PRAXIS PRAGMATISME ET POLITIQUE
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PRAXIS PRAGMATISME ET POLITIQUE
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IV. Rapports de force et « utopie »
écrit par E. BAROT voir lien en bas (document propriété intellectuel de l'auteur) j'ai pris le plaisir de lire dans un forum un sujet de politique et sociologie qui me semble digne de la connaissance de tout ouvrier ou chômeur en France et dans le monde.
i. Le primat de la force
La question n’est en tous cas pas de remettre en cause le suffrage universel, essentiel pour tout régime possiblement non représentatif, mais le magnifier est fort dangereux également : c’est aussi grâce au SU que des régimes fascistes sont nés.
Le sens et la justification éventuelle de l’injonction démocratique aujourd’hui ne saurait de toutes façons pas se suffire de l’appel à la souveraineté populaire.
Mon idée est que, si l’on veut radicaliser la lutte démocratique, l’on ne peut pas la « justifier » : C’est et cela restera à ce petit peuple sans droit de s’arroger le droit : autrement dit, tout est une question de rapport de forces et de qui imposera quoi, et de comment il l’imposera en fonction du « quoi » qu’il aura la volonté de vouloir faire advenir.
La première opération consistera à assumer cette nécessité de la force. Que cela se fasse au nom des droits de l’homme est une chose, qu’on utilise les structures juridiques en place pour défendre certaines libertés, certes : mais l’histoire nous montre que c’est toujours au fond la force qui fait le droit et que celui-ci vient toujours après.
La configuration politique actuelle est hautement ouverte même si, excepté l’hiver 2005-2006, le trait dominant des révoltes collectives des trente dernières années reste pour l’instant celui d’un arrêt avant l’affrontement réel : « réel » signifiant ici qui serait à nouveau capable de produire de l’irréversible.
Pourquoi ce non-passage à l’acte ? Nous avons quitté le matin du grand soir : la somme de défaites, d’errances accumulées, l’état déplorable du monde, le marasme intellectuel global des pensées de gauche, fait que l’espoir en un autre avenir a disparu.
Or, seul cet espoir serait synonyme d’un « tout à gagner » apte à supplanter ce que nous avons à perdre : lequel pousse logiquement en attendant à finalement choisir la soumission à l’ordre ambiant, quand cette soumission n’est pas carrément le choix initial.
La responsabilité historique de la social-démocratie est ici flagrante, et la situation actuelle partage nombre de traits avec celle d’il y a une trentaine d’années.
Il n’est donc pas étonnant que traditionnellement comme actuellement de façon intensifiée, cette social-démocratie participe activement avec son idiome propre, à ces ensemble de raccourcis révisionnistes qui continuent de délégitimer d’emblée toute remise en cause réelle de la société actuelle, immédiatement jugée comme par essence génératrice de machines terrorisantes.
Revenir aux racines de l’idéologie contemporaine, mettre en évidence, encore et toujours, le ciment du bloc idéologique hégémonique, revient donc à montrer à quel point ce révisionnisme politico-historique général, qui mélange formes de résistances et types de violences politiques qualitativement différentes, fait corps, au plus haut degré des nos oligarchies, avec la rhétorique de la « défense de la démocratie ».
On pourra d’une part « sourire des invectives grossières des valets de plume et de la protection sentencieuse des doctrinaires bourgeois bien intentionnés qui débitent leurs platitudes d’ignorants et leurs marottes de sectaires, sur le ton d’oracle de l’infaillibilité scientifique. »
Mais quand ces valets se font offensifs chiens de garde, on ne peut plus se contenter de sourire.
ii. Le danger de l’utopie
On comprend alors facilement le danger majeur que représente toute tentative de ré institution d’un possible politique, ou même d’un impossible utopique – la politique comme art de l’impossible nous dit S. Zizek .
La remise en cause réelle de l’ordre oligarchique corrélative de ce danger est certes immédiatement disqualifiée, au nom de la « démocratie » et d’un principe de « responsabilité » et de « réalité » qui a déjà choisi la réalité considérée comme pertinente.
D’aucuns rétorquent en permanence à ceux qui luttent qu’ils n’ont pas de « programme alternatif » : mais le black-out réalisé sur les forces de contre-propositions (pour sortir de la déliquescence de l’Université actuelle, par exemple), et le fait qu’un tel programme ne se décrète pas, sont deux premiers éléments à garder à l’esprit.
Plus généralement, derrière des slogans comme « Vive la Commune ! » visibles en manifestations, il y a aussi et surtout une posture, qui, quels que soient les biais par lesquels elle s’exprime, est celle du souci de rappeler qu’une autre façon de voir les choses, plus exigeante, plus émancipatrice, est une condition nécessaire de la vie collective.
La question n’est donc pas de défendre contre les tenants d’un « réalisme » plus ou moins pragmatique, plus ou moins offensif ou désabusé, un quelconque « principe utopie » qu’il disqualifient par principe, mais plutôt de voir que l’activité utopisante, bien plus que par ses contenus variés, est avant tout, comme l’explique le philosophie américain F. Jameson, méthode , opération dont la fonction est de faire éclater les limites imposées à la « bonne » imagination consensuelle, c’est-à-dire de nous renvoyer au visage notre imagination bridée, et nous pousser par là à reconstruire un sens du futur instillant au moins l’idée toute simple qu’il n’y a pas d’inéluctabilité, capitaliste en particulier. Décrypter les mécanismes idéologiques hégémoniques, les nouvelles « propagandes du quotidien » (É. Hazan ) est toujours aussi utile mais la mystification ne tient pas tant au contenu des représentations véhiculées qu’à la façon dont on formate les individus lambda à les recevoir : à savoir comme les seules possibles. Formatage et répression idéologiques dont par essence les logiques utopisantes sont la cible, et réciproquement. Marx l’écrivait déjà de façon limpide dans La guerre civile en France :
« La classe ouvrière n’espérait pas des miracles de la Commune. Elle n’a pas d’utopies toute faites à introduire par décret du peuple… Elle n’a pas à réaliser d’idéal, mais seulement à libérer les éléments de la société nouvelle que porte dans ses flancs la vieille société bourgeoise qui s’effondre »
Si donc le passage à l’acte de la puissance démocratique reprend une vigueur politique sous le sceau d’un sens du futur reconquis, cet activisme revu et corrigé ne véhiculera nécessairement qu’une esquisse de programme, ne saura être qu’une création continuée dont on ne peut donc pas présager des formes possibles : la Commune, ou tout autre nom qu’on pourra lui donner, reste à construire et à écrire. Contre le « réalisme », et la raison cynique d’une côté, le « narcissisme de la défaite » (Zizek) de l’autre, réveiller ce sens de la possibilité de l’impossible implique alors corrélativement de se rappeler qu’on ne peut donc pas non plus présager des moyens possibles qui seront les siens, lesquels seront fonction de l’ordre en place qui vendra chèrement sa peau, et de la façon dont elle la vendra. C’est de ce point de vue là que se ré-pose la question de la violence comme possible politique qui ne saurait être a priori rejeté.
Ouverture : résister et passer à l’acte contre la « Police » de l’accumulation
« Voter, ne pas voter, c’est pareil.
S’abstenir, en effet, c’est confirmer la majorité nouvelle, quelle qu’elle soit.
Quoi qu’on fasse à ce sujet, on n’aura rien fait si l’on ne lutte en même temps, cela veut dire dès aujourd’hui, contre le système de la démocratie indirecte qui nous réduit délibérément à l’impuissance en tentant, chacun selon ses ressources, d’organiser le vaste mouvement antihiérarchique qui conteste partout les institutions. » (Sartre)
C’est-à-dire ? Déjà, participer à cette reconstruction d’un nouveau sens du futur, l’autre visage d’un dépassement conséquent des défaites des luttes démocratiques, contre les mythes de la fin de l’histoire ou des idéologies autant que les mythes du « Grand soir ».
Ceci constitue aujourd’hui un élément essentiel de toute prospective théorico-pratique conforme aux exigences d’une lutte de classes aussi instruite qu’offensive.
Et si la démocratie est alors à penser contre la fiction de cet « espace public » confiné dont on nous rabâche les vertus, notre effort quotidien sera encore et toujours de lutter contre ce que Rancière appelle la « Police », la répression organisée, qui ne dit pas son nom, contre tout ce qui combat la logique d’accumulation privée des espaces possiblement communs – comme une université.
Résister à la priva(tisa)tion, et de façon plus offensive, dé-privatiser et réoccuper les espaces en question, ces espaces privés et privatisés qui n’ont aucune raison de l’être (comme les usines) puisque cette contradiction est le cœur du politique, localement comme mondialement.
Sartre rappelait qu’« Il n’y a pas des intellectuels et des masses.
Il y a des gens, qui veulent des choses, et en ce sens, ils sont tous égaux », même s’ils veulent des choses incompatibles.
Et ces rapports de forces peuvent bien sûr être violents : cette violence plus largement est la hantise du politique.
La violence de ceux qui résistent, ne saurait malgré tout être mise sur le même plan que la violence de ceux agressent : assimiler les deux, c’est de la malhonnêteté pure et simple, au moins en ce que cela consiste à refuser de voir le problème, et donc à marteler qu’il n’y a pas de problème social, mais seulement un problème de voyous (comme Sarkozy le dit depuis longtemps au sujet des émeutes de banlieues).
La question qui se pose sera de savoir si nous, les quelconques, serons capables d’accomplir les médiations suffisantes pour cette libération, pour conspirer efficacement, une fois encore, jusqu’à libérer l’Enfermé (Blanqui) : de nous réorganiser jusqu’à « désarmer la bourgeoisie, armer le peuple » avec les armes du XXIe siècle. En ces temps de populisme autoritaire et de politique socio-économique de la terre brûlée, il se pourrait que les occasions ne manquent pas de se poser concrètement la question : dès lors, nous verrons si nous sommes prêts à prendre les coups qu’un tel engagement impliquera.
La néo-punk Ruda Salska le chantait il y a peu dans Le bruit du bang : « Du lance-pierre au lance-flammes tout peut vite basculer »
E. Barot
http://toulouse-philo.forumpro.fr/msg.forum?mode=post&u=2
IV. Rapports de force et « utopie »
écrit par E. BAROT voir lien en bas (document propriété intellectuel de l'auteur) j'ai pris le plaisir de lire dans un forum un sujet de politique et sociologie qui me semble digne de la connaissance de tout ouvrier ou chômeur en France et dans le monde.
i. Le primat de la force
La question n’est en tous cas pas de remettre en cause le suffrage universel, essentiel pour tout régime possiblement non représentatif, mais le magnifier est fort dangereux également : c’est aussi grâce au SU que des régimes fascistes sont nés.
Le sens et la justification éventuelle de l’injonction démocratique aujourd’hui ne saurait de toutes façons pas se suffire de l’appel à la souveraineté populaire.
Mon idée est que, si l’on veut radicaliser la lutte démocratique, l’on ne peut pas la « justifier » : C’est et cela restera à ce petit peuple sans droit de s’arroger le droit : autrement dit, tout est une question de rapport de forces et de qui imposera quoi, et de comment il l’imposera en fonction du « quoi » qu’il aura la volonté de vouloir faire advenir.
La première opération consistera à assumer cette nécessité de la force. Que cela se fasse au nom des droits de l’homme est une chose, qu’on utilise les structures juridiques en place pour défendre certaines libertés, certes : mais l’histoire nous montre que c’est toujours au fond la force qui fait le droit et que celui-ci vient toujours après.
La configuration politique actuelle est hautement ouverte même si, excepté l’hiver 2005-2006, le trait dominant des révoltes collectives des trente dernières années reste pour l’instant celui d’un arrêt avant l’affrontement réel : « réel » signifiant ici qui serait à nouveau capable de produire de l’irréversible.
Pourquoi ce non-passage à l’acte ? Nous avons quitté le matin du grand soir : la somme de défaites, d’errances accumulées, l’état déplorable du monde, le marasme intellectuel global des pensées de gauche, fait que l’espoir en un autre avenir a disparu.
Or, seul cet espoir serait synonyme d’un « tout à gagner » apte à supplanter ce que nous avons à perdre : lequel pousse logiquement en attendant à finalement choisir la soumission à l’ordre ambiant, quand cette soumission n’est pas carrément le choix initial.
La responsabilité historique de la social-démocratie est ici flagrante, et la situation actuelle partage nombre de traits avec celle d’il y a une trentaine d’années.
Il n’est donc pas étonnant que traditionnellement comme actuellement de façon intensifiée, cette social-démocratie participe activement avec son idiome propre, à ces ensemble de raccourcis révisionnistes qui continuent de délégitimer d’emblée toute remise en cause réelle de la société actuelle, immédiatement jugée comme par essence génératrice de machines terrorisantes.
Revenir aux racines de l’idéologie contemporaine, mettre en évidence, encore et toujours, le ciment du bloc idéologique hégémonique, revient donc à montrer à quel point ce révisionnisme politico-historique général, qui mélange formes de résistances et types de violences politiques qualitativement différentes, fait corps, au plus haut degré des nos oligarchies, avec la rhétorique de la « défense de la démocratie ».
On pourra d’une part « sourire des invectives grossières des valets de plume et de la protection sentencieuse des doctrinaires bourgeois bien intentionnés qui débitent leurs platitudes d’ignorants et leurs marottes de sectaires, sur le ton d’oracle de l’infaillibilité scientifique. »
Mais quand ces valets se font offensifs chiens de garde, on ne peut plus se contenter de sourire.
ii. Le danger de l’utopie
On comprend alors facilement le danger majeur que représente toute tentative de ré institution d’un possible politique, ou même d’un impossible utopique – la politique comme art de l’impossible nous dit S. Zizek .
La remise en cause réelle de l’ordre oligarchique corrélative de ce danger est certes immédiatement disqualifiée, au nom de la « démocratie » et d’un principe de « responsabilité » et de « réalité » qui a déjà choisi la réalité considérée comme pertinente.
D’aucuns rétorquent en permanence à ceux qui luttent qu’ils n’ont pas de « programme alternatif » : mais le black-out réalisé sur les forces de contre-propositions (pour sortir de la déliquescence de l’Université actuelle, par exemple), et le fait qu’un tel programme ne se décrète pas, sont deux premiers éléments à garder à l’esprit.
Plus généralement, derrière des slogans comme « Vive la Commune ! » visibles en manifestations, il y a aussi et surtout une posture, qui, quels que soient les biais par lesquels elle s’exprime, est celle du souci de rappeler qu’une autre façon de voir les choses, plus exigeante, plus émancipatrice, est une condition nécessaire de la vie collective.
La question n’est donc pas de défendre contre les tenants d’un « réalisme » plus ou moins pragmatique, plus ou moins offensif ou désabusé, un quelconque « principe utopie » qu’il disqualifient par principe, mais plutôt de voir que l’activité utopisante, bien plus que par ses contenus variés, est avant tout, comme l’explique le philosophie américain F. Jameson, méthode , opération dont la fonction est de faire éclater les limites imposées à la « bonne » imagination consensuelle, c’est-à-dire de nous renvoyer au visage notre imagination bridée, et nous pousser par là à reconstruire un sens du futur instillant au moins l’idée toute simple qu’il n’y a pas d’inéluctabilité, capitaliste en particulier. Décrypter les mécanismes idéologiques hégémoniques, les nouvelles « propagandes du quotidien » (É. Hazan ) est toujours aussi utile mais la mystification ne tient pas tant au contenu des représentations véhiculées qu’à la façon dont on formate les individus lambda à les recevoir : à savoir comme les seules possibles. Formatage et répression idéologiques dont par essence les logiques utopisantes sont la cible, et réciproquement. Marx l’écrivait déjà de façon limpide dans La guerre civile en France :
« La classe ouvrière n’espérait pas des miracles de la Commune. Elle n’a pas d’utopies toute faites à introduire par décret du peuple… Elle n’a pas à réaliser d’idéal, mais seulement à libérer les éléments de la société nouvelle que porte dans ses flancs la vieille société bourgeoise qui s’effondre »
Si donc le passage à l’acte de la puissance démocratique reprend une vigueur politique sous le sceau d’un sens du futur reconquis, cet activisme revu et corrigé ne véhiculera nécessairement qu’une esquisse de programme, ne saura être qu’une création continuée dont on ne peut donc pas présager des formes possibles : la Commune, ou tout autre nom qu’on pourra lui donner, reste à construire et à écrire. Contre le « réalisme », et la raison cynique d’une côté, le « narcissisme de la défaite » (Zizek) de l’autre, réveiller ce sens de la possibilité de l’impossible implique alors corrélativement de se rappeler qu’on ne peut donc pas non plus présager des moyens possibles qui seront les siens, lesquels seront fonction de l’ordre en place qui vendra chèrement sa peau, et de la façon dont elle la vendra. C’est de ce point de vue là que se ré-pose la question de la violence comme possible politique qui ne saurait être a priori rejeté.
Ouverture : résister et passer à l’acte contre la « Police » de l’accumulation
« Voter, ne pas voter, c’est pareil.
S’abstenir, en effet, c’est confirmer la majorité nouvelle, quelle qu’elle soit.
Quoi qu’on fasse à ce sujet, on n’aura rien fait si l’on ne lutte en même temps, cela veut dire dès aujourd’hui, contre le système de la démocratie indirecte qui nous réduit délibérément à l’impuissance en tentant, chacun selon ses ressources, d’organiser le vaste mouvement antihiérarchique qui conteste partout les institutions. » (Sartre)
C’est-à-dire ? Déjà, participer à cette reconstruction d’un nouveau sens du futur, l’autre visage d’un dépassement conséquent des défaites des luttes démocratiques, contre les mythes de la fin de l’histoire ou des idéologies autant que les mythes du « Grand soir ».
Ceci constitue aujourd’hui un élément essentiel de toute prospective théorico-pratique conforme aux exigences d’une lutte de classes aussi instruite qu’offensive.
Et si la démocratie est alors à penser contre la fiction de cet « espace public » confiné dont on nous rabâche les vertus, notre effort quotidien sera encore et toujours de lutter contre ce que Rancière appelle la « Police », la répression organisée, qui ne dit pas son nom, contre tout ce qui combat la logique d’accumulation privée des espaces possiblement communs – comme une université.
Résister à la priva(tisa)tion, et de façon plus offensive, dé-privatiser et réoccuper les espaces en question, ces espaces privés et privatisés qui n’ont aucune raison de l’être (comme les usines) puisque cette contradiction est le cœur du politique, localement comme mondialement.
Sartre rappelait qu’« Il n’y a pas des intellectuels et des masses.
Il y a des gens, qui veulent des choses, et en ce sens, ils sont tous égaux », même s’ils veulent des choses incompatibles.
Et ces rapports de forces peuvent bien sûr être violents : cette violence plus largement est la hantise du politique.
La violence de ceux qui résistent, ne saurait malgré tout être mise sur le même plan que la violence de ceux agressent : assimiler les deux, c’est de la malhonnêteté pure et simple, au moins en ce que cela consiste à refuser de voir le problème, et donc à marteler qu’il n’y a pas de problème social, mais seulement un problème de voyous (comme Sarkozy le dit depuis longtemps au sujet des émeutes de banlieues).
La question qui se pose sera de savoir si nous, les quelconques, serons capables d’accomplir les médiations suffisantes pour cette libération, pour conspirer efficacement, une fois encore, jusqu’à libérer l’Enfermé (Blanqui) : de nous réorganiser jusqu’à « désarmer la bourgeoisie, armer le peuple » avec les armes du XXIe siècle. En ces temps de populisme autoritaire et de politique socio-économique de la terre brûlée, il se pourrait que les occasions ne manquent pas de se poser concrètement la question : dès lors, nous verrons si nous sommes prêts à prendre les coups qu’un tel engagement impliquera.
La néo-punk Ruda Salska le chantait il y a peu dans Le bruit du bang : « Du lance-pierre au lance-flammes tout peut vite basculer »
E. Barot
http://toulouse-philo.forumpro.fr/msg.forum?mode=post&u=2
Campagne politique
Campagne politique
Je suis en train de regarder une rediffusion du discours de candidats à Hénin-Beaumont, grâce aux services de La Chaîne Parlementaire.
Quel talent, quel niveau de rhétorique !
D'un côté nulle doute un excès de confiance sur la base des notions sacrés où l'humanisme et l'altruisme ont une grade place. Nulle doute que ces deux principes sont le pilier même de l'idéologie de la gauche.
De l'autre côté je ne m'étonne pas qu'il soit possible fonder toute une idéologie sur la base de la xénophobe !
La vérité reste difficile de trouver entre deux extrêmes là, d'un coté l'extrême droite, de l'autre nous avons un discours avec origine sur les racines mêmes de certains peuples ; car beaucoup de villes de France se sont développés à une époque en que la démographie française et l'évolution industrielle exigent beaucoup plus de main d'œuvre que de nous jours. Époque donc à laquelle les gens de la Pologne, la Yougoslavie, l'Italie, L’Espagne venaient pour combler le manque de main d'œuvre français.
Reste fondamentale ici, que chaque personnes assume une sorte d'acte de contrition vis à vis de tant de gens, vis à vis de leurs ancêtres, venus de tant des pays, et qui auraient contribué de leur vies, de leurs mains, à fomenter la valeur de la France, splendeur de sont histoire.
Il est impossible de construire, toute une campagne présidentielle sur un seul sujet : qui plus est, supporté sur la haine, la xénophobe, cela étant, il est possible de concevoir certains discours, si et seul si ils sont adressés à des béotiens, à des zombies, fruit d'une éducation ciblée, en vers des classes populaires, éducation à laquelle, l’hégémonie droite-gauche aurait réussi à extirper la capacité à discerner. Car je comprendre sans trop de difficulté que lorsque dans notre sang coule du sang d'ancêtres polonais, italien, portugaise, yougoslave, marocaine, tunisien ou d'un autre quelconque nation, nous ne pouvons le nier. Nous ne pouvons pas oublier que nos ancêtres, sont venus et auraient donné leur vie.
Aujourd'hui des gens écervelés, des gens auxquels la notion d'histoire ou des notions d'altruisme et humanisme leur semblent absurdes, des gens sans véritable éducation, sans véritable culture, sans la moindre notion d'appartenance à une classe sociale ; ces gens-là, osent sans aucune gêne voter pour un courant d'extrême droite.
Mais la gauche a-t-elle raison ?
Non, sans doute la gauche tel qu'elle aura réussi à briguer le fauteuil de l’Élysée en 2012, n'est pas tout à fait la gauche idéale. Sauf que si le lecteur, prends le temps de lire la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen », Si le lecteur prends la peine au moins de lire les articles du début de la constitution, alors il peu sans difficulté se rendre compte des fondements de la vraie gauche.
Allons plus loin l'extrême droite prend ses bases sur tout ce qu'est contraire aux principes de la république, sur tout ce qu'est contraire à la déclaration universelle des droits de l'homme!
Je suis en train de regarder une rediffusion du discours de candidats à Hénin-Beaumont, grâce aux services de La Chaîne Parlementaire.
Quel talent, quel niveau de rhétorique !
D'un côté nulle doute un excès de confiance sur la base des notions sacrés où l'humanisme et l'altruisme ont une grade place. Nulle doute que ces deux principes sont le pilier même de l'idéologie de la gauche.
De l'autre côté je ne m'étonne pas qu'il soit possible fonder toute une idéologie sur la base de la xénophobe !
La vérité reste difficile de trouver entre deux extrêmes là, d'un coté l'extrême droite, de l'autre nous avons un discours avec origine sur les racines mêmes de certains peuples ; car beaucoup de villes de France se sont développés à une époque en que la démographie française et l'évolution industrielle exigent beaucoup plus de main d'œuvre que de nous jours. Époque donc à laquelle les gens de la Pologne, la Yougoslavie, l'Italie, L’Espagne venaient pour combler le manque de main d'œuvre français.
Reste fondamentale ici, que chaque personnes assume une sorte d'acte de contrition vis à vis de tant de gens, vis à vis de leurs ancêtres, venus de tant des pays, et qui auraient contribué de leur vies, de leurs mains, à fomenter la valeur de la France, splendeur de sont histoire.
Il est impossible de construire, toute une campagne présidentielle sur un seul sujet : qui plus est, supporté sur la haine, la xénophobe, cela étant, il est possible de concevoir certains discours, si et seul si ils sont adressés à des béotiens, à des zombies, fruit d'une éducation ciblée, en vers des classes populaires, éducation à laquelle, l’hégémonie droite-gauche aurait réussi à extirper la capacité à discerner. Car je comprendre sans trop de difficulté que lorsque dans notre sang coule du sang d'ancêtres polonais, italien, portugaise, yougoslave, marocaine, tunisien ou d'un autre quelconque nation, nous ne pouvons le nier. Nous ne pouvons pas oublier que nos ancêtres, sont venus et auraient donné leur vie.
Aujourd'hui des gens écervelés, des gens auxquels la notion d'histoire ou des notions d'altruisme et humanisme leur semblent absurdes, des gens sans véritable éducation, sans véritable culture, sans la moindre notion d'appartenance à une classe sociale ; ces gens-là, osent sans aucune gêne voter pour un courant d'extrême droite.
Mais la gauche a-t-elle raison ?
Non, sans doute la gauche tel qu'elle aura réussi à briguer le fauteuil de l’Élysée en 2012, n'est pas tout à fait la gauche idéale. Sauf que si le lecteur, prends le temps de lire la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen », Si le lecteur prends la peine au moins de lire les articles du début de la constitution, alors il peu sans difficulté se rendre compte des fondements de la vraie gauche.
Allons plus loin l'extrême droite prend ses bases sur tout ce qu'est contraire aux principes de la république, sur tout ce qu'est contraire à la déclaration universelle des droits de l'homme!
Sur Manuel Valls et la politique
SANS LANGUE DE BOIS
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cereté Cordoba Colombie dimanche 20 octobre 2013
Sans doute que le néo-libéralisme très en bogue, influence sans peine une bonne partie de la politique pour nombre de pays donc la France reste obligé d’adhérer.
Non seul il est utopique mais à court terme dangereuse la mise en place d'une politique stricto sensu calquée sur la Charte Magne de la République (la constitution).
J'aurai un comportement puéril, voir irresponsable, si je tente de lutter en influençant l'opinion sur ce qu'est une réalité inébranlable, sauf si chaque lecteur aurait pris le temps de lire l'intégralité d'un texte publié en 1554 à l'âge de 18 ans par Étienne de la Boétie (1) et chaque lecteur aurait pris le temps de digérer la pensée de grandes personnalités, qui me sont très chères, sans la moindre prétention : Jean Jaurès, Jean Jacques Rousseau, Edouard Tétrea (2), Antoine Peillon (3), Joseph Stiglitz (4), sans être exhaustif
Dans l'état actuelle des choses, une évolution favorable de la société, avec délimitation stricte des classes populaires, reste impossible !
Un tribun
Je ne crois pas qu'un tribun soit efficient du point de vue purement du suffrage, parce que quel qu'il soit sont discours, et quel qu'il soit le poids de sont argumentation, au fait il se traduit par une longue liste de mots, sans queue ni tête ! Car l'auditorium n'est nullement préparé, pour assimiler, monsieur Mélanchon parle en une autre langue : c'est comment si je parlait en chinois à des pauvres gens de Hénin-Beaumont.
Dans une vidéo disponible sur YOUTUBE, un auditeur pendant le temps des interventions du publique dit : « pensez-y si touts les citoyens, s'accordent pour arrêter de consommer une marque ? »
La vidéo dure deux heures et seize minutes me semble, et dédié à expliquer l'économie, donc elle est déjà trop longue pour qu'un béotien, un quidam, comment moi, ait la moindre envie de la regarder !
Les militant PCF de Paris
Auraient sans doute compris comment moi en acquérant la carte du Partie Socialiste, qu'il est mieux faire le choix qui nous ferait moins mal, non pas le choix idéal, il est nulle doute très dangereuse laisser de la place à l'extrême droite, trop de terrain. Hélas, le FN dans les circonstances macroéconomiques proches de l'après 1929, continuera à progresser « logiquement » car je ne cesse pas de le souligner : « avec la misère économique, s'accroît dangereusement la misère intellectuelle ». Nier ou tenter de faire l'autruche vis à vis de cette inexorable réalité me semble plus qu'absurde d'un danger majeur pour la société !
Ce qu'il faut comprendre sur la politique
Sur le ministre Manuel Valls
Non ! Sans doute le ministre de l'intérieur n'a commis aucun erreur en tant que personne civil, pour l’occasion à la tête d'un machine, la machine la plus puissante, puisqu'il est à la tête des entités tel que l'ensemble de services de polices de la France !
Non ! Je ne peu pas dénigrer du rôle du ministre de l'intérieur !
Par contre PERSONNE est en mesure d'argumenter le MOINS DU MONDE contre mon point de vue :
Alors que toute la puissance d'une nation de la magnitude de la France est déployée par le Front National, par le groupe UMP, et par d'autres... contre des minorités ethnique ; des milliards de milliards d'euros, évadent la fiscalité.
Par des méthodes introduits par la voie de lobby en partie dans le CGI donc en partie rendus légitimes, ainsi que d'autres méthodes qui peuvent être punis pénalement, par des gens en majorités très influents voir placés pour beaucoup dans des cercles proches du pouvoir.
Hélas, il aura ceux qui dirons « mais non c'est pas le sujet »
Mais moi je constate que tout est fait dans les hautes sphères du pouvoir pour éviter que la justice puise faire un travail impartial et juste ! Les plus faibles subissent tout le poids de la loi, les plus forts s'en moquent éperdument de la notion de justice !
Voilà que 150000 mille comptes sont identifiés dans des paradis fiscaux mais le gouvernement de droite ou de gauche, freine l'action des juges ! Au même temps, l'on demande aux français de payer plus d'impôts !
(1) http://classiques.uqac.ca/classiques/la_boetie_etienne_de/discours_de_la_servitude/discours_servitude.html
(2) http://www.notre-ecole.net/edouard-tetreau-20000-milliards-de-dollars/
(3) http://www.decitre.fr/livres/ces-600-milliards-qui-manquent-a-la-france-9782021081220.html
(4) http://cdurable.info/Le-triomphe-de-la-cupidite-Joseph-Stiglitz-Crise-Economie,2351.html
Ce sont des livres qui devraient exister dans la bibliothèque de chaque personne membre des classes populaires! C'est une utopie?
Alors vu qu'il y a un prix, prenez le temps de visionner GRATUIT :
LET'S MAKE MONEY
'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique» par Myret Zaki et Etienne Chouard
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cereté Cordoba Colombie dimanche 20 octobre 2013
Sans doute que le néo-libéralisme très en bogue, influence sans peine une bonne partie de la politique pour nombre de pays donc la France reste obligé d’adhérer.
Non seul il est utopique mais à court terme dangereuse la mise en place d'une politique stricto sensu calquée sur la Charte Magne de la République (la constitution).
J'aurai un comportement puéril, voir irresponsable, si je tente de lutter en influençant l'opinion sur ce qu'est une réalité inébranlable, sauf si chaque lecteur aurait pris le temps de lire l'intégralité d'un texte publié en 1554 à l'âge de 18 ans par Étienne de la Boétie (1) et chaque lecteur aurait pris le temps de digérer la pensée de grandes personnalités, qui me sont très chères, sans la moindre prétention : Jean Jaurès, Jean Jacques Rousseau, Edouard Tétrea (2), Antoine Peillon (3), Joseph Stiglitz (4), sans être exhaustif
Dans l'état actuelle des choses, une évolution favorable de la société, avec délimitation stricte des classes populaires, reste impossible !
Un tribun
Je ne crois pas qu'un tribun soit efficient du point de vue purement du suffrage, parce que quel qu'il soit sont discours, et quel qu'il soit le poids de sont argumentation, au fait il se traduit par une longue liste de mots, sans queue ni tête ! Car l'auditorium n'est nullement préparé, pour assimiler, monsieur Mélanchon parle en une autre langue : c'est comment si je parlait en chinois à des pauvres gens de Hénin-Beaumont.
Dans une vidéo disponible sur YOUTUBE, un auditeur pendant le temps des interventions du publique dit : « pensez-y si touts les citoyens, s'accordent pour arrêter de consommer une marque ? »
La vidéo dure deux heures et seize minutes me semble, et dédié à expliquer l'économie, donc elle est déjà trop longue pour qu'un béotien, un quidam, comment moi, ait la moindre envie de la regarder !
Les militant PCF de Paris
Auraient sans doute compris comment moi en acquérant la carte du Partie Socialiste, qu'il est mieux faire le choix qui nous ferait moins mal, non pas le choix idéal, il est nulle doute très dangereuse laisser de la place à l'extrême droite, trop de terrain. Hélas, le FN dans les circonstances macroéconomiques proches de l'après 1929, continuera à progresser « logiquement » car je ne cesse pas de le souligner : « avec la misère économique, s'accroît dangereusement la misère intellectuelle ». Nier ou tenter de faire l'autruche vis à vis de cette inexorable réalité me semble plus qu'absurde d'un danger majeur pour la société !
Ce qu'il faut comprendre sur la politique
Sur le ministre Manuel Valls
Non ! Sans doute le ministre de l'intérieur n'a commis aucun erreur en tant que personne civil, pour l’occasion à la tête d'un machine, la machine la plus puissante, puisqu'il est à la tête des entités tel que l'ensemble de services de polices de la France !
Non ! Je ne peu pas dénigrer du rôle du ministre de l'intérieur !
Par contre PERSONNE est en mesure d'argumenter le MOINS DU MONDE contre mon point de vue :
Alors que toute la puissance d'une nation de la magnitude de la France est déployée par le Front National, par le groupe UMP, et par d'autres... contre des minorités ethnique ; des milliards de milliards d'euros, évadent la fiscalité.
Par des méthodes introduits par la voie de lobby en partie dans le CGI donc en partie rendus légitimes, ainsi que d'autres méthodes qui peuvent être punis pénalement, par des gens en majorités très influents voir placés pour beaucoup dans des cercles proches du pouvoir.
Hélas, il aura ceux qui dirons « mais non c'est pas le sujet »
Mais moi je constate que tout est fait dans les hautes sphères du pouvoir pour éviter que la justice puise faire un travail impartial et juste ! Les plus faibles subissent tout le poids de la loi, les plus forts s'en moquent éperdument de la notion de justice !
Voilà que 150000 mille comptes sont identifiés dans des paradis fiscaux mais le gouvernement de droite ou de gauche, freine l'action des juges ! Au même temps, l'on demande aux français de payer plus d'impôts !
(1) http://classiques.uqac.ca/classiques/la_boetie_etienne_de/discours_de_la_servitude/discours_servitude.html
(2) http://www.notre-ecole.net/edouard-tetreau-20000-milliards-de-dollars/
(3) http://www.decitre.fr/livres/ces-600-milliards-qui-manquent-a-la-france-9782021081220.html
(4) http://cdurable.info/Le-triomphe-de-la-cupidite-Joseph-Stiglitz-Crise-Economie,2351.html
Ce sont des livres qui devraient exister dans la bibliothèque de chaque personne membre des classes populaires! C'est une utopie?
Alors vu qu'il y a un prix, prenez le temps de visionner GRATUIT :
LET'S MAKE MONEY
'État et les banques, les dessous d'un hold-up historique» par Myret Zaki et Etienne Chouard
pour qui doit voter un ouvrier?
Intégralité intellectuelle
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny 21 octobre 2013
J'entends certains personnes ici et là utiliser une interprétation ou lecture de l'histoire comment une opinion ou hypothèses.
Oui c'est un fait que la proposition numéro 101 du programme du PS en 1981 parlait de proportionnelle, Oui en 1986 35 représentants du FN réussissent à siéger au palais Bourbon. Mais ce n'est rien d'autre qu'un effet collatérale, car si pour certains le fait le plus marquant est l'entrée du FN au parlement, pour d'autres le parti communiste étant une des cibles est affaibli.
D'ailleurs l'affrontement FN et parti communiste est une des attractions dans les échanges ! L'assemblée national garde dans ces archives les échanges musclés entre ces deux groupes, mais encore ! Une des raisons de Mitterrand pour adopter la proportionnelle est celle de faire barrage au triomphe assuré de la droite traditionnelle.
Mais allons plus loin
Nous devons parler de représentativité, hélas, les classes ouvrières, ne sont pas vraiment représentés, ni au palais Bourbon ni au plais de Luxembourg, bien au contraire !
Les classes populaires, étant le moins bien éduquées, ce sont automatiquement celles qui se défendent le moins bien, pour des philosophes comment c'est le cas de MARCEL CONCHE, nous sommes loin de vivre en démocratie, car le citoyen lambda, le quidam, le béotien, se doit de participer au suffrage, mais une fois, un des nantis, pour la plus part des néo-libéraux, SANS EXCEPTION, et cela quel qu'il soit le nom du parti représenté, arrivé au fauteuil de l’Élysée, ce sont les exigences des cercles fermées, des sectes, du genre MEDEF, groupement des banques, des magnats de la finance, qui vont faire pression ou lobby pour faire passer une législation sur mesure à leur faveur.
Ici et là quelques mesures, symboliques sont adoptés lorsque par exemple le partie socialiste passe : prenons l''exemple du mariage pour touts, qui est plutôt symbolique, alors que les membres du PS au parlement affirmaient que la reforme de retraite, serait abrogée pour revenir à 60 ans !
Alors pour résumer
Si le FN progresse c'est à cause de la misère intellectuelle qui s’accroît avec la misère économique, les travailleurs vivent des jours semblables à l'après 1929, époque qui devait finir avec la naissance du PARTI NATIONAL SOCIALISTE en Allemagne, et bien sur l'apogée qui n'est rien d'autre que les années 1940 à 1944 !
Parce que des chômeurs, des ouvriers, avec un pois chiche dans leur tête, se laissent endoctriner par des idées, absurdes ! Bien entendu qui le groupe UMP, ou le PS, ne font pas vraiment dans la différence, mais en attendant un parti véritable de travailleurs, il nous reste à voter pour le plus proche en propositions parfois mensongères !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny 21 octobre 2013
J'entends certains personnes ici et là utiliser une interprétation ou lecture de l'histoire comment une opinion ou hypothèses.
Oui c'est un fait que la proposition numéro 101 du programme du PS en 1981 parlait de proportionnelle, Oui en 1986 35 représentants du FN réussissent à siéger au palais Bourbon. Mais ce n'est rien d'autre qu'un effet collatérale, car si pour certains le fait le plus marquant est l'entrée du FN au parlement, pour d'autres le parti communiste étant une des cibles est affaibli.
D'ailleurs l'affrontement FN et parti communiste est une des attractions dans les échanges ! L'assemblée national garde dans ces archives les échanges musclés entre ces deux groupes, mais encore ! Une des raisons de Mitterrand pour adopter la proportionnelle est celle de faire barrage au triomphe assuré de la droite traditionnelle.
Mais allons plus loin
Nous devons parler de représentativité, hélas, les classes ouvrières, ne sont pas vraiment représentés, ni au palais Bourbon ni au plais de Luxembourg, bien au contraire !
Les classes populaires, étant le moins bien éduquées, ce sont automatiquement celles qui se défendent le moins bien, pour des philosophes comment c'est le cas de MARCEL CONCHE, nous sommes loin de vivre en démocratie, car le citoyen lambda, le quidam, le béotien, se doit de participer au suffrage, mais une fois, un des nantis, pour la plus part des néo-libéraux, SANS EXCEPTION, et cela quel qu'il soit le nom du parti représenté, arrivé au fauteuil de l’Élysée, ce sont les exigences des cercles fermées, des sectes, du genre MEDEF, groupement des banques, des magnats de la finance, qui vont faire pression ou lobby pour faire passer une législation sur mesure à leur faveur.
Ici et là quelques mesures, symboliques sont adoptés lorsque par exemple le partie socialiste passe : prenons l''exemple du mariage pour touts, qui est plutôt symbolique, alors que les membres du PS au parlement affirmaient que la reforme de retraite, serait abrogée pour revenir à 60 ans !
Alors pour résumer
Si le FN progresse c'est à cause de la misère intellectuelle qui s’accroît avec la misère économique, les travailleurs vivent des jours semblables à l'après 1929, époque qui devait finir avec la naissance du PARTI NATIONAL SOCIALISTE en Allemagne, et bien sur l'apogée qui n'est rien d'autre que les années 1940 à 1944 !
Parce que des chômeurs, des ouvriers, avec un pois chiche dans leur tête, se laissent endoctriner par des idées, absurdes ! Bien entendu qui le groupe UMP, ou le PS, ne font pas vraiment dans la différence, mais en attendant un parti véritable de travailleurs, il nous reste à voter pour le plus proche en propositions parfois mensongères !
CONSTRUCTION DE L'EUROPE
SUR LA PENSEE DE JEAN JAURES
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 27 mai 2014
Dédié à mes vénérables formateurs: Alain Tostain, Julio Cesar Aguirre, monsieur Areiza, et l'ensemble de professeurs de la faculté de sciences sociales de l'Université Pédagogique et Technologique de Pereira (Risaralda) en Colombie.
En ce centenaire de l’assassinat de Jean Jaurès qui a donné le signal de départ à l’effroyable Première Guerre mondiale, on met l’accent sur son combat pour la paix. Faut-il y voir la réalisation d’une action et d’une pensée de l’émancipation humaine ?
Alors que j'ai voulu voir un chocolat au distributeur automatique. Fidèle à mon engagement permanent au principe moteur de mon existante : (la recherche permanente de la compréhension du comportement des gens) Aujourd'hui mardi 27 de mai de l'année 2014 ; quand ma conscience commence à vivre le deuil de la douce utopie à laquelle aspirait le grand Jean Jaurès. Je mesure la monumentale portée du travail sournois des programmes d'éducation mathématiquement associés à la extirpation du discernement dans plus de 80 % des cerveaux des citoyens.
Est-t-il possible que la grandeur monumentale des principes pour lesquels des hommes (comment Jean Jaurès, Étienne de La Boétie, Jean-Jaques Rousseau, John Stuart Mill, Joseph E. Stigitz, Pierre Péan, Antoine Peillon, Marcel Conche, Hermann Scheer dans une liste non exhaustive de penseurs, et altruistes humaniste), auraient lutté au risque de leur vies, soit bafouée allègrement par la puissance d’à peine 3 % des gens, des banquiers, des Golmand Sach ?
Oui ! Un milliards de fois OUI !!!
De toute évidence à la lecture des opinions, des suffrages électoraux, des commentaires des ouvriers dans les usines, à la lecture de la politique européenne, vu le comportement des gouvernements "touts" néo-libéraux, qui se suivent et se succèdent à la tête de la France ! Oui !
Je mesure avec beaucoup de douleur, le trou béant qui s'accroît vertigineusement et dangereusement dans les consciences. L'ouvrier d'aujourd'hui, ne veut pas, n'a jamais reçu la moindre notion de conscience sociale, d'appartenance de classes. L'ouvrier d'aujourd'hui est juste éduqué pour s’intéresser "exclusivement" à la composition de sont équipe préféré au football, au rugby, à la pétanque. Tout au plus les consciences des classes populaires, vont intéresser à critiquer, l’accoutrement des proches, tout au plus à envier le revenu du voisin.
Les classes populaires de nous jours avouent, j'ai l'entendu textuel "ne pas avoir à se soucier du volume de revenu des plus riches" alors que des traders via la spéculation sur la valeur ajouté, les matières premières, peuvent récupérer 5, 10, 15 millions de dollar par an ?
C'est-à-dire que lorsque Lloyd Blankfein (président de la banque GOLMAD SACH) touche 44 018 478 US$ par an ; l'ouvrier bourguignon, quant à lui trouve plus intéressant et digne d'analyse l'équivalent de 0,082 % du salaire de monsieur Blankfein, qu'est le revenu d'un collègue d'environs 3000 €/moi dans l'entreprise où ils travaillent les deux.
Ce genre d'échanges me semblent très révélateurs non pas de la misère économique, mais de la misère intellectuelle des classes populaires, helas cette misère, est justement cette misère qui permet sans l'ombre d'un doute à des pauvres gens de voter en faveur des personnes que vont bien aller toucher leur chèque de 7000€/mois au parlement européenne, sans JAMAIS apporter la moindre contribution, ni au changement de la politique européenne ni moins encore en faveur de ceux même qu'auraient voté pour eux.
Pour quoi ?
Plus de 70 % des gens (les classes populaires, les classes moyennes) n'auraient de nous jours, plus de conscience sociale, conscience de classe ? Parce que la bourgeoisie, les nantis, ont réussi de manière sournoise, lente mais sure à enlever de l'éducation primaire, de l'éducation secondaire, les éléments, les principes, la substance qui permettez aux gens de s'éduquer dans la définition sociologique, philosophique du terme éducation. Nous avons des parfaits commentateurs de l'évolution des équipes de football, de rugby, parmi le plus modeste des ouvriers, mais de grâce n'aille pas lui demander le moindre commentaire sur l'évolution des rapport de production et de la valeur ajouté.
..." "L'histoire de toute société jusqu'à nos jours est l'histoire de luttes de classes.
Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de jurandes' et compagnon, bref oppresseurs et opprimés, en opposition constante, ont mené une lutte ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée, une lutte qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire de la société tout entière, soit par la disparition des deux classes en lutte"...
..."Nous assistons aujourd'hui à un processus analogue. Les rapports bourgeois de production et d'échange, de propriété, la société bourgeoise moderne, qui a fait surgir de si puissants moyens de production et d'échange, ressemble au sorcier qui ne sait plus dominer les puissances infernales qu'il a évoquées"...
Extrait d'un blog de philosphie :
Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), chap. I, trad. L. Lafargue revue par M. Kiitz, Éd. Sociales, bilingue, Paris, 1972, pp. 31-47.
1. Sous l'Ancien Régime, représentant d'une corporation professionnelle.
La conscience sociale, la conscience de classe, ce n'est pas un métier, ce n'est pas des pilules dans un pharmacie, ce n'est pas un article à côté du sucre, ou des tomates dans un supermarché ! La conscience sociale est la base de la cohérence des groupes d'intérêt économique, sociale et donc politique et syndicale. La conscience d'appartenance à une classe, doit être enseigné, de manière systématique aux enfants, car sans la conscience d'appartenir à une classe sociale, nous sommes comment des zombies, des moutons dociles, des écervelés, simples outils jetables au service du capital. Cher lecteur, chère lectrice, chers camarades, je rabâche la même rengaine depuis des années, c'est la principale raison de ma présence sur le web.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mardi 27 mai 2014
Dédié à mes vénérables formateurs: Alain Tostain, Julio Cesar Aguirre, monsieur Areiza, et l'ensemble de professeurs de la faculté de sciences sociales de l'Université Pédagogique et Technologique de Pereira (Risaralda) en Colombie.
En ce centenaire de l’assassinat de Jean Jaurès qui a donné le signal de départ à l’effroyable Première Guerre mondiale, on met l’accent sur son combat pour la paix. Faut-il y voir la réalisation d’une action et d’une pensée de l’émancipation humaine ?
Alors que j'ai voulu voir un chocolat au distributeur automatique. Fidèle à mon engagement permanent au principe moteur de mon existante : (la recherche permanente de la compréhension du comportement des gens) Aujourd'hui mardi 27 de mai de l'année 2014 ; quand ma conscience commence à vivre le deuil de la douce utopie à laquelle aspirait le grand Jean Jaurès. Je mesure la monumentale portée du travail sournois des programmes d'éducation mathématiquement associés à la extirpation du discernement dans plus de 80 % des cerveaux des citoyens.
Est-t-il possible que la grandeur monumentale des principes pour lesquels des hommes (comment Jean Jaurès, Étienne de La Boétie, Jean-Jaques Rousseau, John Stuart Mill, Joseph E. Stigitz, Pierre Péan, Antoine Peillon, Marcel Conche, Hermann Scheer dans une liste non exhaustive de penseurs, et altruistes humaniste), auraient lutté au risque de leur vies, soit bafouée allègrement par la puissance d’à peine 3 % des gens, des banquiers, des Golmand Sach ?
Oui ! Un milliards de fois OUI !!!
De toute évidence à la lecture des opinions, des suffrages électoraux, des commentaires des ouvriers dans les usines, à la lecture de la politique européenne, vu le comportement des gouvernements "touts" néo-libéraux, qui se suivent et se succèdent à la tête de la France ! Oui !
Je mesure avec beaucoup de douleur, le trou béant qui s'accroît vertigineusement et dangereusement dans les consciences. L'ouvrier d'aujourd'hui, ne veut pas, n'a jamais reçu la moindre notion de conscience sociale, d'appartenance de classes. L'ouvrier d'aujourd'hui est juste éduqué pour s’intéresser "exclusivement" à la composition de sont équipe préféré au football, au rugby, à la pétanque. Tout au plus les consciences des classes populaires, vont intéresser à critiquer, l’accoutrement des proches, tout au plus à envier le revenu du voisin.
Les classes populaires de nous jours avouent, j'ai l'entendu textuel "ne pas avoir à se soucier du volume de revenu des plus riches" alors que des traders via la spéculation sur la valeur ajouté, les matières premières, peuvent récupérer 5, 10, 15 millions de dollar par an ?
C'est-à-dire que lorsque Lloyd Blankfein (président de la banque GOLMAD SACH) touche 44 018 478 US$ par an ; l'ouvrier bourguignon, quant à lui trouve plus intéressant et digne d'analyse l'équivalent de 0,082 % du salaire de monsieur Blankfein, qu'est le revenu d'un collègue d'environs 3000 €/moi dans l'entreprise où ils travaillent les deux.
Ce genre d'échanges me semblent très révélateurs non pas de la misère économique, mais de la misère intellectuelle des classes populaires, helas cette misère, est justement cette misère qui permet sans l'ombre d'un doute à des pauvres gens de voter en faveur des personnes que vont bien aller toucher leur chèque de 7000€/mois au parlement européenne, sans JAMAIS apporter la moindre contribution, ni au changement de la politique européenne ni moins encore en faveur de ceux même qu'auraient voté pour eux.
Pour quoi ?
Plus de 70 % des gens (les classes populaires, les classes moyennes) n'auraient de nous jours, plus de conscience sociale, conscience de classe ? Parce que la bourgeoisie, les nantis, ont réussi de manière sournoise, lente mais sure à enlever de l'éducation primaire, de l'éducation secondaire, les éléments, les principes, la substance qui permettez aux gens de s'éduquer dans la définition sociologique, philosophique du terme éducation. Nous avons des parfaits commentateurs de l'évolution des équipes de football, de rugby, parmi le plus modeste des ouvriers, mais de grâce n'aille pas lui demander le moindre commentaire sur l'évolution des rapport de production et de la valeur ajouté.
..." "L'histoire de toute société jusqu'à nos jours est l'histoire de luttes de classes.
Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de jurandes' et compagnon, bref oppresseurs et opprimés, en opposition constante, ont mené une lutte ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée, une lutte qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire de la société tout entière, soit par la disparition des deux classes en lutte"...
..."Nous assistons aujourd'hui à un processus analogue. Les rapports bourgeois de production et d'échange, de propriété, la société bourgeoise moderne, qui a fait surgir de si puissants moyens de production et d'échange, ressemble au sorcier qui ne sait plus dominer les puissances infernales qu'il a évoquées"...
Extrait d'un blog de philosphie :
Karl Marx et Friedrich Engels, Manifeste du Parti communiste (1848), chap. I, trad. L. Lafargue revue par M. Kiitz, Éd. Sociales, bilingue, Paris, 1972, pp. 31-47.
1. Sous l'Ancien Régime, représentant d'une corporation professionnelle.
La conscience sociale, la conscience de classe, ce n'est pas un métier, ce n'est pas des pilules dans un pharmacie, ce n'est pas un article à côté du sucre, ou des tomates dans un supermarché ! La conscience sociale est la base de la cohérence des groupes d'intérêt économique, sociale et donc politique et syndicale. La conscience d'appartenance à une classe, doit être enseigné, de manière systématique aux enfants, car sans la conscience d'appartenir à une classe sociale, nous sommes comment des zombies, des moutons dociles, des écervelés, simples outils jetables au service du capital. Cher lecteur, chère lectrice, chers camarades, je rabâche la même rengaine depuis des années, c'est la principale raison de ma présence sur le web.
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Date d'inscription : 21/02/2009
Pour quoi progresse l’extrémisme
Quand l’extrémisme gagne du terrain
Les faux prophètes, les fausses idéologies, gagnent des adeptes à condition que ceux-ci, soient faibles.
Le mensonge sous quelque forme qu’elle soit ne atteint que ceux et celles disposant d’un niveau frêle de connaissances.
Pour rester capable de me regarder dans la glace, pour être sincère et impartial, alors je dois admettre la vision du philosophe MARCE CONCHE quand à sa vision de la démocratie
C’est depuis le centre même de la machine, qu’une voix se lève pour nous prévenir, car Joseph E. Stigitz ayant travaillait pour le FMI ayant incorporé le conseil économique à la maison blanche, maintient un discours très dépuré, très claire quand aux défaut, risques et conséquences de la pensée néolibérale.
Mais d’après les observations des comices électoraux en France et ailleurs, il est certain que l’état des consciences semble plutôt proche de celle des zombies que des consciences tel que le souhaite René Descartes dans sont " discours de la méthode ".
Voilà pourquoi je crains comment HERANN SCHEER, que les ennemis de l’équilibre et la paix sociale aillent des longues années de prospérité devant eux.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Dimanche 8 juin 2014
Les faux prophètes, les fausses idéologies, gagnent des adeptes à condition que ceux-ci, soient faibles.
Le mensonge sous quelque forme qu’elle soit ne atteint que ceux et celles disposant d’un niveau frêle de connaissances.
Pour rester capable de me regarder dans la glace, pour être sincère et impartial, alors je dois admettre la vision du philosophe MARCE CONCHE quand à sa vision de la démocratie
C’est depuis le centre même de la machine, qu’une voix se lève pour nous prévenir, car Joseph E. Stigitz ayant travaillait pour le FMI ayant incorporé le conseil économique à la maison blanche, maintient un discours très dépuré, très claire quand aux défaut, risques et conséquences de la pensée néolibérale.
Mais d’après les observations des comices électoraux en France et ailleurs, il est certain que l’état des consciences semble plutôt proche de celle des zombies que des consciences tel que le souhaite René Descartes dans sont " discours de la méthode ".
Voilà pourquoi je crains comment HERANN SCHEER, que les ennemis de l’équilibre et la paix sociale aillent des longues années de prospérité devant eux.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Dimanche 8 juin 2014
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Date d'inscription : 21/02/2009
Présompton et langue de bois
Entre présomption d'innocence et langue de bois
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Mercredi 2 juillet 2014
les citoyens lambda ne disposent pas ni de formation ni des connaissances lui permettant de développer une analyse plausible basset sur des informations fragmentaires.
Ce n'est pas la langue de bois moins encore partialité de l'information. Qui peuvent fournir aux citoyens lambda matière suffisante pour ses faire une idée proche de la réalité.
Nous pouvant trouver deux opinions différentes qui peuvent se détacher de l'ambiance créée de toutes pièces par les médias :
Les royalistes et les démocrates
les royalistes ce sont par la plupart des bourgeois nostalgiques de la monarchie.
Les démocrates sont pour la plupart des personnes soucieuses de la transparence dans la gestion de la chose publique.
Les président du fond monétaire international a dû démissionner de son poste comme conséquence en son comportement moralement répréhensible ; a été écarté des sons courant politique, pour des faits similaires en matière financière (quelques millions d'euros dissimulés au trésor public) un ministre a dû démissionner du gouvernement.
Troublante curiosité
Tout d'abord l'affaire Karachi ensuite l'affaire Kadhafi, sans oublier l'affaire Bettencourt et pour terminer la faire à Bigmalion, sans parler de l'affaire Tapi. Toujours dans les coulisses, toujours par personnes interposées, curieusement il y a le nom de la même personne.
Troublante coïncidence, il s'agit de l'argent, et parfois au nom de l'argent des vies sont sacrifiés.
Un juge qui prend la responsabilité des mettre en garde-à-vue des magistrats et des avocats ainsi qu'un ex-président de la république, le fait exclusivement parce qu'il a un nombre suffisant des raisons, des preuves, un faisceau des circonstances, qui vont lui donner l'autorité d'abord de faire des perquisitions et ensuite de prendre les mesures nécessaires à l'établissement de la réalité.
Dès toute évidence nombreux serrant ceux qui vont crier au scandale. Des monarchistes qui souhaitent autre chose que la démocratie.
La démocratie solennellement, la transparence, la solidarité, la justice ; des éléments sans lesquels il est impossible de garantir l'harmonie des peuples.
Si un avocat ne peut pas dormir c'est tout simplement parce ce qu'il craint. Il a quelque chose à se reprocher!
Si un citoyen prend des risques vis-à-vis de la justice sur un dossier les concernant c'est tout simplement parce qu'il craint quelque chose, parce qu'il a quelque chose à cacher.
Je sais déjà, que ce soir les affaires karachi, kadhafi, Betancourt ou encore Bigmalion ne serons pas abordés, parce que la personne impliqué veut à tout prix se placer sur un terrain mensonger dans le seul but de noyer le poisson, c'est en absolu la langue de bois qui va primer, et je déplore que les intervieweurs tentent de jouer un jeu qui porte atteinte à l'image de la presse et aussi atteinte à la démocratie
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Mercredi 2 juillet 2014
les citoyens lambda ne disposent pas ni de formation ni des connaissances lui permettant de développer une analyse plausible basset sur des informations fragmentaires.
Ce n'est pas la langue de bois moins encore partialité de l'information. Qui peuvent fournir aux citoyens lambda matière suffisante pour ses faire une idée proche de la réalité.
Nous pouvant trouver deux opinions différentes qui peuvent se détacher de l'ambiance créée de toutes pièces par les médias :
Les royalistes et les démocrates
les royalistes ce sont par la plupart des bourgeois nostalgiques de la monarchie.
Les démocrates sont pour la plupart des personnes soucieuses de la transparence dans la gestion de la chose publique.
Les président du fond monétaire international a dû démissionner de son poste comme conséquence en son comportement moralement répréhensible ; a été écarté des sons courant politique, pour des faits similaires en matière financière (quelques millions d'euros dissimulés au trésor public) un ministre a dû démissionner du gouvernement.
Troublante curiosité
Tout d'abord l'affaire Karachi ensuite l'affaire Kadhafi, sans oublier l'affaire Bettencourt et pour terminer la faire à Bigmalion, sans parler de l'affaire Tapi. Toujours dans les coulisses, toujours par personnes interposées, curieusement il y a le nom de la même personne.
Troublante coïncidence, il s'agit de l'argent, et parfois au nom de l'argent des vies sont sacrifiés.
Un juge qui prend la responsabilité des mettre en garde-à-vue des magistrats et des avocats ainsi qu'un ex-président de la république, le fait exclusivement parce qu'il a un nombre suffisant des raisons, des preuves, un faisceau des circonstances, qui vont lui donner l'autorité d'abord de faire des perquisitions et ensuite de prendre les mesures nécessaires à l'établissement de la réalité.
Dès toute évidence nombreux serrant ceux qui vont crier au scandale. Des monarchistes qui souhaitent autre chose que la démocratie.
La démocratie solennellement, la transparence, la solidarité, la justice ; des éléments sans lesquels il est impossible de garantir l'harmonie des peuples.
Si un avocat ne peut pas dormir c'est tout simplement parce ce qu'il craint. Il a quelque chose à se reprocher!
Si un citoyen prend des risques vis-à-vis de la justice sur un dossier les concernant c'est tout simplement parce qu'il craint quelque chose, parce qu'il a quelque chose à cacher.
Je sais déjà, que ce soir les affaires karachi, kadhafi, Betancourt ou encore Bigmalion ne serons pas abordés, parce que la personne impliqué veut à tout prix se placer sur un terrain mensonger dans le seul but de noyer le poisson, c'est en absolu la langue de bois qui va primer, et je déplore que les intervieweurs tentent de jouer un jeu qui porte atteinte à l'image de la presse et aussi atteinte à la démocratie
Et la vérité alors?
Affaire Karachi
Ce qui lui est reproché
Alors ministre du Budget, Nicolas Sarkozy aurait avalisé la création d'une société écran au Luxembourg, Heine SA, utilisée pour verser ces commissions. Il s'est toujours défendu d'avoir joué un quelconque rôle dans cette affaire. «C'est une fable», avait-il dit.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/02/1911446-l-affaire-karachi-la-campagne-de-balladur.html
Curiosité la presse aujourd'hui semble amnésique!
L'affaire Kadhafi
..."L’ex-ambassadeur de France en Libye François Gouyette, aujourd’hui en poste à Tunis, a été entendu fin janvier par les juges. Le diplomate a déclaré qu’un de ses contacts libyens lui avait confirmé, en 2011, « qu’il y avait eu effectivement un financement de la campagne présidentielle de M. Sarkozy »"...
http://www.mediapart.fr/journal/france/dossier/notre-dossier-largent-libyen-de-sarkozy
Média-part a réussi à faire tomber Chauzac, parce qu'il n'avait pas pris les précautions prises ailleurs, mais surtout par "des écoutes téléphonique" sans quoi, jamais l'ex-ministre PS aurait été jugé!
L'affaire Betancourt
http://www.mediapart.fr/journal/france/dossier/notre-dossier-sarkozy-et-laffaire-bettencourt
..."La campagne médiatique lancée par des avocats parisiens et des responsables UMP fait oublier que les écoutes téléphoniques sont strictement encadrées. Ce vacarme masque surtout les soupçons de trafic d'influence qui visent Nicolas Sarkozy, Thierry Herzog et Gilbert Azibert."...
Non mais! mettez-moi le doigt dans la bouche pour voir si j'ai des dents! Zut!
Les médias sont impartiales ou pas? Permettez-moi d’en douter!
Ce qui lui est reproché
Alors ministre du Budget, Nicolas Sarkozy aurait avalisé la création d'une société écran au Luxembourg, Heine SA, utilisée pour verser ces commissions. Il s'est toujours défendu d'avoir joué un quelconque rôle dans cette affaire. «C'est une fable», avait-il dit.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/07/02/1911446-l-affaire-karachi-la-campagne-de-balladur.html
Curiosité la presse aujourd'hui semble amnésique!
L'affaire Kadhafi
..."L’ex-ambassadeur de France en Libye François Gouyette, aujourd’hui en poste à Tunis, a été entendu fin janvier par les juges. Le diplomate a déclaré qu’un de ses contacts libyens lui avait confirmé, en 2011, « qu’il y avait eu effectivement un financement de la campagne présidentielle de M. Sarkozy »"...
http://www.mediapart.fr/journal/france/dossier/notre-dossier-largent-libyen-de-sarkozy
Média-part a réussi à faire tomber Chauzac, parce qu'il n'avait pas pris les précautions prises ailleurs, mais surtout par "des écoutes téléphonique" sans quoi, jamais l'ex-ministre PS aurait été jugé!
L'affaire Betancourt
http://www.mediapart.fr/journal/france/dossier/notre-dossier-sarkozy-et-laffaire-bettencourt
..."La campagne médiatique lancée par des avocats parisiens et des responsables UMP fait oublier que les écoutes téléphoniques sont strictement encadrées. Ce vacarme masque surtout les soupçons de trafic d'influence qui visent Nicolas Sarkozy, Thierry Herzog et Gilbert Azibert."...
Non mais! mettez-moi le doigt dans la bouche pour voir si j'ai des dents! Zut!
Les médias sont impartiales ou pas? Permettez-moi d’en douter!
présomption d'innocence et justice au sens large
Sur la réalité sociale et politique, présomption d'innocence et justice au sens large
Cereté Cordoba Colombia
Lundi 7 juillet 2014
Médiatisation
Les médias et le rôle, de sportif, de personnalité publique ou artistique, donnent à l’individu une sorte d’auréole, à géométrie variable, en fonction de divers facteurs entre autres la réussite.
Popularité
La dose de popularité surtout pour les personnalités publiques fonctionne comment un catalyseur ou facteur amplificateur de la relation entre la personne publique et le reste de la société. Plus la personne est donc populaire, plus son comportement risque d’être médiatisé.
Action de la justice
Les lois sont appliquées aux citoyens, sans doute avec certains privilèges votés par le législateur, en faveur de ceux qui seraient exceptionnellement les mêmes qui votent les lois et ou ceux qui seraient proches. C’est plutôt l’usage qu’impose des privilèges plus que la logique, la morale ou l’éthique. Invraisemblable omettre la collusion ou connivence automatique entre sphères proches de gestion de la chose publique, les finances et le pouvoir en générale.
Hégémonie
Avec un silence inouï nous voyons que des castes s’associent en coteries, préservant sans peine des privilèges, non pas dotés de prééminence par atavisme, mais plutôt par tactiques composés des doses d’attentisme ou fourberie ; que nous pouvons constater (plaidoyer facile à l’encontre des gouvernants) par la multitude de crises, des guerres, des génocides et de domination de l’industrie financière avec sont lot de conséquences néfastes pour l’évolution harmonieuse de l’humanité et sont environnement.
Présomption d’innocence
Un citoyen lambda, respectueux de la justice, aura un risque infime de se trouver impliqué dans des dossiers dans le bureau d’un juge. D’autant plus qu’un juge ainsi soit lui syndicalisé, reçoit des doses de travail tel qu’il ne dispose pas de temps, pour tenter une sorte de complot à l’encontre d’une personnalité publique.
Lexique
Même au sein d’une langue, d’une nation, existent différences sémantiques et sémiologiques en relation avec des métiers, des relations socioprofessionnelles qui peuvent même rendre illisible un discours pour des gens en dehors du même métiers, corporation ou groupe sociale où se pratique le lexique spécifique : un arrêt d’une cour de justice ou d’un tribunal risque d’être illisible pour un néophyte voir une personne étrangère à la justice.
les griffes des sbires de la justice
Il me semble que le calibre d’une telle phrase est au-delà de l’éthique et au-delà de la réalité. Car comment souligné dessus, un comportement standard du citoyen lambda, l’exonère d’office de toutes manières du risque d’avoir à faire aux autorités et aux juges. Pour que des agents de la police ou la gendarmerie décidant de démarrer une procédure d’investigation il faut un certains nombre de faits, sorte de verrou avant qu’un juge prenne la décision d’autoriser l’investigation.
Évolution de l’humanité
Nous n’évoluons pas vers l’esclavage, puisque l’esclavage est une forme de société déjà connu par le passé, en vérité s’agit d’une régression de la société par le biais du néo-libéralisme ; en partie avec l’abolition de l’empire soviétique, l’humanité aurait obtenu un court sursis (le système capitaliste sans un empire pour comparer en face s'auto proclame comment la seule voie de gestion). En effet le développement de la cupidité domine l’ensemble de l’industrie financière, industrie qui perd sont rôle de service favorable à l’évolution en harmonie de la civilisation, pour spécialiser dans l’activité pécuniaire d’escroquerie de la valeur ajouté à la taille du monde.
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit gramophone (de la Colombie)
lundi 7 juillet 2014 avec mille excuses pour ma piètre qualité en langue française!
Cereté Cordoba Colombia
Lundi 7 juillet 2014
Médiatisation
Les médias et le rôle, de sportif, de personnalité publique ou artistique, donnent à l’individu une sorte d’auréole, à géométrie variable, en fonction de divers facteurs entre autres la réussite.
Popularité
La dose de popularité surtout pour les personnalités publiques fonctionne comment un catalyseur ou facteur amplificateur de la relation entre la personne publique et le reste de la société. Plus la personne est donc populaire, plus son comportement risque d’être médiatisé.
Action de la justice
Les lois sont appliquées aux citoyens, sans doute avec certains privilèges votés par le législateur, en faveur de ceux qui seraient exceptionnellement les mêmes qui votent les lois et ou ceux qui seraient proches. C’est plutôt l’usage qu’impose des privilèges plus que la logique, la morale ou l’éthique. Invraisemblable omettre la collusion ou connivence automatique entre sphères proches de gestion de la chose publique, les finances et le pouvoir en générale.
Hégémonie
Avec un silence inouï nous voyons que des castes s’associent en coteries, préservant sans peine des privilèges, non pas dotés de prééminence par atavisme, mais plutôt par tactiques composés des doses d’attentisme ou fourberie ; que nous pouvons constater (plaidoyer facile à l’encontre des gouvernants) par la multitude de crises, des guerres, des génocides et de domination de l’industrie financière avec sont lot de conséquences néfastes pour l’évolution harmonieuse de l’humanité et sont environnement.
Présomption d’innocence
Un citoyen lambda, respectueux de la justice, aura un risque infime de se trouver impliqué dans des dossiers dans le bureau d’un juge. D’autant plus qu’un juge ainsi soit lui syndicalisé, reçoit des doses de travail tel qu’il ne dispose pas de temps, pour tenter une sorte de complot à l’encontre d’une personnalité publique.
Lexique
Même au sein d’une langue, d’une nation, existent différences sémantiques et sémiologiques en relation avec des métiers, des relations socioprofessionnelles qui peuvent même rendre illisible un discours pour des gens en dehors du même métiers, corporation ou groupe sociale où se pratique le lexique spécifique : un arrêt d’une cour de justice ou d’un tribunal risque d’être illisible pour un néophyte voir une personne étrangère à la justice.
les griffes des sbires de la justice
Il me semble que le calibre d’une telle phrase est au-delà de l’éthique et au-delà de la réalité. Car comment souligné dessus, un comportement standard du citoyen lambda, l’exonère d’office de toutes manières du risque d’avoir à faire aux autorités et aux juges. Pour que des agents de la police ou la gendarmerie décidant de démarrer une procédure d’investigation il faut un certains nombre de faits, sorte de verrou avant qu’un juge prenne la décision d’autoriser l’investigation.
Évolution de l’humanité
Nous n’évoluons pas vers l’esclavage, puisque l’esclavage est une forme de société déjà connu par le passé, en vérité s’agit d’une régression de la société par le biais du néo-libéralisme ; en partie avec l’abolition de l’empire soviétique, l’humanité aurait obtenu un court sursis (le système capitaliste sans un empire pour comparer en face s'auto proclame comment la seule voie de gestion). En effet le développement de la cupidité domine l’ensemble de l’industrie financière, industrie qui perd sont rôle de service favorable à l’évolution en harmonie de la civilisation, pour spécialiser dans l’activité pécuniaire d’escroquerie de la valeur ajouté à la taille du monde.
Par Nestor Elias Ramirez Jimenez dit gramophone (de la Colombie)
lundi 7 juillet 2014 avec mille excuses pour ma piètre qualité en langue française!
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
présomption d'innocence
LE PRÉSIDENT DE LA FRANCE EN 2017 d'après une certains presse!
Un monsieur que nous appellerons "présomption d'innocence" qui n'est même pas "au courant" des comptes de sont parti, "présomption d'innocence bien sur"
Qui semble avoir laissé une ardoise de plus de 74 millions à l'UMP "présomption d'innocence"
Qui aura augmente la dette externe de la France de plus de 670 milliards d'euros "il faut le faire"
Qui "présomption d'innocence" bien sur ! N'a absolument rien avoir avec 11 mort dans un attentat à KARACHI.
Qui "présomption d'innocence" n'a rien a voir avec les comptes de campagne truquées pour la campagne de Baladour !
Qui n'a rien a voir avec 50 million que KADHAFI aurait "présomptueusement" apporte pour financer sa campagne électorale, d'après plusieurs sources.
Qui n'a rien avoir avec madame Betancourt qui aura sortie des sommes hallucinantes de ses comptes en Suisse, donc certains proches auraient parlait... (puis des perquisitions déguisées en vol dans un journal, qui abordée en détail l'affaire)
C'est monsieur là, monsieur "présomption d'innocence" incapable de gouverner convenablement un parti politique ! Serait selon les médias "complices" d'au moins certains journalistes, le sauveur de la France en 2017 ? l'illuminé ! L'idéal ! Non mais... !!!!
Un monsieur que nous appellerons "présomption d'innocence" qui n'est même pas "au courant" des comptes de sont parti, "présomption d'innocence bien sur"
Qui semble avoir laissé une ardoise de plus de 74 millions à l'UMP "présomption d'innocence"
Qui aura augmente la dette externe de la France de plus de 670 milliards d'euros "il faut le faire"
Qui "présomption d'innocence" bien sur ! N'a absolument rien avoir avec 11 mort dans un attentat à KARACHI.
Qui "présomption d'innocence" n'a rien a voir avec les comptes de campagne truquées pour la campagne de Baladour !
Qui n'a rien a voir avec 50 million que KADHAFI aurait "présomptueusement" apporte pour financer sa campagne électorale, d'après plusieurs sources.
Qui n'a rien avoir avec madame Betancourt qui aura sortie des sommes hallucinantes de ses comptes en Suisse, donc certains proches auraient parlait... (puis des perquisitions déguisées en vol dans un journal, qui abordée en détail l'affaire)
C'est monsieur là, monsieur "présomption d'innocence" incapable de gouverner convenablement un parti politique ! Serait selon les médias "complices" d'au moins certains journalistes, le sauveur de la France en 2017 ? l'illuminé ! L'idéal ! Non mais... !!!!
Gramophone- membre
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Date d'inscription : 21/02/2009
El precio de la gloria
EL PRECIO DE LA GLORIA
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny miercoles 9 de julio del año 2014
" />
dedicado a @evaliz18 y a @evomorales
Pocas personas en la historia de la humanidad han asumido el papel de defender los pobres.
Pocas personas en la historia de la humanidad han logrado sobrevivir adoptando posiciones contrarias al sistema capitalista.
Sin embargo algunas de esas pocas personas, meritan todos los honores de la parte de los pueblos, desde luego es "imposible" favorecer las mayorías populares, sin tener que soportar la critica, el insulto, y el odio de una minoría burguesa que desde luego controla casi todo en la tierra.
Infortunadamente el poder de los medios de comunicación es tan fuerte que controla la consciencia de gentes modestas, al punto que la verdad la realidad son disfrazadas. Al punto que la mayoría de los pueblos no piensan por si mismos pero se alimentan habidamente del pensamiento programado.
Hoy se que el honorable presidente de Bolivia tiene dos hijos. Yo no soy nadie, un grano de arena en el desierto, o tal vez la mitad de un grano de arena? (Es cierto que me gusta escribir mucho más de lo que debería según se me reprocha en círculos familiares) pero desde mi humilde posición aquí en Joigny en Bourgogne en Francia, quiero expresar mi gratitud al excelente presidente de Bolivia, quien por su acción crea la esperanza en millones de personas en el mundo, personas que como yo, obrero y sindical, soñamos con un cambio fundamental del mundo.
Desde luego la obra que lleva a cabo el honorable señor Evo Morales, en Bolivia, es un ejemplo para el resto de los países llamados en vías de desarrollo, que en verdad son países pobres.
Este tipo de trabajo del señor presidente de Bolivia, exige sacrificios, que en parte afectan sobre todo a su familia y en particular a sus hijos, (por lo cual estoy escribiendo como pocas veces en español) a quien humildemente envió un mensaje de admiración, de respecto y de comprensión
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Joigny miercoles 9 de julio del año 2014
" />
dedicado a @evaliz18 y a @evomorales
Pocas personas en la historia de la humanidad han asumido el papel de defender los pobres.
Pocas personas en la historia de la humanidad han logrado sobrevivir adoptando posiciones contrarias al sistema capitalista.
Sin embargo algunas de esas pocas personas, meritan todos los honores de la parte de los pueblos, desde luego es "imposible" favorecer las mayorías populares, sin tener que soportar la critica, el insulto, y el odio de una minoría burguesa que desde luego controla casi todo en la tierra.
Infortunadamente el poder de los medios de comunicación es tan fuerte que controla la consciencia de gentes modestas, al punto que la verdad la realidad son disfrazadas. Al punto que la mayoría de los pueblos no piensan por si mismos pero se alimentan habidamente del pensamiento programado.
Hoy se que el honorable presidente de Bolivia tiene dos hijos. Yo no soy nadie, un grano de arena en el desierto, o tal vez la mitad de un grano de arena? (Es cierto que me gusta escribir mucho más de lo que debería según se me reprocha en círculos familiares) pero desde mi humilde posición aquí en Joigny en Bourgogne en Francia, quiero expresar mi gratitud al excelente presidente de Bolivia, quien por su acción crea la esperanza en millones de personas en el mundo, personas que como yo, obrero y sindical, soñamos con un cambio fundamental del mundo.
Desde luego la obra que lleva a cabo el honorable señor Evo Morales, en Bolivia, es un ejemplo para el resto de los países llamados en vías de desarrollo, que en verdad son países pobres.
Este tipo de trabajo del señor presidente de Bolivia, exige sacrificios, que en parte afectan sobre todo a su familia y en particular a sus hijos, (por lo cual estoy escribiendo como pocas veces en español) a quien humildemente envió un mensaje de admiración, de respecto y de comprensión
Qui va gouvener en 2017?
Qui doit gouverner la France ?
Par "gramophone" ou Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mercredi 6 août 2014
C'est en constatant le nombre important d'interventions d'internautes ; lorsque le sujet des élections présidentielles 2017 est abordé. Plus précisément c'est le doute sur le courant politique qui prendra le pouvoir en 2017, que j'ai envie d'aborder le sujet principale, d'après moi, ici, QUI DOIT GOUVERNER tout court!
La tradition
Depuis la nuit de temps, il y a des castes, des bourgeois, des nantis, qu'en hégémonie accaparent le pouvoir, par tradition donc, je ne tente pas de rendre ridicule la question, bien au contraire, je tente de sensibiliser l'opinion ! D'autant plus que l'actuel gouvernement, semble être favorable au néo-libéralisme, ou continuité, bien loin de l'idéologie de Jaurès.
Par tradition donc il faut admettre que le changement, est avant tout torpillé par la médiatisation. Au point que si modifications auraient eut lieu, celle-ci, sont minimisés par les médiats : une liste de 60 promesses, passés au crible, dans le lien :
http://www.lefigaro.fr/assets/promesses-hollande/Promesses-Francois-Hollande.html
Le néo-libéralisme
Il faut un regard pluridisciplinaire de la société pour tenter d'établir un diagnostique donc des solutions adaptés. Hors le seul diagnostique qui puise être exposé à chaque fois est fragmentaire. Donc cela contribue à maintenir sous silence l'évolution fulgurante des maux de l'humanité.
Collusion
Bien que certains nantis sous accoutrement de gauche, réussissent largement à berner les classes populaires, lors du suffrage, en faveur des bourgeois (définition d'actualité selon Jaurès) la politique néo-libérale préserve sans difficultés ses prérogatives. De toute évidence un gouvernement dit de "gauche" se doit d’adopter un certain nombre de mesures, donc une grande partie serait "symbolique" (le mariage pour touts). Dans le fond l'idéologie tel que conçu par Rousseau, Mill, Jaurès, dans une liste non exhaustive ne risque pas d'être mise en place. Car par évolution logique et mathématique, le parlement (sénateur et députés aux salaires élevés coiffés d'avantages et privilèges) ainsi que le gouvernement, (aussi avantagé) finissent par adopter des politiques prônés par le lobby des nantis, dans un climat de connivence ou collusion plutôt naturel. Les classes populaires, les plus nombreuses (démocratie) n'étant pas déjà organisés, puis pourvues de représentation, sont loin de représenter une quelconque force et moins encore d'y organiser des action type le lobby. Raison pour laquelle, (en règle générale) les pauvres deviennent de plus en plus pauvres (une majorité sur la surface de la terre, malgré la notion galvaudé de démocratie) et les riches augmentent de manière exponentielle leur richesse.
Comment changer ?
Sauf une utopie, (que des ouvriers aillent le courage de trouver parmi eux des leaders et de les élire en tant que députés, sénateur, et gouvernants) rien risque vraiment de changer pour les classes populaires en leur faveur ; en 2017 qui que ce soit qui récupère le pouvoir ; le féra avec le suffrage des classes populaires "majoritaires pourtant" mais flouées tout de même ; et gouvernera en faveur des nantis !
Capacité de gestion
La gestion catastrophique de la chose publique pour part des castes dominantes, n'est nullement un gage pour se maintenir au pouvoir : les crises économiques, les guerres, les génocides, sont des signes de l'incapacité des élites bourgeoises à gouverner.
Pourtant nous parlons du plus haut niveau des gens sortis des grandes universités, de la Sorbonne, de l'ENA, de HEC, mais qu'au bout des comptes, finissent par sympathiser avec les sangsues de la finance.
Par "gramophone" ou Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny mercredi 6 août 2014
C'est en constatant le nombre important d'interventions d'internautes ; lorsque le sujet des élections présidentielles 2017 est abordé. Plus précisément c'est le doute sur le courant politique qui prendra le pouvoir en 2017, que j'ai envie d'aborder le sujet principale, d'après moi, ici, QUI DOIT GOUVERNER tout court!
La tradition
Depuis la nuit de temps, il y a des castes, des bourgeois, des nantis, qu'en hégémonie accaparent le pouvoir, par tradition donc, je ne tente pas de rendre ridicule la question, bien au contraire, je tente de sensibiliser l'opinion ! D'autant plus que l'actuel gouvernement, semble être favorable au néo-libéralisme, ou continuité, bien loin de l'idéologie de Jaurès.
Par tradition donc il faut admettre que le changement, est avant tout torpillé par la médiatisation. Au point que si modifications auraient eut lieu, celle-ci, sont minimisés par les médiats : une liste de 60 promesses, passés au crible, dans le lien :
http://www.lefigaro.fr/assets/promesses-hollande/Promesses-Francois-Hollande.html
Le néo-libéralisme
Il faut un regard pluridisciplinaire de la société pour tenter d'établir un diagnostique donc des solutions adaptés. Hors le seul diagnostique qui puise être exposé à chaque fois est fragmentaire. Donc cela contribue à maintenir sous silence l'évolution fulgurante des maux de l'humanité.
Collusion
Bien que certains nantis sous accoutrement de gauche, réussissent largement à berner les classes populaires, lors du suffrage, en faveur des bourgeois (définition d'actualité selon Jaurès) la politique néo-libérale préserve sans difficultés ses prérogatives. De toute évidence un gouvernement dit de "gauche" se doit d’adopter un certain nombre de mesures, donc une grande partie serait "symbolique" (le mariage pour touts). Dans le fond l'idéologie tel que conçu par Rousseau, Mill, Jaurès, dans une liste non exhaustive ne risque pas d'être mise en place. Car par évolution logique et mathématique, le parlement (sénateur et députés aux salaires élevés coiffés d'avantages et privilèges) ainsi que le gouvernement, (aussi avantagé) finissent par adopter des politiques prônés par le lobby des nantis, dans un climat de connivence ou collusion plutôt naturel. Les classes populaires, les plus nombreuses (démocratie) n'étant pas déjà organisés, puis pourvues de représentation, sont loin de représenter une quelconque force et moins encore d'y organiser des action type le lobby. Raison pour laquelle, (en règle générale) les pauvres deviennent de plus en plus pauvres (une majorité sur la surface de la terre, malgré la notion galvaudé de démocratie) et les riches augmentent de manière exponentielle leur richesse.
Comment changer ?
Sauf une utopie, (que des ouvriers aillent le courage de trouver parmi eux des leaders et de les élire en tant que députés, sénateur, et gouvernants) rien risque vraiment de changer pour les classes populaires en leur faveur ; en 2017 qui que ce soit qui récupère le pouvoir ; le féra avec le suffrage des classes populaires "majoritaires pourtant" mais flouées tout de même ; et gouvernera en faveur des nantis !
Capacité de gestion
La gestion catastrophique de la chose publique pour part des castes dominantes, n'est nullement un gage pour se maintenir au pouvoir : les crises économiques, les guerres, les génocides, sont des signes de l'incapacité des élites bourgeoises à gouverner.
Pourtant nous parlons du plus haut niveau des gens sortis des grandes universités, de la Sorbonne, de l'ENA, de HEC, mais qu'au bout des comptes, finissent par sympathiser avec les sangsues de la finance.
Qui va gouvener en 2017? PARTIE DEUX
Un parfait incapable pour gouverner la France !
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny jeudi 7 août 2014
Dédié à Solenn de Royer, journaliste politique du journal LE FIGARO
J'observe avec curiosité, la médiatisation effrénée voir enragée d'une éventualité ; surtout le soin calculé qu'une partie importante de la presse, à dissimuler la situation judiciaire, d'un niveau plutôt pataud d'un personnage ; qui d'après "la réalité" se trouve sans cesse, cité non loin dans une longue liste d'affaires.
Présomption et trafique d'influences
Avant toute chose la présomption, reste indispensable, sauf que au début de l'automne 2010 des faits pour le moins notoires, auraient concerné le sujet de l'affaire Betancourt, en effet trois vols de matérielle concernant l'affaire aux rédactions de trois journaux ; cela est plus que de la coïncidence troublante ! Les commanditaires, ou le commanditaire ou auteur intellectuel ici ne laisse pas place au doute ! Et c'est loin d'être une simple conjecture ; de là au trafic d'influences depuis certains postes très haut au sein du gouvernement ? Nous ne sommes pas dans de la paranoïa, puisque les écoutes, (même si elles seraient illégales) vont permettre d'affirmer une caractéristique ou tendance des personnages involucrés et présumés bien sur innocents.
Capacité à gouverner
Tout de suite me vienne à l'esprit la loi TEPA, et les plus de 670 milliards d'euros d'accroissement de la dette de la France à la fin du mandat, mais voilà qu'une fois de plus toujours dans des sujets "périphériques" se parle de la même chose ; de l'argent dans des sommes, qui se comptent une fois de plus en millions d'euros, la justice semble ressortir des comptes de campagne, "très mal gérées", d'autant plus que les avoues de Jérôme Lavrilleux en direct à la télévision, sont accablants. Le candidat tant favorisé de "certains journalistes" n'est pas en réalité capable ni de gérer l'économie d'un parti politique, et moins encore de diriger l'économie de la France.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny jeudi 7 août 2014
Dédié à Solenn de Royer, journaliste politique du journal LE FIGARO
J'observe avec curiosité, la médiatisation effrénée voir enragée d'une éventualité ; surtout le soin calculé qu'une partie importante de la presse, à dissimuler la situation judiciaire, d'un niveau plutôt pataud d'un personnage ; qui d'après "la réalité" se trouve sans cesse, cité non loin dans une longue liste d'affaires.
Présomption et trafique d'influences
Avant toute chose la présomption, reste indispensable, sauf que au début de l'automne 2010 des faits pour le moins notoires, auraient concerné le sujet de l'affaire Betancourt, en effet trois vols de matérielle concernant l'affaire aux rédactions de trois journaux ; cela est plus que de la coïncidence troublante ! Les commanditaires, ou le commanditaire ou auteur intellectuel ici ne laisse pas place au doute ! Et c'est loin d'être une simple conjecture ; de là au trafic d'influences depuis certains postes très haut au sein du gouvernement ? Nous ne sommes pas dans de la paranoïa, puisque les écoutes, (même si elles seraient illégales) vont permettre d'affirmer une caractéristique ou tendance des personnages involucrés et présumés bien sur innocents.
Capacité à gouverner
Tout de suite me vienne à l'esprit la loi TEPA, et les plus de 670 milliards d'euros d'accroissement de la dette de la France à la fin du mandat, mais voilà qu'une fois de plus toujours dans des sujets "périphériques" se parle de la même chose ; de l'argent dans des sommes, qui se comptent une fois de plus en millions d'euros, la justice semble ressortir des comptes de campagne, "très mal gérées", d'autant plus que les avoues de Jérôme Lavrilleux en direct à la télévision, sont accablants. Le candidat tant favorisé de "certains journalistes" n'est pas en réalité capable ni de gérer l'économie d'un parti politique, et moins encore de diriger l'économie de la France.
De quoi est fait demain?
De quoi est fait demain ?
Par Nestor Elias RAMIRE JIMENEZ dit gramophone
Joigny 8 août 2014
Difficile d'écrire sur le future sans le risque d'être identifié à une idéologie.
Sorry because I don't speak very well in French
Dédicacé
D'ailleurs je pense à plusieurs personnes, que j'ai juste lu dans une de leurs pages d'un réseau sociale, pour plusieurs d'entre elles ; Bénédicte Alisha Gandoulas et Alain Tasca, Patrice Médéric Mazé, mais pas seulement.
Le sacerdoce et le populisme
C'est difficile encore trouver le juste milieu entre ce qu'est une mission et la tentation de jouer le caméléon pour certains personnalités de dimension politique ; hélas la personne la plus remarquable ici me semble un ex-président de la France, que tout le monde reconnaîtra si je donne comment piste le Fouquet's.
Il y a une erreur majeur, gommé par l'usage galvaudé du mot populisme, car il est courant d'assimiler au populisme tout discours édifié dans un but exclusivement de prosélytisme ; Il devienne fondamental, d'identifier tout discours prosélyte non pas avec une idéologie "NARODNITCHESTVO" (mot ruse pour un courant né en 1870) me comment une simple et banal publicité.
Hors du point de vue sémantique, les choses sont bien différentes entre une publicité, pour un vulgaire produit, et l'exercice de rhétorique visant à plaider avec des arguments pour convaincre les masses.
Danger
Oui il y a grand danger justement dans le discours et la rhétorique qui voudra gommer le phénomène de lutte de classes, car cette idéologie, loin des préceptes contemporaines, d'actualité prônés par Jean Jaurès, sont la basse du plaidoyer qui permet d'identifier une bourgeoisie, hégémonique qui de manière sournoise exploite les faibles, les frêles peuples dépourvus de connaissance, dépourvus de conscience de classe au point même de les trouver au suffrage à voter pour des gens qui (nous le constatons après) par des promesses réussissent à récupérer furtivement le vote.
La lutte de classes est aujourd'hui plus que jamais d'actualité !
Seul peuvent s'opposer une sorte de caste de caméléons politiques qui surferaient sur la bague ou filon de la tromperie politique, ceux et celles qui sous l'étiquette de gauche, une fois au pouvoir mèneraient une politique de droite.
Seul s'opposeraient à la lutte de classes des opportunistes, capables de déguiser sous apparence "populiste" des ambitions strictement favorables au capitalisme, un exemple retentissant : l'exonération des heures supplémentaires, d'un coût de 12 milliards par an. Donc seul 4 milliards finiraient dans la poche des ouvriers, le reste (cotisations patronales) donc 8 milliards pour le patronat.
Le sacerdoce
C'est plus qu'une vocation, c'est loin d'être un métier, plus qu'une passion, c'est aimer agir 24 heures sur 24, sept jours sur sept ; au service des autres, sans jamais rien atteindre, sans jamais viser une rémunération ou bénéfice pécuniaire, c'est adopter une position digne d’admiration, de respect, de touts les éloges, quand un être humain, convaincu des principes comment altruisme, humanisme, offre sans mesure sont temps à une cause noble, que cela soit en politique, syndicalisme, attention aux discours prosélytistes, populistes du genre Sarkozy ou Le Pen.
Outils des pauvres
Les classes populaires, hélas sont isolés de certains concepts de base, des études, des connaissances (je suis un ouvrier, illettré, immigré) permettant de digérer intellectuellement certains discours, aux niveaux de rhétorique volontairement rendus incompréhensibles par un lexique plutôt mnémotechnique, qui réussi à déguiser la pensée à travers d'un florilège vertueux de paroles, mise en scène, théâtralisés au point d'exhorter voir de harceler le subconscient, dans une volonté disons-le narcissique et malsaine ; devant laquelle le béotien, le quidam tombe émerveille, conquis et fini par placer au pouvoir des parfaits incapables ! Alors attention aux discours, qui ne doivent pas être populistes, tout en étant sincère, qui ne doivent pas cultiver une sorte de narcissisme, mais doivent dire les vérités.
Je sais que les ouvriers comme moi ne vont pas lire plus de trois ou quatre lignes quand j'écris, je sais que une personne sur mil, arrive jusqu'ici, mais voilà, les outils pour les béotiens, ( les quidams, les "mangeurs de riz" (1) comme moi) existent :
1° La city ou les finances en eux troubles 52 minutes de vidéo pour expliquer l'économie et ses tactiques
https://www.dailymotion.com/video/xlpx1f_documentaire-city-de-londres-la-finance-en-eaux-troubles_news
2° Let's make money (j'ai le dvd en entier mais le lien montre 17 minutes)
https://www.dailymotion.com/video/xazgpq_let-s-make-money-part6_news
Demain
Je ne suis qu'un gramophone (mon pseudonyme dans le web) et je crois avec conviction et véhémence aux paroles de Hermann Scheer "Tant que les petits gens, les pauvres gens, ne chercheraient pas à analyser les causes de leur misère, tant que les pauvres gens ne comprendrons pas la raison de leurs difficultés ; et se mettrons ensemble pour se défendre face aux sangsues de la finance, le monde ira de plus en plus mal.
(1) Une fois lorsque dans mon travail j'avais un tiers de production de plus qu'une personne respectable (d'après sa conception ethnique et raciste) devant le supérieur il m'a traité de mangeur de riz, sur le coup, pour moi ça pas été un insulte car je mange de riz deux fois par jour, et du pain très rarement.
Par Nestor Elias RAMIRE JIMENEZ dit gramophone
Joigny 8 août 2014
Difficile d'écrire sur le future sans le risque d'être identifié à une idéologie.
Sorry because I don't speak very well in French
Dédicacé
D'ailleurs je pense à plusieurs personnes, que j'ai juste lu dans une de leurs pages d'un réseau sociale, pour plusieurs d'entre elles ; Bénédicte Alisha Gandoulas et Alain Tasca, Patrice Médéric Mazé, mais pas seulement.
Le sacerdoce et le populisme
C'est difficile encore trouver le juste milieu entre ce qu'est une mission et la tentation de jouer le caméléon pour certains personnalités de dimension politique ; hélas la personne la plus remarquable ici me semble un ex-président de la France, que tout le monde reconnaîtra si je donne comment piste le Fouquet's.
Il y a une erreur majeur, gommé par l'usage galvaudé du mot populisme, car il est courant d'assimiler au populisme tout discours édifié dans un but exclusivement de prosélytisme ; Il devienne fondamental, d'identifier tout discours prosélyte non pas avec une idéologie "NARODNITCHESTVO" (mot ruse pour un courant né en 1870) me comment une simple et banal publicité.
Hors du point de vue sémantique, les choses sont bien différentes entre une publicité, pour un vulgaire produit, et l'exercice de rhétorique visant à plaider avec des arguments pour convaincre les masses.
Danger
Oui il y a grand danger justement dans le discours et la rhétorique qui voudra gommer le phénomène de lutte de classes, car cette idéologie, loin des préceptes contemporaines, d'actualité prônés par Jean Jaurès, sont la basse du plaidoyer qui permet d'identifier une bourgeoisie, hégémonique qui de manière sournoise exploite les faibles, les frêles peuples dépourvus de connaissance, dépourvus de conscience de classe au point même de les trouver au suffrage à voter pour des gens qui (nous le constatons après) par des promesses réussissent à récupérer furtivement le vote.
La lutte de classes est aujourd'hui plus que jamais d'actualité !
Seul peuvent s'opposer une sorte de caste de caméléons politiques qui surferaient sur la bague ou filon de la tromperie politique, ceux et celles qui sous l'étiquette de gauche, une fois au pouvoir mèneraient une politique de droite.
Seul s'opposeraient à la lutte de classes des opportunistes, capables de déguiser sous apparence "populiste" des ambitions strictement favorables au capitalisme, un exemple retentissant : l'exonération des heures supplémentaires, d'un coût de 12 milliards par an. Donc seul 4 milliards finiraient dans la poche des ouvriers, le reste (cotisations patronales) donc 8 milliards pour le patronat.
Le sacerdoce
C'est plus qu'une vocation, c'est loin d'être un métier, plus qu'une passion, c'est aimer agir 24 heures sur 24, sept jours sur sept ; au service des autres, sans jamais rien atteindre, sans jamais viser une rémunération ou bénéfice pécuniaire, c'est adopter une position digne d’admiration, de respect, de touts les éloges, quand un être humain, convaincu des principes comment altruisme, humanisme, offre sans mesure sont temps à une cause noble, que cela soit en politique, syndicalisme, attention aux discours prosélytistes, populistes du genre Sarkozy ou Le Pen.
Outils des pauvres
Les classes populaires, hélas sont isolés de certains concepts de base, des études, des connaissances (je suis un ouvrier, illettré, immigré) permettant de digérer intellectuellement certains discours, aux niveaux de rhétorique volontairement rendus incompréhensibles par un lexique plutôt mnémotechnique, qui réussi à déguiser la pensée à travers d'un florilège vertueux de paroles, mise en scène, théâtralisés au point d'exhorter voir de harceler le subconscient, dans une volonté disons-le narcissique et malsaine ; devant laquelle le béotien, le quidam tombe émerveille, conquis et fini par placer au pouvoir des parfaits incapables ! Alors attention aux discours, qui ne doivent pas être populistes, tout en étant sincère, qui ne doivent pas cultiver une sorte de narcissisme, mais doivent dire les vérités.
Je sais que les ouvriers comme moi ne vont pas lire plus de trois ou quatre lignes quand j'écris, je sais que une personne sur mil, arrive jusqu'ici, mais voilà, les outils pour les béotiens, ( les quidams, les "mangeurs de riz" (1) comme moi) existent :
1° La city ou les finances en eux troubles 52 minutes de vidéo pour expliquer l'économie et ses tactiques
https://www.dailymotion.com/video/xlpx1f_documentaire-city-de-londres-la-finance-en-eaux-troubles_news
2° Let's make money (j'ai le dvd en entier mais le lien montre 17 minutes)
https://www.dailymotion.com/video/xazgpq_let-s-make-money-part6_news
Demain
Je ne suis qu'un gramophone (mon pseudonyme dans le web) et je crois avec conviction et véhémence aux paroles de Hermann Scheer "Tant que les petits gens, les pauvres gens, ne chercheraient pas à analyser les causes de leur misère, tant que les pauvres gens ne comprendrons pas la raison de leurs difficultés ; et se mettrons ensemble pour se défendre face aux sangsues de la finance, le monde ira de plus en plus mal.
(1) Une fois lorsque dans mon travail j'avais un tiers de production de plus qu'une personne respectable (d'après sa conception ethnique et raciste) devant le supérieur il m'a traité de mangeur de riz, sur le coup, pour moi ça pas été un insulte car je mange de riz deux fois par jour, et du pain très rarement.
Signal d'alarme
Signal d’alarme
Vu que la crise économique de 2008 a été construite de toute pièce par un système financier véreux
Vu que les pays le plus enclin à la mondialisation, l’économie axé sur les finances sont ceux les plus touchés.
Vu que dans l’histoire de l’humanité une crise semblable a eut lieu en 1929, donc la réponse du président Roosevelt est connue.
Vu que la puissance médiatique des sangsues de la finance, reste monumentale vis à vis de mes modestes moyens.
Vu que le chômage affecte directement la croissance, et la protection sociale, (49 % des ressources de l’état viennent de la TVA, 25 % de ses ressources viennent de la fiscalité sur le revenu ? Moins de 5 % des ressources de Bercy viennent des banques et des assurances.
Il est urgent tirer des leçons :
Les classes populaires très nombreuses des pays jusqu’à il y a quelques années, dites les plus riches, sont celles les plus frappés par le système des sangsues de la finance.
Le taux de des-emploi (chômage) des pays antan riches, va se maintenir à des niveaux réels de plus de 12 %
La protection sociale, se trouve affaiblie d’office par la drastique réduction dans les prélèvements, (moins de gens au travail) accessoirement accompagnée de l’augmentation vertigineuse des allocation chômage (plus de gens sans emploi) ; les politiques de austérité, vienne se greffer dans le cas de pays, déjà affaiblis par des gestions aléatoires de leur fiscalité et leur économie.
Les sentiments, nationalistes, de extrême droite, exacerbés, véhéments vont se développer par effet connu déjà, puisque la crise de 1929 aura favorisé grandement la fertilité des idées du national socialisme, qui culminera avec la Shoah et la deuxième guerre mondiale. Il est connu de touts l’évolution en France et en Europe, de certains idées, qui réussissent par la voie du suffrage à se cristalliser.
En conclusion
La cause directe du dévouement criant des classes populaires, pour des idées de extrême droite, doivent occuper très vite, certains esprits qui se targuent d’être supérieurs, esprits donc j’accuse directement, SANS AMBIGUÏTÉ, de prendre des risques, j’accuse d’inaction, ceux qui à différence de moi, petit ignare, illettré, feraient de la politique, plutôt pour soif de pouvoir, que pour envie de servir l’humanité : Je les accuses de connivence, je les accuse de conflit d’intérêts. Que sont la conséquence de l’absence aberrante de discernement critique parmi les gens modestes, déjà sur les causes constantes d’un chaos organisé. J'accuse les leaders politiques de tradition de tenter de manière sournoise de minimiser voir d’occulter, la responsabilité des sangsues de la finance, qui sont les responsables en dernière instance de l’augmentation du chômage.
Je tiens à souligner que cette sorte de connivence, conflit d’intérêts entre les concepteurs des lois et les sangsues de la finance, attaque avec violence inuit les fondements mêmes des notions de démocratie, de république, d’harmonie sociale. Je souligne que l’histoire nous offre déjà des leçons, que tant d’illustres, ÉNARQUES, auraient apparentement oublié. Je souligne très inquiet que c’est insupportable, voir venir les élections présidentielles de 2017 dans des tels conditions.
Je supporte très mal l’abus de langage des représentants de extrême droite, qui surfent sans difficulté, sur la naïveté monumentale des classes populaires, leaders populistes qui profitent du travail de longue haleine du système, travail qui consiste à la extirpation sournoise de la conscience sociale.
Je crois qu’il est aussi irresponsable le rôle des médias qui de manière " sournoise " poussent les classes populaires, par leur discours, par leur manque d’impartialité, par leur discours biaisé, beaucoup des jeunes gens dans les griffes du loup.
Les sangsues de la finance, un discours irresponsable, des partis politiques, le manque de action en justice contre les responsables de la crise, (modification des lois, de la fiscalité, suppression des paradis fiscaux) amplifiés de manière scandaleuse, par les médias. Font le lit du développement des idées qui vont à l’encontre des fondements mêmes de toute république, qui minent aussi la notion même de démocratie. Voilà la source toute faite de la fourberie, des promesses, fallacieuses, de la extrême droite.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny dimanche 7 septembre 2014
Vu que la crise économique de 2008 a été construite de toute pièce par un système financier véreux
Vu que les pays le plus enclin à la mondialisation, l’économie axé sur les finances sont ceux les plus touchés.
Vu que dans l’histoire de l’humanité une crise semblable a eut lieu en 1929, donc la réponse du président Roosevelt est connue.
Vu que la puissance médiatique des sangsues de la finance, reste monumentale vis à vis de mes modestes moyens.
Vu que le chômage affecte directement la croissance, et la protection sociale, (49 % des ressources de l’état viennent de la TVA, 25 % de ses ressources viennent de la fiscalité sur le revenu ? Moins de 5 % des ressources de Bercy viennent des banques et des assurances.
Il est urgent tirer des leçons :
Les classes populaires très nombreuses des pays jusqu’à il y a quelques années, dites les plus riches, sont celles les plus frappés par le système des sangsues de la finance.
Le taux de des-emploi (chômage) des pays antan riches, va se maintenir à des niveaux réels de plus de 12 %
La protection sociale, se trouve affaiblie d’office par la drastique réduction dans les prélèvements, (moins de gens au travail) accessoirement accompagnée de l’augmentation vertigineuse des allocation chômage (plus de gens sans emploi) ; les politiques de austérité, vienne se greffer dans le cas de pays, déjà affaiblis par des gestions aléatoires de leur fiscalité et leur économie.
Les sentiments, nationalistes, de extrême droite, exacerbés, véhéments vont se développer par effet connu déjà, puisque la crise de 1929 aura favorisé grandement la fertilité des idées du national socialisme, qui culminera avec la Shoah et la deuxième guerre mondiale. Il est connu de touts l’évolution en France et en Europe, de certains idées, qui réussissent par la voie du suffrage à se cristalliser.
En conclusion
La cause directe du dévouement criant des classes populaires, pour des idées de extrême droite, doivent occuper très vite, certains esprits qui se targuent d’être supérieurs, esprits donc j’accuse directement, SANS AMBIGUÏTÉ, de prendre des risques, j’accuse d’inaction, ceux qui à différence de moi, petit ignare, illettré, feraient de la politique, plutôt pour soif de pouvoir, que pour envie de servir l’humanité : Je les accuses de connivence, je les accuse de conflit d’intérêts. Que sont la conséquence de l’absence aberrante de discernement critique parmi les gens modestes, déjà sur les causes constantes d’un chaos organisé. J'accuse les leaders politiques de tradition de tenter de manière sournoise de minimiser voir d’occulter, la responsabilité des sangsues de la finance, qui sont les responsables en dernière instance de l’augmentation du chômage.
Je tiens à souligner que cette sorte de connivence, conflit d’intérêts entre les concepteurs des lois et les sangsues de la finance, attaque avec violence inuit les fondements mêmes des notions de démocratie, de république, d’harmonie sociale. Je souligne que l’histoire nous offre déjà des leçons, que tant d’illustres, ÉNARQUES, auraient apparentement oublié. Je souligne très inquiet que c’est insupportable, voir venir les élections présidentielles de 2017 dans des tels conditions.
Je supporte très mal l’abus de langage des représentants de extrême droite, qui surfent sans difficulté, sur la naïveté monumentale des classes populaires, leaders populistes qui profitent du travail de longue haleine du système, travail qui consiste à la extirpation sournoise de la conscience sociale.
Je crois qu’il est aussi irresponsable le rôle des médias qui de manière " sournoise " poussent les classes populaires, par leur discours, par leur manque d’impartialité, par leur discours biaisé, beaucoup des jeunes gens dans les griffes du loup.
Les sangsues de la finance, un discours irresponsable, des partis politiques, le manque de action en justice contre les responsables de la crise, (modification des lois, de la fiscalité, suppression des paradis fiscaux) amplifiés de manière scandaleuse, par les médias. Font le lit du développement des idées qui vont à l’encontre des fondements mêmes de toute république, qui minent aussi la notion même de démocratie. Voilà la source toute faite de la fourberie, des promesses, fallacieuses, de la extrême droite.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny dimanche 7 septembre 2014
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Le Pen face à Valls
La monté des extrémistes
J’observe scandalisé la passe d’armes entre deux leaders, l’un ou pourvoir, l’autre dans l’opposition extrême.
Aucun des deux, semble prendre la mesure, des risques et conséquences de cette course de rhétorique qui seul réussi à exaspérer a exacerber l’opinion du quidam de basse. Aucun des deux semble vraiment responsable, puisque les deux font table rase, ou encouragent les actes sauvages tel que ceux des fous isolés qui par manque de conscience sociale, par manque de connaissances dignes sur l’histoire trouvent dans le crime odieux la seule forme d’exister, et je suis loin de vouloir faire l’apologie en donnant des noms et soulignant les actes criminels. Propres à des gens écervelés ou des zombies qui se multiplient dans cette société là.
Pour quoi il y a le terrorisme ?
Le terrorisme naisse et se développe exclusivement lorsqu’il y des esprits faibles, des consciences frêles, qui sont encourages par une éducation qui semble démissionnaire. Esprits pousses par la misère, poussés par la faim, poussés par le manqué de débouchés ou véritables opportunités de s’épanouir sur le plan professionnel et personnel. La misère économique n’est que la parte visible de l’iceberg de l’ignorance des nouvelles générations. Misère qui est la conséquence exclusive d’une mauvaise distribution du fruit de la plus-value. (Thomas Piketti, Etienne Chouard, Miret Zaki, Joseph E. Stiglitz)
Oui le rôle de l’éducation, a été volontairement asséchée, du contenu, par la volonté de ceux qui auraient gouverné, non pas des ignares, non pas des quidams que je sache ; des membres d’une élite qui par le mensonge réussi à monter au trône du pouvoir : députés, sénateurs, présidents, ministres, etc.
La gouvernance des nations, est complice par omission, par connivence, des nantis, qui depuis Bretton Woods en 1944 avec Keynes, mais encore depuis Adam Smith, ensuite avec la vertigineuse déréglementation promu par Margaret Thatcher entre autres ; auraient réussi à soustraire des milliards, et à la fiscalité, et au rôle fondateur du travail, en tant qu’acte éminemment sociale, (la tva produit 49 % des recettes de Bercy, et l’impôt sur le revenu génère 25 % des recettes de l’état)
C’est décidément ridicule tout discours autant au gouvernement que dans les rangs de l’extrême droite, lorsque les vrais causes des maux de la société, ne sot pas clairement annoncés.
C’est décidément absurde donc toute tentative de s’accuser mutuellement entre les gens au pouvoir et les leaders de l’extrême droite ; comment il est nul et non avenant toute fourberie où un leader au pouvoir tenterai de brandir l’aléa d’un triomphe hypothétique de l’extrême droite aux élections présidentielles 2017, comment étendard plutôt frêle, dépourvue de courage intellectuel, face à la réalité des responsables de la misère, responsables de la désindustrialisation, responsables du chômage, c’est-à-dire les sangsues de la finance.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny dimanche 7 septembre 2014
J’observe scandalisé la passe d’armes entre deux leaders, l’un ou pourvoir, l’autre dans l’opposition extrême.
Aucun des deux, semble prendre la mesure, des risques et conséquences de cette course de rhétorique qui seul réussi à exaspérer a exacerber l’opinion du quidam de basse. Aucun des deux semble vraiment responsable, puisque les deux font table rase, ou encouragent les actes sauvages tel que ceux des fous isolés qui par manque de conscience sociale, par manque de connaissances dignes sur l’histoire trouvent dans le crime odieux la seule forme d’exister, et je suis loin de vouloir faire l’apologie en donnant des noms et soulignant les actes criminels. Propres à des gens écervelés ou des zombies qui se multiplient dans cette société là.
Pour quoi il y a le terrorisme ?
Le terrorisme naisse et se développe exclusivement lorsqu’il y des esprits faibles, des consciences frêles, qui sont encourages par une éducation qui semble démissionnaire. Esprits pousses par la misère, poussés par la faim, poussés par le manqué de débouchés ou véritables opportunités de s’épanouir sur le plan professionnel et personnel. La misère économique n’est que la parte visible de l’iceberg de l’ignorance des nouvelles générations. Misère qui est la conséquence exclusive d’une mauvaise distribution du fruit de la plus-value. (Thomas Piketti, Etienne Chouard, Miret Zaki, Joseph E. Stiglitz)
Oui le rôle de l’éducation, a été volontairement asséchée, du contenu, par la volonté de ceux qui auraient gouverné, non pas des ignares, non pas des quidams que je sache ; des membres d’une élite qui par le mensonge réussi à monter au trône du pouvoir : députés, sénateurs, présidents, ministres, etc.
La gouvernance des nations, est complice par omission, par connivence, des nantis, qui depuis Bretton Woods en 1944 avec Keynes, mais encore depuis Adam Smith, ensuite avec la vertigineuse déréglementation promu par Margaret Thatcher entre autres ; auraient réussi à soustraire des milliards, et à la fiscalité, et au rôle fondateur du travail, en tant qu’acte éminemment sociale, (la tva produit 49 % des recettes de Bercy, et l’impôt sur le revenu génère 25 % des recettes de l’état)
C’est décidément ridicule tout discours autant au gouvernement que dans les rangs de l’extrême droite, lorsque les vrais causes des maux de la société, ne sot pas clairement annoncés.
C’est décidément absurde donc toute tentative de s’accuser mutuellement entre les gens au pouvoir et les leaders de l’extrême droite ; comment il est nul et non avenant toute fourberie où un leader au pouvoir tenterai de brandir l’aléa d’un triomphe hypothétique de l’extrême droite aux élections présidentielles 2017, comment étendard plutôt frêle, dépourvue de courage intellectuel, face à la réalité des responsables de la misère, responsables de la désindustrialisation, responsables du chômage, c’est-à-dire les sangsues de la finance.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny dimanche 7 septembre 2014
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Presse et politique : L'opinion et les sondages
Presse et politique : L'opinion et les sondages
" />
Je sais à l'avance que j'affronte un pouvoir sans pair, et cela comporte des risques, mais je regarde les faits, en toute impartialité.
Soyons sérieux !
Messieurs damas, de cette partie là de la presse qui nui gravement aux principes indéniables qui garantiraient par l'impartialité la crédibilité indispensables au vraie journalisme :
Pour appréhender pour quoi l'opinion publique devienne légataire de la popularité d'un gouvernement, il est indispensable analyser en profondeur qui est à l'origine de l'ascendant qu'assujetti le citoyen lambda.
Un journaliste a une responsabilité différente de la ligne éditoriale, aucune notions d'urgence pourra altérer la nécessaire vérification du contenu. L'esprit critique doit se détacher de ses inclinaisons politiques, plus que l'équité c'est l'impartialité qui sont le socle même de la notion de journaliste.
Il me semble qu'il y a plutôt une intention de nuire et de manipuler que d'informer dans certains discours.
Le 19h de Ruth Elkrief du mercredi 10 septembre 2014 (voir vidéo sur YOUTUBE dans le lien joint) s'apparente plus à une publicité après-vente de la candidature de Nicolas SARKOZY qu'un travail professionnel de journalisme. Le discours de la journaliste ANNA CABANA et tout sauf un travail qui tiendrai compte le moins du monde des principes de la charte d'éthique professionnelle des journalistes.
Vidéo disponible : https://www.youtube.com/watch?v=mbXHMyXMUGk
Il me semble qu'un site internet existe sur l'affaire Karachi, (voir lien ci-dessous pour le site internet sur l'affaire KARACHI) site que l'ensemble de la presse, ne peut pas ignorer, [u]un site internet que de contenir des mensonges et ou calomnies, aurait pas le droit d'exister ![/u] Hors il existe belle et bien.
http://www.verite-attentat-karachi.org/
Service après-vente honteux
Un homme a eut le courage de se confesser en publique à la télévision justement devant des millions de téléspectateurs, je parle de monsieur Jérôme Lavrilleux, zut à la fin. La même personne qu'aura écrit avec un texte insidieux à l’encontre de monsieur Lavrilleux, en date du 10/06/2014 (Anna Cabana, voir lien pour le texte original ici-dessous) La même présentatrice que recueille la confession le 26/05/2014 ;
"j'ai un sens de l'honneur qui n'existe plus dans le milieux de la politique".
Sujet écrit d'Anna Cabana (lien) http://www.lepoint.fr/politique/jerome-lavrilleux-se-confie-et-balance-1-10-06-2014-1834259_20.php
Je trouve madame Ruth Elkrief plutôt désintéressée de la recherche de vérité, par exemple des gens proches, bien que monsieur Lavrilleux insiste sur la volonté de garder des noms pour la justice.
Je trouve monsieur Lavrilleux plutôt une personne normale, non pas comment un déséquilibre, qui est décrit par la journaliste ANNA CABANA.
Dans mes lignes, je reste superficiel à l’extrême sur le nombre de dossiers que la justice examine depuis des années, sur une personne qui sans savoir gérer les comptes d'un parti, qui fait une quête aux encarte du parti pour combler le déficit, et que dispose de toute la puissance d'une partie de médias pour exister et tenter de revenir à la scène politique ; la personne qui aurait alourdit la dette de la France de 670 milliards d'euros pour la loi inutile sous le nom TEPA ?
Une telle personne, serait SÉRIEUSEMENT capable de gouverner la FRANCE?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny, mercredi 10 septembre 2014
" />
Je sais à l'avance que j'affronte un pouvoir sans pair, et cela comporte des risques, mais je regarde les faits, en toute impartialité.
Soyons sérieux !
Messieurs damas, de cette partie là de la presse qui nui gravement aux principes indéniables qui garantiraient par l'impartialité la crédibilité indispensables au vraie journalisme :
Pour appréhender pour quoi l'opinion publique devienne légataire de la popularité d'un gouvernement, il est indispensable analyser en profondeur qui est à l'origine de l'ascendant qu'assujetti le citoyen lambda.
Un journaliste a une responsabilité différente de la ligne éditoriale, aucune notions d'urgence pourra altérer la nécessaire vérification du contenu. L'esprit critique doit se détacher de ses inclinaisons politiques, plus que l'équité c'est l'impartialité qui sont le socle même de la notion de journaliste.
Il me semble qu'il y a plutôt une intention de nuire et de manipuler que d'informer dans certains discours.
Le 19h de Ruth Elkrief du mercredi 10 septembre 2014 (voir vidéo sur YOUTUBE dans le lien joint) s'apparente plus à une publicité après-vente de la candidature de Nicolas SARKOZY qu'un travail professionnel de journalisme. Le discours de la journaliste ANNA CABANA et tout sauf un travail qui tiendrai compte le moins du monde des principes de la charte d'éthique professionnelle des journalistes.
Vidéo disponible : https://www.youtube.com/watch?v=mbXHMyXMUGk
Il me semble qu'un site internet existe sur l'affaire Karachi, (voir lien ci-dessous pour le site internet sur l'affaire KARACHI) site que l'ensemble de la presse, ne peut pas ignorer, [u]un site internet que de contenir des mensonges et ou calomnies, aurait pas le droit d'exister ![/u] Hors il existe belle et bien.
http://www.verite-attentat-karachi.org/
Service après-vente honteux
Un homme a eut le courage de se confesser en publique à la télévision justement devant des millions de téléspectateurs, je parle de monsieur Jérôme Lavrilleux, zut à la fin. La même personne qu'aura écrit avec un texte insidieux à l’encontre de monsieur Lavrilleux, en date du 10/06/2014 (Anna Cabana, voir lien pour le texte original ici-dessous) La même présentatrice que recueille la confession le 26/05/2014 ;
"j'ai un sens de l'honneur qui n'existe plus dans le milieux de la politique".
Sujet écrit d'Anna Cabana (lien) http://www.lepoint.fr/politique/jerome-lavrilleux-se-confie-et-balance-1-10-06-2014-1834259_20.php
Je trouve madame Ruth Elkrief plutôt désintéressée de la recherche de vérité, par exemple des gens proches, bien que monsieur Lavrilleux insiste sur la volonté de garder des noms pour la justice.
Je trouve monsieur Lavrilleux plutôt une personne normale, non pas comment un déséquilibre, qui est décrit par la journaliste ANNA CABANA.
Dans mes lignes, je reste superficiel à l’extrême sur le nombre de dossiers que la justice examine depuis des années, sur une personne qui sans savoir gérer les comptes d'un parti, qui fait une quête aux encarte du parti pour combler le déficit, et que dispose de toute la puissance d'une partie de médias pour exister et tenter de revenir à la scène politique ; la personne qui aurait alourdit la dette de la France de 670 milliards d'euros pour la loi inutile sous le nom TEPA ?
Une telle personne, serait SÉRIEUSEMENT capable de gouverner la FRANCE?
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny, mercredi 10 septembre 2014
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Le temps de travail
Regard impartial sur l'économie et la démocratie
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Prenons la phrase galvaudée "Les 35 heures en France c'est pas bien" ou "Aucun autre pays aura choisie de réduire le temps de travail"
Certains sujets exigent plus que des mots, plus que des longs discours ; de la méthodologie, des chiffres et des graphiques.
Le temps de travail
Les acolytes du néo-libéralisme ont tendance à pointer du doigt, les 35 heures en France, cela-étain, nous parlons d'un symbole ; car pendant des années, et sans doute certains entreprises le font encore, le temps effectif à été séparé du temps de présence, dans le sens que le temps effectif correspond au temps pendant lequel les personnes sont sur le poste de travail. Alors que le temps de présence, correspond au temps entre l'entre et la sortie de l'entreprise. Ainsi sont déduit du temps effectif le ou les pauses, le temps d'habillement, etc.
Une entorse majeur à la définition de temps de travail contemplé dans le code du travail tel qu'il existé il y a de ça, quelques années, où le temps de travail, devait correspondre au temps pendant lequel l'employé, se trouvait à la disposition de l'employeur.
D'ailleurs lorsque certains personnes encore maintenant, se trouve "en pause " il arrive qu'il soit sollicité en urgence ; fait qui vienne corroborer la définition initial et logique de temps de travail.
Les employeurs, auraient donc modifié et validé certains modifications de vocabulaire, tout en conservant les 8 heures de présence quotidienne ou 40 heures de présence hebdomadaire. Par un jeu que consiste à considérer le temps de pause, le temps d'habillement hors le temps du travail.
Le temps de travail en France n'est ni plus ni moins que dans la moyenne en Europe, le graphique ci-dessus donne un comparatif pour différents pays.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny 11 septembre 2014
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Prenons la phrase galvaudée "Les 35 heures en France c'est pas bien" ou "Aucun autre pays aura choisie de réduire le temps de travail"
Certains sujets exigent plus que des mots, plus que des longs discours ; de la méthodologie, des chiffres et des graphiques.
Le temps de travail
Les acolytes du néo-libéralisme ont tendance à pointer du doigt, les 35 heures en France, cela-étain, nous parlons d'un symbole ; car pendant des années, et sans doute certains entreprises le font encore, le temps effectif à été séparé du temps de présence, dans le sens que le temps effectif correspond au temps pendant lequel les personnes sont sur le poste de travail. Alors que le temps de présence, correspond au temps entre l'entre et la sortie de l'entreprise. Ainsi sont déduit du temps effectif le ou les pauses, le temps d'habillement, etc.
Une entorse majeur à la définition de temps de travail contemplé dans le code du travail tel qu'il existé il y a de ça, quelques années, où le temps de travail, devait correspondre au temps pendant lequel l'employé, se trouvait à la disposition de l'employeur.
D'ailleurs lorsque certains personnes encore maintenant, se trouve "en pause " il arrive qu'il soit sollicité en urgence ; fait qui vienne corroborer la définition initial et logique de temps de travail.
Les employeurs, auraient donc modifié et validé certains modifications de vocabulaire, tout en conservant les 8 heures de présence quotidienne ou 40 heures de présence hebdomadaire. Par un jeu que consiste à considérer le temps de pause, le temps d'habillement hors le temps du travail.
Le temps de travail en France n'est ni plus ni moins que dans la moyenne en Europe, le graphique ci-dessus donne un comparatif pour différents pays.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny 11 septembre 2014
Justice démocratie et politique
Justice démocratie et politique
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ ou gramophone
Joigny samedi 13 septembre 2014
Il est difficile de choisir un titre, dans une époque ou le mensonge et l’hypocrisie sont des éléments indispensables pour réussir. Je ne crains pas de me tromper si j’affirme que pour triompher en politique il faut absolument mentir.
Il serrait plus que puérile absurde, faire croire au grand public des promesses pleines de rhétorique chargée des mots galvaudés : l’impartialité, la justice sociale, la gestion irréprochable ; à côté d’autres promesses populistes, sont les meilleurs outils de prosélytisme que à chaque fois permettent à un candidat de devenirs présidents.
La question intéressante serait des savoirs si la justice la démocratie et la politique seraient de droites ou de gauche.
Une décision de justice ne peut être ni de droite ni de gauche ; quant à la démocratie et la politique il serrait aussi une grave erreur de le penser. Une erreur que n’aurait d’égal que c’est tromper sur les enseignements de Charles Darwin et Adam Smith
Deux personnes qu’avec minutie de détails auraient réussie à prouver que le travail répétitif est la base de perfectionnement des métiers.
Le lecteur comprendra que je n’invente rien, d’ailleurs je n’ai pas la prétention, Darwin affirme que c’est le travail qui transforme le singe en homme, quant à Monsieur Adams Smith bien avant la méthode du constructeurs de voitures Ford, (Taylorisme) réussi à démontrer que le fait de faire une même tâche tout le temps, augmente la rentabilité d’une activité quelconque.
J’ai la certitude que jusqu’ici tout le monde est d’accord, de droite comme de gauche, par contre c’est à partir de maintenant que les choses vont se gâter.
Scientifiquement nous pouvons prouver que la valeur ajoutée dans un travail ne peut être que meilleur avec l’expérience, bien qu’il y ait des facteurs qui vont modifier les résultats, la présence indispensable des cadres, les respects des règles de fonctionnement, sont des éléments indispensables sans quoi les risques de dérives sont nuisibles à l’entreprise.
Même si certaines tâches sont complexes, une fois que le cerveau a assimilé et que les gestes deviennent instinctifs avec un bon encadrement une et une bonne atmosphère dans une entreprise la rentabilité doit augmenter. Pour le coup parlons de valeur ajoutée ; il faut garder en tête la différence entre le stade de la matière première et le stade de la pièce finie.
Entre les deux il y a un temps, des machines, des consommables, et de la main-d’œuvre.
Il est très important de considérer, que la production des biens et services jeu un rôle prépondérant, un rôle éminemment social, car nous parlons d’un procès où s’opère la transformation de la matière qui ne seulement génère de la richesse sous forme de valeur ajoutée, de fiscalité mais aussi et surtout sur forme de salaire.
Il me semble important considérer le même procès sur un autre angle de vue, les crédits la finance et les assurances sont des recours indispensables dans bon nombre des cas ; le crédit par exemple permet des faire évoluer un procès malgré quoi les profits de la production des biens et des services, né doivent pas être inférieur au profit des groupes financiers.
Or la théorie de Adam Smith reste impartiale, ces personnes qui ce sons spécialisée dans le domaine financier ont réussi à mettre tous les chances de leur côté au point que de nos jours les milieux financiers dégagent une rentabilité beaucoup plus juteuses que la production matérielle.
Du point de vue de l’éthique, le moral et la politique: "tant que la connivence et les conflits d’intérêts subsistaient entre finances et gouvernements, il est impossible qu’il y ait sur la terre un seul gouvernement juste et démocratique".
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ ou gramophone
Joigny samedi 13 septembre 2014
Il est difficile de choisir un titre, dans une époque ou le mensonge et l’hypocrisie sont des éléments indispensables pour réussir. Je ne crains pas de me tromper si j’affirme que pour triompher en politique il faut absolument mentir.
Il serrait plus que puérile absurde, faire croire au grand public des promesses pleines de rhétorique chargée des mots galvaudés : l’impartialité, la justice sociale, la gestion irréprochable ; à côté d’autres promesses populistes, sont les meilleurs outils de prosélytisme que à chaque fois permettent à un candidat de devenirs présidents.
La question intéressante serait des savoirs si la justice la démocratie et la politique seraient de droites ou de gauche.
Une décision de justice ne peut être ni de droite ni de gauche ; quant à la démocratie et la politique il serrait aussi une grave erreur de le penser. Une erreur que n’aurait d’égal que c’est tromper sur les enseignements de Charles Darwin et Adam Smith
Deux personnes qu’avec minutie de détails auraient réussie à prouver que le travail répétitif est la base de perfectionnement des métiers.
Le lecteur comprendra que je n’invente rien, d’ailleurs je n’ai pas la prétention, Darwin affirme que c’est le travail qui transforme le singe en homme, quant à Monsieur Adams Smith bien avant la méthode du constructeurs de voitures Ford, (Taylorisme) réussi à démontrer que le fait de faire une même tâche tout le temps, augmente la rentabilité d’une activité quelconque.
J’ai la certitude que jusqu’ici tout le monde est d’accord, de droite comme de gauche, par contre c’est à partir de maintenant que les choses vont se gâter.
Scientifiquement nous pouvons prouver que la valeur ajoutée dans un travail ne peut être que meilleur avec l’expérience, bien qu’il y ait des facteurs qui vont modifier les résultats, la présence indispensable des cadres, les respects des règles de fonctionnement, sont des éléments indispensables sans quoi les risques de dérives sont nuisibles à l’entreprise.
Même si certaines tâches sont complexes, une fois que le cerveau a assimilé et que les gestes deviennent instinctifs avec un bon encadrement une et une bonne atmosphère dans une entreprise la rentabilité doit augmenter. Pour le coup parlons de valeur ajoutée ; il faut garder en tête la différence entre le stade de la matière première et le stade de la pièce finie.
Entre les deux il y a un temps, des machines, des consommables, et de la main-d’œuvre.
Il est très important de considérer, que la production des biens et services jeu un rôle prépondérant, un rôle éminemment social, car nous parlons d’un procès où s’opère la transformation de la matière qui ne seulement génère de la richesse sous forme de valeur ajoutée, de fiscalité mais aussi et surtout sur forme de salaire.
Il me semble important considérer le même procès sur un autre angle de vue, les crédits la finance et les assurances sont des recours indispensables dans bon nombre des cas ; le crédit par exemple permet des faire évoluer un procès malgré quoi les profits de la production des biens et des services, né doivent pas être inférieur au profit des groupes financiers.
Or la théorie de Adam Smith reste impartiale, ces personnes qui ce sons spécialisée dans le domaine financier ont réussi à mettre tous les chances de leur côté au point que de nos jours les milieux financiers dégagent une rentabilité beaucoup plus juteuses que la production matérielle.
Du point de vue de l’éthique, le moral et la politique: "tant que la connivence et les conflits d’intérêts subsistaient entre finances et gouvernements, il est impossible qu’il y ait sur la terre un seul gouvernement juste et démocratique".
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
Politique et pragmatisme
Politique et pragmatisme
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny dimanche 14 septembre 2014
Comment dans le cas de maladie, les traitements que doit recevoir une maladie, peut être bons au mauvais, la guérison dépend du diagnostic ; quel qu’il soit le recul que l’on prend à niveau de l’histoire de l’humanité, nous pouvons constater l’affrontement entre le désir de s’enrichir d’un côté et le besoin de survivre de l’autre.
À l’époque des monarchies et encore de nos jours l’esclavage nous montre deux types de population d’un côté l’esclavagiste et de l’autre l’esclave. Puis nous avons la notion de république qui semble encadrer la démocratie ici et là, nous avons des dictatures, sans oublier le régime soviétique.
Quel qu’il soit l’intensité des notre travail d’observation, quel qu’il soit le nombre des pays qui nous regardions en détail il y a toujours la même configuration, composé d’une ou plusieurs familles qui dirigent la nation puis à côté d’autres classes au moins 25 % serraient des acolytes des premiers donc non loin des 70 % de la population qui reste, servirait à supporter économiquement sous forme des mains d’œuvre et suffragants les premiers.
Toute formation politique dans une république à besoin de 70 % de la population qui serrait cantonnée au rôle d’électeurs. Il faut se rendre à l’évidence, 5 % de la population finie pour s’adjuger des pouvoirs ; qui dit pouvoir dit avantages de touts types. Il y a qu’à regarder les régimes des salaires et des retraites des députés et sénateurs de présidents ainsi que grand nombre de personnes ayant occupé un poste important dans les gouvernements.
La démocratie
Nous ne pouvons pas nommer démocratie un régime où les privilèges sont réservés à 5 % de la population, nous ne pouvons pas nommer démocratie un régime où 70 % de la population doit ce serrer la ceinture pour faire vivre 5 % des privilégiés de la manière la plus injuste. Il est facile de constater que la représentation des classes ouvrières dans les institutions reste insignifiante, pour ne pas dire nul. En Angleterre existe même le parti des travailleurs, composé des toutes évidences des travailleurs à la basse mais que en fin des comptes sont dirigés par une oligarchie dédiée à appliquer des politiques ultralibérales.
Hypocrisie.
C’est un mensonge ridicule croire qu’un parti politique est en mesure d’appliquer une politique favorable à la classe ouvrière ; il me semble illusoire tout idée qui voudra faire admettre que les classes populaires sont représentées dans n’importe quel gouvernement sur la terre.
Populisme
Une pratique des leaders politiques assoiffés du pouvoir, consistait à faire écouter à l’électorat justement ce qu’il veut entendre. Même s’il s’agit des promesses qui sont contraires à la constitution. Le populisme ce n’est pas de la politique, c’est de la manipulation intellectuelle, manipulation rendue possible par le bas niveau d’éducation enseignée aux classes populaires.
Orphelin
Les classes populaires vivent en effet orphelines de vrais représentants au Parlement, de vrais représentants parmi les gouvernements, la classe ouvrière malgré qu’elle représente non loin des 60 % de la population dans le monde se trouve alors manipulée par une élite qui ne dépasse pas 5 %. Le plus grave est que moins de 5% des gens sur la terre, sont bénéficiaire par des moyens détournés de plus de 90% de la plus-value. La France à travers l’histoire de l’humanité à toujours su montrer le chemin de la raison, le chemin de la justice, de l’altruisme, de l’humanisme, de la liberté et de la paix.
Hélas la situation de l’humanité évolue depuis des siècles, dans un cadre figé duquel il est difficile de s’en sortir par des méthodes traditionnelles.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny dimanche 14 septembre 2014
Comment dans le cas de maladie, les traitements que doit recevoir une maladie, peut être bons au mauvais, la guérison dépend du diagnostic ; quel qu’il soit le recul que l’on prend à niveau de l’histoire de l’humanité, nous pouvons constater l’affrontement entre le désir de s’enrichir d’un côté et le besoin de survivre de l’autre.
À l’époque des monarchies et encore de nos jours l’esclavage nous montre deux types de population d’un côté l’esclavagiste et de l’autre l’esclave. Puis nous avons la notion de république qui semble encadrer la démocratie ici et là, nous avons des dictatures, sans oublier le régime soviétique.
Quel qu’il soit l’intensité des notre travail d’observation, quel qu’il soit le nombre des pays qui nous regardions en détail il y a toujours la même configuration, composé d’une ou plusieurs familles qui dirigent la nation puis à côté d’autres classes au moins 25 % serraient des acolytes des premiers donc non loin des 70 % de la population qui reste, servirait à supporter économiquement sous forme des mains d’œuvre et suffragants les premiers.
Toute formation politique dans une république à besoin de 70 % de la population qui serrait cantonnée au rôle d’électeurs. Il faut se rendre à l’évidence, 5 % de la population finie pour s’adjuger des pouvoirs ; qui dit pouvoir dit avantages de touts types. Il y a qu’à regarder les régimes des salaires et des retraites des députés et sénateurs de présidents ainsi que grand nombre de personnes ayant occupé un poste important dans les gouvernements.
La démocratie
Nous ne pouvons pas nommer démocratie un régime où les privilèges sont réservés à 5 % de la population, nous ne pouvons pas nommer démocratie un régime où 70 % de la population doit ce serrer la ceinture pour faire vivre 5 % des privilégiés de la manière la plus injuste. Il est facile de constater que la représentation des classes ouvrières dans les institutions reste insignifiante, pour ne pas dire nul. En Angleterre existe même le parti des travailleurs, composé des toutes évidences des travailleurs à la basse mais que en fin des comptes sont dirigés par une oligarchie dédiée à appliquer des politiques ultralibérales.
Hypocrisie.
C’est un mensonge ridicule croire qu’un parti politique est en mesure d’appliquer une politique favorable à la classe ouvrière ; il me semble illusoire tout idée qui voudra faire admettre que les classes populaires sont représentées dans n’importe quel gouvernement sur la terre.
Populisme
Une pratique des leaders politiques assoiffés du pouvoir, consistait à faire écouter à l’électorat justement ce qu’il veut entendre. Même s’il s’agit des promesses qui sont contraires à la constitution. Le populisme ce n’est pas de la politique, c’est de la manipulation intellectuelle, manipulation rendue possible par le bas niveau d’éducation enseignée aux classes populaires.
Orphelin
Les classes populaires vivent en effet orphelines de vrais représentants au Parlement, de vrais représentants parmi les gouvernements, la classe ouvrière malgré qu’elle représente non loin des 60 % de la population dans le monde se trouve alors manipulée par une élite qui ne dépasse pas 5 %. Le plus grave est que moins de 5% des gens sur la terre, sont bénéficiaire par des moyens détournés de plus de 90% de la plus-value. La France à travers l’histoire de l’humanité à toujours su montrer le chemin de la raison, le chemin de la justice, de l’altruisme, de l’humanisme, de la liberté et de la paix.
Hélas la situation de l’humanité évolue depuis des siècles, dans un cadre figé duquel il est difficile de s’en sortir par des méthodes traditionnelles.
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warum es Krieg?
von Gewalt
Deutsch, French an Spanish
Menschliches Verhalten ist nicht unerwartet ändern, Verhaltens und die Kultur von Menschen, Muster durch der akkumulierten Faktoren. Es braucht Zeit und Motivation, daran gewöhnt Menschen zu verändern
Elend
Vielen muslimischen Ländern für ein Jahrhundert wäre Kohlenwasserstoffen zu nutzen; ohne eine gerechte Entwicklung der Völker. viele afrikanische Nationen hatten den Koran empfangen, mehr von klein auf! Kinder sitzen auf den Boden, nur um über ein Buch zu lernen? während der Westen wissen das Wachstum durch Raffinerien, welche Anschließend all dieser Zeit, die Risiken dieser Ungerechtigkeiten zu messen? Dem während der Intellektuellen Jahrhunderts waren?
Einige Interpretationen des Koran sind ohne Niveau in die Hände der Menschen gelegt, manchmal einige Übersetzungen können durch böswillige Geist manipuliert werden können, frei bleiben zu lehren und zu führen das Gebet, wie Grundbildung; wie manchmal die einzigen Menschen beizubringen, Diese Menschen, die Zeit musste, geworden einfache Werkzeuge, hirnlos, Single tödlichen Waffen. Hier ist eine Übersetzung der Verse, die den durchschnittlichen Benutzer geführt ist zu finden im www :
100. Et quiconque émigre dans le sentier d'Allah trouvera sur terre maints refuges et abondance. Et quiconque sort de sa maison, émigrant vers Allah et Son messager, et que la mort atteint, sa récompense incombe à Allah. Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
101. Et quand vous parcourez la terre, ce n'est pas un péché pour vous de raccourcir la Salat, si vous craignez que les mécréants ne vous mettent à l'épreuve, car les mécréants demeurent pour vous un ennemi déclaré.
Heuchelei
Die Dosis von Heuchelei, alle, die heute zu sprechen will, muss zu "kämpfen" Gewalt mit Gewalt zu ist das Ergebnis einer mehr als mittelmäßig Analyse irrational; ist vor allem eine große Lügedass ich verurteilte die Feierlichkeit und Vehemenz so viel wie mein Wunsch, stigmatisierende Ideologien und Religionen zu vermeiden. Das gleiche Vehemenz, dass mein tiefster Wunsch, jede Entschuldigung von jeder Form der von Gewalt versinken, aus dem sie kommen können.
(french) La violence
Le comportement humain ne change pas de manière inopinée, le comportement des peuples ou la culture, les habitudes, sont le fruit d’un cumule de facteurs. Il faut du temps et des motivations, des raisons pour changer les habitues des gens.
La misère
Beaucoup des pays musulmans pendant un siècle auraient exploité les hydrocarbures, sans que la richesse ait apporté à l’ensemble de la société une évolution équitable. Les peuples d’Afrique auraient été volontairement contenus par le biais d’un seul livre et sacré de surcroît ; dès la plus jeune âge, les enfants assis à même le sol, auraient tout juste reçu pour éducation que le contenu d’un livre sacré. Manière simple de les calmer, pendant que ailleurs en occident, le progrès permet à des élites de réussir avec facilité. Sans que jamais un intellectuel, alors aurait mesuré le risque de cette injustice sournoise.
Certains traductions sont mise dans des mains peu ou pas préparés à les interpréter, quelquefois certains traductions, sont manipulés par des consciences malveillantes, laissées libres d’enseigner et conduire la prière, comment le principale enseignement ; parfois comment le seul enseignement des peuples. Ces peuples qu’avait le temps, deviendraient des simples outils, sans cerveau, des simples armes létales. Voilà une traduction de versés que l’internaute lambda est amenait à trouver sur Internet :
100. Et quiconque émigre dans le sentier d'Allah trouvera sur terre maints refuges et abondance. Et quiconque sort de sa maison, émigrant vers Allah et Son messager, et que la mort atteint, sa récompense incombe à Allah. Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
101. Et quand vous parcourez la terre, ce n'est pas un péché pour vous de raccourcir la Salat, si vous craignez que les mécréants ne vous mettent à l'épreuve, car les mécréants demeurent pour vous un ennemi déclaré.
Hypocrisie
La dose d’hypocrisie, de quiconque aujourd’hui veuille parler des besoins de " combattre " la violence par la violence, est le fruit d’une analyse plus que médiocre, plus qu’irrationnel ; est avant tout un monumental mensonge que je dénonce avec la solennité et la véhémence autant que ma volonté d’éviter de stigmatiser les idéologies et les religions. La même véhémence que mon désir le plus profond d’évier une quelconque apologie de toute forme de violence d’où qu’elle puisse venir.
(spanish) de la violencia
El comportamiento humano no cambia de forma inesperada, el comportamiento y la cultura de la gente es el fruto de los factores acumulados. Se necesita tiempo y la motivación, razones para cambiar a la gente
La miseria
Muchos países musulmanes durante un siglo han explotado los hidrocarburos; sin un desarrollo equitativo de los pueblos. muchas naciones africanas habían recibido el Corán, ademas desde una edad temprana! Niños sentados en el suelo sólo con un libro para aprender? mientras que Occidente conoce el crecimiento de las refinerías, quien durante todo este tiempo llego medir los riesgos de estas injusticias? Los intelectuales estaban donde durante un siglo?
Algunas interpretaciones del Corán son ofrecidas a las mano de personas sin el nivel devido, a veces algunas traducciones pueden ser manipuladas por espíritus malignos, quienes tienen libertad para enseñar y dirigir la oración, como la educación básica; como a veces enseñar únicamente el Coran a pueblos que con el tiempo se habían convertido en herramientas simples, armas letales sin cerebro. Aquí está una traducción de los versos, que el usuario medio encontra en la web:
100 Et emigrado quiconque dans le Sentier d'Allah trouvera sur terre maints refugios et abondance. et quiconque tipo de sa maison, emigrante verso Allah et Hijo Messager, et Que la mort atteint, sa Récompense incombe a Allah. Et Allah est et Pardonneur miséricordieux.
101 Et quand vous la terre parcourez, ce n'est pas des péché verter vous de la raccourcir ensalada, si vous craignez Que les mécréants ne vous à l'épreuve mettent, coche les vierta vous des ennemi mécréants demeurent déclaré.
hipocresía
La dosis de hipocresía, de cualquier persona que quiera hablar hoy de la necidad de "lucha" contra la violencia por la violencia, es el resultado de un análisis mediocre e irracional; es sobre todo una gran mentira que condeno con solemnidad y vehemencia tanto como mi deseo de evitar estigmatizar de ideologías y religiones. La misma vehemencia contra el proselitismo de la violencia cualquiera que sea.
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cerete Cordoba Colombia miercoles 24 septiembre 2014
Deutsch, French an Spanish
Menschliches Verhalten ist nicht unerwartet ändern, Verhaltens und die Kultur von Menschen, Muster durch der akkumulierten Faktoren. Es braucht Zeit und Motivation, daran gewöhnt Menschen zu verändern
Elend
Vielen muslimischen Ländern für ein Jahrhundert wäre Kohlenwasserstoffen zu nutzen; ohne eine gerechte Entwicklung der Völker. viele afrikanische Nationen hatten den Koran empfangen, mehr von klein auf! Kinder sitzen auf den Boden, nur um über ein Buch zu lernen? während der Westen wissen das Wachstum durch Raffinerien, welche Anschließend all dieser Zeit, die Risiken dieser Ungerechtigkeiten zu messen? Dem während der Intellektuellen Jahrhunderts waren?
Einige Interpretationen des Koran sind ohne Niveau in die Hände der Menschen gelegt, manchmal einige Übersetzungen können durch böswillige Geist manipuliert werden können, frei bleiben zu lehren und zu führen das Gebet, wie Grundbildung; wie manchmal die einzigen Menschen beizubringen, Diese Menschen, die Zeit musste, geworden einfache Werkzeuge, hirnlos, Single tödlichen Waffen. Hier ist eine Übersetzung der Verse, die den durchschnittlichen Benutzer geführt ist zu finden im www :
100. Et quiconque émigre dans le sentier d'Allah trouvera sur terre maints refuges et abondance. Et quiconque sort de sa maison, émigrant vers Allah et Son messager, et que la mort atteint, sa récompense incombe à Allah. Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
101. Et quand vous parcourez la terre, ce n'est pas un péché pour vous de raccourcir la Salat, si vous craignez que les mécréants ne vous mettent à l'épreuve, car les mécréants demeurent pour vous un ennemi déclaré.
Heuchelei
Die Dosis von Heuchelei, alle, die heute zu sprechen will, muss zu "kämpfen" Gewalt mit Gewalt zu ist das Ergebnis einer mehr als mittelmäßig Analyse irrational; ist vor allem eine große Lügedass ich verurteilte die Feierlichkeit und Vehemenz so viel wie mein Wunsch, stigmatisierende Ideologien und Religionen zu vermeiden. Das gleiche Vehemenz, dass mein tiefster Wunsch, jede Entschuldigung von jeder Form der von Gewalt versinken, aus dem sie kommen können.
(french) La violence
Le comportement humain ne change pas de manière inopinée, le comportement des peuples ou la culture, les habitudes, sont le fruit d’un cumule de facteurs. Il faut du temps et des motivations, des raisons pour changer les habitues des gens.
La misère
Beaucoup des pays musulmans pendant un siècle auraient exploité les hydrocarbures, sans que la richesse ait apporté à l’ensemble de la société une évolution équitable. Les peuples d’Afrique auraient été volontairement contenus par le biais d’un seul livre et sacré de surcroît ; dès la plus jeune âge, les enfants assis à même le sol, auraient tout juste reçu pour éducation que le contenu d’un livre sacré. Manière simple de les calmer, pendant que ailleurs en occident, le progrès permet à des élites de réussir avec facilité. Sans que jamais un intellectuel, alors aurait mesuré le risque de cette injustice sournoise.
Certains traductions sont mise dans des mains peu ou pas préparés à les interpréter, quelquefois certains traductions, sont manipulés par des consciences malveillantes, laissées libres d’enseigner et conduire la prière, comment le principale enseignement ; parfois comment le seul enseignement des peuples. Ces peuples qu’avait le temps, deviendraient des simples outils, sans cerveau, des simples armes létales. Voilà une traduction de versés que l’internaute lambda est amenait à trouver sur Internet :
100. Et quiconque émigre dans le sentier d'Allah trouvera sur terre maints refuges et abondance. Et quiconque sort de sa maison, émigrant vers Allah et Son messager, et que la mort atteint, sa récompense incombe à Allah. Et Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
101. Et quand vous parcourez la terre, ce n'est pas un péché pour vous de raccourcir la Salat, si vous craignez que les mécréants ne vous mettent à l'épreuve, car les mécréants demeurent pour vous un ennemi déclaré.
Hypocrisie
La dose d’hypocrisie, de quiconque aujourd’hui veuille parler des besoins de " combattre " la violence par la violence, est le fruit d’une analyse plus que médiocre, plus qu’irrationnel ; est avant tout un monumental mensonge que je dénonce avec la solennité et la véhémence autant que ma volonté d’éviter de stigmatiser les idéologies et les religions. La même véhémence que mon désir le plus profond d’évier une quelconque apologie de toute forme de violence d’où qu’elle puisse venir.
(spanish) de la violencia
El comportamiento humano no cambia de forma inesperada, el comportamiento y la cultura de la gente es el fruto de los factores acumulados. Se necesita tiempo y la motivación, razones para cambiar a la gente
La miseria
Muchos países musulmanes durante un siglo han explotado los hidrocarburos; sin un desarrollo equitativo de los pueblos. muchas naciones africanas habían recibido el Corán, ademas desde una edad temprana! Niños sentados en el suelo sólo con un libro para aprender? mientras que Occidente conoce el crecimiento de las refinerías, quien durante todo este tiempo llego medir los riesgos de estas injusticias? Los intelectuales estaban donde durante un siglo?
Algunas interpretaciones del Corán son ofrecidas a las mano de personas sin el nivel devido, a veces algunas traducciones pueden ser manipuladas por espíritus malignos, quienes tienen libertad para enseñar y dirigir la oración, como la educación básica; como a veces enseñar únicamente el Coran a pueblos que con el tiempo se habían convertido en herramientas simples, armas letales sin cerebro. Aquí está una traducción de los versos, que el usuario medio encontra en la web:
100 Et emigrado quiconque dans le Sentier d'Allah trouvera sur terre maints refugios et abondance. et quiconque tipo de sa maison, emigrante verso Allah et Hijo Messager, et Que la mort atteint, sa Récompense incombe a Allah. Et Allah est et Pardonneur miséricordieux.
101 Et quand vous la terre parcourez, ce n'est pas des péché verter vous de la raccourcir ensalada, si vous craignez Que les mécréants ne vous à l'épreuve mettent, coche les vierta vous des ennemi mécréants demeurent déclaré.
hipocresía
La dosis de hipocresía, de cualquier persona que quiera hablar hoy de la necidad de "lucha" contra la violencia por la violencia, es el resultado de un análisis mediocre e irracional; es sobre todo una gran mentira que condeno con solemnidad y vehemencia tanto como mi deseo de evitar estigmatizar de ideologías y religiones. La misma vehemencia contra el proselitismo de la violencia cualquiera que sea.
Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Cerete Cordoba Colombia miercoles 24 septiembre 2014
Suffrage, politique et la croissance
Élucubrations: suffrage, politique et croissance
Le future
La violence
La société
La misère
Le future
Il s’avère indispensable observer le passé pour mieux prospecter le future. Quel qu’il soit le système, l’empire, la culture, tout est contenu dans les moyens de production et dans la manière comment le fruit du travail est ensuite redistribuée.
Que nous parlions des monarchies du XVI siècle, de l’arrivé de la République après 1789, de la mutation des économies après 1929 ou après 1944, et même encore après 2008 ; toujours nous trouvons une bourgeoisie qui domine, malgré être minoritaire, puis plus de 80 % de la population qui reste cantonnée aux taches les plus pénibles et donc moins rémunérées. Quel qu’il soit la société future, il est fort à parier qu’elle sera vu sa composition à travers l’histoire, une société semblable, avec une minorité qui profite avec largesses du fruit du travail puis les classes populaires, qui ne risqueraient pas de vivre un autre 1789 tant que leur confort personnel ne soit complètement atteint. Mais nous ne sommes pas loin.
La violence
Une des manifestations majeurs de la violence, est l’assassinat des innocents, lorsque Thomas Malthus écrit ses premières lignes, il considère que les classes populaires sont à l’origine des maux de la société de sont époque, pourtant à l’opposé de la conception de Jean Bodin. Plus tard nous sommes obligés de citer Karl Marx, qui semble présenter en détail ce qui cause les tensions encore de nous jours entre les classes populaires. Ce n’est pas le pouvoir par lui même, mais surtout, ce qui garanti le pouvoir ; c’est l’opportunité de thésauriser d’avantage. C’est avec monumentale violence que les nantis, tel des sangsues, exploitent sans vergogne un maximum de capital issu exclusivement du fruit du travail. Au point que 30 millions de personnes meurent chaque année d’inanition, c’est presque la moitié de la population d’un pays comment la France qui meure sur la terre alors qu’un cinquième de cette population semble causer l’effroi lors du comportement du national socialisme allemand pendant quatre ans au point d’être une des raisons à l’origine de la deuxième guerre mondiale.
La société
Soyons nous mêmes, admettons les vérités, à taille réelle, inutile de nous cacher face aux responsabilités, n’oublions pas que 85 % des 15 à 35 ans, passe plutôt leur temps le nez dans des jeux et assimilés dans l’écran de leur tablette, leur pc, ou encore leur smartphone plutôt que de s’instruire, de chercher à comprendre bien au-delà de leur lorgnette. Par la suite, voyons ! Comment voulez-vous, sérieusement ! Que notre choix d’électeur, soit le meilleur ?
La misère
Plus que la disette et la famine, nous tombons dans une paupérisation intellectuelle, semblable à celle qu’aura gagne le peuple allemand après 1929, faim intellectuelle qui fait sans peine le lit du prosélytisme des manipulateurs populistes ; qui sans disposer de solutions en accords avec le cadre constitutionnel et républicain se permettent d’échafauder des discours fallacieux en place et lieu des programmes en face avec la réalité économique des nations. C’est bien cette misère intellectuelle, bien plus dangereuse que la misère économique, qui mène les peuples vers les urnes pour se tromper.
Pourtant Antoine Peillon, Pierre Péan, Fabrice Arfi, Miret Zaki, Thomas Piketty, Édouard Tétreau, John Christensen, Hermann Scheer, Noam Chomsky, Joseph E. Stiglitz, dans une liste non exhaustive, nous préparent à admettre que le néo-libéralisme est dans sa face terminale. Nous rappellent que si 3 % des gens récupèrent plus de 90 % de la richesse de la terre, c’est tout simplement à cause de l’effort monumentale des béotiens, des ignares, des illettrés comment moi, à un ostracisme véhément vis à vis du contrôle global de la gestion du monde ; condensée d’une envie phénoménale de montrer notre désapprobation du pouvoir par le vote protestataire sans mesurer le moins du monde les conséquences.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny dimanche 28 septembre 2014
immigrant d'origine colombien, tenu pour illettré, ignare, en France, à la recherche d'un emploi dans la presse spécialisée dans l'économie politique.
Curriculum Vitae:
http://nestor.ramirez.monsite-orange.fr/page1/index.html
Le future
La violence
La société
La misère
Le future
Il s’avère indispensable observer le passé pour mieux prospecter le future. Quel qu’il soit le système, l’empire, la culture, tout est contenu dans les moyens de production et dans la manière comment le fruit du travail est ensuite redistribuée.
Que nous parlions des monarchies du XVI siècle, de l’arrivé de la République après 1789, de la mutation des économies après 1929 ou après 1944, et même encore après 2008 ; toujours nous trouvons une bourgeoisie qui domine, malgré être minoritaire, puis plus de 80 % de la population qui reste cantonnée aux taches les plus pénibles et donc moins rémunérées. Quel qu’il soit la société future, il est fort à parier qu’elle sera vu sa composition à travers l’histoire, une société semblable, avec une minorité qui profite avec largesses du fruit du travail puis les classes populaires, qui ne risqueraient pas de vivre un autre 1789 tant que leur confort personnel ne soit complètement atteint. Mais nous ne sommes pas loin.
La violence
Une des manifestations majeurs de la violence, est l’assassinat des innocents, lorsque Thomas Malthus écrit ses premières lignes, il considère que les classes populaires sont à l’origine des maux de la société de sont époque, pourtant à l’opposé de la conception de Jean Bodin. Plus tard nous sommes obligés de citer Karl Marx, qui semble présenter en détail ce qui cause les tensions encore de nous jours entre les classes populaires. Ce n’est pas le pouvoir par lui même, mais surtout, ce qui garanti le pouvoir ; c’est l’opportunité de thésauriser d’avantage. C’est avec monumentale violence que les nantis, tel des sangsues, exploitent sans vergogne un maximum de capital issu exclusivement du fruit du travail. Au point que 30 millions de personnes meurent chaque année d’inanition, c’est presque la moitié de la population d’un pays comment la France qui meure sur la terre alors qu’un cinquième de cette population semble causer l’effroi lors du comportement du national socialisme allemand pendant quatre ans au point d’être une des raisons à l’origine de la deuxième guerre mondiale.
La société
Soyons nous mêmes, admettons les vérités, à taille réelle, inutile de nous cacher face aux responsabilités, n’oublions pas que 85 % des 15 à 35 ans, passe plutôt leur temps le nez dans des jeux et assimilés dans l’écran de leur tablette, leur pc, ou encore leur smartphone plutôt que de s’instruire, de chercher à comprendre bien au-delà de leur lorgnette. Par la suite, voyons ! Comment voulez-vous, sérieusement ! Que notre choix d’électeur, soit le meilleur ?
La misère
Plus que la disette et la famine, nous tombons dans une paupérisation intellectuelle, semblable à celle qu’aura gagne le peuple allemand après 1929, faim intellectuelle qui fait sans peine le lit du prosélytisme des manipulateurs populistes ; qui sans disposer de solutions en accords avec le cadre constitutionnel et républicain se permettent d’échafauder des discours fallacieux en place et lieu des programmes en face avec la réalité économique des nations. C’est bien cette misère intellectuelle, bien plus dangereuse que la misère économique, qui mène les peuples vers les urnes pour se tromper.
Pourtant Antoine Peillon, Pierre Péan, Fabrice Arfi, Miret Zaki, Thomas Piketty, Édouard Tétreau, John Christensen, Hermann Scheer, Noam Chomsky, Joseph E. Stiglitz, dans une liste non exhaustive, nous préparent à admettre que le néo-libéralisme est dans sa face terminale. Nous rappellent que si 3 % des gens récupèrent plus de 90 % de la richesse de la terre, c’est tout simplement à cause de l’effort monumentale des béotiens, des ignares, des illettrés comment moi, à un ostracisme véhément vis à vis du contrôle global de la gestion du monde ; condensée d’une envie phénoménale de montrer notre désapprobation du pouvoir par le vote protestataire sans mesurer le moins du monde les conséquences.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
Joigny dimanche 28 septembre 2014
immigrant d'origine colombien, tenu pour illettré, ignare, en France, à la recherche d'un emploi dans la presse spécialisée dans l'économie politique.
Curriculum Vitae:
http://nestor.ramirez.monsite-orange.fr/page1/index.html
Última edición por Cogito ergo sum el Dom 28 Sep - 15:59, editado 1 vez (Razón : Antoine Peillon; Pierre Péan; Fabrice Arfi, Miret Zaki, Thomas Piketty, Edouard Tétreau;)
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Date d'inscription : 21/02/2009
J'ai perdu mon identité
J'ai perdu mon identité?
Alors que les salaires baissent plutôt qu'augmenter, que je cherche plutôt à imiter d'autres personnes, je me suis rendu compte parce que tout au tour de moi tout le monde semble exister qu'à travers ses doigts sur le smartphone.
J'ai crains avoir perdu mon Identité lorsque j'éprouve le désir impératif d'avoir une voiture allemande model récent au lieu de faire le nécessaire pour acquérir une maison.
Je crains perdre mon identité lorsque je tente de copier ceux qui fument sachant que c'est si mauvais pour la santé, je crains avoir perdu mon identité, parce que je souhaite m'habiller qu'avec les marques qui seul des stars aux revenus en millions peuvent avoir par fois comment cadeau. au pire par contrat où ils sont rémunérés.
Ce que je veux faire passer comment message, reste TROP grave.
Pourquoi 9 personnes sur dix copient des gens? pourquoi chercher à apparenter ce que je ne suis pas?
Les parents sans le savoir peut être (sans être 100% responsables) dès la plus jeune âge prépare nos consciences à copier? à suivre? Dès la plus tendre enfance l'enfant reçoit des cadeaux en fonction des marques! Certains parents veulent les chaussures, les vêtements, le décor de la chambre des enfants en harmonie avec une marque ou modèle équivalent.
Plus tard au lycée nous avons l'impérieuse envie de porter de la marque. même si notre foyer vie avec un revenu de substitution.
Nous parents ne pourraient dès lors critiquer des leaders politiques qui cherchent à faire vivre la nation en dépensant chaque année 100 milliards d'euros de plus que ce que la nation gagne.
Il faut commencer donc pour balayer devant sa porte, avant de critiquer les responsables politiques. Toute cela du au fait au grand erreur de souhaiter plus que nos capacités le permettent.
Pourquoi?
Par cause d'une perte collective de l'identité. Un procès orchestré par un système en mutation accéléré. Où il faut passer très vite à outre chose, pour éviter de penser. Où il devienne la norme d'acheter pour paraître mais PAS POUR ÊTRE. Nous pavoisons en permanence; en surexposition pour cacher en vérité un vide un manque. L'ignorance absolue du notre rôle dans la société. Société qui nous manipule au point de nous OBLIGER PAR LE BIAIS DE LA PUBLICITÉ (je me faits pas des amis) a acheter MÊME SANS AVOIR BESOIN ET SANS AVOIR LES MOYENS.
Voilà pour quoi je sens que je n'ai pas d'identité
Par Nestor Elias Ramirez ou gramophone
Joui Le Moutier Dimanche 5 octobre 2014
"Créer c'est résister, Résister c'est créer..." : https://youtu.be/NZVi4MRRLb4
Alors que les salaires baissent plutôt qu'augmenter, que je cherche plutôt à imiter d'autres personnes, je me suis rendu compte parce que tout au tour de moi tout le monde semble exister qu'à travers ses doigts sur le smartphone.
J'ai crains avoir perdu mon Identité lorsque j'éprouve le désir impératif d'avoir une voiture allemande model récent au lieu de faire le nécessaire pour acquérir une maison.
Je crains perdre mon identité lorsque je tente de copier ceux qui fument sachant que c'est si mauvais pour la santé, je crains avoir perdu mon identité, parce que je souhaite m'habiller qu'avec les marques qui seul des stars aux revenus en millions peuvent avoir par fois comment cadeau. au pire par contrat où ils sont rémunérés.
Ce que je veux faire passer comment message, reste TROP grave.
Pourquoi 9 personnes sur dix copient des gens? pourquoi chercher à apparenter ce que je ne suis pas?
Les parents sans le savoir peut être (sans être 100% responsables) dès la plus jeune âge prépare nos consciences à copier? à suivre? Dès la plus tendre enfance l'enfant reçoit des cadeaux en fonction des marques! Certains parents veulent les chaussures, les vêtements, le décor de la chambre des enfants en harmonie avec une marque ou modèle équivalent.
Plus tard au lycée nous avons l'impérieuse envie de porter de la marque. même si notre foyer vie avec un revenu de substitution.
Nous parents ne pourraient dès lors critiquer des leaders politiques qui cherchent à faire vivre la nation en dépensant chaque année 100 milliards d'euros de plus que ce que la nation gagne.
Il faut commencer donc pour balayer devant sa porte, avant de critiquer les responsables politiques. Toute cela du au fait au grand erreur de souhaiter plus que nos capacités le permettent.
Pourquoi?
Par cause d'une perte collective de l'identité. Un procès orchestré par un système en mutation accéléré. Où il faut passer très vite à outre chose, pour éviter de penser. Où il devienne la norme d'acheter pour paraître mais PAS POUR ÊTRE. Nous pavoisons en permanence; en surexposition pour cacher en vérité un vide un manque. L'ignorance absolue du notre rôle dans la société. Société qui nous manipule au point de nous OBLIGER PAR LE BIAIS DE LA PUBLICITÉ (je me faits pas des amis) a acheter MÊME SANS AVOIR BESOIN ET SANS AVOIR LES MOYENS.
Voilà pour quoi je sens que je n'ai pas d'identité
Par Nestor Elias Ramirez ou gramophone
Joui Le Moutier Dimanche 5 octobre 2014
"Créer c'est résister, Résister c'est créer..." : https://youtu.be/NZVi4MRRLb4
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Pouvons nous progresser?
Sommes nous progressistes?
C’est une question bien trop grave, pour qu’on cherche à l’individualiser.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny jeudi 16 octobre 2013
Remerciements
Le sujet ici-dessous, reste la compilations des enseignements d'excellents instructeurs, pour qui j'ai une admiration sans égale, la liste serait très longue mais alors je vais citer quelques uns, maître Alain Tostin, mon grand ami Franck Moreau, mon honorable professeur Julio Cesar Aguirre Ruiz de l'Institut Technique Industrial à Cartago (Colombie) Consuelo ma très chère prof de Psychologie, l'honorable professeur Areiza mon prof d'Epystèmologie, entre autres comment le "loco Carlos de Santuario" à l'Université Technologique à Pareira (Colombie), sans eux je n’existerait pas!
Je suis navré, car je ce sont plusieurs siècles d’histoire de l’humanité qu’il faut regarder avant de se faire une idée du progrès. Hélas même en 1789 déjà c’est sont les classes populaires qui payent le plus lourd tribut, il faut regarder à chaque bataille, le sang couler, les vies sacrifiés, (les canuts, les mines de Carmaux, la commune de Paris, mai 68) ; mais les classes populaires, à chaque fois, si bien auraient " réussie " des avancés, du progrès non négligeable, auraient aussi, dans la négociation, été flouées en grande partie. Même si par exemple en 68 la moyenne d’augmentation des bas salaires est de 12 %. Même si tout le sang, toutes les vies sacrifiées en 1789 auraient accouché d’un texte magnifique " La déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen ".
Ce qui devra chagriner tout et chacun des gens modestes, est justement le fait " horrible " qu’entre supposés " êtres humains " ; des échanges d’un tel niveau de violence, où les plus faibles aillent besoin de sacrifier leur vie pour quelques " avancées ", pour des idées progressistes !
Est-ce que seul la violence meurtrière, permet d’accoucher du progrès ?
C’est quand même lamentable !
Mais c’est encore plus navrant, alors que l’honneur de touts ces vies sacrifiés, puissent être bafoué : Car les acquis sociaux payés avec des vies immolées sont attaqués par des néo-malthusiens, de manière outrageante. (On regarde 4 Mds€ du déficit de la branche chômage, alors que les banquier reçoivent pendant ce temps là 1400 Mds€) Quels ordures!
Alors que chaque mois la classe ouvrière laisse 22 % de sont salaire, en toute confiance dans une cagnotte, pour pallier à une ensemble de risques.
Il faut se rappeler de l’origine de la protection sociale, il faut aussi savoir comment le soulignent pertinemment John Christensen, Thomas Piketty entre autres, que chaque fois que la classe ouvrière dans le monde cree de la valeur ajoutée pour un montant de 100€ plus de 70€ doivent finir dans des circuits financiers ; pour satisfaire la cupidité capricieuse de moins de 3 % des gens sur la terre :
https://actualite.forumpro.fr/t60p120-economie-politique-et-subvention#1559
Pendant que la banque ICBC présente un résultat de 42,7 milliards de dollars des producteurs de produits tangibles comment Boeing avec 3,9 milliards ou Airbus Industries avec 1,5 milliards d’euros sont loin derrière.
Cela signifie que les banques sortent largement gagnantes !
Alors soyons plus que critiques, plus que ABSURDEMENT naïfs, plutôt analytiques !
Si chaque fois qu’un ouvrier de la production tangible, de la création véritable de richesses, crée 100€ de " VRAIE " valeur, il doit se contenter du partage de 30€, qu’il doit partager avec l’employer et avec l’état. C’est qu’il y a un véritable, un TROP GROS PROBLÈME.
Si vous comprenez la réalité du sujet, et que vous pensez avoir une quelconque responsabilité, tout en restant très humble, je cherche avant tout, à vous souligner, qu’il y plus de dix ans, que je tente de faire prendre conscience aux gens ! Je vais la jouer à la Poncio Pilato. Je me lave les mains !
Mais je vais loin de la perfide, en vers les gens, puisque j’ai déjà compris, certains faits ! Je ne crois pas digne, les constats, les critiques sans proposer au-delà du diagnostique, des alternatives, des solutions :
https://actualite.forumpro.fr/t60p75-economie-politique-et-subvention#1247
C’est une question bien trop grave, pour qu’on cherche à l’individualiser.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny jeudi 16 octobre 2013
Remerciements
Le sujet ici-dessous, reste la compilations des enseignements d'excellents instructeurs, pour qui j'ai une admiration sans égale, la liste serait très longue mais alors je vais citer quelques uns, maître Alain Tostin, mon grand ami Franck Moreau, mon honorable professeur Julio Cesar Aguirre Ruiz de l'Institut Technique Industrial à Cartago (Colombie) Consuelo ma très chère prof de Psychologie, l'honorable professeur Areiza mon prof d'Epystèmologie, entre autres comment le "loco Carlos de Santuario" à l'Université Technologique à Pareira (Colombie), sans eux je n’existerait pas!
Je suis navré, car je ce sont plusieurs siècles d’histoire de l’humanité qu’il faut regarder avant de se faire une idée du progrès. Hélas même en 1789 déjà c’est sont les classes populaires qui payent le plus lourd tribut, il faut regarder à chaque bataille, le sang couler, les vies sacrifiés, (les canuts, les mines de Carmaux, la commune de Paris, mai 68) ; mais les classes populaires, à chaque fois, si bien auraient " réussie " des avancés, du progrès non négligeable, auraient aussi, dans la négociation, été flouées en grande partie. Même si par exemple en 68 la moyenne d’augmentation des bas salaires est de 12 %. Même si tout le sang, toutes les vies sacrifiées en 1789 auraient accouché d’un texte magnifique " La déclaration universelle des droits de l’homme et du citoyen ".
Ce qui devra chagriner tout et chacun des gens modestes, est justement le fait " horrible " qu’entre supposés " êtres humains " ; des échanges d’un tel niveau de violence, où les plus faibles aillent besoin de sacrifier leur vie pour quelques " avancées ", pour des idées progressistes !
Est-ce que seul la violence meurtrière, permet d’accoucher du progrès ?
C’est quand même lamentable !
Mais c’est encore plus navrant, alors que l’honneur de touts ces vies sacrifiés, puissent être bafoué : Car les acquis sociaux payés avec des vies immolées sont attaqués par des néo-malthusiens, de manière outrageante. (On regarde 4 Mds€ du déficit de la branche chômage, alors que les banquier reçoivent pendant ce temps là 1400 Mds€) Quels ordures!
Alors que chaque mois la classe ouvrière laisse 22 % de sont salaire, en toute confiance dans une cagnotte, pour pallier à une ensemble de risques.
Il faut se rappeler de l’origine de la protection sociale, il faut aussi savoir comment le soulignent pertinemment John Christensen, Thomas Piketty entre autres, que chaque fois que la classe ouvrière dans le monde cree de la valeur ajoutée pour un montant de 100€ plus de 70€ doivent finir dans des circuits financiers ; pour satisfaire la cupidité capricieuse de moins de 3 % des gens sur la terre :
https://actualite.forumpro.fr/t60p120-economie-politique-et-subvention#1559
Pendant que la banque ICBC présente un résultat de 42,7 milliards de dollars des producteurs de produits tangibles comment Boeing avec 3,9 milliards ou Airbus Industries avec 1,5 milliards d’euros sont loin derrière.
Cela signifie que les banques sortent largement gagnantes !
Alors soyons plus que critiques, plus que ABSURDEMENT naïfs, plutôt analytiques !
Si chaque fois qu’un ouvrier de la production tangible, de la création véritable de richesses, crée 100€ de " VRAIE " valeur, il doit se contenter du partage de 30€, qu’il doit partager avec l’employer et avec l’état. C’est qu’il y a un véritable, un TROP GROS PROBLÈME.
Si vous comprenez la réalité du sujet, et que vous pensez avoir une quelconque responsabilité, tout en restant très humble, je cherche avant tout, à vous souligner, qu’il y plus de dix ans, que je tente de faire prendre conscience aux gens ! Je vais la jouer à la Poncio Pilato. Je me lave les mains !
Mais je vais loin de la perfide, en vers les gens, puisque j’ai déjà compris, certains faits ! Je ne crois pas digne, les constats, les critiques sans proposer au-delà du diagnostique, des alternatives, des solutions :
https://actualite.forumpro.fr/t60p75-economie-politique-et-subvention#1247
Última edición por Cogito ergo sum el Jue 16 Oct - 0:39, editado 1 vez (Razón : Mouvement des progressistes, Franck Moreau, Alain Tostin, Julio Cesar Aguirre Ruiz, Gramophone, Réussir, Nestor Elias Ramirez Jimenez)
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notes d'un illettré aux intellectuels
Explications :
Je me dois d'expliquer, en premier lieu que ma langue maternelle est l'espagnol
Pour le premier paragraphe
Les esprits tordus, sont touts ceux et celles qui tentent à tout prix d'imposer la politique axée sur le favoritisme à l'offre (dans la loi de l'offre et la demande)
L'autel d'allégeance à la cupidité
L'argent facile est devenu un objectif primordiale, au-delà du capitalisme primaire, j'ai une parabole pour expliquer le capitalisme aux enfants (sans doute le fruit d'une personne analphabète, ou illettré vis à vis de ceux et celles qu'auraient eut la chance de s'asseoir dans l'école de Charlemagne :
http://gramophologie.canalblog.com/archives/2014/08/14/30413940.html
Que-ce qui est sacrifié sur l'autel de la cupidité ?
L'honneur, la gloire qui font la fierté des peuples, à travers du travail, une personne gagne sont pain quotidien, "honorablement"
Quant à la gloire ? Je pense aux canuts, aux mines de Carmaux, à la commune de paris, à mai 1968, où le sangs des travailleurs à coulée sur le pavé
Les peuples auraient de quoi être fiers ?
Le PS devrait être le garant de quoi déjà ?
Je vais citer donc le préambule et l'article premier de la Constitution :
PRÉAMBULE
Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu'aux droits et devoirs définis dans la Charte de l'environnement de 2004.
En vertu de ces principes et de celui de la libre détermination des peuples, la République offre aux territoires d'outre-mer qui manifestent la volonté d'y adhérer des institutions nouvelles fondées sur l'idéal commun de liberté, d'égalité et de fraternité et conçues en vue de leur évolution démocratique.
ARTICLE PREMIER.
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales
Le parti socialiste est le respect des idées de Jean Jaurès! (il y a erreur dans est où manquait le "s") pour des ouvriers il serait cuistre tenter d'expliquer les idées de Jean Jaurès)
Le parti socialiste est allégeance aux idées de Léon Blum! (idem pour Léon Blum)
Désolé d'avoir écrit si mal sur un sujet si important pour les classes populaires,
Par la suite les démêlés judiciaires d'une compagnie aérienne, restent intimement liées à une gestion trop néo-libérale (moi j'appelle cela du Néo-Malthusianisme) qui cherche à éviter à tout prix des réglés sur l'emploi trop contraignantes à leur avis, cela étant, Les pays comment l'Irlande, souffrent d'autant au plus grande difficultés que la France.
Je me dois d'expliquer, en premier lieu que ma langue maternelle est l'espagnol
Pour le premier paragraphe
Les esprits tordus, sont touts ceux et celles qui tentent à tout prix d'imposer la politique axée sur le favoritisme à l'offre (dans la loi de l'offre et la demande)
L'autel d'allégeance à la cupidité
L'argent facile est devenu un objectif primordiale, au-delà du capitalisme primaire, j'ai une parabole pour expliquer le capitalisme aux enfants (sans doute le fruit d'une personne analphabète, ou illettré vis à vis de ceux et celles qu'auraient eut la chance de s'asseoir dans l'école de Charlemagne :
http://gramophologie.canalblog.com/archives/2014/08/14/30413940.html
Que-ce qui est sacrifié sur l'autel de la cupidité ?
L'honneur, la gloire qui font la fierté des peuples, à travers du travail, une personne gagne sont pain quotidien, "honorablement"
Quant à la gloire ? Je pense aux canuts, aux mines de Carmaux, à la commune de paris, à mai 1968, où le sangs des travailleurs à coulée sur le pavé
Les peuples auraient de quoi être fiers ?
Le PS devrait être le garant de quoi déjà ?
Je vais citer donc le préambule et l'article premier de la Constitution :
PRÉAMBULE
Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l'homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu'ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946, ainsi qu'aux droits et devoirs définis dans la Charte de l'environnement de 2004.
En vertu de ces principes et de celui de la libre détermination des peuples, la République offre aux territoires d'outre-mer qui manifestent la volonté d'y adhérer des institutions nouvelles fondées sur l'idéal commun de liberté, d'égalité et de fraternité et conçues en vue de leur évolution démocratique.
ARTICLE PREMIER.
La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée.
La loi favorise l'égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et fonctions électives, ainsi qu'aux responsabilités professionnelles et sociales
Le parti socialiste est le respect des idées de Jean Jaurès! (il y a erreur dans est où manquait le "s") pour des ouvriers il serait cuistre tenter d'expliquer les idées de Jean Jaurès)
Le parti socialiste est allégeance aux idées de Léon Blum! (idem pour Léon Blum)
Désolé d'avoir écrit si mal sur un sujet si important pour les classes populaires,
Par la suite les démêlés judiciaires d'une compagnie aérienne, restent intimement liées à une gestion trop néo-libérale (moi j'appelle cela du Néo-Malthusianisme) qui cherche à éviter à tout prix des réglés sur l'emploi trop contraignantes à leur avis, cela étant, Les pays comment l'Irlande, souffrent d'autant au plus grande difficultés que la France.
Un philosophe, un vraie
Un philosophe, un vrai
par Noam Chomsky, décembre 2001
Il nous faut partir de deux postulats. D’abord que les événements du 11 septembre 2001 constituent une atrocité épouvantable, probablement la perte de vies humaines instantanée la plus importante de l’histoire, guerres mises à part. Le second postulat est que notre objectif devrait être de réduire le risque de récidive de tels attentats, que nous en soyons les victimes ou que ce soit quelqu’un d’autre qui les subisse. Si vous n’acceptez pas ces deux points de départ, ce qui va suivre ne vous concerne pas. Si vous les acceptez, bien d’autres questions surgissent.
Commençons par la situation en Afghanistan. Il y aurait en Afghanistan plusieurs millions de personnes menacées de famine. C’était déjà vrai avant les attentats ; elles survivaient grâce à l’aide internationale. Le 16 septembre, les Etats-Unis exigèrent pourtant du Pakistan l’arrêt des convois de camions qui acheminaient de la nourriture et d’autres produits de première nécessité à la population afghane. Cette décision n’a guère provoqué de réaction en Occident. Le retrait de certains personnels humanitaires a rendu l’assistance plus problématique encore. Une semaine après le début des bombardements, les Nations unies estimaient que l’approche de l’hiver rendrait impossibles les acheminements, déjà ramenés à la portion congrue par les raids de l’aviation américaine.
Quand des organisations humanitaires civiles ou religieuses et le rapporteur de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ont demandé un arrêt des bombardements, cette information n’a même pas été rapportée par le New York Times ; le Boston Globe y a consacré une ligne, mais dans le corps d’un article traitant d’autre chose, la situation au Cachemire. En octobre dernier, la civilisation occidentale s’était ainsi résignée au risque de voir mourir des centaines de milliers d’Afghans. Au même moment, le chef de ladite civilisation faisait savoir qu’il ne daignerait répondre ni aux propositions afghanes de négociation sur la question de la livraison de M. Oussama Ben Laden ni à l’exigence d’une preuve permettant de fonder une éventuelle décision d’extradition. Seule serait acceptée une capitulation sans condition.
Mais revenons au 11 septembre. Nul crime, rien, ne fut plus meurtrier dans l’histoire - ou alors sur une durée plus longue. Au demeurant, les armes ont, cette fois, visé une cible inhabituelle : les Etats-Unis. L’analogie souvent évoquée avec Pearl Harbor est inappropriée. En 1941, l’armée nippone a bombardé des bases militaires dans deux colonies dont les Etats-Unis s’étaient emparés dans des conditions peu recommandables ; les Japonais ne se sont pas attaqués au territoire américain lui-même.
Depuis près de deux cents ans, nous, Américains, nous avons expulsé ou exterminé des populations indigènes, c’est-à-dire des millions de personnes, conquis la moitié du Mexique, saccagé les régions des Caraïbes et d’Amérique centrale, envahi Haïti et les Philippines - tuant 100 000 Philippins à cette occasion. Puis, après la seconde guerre mondiale, nous avons étendu notre emprise sur le monde de la manière qu’on connaît. Mais, presque toujours, c’était nous qui tuions, et le combat se déroulait en dehors de notre territoire national.
Or on le constate dès qu’on est interrogé, par exemple, sur l’Armée républicaine irlandaise (IRA) et le terrorisme : les questions des journalistes sont fort différentes selon qu’ils exercent sur une rive ou l’autre de la mer d’Irlande. En général, la planète apparaît sous un autre jour selon qu’on tient depuis longtemps le fouet ou selon qu’on en a subi les coups pendant des siècles. Peut-être est-ce pour cela au fond que le reste du monde, tout en se montrant uniformément horrifié par le sort des victimes du 11 septembre, n’a pas réagi de la même manière que nous aux attentats de New York et de Washington.
Pour comprendre les événements du 11 septembre, il faut distinguer d’une part les exécutants du crime, d’autre part le réservoir de compréhension dont ce crime a bénéficié, y compris chez ceux qui s’y opposaient. Les exécutants ? En supposant qu’il s’agisse du réseau Ben Laden, nul n’en sait davantage sur la genèse de ce groupe fondamentaliste que la CIA et ses associés : ils l’ont encouragé à sa naissance. M. Zbigniew Brzezinski, directeur pour la sécurité nationale de l’administration Carter, s’est félicité du « piège » tendu aux Soviétiques dès 1978 et consistant, au moyen d’attaques des moudjahidins (organisés, armés et entraînés par la CIA) contre le régime de Kaboul, à attirer ces Soviétiques sur le territoire afghan à la fin de l’année suivante (1).
Ce n’est qu’après 1990 et l’installation de bases américaines permanentes en Arabie saoudite, sur une terre sacrée pour l’islam, que ces combattants se sont retournés contre les Etats-Unis.
Appui à des régimes brutaux
Si l’on veut maintenant expliquer le réservoir de sympathie dont disposent les réseaux Ben Laden, y compris au sein des couches dirigeantes des pays du Sud, il faut partir de la colère que provoque le soutien des Etats-Unis à toutes sortes de régimes autoritaires ou dictatoriaux, il faut se souvenir de la politique américaine qui a détruit la société irakienne tout en consolidant le régime de M. Saddam Hussein, il faut ne pas oublier le soutien de Washington à l’occupation israélienne de territoires palestiniens depuis 1967.
Au moment où les éditoriaux du New York Times suggèrent qu’« ils » nous détestent parce que nous défendons le capitalisme, la démocratie, les droits individuels, la séparation de l’Eglise et de l’Etat, le Wall Street Journal, mieux informé, explique après avoir interrogé des banquiers et des cadres supérieurs non occidentaux qu’ils « nous » détestent parce que nous avons entravé la démocratie et le développement économique. Et appuyé des régimes brutaux, voire terroristes.
Dans les cercles dirigeants de l’Occident, la guerre contre le terrorisme a été présentée à l’égal d’une « lutte menée contre un cancer disséminé par des barbares ». Mais ces mots et cette priorité ne datent pas d’aujourd’hui. Il y a vingt ans, le président Ronald Reagan et son secrétaire d’Etat, M. Alexander Haig, les énonçaient déjà. Et, pour mener ce combat contre les adversaires dépravés de la civilisation, le gouvernement américain mit alors en place un réseau terroriste international d’une ampleur sans précédent. Si ce réseau entreprit des atrocités sans nombre d’un bout à l’autre de la planète, il réserva l’essentiel de ses efforts à l’Amérique latine.
Un cas, celui du Nicaragua, n’est pas discutable : il a en effet été tranché par la Cour internationale de justice de La Haye et par les Nations unies. Interrogez-vous pour savoir combien de fois ce précédent indiscutable d’une action terroriste à laquelle un Etat de droit a voulu répondre avec les moyens du droit a été évoqué par les commentateurs dominants. Il s’agissait pourtant d’un précédent encore plus extrême que les attentats du 11 septembre : la guerre de l’administration Reagan contre le Nicaragua provoqua 57 000 victimes, dont 29 000 morts, et la ruine d’un pays, peut-être de manière irréversible (lire « Occasion perdue au Nicaragua » et « “Contras” et “compas”, une même amertume).
A l’époque, le Nicaragua avait réagi. Non pas en faisant exploser des bombes à Washington, mais en saisissant la Cour de justice internationale. Elle trancha, le 27 juin 1986, dans le sens des autorités de Managua, condamnant l’« emploi illégal de la force » par les Etats-Unis (qui avaient miné les ports du Nicaragua) et mandant Washington de mettre fin au crime, sans oublier de payer des dommages et intérêts importants. Les Etats-Unis répliquèrent qu’ils ne se plieraient pas au jugement et qu’ils ne reconnaîtraient plus la juridiction de la Cour.
Le Nicaragua demanda alors au Conseil de sécurité des Nations unies l’adoption d’une résolution réclamant que tous les Etats respectent le droit international. Nul n’était cité en particulier, mais chacun avait compris. Les Etats-Unis opposèrent leur veto à cette résolution. A ce jour, ils sont ainsi le seul Etat qui ait été à la fois condamné par la Cour de justice internationale et qui se soit opposé à une résolution réclamant... le respect du droit international. Puis le Nicaragua se tourna vers l’Assemblée générale des Nations unies. La résolution qu’il proposa ne rencontra que trois oppositions : les Etats-Unis, Israël et El Salvador. L’année suivante, le Nicaragua réclama le vote de la même résolution. Cette fois, seul Israël soutint la cause de l’administration Reagan. A ce stade, le Nicaragua ne disposait plus d’aucun moyen de droit. Tous avaient échoué dans un monde régi par la force. Ce précédent ne fait aucun doute. Combien de fois en avons-nous parlé à l’université, dans les journaux ?
Cette histoire révèle plusieurs choses. D’abord, que le terrorisme, cela marche. La violence aussi. Ensuite, qu’on a tort de penser que le terrorisme serait l’instrument des faibles. Comme la plupart des armes meurtrières, le terrorisme est surtout l’arme des puissants. Quand on prétend le contraire, c’est uniquement parce que les puissants contrôlent également les appareils idéologiques et culturels qui permettent que leur terreur passe pour autre chose que de la terreur.
L’un des moyens les plus courants dont ils disposent pour parvenir à un tel résultat est de faire disparaître la mémoire des événements dérangeants ; ainsi plus personne ne s’en souvient. Au demeurant, le pouvoir de la propagande et des doctrines américaines est tel qu’il s’impose y compris à ses victimes. Allez en Argentine et vous devrez rappeler ce que je viens d’évoquer : « Ah, oui, mais nous avions oublié ! »
Le Nicaragua, Haïti et le Guatemala sont les trois pays les plus pauvres d’Amérique latine. Ils comptent aussi au nombre de ceux dans lesquels les Etats-Unis sont intervenus militairement. La coïncidence n’est pas forcément accidentelle. Or tout cela eut lieu dans un climat idéologique marqué par les proclamations enthousiastes des intellectuels occidentaux. Il y a quelques années, l’autocongratulation faisait fureur : fin de l’histoire, nouvel ordre mondial, Etat de droit, ingérence humanitaire, etc. C’était monnaie courante alors même que nous laissions se commettre un chapelet de tueries. Pis, nous y contribuions de façon active. Mais qui en parlait ? L’un des exploits de la civilisation occidentale, c’est peut-être de rendre possible ce genre d’inconséquences dans une société libre. Un Etat totalitaire ne dispose pas de ce don-là.
Qu’est-ce que le terrorisme ? Dans les manuels militaires américains, on définit comme terreur l’utilisation calculée, à des fins politiques ou religieuses, de la violence, de la menace de violence, de l’intimidation, de la coercition ou de la peur. Le problème d’une telle définition, c’est qu’elle recouvre assez exactement ce que les Etats-Unis ont appelé la guerre de basse intensité, en revendiquant ce genre de pratique. D’ailleurs, en décembre 1987, quand l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution contre le terrorisme, un pays s’est abstenu, le Honduras, et deux autres s’y sont opposés, les Etats-Unis et Israël. Pourquoi l’ont-ils fait ? En raison d’un paragraphe de la résolution qui indiquait qu’il ne s’agissait pas de remettre en cause le droit des peuples à lutter contre un régime colonialiste ou contre une occupation militaire.
Or, à l’époque, l’Afrique du Sud était alliée des Etats-Unis. Outre des attaques contre ses voisins (Namibie, Angola, etc.), lesquelles ont provoqué la mort de centaines de milliers de personnes et occasionné des destructions estimées à 60 milliards de dollars, le régime d’apartheid de Pretoria affrontait à l’intérieur une force qualifiée de « terroriste », l’African National Congress (ANC). Quant à Israël, il occupait illégalement certains territoires palestiniens depuis 1967, d’autres au Liban depuis 1978, guerroyant dans le sud de ce pays contre une force qualifiée par lui et par les Etats-Unis de « terroriste », le Hezbollah. Dans les analyses habituelles du terrorisme, ce genre d’information ou de rappel n’est pas courant. Pour que les analyses et les articles de presse soient jugés respectables, il vaut mieux en effet qu’ils se situent du bon côté, c’est-à-dire celui des bras les mieux armés.
Dans les années 1990, c’est en Colombie que les pires atteintes aux droits humains ont été observées. Ce pays a été le principal destinataire de l’aide militaire américaine, à l’exception d’Israël et de l’Egypte, qui constituent des cas à part. Jusqu’en 1999, derrière ces pays, la première place revenait à la Turquie, à qui les Etats-Unis ont livré une quantité croissante d’armes depuis 1984. Pourquoi à partir de cette année-là ? Non pas que ce pays membre de l’OTAN devait faire face à l’Union soviétique, déjà en voie de désintégration à l’époque, mais afin qu’il puisse conduire la guerre terroriste qu’il venait d’entreprendre contre les Kurdes.
En 1997, l’aide militaire américaine à la Turquie a dépassé celle que ce pays avait obtenue pendant la totalité de la période 1950-1983, celle de la guerre froide. Résultats des opérations militaires : 2 à 3 millions de réfugiés, des dizaines de milliers de victimes, 350 villes et villages détruits. A mesure que la répression s’intensifiait, les Etats-Unis continuaient de fournir près de 80 % des armes employées par les militaires turcs, accélérant même le rythme de leurs livraisons. La tendance fut renversée en 1999. La terreur militaire, naturellement qualifiée de « contre-terreur » par les autorités d’Ankara, avait alors atteint ses objectifs. C’est presque toujours le cas quand la terreur est employée par ses principaux utilisateurs, les puissances en place.
Avec la Turquie, les Etats-Unis n’eurent pas affaire à une ingrate. Washington lui avait livré des F-16 pour bombarder sa propre population, Ankara les utilisa en 1999 pour bombarder la Serbie. Puis, quelques jours après le 11 septembre dernier, le premier ministre turc, M. Bülent Ecevit, faisait savoir que son pays participerait avec enthousiasme à la coalition américaine contre le réseau Ben Laden. Il expliqua à cette occasion que la Turquie avait contracté une dette de gratitude à l’égard des Etats-Unis, laquelle remontait à sa propre « guerre antiterroriste » et au soutien inégalé que Washington y avait alors apporté.
Réduire le niveau de terreur
Certes, d’autres pays avaient soutenu la guerre d’Ankara contre les Kurdes, mais aucun avec autant de zèle et d’efficacité que les Etats-Unis. Ce soutien bénéficia du silence ou - le mot est peut-être plus juste - de la servilité des classes éduquées américaines. Car elles n’ignoraient pas ce qui se passait. Les Etats-Unis sont un pays libre après tout ; les rapports des organisations humanitaires sur la situation au Kurdistan appartenaient au domaine public. A l’époque, nous avons donc choisi de contribuer aux atrocités.
L’actuelle coalition contre le terrorisme comporte d’autres recrues de choix. Le Christian Science Monitor, sans doute l’un des meilleurs journaux pour ce qui concerne le traitement de l’actualité internationale, a ainsi confié que certains peuples qui n’aimaient guère les Etats-Unis commençaient à les respecter davantage, particulièrement heureux de les voir conduire une guerre contre le terrorisme. Le journaliste, pourtant spécialiste de l’Afrique, citait comme principal exemple de ce retournement le cas de l’Algérie. Il devait donc savoir que l’Algérie conduit une guerre terroriste contre son propre peuple. La Russie, qui mène une guerre terroriste en Tchétchénie, et la Chine, auteur d’atrocités contre ceux qu’elle qualifie de sécessionnistes musulmans, ont également rallié la cause américaine.
Soit, mais que faire dans la situation présente ? Un radical aussi extrémiste que le pape suggère qu’on recherche les coupables du crime du 11 septembre, puis qu’on les juge. Mais les Etats-Unis ne souhaitent pas avoir recours aux formes judiciaires normales, ils préfèrent ne présenter aucune preuve et ils s’opposent à l’existence d’une juridiction internationale. Mieux, quand Haïti réclame l’extradition de M. Emmanuel Constant, jugé responsable de la mort de milliers de personnes après le coup d’Etat qui a renversé le président Jean-Bertrand Aristide, le 30 septembre 1991, et présente des preuves de sa culpabilité, la demande n’a aucun effet à Washington. Elle n’est même pas l’objet d’un débat quelconque.
Lutter contre le terrorisme impose de réduire le niveau de la terreur, pas de l’accroître. Quand l’IRA commet un attentat à Londres, les Britanniques ne détruisent ni Boston, ville dans laquelle l’IRA compte de nombreux soutiens, ni Belfast. Ils cherchent les coupables, puis ils les jugent. Un moyen de réduire le niveau de terreur serait de cesser d’y contribuer soi-même. Puis de réfléchir aux orientations politiques qui ont créé un réservoir de soutien dont ont ensuite profité les commanditaires de l’attentat. Ces dernières semaines, la prise de conscience par l’opinion américaine de toutes sortes de réalités internationales, dont seules les élites soupçonnaient auparavant l’existence, constitue peut-être un pas dans cette direction.
Noam Chomsky
Professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), Boston, Etats-Unis. Auteur notamment de Les Etats manqués. Abus de puissance et déficit démocratique, Fayard, Paris, 2007. La plupart des textes de Noam Chomsky sont disponibles sur son site Interne
http://www.monde-diplomatique.fr/2001/12/CHOMSKY/8234
par Noam Chomsky, décembre 2001
Il nous faut partir de deux postulats. D’abord que les événements du 11 septembre 2001 constituent une atrocité épouvantable, probablement la perte de vies humaines instantanée la plus importante de l’histoire, guerres mises à part. Le second postulat est que notre objectif devrait être de réduire le risque de récidive de tels attentats, que nous en soyons les victimes ou que ce soit quelqu’un d’autre qui les subisse. Si vous n’acceptez pas ces deux points de départ, ce qui va suivre ne vous concerne pas. Si vous les acceptez, bien d’autres questions surgissent.
Commençons par la situation en Afghanistan. Il y aurait en Afghanistan plusieurs millions de personnes menacées de famine. C’était déjà vrai avant les attentats ; elles survivaient grâce à l’aide internationale. Le 16 septembre, les Etats-Unis exigèrent pourtant du Pakistan l’arrêt des convois de camions qui acheminaient de la nourriture et d’autres produits de première nécessité à la population afghane. Cette décision n’a guère provoqué de réaction en Occident. Le retrait de certains personnels humanitaires a rendu l’assistance plus problématique encore. Une semaine après le début des bombardements, les Nations unies estimaient que l’approche de l’hiver rendrait impossibles les acheminements, déjà ramenés à la portion congrue par les raids de l’aviation américaine.
Quand des organisations humanitaires civiles ou religieuses et le rapporteur de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ont demandé un arrêt des bombardements, cette information n’a même pas été rapportée par le New York Times ; le Boston Globe y a consacré une ligne, mais dans le corps d’un article traitant d’autre chose, la situation au Cachemire. En octobre dernier, la civilisation occidentale s’était ainsi résignée au risque de voir mourir des centaines de milliers d’Afghans. Au même moment, le chef de ladite civilisation faisait savoir qu’il ne daignerait répondre ni aux propositions afghanes de négociation sur la question de la livraison de M. Oussama Ben Laden ni à l’exigence d’une preuve permettant de fonder une éventuelle décision d’extradition. Seule serait acceptée une capitulation sans condition.
Mais revenons au 11 septembre. Nul crime, rien, ne fut plus meurtrier dans l’histoire - ou alors sur une durée plus longue. Au demeurant, les armes ont, cette fois, visé une cible inhabituelle : les Etats-Unis. L’analogie souvent évoquée avec Pearl Harbor est inappropriée. En 1941, l’armée nippone a bombardé des bases militaires dans deux colonies dont les Etats-Unis s’étaient emparés dans des conditions peu recommandables ; les Japonais ne se sont pas attaqués au territoire américain lui-même.
Depuis près de deux cents ans, nous, Américains, nous avons expulsé ou exterminé des populations indigènes, c’est-à-dire des millions de personnes, conquis la moitié du Mexique, saccagé les régions des Caraïbes et d’Amérique centrale, envahi Haïti et les Philippines - tuant 100 000 Philippins à cette occasion. Puis, après la seconde guerre mondiale, nous avons étendu notre emprise sur le monde de la manière qu’on connaît. Mais, presque toujours, c’était nous qui tuions, et le combat se déroulait en dehors de notre territoire national.
Or on le constate dès qu’on est interrogé, par exemple, sur l’Armée républicaine irlandaise (IRA) et le terrorisme : les questions des journalistes sont fort différentes selon qu’ils exercent sur une rive ou l’autre de la mer d’Irlande. En général, la planète apparaît sous un autre jour selon qu’on tient depuis longtemps le fouet ou selon qu’on en a subi les coups pendant des siècles. Peut-être est-ce pour cela au fond que le reste du monde, tout en se montrant uniformément horrifié par le sort des victimes du 11 septembre, n’a pas réagi de la même manière que nous aux attentats de New York et de Washington.
Pour comprendre les événements du 11 septembre, il faut distinguer d’une part les exécutants du crime, d’autre part le réservoir de compréhension dont ce crime a bénéficié, y compris chez ceux qui s’y opposaient. Les exécutants ? En supposant qu’il s’agisse du réseau Ben Laden, nul n’en sait davantage sur la genèse de ce groupe fondamentaliste que la CIA et ses associés : ils l’ont encouragé à sa naissance. M. Zbigniew Brzezinski, directeur pour la sécurité nationale de l’administration Carter, s’est félicité du « piège » tendu aux Soviétiques dès 1978 et consistant, au moyen d’attaques des moudjahidins (organisés, armés et entraînés par la CIA) contre le régime de Kaboul, à attirer ces Soviétiques sur le territoire afghan à la fin de l’année suivante (1).
Ce n’est qu’après 1990 et l’installation de bases américaines permanentes en Arabie saoudite, sur une terre sacrée pour l’islam, que ces combattants se sont retournés contre les Etats-Unis.
Appui à des régimes brutaux
Si l’on veut maintenant expliquer le réservoir de sympathie dont disposent les réseaux Ben Laden, y compris au sein des couches dirigeantes des pays du Sud, il faut partir de la colère que provoque le soutien des Etats-Unis à toutes sortes de régimes autoritaires ou dictatoriaux, il faut se souvenir de la politique américaine qui a détruit la société irakienne tout en consolidant le régime de M. Saddam Hussein, il faut ne pas oublier le soutien de Washington à l’occupation israélienne de territoires palestiniens depuis 1967.
Au moment où les éditoriaux du New York Times suggèrent qu’« ils » nous détestent parce que nous défendons le capitalisme, la démocratie, les droits individuels, la séparation de l’Eglise et de l’Etat, le Wall Street Journal, mieux informé, explique après avoir interrogé des banquiers et des cadres supérieurs non occidentaux qu’ils « nous » détestent parce que nous avons entravé la démocratie et le développement économique. Et appuyé des régimes brutaux, voire terroristes.
Dans les cercles dirigeants de l’Occident, la guerre contre le terrorisme a été présentée à l’égal d’une « lutte menée contre un cancer disséminé par des barbares ». Mais ces mots et cette priorité ne datent pas d’aujourd’hui. Il y a vingt ans, le président Ronald Reagan et son secrétaire d’Etat, M. Alexander Haig, les énonçaient déjà. Et, pour mener ce combat contre les adversaires dépravés de la civilisation, le gouvernement américain mit alors en place un réseau terroriste international d’une ampleur sans précédent. Si ce réseau entreprit des atrocités sans nombre d’un bout à l’autre de la planète, il réserva l’essentiel de ses efforts à l’Amérique latine.
Un cas, celui du Nicaragua, n’est pas discutable : il a en effet été tranché par la Cour internationale de justice de La Haye et par les Nations unies. Interrogez-vous pour savoir combien de fois ce précédent indiscutable d’une action terroriste à laquelle un Etat de droit a voulu répondre avec les moyens du droit a été évoqué par les commentateurs dominants. Il s’agissait pourtant d’un précédent encore plus extrême que les attentats du 11 septembre : la guerre de l’administration Reagan contre le Nicaragua provoqua 57 000 victimes, dont 29 000 morts, et la ruine d’un pays, peut-être de manière irréversible (lire « Occasion perdue au Nicaragua » et « “Contras” et “compas”, une même amertume).
A l’époque, le Nicaragua avait réagi. Non pas en faisant exploser des bombes à Washington, mais en saisissant la Cour de justice internationale. Elle trancha, le 27 juin 1986, dans le sens des autorités de Managua, condamnant l’« emploi illégal de la force » par les Etats-Unis (qui avaient miné les ports du Nicaragua) et mandant Washington de mettre fin au crime, sans oublier de payer des dommages et intérêts importants. Les Etats-Unis répliquèrent qu’ils ne se plieraient pas au jugement et qu’ils ne reconnaîtraient plus la juridiction de la Cour.
Le Nicaragua demanda alors au Conseil de sécurité des Nations unies l’adoption d’une résolution réclamant que tous les Etats respectent le droit international. Nul n’était cité en particulier, mais chacun avait compris. Les Etats-Unis opposèrent leur veto à cette résolution. A ce jour, ils sont ainsi le seul Etat qui ait été à la fois condamné par la Cour de justice internationale et qui se soit opposé à une résolution réclamant... le respect du droit international. Puis le Nicaragua se tourna vers l’Assemblée générale des Nations unies. La résolution qu’il proposa ne rencontra que trois oppositions : les Etats-Unis, Israël et El Salvador. L’année suivante, le Nicaragua réclama le vote de la même résolution. Cette fois, seul Israël soutint la cause de l’administration Reagan. A ce stade, le Nicaragua ne disposait plus d’aucun moyen de droit. Tous avaient échoué dans un monde régi par la force. Ce précédent ne fait aucun doute. Combien de fois en avons-nous parlé à l’université, dans les journaux ?
Cette histoire révèle plusieurs choses. D’abord, que le terrorisme, cela marche. La violence aussi. Ensuite, qu’on a tort de penser que le terrorisme serait l’instrument des faibles. Comme la plupart des armes meurtrières, le terrorisme est surtout l’arme des puissants. Quand on prétend le contraire, c’est uniquement parce que les puissants contrôlent également les appareils idéologiques et culturels qui permettent que leur terreur passe pour autre chose que de la terreur.
L’un des moyens les plus courants dont ils disposent pour parvenir à un tel résultat est de faire disparaître la mémoire des événements dérangeants ; ainsi plus personne ne s’en souvient. Au demeurant, le pouvoir de la propagande et des doctrines américaines est tel qu’il s’impose y compris à ses victimes. Allez en Argentine et vous devrez rappeler ce que je viens d’évoquer : « Ah, oui, mais nous avions oublié ! »
Le Nicaragua, Haïti et le Guatemala sont les trois pays les plus pauvres d’Amérique latine. Ils comptent aussi au nombre de ceux dans lesquels les Etats-Unis sont intervenus militairement. La coïncidence n’est pas forcément accidentelle. Or tout cela eut lieu dans un climat idéologique marqué par les proclamations enthousiastes des intellectuels occidentaux. Il y a quelques années, l’autocongratulation faisait fureur : fin de l’histoire, nouvel ordre mondial, Etat de droit, ingérence humanitaire, etc. C’était monnaie courante alors même que nous laissions se commettre un chapelet de tueries. Pis, nous y contribuions de façon active. Mais qui en parlait ? L’un des exploits de la civilisation occidentale, c’est peut-être de rendre possible ce genre d’inconséquences dans une société libre. Un Etat totalitaire ne dispose pas de ce don-là.
Qu’est-ce que le terrorisme ? Dans les manuels militaires américains, on définit comme terreur l’utilisation calculée, à des fins politiques ou religieuses, de la violence, de la menace de violence, de l’intimidation, de la coercition ou de la peur. Le problème d’une telle définition, c’est qu’elle recouvre assez exactement ce que les Etats-Unis ont appelé la guerre de basse intensité, en revendiquant ce genre de pratique. D’ailleurs, en décembre 1987, quand l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution contre le terrorisme, un pays s’est abstenu, le Honduras, et deux autres s’y sont opposés, les Etats-Unis et Israël. Pourquoi l’ont-ils fait ? En raison d’un paragraphe de la résolution qui indiquait qu’il ne s’agissait pas de remettre en cause le droit des peuples à lutter contre un régime colonialiste ou contre une occupation militaire.
Or, à l’époque, l’Afrique du Sud était alliée des Etats-Unis. Outre des attaques contre ses voisins (Namibie, Angola, etc.), lesquelles ont provoqué la mort de centaines de milliers de personnes et occasionné des destructions estimées à 60 milliards de dollars, le régime d’apartheid de Pretoria affrontait à l’intérieur une force qualifiée de « terroriste », l’African National Congress (ANC). Quant à Israël, il occupait illégalement certains territoires palestiniens depuis 1967, d’autres au Liban depuis 1978, guerroyant dans le sud de ce pays contre une force qualifiée par lui et par les Etats-Unis de « terroriste », le Hezbollah. Dans les analyses habituelles du terrorisme, ce genre d’information ou de rappel n’est pas courant. Pour que les analyses et les articles de presse soient jugés respectables, il vaut mieux en effet qu’ils se situent du bon côté, c’est-à-dire celui des bras les mieux armés.
Dans les années 1990, c’est en Colombie que les pires atteintes aux droits humains ont été observées. Ce pays a été le principal destinataire de l’aide militaire américaine, à l’exception d’Israël et de l’Egypte, qui constituent des cas à part. Jusqu’en 1999, derrière ces pays, la première place revenait à la Turquie, à qui les Etats-Unis ont livré une quantité croissante d’armes depuis 1984. Pourquoi à partir de cette année-là ? Non pas que ce pays membre de l’OTAN devait faire face à l’Union soviétique, déjà en voie de désintégration à l’époque, mais afin qu’il puisse conduire la guerre terroriste qu’il venait d’entreprendre contre les Kurdes.
En 1997, l’aide militaire américaine à la Turquie a dépassé celle que ce pays avait obtenue pendant la totalité de la période 1950-1983, celle de la guerre froide. Résultats des opérations militaires : 2 à 3 millions de réfugiés, des dizaines de milliers de victimes, 350 villes et villages détruits. A mesure que la répression s’intensifiait, les Etats-Unis continuaient de fournir près de 80 % des armes employées par les militaires turcs, accélérant même le rythme de leurs livraisons. La tendance fut renversée en 1999. La terreur militaire, naturellement qualifiée de « contre-terreur » par les autorités d’Ankara, avait alors atteint ses objectifs. C’est presque toujours le cas quand la terreur est employée par ses principaux utilisateurs, les puissances en place.
Avec la Turquie, les Etats-Unis n’eurent pas affaire à une ingrate. Washington lui avait livré des F-16 pour bombarder sa propre population, Ankara les utilisa en 1999 pour bombarder la Serbie. Puis, quelques jours après le 11 septembre dernier, le premier ministre turc, M. Bülent Ecevit, faisait savoir que son pays participerait avec enthousiasme à la coalition américaine contre le réseau Ben Laden. Il expliqua à cette occasion que la Turquie avait contracté une dette de gratitude à l’égard des Etats-Unis, laquelle remontait à sa propre « guerre antiterroriste » et au soutien inégalé que Washington y avait alors apporté.
Réduire le niveau de terreur
Certes, d’autres pays avaient soutenu la guerre d’Ankara contre les Kurdes, mais aucun avec autant de zèle et d’efficacité que les Etats-Unis. Ce soutien bénéficia du silence ou - le mot est peut-être plus juste - de la servilité des classes éduquées américaines. Car elles n’ignoraient pas ce qui se passait. Les Etats-Unis sont un pays libre après tout ; les rapports des organisations humanitaires sur la situation au Kurdistan appartenaient au domaine public. A l’époque, nous avons donc choisi de contribuer aux atrocités.
L’actuelle coalition contre le terrorisme comporte d’autres recrues de choix. Le Christian Science Monitor, sans doute l’un des meilleurs journaux pour ce qui concerne le traitement de l’actualité internationale, a ainsi confié que certains peuples qui n’aimaient guère les Etats-Unis commençaient à les respecter davantage, particulièrement heureux de les voir conduire une guerre contre le terrorisme. Le journaliste, pourtant spécialiste de l’Afrique, citait comme principal exemple de ce retournement le cas de l’Algérie. Il devait donc savoir que l’Algérie conduit une guerre terroriste contre son propre peuple. La Russie, qui mène une guerre terroriste en Tchétchénie, et la Chine, auteur d’atrocités contre ceux qu’elle qualifie de sécessionnistes musulmans, ont également rallié la cause américaine.
Soit, mais que faire dans la situation présente ? Un radical aussi extrémiste que le pape suggère qu’on recherche les coupables du crime du 11 septembre, puis qu’on les juge. Mais les Etats-Unis ne souhaitent pas avoir recours aux formes judiciaires normales, ils préfèrent ne présenter aucune preuve et ils s’opposent à l’existence d’une juridiction internationale. Mieux, quand Haïti réclame l’extradition de M. Emmanuel Constant, jugé responsable de la mort de milliers de personnes après le coup d’Etat qui a renversé le président Jean-Bertrand Aristide, le 30 septembre 1991, et présente des preuves de sa culpabilité, la demande n’a aucun effet à Washington. Elle n’est même pas l’objet d’un débat quelconque.
Lutter contre le terrorisme impose de réduire le niveau de la terreur, pas de l’accroître. Quand l’IRA commet un attentat à Londres, les Britanniques ne détruisent ni Boston, ville dans laquelle l’IRA compte de nombreux soutiens, ni Belfast. Ils cherchent les coupables, puis ils les jugent. Un moyen de réduire le niveau de terreur serait de cesser d’y contribuer soi-même. Puis de réfléchir aux orientations politiques qui ont créé un réservoir de soutien dont ont ensuite profité les commanditaires de l’attentat. Ces dernières semaines, la prise de conscience par l’opinion américaine de toutes sortes de réalités internationales, dont seules les élites soupçonnaient auparavant l’existence, constitue peut-être un pas dans cette direction.
Noam Chomsky
Professeur au Massachusetts Institute of Technology (MIT), Boston, Etats-Unis. Auteur notamment de Les Etats manqués. Abus de puissance et déficit démocratique, Fayard, Paris, 2007. La plupart des textes de Noam Chomsky sont disponibles sur son site Interne
http://www.monde-diplomatique.fr/2001/12/CHOMSKY/8234
Última edición por Admin el Vie 31 Oct - 7:47, editado 1 vez
L'histoire d'un béotien virtuelle
Évaluation rétrospective d'un ignare
Sujet écris à l'attention des connaissances du web entre autres Dominique Roux, Bertrand Tacchella, Nicolas Ferey, Bart Black, Luc Montagne entre autres
Plaider aveuglement une cause, serait aussi inutile que stérile. Il m'arrive, d'écrire de manière régulière ; initialement sous excuse de tenter d'évoluer, alors qu'à mon arrivé dans un pays étranger en 1988 je ne connaissez pas vraiment du français qu'une chanson du chanteur des USA, Joe DASSIN, intitulée "Et si tu n'existe pas".
J'ai beaucoup des meurtrissures dans l'âme, déjà avant 1988, ensuite elles ont grossie, à chaque fois que de nous jours je suis d'une manière ou une autre critiqué sur mon illettrisme avéré. Cela étant je suis conscient du risque que j'ai dois dont assumer, d'autant plus que à chaque critique, je tente de répondre, à la hauteur de mes moyens : moyens en temps et qualité d'un ouvrier immigré et passionné de sociologie et syndicalisme
Il y a beaucoup plus de production sous forme de texte écrite ; jonché, taché de fautes de grammaire et orthographie, que du temps pour la corriger, car un "ouvrier" reste assujetti au temps comment principale contrainte. Je renonce à me relire, sachant à l'avance que cela est en grande partie, une des raisons d'une qualité plus que médiocre, dans mon écriture aux yeux de mes égaux, de mes détracteurs, et surtout de ceux et celles qui pour "ce grotesque défaut" prendraient le plaisir de me pointer du doigt :
J'invite malgré tout les gens à me lire, ainsi soit pour mieux pouvoir m'attaquer sur mes fautes ?
Si j'écris, il faut admettre que le sujet reste depuis le début le même, la sociologie, la politique, donc un sujet qu'en apparence attire très peu de monde, alors il m'arrive de douter du nombre de visites à mes sujets, voici quelques liens pour des racines de forums, où je m'étonne en comparant le nombre de lectures, nombre que me motive encore à publier, les liens pointent sur des racines dans le seul but d'éviter d’altérer les compteurs, J'écris, et je prends des risques, quand les idées ne viennent pas de moi, je cite les sources, je suis sans doute un authentique naïf comment dans mon premier sujet rendu publique de cela il y plus de dix ans et que je vais ajouter en lien au final :
Deux sujets avec plus de 140 mille visites à eux deux sur la Colombie et sur la liberté:
http://foros.periodistadigital.com/viewforum.php?f=25&sid=c3a625681251763b8100ee4136d48197
Je remercie à Tina qui héberge depuis des années mes textes, dans la rubrique société se trouve un coin, une sorte de jardin où je m'exprime sous pseudonyme "Ego Autem semper" sous le titre ACTUALITÉ SOCIÉTÉ ET POLITIQUE :
http://expressions-libres.forumdediscussions.com/f97-societe
Des sauvegardes
Une fois que j'ai perdu quelques années de textes, de poésies, lors de la disparition de "La rue des auteurs" ; puis j'ai une expérience similaire avec mes interventions dans quelques rubriques d'un forum dans LE FIGARO. Je me suis rendu compte de la nécessité de sauvegarder ce que j'écris, vu qu'à l'époque et encore de nous jours, il est possible d'ouvrir des blogs et des forums ; voici dont mes sauvegardes, cela dit j'ai plus tendance à favoriser le dernier forum, qui d'ailleurs ne compte pas beaucoup de membres, normale, cela parle que de politique !
1° En tant que gramophone chez un grand ami :
http://www.becdanlo.fr/forum/viewtopic.php?t=830
2° Il y a encore Alexandrie
Hélas sans le forum où j'avais beaucoup écrit , reste une trace (gramophone):
..."Les sites littéraires, sont des ouvres dignes d'éloge, car sont le fruit de la volonté conjointe de personnes sans intention lucrative, de nous jours aux dire de l'économie moderne tout simplement une utopie quoi! Pour tant voilà que ces âmes charitables et très nobles existent belle et bien pour la joie de nous autres les quidams, assoiffes d'un art pour ma part distant autant que l'olympe.
Nestor Elias RAmirez Jimenez né à Palmira Valle del Cauca en Colombie en 1960"…
http://www.alexandrie.org/modules.php?ModPath=td-livredor&ModStart=livre
3° Le journal LE FIGARO garde quelques textes sous le pseudonyme "gramophone" dans un commentaire du 23/01/2011 à 18/10 entre autres:
http://www.lefigaro.fr/politique/2011/01/21/01002-20110121ARTFIG00687-nicolas-hulot-se-rapproche-d-une-candidature-en-2012.php?pagination=2
4° Une compilation de liens, un florilège à la disposition de mes détracteurs sans doute :
https://www.facebook.com/AtelierDePhilosophieEconomique/posts/148449761973058
5° Je suis naïf quoi
C'est un titre publié pour la première fois en 2004 dans un site jadis disparu, géré avec un gros cœur pour monsieur Gilles Chenaille, de qui je garde des excellents souvenirs. Si le sujet existe c'est parce que je me suis rendu compte que sur le web, des sites périclitent comment nous : Le forum du journal LE FIGARO, le site Webescri, Le site La rue des auteurs, le site Alexandrie, le forum de GIGAPRESSE, sont des lieux virtuels, où j'ai eu la chance phénoménale d'y être inscrit, et d’affronter des critiques par fois très violentes, mêmes critiques qu'auraient apporté à ma conscience de la maturité, de la connaissance du comportement, critiques qu'à chaque fois m'ont obligé à améliorer d'ailleurs je ne serai, jamais satisfait de tant d'écrit, parce que je n'écrirai jamais mieux que ça !
http://gramophone.uniterre.com/29102/Je+suis+na
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
JOIGNY 31 octobre 2014
Sujet écris à l'attention des connaissances du web entre autres Dominique Roux, Bertrand Tacchella, Nicolas Ferey, Bart Black, Luc Montagne entre autres
Plaider aveuglement une cause, serait aussi inutile que stérile. Il m'arrive, d'écrire de manière régulière ; initialement sous excuse de tenter d'évoluer, alors qu'à mon arrivé dans un pays étranger en 1988 je ne connaissez pas vraiment du français qu'une chanson du chanteur des USA, Joe DASSIN, intitulée "Et si tu n'existe pas".
J'ai beaucoup des meurtrissures dans l'âme, déjà avant 1988, ensuite elles ont grossie, à chaque fois que de nous jours je suis d'une manière ou une autre critiqué sur mon illettrisme avéré. Cela étant je suis conscient du risque que j'ai dois dont assumer, d'autant plus que à chaque critique, je tente de répondre, à la hauteur de mes moyens : moyens en temps et qualité d'un ouvrier immigré et passionné de sociologie et syndicalisme
Il y a beaucoup plus de production sous forme de texte écrite ; jonché, taché de fautes de grammaire et orthographie, que du temps pour la corriger, car un "ouvrier" reste assujetti au temps comment principale contrainte. Je renonce à me relire, sachant à l'avance que cela est en grande partie, une des raisons d'une qualité plus que médiocre, dans mon écriture aux yeux de mes égaux, de mes détracteurs, et surtout de ceux et celles qui pour "ce grotesque défaut" prendraient le plaisir de me pointer du doigt :
J'invite malgré tout les gens à me lire, ainsi soit pour mieux pouvoir m'attaquer sur mes fautes ?
Si j'écris, il faut admettre que le sujet reste depuis le début le même, la sociologie, la politique, donc un sujet qu'en apparence attire très peu de monde, alors il m'arrive de douter du nombre de visites à mes sujets, voici quelques liens pour des racines de forums, où je m'étonne en comparant le nombre de lectures, nombre que me motive encore à publier, les liens pointent sur des racines dans le seul but d'éviter d’altérer les compteurs, J'écris, et je prends des risques, quand les idées ne viennent pas de moi, je cite les sources, je suis sans doute un authentique naïf comment dans mon premier sujet rendu publique de cela il y plus de dix ans et que je vais ajouter en lien au final :
Deux sujets avec plus de 140 mille visites à eux deux sur la Colombie et sur la liberté:
http://foros.periodistadigital.com/viewforum.php?f=25&sid=c3a625681251763b8100ee4136d48197
Je remercie à Tina qui héberge depuis des années mes textes, dans la rubrique société se trouve un coin, une sorte de jardin où je m'exprime sous pseudonyme "Ego Autem semper" sous le titre ACTUALITÉ SOCIÉTÉ ET POLITIQUE :
http://expressions-libres.forumdediscussions.com/f97-societe
Des sauvegardes
Une fois que j'ai perdu quelques années de textes, de poésies, lors de la disparition de "La rue des auteurs" ; puis j'ai une expérience similaire avec mes interventions dans quelques rubriques d'un forum dans LE FIGARO. Je me suis rendu compte de la nécessité de sauvegarder ce que j'écris, vu qu'à l'époque et encore de nous jours, il est possible d'ouvrir des blogs et des forums ; voici dont mes sauvegardes, cela dit j'ai plus tendance à favoriser le dernier forum, qui d'ailleurs ne compte pas beaucoup de membres, normale, cela parle que de politique !
1° En tant que gramophone chez un grand ami :
http://www.becdanlo.fr/forum/viewtopic.php?t=830
2° Il y a encore Alexandrie
Hélas sans le forum où j'avais beaucoup écrit , reste une trace (gramophone):
..."Les sites littéraires, sont des ouvres dignes d'éloge, car sont le fruit de la volonté conjointe de personnes sans intention lucrative, de nous jours aux dire de l'économie moderne tout simplement une utopie quoi! Pour tant voilà que ces âmes charitables et très nobles existent belle et bien pour la joie de nous autres les quidams, assoiffes d'un art pour ma part distant autant que l'olympe.
Nestor Elias RAmirez Jimenez né à Palmira Valle del Cauca en Colombie en 1960"…
http://www.alexandrie.org/modules.php?ModPath=td-livredor&ModStart=livre
3° Le journal LE FIGARO garde quelques textes sous le pseudonyme "gramophone" dans un commentaire du 23/01/2011 à 18/10 entre autres:
http://www.lefigaro.fr/politique/2011/01/21/01002-20110121ARTFIG00687-nicolas-hulot-se-rapproche-d-une-candidature-en-2012.php?pagination=2
4° Une compilation de liens, un florilège à la disposition de mes détracteurs sans doute :
https://www.facebook.com/AtelierDePhilosophieEconomique/posts/148449761973058
5° Je suis naïf quoi
C'est un titre publié pour la première fois en 2004 dans un site jadis disparu, géré avec un gros cœur pour monsieur Gilles Chenaille, de qui je garde des excellents souvenirs. Si le sujet existe c'est parce que je me suis rendu compte que sur le web, des sites périclitent comment nous : Le forum du journal LE FIGARO, le site Webescri, Le site La rue des auteurs, le site Alexandrie, le forum de GIGAPRESSE, sont des lieux virtuels, où j'ai eu la chance phénoménale d'y être inscrit, et d’affronter des critiques par fois très violentes, mêmes critiques qu'auraient apporté à ma conscience de la maturité, de la connaissance du comportement, critiques qu'à chaque fois m'ont obligé à améliorer d'ailleurs je ne serai, jamais satisfait de tant d'écrit, parce que je n'écrirai jamais mieux que ça !
http://gramophone.uniterre.com/29102/Je+suis+na
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ dit gramophone
JOIGNY 31 octobre 2014
la politique et sont image
Politique et crédibilité
Préambule
L’image des partis politiques est abondamment écornée. C’est alors l’abstention qui progresse lors du suffrage. Malgré quoi, les affaires judiciaires ont toujours terni l’image des leaders et gestionnaires de la chose publique. Si nous avons l’impression que la crédibilité s’étiole quant à l’image des partis politiques, la cause principal est intimement lié à deux choses, d’une partie la vitesse avec laquelle l’information circule et d’autre part à l’interaction spontanée des gens.
UN MÉTIER
L’art de gouverner vu comment occupation à temps plain, obéit à une nécessité inaliénable ou perpétuel. Gouverner dès lors que cela exige beaucoup du temps, devienne une occupation qui s’identifie avec la définition de travail, d’autant plus que dans la majorité des cas la politique ou gestion des affaires de la cité est une activité rémunérée, juridiquement donc adossée à la catégorie d’emploi. De toute évidence pour une partie de la population, il est difficile d’admettre que la politique soit un emploi, cela reste une conception, louable, de tout point de vue.
Du moment où la personne n’est pas libre de ses mouvements, il devienne logique une compensation pécuniaire, un salaire. Difficile pour l’humain, de faire usage de l’impartialité, de l’éthique ; du moment qu’il touche à des connaissances, des ressources, des relations surgi mécaniquement la tentation.
Par des raisons intrinsèques à l’humain, pour des raisons soit de faiblesse, par cupidité, ou par simple conflit d’intérêts ou collusion l’humain risque fort de tomber sur la tentation.
LA VITESSE DE L’INFORMATION INTERACTIVE
Entre ciel et terre, peu ou rien est occulte, tôt ou tard, une action, un geste, un comportement illicite ou injuste, est rendu publique.
L’information de nous jours avance vertigineusement, beaucoup plus vite à chaque fois, sans doute des affaires qu’il y a un siècle prenaient des années voir des siècles pour arriver chez nous, arrivaient maintenant en temps réel.
Aujourd’hui le seul fait de disposer d’un accès à Internet nous permet d’être acteurs, intervenants directs puisque comment ici, nous pouvons polémiquer sur chaque sujet apparu dans les différents médias.
Non seulement donc nous recevons dans la seconde l’information mais en plus nous pouvons modifier en partie cette information, du fait cela nous rend responsables, mais en même temps, nous sommes aussi affectés, nous sommes convertis à cette vertigineuse quantité d’information.
L’INFORMATION ET LA CRÉDIBILITÉ DES POLITIQUES
Au but de comptes la vitesse de l’information et l’interactivité réussi à nous faire parvenir l’information et donc à émerger en premier lieu les sujets le plus scandaleux, qui vont entacher très vite l’image des gens. C’est alors que nous constatons que les médias de-crédibilisent facilement les représentants politiques. Qui pour une minorité succombent à la tentation.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny 1er novembre 2014
Préambule
L’image des partis politiques est abondamment écornée. C’est alors l’abstention qui progresse lors du suffrage. Malgré quoi, les affaires judiciaires ont toujours terni l’image des leaders et gestionnaires de la chose publique. Si nous avons l’impression que la crédibilité s’étiole quant à l’image des partis politiques, la cause principal est intimement lié à deux choses, d’une partie la vitesse avec laquelle l’information circule et d’autre part à l’interaction spontanée des gens.
UN MÉTIER
L’art de gouverner vu comment occupation à temps plain, obéit à une nécessité inaliénable ou perpétuel. Gouverner dès lors que cela exige beaucoup du temps, devienne une occupation qui s’identifie avec la définition de travail, d’autant plus que dans la majorité des cas la politique ou gestion des affaires de la cité est une activité rémunérée, juridiquement donc adossée à la catégorie d’emploi. De toute évidence pour une partie de la population, il est difficile d’admettre que la politique soit un emploi, cela reste une conception, louable, de tout point de vue.
Du moment où la personne n’est pas libre de ses mouvements, il devienne logique une compensation pécuniaire, un salaire. Difficile pour l’humain, de faire usage de l’impartialité, de l’éthique ; du moment qu’il touche à des connaissances, des ressources, des relations surgi mécaniquement la tentation.
Par des raisons intrinsèques à l’humain, pour des raisons soit de faiblesse, par cupidité, ou par simple conflit d’intérêts ou collusion l’humain risque fort de tomber sur la tentation.
LA VITESSE DE L’INFORMATION INTERACTIVE
Entre ciel et terre, peu ou rien est occulte, tôt ou tard, une action, un geste, un comportement illicite ou injuste, est rendu publique.
L’information de nous jours avance vertigineusement, beaucoup plus vite à chaque fois, sans doute des affaires qu’il y a un siècle prenaient des années voir des siècles pour arriver chez nous, arrivaient maintenant en temps réel.
Aujourd’hui le seul fait de disposer d’un accès à Internet nous permet d’être acteurs, intervenants directs puisque comment ici, nous pouvons polémiquer sur chaque sujet apparu dans les différents médias.
Non seulement donc nous recevons dans la seconde l’information mais en plus nous pouvons modifier en partie cette information, du fait cela nous rend responsables, mais en même temps, nous sommes aussi affectés, nous sommes convertis à cette vertigineuse quantité d’information.
L’INFORMATION ET LA CRÉDIBILITÉ DES POLITIQUES
Au but de comptes la vitesse de l’information et l’interactivité réussi à nous faire parvenir l’information et donc à émerger en premier lieu les sujets le plus scandaleux, qui vont entacher très vite l’image des gens. C’est alors que nous constatons que les médias de-crédibilisent facilement les représentants politiques. Qui pour une minorité succombent à la tentation.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ
Joigny 1er novembre 2014
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action syndicale
Moyens de pression
Tout au long de l'histoire de la lutte syndicale qui se confond avec la lutte de classes, il aura fallu des journées de sacrifice ou même des vies humaines aurait été le lourd tribut aux acquis.
D'autres moyens seraient aussi convaincants que l'affrontement sanglant et mortier?
Tout au long de l'histoire de la lutte syndicale qui se confond avec la lutte de classes, il aura fallu des journées de sacrifice ou même des vies humaines aurait été le lourd tribut aux acquis.
D'autres moyens seraient aussi convaincants que l'affrontement sanglant et mortier?
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Causes du terrorisme et de la folie
Causes du terrorisme et de la folie individuelle:
ÉDUCATION ET PROGRÈS
Sujet dédicacé à tant des personnes que par leur action, leur travail jouent le rôle primordiale de sentinelles dans une société qui se veut de plus en plus sourde, individualiste et indifférente, je pense à l'enorme travail de personnes comment John Christensen, Étienne Chouard, Myret Saki, Pier Péan, Fabrice Arfi, Antoine Peillon, et tant d'autres, car la liste reste exhaustive.
Il n'est pas nécessaire rappeler le nombre d'études sur l'éducation et sont impacte sur l'évolution sociale et le progrès.
Loin de toute idée de stigmatisation et prosélytisme, une fois de plus, cette idée est pour l'énième fois confirmée par un étude de la OCDE.
Suprématie et pérennité
Sous l’influence des meilleures conditions (environnement socioprofessionnel) les enfants ont des nombreuses avantages qui vont permettre de se développer pour perpétrer une hégémonie qui veut que ceux d’entre eux qu’auraient fréquenté les meilleurs centres universitaires, seraient les seuls à avoir le choix de postes de travail au plus haut niveau de revenu.
Là où les classes pouvant payer une bonne éducation aux enfants trouvent logique au but, des salaires dignes de compenser les efforts de leurs progéniture, les classes moins favorisés arrivaient à croire même, d’une que c’est le destin, ou la société, ou la gestion politique qui leur prédétermine l’avenir.
Perpétuité
Si la société en partie éloigné des principes éthiques, moraux et d’harmonie sociale, semble en permanence montrer une image de chaos et injustice pour les classes populaires, la raison reste simple.
Systématiquement en fonction de leur milieu socioprofessionnel les enfants auraient déjà des grosses chances d’atteindre des niveau d’éducation plus poussé pour les familles aisés, et moins important pour les familles les plus modestes.
La conséquence est très nocive pour l’harmonie sociale, car pour cette raison le nombre de gens sans formation, augmente, les formations de troisième zone, se multiplient, sans que le pouvoir politique mesure le danger (de plus en plus de population est déjà marqué au fer rouge pour le restant de leur vie, (il vont devenir des gens au niveau de salaire le plus bas) c’est à dire des gens sans emploie assuré, car les emplois du genre bien que en nombre restent ceux qui pour leur propre qualité sont les premier à être supprimé dans un procès de modernisation des formes de production.
Délinquance et violence
De la paupérisation économique à la paupérisation intellectuelle, difficile de voir vraiment des différences.
Sous l’influence autre que celle qui donne la connaissance, c’est à dire, influence des médias, des jeux d’arcade (les quinze à trente-cinq ans et plus jouent entre deux et cinq heures par jour) très violents.
Sous l’influence des médias, les guerres, le terrorisme, la délinquance, sous influence du chômage, arrivaient très vite des liaisons très dangereuses qui conduisent au chemin le plus court et le plus risqué soit de suivre les mauvais exemples, soit d’offrir sa vie à des soi-disant " causes à connotation idéologique voir religieuse ".
Au sein des sectes et certains religions la notion de sacrifice, offre une connotation qui devienne de loin plus valorisante que le devenir au sein d’une société, pour laquelle les milieux de gestion, les gouvernants, ne semblent pas s’inquiéter.
La dérive violente
Les intellectuels, les gouvernants ne peuvent pas faire semblant d’ignorer les causes profondes de cette espèce de prolifération croissante d’actes que si bien sont montrés isolés, sont des actes en concomitance intime inébranlable avec la perte de repères de consciences frêles, consciences sciemment tenus pour des rebuts d’une société trop fière trop égoïste pour admettre sont erreur sans issu indigne de tant de connaissances et pseudo-intellectuels.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ (études sociales de l'Université Technologique de Péreira en Colombie)
Joigny25 décembre 2014
ÉDUCATION ET PROGRÈS
Sujet dédicacé à tant des personnes que par leur action, leur travail jouent le rôle primordiale de sentinelles dans une société qui se veut de plus en plus sourde, individualiste et indifférente, je pense à l'enorme travail de personnes comment John Christensen, Étienne Chouard, Myret Saki, Pier Péan, Fabrice Arfi, Antoine Peillon, et tant d'autres, car la liste reste exhaustive.
Il n'est pas nécessaire rappeler le nombre d'études sur l'éducation et sont impacte sur l'évolution sociale et le progrès.
Loin de toute idée de stigmatisation et prosélytisme, une fois de plus, cette idée est pour l'énième fois confirmée par un étude de la OCDE.
Suprématie et pérennité
Sous l’influence des meilleures conditions (environnement socioprofessionnel) les enfants ont des nombreuses avantages qui vont permettre de se développer pour perpétrer une hégémonie qui veut que ceux d’entre eux qu’auraient fréquenté les meilleurs centres universitaires, seraient les seuls à avoir le choix de postes de travail au plus haut niveau de revenu.
Là où les classes pouvant payer une bonne éducation aux enfants trouvent logique au but, des salaires dignes de compenser les efforts de leurs progéniture, les classes moins favorisés arrivaient à croire même, d’une que c’est le destin, ou la société, ou la gestion politique qui leur prédétermine l’avenir.
Perpétuité
Si la société en partie éloigné des principes éthiques, moraux et d’harmonie sociale, semble en permanence montrer une image de chaos et injustice pour les classes populaires, la raison reste simple.
Systématiquement en fonction de leur milieu socioprofessionnel les enfants auraient déjà des grosses chances d’atteindre des niveau d’éducation plus poussé pour les familles aisés, et moins important pour les familles les plus modestes.
La conséquence est très nocive pour l’harmonie sociale, car pour cette raison le nombre de gens sans formation, augmente, les formations de troisième zone, se multiplient, sans que le pouvoir politique mesure le danger (de plus en plus de population est déjà marqué au fer rouge pour le restant de leur vie, (il vont devenir des gens au niveau de salaire le plus bas) c’est à dire des gens sans emploie assuré, car les emplois du genre bien que en nombre restent ceux qui pour leur propre qualité sont les premier à être supprimé dans un procès de modernisation des formes de production.
Délinquance et violence
De la paupérisation économique à la paupérisation intellectuelle, difficile de voir vraiment des différences.
Sous l’influence autre que celle qui donne la connaissance, c’est à dire, influence des médias, des jeux d’arcade (les quinze à trente-cinq ans et plus jouent entre deux et cinq heures par jour) très violents.
Sous l’influence des médias, les guerres, le terrorisme, la délinquance, sous influence du chômage, arrivaient très vite des liaisons très dangereuses qui conduisent au chemin le plus court et le plus risqué soit de suivre les mauvais exemples, soit d’offrir sa vie à des soi-disant " causes à connotation idéologique voir religieuse ".
Au sein des sectes et certains religions la notion de sacrifice, offre une connotation qui devienne de loin plus valorisante que le devenir au sein d’une société, pour laquelle les milieux de gestion, les gouvernants, ne semblent pas s’inquiéter.
La dérive violente
Les intellectuels, les gouvernants ne peuvent pas faire semblant d’ignorer les causes profondes de cette espèce de prolifération croissante d’actes que si bien sont montrés isolés, sont des actes en concomitance intime inébranlable avec la perte de repères de consciences frêles, consciences sciemment tenus pour des rebuts d’une société trop fière trop égoïste pour admettre sont erreur sans issu indigne de tant de connaissances et pseudo-intellectuels.
Par Nestor Elias RAMIREZ JIMENEZ (études sociales de l'Université Technologique de Péreira en Colombie)
Joigny25 décembre 2014
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Date d'inscription : 21/02/2009
αλληλεγγύη
αλληλεγγύη SOLIDARITÉ SOLIDARIDAD
Το ΔΝΤ υπονομεύει ελληνικής δημοκρατίας
Le FMI porte atteinte à la démocratie grecque
El FMI ataca la democracia griega
Jeremy Rifkin και ο Joseph Stiglitz Ε (δύο αμερικανοί πολίτες έτσι ένα Βραβείου Νόμπελ στα Οικονομικά) υποστηρίζουν ότι το καπιταλιστικό οικονομικό σύστημα ζει τελευταίες ώρες του.
Jeremy Rifkin et Joseph E. Stiglizt (deux citoyens américains donc un prix Noble d'économie) affirment que le système économique capitaliste vie ses derniers heures.
Jeremy Rifkin y Joseph E. Stiglitz (dos ciudadanos estadounidenses une de ellos Premio Nobel en Economía) argumentan que el sistema económico capitalista vive sus últimas horas.
Το ΔΝΤ υπονομεύει ελληνικής δημοκρατίας
Le FMI porte atteinte à la démocratie grecque
El FMI ataca la democracia griega
Jeremy Rifkin και ο Joseph Stiglitz Ε (δύο αμερικανοί πολίτες έτσι ένα Βραβείου Νόμπελ στα Οικονομικά) υποστηρίζουν ότι το καπιταλιστικό οικονομικό σύστημα ζει τελευταίες ώρες του.
Jeremy Rifkin et Joseph E. Stiglizt (deux citoyens américains donc un prix Noble d'économie) affirment que le système économique capitaliste vie ses derniers heures.
Jeremy Rifkin y Joseph E. Stiglitz (dos ciudadanos estadounidenses une de ellos Premio Nobel en Economía) argumentan que el sistema económico capitalista vive sus últimas horas.
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