le capital de Karl Marx
Página 1 de 1.
le capital de Karl Marx
http://le.capital.free.fr/index.html
por les puristas dejo el texto original en frances en alternace
el link permite de habrir el texto original; yo dispongo de la obra entera en formato pdf disoponible por los interesados
Livre premier
Libro primero
Le développement de la production capitaliste
El desarrollo de la producción capitalista
Première section
Primer sección
La marchandise et la monnaie
La mercancía y la moneda
Chapitre premier
Primer capitulo
La marchandise
La moneda
I. Les deux facteurs de la marchandise: valeur d'usage et valeur d'échange ou valeur proprement dite (substance de la valeur. Grandeur de la valeur)
I. Los dos factores de la mercancía: valor de uso y valor de intercambio o valor propiamente dicho (sustancia del valor. Tamaño del valor)
La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s'annonce comme une "immense accumulation de marchandises" (1). L'analyse de la marchandise, forme élémentaire de cette richesse, sera par conséquent le point de départ de nos recherches
La riqueza de las sociedades en las cuales reina el metodo de producción capitalista se anunci como una "inñensa acumulación de mercancías" El análisis de la mercancía, forma fundamental de esta riqueza, será por lo tanto el inicio de nuestra investigación.
La marchandise est d'abord un objet extérieur, une chose qui par ses propriétés satisfait des besoins humains de n'importe quelle espèce. Que ces besoins aient pour origine l'estomac ou la fantaisie, leur nature ne change rien à l'affaire(2). Il ne s'agit pas non plus ici de savoir comment ces besoins sont satisfaits, soit immédiatement, si l'objet est un moyen de subsistance, soit par une voie détournée, si c'est un moyen de production.
La mercancía es un objeto en primer lugar exterior, una cosa que por sus propiedades cubre necesidades humanas de cualquier especie. Que estas necesidades tengan por origen el estómago o la fantasia, su naturaleza no cambia nada al asunto. No se trata no aquí de saber cómo estas necesidades están satisfechas, o inmediatamente, si el objeto es un medio de subsistencia, o por una vía desviada, si es un medio de producción.
Chaque chose utile, comme le fer le papier, etc., peut être considérée sous un double point de vue, celui de la qualité et celui de la quantité. Chacune est un ensemble de propriétés diverses et peut, par conséquent, être utile par différents côtés. Découvrir ces côtés divers et, en même temps, les divers usages des choses est une oeuvre de l'histoire(3). Telle est la découverte de mesures sociales
Cada cosa útil, como el hierro el papel, etc, puede considerarse bajo una doble opinión, el de la calidad y el de la cantidad. Cada una es un conjunto de distintas propiedades y puede, por lo tanto, ser útil por distintos lados. Descubrir estos distintos lados y, al mismo tiempo, los distintos usos de las cosas es una obra de la historia (3). Tal es el descubrimiento de medidas sociales
(1) Karl Marx : Zur Kritik der politischen Oekonomie. Berlin 1859, p 3*
*Contribution à la critique de l'économie politique p 13 M. Giard, Paris 1928. (N.R.)
(2)"Le désir implique le besoin; c'est l'appétit de l'esprit, lequel lui est aussi naturel que la faim l'est au corps. C'est de là que la plupart des choses tirent leur valeur" (Nicholas Barbon : A discours concerning coining the new money lighter, in answer to Mr Locke's Considerations, etc. London 1696 p 2 et 3)
(2) "El deseo implica la necesidad;" es el apetito del espíritu, el cual es tambien natural como el hambre lo es al cuerpo. Es de allí que la mayoría de las cosas extraen su valor "(Nicholas Barbon:A discours concerning coining the new money lighter, in answer to Mr Locke's Considerations , etc London 1696 p 2 y 3)"
(3)"Les choses ont une vertu intrinsèque (virtue, telle est chez Barbon la désignation spécifique pour valeur d'usage) qui en tout lieu ont la même qualité, comme l'aimant, par exemple, attire le fer" (L. C. p. 6*) La propriété qu'a l'aimeant d'attirer le fer ne devint utile que lorsque, par son moyen, on eût découvert la polarité magnétique. *Chifre corrigé d'après les éd. IMEL (N. R.)
3)"Les cosas tienen una virtud intrínseca (virtue tal es en Barbon la designación específica para valor de uso) que por todas partes tienen la misma calidad, como el imán, por ejemplo, atrae el hierro" (L. C. p. 6 *) la propiedad que tiene el aimeant de atraer el hierro sólo se volvió útil cuando, por su medio, se había descubierto la polaridad magnética." * Cifra corregida segun las éd. IMEL (N. R.)
por les puristas dejo el texto original en frances en alternace
el link permite de habrir el texto original; yo dispongo de la obra entera en formato pdf disoponible por los interesados
Livre premier
Libro primero
Le développement de la production capitaliste
El desarrollo de la producción capitalista
Première section
Primer sección
La marchandise et la monnaie
La mercancía y la moneda
Chapitre premier
Primer capitulo
La marchandise
La moneda
I. Les deux facteurs de la marchandise: valeur d'usage et valeur d'échange ou valeur proprement dite (substance de la valeur. Grandeur de la valeur)
I. Los dos factores de la mercancía: valor de uso y valor de intercambio o valor propiamente dicho (sustancia del valor. Tamaño del valor)
La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s'annonce comme une "immense accumulation de marchandises" (1). L'analyse de la marchandise, forme élémentaire de cette richesse, sera par conséquent le point de départ de nos recherches
La riqueza de las sociedades en las cuales reina el metodo de producción capitalista se anunci como una "inñensa acumulación de mercancías" El análisis de la mercancía, forma fundamental de esta riqueza, será por lo tanto el inicio de nuestra investigación.
La marchandise est d'abord un objet extérieur, une chose qui par ses propriétés satisfait des besoins humains de n'importe quelle espèce. Que ces besoins aient pour origine l'estomac ou la fantaisie, leur nature ne change rien à l'affaire(2). Il ne s'agit pas non plus ici de savoir comment ces besoins sont satisfaits, soit immédiatement, si l'objet est un moyen de subsistance, soit par une voie détournée, si c'est un moyen de production.
La mercancía es un objeto en primer lugar exterior, una cosa que por sus propiedades cubre necesidades humanas de cualquier especie. Que estas necesidades tengan por origen el estómago o la fantasia, su naturaleza no cambia nada al asunto. No se trata no aquí de saber cómo estas necesidades están satisfechas, o inmediatamente, si el objeto es un medio de subsistencia, o por una vía desviada, si es un medio de producción.
Chaque chose utile, comme le fer le papier, etc., peut être considérée sous un double point de vue, celui de la qualité et celui de la quantité. Chacune est un ensemble de propriétés diverses et peut, par conséquent, être utile par différents côtés. Découvrir ces côtés divers et, en même temps, les divers usages des choses est une oeuvre de l'histoire(3). Telle est la découverte de mesures sociales
Cada cosa útil, como el hierro el papel, etc, puede considerarse bajo una doble opinión, el de la calidad y el de la cantidad. Cada una es un conjunto de distintas propiedades y puede, por lo tanto, ser útil por distintos lados. Descubrir estos distintos lados y, al mismo tiempo, los distintos usos de las cosas es una obra de la historia (3). Tal es el descubrimiento de medidas sociales
(1) Karl Marx : Zur Kritik der politischen Oekonomie. Berlin 1859, p 3*
*Contribution à la critique de l'économie politique p 13 M. Giard, Paris 1928. (N.R.)
(2)"Le désir implique le besoin; c'est l'appétit de l'esprit, lequel lui est aussi naturel que la faim l'est au corps. C'est de là que la plupart des choses tirent leur valeur" (Nicholas Barbon : A discours concerning coining the new money lighter, in answer to Mr Locke's Considerations, etc. London 1696 p 2 et 3)
(2) "El deseo implica la necesidad;" es el apetito del espíritu, el cual es tambien natural como el hambre lo es al cuerpo. Es de allí que la mayoría de las cosas extraen su valor "(Nicholas Barbon:A discours concerning coining the new money lighter, in answer to Mr Locke's Considerations , etc London 1696 p 2 y 3)"
(3)"Les choses ont une vertu intrinsèque (virtue, telle est chez Barbon la désignation spécifique pour valeur d'usage) qui en tout lieu ont la même qualité, comme l'aimant, par exemple, attire le fer" (L. C. p. 6*) La propriété qu'a l'aimeant d'attirer le fer ne devint utile que lorsque, par son moyen, on eût découvert la polarité magnétique. *Chifre corrigé d'après les éd. IMEL (N. R.)
3)"Les cosas tienen una virtud intrínseca (virtue tal es en Barbon la designación específica para valor de uso) que por todas partes tienen la misma calidad, como el imán, por ejemplo, atrae el hierro" (L. C. p. 6 *) la propiedad que tiene el aimeant de atraer el hierro sólo se volvió útil cuando, por su medio, se había descubierto la polaridad magnética." * Cifra corregida segun las éd. IMEL (N. R.)
Chapitre II des échanges capitulo II de intecambios
Le capital
Livre premier
Première section
La marchandise et la monnaie
Chapitre II des échanges
(texto del sitio internet en link de la primera pagina)
F R A N C E S
Les marchandises ne peuvent point aller elles-mêmes au marché ni s'échanger elles-mêmes entre elles. Il nous faut donc tourner nos regards vers leurs gardiens et conducteurs, c'est-à-dire vers leurs possesseurs. Les marchandises sont des choses et, conséquemment, n'opposent à l'homme aucune résistance. Si elles manquent de bonne volonté, il peut employer la force, en d'autres termes s'en emparer 1. Pour mettre ces choses en rapport les unes avec les autres à titre de marchandises, leurs gardiens doivent eux-mêmes se mettre en rapport entre eux à titre de personnes dont la volonté habite dans ces choses mêmes, de telle sorte que la volonté de l'un est aussi la volonté de l'autre et que chacun s'approprie la marchandise étrangère en abandonnant la sienne, au moyen d'un acte volontaire commun. Ils doivent donc se reconnaître réciproquement comme propriétaires privés. Ce rapport juridique, qui a pour forme le contrat, légalement développé ou non, n'est que le rapport des volontés dans lequel se reflète le rapport économique. Son contenu est donné par le rapport économique lui-même 2. Les personnes n'ont affaire ici les unes aux autres qu'autant qu'elles mettent certaines choses en rapport entre elles comme marchandises. Elles n'existent les unes pour les autres qu'à titre de représentants de la marchandise qu'elles possèdent. Nous verrons d'ailleurs dans le cours du développement que les masques divers dont elles s'affublent suivant les circonstances ne sont que les personnifications des rapports économiques qu'elles maintiennent les unes vis-à-vis des autres.
E S P A Ñ O L (dedicado al Profesor Julio Cesar Aguirre)
Las mercancías no pueden ir al mercado ellas mismas, ni a intercambiarse entre ellas. Debemosvolvernuestras miradas hacia sus encargados y conductores, es decir, hacia sus (poseedores) dueños. Las mercancías son cosas y, en consecuencia, no se oponen al hombre ninguna resistencia. Si carecen de buena voluntad, puede emplearse la fuerza, en otros términos apoderarse 1. para poner estas cosas en acuerdo (comparacion) las unas con otros como mercancías, sus encargados debe ellos mismos ponerse en relación entre ellos como personas cuya voluntad vive en estas cosas propias, de modo que la voluntad del uno sea también la voluntad del otro y que cada uno se apropia la mercancía extranjera abandonando las suyas, por medio de un acto voluntario común. Deben pues reconocerse recíprocamente como proprietarios privados. Este informe jurídico, que tiene por forma el contrato, legalmente desarrollado o no, no es más que el contacto de las voluntades en el cual se refleja el contacto económico. Su contenido es dado por el intercambio económico él mismo 2. Las personas solo se relacionan aquí las unas a los otros en la medida que ellas ponen algunas cosas en relación entre ellas como mercancías. No existen las unas para el otros más que como representantes de la mercancía que poseen. Veremos por otra parte en el curso del desarrollo que las distintas máscaras cuyos disfrqces según las circunstancias no son más que las personificaciones de los informes económicos que mantienen las unas frente a los otros.
Livre premier
Première section
La marchandise et la monnaie
Chapitre II des échanges
(texto del sitio internet en link de la primera pagina)
F R A N C E S
Les marchandises ne peuvent point aller elles-mêmes au marché ni s'échanger elles-mêmes entre elles. Il nous faut donc tourner nos regards vers leurs gardiens et conducteurs, c'est-à-dire vers leurs possesseurs. Les marchandises sont des choses et, conséquemment, n'opposent à l'homme aucune résistance. Si elles manquent de bonne volonté, il peut employer la force, en d'autres termes s'en emparer 1. Pour mettre ces choses en rapport les unes avec les autres à titre de marchandises, leurs gardiens doivent eux-mêmes se mettre en rapport entre eux à titre de personnes dont la volonté habite dans ces choses mêmes, de telle sorte que la volonté de l'un est aussi la volonté de l'autre et que chacun s'approprie la marchandise étrangère en abandonnant la sienne, au moyen d'un acte volontaire commun. Ils doivent donc se reconnaître réciproquement comme propriétaires privés. Ce rapport juridique, qui a pour forme le contrat, légalement développé ou non, n'est que le rapport des volontés dans lequel se reflète le rapport économique. Son contenu est donné par le rapport économique lui-même 2. Les personnes n'ont affaire ici les unes aux autres qu'autant qu'elles mettent certaines choses en rapport entre elles comme marchandises. Elles n'existent les unes pour les autres qu'à titre de représentants de la marchandise qu'elles possèdent. Nous verrons d'ailleurs dans le cours du développement que les masques divers dont elles s'affublent suivant les circonstances ne sont que les personnifications des rapports économiques qu'elles maintiennent les unes vis-à-vis des autres.
E S P A Ñ O L (dedicado al Profesor Julio Cesar Aguirre)
Las mercancías no pueden ir al mercado ellas mismas, ni a intercambiarse entre ellas. Debemosvolvernuestras miradas hacia sus encargados y conductores, es decir, hacia sus (poseedores) dueños. Las mercancías son cosas y, en consecuencia, no se oponen al hombre ninguna resistencia. Si carecen de buena voluntad, puede emplearse la fuerza, en otros términos apoderarse 1. para poner estas cosas en acuerdo (comparacion) las unas con otros como mercancías, sus encargados debe ellos mismos ponerse en relación entre ellos como personas cuya voluntad vive en estas cosas propias, de modo que la voluntad del uno sea también la voluntad del otro y que cada uno se apropia la mercancía extranjera abandonando las suyas, por medio de un acto voluntario común. Deben pues reconocerse recíprocamente como proprietarios privados. Este informe jurídico, que tiene por forma el contrato, legalmente desarrollado o no, no es más que el contacto de las voluntades en el cual se refleja el contacto económico. Su contenido es dado por el intercambio económico él mismo 2. Las personas solo se relacionan aquí las unas a los otros en la medida que ellas ponen algunas cosas en relación entre ellas como mercancías. No existen las unas para el otros más que como representantes de la mercancía que poseen. Veremos por otra parte en el curso del desarrollo que las distintas máscaras cuyos disfrqces según las circunstancias no son más que las personificaciones de los informes económicos que mantienen las unas frente a los otros.
corresponde a la pagina 95 del la traduccion al frances
Livre premier
Première section
La marchandise et la monnaie
Chapitre II des échanges
Libro primero
Primera seccion
La mecancia y la moneda
Capitulo II del intercambio
Corresponde a la pagina 95 de la traduccion al frances
asi que la traduccion precedente corresponde a la pagina 51 de la misma traduccion
el orignal pueden pedirlo todos los interesados par correo electronico, hago referencia a la copia en frances a mi desposicion y en formato pdfhttp://classiques.uqac.ca/classiques/Marx_karl/capital/capital_livre_1/capital_livre_1_1/capital_livre_1_1.html
la integralildad de la obra en pdf y en formato word
Première section
La marchandise et la monnaie
Chapitre II des échanges
Libro primero
Primera seccion
La mecancia y la moneda
Capitulo II del intercambio
Corresponde a la pagina 95 de la traduccion al frances
asi que la traduccion precedente corresponde a la pagina 51 de la misma traduccion
el orignal pueden pedirlo todos los interesados par correo electronico, hago referencia a la copia en frances a mi desposicion y en formato pdfhttp://classiques.uqac.ca/classiques/Marx_karl/capital/capital_livre_1/capital_livre_1_1/capital_livre_1_1.html
la integralildad de la obra en pdf y en formato word
Última edición por el Dom 16 Dic - 15:59, editado 1 vez
PAGINA 52 (la mercancia)
page 52 pagina 52
del primer capitulo
la mercancia
la parte en italicas corresponde a la pagina precedente que incluyo para evitar mal entendidos conservando el sentido global del paragrafo
Chaque chose utile, comme le fer, le papier, etc., peut être considérée sous un double point de vue, celui de la qualité et celui de la quantité. Chacune est un ensemble de propriétés diverses et peut, par conséquent, être utile par différents côtés. Découvrir ces côtés divers et, en même temps, les divers usages des choses est une œuvre de l’histoire. Telle est la découverte de mesures sociales pour la quantité des choses utiles. La diversité de ces mesures des marchandises a pour origine en partie la nature variée des objets à mesurer, en partie la convention.
Cada cosa útil, como el hierro, el papel, etc, puede considerarse bajo una doble opinión, el de la calidad y el de la cantidad. Cada una es un conjunto de distintas propiedades y puede, por lo tanto, ser útil por distintos lados. Descubrir estos distintos lados y, al mismo tiempo, los distintos usos de las cosas es un obra de la tal historia. es el descubrimiento de medidas sociales para la cantidad de las cosas útiles. La diversidad de estas medidas de las mercancías tiene por origen en parte la naturaleza variada objetos que medir, en parte el convenio.
L'utilité d'une chose fait de cette chose une valeur d'usage(1). Mais cette utilité n'a rien de vague et d'indécis. Déterminée par les propriétés du corps de la marchandise, elle n'existe point sans lui. Ce corps lui-même, tel que fer, froment, diamant, etc., est conséquemment une valeur d'usage, et ce n'est pas le plus ou moins de travail qu'il faut à l'homme pour s'approprier les qualités utiles qui lui donne ce caractère. Quand il est question de valeurs d'usage, on sous-entend toujours une quantité déterminée, comme une douzaine de montres, un mètre de toile, une tonne de fer, etc. Les valeurs d'usage des marchandises fournissent le fonds d'un savoir particulier, de la science et de la routine commerciales(2).
La utilidad de una cosa hace de esta cosa un valor de uso(1). Pero esta utilidad no tiene nada de vago y de indeciso. Determinada por las propiedades del cuerpo de la mercancía, que no existe sin ellas (las propiedades). Ese cuerpo mismo, como hierro, trigo, diamante, etc, es en consecuencia un valor de uso, y no es el más o el menos de trabajo que es necesario al hombre para apropiarse las calidades útiles que le da este carácter. Cuando se habla valores de uso, se implica siempre una cantidad determinada, como una docena de relojes, un metro de tela, una tonelada de hierro, etc. Los valores de uso de las mercancías proporcionan el fondo de un conocimiento particular, de la ciencia y la rutina comerciales(2).
Les valeurs d'usage ne se réalisent que dans l'usage ou la consommation. Elles forment la matière de la richesse, quelle que soit la forme sociale de cette richesse. Dans la société que nous avons à examiner, elles sont en même temps les soutiens matériels de la valeur d'échange.
Los valores de uso no se realizan solo en el uso o el consumo. Forman la materia de la riqueza, cualquiera que sea la forma social de esta riqueza. En la sociedad que tenemos que examinar, son los apoyos al mismo tiempo materiales del valor de intercambio.
La valeur d'échange apparaît d'abord comme le rapport quantitatif, comme la proportion dans laquelle des valeurs d'usage d'espèce différente s'échangent l'une contre l’autre(3), rapport qui change constamment avec le temps et le lieu. La valeur d'échange semble donc quelque chose d'arbitraire et de purement relatif ; une valeur d'échange intrinsèque, immanente à la marchandise, paraît être, comme dit l'école, une contradictio in adjecto (4),(5). Considérons la chose de plus près.
El valor de intercambio aparece en primer lugar como la relaccion cuantitativa, como la proporción en la cual valores de uso de diferente especie se intercambian una contra otro (3), relaccion que cambia constantemente con el tiempo y el lugar. El valor de intercambio parece pues algo arbitrario y puramente relativo; un valor de intercambio intrínseco, particular a la mercancía, parece ser, como dice la escuela, une contradictio in adjecto (4), (5). consideremos la cosa de más cerca.
(1) "Ce qui fait la valeur naturelle d'une chose, c'est la propriété qu'elle a de satisfaire les besoins ou les convenances de la vie humaine" (John Locke : some considerations on the Consequences of the Lowering of Interest 1691*) Au XVII eme siècle on trouve eoncore souvent chez les écrivains anglais le mot Worth pour valeur d'usae et le mot Value pour valeur d'échange, suivant l'esprit d'une langue qui aime à expremir la chose immédiate en termes germaniques et la chose réflechie en termes romans.
(1)"lo que hace el valor natural de una cosa, es la propiedad que tiene de cubrir las necesidades o las conveniencias de la vida humana" (John Locke: some considerations on the Consequences of the Lowering of Interest 1691 *) En el XVII eme siglo se encuentra a menudo entre los escritores ingleses la palabra Worth para valor y la palabra VALUE para valor de intercambio, según el espíritu de una lengua que gusta espresar la cosa inmediata en términos germánicos y la cosa pensada en términos romanos".
*Dans Works, ed. de Londres 1777 p 28 (N.R.)
(2) Dans la société bourgeoise "nul n'est censé ignorer la loi" -- En vertu d'une "fictio juris" économique, tout acheteur est censé posséder une connaissance encyclopedique des marchandises.
Fiction juridique (N.R.)
(2) En la sociedad burguesa "nadie es supuesto ignorar la ley" en virtud de un "fictio juris" económica, todo comprador es supuesto poseer un conocimiento encyclopedique de las mercancías.
(3) "La valeur consiste dans le rapport d'échange qui se trouve entre telle chose et telle autre, entre telle mesure d'une production et telle mesure des autres." (Le Trosne: De l'intérêt social... Physiocrates" Ed. Daire t XII, Paris, 1846 p 889)**
(3) "el valor consiste en la relaccion de intercambio que se encuentra entre tal cosa y tal otro, entre tal medida de una producción y tal medida de las otras." (El Trosne: del interés social... Fisiócratas "ED Daire t XII, París, 1846 p 889) **"
* 2eme partie (N.R.)
** Collection des principaux économistes. (N.R.)
(4) Une contradiction dans les termes -- un contresens. (N.R.)
Una contradiccion en los terminos -- sin sentido
(5) "Rien ne peut avoir une valeur intrinsèque." (N. Barbon L. C. p 6); ou, comme dit Butler : the value of thing is just as much as il will bring*
Nada tiene un valor intrinseco (N. Barbon El Capital pagina 6) o como dice Butler :
*La valeur d'une chose est juste autant que ce qu'elle rapporte. (N.R.)
*El valor de una cosa est justa tanto como ella vale.
del primer capitulo
la mercancia
la parte en italicas corresponde a la pagina precedente que incluyo para evitar mal entendidos conservando el sentido global del paragrafo
Chaque chose utile, comme le fer, le papier, etc., peut être considérée sous un double point de vue, celui de la qualité et celui de la quantité. Chacune est un ensemble de propriétés diverses et peut, par conséquent, être utile par différents côtés. Découvrir ces côtés divers et, en même temps, les divers usages des choses est une œuvre de l’histoire. Telle est la découverte de mesures sociales pour la quantité des choses utiles. La diversité de ces mesures des marchandises a pour origine en partie la nature variée des objets à mesurer, en partie la convention.
Cada cosa útil, como el hierro, el papel, etc, puede considerarse bajo una doble opinión, el de la calidad y el de la cantidad. Cada una es un conjunto de distintas propiedades y puede, por lo tanto, ser útil por distintos lados. Descubrir estos distintos lados y, al mismo tiempo, los distintos usos de las cosas es un obra de la tal historia. es el descubrimiento de medidas sociales para la cantidad de las cosas útiles. La diversidad de estas medidas de las mercancías tiene por origen en parte la naturaleza variada objetos que medir, en parte el convenio.
L'utilité d'une chose fait de cette chose une valeur d'usage(1). Mais cette utilité n'a rien de vague et d'indécis. Déterminée par les propriétés du corps de la marchandise, elle n'existe point sans lui. Ce corps lui-même, tel que fer, froment, diamant, etc., est conséquemment une valeur d'usage, et ce n'est pas le plus ou moins de travail qu'il faut à l'homme pour s'approprier les qualités utiles qui lui donne ce caractère. Quand il est question de valeurs d'usage, on sous-entend toujours une quantité déterminée, comme une douzaine de montres, un mètre de toile, une tonne de fer, etc. Les valeurs d'usage des marchandises fournissent le fonds d'un savoir particulier, de la science et de la routine commerciales(2).
La utilidad de una cosa hace de esta cosa un valor de uso(1). Pero esta utilidad no tiene nada de vago y de indeciso. Determinada por las propiedades del cuerpo de la mercancía, que no existe sin ellas (las propiedades). Ese cuerpo mismo, como hierro, trigo, diamante, etc, es en consecuencia un valor de uso, y no es el más o el menos de trabajo que es necesario al hombre para apropiarse las calidades útiles que le da este carácter. Cuando se habla valores de uso, se implica siempre una cantidad determinada, como una docena de relojes, un metro de tela, una tonelada de hierro, etc. Los valores de uso de las mercancías proporcionan el fondo de un conocimiento particular, de la ciencia y la rutina comerciales(2).
Les valeurs d'usage ne se réalisent que dans l'usage ou la consommation. Elles forment la matière de la richesse, quelle que soit la forme sociale de cette richesse. Dans la société que nous avons à examiner, elles sont en même temps les soutiens matériels de la valeur d'échange.
Los valores de uso no se realizan solo en el uso o el consumo. Forman la materia de la riqueza, cualquiera que sea la forma social de esta riqueza. En la sociedad que tenemos que examinar, son los apoyos al mismo tiempo materiales del valor de intercambio.
La valeur d'échange apparaît d'abord comme le rapport quantitatif, comme la proportion dans laquelle des valeurs d'usage d'espèce différente s'échangent l'une contre l’autre(3), rapport qui change constamment avec le temps et le lieu. La valeur d'échange semble donc quelque chose d'arbitraire et de purement relatif ; une valeur d'échange intrinsèque, immanente à la marchandise, paraît être, comme dit l'école, une contradictio in adjecto (4),(5). Considérons la chose de plus près.
El valor de intercambio aparece en primer lugar como la relaccion cuantitativa, como la proporción en la cual valores de uso de diferente especie se intercambian una contra otro (3), relaccion que cambia constantemente con el tiempo y el lugar. El valor de intercambio parece pues algo arbitrario y puramente relativo; un valor de intercambio intrínseco, particular a la mercancía, parece ser, como dice la escuela, une contradictio in adjecto (4), (5). consideremos la cosa de más cerca.
(1) "Ce qui fait la valeur naturelle d'une chose, c'est la propriété qu'elle a de satisfaire les besoins ou les convenances de la vie humaine" (John Locke : some considerations on the Consequences of the Lowering of Interest 1691*) Au XVII eme siècle on trouve eoncore souvent chez les écrivains anglais le mot Worth pour valeur d'usae et le mot Value pour valeur d'échange, suivant l'esprit d'une langue qui aime à expremir la chose immédiate en termes germaniques et la chose réflechie en termes romans.
(1)"lo que hace el valor natural de una cosa, es la propiedad que tiene de cubrir las necesidades o las conveniencias de la vida humana" (John Locke: some considerations on the Consequences of the Lowering of Interest 1691 *) En el XVII eme siglo se encuentra a menudo entre los escritores ingleses la palabra Worth para valor y la palabra VALUE para valor de intercambio, según el espíritu de una lengua que gusta espresar la cosa inmediata en términos germánicos y la cosa pensada en términos romanos".
*Dans Works, ed. de Londres 1777 p 28 (N.R.)
(2) Dans la société bourgeoise "nul n'est censé ignorer la loi" -- En vertu d'une "fictio juris" économique, tout acheteur est censé posséder une connaissance encyclopedique des marchandises.
Fiction juridique (N.R.)
(2) En la sociedad burguesa "nadie es supuesto ignorar la ley" en virtud de un "fictio juris" económica, todo comprador es supuesto poseer un conocimiento encyclopedique de las mercancías.
(3) "La valeur consiste dans le rapport d'échange qui se trouve entre telle chose et telle autre, entre telle mesure d'une production et telle mesure des autres." (Le Trosne: De l'intérêt social... Physiocrates" Ed. Daire t XII, Paris, 1846 p 889)**
(3) "el valor consiste en la relaccion de intercambio que se encuentra entre tal cosa y tal otro, entre tal medida de una producción y tal medida de las otras." (El Trosne: del interés social... Fisiócratas "ED Daire t XII, París, 1846 p 889) **"
* 2eme partie (N.R.)
** Collection des principaux économistes. (N.R.)
(4) Une contradiction dans les termes -- un contresens. (N.R.)
Una contradiccion en los terminos -- sin sentido
(5) "Rien ne peut avoir une valeur intrinsèque." (N. Barbon L. C. p 6); ou, comme dit Butler : the value of thing is just as much as il will bring*
Nada tiene un valor intrinseco (N. Barbon El Capital pagina 6) o como dice Butler :
*La valeur d'une chose est juste autant que ce qu'elle rapporte. (N.R.)
*El valor de una cosa est justa tanto como ella vale.
pagina 53 page 53
traduccion de la pagina 53
FRANCES
Une marchandise particulière, un quarteron de froment, par exemple, s'échange dans les proportions les plus diverses avec d'autres articles. Cependant, sa valeur d'échange reste immuable, de quelque manière qu'on l'exprime, en x cirage, y soie, z or, et ainsi de suite. Elle doit donc avoir un contenu distinct de ces expressions diverses.
Prenons encore deux marchandises, soit du froment et du fer. Quel que soit leur rapport d'échange, il peut toujours être représenté par une équation dans laquelle une quantité donnée de froment est réputée égale à une quantité quelconque de fer, par exemple : 1 quarteron de froment = a kilogramme de fer. Que signifie cette équation ? C'est que dans deux objets différents, dans 1 quarteron de froment et dans a kilogramme de fer, il existe quelque chose de commun. Les deux objets sont donc égaux à un troisième qui, par lui-même, n'est ni l'un ni l'autre. Chacun des deux doit, en tant que valeur d'échange, être réductible au troisième, indépendamment de l'autre.
Un exemple emprunté à la géométrie élémentaire va nous mettre cela sous les yeux. Pour mesurer et comparer les surfaces de toutes les figures rectilignes, on les décompose en triangles. On ramène le triangle lui-même à une expression tout à fait différente de son aspect visible : au demi-produit de sa base par sa hauteur. De même, les valeurs d'échange des marchandises doivent être ramenées à quelque chose qui leur est commun et dont elles représentent un plus ou un moins.
Ce quelque chose de commun ne peut être une propriété naturelle quelconque, géométrique, physique, chimique, etc., des marchandises. Leurs qualités naturelles n'entrent en considération qu'autant qu'elles leur donnent une utilité qui en fait des valeurs d'usage. Mais, d'un autre côté, il est évident que l'on fait abstraction de la valeur d'usage des marchandises quand on les échange et que tout rapport d'échange est même caractérisé par cette abstraction. Dans l'échange, une valeur d'utilité vaut précisément autant que toute autre, pourvu qu'elle se trouve en proportion convenable. Ou bien, comme dit le vieux Barbon :
« Une espèce de marchandise est aussi bonne qu'une autre quand sa valeur d'échange est égale ; il n'y a aucune différence, aucune distinction dans les choses chez lesquelles cette valeur est la même (1). »
Comme valeurs d'usage, les marchandises sont avant tout de qualité différente ; comme valeurs d'échange, elles ne peuvent être que de différente quantité.
E S P A Ñ O L
Una mercancía particular, un cuarto de trigo, por ejemplo, se intercambia en las proporciones más distintas con otros artículos. Sin embargo, su valor de intercambio sigue siendo inmutable, de alguna manera que se expresa, en x o en y, así sea, z, y así sucesivamente. Debe tener un contenido distinto en sus distintas expresiones.
Tomemos aún dos mercancías, sea trigo y el hierro. Cualquiera que sea su équivalencia de intercambio, puede siempre ser representado por una ecuación en la cual una cantidad dada de trigo se considera igual a una cantidad cualquiera de hierro, por ejemplo: 1 cuarto de trigo = tiene kilogramo de hierro. ¿Qué significa esta ecuación? Es que en dos objetos diferentes, en 1 cuarto de trigo y en tiene kilogramo de hierro, dice que existe algo de común. Los dos objetos son pues iguales a un tercero que, por sí mismo, no es ni uno ni otro. Cada uno de los dos debe, como valor de intercambio, ser reducible al tercero, independientemente del otro.
Un ejemplo prestado a la geometría elemental va a ponernos eso bajo los ojos. Para medir y comparar las superficies de todas las figuras rectilíneas, se han divido en triángulos. Se transformado los triángulos mismos en una expresión totalmente diferente de su aspecto visible: al semiproducto de su base por su altura. Del mismo modo, los valores de intercambio de las mercancías deben traerse a algo que sea comun y al tiempo que se representan más o menos.
Este algo de común no puede ser una propiedad natural cualquier, geométrico, físico, químico, etc, de las mercancías. Sus calidades naturales solo entran en consideración tanto como ellas les dan una utilidad que cuanto hace valores de uso. Pero, por otra parte, está claro que se hace abstracción del valor de uso de las mercancías cuando se los intercambia y que todo informe de intercambio es caracterizado incluso por esta abstracción. En el intercambio, un valor de utilidad vale precisamente tanto como cualquier otro, con tal que se encuentre en proporción conveniente. O, como dice el viejo Barbon:
"Una especie de mercancía es tan buena que otra cuando su valor de intercambio es igual;" no hay ninguna diferencia, ninguna distinción en las cosas en las cuales este valor es el mismo(1). "
Como valores de uso, las mercancías son sobre todo de diferente calidad; como valores de intercambio, no pueden ser sino de diferente cantidad.
(1) "One sort of wares are as goog as another, if the value be equal... The is no différence or distinction in things of equal value." Barbon ajoute: " cent livres sterling en plomb ou en fer ont autant de valeur que cent livres sterlilng en argent ou en or." (N. Barbon, Le Capital p 53 et 7)
(1) "Una clase de mercancîas es tan buena como otra, si el valor es igual... No hay diferencia o distincion en articulos de valor igual." Barbon añade: "ciento libras esterlinas en plomo o en hierro tienen tanto valor que ciento libros sterlilng en dinero o en oro." (N. Barbon L. C. p 53 y 7)
FRANCES
Une marchandise particulière, un quarteron de froment, par exemple, s'échange dans les proportions les plus diverses avec d'autres articles. Cependant, sa valeur d'échange reste immuable, de quelque manière qu'on l'exprime, en x cirage, y soie, z or, et ainsi de suite. Elle doit donc avoir un contenu distinct de ces expressions diverses.
Prenons encore deux marchandises, soit du froment et du fer. Quel que soit leur rapport d'échange, il peut toujours être représenté par une équation dans laquelle une quantité donnée de froment est réputée égale à une quantité quelconque de fer, par exemple : 1 quarteron de froment = a kilogramme de fer. Que signifie cette équation ? C'est que dans deux objets différents, dans 1 quarteron de froment et dans a kilogramme de fer, il existe quelque chose de commun. Les deux objets sont donc égaux à un troisième qui, par lui-même, n'est ni l'un ni l'autre. Chacun des deux doit, en tant que valeur d'échange, être réductible au troisième, indépendamment de l'autre.
Un exemple emprunté à la géométrie élémentaire va nous mettre cela sous les yeux. Pour mesurer et comparer les surfaces de toutes les figures rectilignes, on les décompose en triangles. On ramène le triangle lui-même à une expression tout à fait différente de son aspect visible : au demi-produit de sa base par sa hauteur. De même, les valeurs d'échange des marchandises doivent être ramenées à quelque chose qui leur est commun et dont elles représentent un plus ou un moins.
Ce quelque chose de commun ne peut être une propriété naturelle quelconque, géométrique, physique, chimique, etc., des marchandises. Leurs qualités naturelles n'entrent en considération qu'autant qu'elles leur donnent une utilité qui en fait des valeurs d'usage. Mais, d'un autre côté, il est évident que l'on fait abstraction de la valeur d'usage des marchandises quand on les échange et que tout rapport d'échange est même caractérisé par cette abstraction. Dans l'échange, une valeur d'utilité vaut précisément autant que toute autre, pourvu qu'elle se trouve en proportion convenable. Ou bien, comme dit le vieux Barbon :
« Une espèce de marchandise est aussi bonne qu'une autre quand sa valeur d'échange est égale ; il n'y a aucune différence, aucune distinction dans les choses chez lesquelles cette valeur est la même (1). »
Comme valeurs d'usage, les marchandises sont avant tout de qualité différente ; comme valeurs d'échange, elles ne peuvent être que de différente quantité.
E S P A Ñ O L
Una mercancía particular, un cuarto de trigo, por ejemplo, se intercambia en las proporciones más distintas con otros artículos. Sin embargo, su valor de intercambio sigue siendo inmutable, de alguna manera que se expresa, en x o en y, así sea, z, y así sucesivamente. Debe tener un contenido distinto en sus distintas expresiones.
Tomemos aún dos mercancías, sea trigo y el hierro. Cualquiera que sea su équivalencia de intercambio, puede siempre ser representado por una ecuación en la cual una cantidad dada de trigo se considera igual a una cantidad cualquiera de hierro, por ejemplo: 1 cuarto de trigo = tiene kilogramo de hierro. ¿Qué significa esta ecuación? Es que en dos objetos diferentes, en 1 cuarto de trigo y en tiene kilogramo de hierro, dice que existe algo de común. Los dos objetos son pues iguales a un tercero que, por sí mismo, no es ni uno ni otro. Cada uno de los dos debe, como valor de intercambio, ser reducible al tercero, independientemente del otro.
Un ejemplo prestado a la geometría elemental va a ponernos eso bajo los ojos. Para medir y comparar las superficies de todas las figuras rectilíneas, se han divido en triángulos. Se transformado los triángulos mismos en una expresión totalmente diferente de su aspecto visible: al semiproducto de su base por su altura. Del mismo modo, los valores de intercambio de las mercancías deben traerse a algo que sea comun y al tiempo que se representan más o menos.
Este algo de común no puede ser una propiedad natural cualquier, geométrico, físico, químico, etc, de las mercancías. Sus calidades naturales solo entran en consideración tanto como ellas les dan una utilidad que cuanto hace valores de uso. Pero, por otra parte, está claro que se hace abstracción del valor de uso de las mercancías cuando se los intercambia y que todo informe de intercambio es caracterizado incluso por esta abstracción. En el intercambio, un valor de utilidad vale precisamente tanto como cualquier otro, con tal que se encuentre en proporción conveniente. O, como dice el viejo Barbon:
"Una especie de mercancía es tan buena que otra cuando su valor de intercambio es igual;" no hay ninguna diferencia, ninguna distinción en las cosas en las cuales este valor es el mismo(1). "
Como valores de uso, las mercancías son sobre todo de diferente calidad; como valores de intercambio, no pueden ser sino de diferente cantidad.
(1) "One sort of wares are as goog as another, if the value be equal... The is no différence or distinction in things of equal value." Barbon ajoute: " cent livres sterling en plomb ou en fer ont autant de valeur que cent livres sterlilng en argent ou en or." (N. Barbon, Le Capital p 53 et 7)
(1) "Una clase de mercancîas es tan buena como otra, si el valor es igual... No hay diferencia o distincion en articulos de valor igual." Barbon añade: "ciento libras esterlinas en plomo o en hierro tienen tanto valor que ciento libros sterlilng en dinero o en oro." (N. Barbon L. C. p 53 y 7)
Re: le capital de Karl Marx
Admin escribió:http://le.capital.free.fr/index.html
por les puristas dejo el texto original en frances en alternace
el link permite de habrir el texto original; yo dispongo de la obra entera en formato pdf disoponible por los interesados
Livre premier
Libro primero
Le développement de la production capitaliste
El desarrollo de la producción capitalista
Première section
Primer sección
La marchandise et la monnaie
La mercancía y la moneda
Chapitre premier
Primer capitulo
La marchandise
La moneda
I. Les deux facteurs de la marchandise: valeur d'usage et valeur d'échange ou valeur proprement dite (substance de la valeur. Grandeur de la valeur)
I. Los dos factores de la mercancía: valor de uso y valor de intercambio o valor propiamente dicho (sustancia del valor. Tamaño del valor)
La richesse des sociétés dans lesquelles règne le mode de production capitaliste s'annonce comme une "immense accumulation de marchandises" (1). L'analyse de la marchandise, forme élémentaire de cette richesse, sera par conséquent le point de départ de nos recherches
La riqueza de las sociedades en las cuales reina el metodo de producción capitalista se anunci como una "inñensa acumulación de mercancías" El análisis de la mercancía, forma fundamental de esta riqueza, será por lo tanto el inicio de nuestra investigación.
La marchandise est d'abord un objet extérieur, une chose qui par ses propriétés satisfait des besoins humains de n'importe quelle espèce. Que ces besoins aient pour origine l'estomac ou la fantaisie, leur nature ne change rien à l'affaire(2). Il ne s'agit pas non plus ici de savoir comment ces besoins sont satisfaits, soit immédiatement, si l'objet est un moyen de subsistance, soit par une voie détournée, si c'est un moyen de production.
La mercancía es un objeto en primer lugar exterior, una cosa que por sus propiedades cubre necesidades humanas de cualquier especie. Que estas necesidades tengan por origen el estómago o la fantasia, su naturaleza no cambia nada al asunto. No se trata no aquí de saber cómo estas necesidades están satisfechas, o inmediatamente, si el objeto es un medio de subsistencia, o por una vía desviada, si es un medio de producción.
Chaque chose utile, comme le fer le papier, etc., peut être considérée sous un double point de vue, celui de la qualité et celui de la quantité. Chacune est un ensemble de propriétés diverses et peut, par conséquent, être utile par différents côtés. Découvrir ces côtés divers et, en même temps, les divers usages des choses est une oeuvre de l'histoire(3). Telle est la découverte de mesures sociales
Cada cosa útil, como el hierro el papel, etc, puede considerarse bajo una doble opinión, el de la calidad y el de la cantidad. Cada una es un conjunto de distintas propiedades y puede, por lo tanto, ser útil por distintos lados. Descubrir estos distintos lados y, al mismo tiempo, los distintos usos de las cosas es una obra de la historia (3). Tal es el descubrimiento de medidas sociales
(1) Karl Marx : Zur Kritik der politischen Oekonomie. Berlin 1859, p 3*
*Contribution à la critique de l'économie politique p 13 M. Giard, Paris 1928. (N.R.)
(2)"Le désir implique le besoin; c'est l'appétit de l'esprit, lequel lui est aussi naturel que la faim l'est au corps. C'est de là que la plupart des choses tirent leur valeur" (Nicholas Barbon : A discours concerning coining the new money lighter, in answer to Mr Locke's Considerations, etc. London 1696 p 2 et 3)
(2) "El deseo implica la necesidad;" es el apetito del espíritu, el cual es tambien natural como el hambre lo es al cuerpo. Es de allí que la mayoría de las cosas extraen su valor "(Nicholas Barbon:A discours concerning coining the new money lighter, in answer to Mr Locke's Considerations , etc London 1696 p 2 y 3)"
(3)"Les choses ont une vertu intrinsèque (virtue, telle est chez Barbon la désignation spécifique pour valeur d'usage) qui en tout lieu ont la même qualité, comme l'aimant, par exemple, attire le fer" (L. C. p. 6*) La propriété qu'a l'aimeant d'attirer le fer ne devint utile que lorsque, par son moyen, on eût découvert la polarité magnétique. *Chifre corrigé d'après les éd. IMEL (N. R.)
3)"Les cosas tienen una virtud intrínseca (virtue tal es en Barbon la designación específica para valor de uso) que por todas partes tienen la misma calidad, como el imán, por ejemplo, atrae el hierro" (L. C. p. 6 *) la propiedad que tiene el aimeant de atraer el hierro sólo se volvió útil cuando, por su medio, se había descubierto la polaridad magnética." * Cifra corregida segun las éd. IMEL (N. R.)
il y a un lien où nous pouvons trouver l'intégrale du livre en world et pdf
http://classiques.uqac.ca/classiques/Marx_karl/capital_borchardt/capital_borchardt.html
TABLE DE MATIERES du CAPITAL DE KARL MARX
Table des matières
Préface de la première édition, par Julien BORCHARDT, 1919.
Préface de la troisième édition, par Julien BORCHARDT
Préface de l’édition remaniée de 1931, par Julien BORCHARDT
1. Marchandise, prix et profit
2. Profit et vente des marchandises
3. Valeur d'usage et valeur d'échange le travail socialement nécessaire
4. Achat et vente de la force de travail
5. Comment se forme la plus-value
6. Capital constant et capital variable capital fixe et capital circulant (ou liquide)
7. Formation d'un taux de profit uniforme (ou moyen)
8. Méthodes pour l'augmentation de la plus-value
9. La révolution opérée par le capital dans le mode de production
a) La coopération
b) Division du travail et manufacture
c) Machinisme et grande industrie
10. Effets de ces progrès sur la situation de la classe ouvrière
a) Travail des femmes et des enfants
b) Prolongation de la journée de travail
c) Intensification du travail
d) Monotonie du travail, augmentation des accidents
e) Lutte entre l'ouvrier et la machine
11. Baisse du taux du profit
12. L'accumulation du capital
a) La continuité de la production (reproduction)
b) Accroissement du capital par la plus-value - La propriété capitaliste
13. Effet de l'accumulation sur les ouvriers l'armée industrielle de réserve théorie de l'accroissement du paupérisme
14. La prétendue accumulation primitive
15. Ou doit conduire l'accumulation capitaliste
16. Le salaire
a) Généralités
b) Salaire et plus-value
c) Le salaire au temps
d) Le salaire aux pièces
e) Comparaisons entre nations
Préface de la première édition, par Julien BORCHARDT, 1919.
Préface de la troisième édition, par Julien BORCHARDT
Préface de l’édition remaniée de 1931, par Julien BORCHARDT
1. Marchandise, prix et profit
2. Profit et vente des marchandises
3. Valeur d'usage et valeur d'échange le travail socialement nécessaire
4. Achat et vente de la force de travail
5. Comment se forme la plus-value
6. Capital constant et capital variable capital fixe et capital circulant (ou liquide)
7. Formation d'un taux de profit uniforme (ou moyen)
8. Méthodes pour l'augmentation de la plus-value
9. La révolution opérée par le capital dans le mode de production
a) La coopération
b) Division du travail et manufacture
c) Machinisme et grande industrie
10. Effets de ces progrès sur la situation de la classe ouvrière
a) Travail des femmes et des enfants
b) Prolongation de la journée de travail
c) Intensification du travail
d) Monotonie du travail, augmentation des accidents
e) Lutte entre l'ouvrier et la machine
11. Baisse du taux du profit
12. L'accumulation du capital
a) La continuité de la production (reproduction)
b) Accroissement du capital par la plus-value - La propriété capitaliste
13. Effet de l'accumulation sur les ouvriers l'armée industrielle de réserve théorie de l'accroissement du paupérisme
14. La prétendue accumulation primitive
15. Ou doit conduire l'accumulation capitaliste
16. Le salaire
a) Généralités
b) Salaire et plus-value
c) Le salaire au temps
d) Le salaire aux pièces
e) Comparaisons entre nations
Re: le capital de Karl Marx
17. L'argent
18. Le mouvement circulatoire et la période de circulation
19. Les frais de circulation
a) Achat et vente
b) Comptabilité
c) Les trais de l'argent
d) Frais de conservation
e) Transport
20. La rotation du capital
a) Rotation et temps de rotation Importance, dans la rotation, du capital fixe et du capital circulant
b) Composition, remplacement, réparation accumulation du capital fixe.
c) La rotation totale du capital avancé
d) Différences de durée dans la période de production et leurs effets sur le temps de rotation
21. Influence du temps de rotation sur le montant du capital avancé
a) Libération du capital-argent pendant le temps de circulation
b) Le taux annuel de la plus-value. Grandeurs différentes du capital, selon la durée du temps de rotation.
c) Troubles de l'économie capitaliste dus aux durées différentes de temps de rotation
22. La circulation de la plus-value
a) La reproduction simple
b) L'accumulation et la reproduction agrandie
23. La reproduction et la circulation du capital social total objet de la recherche
I. Reproduction simple
a) Les deux divisions de la production sociale
b) Les transactions entre les deux sections (I (v + pl) contre II c)
c) Les transactions dans le cadre de la section II Moyens de subsistance nécessaires et moyens de luxe
d) La circulation monétaire comme intermédiaire des échanges.
e) Remplacement du capital fixe
f) La reproduction de la matière argent
18. Le mouvement circulatoire et la période de circulation
19. Les frais de circulation
a) Achat et vente
b) Comptabilité
c) Les trais de l'argent
d) Frais de conservation
e) Transport
20. La rotation du capital
a) Rotation et temps de rotation Importance, dans la rotation, du capital fixe et du capital circulant
b) Composition, remplacement, réparation accumulation du capital fixe.
c) La rotation totale du capital avancé
d) Différences de durée dans la période de production et leurs effets sur le temps de rotation
21. Influence du temps de rotation sur le montant du capital avancé
a) Libération du capital-argent pendant le temps de circulation
b) Le taux annuel de la plus-value. Grandeurs différentes du capital, selon la durée du temps de rotation.
c) Troubles de l'économie capitaliste dus aux durées différentes de temps de rotation
22. La circulation de la plus-value
a) La reproduction simple
b) L'accumulation et la reproduction agrandie
23. La reproduction et la circulation du capital social total objet de la recherche
I. Reproduction simple
a) Les deux divisions de la production sociale
b) Les transactions entre les deux sections (I (v + pl) contre II c)
c) Les transactions dans le cadre de la section II Moyens de subsistance nécessaires et moyens de luxe
d) La circulation monétaire comme intermédiaire des échanges.
e) Remplacement du capital fixe
f) La reproduction de la matière argent
22 La circulation de la plus-value 1
22 La circulation de la plus-value 1
(Karl Marx, Le Capital édition populaire (résumés-extrait) par Julien Borchardt page 263)
Nous venons de voir qu'une différence dans la période de rotation produit une différence dans le taux annuel de la plus-valeu, même si la massse de la plus-value produite dans l'année reste constante.
Mais il se produit nécessairement une différence dans la capitalisation de la plus-value, dans l'accumulation, est par suite, -- le aux de la plus-value restant constant, -- dans la quantifé de plus-value produite pendant l'année.
Remarquons d'abord que le capitalsite A (dans l'exemple du chapitre précédent) a un revenu périodique courant et que -- exeption faite pour la première période de rotation, au début de l'entreprise, -- il se sert de sa production de plus-value pour faire face à sa consommation dans le cours de l'année, sans avoir à fournir d'avance sur son propre fonds. Il n'en est pas de même pour la capitaliste B. Il produit dans le même temps autant de plus-value que A, mais cette plus-value n'est pas réalisée et ne peut donc être consommé.
(Karl Marx, Le Capital édition populaire (résumés-extrait) par Julien Borchardt page 263)
Nous venons de voir qu'une différence dans la période de rotation produit une différence dans le taux annuel de la plus-valeu, même si la massse de la plus-value produite dans l'année reste constante.
Mais il se produit nécessairement une différence dans la capitalisation de la plus-value, dans l'accumulation, est par suite, -- le aux de la plus-value restant constant, -- dans la quantifé de plus-value produite pendant l'année.
Remarquons d'abord que le capitalsite A (dans l'exemple du chapitre précédent) a un revenu périodique courant et que -- exeption faite pour la première période de rotation, au début de l'entreprise, -- il se sert de sa production de plus-value pour faire face à sa consommation dans le cours de l'année, sans avoir à fournir d'avance sur son propre fonds. Il n'en est pas de même pour la capitaliste B. Il produit dans le même temps autant de plus-value que A, mais cette plus-value n'est pas réalisée et ne peut donc être consommé.
22 El movimiento del valor añadido 1
22 El movimiento de la ganancia o valor añadido 1
traducido al español
(Karl Marx, Capital populares edición (Resumen extracto) por Julian Borchardt página 263)
Acabamos de ver una diferencia en el período de rotación produce una diferencia en la tasa anual de aumento (plus-value) ganancia anual, incluso si esta ganancia que se produjo en el año se mantiene constante.
Pero se produce necesariamente una diferencia en la capitalización del valor añadido en la acumulación, y enseguida la plusvalía constante - en la cuantificación del valor añadido producido durante el año.
Tenga en cuenta que el primer capitalista A (en el ejemplo del capítulo anterior) tiene ingresos periódico corriente y que - salvo por el primer período de rotación en el inicio de la empresa - el utiliza su producción de valor añadido para satisfacer su consumo en el año, sin dar previsión sobre sus propios fondos. No es el mismo para los capitalistas B. quien produce la misma cantidad de valor añadido que A, esta ganancia no se ha realizado por cual no puede ser consumido.
el original se encuentra en el link siguiente:
http://classiques.uqac.ca/classiques/Marx_karl/capital_borchardt/capital_borchardt.html
traducido al español
(Karl Marx, Capital populares edición (Resumen extracto) por Julian Borchardt página 263)
Acabamos de ver una diferencia en el período de rotación produce una diferencia en la tasa anual de aumento (plus-value) ganancia anual, incluso si esta ganancia que se produjo en el año se mantiene constante.
Pero se produce necesariamente una diferencia en la capitalización del valor añadido en la acumulación, y enseguida la plusvalía constante - en la cuantificación del valor añadido producido durante el año.
Tenga en cuenta que el primer capitalista A (en el ejemplo del capítulo anterior) tiene ingresos periódico corriente y que - salvo por el primer período de rotación en el inicio de la empresa - el utiliza su producción de valor añadido para satisfacer su consumo en el año, sin dar previsión sobre sus propios fondos. No es el mismo para los capitalistas B. quien produce la misma cantidad de valor añadido que A, esta ganancia no se ha realizado por cual no puede ser consumido.
el original se encuentra en el link siguiente:
http://classiques.uqac.ca/classiques/Marx_karl/capital_borchardt/capital_borchardt.html
Página 1 de 1.
Permisos de este foro:
No puedes responder a temas en este foro.