noyade de 300, de 3000 voir de plus gens, enfants, femmes, lors de tentatives hasardeuses de fuir la misère ?
Quelle plus grande hypocrisie ! Cela ne peu pas être de l'ignorance tout de même pas eux ! Ou si ?
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Cereté Cordoba Colombie le 6 octobre 2013
Texte dédié à Michel Grossiord, Sonia Mabrouk, et tout le personnel des chaînes ARTE, LCP, Public Sénat et aussi aux gens de la politique et le journalisme en général.
Voilà un mot galvaudé, et que certains néophytes improvisés politiques s'évertuent à nous imposer en guise d'étendard de leur légitimité soudoyait par la voie du suffrage.
La vraie définition reste vide de sont sens sans des accessoires indispensables comment c'est le cas de la constitution, l'ensemble des lois, ainsi que la démocratie, la langue, une zone géographique et sans doute quelques vestiges du point de vue ethnique, paléontologique dans leur définition strictement étymologique.
Chauvinisme
Nous serions tombé dans le favoritisme et la xénophobie, en adoptant certains discours fourbes insidieux, si par manque d'intégrité intellectuelle, nous aurions voulu regarder la notion de république, non pas inscrite dans l'histoire de l'évolution des civilisations, mais dans une vision à dimension obtuse, réductrice sous forme d'une portion de terre à un moment statique, figé dans le temps.
Non aucune nation au monde, est présente dans l'histoire dans sa configuration d'un jour, d'une année ou d'un siècle. Plus la frange de temps et d'espace avec la quel nous définissons une république sera réduite plus il sera captieux notre discours.
Chaque pays au monde est aujourd'hui et saura demain, la résultante d'une évolution, dans les meurs, dans sa législation, et dans sont évolution ethnique.
Justement l'évolution ethnique, est le fruit ou mieux encore la résultante ou l’effet collatéral de pratiques spécifiques de spéculation mènes par des idolâtres de la cupidité.
Prenons l'exemple, des populations du continent africain !
Leur richesses auraient été sciemment pillées et leurs leaders achetés pendant plus d'un siècle, et d'ailleurs cela continue de nous jours, le meilleur outil pour réprimer pour contrôler les peuples aura été celui qu'un penseur apostrophé comment "l'opium du peuple" ; hélas la tyrannie aura été si aveugle autant que leur soif d'asservir qu'il auraient oublié que l'homme trop soumis trop méprisé devienne à force irrationnel. Loin de moi l'idée de faire apologie à des idées hors la voie noble de la justice et la démocratie, loin d'une motivation panégyrique, j'ai depuis des années tenté de sonner une alarme, qui met en garde contre cette dérive qui permettait l'évolution d'un enseignement systématique voir exclusif, unique d'un livre sacré à des enfants assis à même le sol, dès l'âge de six ans de manière à leur rendre (au départ et pendant des années) aveugles, pendant que l'or noir été enlevé de leur sous-sol. Mais pas seulement cette source de développement indispensable à certains pays alors anoblis, d'autres matières premières ont été et sont toujours sortis à des pris dérisoires sans que leur rentabilité puisse permettre le développement d'une civilisation épanoui. Bien au contraire.
Aujourd'hui, des leaders politique de pacotille, oseraient se plaindre des taux inouïs de déplacement de population, aujourd'hui par hasard pourrions nous nous étonner de la noyade de 300, de 3000 voir de plus gens, enfants, femmes, lors de tentatives hasardeuses de fuir la misère ?
Quelle plus grande hypocrisie ! Cela ne peu pas être de l'ignorance tout de même pas eux ! Ou si ?
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La fin du système capitaliste!
Les questions et les réponses
Par gramophone (cogito ergo sum)
Cereté Cordoba Colombie samedi 12 octobre 2013
Quelque soit le moyen par lequel nous recevons des information, radio, télévision, presse écrite, bouche à oreille ainsi que certains groupes sociales, du genre syndicats et partis politiques ; le volume est énorme et les opinions contradictoires.
Rien de plus normale, d'ailleurs, puisque les médias restent avant tout des entreprises, et le journalisme malgré d'être un métier qu'aurait à l'origine obligation de respecter des principes d'éthique et impartialité, devienne par la force des choses, une profession confinée à la ligne imposé par la rédaction, sauf pour une minorité.
Qui prends le temps de lire un sujet ?
Un sujet écrit de nous jours, présente un obstacle majeur, du moment que le texte dépasse trois lignes, le béotien, le quidam (et je suis un, puisque moi même je n'ai jamais fréquenté une école sur le sol gaulois) est devenu presque un zombie, puisque l'on aurait réussi à lui extirper du cerveau, toute possibilité de chercher à digérer une information.
Entre le loisir indispensable et le désœuvrement à risque
Autant tout être humain à besoin de moments de divertissement, autant il y a des moments dans lesquels la conscience humaine se trouve exposé de manière monumentale à l'esclavage intellectuelle. La télévision, les jeux en réseau, sur internet, la pratique de certains hobby ou passe-temps sont plus de la distraction active que une quelconque pratique en faveur de hygiène mentale : Si nous voulons avoir un excellent état de santé, en dehors du besoin d'une rigoureux et onéreux choix dans l'alimentation, la pratique de la course à pieds, suffit pour 80 % de la population, à maintenir un état de santé idéal, certains ennuies de santé peuvent nous mener au choix du vélo, ou la natation. Mais il faut admettre que le citoyen lambda quant à lui préféré GRAND THEFT AUTO connue aussi sur l’abréviation GTA V qui coûte environs 48€, puisque en trois jours les ventes auraient déjà dépassée le milliards de dollars. Un masque pour paintball (Proto Axis grey) doit coûter plus de 70€. l'ensemble (Slam Jack Black Roses deluxe) pour paintball dépasse les 220€. Un pack reflex purple black dust air comprimé pour paintball, frise les 500€.
Peut-on accuser les riches de mauvaise fois ?
Voilà que j'arrive à la conclusion que si bien l'indifférence et l'individualisme sont induits, je ne vais pas par facilité intellectuelle jeter la pierre sur ceux qui intelligemment réussissent à gagner des milliards ; malgré tout je maintienne une opinion mitigé quant aux responsables de nombre des maux de la société.
Je vais résumer, plus nous sommes près des petits salaires, plus nous avons la certitude absolue que le revenu saura dépensée sans y réfléchir. Plus nous nous éloignons vers des salaires de cadres et de PDG des banques, moins le revenu saura dépensé dans des objets prosaïques ou banals.
Qui prendra le temps plus que de lire, de digérer le message ici souligné ?
Je doute que ce message ait apporté un corollaire quelconque pour ceux qui comment moi passeraient le plus claire de leur temps à satisfaire en priorité le niveau inférieur de la pyramide de MASLOW.
Les solutions ?
Oui il y a plus que des critiques des solutions.
Je me suis trouvé dans un labyrinthe temporel un jours, lorsque suite à l'écoute (visionnage sur YouTube et Dailymotion) (1), (2) d'un document de deux heures trente minutes et un film donc j'ai reçu comment cadeau d'un grand ami l'intégrale en Disque Compacte DVD, j'ai finir par comprendre, que les banques et les groupes internationaux dédiés à la finances étaient des sangsues. Des parfaits parasites très nuisibles à l'évolution de la société.
(1) https://www.youtube.com/watch?v=w_QQxSOHO3E
(2) https://www.dailymotion.com/video/xazgpq_let-s-make-money-part6_news?search_algo=2
Comment sortir du système de l'industrie des finances?
http://toulouse-philo.forumpro.fr/t164p15-intellectuels-complices-ou-innoncents#493
Par gramophone (cogito ergo sum)
Cereté Cordoba Colombie samedi 12 octobre 2013
Quelque soit le moyen par lequel nous recevons des information, radio, télévision, presse écrite, bouche à oreille ainsi que certains groupes sociales, du genre syndicats et partis politiques ; le volume est énorme et les opinions contradictoires.
Rien de plus normale, d'ailleurs, puisque les médias restent avant tout des entreprises, et le journalisme malgré d'être un métier qu'aurait à l'origine obligation de respecter des principes d'éthique et impartialité, devienne par la force des choses, une profession confinée à la ligne imposé par la rédaction, sauf pour une minorité.
Qui prends le temps de lire un sujet ?
Un sujet écrit de nous jours, présente un obstacle majeur, du moment que le texte dépasse trois lignes, le béotien, le quidam (et je suis un, puisque moi même je n'ai jamais fréquenté une école sur le sol gaulois) est devenu presque un zombie, puisque l'on aurait réussi à lui extirper du cerveau, toute possibilité de chercher à digérer une information.
Entre le loisir indispensable et le désœuvrement à risque
Autant tout être humain à besoin de moments de divertissement, autant il y a des moments dans lesquels la conscience humaine se trouve exposé de manière monumentale à l'esclavage intellectuelle. La télévision, les jeux en réseau, sur internet, la pratique de certains hobby ou passe-temps sont plus de la distraction active que une quelconque pratique en faveur de hygiène mentale : Si nous voulons avoir un excellent état de santé, en dehors du besoin d'une rigoureux et onéreux choix dans l'alimentation, la pratique de la course à pieds, suffit pour 80 % de la population, à maintenir un état de santé idéal, certains ennuies de santé peuvent nous mener au choix du vélo, ou la natation. Mais il faut admettre que le citoyen lambda quant à lui préféré GRAND THEFT AUTO connue aussi sur l’abréviation GTA V qui coûte environs 48€, puisque en trois jours les ventes auraient déjà dépassée le milliards de dollars. Un masque pour paintball (Proto Axis grey) doit coûter plus de 70€. l'ensemble (Slam Jack Black Roses deluxe) pour paintball dépasse les 220€. Un pack reflex purple black dust air comprimé pour paintball, frise les 500€.
Peut-on accuser les riches de mauvaise fois ?
Voilà que j'arrive à la conclusion que si bien l'indifférence et l'individualisme sont induits, je ne vais pas par facilité intellectuelle jeter la pierre sur ceux qui intelligemment réussissent à gagner des milliards ; malgré tout je maintienne une opinion mitigé quant aux responsables de nombre des maux de la société.
Je vais résumer, plus nous sommes près des petits salaires, plus nous avons la certitude absolue que le revenu saura dépensée sans y réfléchir. Plus nous nous éloignons vers des salaires de cadres et de PDG des banques, moins le revenu saura dépensé dans des objets prosaïques ou banals.
Qui prendra le temps plus que de lire, de digérer le message ici souligné ?
Je doute que ce message ait apporté un corollaire quelconque pour ceux qui comment moi passeraient le plus claire de leur temps à satisfaire en priorité le niveau inférieur de la pyramide de MASLOW.
Les solutions ?
Oui il y a plus que des critiques des solutions.
Je me suis trouvé dans un labyrinthe temporel un jours, lorsque suite à l'écoute (visionnage sur YouTube et Dailymotion) (1), (2) d'un document de deux heures trente minutes et un film donc j'ai reçu comment cadeau d'un grand ami l'intégrale en Disque Compacte DVD, j'ai finir par comprendre, que les banques et les groupes internationaux dédiés à la finances étaient des sangsues. Des parfaits parasites très nuisibles à l'évolution de la société.
(1) https://www.youtube.com/watch?v=w_QQxSOHO3E
(2) https://www.dailymotion.com/video/xazgpq_let-s-make-money-part6_news?search_algo=2
Comment sortir du système de l'industrie des finances?
http://toulouse-philo.forumpro.fr/t164p15-intellectuels-complices-ou-innoncents#493
Note à Nicolas Doze
Le poids de fiscalité
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Céreté, Cordoba, Colombie
vendredi 18 octobre 2013
Je viens d'entendre le journaliste NICOLAS DOZE de BFM tv tenter de marteler encore le message du lourd poids de la fiscalité en France.
C'est étonnant de la part d'un journaliste, l’entêtement à tenter de sublimer le mensonge, car la Mecque du capitalisme, le pays même ou tout est exemple pour le monde, c'est à dire les USA, se trouvent au bord de la cessation de payement.
C'est étonnant de la par d'un journaliste qui se doit d'être impartial, chercher à massacrer des principes inscrits dans la constitution car la France d'après sa charte magne reste un pays sociale, d'égalité, de fraternité ! Alors que des nations où la fiscalité sur les entreprises est inférieur à 15 % comment c'est le cas de l'Irlande !
Mais allons plus loin ? Le coût du travail, étant la moitie de celui de la France au Portugal, nous savons bien que ce pays se trouve économiquement plus mal placé autant que l'Espagne ou l'Italie ! A cause d'une crise financière, construite de toute pièce par l'industrie financière, et pour des banques du type GOLDMAND SACHS!
N'oublions pas que encore de nous jours les USA maintiennent artificiellement leur économie à coup de milliards de dollars! 85 milliards de dollars par moi ingurgités par les banques, selon l'information de la FED, et tant que l'économie ne sera sortie du bourbier, la FED continuera à aider LES BANQUES
Quel est donc le système qui nous vente monsieur NICOLAS DOZE?
La France de Nicolas Doze !
La France des 35 heures !
La France que certains journalistes tentent de massacrer !
Ou la France qui nous offre la constitution stricto sensu?
Même si le gouvernement aurait du mal à réussir!
Reste une grande nation qui doit montrer le meilleur chemin au reste du monde !
Le capitalisme, le néo-libéralisme, l'industrie financière, sont des chemin sans issus, que si prospèrent, c'est par cause de deux défauts des béotiens : indifférence et individualisme induits par des influences au sein d'une société où l'éducation, les médias, les jeux de loisir sont des instruments favorisant l'hégémonie des castes dominantes.
La fiscalité en France est l'outil qui permet d'équilibrer les droits des citoyens à l'harmonie sociale, l'accès sans discrimination dans des domaines d'importance vitale tel que l'éducation et la santé, ou encore pour subventionner la presse, le transport scolaire, le transport des travailleurs, sans doute la fiscalité reste beaucoup mieux assumé par les bas salaires, (moins de 2500€/moi) que par des grandes entreprises et foyer fortunées pour qui le CGI dispose d'une foule d'astuces et niches fiscales.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Céreté, Cordoba, Colombie
vendredi 18 octobre 2013
Je viens d'entendre le journaliste NICOLAS DOZE de BFM tv tenter de marteler encore le message du lourd poids de la fiscalité en France.
C'est étonnant de la part d'un journaliste, l’entêtement à tenter de sublimer le mensonge, car la Mecque du capitalisme, le pays même ou tout est exemple pour le monde, c'est à dire les USA, se trouvent au bord de la cessation de payement.
C'est étonnant de la par d'un journaliste qui se doit d'être impartial, chercher à massacrer des principes inscrits dans la constitution car la France d'après sa charte magne reste un pays sociale, d'égalité, de fraternité ! Alors que des nations où la fiscalité sur les entreprises est inférieur à 15 % comment c'est le cas de l'Irlande !
Mais allons plus loin ? Le coût du travail, étant la moitie de celui de la France au Portugal, nous savons bien que ce pays se trouve économiquement plus mal placé autant que l'Espagne ou l'Italie ! A cause d'une crise financière, construite de toute pièce par l'industrie financière, et pour des banques du type GOLDMAND SACHS!
N'oublions pas que encore de nous jours les USA maintiennent artificiellement leur économie à coup de milliards de dollars! 85 milliards de dollars par moi ingurgités par les banques, selon l'information de la FED, et tant que l'économie ne sera sortie du bourbier, la FED continuera à aider LES BANQUES
Quel est donc le système qui nous vente monsieur NICOLAS DOZE?
La France de Nicolas Doze !
La France des 35 heures !
La France que certains journalistes tentent de massacrer !
Ou la France qui nous offre la constitution stricto sensu?
Même si le gouvernement aurait du mal à réussir!
Reste une grande nation qui doit montrer le meilleur chemin au reste du monde !
Le capitalisme, le néo-libéralisme, l'industrie financière, sont des chemin sans issus, que si prospèrent, c'est par cause de deux défauts des béotiens : indifférence et individualisme induits par des influences au sein d'une société où l'éducation, les médias, les jeux de loisir sont des instruments favorisant l'hégémonie des castes dominantes.
La fiscalité en France est l'outil qui permet d'équilibrer les droits des citoyens à l'harmonie sociale, l'accès sans discrimination dans des domaines d'importance vitale tel que l'éducation et la santé, ou encore pour subventionner la presse, le transport scolaire, le transport des travailleurs, sans doute la fiscalité reste beaucoup mieux assumé par les bas salaires, (moins de 2500€/moi) que par des grandes entreprises et foyer fortunées pour qui le CGI dispose d'une foule d'astuces et niches fiscales.
Gramophone- membre
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Campagne politique
Campagne politique
Je suis en train de regarder une rediffusion du discours de candidats à Hénin-Beaumont, grâce aux services de La Chaîne Parlementaire.
Quel talent, quel niveau de rhétorique !
D'un côté nulle doute un excès de confiance sur la base des notions sacrés où l'humanisme et l'altruisme ont une grade place. Nulle doute que ces deux principes sont le pilier même de l'idéologie de la gauche.
De l'autre côté je ne m'étonne pas qu'il soit possible fonder toute une idéologie sur la base de la xénophobe !
La vérité reste difficile de trouver entre deux extrêmes là, d'un coté l'extrême droite, de l'autre nous avons un discours avec origine sur les racines mêmes de certains peuples ; car beaucoup de villes de France se sont développés à une époque en que la démographie française et l'évolution industrielle exigent beaucoup plus de main d'œuvre que de nous jours. Époque donc à laquelle les gens de la Pologne, la Yougoslavie, l'Italie, L’Espagne venaient pour combler le manque de main d'œuvre français.
Reste fondamentale ici, que chaque personnes assume une sorte d'acte de contrition vis à vis de tant de gens, vis à vis de leurs ancêtres, venus de tant des pays, et qui auraient contribué de leur vies, de leurs mains, à fomenter la valeur de la France, splendeur de sont histoire.
Il est impossible de construire, toute une campagne présidentielle sur un seul sujet : qui plus est, supporté sur la haine, la xénophobe, cela étant, il est possible de concevoir certains discours, si et seul si ils sont adressés à des béotiens, à des zombies, fruit d'une éducation ciblée, en vers des classes populaires, éducation à laquelle, l’hégémonie droite-gauche aurait réussi à extirper la capacité à discerner. Car je comprendre sans trop de difficulté que lorsque dans notre sang coule du sang d'ancêtres polonais, italien, portugaise, yougoslave, marocaine, tunisien ou d'un autre quelconque nation, nous ne pouvons le nier. Nous ne pouvons pas oublier que nos ancêtres, sont venus et auraient donné leur vie.
Aujourd'hui des gens écervelés, des gens auxquels la notion d'histoire ou des notions d'altruisme et humanisme leur semblent absurdes, des gens sans véritable éducation, sans véritable culture, sans la moindre notion d'appartenance à une classe sociale ; ces gens-là, osent sans aucune gêne voter pour un courant d'extrême droite.
Mais la gauche a-t-elle raison ?
Non, sans doute la gauche tel qu'elle aura réussi à briguer le fauteuil de l’Élysée en 2012, n'est pas tout à fait la gauche idéale. Sauf que si le lecteur, prends le temps de lire la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen », Si le lecteur prends la peine au moins de lire les articles du début de la constitution, alors il peu sans difficulté se rendre compte des fondements de la vraie gauche.
Allons plus loin l'extrême droite prend ses bases sur tout ce qu'est contraire aux principes de la république, sur tout ce qu'est contraire à la déclaration universelle des droits de l'homme!
Je suis en train de regarder une rediffusion du discours de candidats à Hénin-Beaumont, grâce aux services de La Chaîne Parlementaire.
Quel talent, quel niveau de rhétorique !
D'un côté nulle doute un excès de confiance sur la base des notions sacrés où l'humanisme et l'altruisme ont une grade place. Nulle doute que ces deux principes sont le pilier même de l'idéologie de la gauche.
De l'autre côté je ne m'étonne pas qu'il soit possible fonder toute une idéologie sur la base de la xénophobe !
La vérité reste difficile de trouver entre deux extrêmes là, d'un coté l'extrême droite, de l'autre nous avons un discours avec origine sur les racines mêmes de certains peuples ; car beaucoup de villes de France se sont développés à une époque en que la démographie française et l'évolution industrielle exigent beaucoup plus de main d'œuvre que de nous jours. Époque donc à laquelle les gens de la Pologne, la Yougoslavie, l'Italie, L’Espagne venaient pour combler le manque de main d'œuvre français.
Reste fondamentale ici, que chaque personnes assume une sorte d'acte de contrition vis à vis de tant de gens, vis à vis de leurs ancêtres, venus de tant des pays, et qui auraient contribué de leur vies, de leurs mains, à fomenter la valeur de la France, splendeur de sont histoire.
Il est impossible de construire, toute une campagne présidentielle sur un seul sujet : qui plus est, supporté sur la haine, la xénophobe, cela étant, il est possible de concevoir certains discours, si et seul si ils sont adressés à des béotiens, à des zombies, fruit d'une éducation ciblée, en vers des classes populaires, éducation à laquelle, l’hégémonie droite-gauche aurait réussi à extirper la capacité à discerner. Car je comprendre sans trop de difficulté que lorsque dans notre sang coule du sang d'ancêtres polonais, italien, portugaise, yougoslave, marocaine, tunisien ou d'un autre quelconque nation, nous ne pouvons le nier. Nous ne pouvons pas oublier que nos ancêtres, sont venus et auraient donné leur vie.
Aujourd'hui des gens écervelés, des gens auxquels la notion d'histoire ou des notions d'altruisme et humanisme leur semblent absurdes, des gens sans véritable éducation, sans véritable culture, sans la moindre notion d'appartenance à une classe sociale ; ces gens-là, osent sans aucune gêne voter pour un courant d'extrême droite.
Mais la gauche a-t-elle raison ?
Non, sans doute la gauche tel qu'elle aura réussi à briguer le fauteuil de l’Élysée en 2012, n'est pas tout à fait la gauche idéale. Sauf que si le lecteur, prends le temps de lire la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen », Si le lecteur prends la peine au moins de lire les articles du début de la constitution, alors il peu sans difficulté se rendre compte des fondements de la vraie gauche.
Allons plus loin l'extrême droite prend ses bases sur tout ce qu'est contraire aux principes de la république, sur tout ce qu'est contraire à la déclaration universelle des droits de l'homme!
Sur Manuel Valls et la politique
SANS LANGUE DE BOIS
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cereté Cordoba Colombie dimanche 20 octobre 2013
Sans doute que le néo-libéralisme très en bogue, influence sans peine une bonne partie de la politique pour nombre de pays donc la France reste obligé d’adhérer.
Non seul il est utopique mais à court terme dangereuse la mise en place d'une politique stricto sensu calquée sur la Charte Magne de la République (la constitution).
J'aurai un comportement puéril, voir irresponsable, si je tente de lutter en influençant l'opinion sur ce qu'est une réalité inébranlable, sauf si chaque lecteur aurait pris le temps de lire l'intégralité d'un texte publié en 1554 à l'âge de 18 ans par Étienne de la Boétie (1) et chaque lecteur aurait pris le temps de digérer la pensée de grandes personnalités, qui me sont très chères, sans la moindre prétention : Jean Jaurès, Jean Jacques Rousseau, Edouard Tétrea (2), Antoine Peillon (3), Joseph Stiglitz (4), sans être exhaustif
Dans l'état actuelle des choses, une évolution favorable de la société, avec délimitation stricte des classes populaires, reste impossible !
Un tribun
Je ne crois pas qu'un tribun soit efficient du point de vue purement du suffrage, parce que quel qu'il soit sont discours, et quel qu'il soit le poids de sont argumentation, au fait il se traduit par une longue liste de mots, sans queue ni tête ! Car l'auditorium n'est nullement préparé, pour assimiler, monsieur Mélanchon parle en une autre langue : c'est comment si je parlait en chinois à des pauvres gens de Hénin-Beaumont.
Dans une vidéo disponible sur YOUTUBE, un auditeur pendant le temps des interventions du publique dit : « pensez-y si touts les citoyens, s'accordent pour arrêter de consommer une marque ? »
La vidéo dure deux heures et seize minutes me semble, et dédié à expliquer l'économie, donc elle est déjà trop longue pour qu'un béotien, un quidam, comment moi, ait la moindre envie de la regarder !
Les militant PCF de Paris
Auraient sans doute compris comment moi en acquérant la carte du Partie Socialiste, qu'il est mieux faire le choix qui nous ferait moins mal, non pas le choix idéal, il est nulle doute très dangereuse laisser de la place à l'extrême droite, trop de terrain. Hélas, le FN dans les circonstances macroéconomiques proches de l'après 1929, continuera à progresser « logiquement » car je ne cesse pas de le souligner : « avec la misère économique, s'accroît dangereusement la misère intellectuelle ». Nier ou tenter de faire l'autruche vis à vis de cette inexorable réalité me semble plus qu'absurde d'un danger majeur pour la société !
Ce qu'il faut comprendre sur la politique
Sur le ministre Manuel Valls
Non ! Sans doute le ministre de l'intérieur n'a commis aucun erreur en tant que personne civil, pour l’occasion à la tête d'un machine, la machine la plus puissante, puisqu'il est à la tête des entités tel que l'ensemble de services de polices de la France !
Non ! Je ne peu pas dénigrer du rôle du ministre de l'intérieur !
Par contre PERSONNE est en mesure d'argumenter le MOINS DU MONDE contre mon point de vue :
Alors que toute la puissance d'une nation de la magnitude de la France est déployée par le Front National, par le groupe UMP, et par d'autres... contre des minorités ethnique ; des milliards de milliards d'euros, évadent la fiscalité.
Par des méthodes introduits par la voie de lobby en partie dans le CGI donc en partie rendus légitimes, ainsi que d'autres méthodes qui peuvent être punis pénalement, par des gens en majorités très influents voir placés pour beaucoup dans des cercles proches du pouvoir.
Hélas, il aura ceux qui dirons « mais non c'est pas le sujet »
Mais moi je constate que tout est fait dans les hautes sphères du pouvoir pour éviter que la justice puise faire un travail impartial et juste ! Les plus faibles subissent tout le poids de la loi, les plus forts s'en moquent éperdument de la notion de justice !
Voilà que 150000 mille comptes sont identifiés dans des paradis fiscaux mais le gouvernement de droite ou de gauche, freine l'action des juges ! Au même temps, l'on demande aux français de payer plus d'impôts !
(1) http://classiques.uqac.ca/classiques/la_boetie_etienne_de/discours_de_la_servitude/discours_servitude.html
(2) http://www.notre-ecole.net/edouard-tetreau-20000-milliards-de-dollars/
(3) http://www.decitre.fr/livres/ces-600-milliards-qui-manquent-a-la-france-9782021081220.html
(4) http://cdurable.info/Le-triomphe-de-la-cupidite-Joseph-Stiglitz-Crise-Economie,2351.html
Ce sont des livres qui devraient exister dans la bibliothèque de chaque personne membre des classes populaires! C'est une utopie?
Alors vu qu'il y a un prix, prenez le temps de visionner GRATUIT :
LET'S MAKE MONEY
'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique» par Myret Zaki et Etienne Chouard
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cereté Cordoba Colombie dimanche 20 octobre 2013
Sans doute que le néo-libéralisme très en bogue, influence sans peine une bonne partie de la politique pour nombre de pays donc la France reste obligé d’adhérer.
Non seul il est utopique mais à court terme dangereuse la mise en place d'une politique stricto sensu calquée sur la Charte Magne de la République (la constitution).
J'aurai un comportement puéril, voir irresponsable, si je tente de lutter en influençant l'opinion sur ce qu'est une réalité inébranlable, sauf si chaque lecteur aurait pris le temps de lire l'intégralité d'un texte publié en 1554 à l'âge de 18 ans par Étienne de la Boétie (1) et chaque lecteur aurait pris le temps de digérer la pensée de grandes personnalités, qui me sont très chères, sans la moindre prétention : Jean Jaurès, Jean Jacques Rousseau, Edouard Tétrea (2), Antoine Peillon (3), Joseph Stiglitz (4), sans être exhaustif
Dans l'état actuelle des choses, une évolution favorable de la société, avec délimitation stricte des classes populaires, reste impossible !
Un tribun
Je ne crois pas qu'un tribun soit efficient du point de vue purement du suffrage, parce que quel qu'il soit sont discours, et quel qu'il soit le poids de sont argumentation, au fait il se traduit par une longue liste de mots, sans queue ni tête ! Car l'auditorium n'est nullement préparé, pour assimiler, monsieur Mélanchon parle en une autre langue : c'est comment si je parlait en chinois à des pauvres gens de Hénin-Beaumont.
Dans une vidéo disponible sur YOUTUBE, un auditeur pendant le temps des interventions du publique dit : « pensez-y si touts les citoyens, s'accordent pour arrêter de consommer une marque ? »
La vidéo dure deux heures et seize minutes me semble, et dédié à expliquer l'économie, donc elle est déjà trop longue pour qu'un béotien, un quidam, comment moi, ait la moindre envie de la regarder !
Les militant PCF de Paris
Auraient sans doute compris comment moi en acquérant la carte du Partie Socialiste, qu'il est mieux faire le choix qui nous ferait moins mal, non pas le choix idéal, il est nulle doute très dangereuse laisser de la place à l'extrême droite, trop de terrain. Hélas, le FN dans les circonstances macroéconomiques proches de l'après 1929, continuera à progresser « logiquement » car je ne cesse pas de le souligner : « avec la misère économique, s'accroît dangereusement la misère intellectuelle ». Nier ou tenter de faire l'autruche vis à vis de cette inexorable réalité me semble plus qu'absurde d'un danger majeur pour la société !
Ce qu'il faut comprendre sur la politique
Sur le ministre Manuel Valls
Non ! Sans doute le ministre de l'intérieur n'a commis aucun erreur en tant que personne civil, pour l’occasion à la tête d'un machine, la machine la plus puissante, puisqu'il est à la tête des entités tel que l'ensemble de services de polices de la France !
Non ! Je ne peu pas dénigrer du rôle du ministre de l'intérieur !
Par contre PERSONNE est en mesure d'argumenter le MOINS DU MONDE contre mon point de vue :
Alors que toute la puissance d'une nation de la magnitude de la France est déployée par le Front National, par le groupe UMP, et par d'autres... contre des minorités ethnique ; des milliards de milliards d'euros, évadent la fiscalité.
Par des méthodes introduits par la voie de lobby en partie dans le CGI donc en partie rendus légitimes, ainsi que d'autres méthodes qui peuvent être punis pénalement, par des gens en majorités très influents voir placés pour beaucoup dans des cercles proches du pouvoir.
Hélas, il aura ceux qui dirons « mais non c'est pas le sujet »
Mais moi je constate que tout est fait dans les hautes sphères du pouvoir pour éviter que la justice puise faire un travail impartial et juste ! Les plus faibles subissent tout le poids de la loi, les plus forts s'en moquent éperdument de la notion de justice !
Voilà que 150000 mille comptes sont identifiés dans des paradis fiscaux mais le gouvernement de droite ou de gauche, freine l'action des juges ! Au même temps, l'on demande aux français de payer plus d'impôts !
(1) http://classiques.uqac.ca/classiques/la_boetie_etienne_de/discours_de_la_servitude/discours_servitude.html
(2) http://www.notre-ecole.net/edouard-tetreau-20000-milliards-de-dollars/
(3) http://www.decitre.fr/livres/ces-600-milliards-qui-manquent-a-la-france-9782021081220.html
(4) http://cdurable.info/Le-triomphe-de-la-cupidite-Joseph-Stiglitz-Crise-Economie,2351.html
Ce sont des livres qui devraient exister dans la bibliothèque de chaque personne membre des classes populaires! C'est une utopie?
Alors vu qu'il y a un prix, prenez le temps de visionner GRATUIT :
LET'S MAKE MONEY
'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique» par Myret Zaki et Etienne Chouard
pour qui doit voter un ouvrier?
Intégralité intellectuelle
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny 21 octobre 2013
J'entends certains personnes ici et là utiliser une interprétation ou lecture de l'histoire comment une opinion ou hypothèses.
Oui c'est un fait que la proposition numéro 101 du programme du PS en 1981 parlait de proportionnelle, Oui en 1986 35 représentants du FN réussissent à siéger au palais Bourbon. Mais ce n'est rien d'autre qu'un effet collatérale, car si pour certains le fait le plus marquant est l'entrée du FN au parlement, pour d'autres le parti communiste étant une des cibles est affaibli.
D'ailleurs l'affrontement FN et parti communiste est une des attractions dans les échanges ! L'assemblée national garde dans ces archives les échanges musclés entre ces deux groupes, mais encore ! Une des raisons de Mitterrand pour adopter la proportionnelle est celle de faire barrage au triomphe assuré de la droite traditionnelle.
Mais allons plus loin
Nous devons parler de représentativité, hélas, les classes ouvrières, ne sont pas vraiment représentés, ni au palais Bourbon ni au plais de Luxembourg, bien au contraire !
Les classes populaires, étant le moins bien éduquées, ce sont automatiquement celles qui se défendent le moins bien, pour des philosophes comment c'est le cas de MARCEL CONCHE, nous sommes loin de vivre en démocratie, car le citoyen lambda, le quidam, le béotien, se doit de participer au suffrage, mais une fois, un des nantis, pour la plus part des néo-libéraux, SANS EXCEPTION, et cela quel qu'il soit le nom du parti représenté, arrivé au fauteuil de l’Élysée, ce sont les exigences des cercles fermées, des sectes, du genre MEDEF, groupement des banques, des magnats de la finance, qui vont faire pression ou lobby pour faire passer une législation sur mesure à leur faveur.
Ici et là quelques mesures, symboliques sont adoptés lorsque par exemple le partie socialiste passe : prenons l''exemple du mariage pour touts, qui est plutôt symbolique, alors que les membres du PS au parlement affirmaient que la reforme de retraite, serait abrogée pour revenir à 60 ans !
Alors pour résumer
Si le FN progresse c'est à cause de la misère intellectuelle qui s’accroît avec la misère économique, les travailleurs vivent des jours semblables à l'après 1929, époque qui devait finir avec la naissance du PARTI NATIONAL SOCIALISTE en Allemagne, et bien sur l'apogée qui n'est rien d'autre que les années 1940 à 1944 !
Parce que des chômeurs, des ouvriers, avec un pois chiche dans leur tête, se laissent endoctriner par des idées, absurdes ! Bien entendu qui le groupe UMP, ou le PS, ne font pas vraiment dans la différence, mais en attendant un parti véritable de travailleurs, il nous reste à voter pour le plus proche en propositions parfois mensongères !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny 21 octobre 2013
J'entends certains personnes ici et là utiliser une interprétation ou lecture de l'histoire comment une opinion ou hypothèses.
Oui c'est un fait que la proposition numéro 101 du programme du PS en 1981 parlait de proportionnelle, Oui en 1986 35 représentants du FN réussissent à siéger au palais Bourbon. Mais ce n'est rien d'autre qu'un effet collatérale, car si pour certains le fait le plus marquant est l'entrée du FN au parlement, pour d'autres le parti communiste étant une des cibles est affaibli.
D'ailleurs l'affrontement FN et parti communiste est une des attractions dans les échanges ! L'assemblée national garde dans ces archives les échanges musclés entre ces deux groupes, mais encore ! Une des raisons de Mitterrand pour adopter la proportionnelle est celle de faire barrage au triomphe assuré de la droite traditionnelle.
Mais allons plus loin
Nous devons parler de représentativité, hélas, les classes ouvrières, ne sont pas vraiment représentés, ni au palais Bourbon ni au plais de Luxembourg, bien au contraire !
Les classes populaires, étant le moins bien éduquées, ce sont automatiquement celles qui se défendent le moins bien, pour des philosophes comment c'est le cas de MARCEL CONCHE, nous sommes loin de vivre en démocratie, car le citoyen lambda, le quidam, le béotien, se doit de participer au suffrage, mais une fois, un des nantis, pour la plus part des néo-libéraux, SANS EXCEPTION, et cela quel qu'il soit le nom du parti représenté, arrivé au fauteuil de l’Élysée, ce sont les exigences des cercles fermées, des sectes, du genre MEDEF, groupement des banques, des magnats de la finance, qui vont faire pression ou lobby pour faire passer une législation sur mesure à leur faveur.
Ici et là quelques mesures, symboliques sont adoptés lorsque par exemple le partie socialiste passe : prenons l''exemple du mariage pour touts, qui est plutôt symbolique, alors que les membres du PS au parlement affirmaient que la reforme de retraite, serait abrogée pour revenir à 60 ans !
Alors pour résumer
Si le FN progresse c'est à cause de la misère intellectuelle qui s’accroît avec la misère économique, les travailleurs vivent des jours semblables à l'après 1929, époque qui devait finir avec la naissance du PARTI NATIONAL SOCIALISTE en Allemagne, et bien sur l'apogée qui n'est rien d'autre que les années 1940 à 1944 !
Parce que des chômeurs, des ouvriers, avec un pois chiche dans leur tête, se laissent endoctriner par des idées, absurdes ! Bien entendu qui le groupe UMP, ou le PS, ne font pas vraiment dans la différence, mais en attendant un parti véritable de travailleurs, il nous reste à voter pour le plus proche en propositions parfois mensongères !
CONSTRUCTION DE L'EUROPE
SUR LA PENSEE DE JEAN JAURES
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 27 mai 2014
Dédié à mes vénérables formateurs: Alain Tostain, Julio Cesar Aguirre, monsieur Areiza, et l'ensemble de professeurs de la faculté de sciences sociales de l'Université Pédagogique et Technologique de Pereira (Risaralda) en Colombie.
En ce centenaire de l’assassinat de Jean Jaurès qui a donné le signal de départ à l’effroyable Première Guerre mondiale, on met l’accent sur son combat pour la paix. Faut-il y voir la réalisation d’une action et d’une pensée de l’émancipation humaine ?
Alors que j'ai voulu voir un chocolat au distributeur automatique. Fidèle à mon engagement permanent au principe moteur de mon existante : (la recherche permanente de la compréhension du comportement des gens) Aujourd'hui mardi 27 de mai de l'année 2014 ; quand ma conscience commence à vivre le deuil de la douce utopie à laquelle aspirait le grand Jean Jaurès. Je mesure la monumentale portée du travail sournois des programmes d'éducation mathématiquement associés à la extirpation du discernement dans plus de 80 % des cerveaux des citoyens.
Est-t-il possible que la grandeur monumentale des principes pour lesquels des hommes (comment Jean Jaurès, Étienne de La Boétie, Jean-Jaques Rousseau, John Stuart Mill, Joseph E. Stigitz, Pierre Péan, Antoine Peillon, Marcel Conche, Hermann Scheer dans une liste non exhaustive de penseurs, et altruistes humaniste), auraient lutté au risque de leur vies, soit bafouée allègrement par la puissance d’à peine 3 % des gens, des banquiers, des Golmand Sach ?
Oui ! Un milliards de fois OUI !!!
De toute évidence à la lecture des opinions, des suffrages électoraux, des commentaires des ouvriers dans les usines, à la lecture de la politique européenne, vu le comportement des gouvernements "touts" néo-libéraux, qui se suivent et se succèdent à la tête de la France ! Oui !
Je mesure avec beaucoup de douleur, le trou béant qui s'accroît vertigineusement et dangereusement dans les consciences. L'ouvrier d'aujourd'hui, ne veut pas, n'a jamais reçu la moindre notion de conscience sociale, d'appartenance de classes. L'ouvrier d'aujourd'hui est juste éduqué pour s’intéresser "exclusivement" à la composition de sont équipe préféré au football, au rugby, à la pétanque. Tout au plus les consciences des classes populaires, vont intéresser à critiquer, l’accoutrement des proches, tout au plus à envier le revenu du voisin.
Les classes populaires de nous jours avouent, j'ai l'entendu textuel "ne pas avoir à se soucier du volume de revenu des plus riches" alors que des traders via la spéculation sur la valeur ajouté, les matières premières, peuvent récupérer 5, 10, 15 millions de dollar par an ?
C'est-à-dire que lorsque Lloyd Blankfein (président de la banque GOLMAD SACH) touche 44 018 478 US$ par an ; l'ouvrier bourguignon, quant à lui trouve plus intéressant et digne d'analyse l'équivalent de 0,082 % du salaire de monsieur Blankfein, qu'est le revenu d'un collègue d'environs 3000 €/moi dans l'entreprise où ils travaillent les deux.
Ce genre d'échanges me semblent très révélateurs non pas de la misère économique, mais de la misère intellectuelle des classes populaires, helas cette misère, est justement cette misère qui permet sans l'ombre d'un doute à des pauvres gens de voter en faveur des personnes que vont bien aller toucher leur chèque de 7000€/mois au parlement européenne, sans JAMAIS apporter la moindre contribution, ni au changement de la politique européenne ni moins encore en faveur de ceux même qu'auraient voté pour eux.
Pour quoi ?
Plus de 70 % des gens (les classes populaires, les classes moyennes) n'auraient de nous jours, plus de conscience sociale, conscience de classe ? Parce que la bourgeoisie, les nantis, ont réussi de manière sournoise, lente mais sure à enlever de l'éducation primaire, de l'éducation secondaire, les éléments, les principes, la substance qui permettez aux gens de s'éduquer dans la définition sociologique, philosophique du terme éducation. Nous avons des parfaits commentateurs de l'évolution des équipes de football, de rugby, parmi le plus modeste des ouvriers, mais de grâce n'aille pas lui demander le moindre commentaire sur l'évolution des rapport de production et de la valeur ajouté.
..." "L'histoire de toute société jusqu'à nos jours est l'histoire de luttes de classes.
Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de jurandes' et compagnon, bref oppresseurs et opprimés, en opposition constante, ont mené une lutte ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée, une lutte qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire de la société tout entière, soit par la disparition des deux classes en lutte"...
..."Nous assistons aujourd'hui à un processus analogue. Les rapports bourgeois de production et d'échange, de propriété, la société bourgeoise moderne, qui a fait surgir de si puissants moyens de production et d'échange, ressemble au sorcier qui ne sait plus dominer les puissances infernales qu'il a évoquées"...
Extrait d'un blog de philosphie :
Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), chap. I, trad. L. Lafargue revue par M. Kiitz, Éd. Sociales, bilingue, Paris, 1972, pp. 31-47.
1. Sous l'Ancien Régime, représentant d'une corporation professionnelle.
La conscience sociale, la conscience de classe, ce n'est pas un métier, ce n'est pas des pilules dans un pharmacie, ce n'est pas un article à côté du sucre, ou des tomates dans un supermarché ! La conscience sociale est la base de la cohérence des groupes d'intérêt économique, sociale et donc politique et syndicale. La conscience d'appartenance à une classe, doit être enseigné, de manière systématique aux enfants, car sans la conscience d'appartenir à une classe sociale, nous sommes comment des zombies, des moutons dociles, des écervelés, simples outils jetables au service du capital. Cher lecteur, chère lectrice, chers camarades, je rabâche la même rengaine depuis des années, c'est la principale raison de ma présence sur le web.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 27 mai 2014
Dédié à mes vénérables formateurs: Alain Tostain, Julio Cesar Aguirre, monsieur Areiza, et l'ensemble de professeurs de la faculté de sciences sociales de l'Université Pédagogique et Technologique de Pereira (Risaralda) en Colombie.
En ce centenaire de l’assassinat de Jean Jaurès qui a donné le signal de départ à l’effroyable Première Guerre mondiale, on met l’accent sur son combat pour la paix. Faut-il y voir la réalisation d’une action et d’une pensée de l’émancipation humaine ?
Alors que j'ai voulu voir un chocolat au distributeur automatique. Fidèle à mon engagement permanent au principe moteur de mon existante : (la recherche permanente de la compréhension du comportement des gens) Aujourd'hui mardi 27 de mai de l'année 2014 ; quand ma conscience commence à vivre le deuil de la douce utopie à laquelle aspirait le grand Jean Jaurès. Je mesure la monumentale portée du travail sournois des programmes d'éducation mathématiquement associés à la extirpation du discernement dans plus de 80 % des cerveaux des citoyens.
Est-t-il possible que la grandeur monumentale des principes pour lesquels des hommes (comment Jean Jaurès, Étienne de La Boétie, Jean-Jaques Rousseau, John Stuart Mill, Joseph E. Stigitz, Pierre Péan, Antoine Peillon, Marcel Conche, Hermann Scheer dans une liste non exhaustive de penseurs, et altruistes humaniste), auraient lutté au risque de leur vies, soit bafouée allègrement par la puissance d’à peine 3 % des gens, des banquiers, des Golmand Sach ?
Oui ! Un milliards de fois OUI !!!
De toute évidence à la lecture des opinions, des suffrages électoraux, des commentaires des ouvriers dans les usines, à la lecture de la politique européenne, vu le comportement des gouvernements "touts" néo-libéraux, qui se suivent et se succèdent à la tête de la France ! Oui !
Je mesure avec beaucoup de douleur, le trou béant qui s'accroît vertigineusement et dangereusement dans les consciences. L'ouvrier d'aujourd'hui, ne veut pas, n'a jamais reçu la moindre notion de conscience sociale, d'appartenance de classes. L'ouvrier d'aujourd'hui est juste éduqué pour s’intéresser "exclusivement" à la composition de sont équipe préféré au football, au rugby, à la pétanque. Tout au plus les consciences des classes populaires, vont intéresser à critiquer, l’accoutrement des proches, tout au plus à envier le revenu du voisin.
Les classes populaires de nous jours avouent, j'ai l'entendu textuel "ne pas avoir à se soucier du volume de revenu des plus riches" alors que des traders via la spéculation sur la valeur ajouté, les matières premières, peuvent récupérer 5, 10, 15 millions de dollar par an ?
C'est-à-dire que lorsque Lloyd Blankfein (président de la banque GOLMAD SACH) touche 44 018 478 US$ par an ; l'ouvrier bourguignon, quant à lui trouve plus intéressant et digne d'analyse l'équivalent de 0,082 % du salaire de monsieur Blankfein, qu'est le revenu d'un collègue d'environs 3000 €/moi dans l'entreprise où ils travaillent les deux.
Ce genre d'échanges me semblent très révélateurs non pas de la misère économique, mais de la misère intellectuelle des classes populaires, helas cette misère, est justement cette misère qui permet sans l'ombre d'un doute à des pauvres gens de voter en faveur des personnes que vont bien aller toucher leur chèque de 7000€/mois au parlement européenne, sans JAMAIS apporter la moindre contribution, ni au changement de la politique européenne ni moins encore en faveur de ceux même qu'auraient voté pour eux.
Pour quoi ?
Plus de 70 % des gens (les classes populaires, les classes moyennes) n'auraient de nous jours, plus de conscience sociale, conscience de classe ? Parce que la bourgeoisie, les nantis, ont réussi de manière sournoise, lente mais sure à enlever de l'éducation primaire, de l'éducation secondaire, les éléments, les principes, la substance qui permettez aux gens de s'éduquer dans la définition sociologique, philosophique du terme éducation. Nous avons des parfaits commentateurs de l'évolution des équipes de football, de rugby, parmi le plus modeste des ouvriers, mais de grâce n'aille pas lui demander le moindre commentaire sur l'évolution des rapport de production et de la valeur ajouté.
..." "L'histoire de toute société jusqu'à nos jours est l'histoire de luttes de classes.
Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de jurandes' et compagnon, bref oppresseurs et opprimés, en opposition constante, ont mené une lutte ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée, une lutte qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire de la société tout entière, soit par la disparition des deux classes en lutte"...
..."Nous assistons aujourd'hui à un processus analogue. Les rapports bourgeois de production et d'échange, de propriété, la société bourgeoise moderne, qui a fait surgir de si puissants moyens de production et d'échange, ressemble au sorcier qui ne sait plus dominer les puissances infernales qu'il a évoquées"...
Extrait d'un blog de philosphie :
Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), chap. I, trad. L. Lafargue revue par M. Kiitz, Éd. Sociales, bilingue, Paris, 1972, pp. 31-47.
1. Sous l'Ancien Régime, représentant d'une corporation professionnelle.
La conscience sociale, la conscience de classe, ce n'est pas un métier, ce n'est pas des pilules dans un pharmacie, ce n'est pas un article à côté du sucre, ou des tomates dans un supermarché ! La conscience sociale est la base de la cohérence des groupes d'intérêt économique, sociale et donc politique et syndicale. La conscience d'appartenance à une classe, doit être enseigné, de manière systématique aux enfants, car sans la conscience d'appartenir à une classe sociale, nous sommes comment des zombies, des moutons dociles, des écervelés, simples outils jetables au service du capital. Cher lecteur, chère lectrice, chers camarades, je rabâche la même rengaine depuis des années, c'est la principale raison de ma présence sur le web.
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Pour quoi progresse l’extrémisme
Quand l’extrémisme gagne du terrain
Les faux prophètes, les fausses idéologies, gagnent des adeptes à condition que ceux-ci, soient faibles.
Le mensonge sous quelque forme qu’elle soit ne atteint que ceux et celles disposant d’un niveau frêle de connaissances.
Pour rester capable de me regarder dans la glace, pour être sincère et impartial, alors je dois admettre la vision du philosophe MARCE CONCHE quand à sa vision de la démocratie
C’est depuis le centre même de la machine, qu’une voix se lève pour nous prévenir, car Joseph E. Stigitz ayant travaillait pour le FMI ayant incorporé le conseil économique à la maison blanche, maintient un discours très dépuré, très claire quand aux défaut, risques et conséquences de la pensée néolibérale.
Mais d’après les observations des comices électoraux en France et ailleurs, il est certain que l’état des consciences semble plutôt proche de celle des zombies que des consciences tel que le souhaite René Descartes dans sont " discours de la méthode ".
Voilà pourquoi je crains comment HERANN SCHEER, que les ennemis de l’équilibre et la paix sociale aillent des longues années de prospérité devant eux.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Dimanche 8 juin 2014
Les faux prophètes, les fausses idéologies, gagnent des adeptes à condition que ceux-ci, soient faibles.
Le mensonge sous quelque forme qu’elle soit ne atteint que ceux et celles disposant d’un niveau frêle de connaissances.
Pour rester capable de me regarder dans la glace, pour être sincère et impartial, alors je dois admettre la vision du philosophe MARCE CONCHE quand à sa vision de la démocratie
C’est depuis le centre même de la machine, qu’une voix se lève pour nous prévenir, car Joseph E. Stigitz ayant travaillait pour le FMI ayant incorporé le conseil économique à la maison blanche, maintient un discours très dépuré, très claire quand aux défaut, risques et conséquences de la pensée néolibérale.
Mais d’après les observations des comices électoraux en France et ailleurs, il est certain que l’état des consciences semble plutôt proche de celle des zombies que des consciences tel que le souhaite René Descartes dans sont " discours de la méthode ".
Voilà pourquoi je crains comment HERANN SCHEER, que les ennemis de l’équilibre et la paix sociale aillent des longues années de prospérité devant eux.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Dimanche 8 juin 2014
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Date d'inscription : 21/02/2009
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