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JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE

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JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE Empty JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE

Mensaje  Admin Jue 15 Nov - 4:29

Interview de 12 question du Nobel d’économie le plus controversé de sa génération Joseph Stiglitz :

VERSION EN FRANÇAIS Propos recueillis par Sophie Boukhai

Document au complet dans le site de l'Unesco:
http://portal.unesco.org/fr/ev.php-URL_ID=6609&URL_DO=DO_TOPIC&URL_SECTION=201.html


"Réformons les institutions économiques internationales"

Les « anti-globalisation » en ont fait leur héros

Les partisans du tout-marché leur bête noire :

« Joe » Stiglizt trouve le monde « injuste » et voudrait le changer…

1. Dans votre ouvrage La Grande Désillusion, vous affirmez que la mondialisation ne marche pas. Pourquoi ?

Parce qu’elle ne profite pas à tout le monde, même si elle profite à certains, voire à beaucoup de monde dans certains pays. Grâce à la mondialisation, la Chine et plusieurs pays d’Asie ont accru leurs exportations. Mais ailleurs, notamment en Amérique latine, les réformes des années 90 ont engendré de l’instabilité économique. Souvent, la croissance est restée très limitée et ses bénéfices ont profité aux riches de manière disproportionnée.

2. La crise des marchés financiers qui touche les pays riches est-elle liée aux dysfonctionnements de la mondialisation ?

Oui et non. Le problème, ce n’est pas la mondialisation mais les institutions économiques internationales, notamment le FMI, qui ont imposé un certain nombre d’idées: le fanatisme du marché, une certaine vision du capitalisme à l’américaine, vu comme le meilleur, voire le seul, système économique universel. Mais les scandales récents, aux Etats-Unis et ailleurs, montrent que ce système pose de graves problèmes et soulignent le caractère malsain des liens entre les sphères politiques et économiques. Quand je faisais partie des conseillers économiques de la Maison Blanche, nous plaidions pour changer le mode de comptabilisation des stock-options détenues par les cadres d’entreprises. Mais le Trésor, les milieux financiers et les entreprises, qui étaient contre ces réformes, ont réussi à gagner huit années qui ont coûté cher à l’économie américaine.

3. Quels intérêts spécifiques cette forme de libéralisation sert-elle ?

Certains intérêts en Occident, mais également dans le Sud. Par exemple, la mondialisation des marchés financiers profite à tous les individus qui ont intérêt à spéculer sur des valeurs à court terme. Par ailleurs, certaines règles inégales du commerce, comme celle régissant la propriété intellectuelle, sont le fruit de pressions des laboratoires pharmaceutiques et de l’industrie des loisirs. Elles vont à l’encontre des intérêts de la communauté scientifique et de ceux qui se soucient de la santé et du bien-être des pauvres.

4. Mais vous ne croyez pas à la « théorie du complot de l’Occident », populaire en Asie et en Russie. Pourquoi ?

Une conspiration suppose que des gens se réunissent et coordonnent leurs actions. A mon avis, ce n’est pas le cas. Mais je crois à l’influence des idées et des politiques. L’idéologie des « fanatiques du marché » est une force très importante, de même que les contributions des milieux financiers aux campagnes électorales des leaders politiques. Le problème, c’est que le processus de décision est anti-démocratique : il n’est pas transparent, et les voix de certains groupes ou de certains pays comptent plus que d’autres.

5. Quel est l’impact de la mondialisation sur l’éducation, la culture et le partage du savoir ?

Les nouvelles technologies ont permis à certains groupes locaux de s’affirmer, et favorisent ainsi la diversité culturelle. Malheureusement, souvent, la mondialisation a été trop rapide et mal gérée ; elle a rompu l’équilibre des cultures existantes. Dans des sociétés dotées de systèmes traditionnels de solidarité, les institutions internationales ont parfois débarqué avec leurs programmes d’assistance tous faits, laminant les structures locales.

6. Dans votre ouvrage, vous mettez l’accent sur l’impact considérable des politiques éducatives sur le développement?

Ici, il faut nettement distinguer les positions de la Banque mondiale et celles du FMI. La Banque mondiale soutient des projets éducatifs dans de nombreux pays. J’ai pu observer des réussites, par exemple en Colombie, où des programmes scolaires ont été élaborés pour que les enfants de travailleurs migrants bénéficient d’une continuité éducative. En Ethiopie, la Banque a appuyé la refonte des programmes afin qu’ils soient plus en phase avec le pays réel. Mais les mesures d’austérité du FMI sapent souvent ces efforts, si bien qu’on peut se demander si elles ne sont pas austères à l’excès. En Ethiopie, je peux affirmer que c’était le cas. Les dépenses éducatives sont un investissement crucial pour l’avenir d’un pays. Elles devraient être prioritaires, même s’il faut examiner soigneusement comment l’argent est dépensé.

7. Que pensez-vous de la tendance croissante à la privatisation des services éducatifs ?

L’expérience montre qu’elle a un impact globalement négatif. Aux Etats-Unis, elle accentue en général la ségrégation, non pas raciale mais sociale. Il est fréquent que les écoles privées affichent de meilleurs résultats mais c’est parce que leurs élèves viennent de milieux favorisés, bénéficient d’une meilleure éducation à la maison, etc.

8. On dit que les technologies de l’information réduisent le fossé entre riches et pauvres. Etes-vous d’accord ?

C’est vrai lorsque les pauvres sont assez riches pour y avoir accès. Dans des pays comme la Chine, Internet contribue sûrement à réduire le fossé avec le Nord. Mais en Afrique, où l’accès aux nouvelles technologies est quasi inexistant, le fossé continue à se creuser.

9. En matière de propriété intellectuelle, les pays pauvres ont-ils intérêt à élaborer leurs propres lois ou à laisser se développer le piratage des produits occidentaux ?

Il faut qu’ils aient leurs propres cadres législatifs pour se protéger de la biopiraterie. Aujourd’hui, le jeu est inégal. Les pays en développement n’ont pas les moyens de se battre contre les avocats américains très chers payés par les compagnies occidentales qui pillent leurs ressources. Après le dernier round de négociations commerciales, à Doha fin 2001, ces pays doivent s’unir pour dire « nous devons revoir le régime de la propriété intellectuelle ».

10. Vous êtes convaincu que la mondialisation pourrait être une bonne chose pour les pauvres. A quelles conditions ?

Il faut qu’il y ait une reconnaissance, dans les pays du Nord, de la nature des inégalités et des problèmes mondiaux. Je pense que dans ces pays, la plupart des gens sont attachés aux principes d’équité et de justice ; s’ils prenaient conscience de ces choses, ils pousseraient leurs gouvernements à agir. Voyez le mouvement Jubilée 2000 pour l’annulation de la dette des plus pauvres.

11. Mais il faut également réformer les institutions économiques internationales. Comment ?


Je modifierais le système des votes. Comme les Etats-Unis sont le seul pays à disposer d’un droit de veto au sein du FMI, celui-ci reflète forcément leurs intérêts. Et comme ils sont représentés par le Trésor américain, ce sont les intérêts des milieux financiers qui priment. Je changerais aussi le système de représentation. Si le FMI ne s’occupait que de questions techniques comme les assurances, on ne trouverait rien à y redire. Mais ses politiques touchent aussi à l’éducation, à la santé, etc. Or, les populations affectées n’ont aucune voix au chapitre, absolument aucune.

12. Que feriez-vous en Argentine aujourd’hui ?

Je cesserais de courir après toujours plus de financements extérieurs, ce qui ne sert qu’à entretenir le système de la dette et à payer les créanciers étrangers. Je me demanderais plutôt : « que faire à l’intérieur du pays ? Comment mieux gérer les ressources humaines, qui sont sous-utilisées ? ». L’enjeu, c’est de créer un marché, une demande, et de renflouer les entreprises. J’essaierais, par exemple, d’obtenir un arrangement temporaire avec mes partenaires commerciaux pour qu’ils achètent davantage de mes produits à l’exportation, ce qui ferait rentrer de l’argent frais dans les caisses des entreprises. L’essentiel, c’est de faire redémarrer la machine.
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JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE Empty Colombie : pays mortifère pour les syndicalistes

Mensaje  DiegoOrtiz Vie 7 Dic - 4:37

Citation

Des secteurs de l'establishment US mènent campagne pour conditionner la signature d'un accord de libre-échange avec la Colombie à un changement de politique du Président Uribe. C'est que le lien entre le pouvoir et les paramilitaires, brutalement révélés à l'opinion par les enquêtes en cours suite à l'exhumation de grands charniers, discréditent le principal allié dee Washington dans la sous-région. Pour l'éditorialiste du New York Times, l'enjeu est clair : "Différer la ratification (...) pour changer la conduite de M. Uribe." La Confédération syndicale internationale (CSI) hausse aussi le ton : depuis 1991, 2245 travailleurs ont été assassinés en Colombie, dont 494 leaders syndicaux (97% de ces crimes sont imputables à l'armée et aux paramilitaires). Pour le président US de la CSI, Guy Ryder : "La Colombie est toujours le pays le plus mortifère pour les syndicalistes. Pourtant, au lieu d'utiliser ses ressources pour répondre au problème réel, le gouvernement Uribe envoie des hauts fonctionnaires à l'étranger pour dire que la situation s'améliore. Ce ne sont que des mensonges. En 2006, 78 syndicalistes ont été assassinés, 8 de plus qu'en 2005, et de nombreux autres ont été victimes de menaces, séquestrations, ou "disparitions".

Journal Solidarités, Genève, 24 octobre 2007

Comme tous les quidams qui lisent de telles nouvelles qui concernent l'autre bout du monde, je ne me sens pas autorisé à ébaucher une quelconque analyse. Peut-être ce monsieur Uribe est-il un bon père de famille, et fait-il régulièrement des donations aux oeuvres de charité ? Peut-être un bon paroissien, aussi, qui prie tous les jours à genoux pour le salut de son peuple ?

Diego Ortiz
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JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE Empty Re: JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE

Mensaje  Admin Vie 7 Dic - 12:11

Tout d'abord, je dois remercier Diego, pour este "painful memory on the violence in Colombia"

LIENS ENTRE LE PRESIDENT DE COLOMBIE ET LES PARA-MILITAIRES

Alvaro Uribe veut avec des mensonges dévier l'attention au sujet des preuves le compromettant dans ces anciennes liens avec les paramilitaires. Treize sénateurs ont envoyez au président une lettre très critique au sujet.

La sanction de la Haute cour de justice colombienne (Procuraduria General de la Nacion) en vers l'ex directeur du Département Administrative de Sécurité D.A.S. (équivalent des Renseignement Généraux en France) Jorge NOGUERA, compromet la responsabilité politique du président Uribe, qui l'a défendu jusqu'à la fin.

Une vidéo compromettante et la sanction de la P.G.N. contre le directeur du D.A.S. mettent Uribe Velez contre le mur.

La meilleur défense reste l'attaque, maxime toujours appliqué dans des moments difficiles, surtout devant l'apparition d'indices d'un passé récent pas si glorieux. L'ex parlementaire Rocio ARIAS une des plus appréciés du président Uribe Velez, annoncé qu'elle demandera la mise en examen à l'avance et reconnaitra ces liens avec les paramilitaires au moment de connaître qu'elle allez être inquiété par la P.G.N.




N.B. Pour P.G. N. lire bureau du procureur général de la nation

TRADUCTION DE L'ARTICLE DE "HERNANDO LOPEZ" journalise pour la presse colombienne PERIODICO VOZ

c'est juste un petit extrait là suite en fonction des lecteurs ici bien sur et du temps disponible

Nestor Elias Ramirez Jimenez
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vendredi 7 décembre 2007
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Mensaje  Admin Jue 11 Abr - 20:47

la raison des syndicats
PARA QUE SINDICATOS


Write in French ans Spanish

16 DE ENERO DE 2009 - 09:55 - ARTICLES ARTICULOS


Revenons aux fondamentaux. La raison initiale du message d’un internaute:
par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Vendredi 16 janvier 2006
je cite l’idée du message no

Une notion par laquelle, le syndicaliste saurait nuisible voir imposteur; si nous nous tenons aux propos, je cite ce que j’ai compris : "tant que Sarkozy ne sanctionnera pas des syndicalistes délinquants l’avenir est compromis" Parce que les syndicats de Paris et Marseille, ont fait grève suite à l’agression d’un des collègues dans chaque ville. En fait il y dans le code du travail une notion qui s’appelle le droit de retrait Articles L. 4131-1 à L. 4131-4 du Code du travail

Dans toute société existe le droit de congrégation, de trust la prouve sont les organismes comme l’OMC, l’ONU, la FED la CE, puis même le WORL ECONOMIC FORUM; curieusement ces organisation comme des milliers d’autres ont une relation directe avec la monnaie. "the Future of the Global Financial System".

Sont ces organisations pour autant efficients ?

S’il le seraient nous ne serions pas dans le pétrin actuel.
Le futur des travailleurs doit au nom du future de l’argent être anéanti ?

Le système financier doit écraser la société pour société ?

Les lois de la finance doivent primer sur les droits ou fondements mêmes de la démocratie ?

D’ailleurs dans une société civilisé, sans la jungle sauvage des rapaces de la finance, où une quantité infinitésimale se procure presque la moitié des revenus de la production matérielle et 89% ramassent les miettes. Il est normale l’augmentation de l’insatisfaction, de la délinquance, et encore pire. C’est ne pas l’augmentation de policier,de lois, et des discours enchanteurs, qui vont agir pour l’harmonie de la société.

Les paroles sans justice, les lois sans raison sont un exercice dans le but d’anesthésier l’opinion du béotien, du quidam, mais pas un politique digne du nom. Les syndicats ont autant de raison d’exister, que les partis politiques, bien que les pères de la pensée et des sciences alertaient sur le fait que trop de liberté tue la liberté. C’est parce que il y des individus en état de zombis que l’harmonie de la société rende l’âme. Zombi celui qu’agresse un fonctionnaire, Zombi celui qui se crois au-dessus des la raison, la justice, et la République pour faire de profit à outrance sur le dos du travailleur.

La politique éducative, la politique législative, la société fait tout pour inhiber l’individu du libre arbitre. Dans un formatage sournois, le but étant de laisser une minorité s’occuper de la chose publique et une minorité encore moindre s’enrichir. L’erreur réside dans l’ignorance des conséquences car la société vie en harmonie en proportion de la redistribution du fruit du travail des hommes.

Voilà, mais je reste un grain de sable parmi toutes les plages de la terre, un miroir, qui ne fait que refléter, au pire un gramophone, c’est déjà ça.


En Castellano




la razón de los sindicatos

16 DE ENERO DE 2009 - 09:55 - ARTICULOS ARTICULOSj
Volvamos a lo básico.  El motivo inicial del mensaje de un usuario:
Por Néstor Elías Ramírez Jiménez
viernes 16 de enero de 2006
Cito la idea del mensaje no.
Una noción según la cual el sindicalista sería perjudicial o incluso impostor;  Si nos atenemos a las palabras, cito lo que entendí:
"mientras Sarkozy no sancione a los sindicalistas delincuentes, el futuro está comprometido"

Los sindicatos de conductores de transporte urbano de París y Marsella se declararon en huelga tras el ataque a "uno de los colegas de cada ciudad.  

De hecho, existe un concepto en el Código del Trabajo francés llamado derecho de desistimiento Artículos L. 4131-1 a L. 4131-4 del Código del Trabajo
En toda sociedad existe el derecho de congregación, demostrado por organizaciones como la OMC, la ONU, la FED, la CE e incluso el FORO ECONÓMICO MUNDIAL;  Curiosamente éstas organizaciones, como miles de otras, tienen una relación directa con el dinero.  "el futuro del sistema financiero global".

¿Son estas organizaciones eficientes?

Si lo fueran, no estaríamos en el lío actual.

¿Hay que destruir el futuro de los trabajadores en nombre del futuro del dinero?

¿El sistema financiero debe aplastar a la sociedad por la sociedad?

¿Las leyes de las finanzas deben tener prioridad sobre los derechos o los fundamentos mismos de la democracia?

Además, en una sociedad civilizada, sin la jungla salvaje de los depredadores de las finanzas, donde una cantidad infinitesimal obtiene casi la mitad de los ingresos de la producción material y más del 89% restante recoge las migajas.  Es normal que aumente la insatisfacción, la delincuencia y cosas peores.  No es el aumento de la policía, de las leyes y de los discursos encantadores lo que contribuirá a la armonía de la sociedad.

Fuente/source:


https://gramophone.blogia.com/2009/011602-la-raison-des-syndicats.php?fbclid=PAAaa3q1zU_Qm09rnWO79YBXllC-10G5NAMypUkhNZmAzo5w1H8ghA-vJ97oE
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JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE Empty Génération Instagram

Mensaje  Admin Sáb 20 Abr - 9:03

FUENTE/SOURCE: https://www.facebook.com/share/p/w7RqeyUrvVrQdsnh/

20/04/2024

GENERACIÓN TIKTOK

La generación de la apariencia.


Ciertos temas que escucho en los medios de comunicación me permiten hoy justificar la redacción de un texto crítico con la cultura de la admiración, de la esclavitud, del poder.


El ser humano no vive de apariencias y no puede vivir por (procuración) proxy, es decir buscando parecerse o imitar a una élite que no supera el uno por ciento (1%) de la población terrestre.


Ejemplos de: Loïc LE FLOCH-PRIGENT, Carlos Ghosn?  Entre otras pruebas, en cualquier caso, cuando intentamos vivir con un nivel de vida muy superior a estos medios, acabamos cometiendo errores, ya sea en lo que respecta a los impuestos, ya sea en lo que respecta a las personas.  Dicho esto, en toda regla hay excepciones.


El sistema bancario globalizado ha adoptado la deslocalización de industrias desde países como Francia con el único objetivo de obtener muchos más beneficios.


Al mismo tiempo, se habrá desmantelado la protección social.  Como resultado, crea un abismo cada vez mayor entre una minoría privilegiada y la mayoría de los franceses.


Si nos fijamos únicamente en la definición etimológica de la palabra democracia, nos sorprenderá mucho comprobar que el funcionamiento del mundo empresarial (bancos), del universo financiero, está absolutamente alejado de cualquier noción de democracia.  Hasta tal punto que las principales instituciones de control del mundo, como el Fondo Monetario Internacional y la Organización Mundial de la Salud, se ven superadas en número y están infiltradas por grupos de presión muy poderosos.  Como ocurre con la industria farmacéutica y la industria financiera, imprimir en estas organizaciones globales las reglas, la normatividad, exclusivamente favorables a los intereses de las minorías.


Los medios de comunicación se encuentran bajo el control de ciertos animadores pre-adquiridos en una cultura arribista dedicada a dañar, a envenenar la conciencia de la gran mayoría de las personas en la sociedad.


Esta crítica nació después de largos años de observación casual de una generación en ascenso dotada de una retórica vista en su nivel semántico y semiológico que es absolutamente descuidada.  Donde encuentro acólitos de un camino resultante de la obra de Monique Pinçon-Charlot, Frédéric Lordon, Thomas Piketty, David Card o Joseph Stiglitz de calidad ridícula, hay una sociedad de zombies que aplauden, sin duda estamos muy por delante de un TIK TOK, Instagram o incluso una generación similar.

En français



GÉNÉRATION TIKTOK
La génération de l’apparence.

Certains sujets que j’entends dans les mass médias me permettent aujourd’hui de justifier la rédaction d’un texte critique vis-à-vis de la culture d’admiration, esclavages, du pouvoir.

L’être humain ne vit pas d’apparences et ne peut pas vivre par procuration, C’est-à-dire en cherchant à ressembler à imiter à une élite qui ne dépasse pas un pourcent (1%) de la population de la terre.

Les exemple de : Loïc LE FLOCH-PRIGENT, Carlos Ghosn ? Parmi d’autres, preuve de toutes manières, quand on essaie de vivre avec un niveau de vie bien supérieur à ces moyens, on finit par commettre des erreurs, soit vis-à-vis de la fiscalité, soit vis-à-vis des gens. Cela dit dans toute règle il y a des exceptions.

Le système bancaire mondialisé a adopté la délocalisation de l’industrie des pays comme la France dans le seul but de faire beaucoup plus de bénéfices.

En même temps, aura démantelé la protection sociale. Du fait en créant un abîme chaque fois plus large, entre une minorité privilégiée et la majorité des Français.

Si seulement nous regardions la définition étymologique du mot démocratie, nous aurons la grande surprise de voir que le fonctionnement du monde des affaires (les banques), l’univers financier et absolument loin des toutes notions de démocratie. À tel point que les grandes institutions de contrôle au monde comme les Fonds monétaire international, comme l’Organisation mondiale de la santé, c’est trouvent comptés, infiltrés par des groupes du lobby très puissants. Comme c’est le cas de l’industrie pharmaceutique, de l’industrie financière, pour imprimer à ces organisations de taille mondiales les règles, la normativité, exclusivement favorables aux intérêts des minorités.

Les mass média se trouvent sous les contrôles de certains animateurs qui sont acquis d’avance à une culture arriviste dédiée à nuire, à empoisonner la conscience des grandes majorités des personnes dans la société.

Cette critique est né après longues années d’observation occasionnel d’une génération montante dotés d’une rhétorique vue dans sont niveau sémantique et sémiologique absolument godillot. Là où je trouve des acolytes d’un chemin issu d’après les travaux de Monique Pinçon-Charlot, Frédéric Lordon, Thomas Piketty, David Card ou Joseph Stiglitz d’une qualité ridicule, il y a une société des zombis qu’applaudissent, sans doute nous sommes belle et bien devant une génération TIK TOK , Instagram, voir assimilés.
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JOSEPH STIGLITZ PRIX NOBEL D'ECONOMIE Empty Argumentación y ultraliberalismo

Mensaje  Admin Ayer a las 1:29

Argumentación y ultraliberalismo

A manera de introducción


https://x.com/juanda158392211/status/1783170503634497747


Los seres humanos en su gran mayoría disponemos de niveles de discernimiento idénticos, lo que no significa, que podamos llegar siempre a conclusiones idénticas. En un lenguaje coloquial, no podríamos pensar igual. (René Descartes) La causa de que no veamos toda la humanidad una verdad única, se debe exclusivamente, a que procedemos por vías de conocimiento diferentes.

Acudamos a la parábola, técnica muy practicada por un señor que llaman Jesús, al parecer nacido en Nazareth: Si alguien mira una persona por la espalda, y otra persona la mira de frente, quien mira de frente diría que tiene un rostro, una nariz, una boca, mientras que ignorando la visión del primero, quien mira solo de espaldas la persona podría afirmar con absoluta vehemencia que el otro miente, porque la persona (que está mirando pero de espaldas) solo podría tener cabello en lugar de la cara, eventualmente calvicie pero ni ojos, ni nariz ni boca.

¿Cómo podríamos afirmar que uno u otro tiene razón, o peor afirmar que uno u otro mienten?

He tratad desde mi humilde nivel, de aportar al ciudadano de base, al campesino, a tantos millones de personas, que “jamas” podríamos asistir a centros prestigiosos, donde se obtienen diplomas que hacen que muchas personas “sean respetadas” me refiero a universidades como HARVARD, OXFORD, LA SORBONNE, desde luego que no podremos adoptar la posición de una de las personas de la parábola. Debemos pues, tomar las dos posiciones, y construir (René Descartes, Discurso del método) una “verdad” que integre necesariamente la doxa de los dos observadores.

Aquí mi suplica, de “rodillas si quieren” a los lectores, es de ir en búsqueda de diversidad de fuentes, de diversidad de autores, para desde esas posiciones, esas observaciones ENRIQUECER nuestro conocimiento ALEJÁNDONOS de la doxa. Por algo que desde la ἐπιστήμη es la PRAXIS: en lenguaje coloquial? Dejemos de ser testarudos, creyendo como las personas de la parábola que solo lo que vemos es una verdad única, puesto que alguien vendría y al encontrar “nuestra verdad” fragil, quizá nos dejaría como “mentirosos”. Que vergüenza!

Thomas Robert Malthus en 1798 escribio un libro de titulo : An Essay on the Principle of Population, lo podríamos comprar desde luego, pero también se podría leer en PDF, si tenemos internet, si alguien me escribe con mucho gusto, le enviaría una versión en francés, no recuerdo donde deje una versión en inglés o la prestaría y no me la han devuelto. A continuación he dejado una traducción en español, del capitulo cinco, que ya deja una clara imagen del señor Malthus.



CAPÍTULO 5



El segundo, o control positivo de la población, examinado en Inglaterra - La verdadera causa por la que la inmensa suma recaudada en Inglaterra para los pobres no mejora su condición - La poderosa tendencia de las leyes para los pobres a frustrar sus propios propósitos - Un paliativo de las angustias de los pobres los pobres propusieron - La absoluta imposibilidad, debido a las leyes fijas de nuestra naturaleza, de que la presión de la necesidad pueda alguna vez eliminarse por completo de las clases bajas de la sociedad - Todos los controles a la población pueden convertirse en miseria o vicio.

El freno positivo a la población, con lo que me refiero al freno que reprime un aumento que ya ha comenzado, se limita principalmente, aunque tal vez no exclusivamente, a los estratos más bajos de la sociedad. Este control no es tan obvio para la opinión común como el otro que he mencionado, y para probar claramente la fuerza y ​​el alcance de su operación se requerirían, tal vez, más datos de los que poseemos. Pero creo que quienes se han ocupado de los informes de mortalidad han observado en general que, del número de niños que mueren anualmente, una proporción demasiado grande pertenece a aquellos que se supone que son incapaces de dar a sus hijos la alimentación y la atención adecuadas. expuestos como lo están ocasionalmente a graves angustias y confinados, tal vez, a viviendas insalubres y a trabajos forzados. Esta mortalidad entre los hijos de los pobres ha sido constantemente observada en todas las ciudades. Ciertamente no prevalece en igual medida en el país, pero el tema no ha recibido hasta ahora suficiente atención como para permitir a alguien decir que no hay más muertes en proporción entre los hijos de los pobres, incluso en el campo, que entre los de las clases media y alta. De hecho, parece difícil suponer que la esposa de un trabajador que tiene seis hijos y que a veces está absolutamente necesitada de pan, pueda siempre darles el alimento y la atención necesarios para sustentar la vida. Los hijos e hijas de los campesinos no encontrarán en la vida real querubines tan rosados ​​como se los describe en los romances. Quienes viven mucho en el campo no pueden dejar de observar que los hijos de los trabajadores tienen muchas probabilidades de sufrir un retraso en su crecimiento y tardan mucho en llegar a la madurez. Los chicos que uno podría suponer que tienen catorce o quince años, cuando se les pregunta, frecuentemente encuentran que tienen dieciocho o diecinueve años. Y los muchachos que conducen el arado, que sin duda debe ser un ejercicio saludable, rara vez se ven con la apariencia de pantorrillas en las piernas: circunstancia que sólo puede atribuirse a la falta de una alimentación adecuada o suficiente.

Para remediar las frecuentes angustias de la gente común, se han instituido las leyes de pobres de Inglaterra; pero es de temer que, aunque hayan aliviado un poco la intensidad de la desgracia individual, hayan extendido el mal general a una superficie mucho mayor. Es un tema que a menudo se inicia en las conversaciones y se menciona siempre con gran sorpresa: a pesar de la inmensa suma que se recauda anualmente para los pobres en Inglaterra, todavía hay tanta angustia entre ellos. Algunos piensan que el dinero debe ser malversado, otros que los celadores y capataces de la iglesia consumen la mayor parte en las comidas. Todos coinciden en que de alguna manera debe estar muy mal gestionado. En resumen, el hecho de que cada año se recauden cerca de tres millones para los pobres y, sin embargo, sus miserias no sean solucionadas es motivo de continuo asombro. Pero un hombre que ve un poco más allá de la superficie de las cosas se sorprendería mucho más si el hecho fuera diferente de lo que se observa, o incluso si una colección universal de dieciocho chelines por libra, en lugar de cuatro, fuera materialmente alterarlo. Expondré un caso que espero aclare mi significado.

Supongamos que mediante una suscripción de los ricos los dieciocho peniques diarios que ganan ahora los hombres se convirtieran en cinco chelines, podría imaginarse, tal vez, que entonces podrían vivir cómodamente y tener un trozo de carne cada día para sus cenas. . Pero ésta sería una conclusión muy falsa. La transferencia de tres chelines y seis peniques diarios a cada trabajador no aumentaría la cantidad de carne en el país. En la actualidad no hay suficiente para que todos tengan una parte decente. ¿Cuál sería entonces la consecuencia? La competencia entre los compradores en el mercado de carne elevaría rápidamente el precio de seis o siete peniques a dos o tres chelines la libra, y el producto no se dividiría entre muchos más de lo que se distribuye actualmente. Cuando un artículo es escaso y no puede distribuirse a todos, el que puede mostrar la patente más válida, es decir, el que ofrece más dinero, se convierte en poseedor. Si podemos suponer que la competencia entre los compradores de carne continúa el tiempo suficiente para que se críe un mayor número de ganado anualmente, esto sólo podría hacerse a expensas del maíz, lo que sería un intercambio muy desventajoso, ya que es bueno Se sabe que el país no podría entonces sustentar a la misma población, y cuando la subsistencia es escasa en proporción al número de personas, tiene poca importancia si los miembros más bajos de la sociedad poseen dieciocho peniques o cinco chelines. En todo caso, deben verse reducidos a vivir con la tarifa más dura y en la menor cantidad.

Se dirá, tal vez, que el mayor número de compradores de cada artículo daría un estímulo a la industria productiva y que aumentaría toda la producción de la isla. En cierta medida, este podría ser el caso. Pero el estímulo que estas supuestas riquezas darían a la población la contrarrestaría con creces, y el aumento de la producción se dividiría entre un número de personas más que proporcionalmente mayor. Todo este tiempo estoy suponiendo que se haría la misma cantidad de trabajo que antes. Pero esto realmente no sucedería. Recibir cinco chelines al día, en lugar de dieciocho peniques, haría que cada hombre se imaginara comparativamente rico y capaz de disfrutar de muchas horas o días de ocio. Esto daría un freno fuerte e inmediato a la industria productiva y, en poco tiempo, no sólo la nación sería más pobre, sino que las mismas clases bajas estarían mucho más angustiadas que cuando recibían sólo dieciocho peniques al día.

Una recaudación de dieciocho chelines por libra a los ricos, incluso si se distribuyera de la manera más juiciosa, tendría un poco el mismo efecto que el resultante de la suposición que acabo de hacer, y no hay posibles contribuciones o sacrificios de los ricos, particularmente en dinero, podría evitar en cualquier momento la recurrencia de la angustia entre los miembros más bajos de la sociedad, quien quiera que fueran. De hecho, podrían realizarse grandes cambios. Los ricos pueden volverse pobres y algunos de los pobres ricos, pero una parte de la sociedad debe necesariamente sentir dificultades para vivir, y esta dificultad recaerá naturalmente sobre los miembros menos afortunados.

Puede parecer extraño al principio, pero creo que es cierto que no puedo por medio del dinero criar a un hombre pobre y permitirle vivir mucho mejor que antes, sin deprimir proporcionalmente a otros de la misma clase. Si reduzco la cantidad de alimentos que se consumen en mi casa y le doy lo que he cortado, entonces lo beneficio, sin deprimir a nadie, salvo a mí y a mi familia, quienes, tal vez, puedan soportarlo. Si recojo un terreno baldío y le doy el producto, lo beneficio tanto a él como a todos los miembros de la sociedad, porque lo que antes consumía se arroja al capital común, y probablemente parte del nuevo producto con él. . Pero si sólo le doy dinero, suponiendo que el producto del país siga siendo el mismo, le doy título sobre una parte mayor que antes de ese producto, parte que no puede recibir sin disminuir la parte de los demás. Es evidente que este efecto, en casos individuales, debe ser tan pequeño que resulte totalmente imperceptible; pero aún así debe existir, como muchos otros efectos que, como algunos de los insectos que pueblan el aire, eluden nuestras percepciones más groseras.

Suponiendo que la cantidad de alimentos en cualquier país permanezca igual durante muchos años seguidos, es evidente que estos alimentos deben dividirse según el valor de la patente de cada hombre, o la suma de dinero que puede permitirse gastar en este bien. universalmente solicitado. (El señor Godwin llama patente mohosa a la riqueza que un hombre recibe de sus antepasados. Creo que puede denominarse muy apropiadamente patente, pero no veo la conveniencia de llamarla mohosa, ya que es un artículo en tales uso constante.) Es una verdad demostrativa, por lo tanto, que las patentes de un grupo de hombres no podrían aumentar su valor sin disminuir el valor de las patentes de algún otro grupo de hombres. Si los ricos suscribieran y dieran cinco chelines al día a quinientos mil hombres sin recortar sus propias mesas, no cabe duda de que, como estos hombres naturalmente vivirían más cómodamente y consumirían una mayor cantidad de provisiones, habría Quedaría menos comida para dividir entre los demás y, en consecuencia, la patente de cada hombre disminuiría de valor o el mismo número de monedas de plata permitiría comprar una cantidad menor de subsistencia.


Un aumento de población sin un aumento proporcional de alimentos evidentemente tendrá el mismo efecto de reducir el valor de la patente de cada hombre. Los alimentos deben necesariamente distribuirse en cantidades menores y, en consecuencia, con un día de trabajo se puede comprar una cantidad menor de provisiones. Un aumento en el precio de las provisiones surgiría ya sea de un aumento de la población más rápido que el de los medios de subsistencia, o de una distribución diferente del dinero de la sociedad. Los alimentos de un país que ha estado ocupado durante mucho tiempo, si aumentan, lo hacen lenta y regularmente y no se puede hacer que respondan a demandas repentinas, pero no son infrecuentes las variaciones en la distribución del dinero de una sociedad, y son sin duda una de las más comunes. las causas que ocasionan las continuas variaciones que observamos en el precio de los suministros.

Las leyes de pobreza de Inglaterra tienden a deprimir la condición general de los pobres de estas dos maneras. Su primera tendencia obvia es aumentar la población sin aumentar los alimentos para su sustento. Un hombre pobre puede casarse con pocas o ninguna perspectiva de poder mantener a una familia independiente. Por lo tanto, se puede decir que en cierta medida crean a los pobres que mantienen, y como las provisiones del país, como consecuencia del aumento de la población, deben distribuirse a cada hombre en proporciones menores, es evidente que el trabajo de aquellos que Los que no reciben ayuda parroquial comprarán una cantidad menor de provisiones que antes y, en consecuencia, un mayor número de ellos se verá obligado a pedir ayuda.

En segundo lugar, la cantidad de provisiones consumidas en los asilos por una parte de la sociedad que en general no puede ser considerada como la parte más valiosa disminuye las partes que de otro modo pertenecerían a miembros más trabajadores y más dignos, y así, de la misma manera, obliga a más personas a volverse dependiente. Si los pobres en los asilos vivieran mejor que ahora, esta nueva distribución del dinero de la sociedad tendería más notoriamente a deprimir la condición de aquellos que están fuera de los asilos al ocasionar un aumento en el precio de las provisiones.

Afortunadamente para Inglaterra, aún persiste un espíritu de independencia entre el campesinado. Las leyes sobre pobres están fuertemente calculadas para erradicar este espíritu. Lo han logrado en parte, pero si lo hubieran logrado tan completamente como se esperaba, su perniciosa tendencia no habría estado oculta por tanto tiempo.

Por difícil que parezca en casos individuales, la pobreza dependiente debería considerarse vergonzosa. Tal estímulo parece ser absolutamente necesario para promover la felicidad de la gran masa de la humanidad, y todo intento general de debilitar este estímulo, por benevolente que sea su intención aparente, siempre frustrará su propio propósito. Si los hombres son inducidos a casarse por la perspectiva de una provisión parroquial, con pocas o ninguna posibilidad de mantener a sus familias en independencia, no sólo se ven injustamente tentados a traer infelicidad y dependencia a ellos mismos y a sus hijos, sino que, sin saberlo, se sienten tentados a casarse. dañar a todos en la misma clase que ellos mismos. Un trabajador que se casa sin poder mantener a una familia puede ser considerado en algunos aspectos como un enemigo de todos sus compañeros de trabajo.

No tengo ninguna duda de que las leyes parroquiales de Inglaterra han contribuido a elevar el precio de las provisiones y a bajar el precio real del trabajo. Por tanto, han contribuido a empobrecer a esa clase de personas cuya única posesión es su trabajo. También es difícil suponer que no hayan contribuido poderosamente a generar ese descuido y falta de frugalidad que se observa entre los pobres, tan contrario a la disposición que frecuentemente se observa entre los pequeños comerciantes y los pequeños agricultores. Los trabajadores pobres, para usar una expresión vulgar, parecen vivir siempre al día. Sus necesidades presentes ocupan toda su atención y rara vez piensan en el futuro. Incluso cuando tienen la oportunidad de ahorrar, rara vez la aprovechan, pero todo lo que está más allá de sus necesidades actuales va, en general, a la taberna. Por lo tanto, puede decirse que las leyes de pobres de Inglaterra disminuyen tanto el poder como la voluntad de ahorrar entre la gente común y, por lo tanto, debilitan uno de los incentivos más fuertes a la sobriedad y la industria y, en consecuencia, a la felicidad.

Es una queja general entre los maestros fabricantes que los altos salarios arruinan a todos sus trabajadores, pero es difícil concebir que estos hombres no ahorrarían una parte de sus altos salarios para el sostenimiento futuro de sus familias, en lugar de gastarlo en borracheras y disipación. , si no contaran con la asistencia parroquial para recibir apoyo en caso de accidentes. Y que los pobres empleados en las manufacturas consideran esta ayuda como una razón para gastar todos los salarios que ganan y disfrutar mientras puedan, parece evidente por el número de familias que, ante el fracaso de cualquier gran fábrica, inmediatamente caen en la ruina. la parroquia, cuando tal vez los salarios ganados en esta fábrica mientras florecía eran lo suficientemente superiores al precio del trabajo rural común como para permitirles ahorrar lo suficiente para su sustento hasta que pudieran encontrar algún otro canal para su industria.

Un hombre a quien no le pudiera disuadir de ir a la taberna la consideración de que, en caso de su muerte o enfermedad, debería dejar a su esposa y a su familia en la parroquia, podría dudar en malgastar así sus ganancias si se le asegurara que, en En cualquiera de estos casos, su familia debe morir de hambre o verse abandonada al sustento de una generosidad casual. En China, donde el precio real y nominal del trabajo es muy bajo, los hijos todavía están obligados por ley a mantener a sus padres ancianos e indefensos. No pretendo determinar si tal ley sería aconsejable en este país. Pero, en cualquier caso, parece muy impropio, mediante instituciones positivas, que hacen que la pobreza dependiente sea tan generalizada, debilitar esa desgracia que, por las mejores y más humanas razones, debería acompañarla.

La masa de felicidad entre la gente común no puede dejar de disminuir cuando se elimina uno de los frenos más fuertes a la ociosidad y la disipación, y cuando los hombres son atraídos a casarse con pocas o ninguna perspectiva de poder mantener una familia independiente. Sin duda, todo obstáculo que se interponga en el camino del matrimonio debe considerarse como una especie de infelicidad. Pero como por las leyes de nuestra naturaleza debe existir algún freno a la población, es mejor frenarlo a partir de una previsión de las dificultades para atender a una familia y del miedo a la pobreza dependiente, que alentarla para luego reprimirla. por la miseria y la enfermedad.

Siempre debe recordarse que existe una diferencia esencial entre los alimentos y aquellos productos elaborados cuyas materias primas abundan. La demanda de estos últimos no dejará de crearlos en tanta cantidad como se necesita. La demanda de alimentos no tiene en absoluto el mismo poder creativo. En un país donde se han tomado todas las zonas fértiles, se necesitan ofertas elevadas para animar al agricultor a plantar sus cultivos en tierras de las que no podrá esperar beneficios durante algunos años. Y antes de que la perspectiva de obtener ventajas sea lo suficientemente grande como para alentar este tipo de empresa agrícola, y mientras aumentan los nuevos productos, se pueden sufrir grandes dificultades por la falta de ellos. La demanda de una mayor cantidad de subsistencia es, con pocas excepciones, constante en todas partes, pero vemos con qué lentitud se responde a ella en todos aquellos países que han estado ocupados durante mucho tiempo.

Las leyes de pobres de Inglaterra sin duda fueron instituidas con el propósito más benevolente, pero hay grandes razones para pensar que no han tenido éxito en su intención. Ciertamente mitigan algunos casos de miseria muy grave que de otro modo podrían ocurrir; sin embargo, la situación de los pobres que reciben apoyo de las parroquias, considerada en todas sus circunstancias, está muy lejos de estar libre de miseria. Pero una de las principales objeciones que se les plantean es que, por esta ayuda que reciben algunos de los pobres, en sí misma una bendición casi dudosa, toda la clase de la gente común de Inglaterra está sujeta a un conjunto de leyes irritantes, incómodas y tiránicas. totalmente incompatible con el espíritu genuino de la Constitución. Todo el asunto de los asentamientos, incluso en su actual estado modificado, es absolutamente contradictorio con todas las ideas de libertad. La persecución parroquial de hombres cuyas familias probablemente serán acusadas, y de mujeres pobres que están a punto de permanecer en prisión, es una tiranía de lo más vergonzosa y repugnante. Y los obstáculos que estas leyes ocasionan a la continuidad del mercado laboral tienen una tendencia constante a agravar las dificultades de quienes luchan por mantenerse sin ayuda.

Estos males inherentes a las leyes de pobres son hasta cierto punto irremediables. Si se va a distribuir ayuda a una determinada clase de personas, se debe conceder en algún lugar el poder de discriminar los objetos adecuados y de gestionar los asuntos de las instituciones que sean necesarias, pero cualquier gran interferencia en los asuntos de otras personas es una especie de tiranía, y en el curso común de las cosas se puede esperar que el ejercicio de este poder resulte irritante para aquellos que se ven obligados a pedir apoyo. La tiranía de los jueces, guardianes de la Iglesia y supervisores es una queja común entre los pobres, pero la culpa no recae tanto en estas personas, que probablemente, antes de ocupar el poder, no eran peores que otras personas, sino en la naturaleza de todas esas instituciones.

El mal tal vez haya ido demasiado lejos como para remediarlo, pero tengo pocas dudas en mi mente de que si las leyes para los pobres nunca hubieran existido, aunque podría haber habido algunos casos más de angustia muy severa, sin embargo, la masa agregada de felicidad entre la gente común habría sido mucho mayor de lo que es actualmente.

El Pobre Bill del señor Pitt tiene la apariencia de estar enmarcado con intenciones benévolas, y el clamor levantado contra él fue en muchos aspectos mal dirigido e irrazonable. Pero hay que confesar que posee en alto grado el gran y radical defecto de todos los sistemas de este tipo, el de tender a aumentar la población sin aumentar los medios para su sustento, y así deprimir la condición de aquellos que no reciben apoyo. por las parroquias y, en consecuencia, crear más pobres.

Eliminar las necesidades de las clases bajas de la sociedad es en verdad una tarea ardua. La verdad es que la presión de la angustia sobre esta parte de una comunidad es un mal tan profundamente arraigado que ningún ingenio humano puede alcanzarlo. Si propusiera un paliativo, y paliativos es todo lo que la naturaleza del caso admite, debería ser, en primer lugar, la abolición total de todas las leyes parroquiales actuales. En cualquier caso, esto daría libertad y libertad de acción al campesinado de Inglaterra, que difícilmente puede decirse que posee en la actualidad. Entonces podrían establecerse sin interrupción dondequiera que existiera la perspectiva de una mayor abundancia de trabajo y un precio más alto por el trabajo. Entonces el mercado de trabajo sería libre y se eliminarían los obstáculos que, como están las cosas ahora, a menudo impiden durante un tiempo considerable que el precio suba según la demanda.

En segundo lugar, podrían otorgarse primas por la obtención de tierras frescas y posibles estímulos para la agricultura por encima de las manufacturas y la labranza por encima del pastoreo. Se debe hacer todo lo posible para debilitar y destruir todas aquellas instituciones relacionadas con las corporaciones, los aprendizajes, etc., que hacen que los trabajos de la agricultura estén peor pagados que los trabajos del comercio y las manufacturas. Porque un país nunca podrá producir la cantidad adecuada de alimentos mientras estas distinciones sigan favoreciendo a los artesanos. Tales estímulos a la agricultura tenderían a proporcionar al mercado una cantidad cada vez mayor de trabajo saludable y, al mismo tiempo, al aumentar la producción del país, elevarían el precio comparativo del trabajo y mejorarían la condición del trabajador. Al estar ahora en mejores circunstancias y no ver perspectivas de recibir ayuda parroquial, sería más capaz y más inclinado a formar asociaciones para protegerse contra sus enfermedades o las de su familia.

Por último, para casos de extrema necesidad, se podrían establecer asilos de condado, sustentados con tarifas para todo el reino y gratuitos para personas de todos los condados y, de hecho, de todas las naciones. La tarifa debería ser dura y los que pudieran estar obligados a trabajar. Sería deseable que no se los considerara como asilos cómodos en todas las dificultades, sino simplemente como lugares donde las graves angustias pudieran encontrar algún alivio. Una parte de estas casas podría separarse u otras construirse con el fin más beneficioso, del que no pocas veces se ha tenido en cuenta, el de proporcionar un lugar donde cualquier persona, ya sea nativa o extranjera, pueda realizar un día de trabajo en todo momento y recibir el precio de mercado por ello. Sin duda, muchos casos quedarían en manos del ejercicio de la benevolencia individual.

Un plan de este tipo, cuyo preliminar debería ser la abolición de todas las leyes parroquiales actuales, parece ser el mejor calculado para aumentar la masa de felicidad entre la gente común de Inglaterra. Prevenir la recurrencia de la miseria es, ¡ay! más allá del poder del hombre. En el vano esfuerzo por alcanzar lo que por la naturaleza de las cosas es imposible, ahora sacrificamos no sólo beneficios posibles sino ciertos. Decimos a la gente común que si se someten a un código de regulaciones tiránicas, nunca tendrán necesidad. Se someten a estas regulaciones. Ellos cumplen su parte del contrato, pero nosotros no cumplimos la nuestra y, por lo tanto, los pobres sacrifican la valiosa bendición de la libertad y no reciben nada que pueda considerarse equivalente a cambio.

Entonces, a pesar de la institución de las leyes de pobres en Inglaterra, creo que se admitirá que, considerando la situación de las clases bajas en su conjunto, tanto en las ciudades como en el campo, las dificultades que sufren por la falta de atención adecuada y suficiente los alimentos, provenientes de trabajos forzados y viviendas insalubres, deben actuar como un freno constante para la población incipiente.

A estos dos grandes frenos a la población, en todos los países ocupados durante mucho tiempo, que he llamado frenos preventivo y positivo, pueden agregarse costumbres viciosas con respecto a las mujeres, las grandes ciudades, las manufacturas nocivas, el lujo, la pestilencia y la guerra.

Todos estos obstáculos pueden convertirse justamente en miseria y vicio. Y que estas son las verdaderas causas del lento aumento de la población en todos los estados de la Europa moderna, resultará suficientemente evidente por el aumento comparativamente rápido que invariablemente ha tenido lugar siempre que estas causas han sido eliminadas en un grado considerable.

https://www.marxists.org/reference/subject/economics/malthus/ch05.htm


Escrito el jueves 25 de abril del año 2024 por (twitter o X) @gramophonefr (Faceboo) Nick Ravise

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