ACTUALIDAD VIDEO E HISTORIA

http://fr.youtube.com/watch?v=DGb6f_1jj5g

TESTIMONIO DE LA INFAMIA EN COLOMBIA

a continuacion un texto integral del documento video
en español y luego en frances.

-Esta era la calle principal de puerto esperanza, la casa de mi abuelo destruida por completo.


-La destrucción que dejo el desplazamiento, la guerra, hay se refleja lo que se vivió en esa época, pero usted pasa y entra a la zona humanitaria y es ver el futuro.


-Esto es una experiencia única, volver a empezar, por que esto es prácticamente volver a empezar, hay mucho para construir.

-Estamos muy cerca de las fincas, la zona humanitaria es el único lugar donde nosotros podemos decir y declararnos como civiles, decir no a las armas, no a los grupos armados, sean los legales, sean los ilegales, desde aquí de la zona humanitaria nosotros podemos decir, nosotros somos civiles campesinos, venimos a defender la vida defender la tierra y regresar a las fincas.

-(una voz de un anciono que me causa dolor) Yo soy pobre desde cuna, tuve mis hijos, unos me acompañaron un tiempo otros muchachos desaparecieron, si lo cogieron hay no volvió a la casa. Y entonces llego el desplazamiento de esa gente paramilitar, el ejército, nos fuimos para la ciudad, y aya que como digo yo, que se saca uno con salirse para una ciudad, ¿a hacer que? (lagrimas) Morirse de hambre, el que es del campo es del campo, eso son (pendejadas) tonterías.

-(voz de una señora)A mi me han desplazado cuatro veces desde que existo en mi vida, desde que tenia cinco años mis padres fueron desplazados, nos sacaron por que esta es una región muy rica, tanto en tierras, aguas, minerales, minas, hay petróleo, esmeraldas, una región muy rica pero uno es pobre. Esto ha sido una región de guerra toda la vida, aquí hubo un tiempo que todos los días amanecían dos muertos, bajar la gente de los buses y matarla delante de la gente de la familia, y desaparecerla, se los llevaban; ¿y quien lo hacia? El ejército con los paramilitares, por lo menos en esta zona donde estamos este lugar, mejor dicho que hablara esta tierra contaría cuantos muertos hubo.

-(voz de un anciano)Esta se guerra se inicio el nueve de abril de 1948, en esa época yo tendría ocho años, tres desplazamientos en los cincuenta años que tengo, años de guerra es todo lo que he conocido, ha muerto un hijo que iba desde aquí para Villavicencio, y hay lo levantaron los paramilitares o el ejercito y desapareció, tendría unos veinte dos años, pues yo recibí esa noticia con nostalgia, (silencio) pero uno tiene que sacar valor, por que en este país si uno dice algo, denuncia pues ya dicen ellos (censura, borrado) aquí donde estamos somos objetivo militar por haber denunciado todas las cosas mal hechas del señor Uribe (presidente)

-(voz de otro caballero de edad)Por que aquí mataron viejitos, más viejitos que yo, miserablemente porque la guerrilla llegaba en esa época a la casa de ellos y los saludaba, no tenemos amparo de las leyes de ninguna clase de ley. Ya nos toca apelar al puro corazón de nosotros y a Dios que nos ayude para defendernos.

-(voz de un lider)Pero entonces nosotros tenemos que ver que política vamos a desarrollar nosotros, política que no nos afecte, si, política propia, buscar su economía propia, para así podernos defender, todo eso también tenemos que irlo mirando, cual va a ser la estrategia, para nosotros liberarnos de eso, por que la guerra no se va a acabar.

-(el mismo anciano de antes)Yo no conozco en Colombia un aporte de parte del estado para los pobres, lo único que conozco son aviones, fusiles, metralladotas, de distintos calibres, cañones de distintas clases sobre nosotros.

-(voz de un lider)Otra cosa que también ahí que analizar es la cuestión del servicio militar que se presta aquí en Colombia, ¿quienes son los que prestan el servicio militar? (los hijos de los campesinos) es ayudarle a los grandes intereses a las grandes multinacionales.

-(voz de una dama)Del 2000 para acá llevamos 132 victimas, y personas que solamente hacen que trabajar, y los matan como colaboradores de la guerrilla, y siempre los matan y los camuflan de guerrilleros, y quedan como guerrilleros.

Muy importante para la comunidad, nosotros hemos buscado como la manera de dejar símbolos, buscar como hacer memoria dejando los nombres de nuestras victimas, dejando como un sello sobre las piedras, aquí están los nombres de algunos, pocos, desaparecidos, torturados, niños, adultos, descuartizados e incluso llegaron a acecinar con motosierras, les habrán podido destrozar los cuerpos, les quitaron la vida, pero los sueños, nosotros como comunidad como personas como seres humanos no podemos dejar que se pierda.

Je me suis permis la liberté de modifier le moins possible le fond des témoignages pour leur rendre lisibles (vu que c’est légèrement le langage des gens de la campagne) malgré tout pour ceux et celles qui comprennent l’espagnol, la modification reste minimal.

Celle-ci était la rue principale de port espoir, la maison de mon grand-père détruite complètement.

La destruction qui laisse le déplacement, la guerre, se reflète ce qu'on a vécu à cette époque, mais vous passez et entres à la zone humanitaire et est c'est une manière de voir le futur.

Ceci est une expérience unique, commencer à nouveau, parce que ceci est pratiquement commencer à nouveau, il y a beaucoup pour construire. Nous sommes très près des propriétés, la zone humanitaire est le seul lieu où nous pouvons dire et nous déclarer comme civils, dire non aux armes, non aux groupes armés, qu'ils soient légaux, qu'ils soient illégaux, dès ici de la zone humanitaire nous pouvons dire, nous sommes des paysans civils, nous venons défendre la vie, défendre la terre et nous voulons retourner aux propriétés

Je suis pauvre depuis mon berceau, j'ai eu mes fils, ils m'ont accompagné un temps d'autres garçons ont disparu, pour un de mes fils, ils l'ont pris, il n'est pas retourné à la maison. Et arrive alors le déplacement par ces gens, paramilitaires, l'armée, nous sommes envoyez à la ville, et là-bas quoi? Comme dis-je, que gagnons-nous en allant pour une ville, à faire quoi ? (larmes) Mourir de faim! Celui qui est de la campagne il est de la campagne, cela sont des bêtises.

Moi ils m'ont déplacé quatre fois depuis que j'existe dans ma vie, depuis que j'avais cinq années mes parents ont été déplacés, ils nous ont sorties parce celle-ci est une région très riche, tant pour les terres, les eaux, les minéraux, des mines, il y a du pétrole, émeraudes, une région très riche mais ont est pauvre. Ceci a été une région de guerre toute la vie, il été un temps où tous les jours faisaient deux morts, ils descendaient les gens du bus et le tuaient devant les gens, la famille, ils leurs faisaient disparaître, ils les apportaient ; Qui aurait fait cela? L'armée avec les paramilitaires, au moins dans cette zone où nous sommes, ce lieu, si la terre parlerait, elle compterait oh! Combien de morts il y a eu.

Cette guerre à démarré le neuf avril 1948, à cette époque j'aurais huit années, trois déplacements durant les cinquante années que j'ai, années de guerre, c'est tout ce que j'ai connu, Est mort un fils qui allait depuis ici vers Villavicencio, et ont l'enlevé, des paramilitaires ou l'armée et ensuite il a disparu, il avait quelque vingt-deux ans, Bien sur que j'ai reçu cette nouvelle avec nostalgie, (silence) mais on doit sortir du courage, valeur, parce que dans ce pays si un dit quelque chose, dénonce ce qu'ils fonts, déjà vous signé la peine de mort (censure, effacé) ici où nous sommes nous sommes objectif militaire pour avoir dénoncé toutes les choses mal faites du gouvernement et du président Uribe Velez

Par ici ils ont tué des vieillards, d'avantages de vieillards plus vieux que moi, misérablement que parce que la guérilla arrivait à cette époque à leurs maisons en leurs disant "bonjours". Nous n'avons pas protection des lois, aucune type de loi, Il nous reste la force du cœur et Dieu pour nous aider a nous défendre.

Justement, alors nous devons voir quelle politique nous allons développer, une politique qui ne nous affecte pas, si, politique propre, chercher une économie propre, pour pouvoir ainsi nous défendre, tout cela nous devons aussi commencer à surveiller, quelle va être la stratégie, pour nous, nous libérer de cela, parce que la guerre ne va pas être finie.

Je ne connais pas en Colombie un apport de l'état pour ce qui des pauvres, la seule chose ce que je connais sont des avions, canons, mitraillettes, de différents calibres, canons de différentes classes sur nous.

Autre chose qu’il faut analyser est la question du service militaire qui est rendu en Colombie, qui sont ceux qui servent au service militaire ? (les fils des paysans) c'est aider aux grands intérêts aux grandes multinationales.

Dès 2000 nous avons un compte de 132 victimes, de personnes donc leur délit reste que de travailler, (sans jugement, morte violente) personnes qui sont tués en tant que collaborateurs de la guérilla; toujours sous ce chez d'accusation, mais sans aucune preuve, ils restent pour les autorités que des guérilleros.

Très important pour la Communauté, nous avons fait en sorte ou manière de laisser des symboles, chercher comme faire mémoire en laissant les noms de nos victimes, en laissant comme un timbre sur les pierres, sont ici les noms de certains, peu bien sur, disparus, torturés, enfants, adultes, écartèles, et ils sont même arrivés à assassiner avec des scies á chaîne, ils auront pu leur détruire les corps, ils leur ont enlevé la vie, mais les rêves, nous comme Communauté, comme personnes comme êtres humains ne pouvons pas laisser qu'ils soient perdu.

EL PRESIDENTE DE LA REPÚBLICA DE COLOMBIA

En ejercicio de las facultades constitucionales y legales, especialmente

las establecidas en la Ley 975 de 2005



CONSIDERANDO:



Que en el Capitulo XI de la Ley 975 de 2005 se faculta al Presidente de

la República para realizar acuerdos humanitarios con grupos armados

organizados al margen de la ley, y conceder beneficios a los miembros

de dichos grupos, siempre y cuando estas decisiones contribuyan

efectivamente a la búsqueda y logro de la paz.



Que el artículo 61 de la Ley 975 faculta al Presidente de la República

para solicitar la suspensión condicional de la pena y el beneficio de la

pena alternativa a favor de los miembros de grupos armados

organizados al margen de la ley con los cuales se llegue a acuerdos

humanitarios, teniendo como propósito central el cabal cumplimiento de

los derechos ciudadanos y en especial los de las víctimas que se

benefician con la realización de dichos acuerdos.



Que la suspensión condicional de la ejecución de la pena de que trata el

artículo 61 de la Ley 975 de 2005, es un mecanismo jurídico sustitutivo

de la pena privativa de la libertad, que se suma a los ya establecidos en

el Título IV del Capítulo 111 del Código Penal (Ley 599 de 2000).



Que el inciso 2° del artículo 61 de la Ley 975 de 2005 establece que es

potestativo del Gobierno Nacional exigir las condiciones que estime

pertinentes para que estas decisiones contribuyan efectivamente a la

búsqueda y logro de la paz.



Que diferentes sectores de la sociedad colomb~ana y de otras naciones

vienen clamando por soluciones humanitarias que abran las puertas para la liberación de los secuestrados en poder de grupos armados

organizados al margen de la ley.



Que es voluntad del Gobierno Nacional realizar acuerdos humanitarios

con los grupos armados organizados al margen de la ley, para darle

aplicación al capitulo XI de la Ley 975 de 2005.



DECRETA:



ARTíCULO PRIMERO.- Para efectos del presente Decreto se entiende

que se ha llegado a un acuerdo humanitario, cuando el grupo armado al

margen de la ley, libere la o las personas secuestradas que se

encuentren en su poder.



ARTíCULO SEGUNDO.- El Presidente de la República, o el Alto

Comisionado para la Paz por delegación del señor Presidente, enviará a

la autoridad competente los nombres de las personas privadas de la

libertad que se haya acordado, solicitando la suspensión condicional de

la pena de que trata el articulo 61 de la Ley 975 de 2005.



ARTíCULO TERCERO.- Los miembros del grupo armado organizado al

margen de la ley que reciban el beneficio de la suspensión condicional

de la pena o la aplicación de una pena alternativa, de conformidad con lo

dispuesto por el artículo 61 de la Ley 975 de 2005, deben

comprometerse a no volver a delinquir.



ARTíCULO CUARTO.- Quienes cumplan las anteriores condiciones

podrán ser beneficiarios de los programas de reintegración a la vida civil

ofrecidos por el Gobierno Nacional. La Oficina del Alto Comisionado para

la Paz y la Alta Consejería Presidencial para la Reintegración,

dispondrán lo pertinente para tal efecto.



ARTíCULO QUINTO.- Para la aplicación de la pena alternativa, el

Presidente de la República o el Alto Comisionado para la Paz por

delegación del señor Presidente, solicitará el trámite del beneficio a la

Fiscalía General de la Nación.



ARTICULO SEXTO.- En atención al interés superior de la paz, los

procedimientos que se deriven de lo establecido en el presente Decreto

serán tramitados con prioridad.



ARTíCULO SÉPTIMO.- El presente decreto rige a partir de la fecha de su publicación.



PUBlíQUESE, COMUNíQUESE Y CÚMPLASE

Dado en Bogotá, D.C., a los (27 marzo del 2008)

http://web.presidencia.gov.co/decretoslinea/2008/marzo/27/dec88027032008.pdf

Comunicado del Secretariado del Estado Mayor Central de las FARC-EP sobre la misión médica francesa

Comunicado

1. La liberación unilateral de cinco congresistas y de una ex candidata a la vicepresidencia, ocurrida entre enero y febrero, fue ante todo un gesto de generosidad y voluntad política de las FARC, no de debilidad o resultado de una presión, como equivocadamente lo asume el gobierno del señor Uribe.Tales liberaciones obedecieron a una decisión soberana de la insurgencia de las FARC estimulada por la persistente labor humanitaria del Presidente Hugo Chávez y la senadora Piedad Córdoba.

2. Desde la última liberación unilateral del 27 de febrero hemos estado a la espera del decreto presidencial ordenando el despeje militar de Pradera y Florida para concretar allí, con la garantía de la presencia guerrillera, el acuerdo de canje humanitario. Los guerrilleros presos en las cárceles de Colombia y los Estados Unidos, son nuestra prioridad. Rechazamos la calificación amañada del delito político que pretende impedir que los guerrilleros salgan de las cárceles. No estamos reclamando a nadie el estatus de refugiado, utilizado como nombre camuflado del destierro y de la institucionalización del delito de opinión.


3. Lamentamos profundamente que mientras propiciábamos hechos palpables en dirección al canje de prisioneros, el Presidente Uribe planificaba y ejecutaba el artero asesinato del comandante Raúl Reyes, hiriendo de muerte la esperanza de intercambio humanitario y de paz. Quien ordena a sus generales el rescate militar a sangre y fuego, no quiere el canje. Quien ofrece millones de dólares instando a la deserción con prisioneros, no está por el intercambio. Eso es Uribe: el obstáculo principal y el enemigo número uno del canje. Por eso le apuesta irresponsablemente, todos los días, al desenlace fatal.

4. Por las mismas razones expuestas al CICR el 17 de enero, la misión médica francesa no es procedente y mucho menos cuando no es resultado de la concertación, sino de la mala fe de Uribe ante el gobierno del Elíseo, y una burla desalmada a las expectativas de los familiares de los prisioneros. No actuamos bajo chantajes ni bajo el impulso de campañas mediáticas. Si a comienzos de año el Presidente Uribe hubiese despejado Pradera y Florida por 45 días, tanto Ingrid Betancur, como los militares y los guerrilleros presos ya habrían recobrado su libertad, y sería la victoria de todos.

Secretariado del Estado Mayor Central de las FARC-EP

copia conforme de un comunicado de las FARC


Communiqué du Secrétariat de l'État Majeur Central des FARC-EP sur la mission médicale française

ABP/08/04/2008

Communiqué

1. La libération unilatérale de cinq ex congressistes et d'une candidate à la vice-présidence, produite entre janvier et février, a été avant tout un geste de générosité et volonté politique du FARC, non de la faiblesse ou du résultat d'une pression, comme erronément est dit par le gouvernement du Monsieur Urine. De telles libérations ont obéi à une décision souveraine des FARC incité par l'action humanitaire du Président Hugo Chávez et la sénatrice Piédad Cordoba.

2. depuis la dernière libération unilatérale du 27 février dans l'attente du décret présidentiel nous avons ordonné le défrichage militaire à Pradera et de Florida pour concrétiser là, avec la garantie de la présence des subversifs, l'accord d'échange humanitaire. Les guérilleros emprisonnés dans les prisons de la Colombie et aux Etats-Unis, sont notre priorité. Nous rejetons la qualification grotesque de l'infraction politique qui prétend empêcher que les guérilleros sortent des prisons. Nous ne réclamons à personne l'statu de réfugié, utilisé comme nom camouflé de l'exil et de l'institutionnalisation de l'infraction ou délit d'opinion.

3. nous Regrettions profondément que tandis que nous rendions propices des faits palpables en direction de l'échange de prisonniers, le Président Uribe planifiait et exécutait le meurtre astucieux du commandant Raul Reyes, en blessant à mort l'espoir d'échange humanitaire et de paix. Celui qu'a ordonné à ses généraux l'attaque militaire à sang et feu, preuve qu'il ne veut pas l'échange. Celui qui offre millions de dollars en incitant à la désertion avec des prisonniers, il n'est veut pas l'échange. C'est Alvaro Uribe Velez : l'obstacle principal et le pire ennemi de l'échange. C'est pourquoi l'il parie de manière irresponsable, tous les jours, au dénouement mortel.

4. pour les mêmes raisons exposées au CICR le 17 janvier, la mission médicale française n'est pas recevable et beaucoup moins quand elle ne sera pas le résultat de la concertation, mais de la mauvaise foi d'Uribe devant le gouvernement de l'Elysée, et d'une moquerie sans âme face à l'espoir des parents des prisonniers. Nous n'agissons pas sous des chantages ni sous l'élan de campagnes médiatiques. Si au début d'année le Président Uribe avait dégagé Pradera et Florida en moins de 45 jours, tant Ingrid Betancourt, comme les militaires et les guérilleros emprisonnées auraient récupéré déjà leur liberté, et aurait été la victoire de tous.

Secrétariat de l'État Plus grand Central des FARC-EP

montagnes de la Colombie mardi 8 avril 2008

excellent travail d'une commission de l'Assemblée National

excelente trabajo de una comision de la Asamblea Nacional

http://www.lcpan.fr/com_mqm_270608_1.asp?tc=mqm_270607_1

avec l'intervention d'un ministre Poloné Bronislaw Geremek (Historien, homme politique polonais et Député européen ADL (Pologne))

Les plus pauvres paissant chassés comme du gibier sauvage

Le témoignage des personnes de strate sociale modeste, mais des honnêtes personnes, aculés à vivre dans le dénuement le plus précaire

Des personnes qui se trouvent entre deux groupes: d'un côté les paramilitaires, de l'autre les groupes subversives

La conséquence des millions d'innocents sauvagement torturés puis tues, les camps de la Colombie se vident ainsi des plus modestes, et les terres finissent en mains des plus riches. La vidéo présente de la bouche des affectes des témoignages poignants qui sont pour tant le quotidien dans certains zones géographiques de ce pays.

il ne faut pas oublier que l'actuel président des colombien ALVARO URIBE VELEZ figure comme le preuve la vidéo ainsi que le courageux travail de quelques journalistes en relation intime avec des paramilitaires et narcotrafiquants.

En la réunion de paises latinoamericanos luego del ataque aereo del suelo Ecuatoriano

Isabel Allende
http://www.ted.com/talks/lang/spa/isabel_allende_tells_tales_of_passion.html

texte en français (original en anglais) Isabel Allende en live

Un petit moment en famille lors d'une virée à la fin du mois de juin en 2010, dans la région de Cerritos, entre Pereira et Cartago département du Risaralda en Colombie

Un momento en familia durante una salidad al fin del mes de junion del 2010, en la region de CERRITOS, entre Pereira y Cartago en el departamento del Risaralda en Colombia

Llegada a Cali capital del departamento del Valle del Cauca en Colombia

Arrivé à Cali capitale du département de la vallée du fleuve le Cauca en Colombie

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Dans le département du QUINDIO, en Colombie, il y a une zone très accidenté, en fait ce sont les flancs de la cordillère central, le climat est d'environ 16 degrés centigrades en journée.

Dans la photo derrière notre groupe nous pouvons voir le toit d'un restaurant très apprécie des gens; il faut dire, que des gens de plusieurs départements viennent manger dans ce restaurant, où la spécialité est la truite, qui est péché juste à quelques mètres, les jours d'affluence sont les vendredi, le samedi et le dimanche, nous sommes allée un dimanche, journée dans laquelle il y accompagnement par un groupe de cordes et aussi la présentation d'un métier jadis très connu, car un siècle en arrière il n'y avait pas des routes, mais des chemins, et le transport se pratiqué à dos de âne.

présents dans l'image:

Dans l'image nous avons de gauche à droite, votre serviteur, Éric (le beau-frère) ma sœur Claudia, mon neveu Valentin, et mon frère Fernando

Dans la région de la ville de Buga, sur la cordillère occidentale se trouve une centrale hydroélectrique, sous le nom de CALIMA, le lac formé, est devenu zone de loisir et de pratiques typiques des lacs:

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Dans l'image, nous sommes à l'arrivé dans un boutique, des alentour du lac CALIMA.

Un vídeo del valle del cocora

Gustavo Petro en Cartago en YOUTUBE

C'est un souvenir une photo de ma petite sœur lorsqu'elle partez le matin pour son travail, coïncidence c'est l'école que je garde dans mon cœur, oui c'est la concentraition scolaire numéro 29 MANUEL QUINTERO PENILLA, qui se trouve dans l'angle de la rue 9 avec 11 me semble bien face à l’église de Saint Nicolas à Cartago dans le département de la vallée du Cauca en Colombie

(spanish) Este es un recuerdo muy gracioso de un día que mi hermanita adorada, (tanto que la quiero) cuando salia para su trabajo una mañana, coincidencia, ella trabaja hoy en la escuela que llevo en mi corazón, pues fue donde realice mis cinco años de primaria es decir la concentración escolar MANUEL QUINTERO PENILLA en la calle novena con carrera once si mi memoria no me traiciona, justo al frente de la iglesia San Nicolas en Cartago departamento del Valle del Cauca en Colombia

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