Les ombres d'une espèce jadis appelé homo sapiens
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Les ombres d'une espèce jadis appelé homo sapiens
Régulièrement je me pose la question sur la manière de présenter au grand publique non pas un document parmi de milliers, non pas un pamphlet, mais un véritable message.
La publicité représente bien plus qu'un métier, bien plus que le chiffre d'affaires, colossale, un élément propre à la culture.
Faire passer un message, une idée, par la simple volonté, d'un individu, reste une utopie; pour tant les faits, les études scientifiques existants.
Dans d'autres termes nous sommes conscients, mais nous avons tendance à nous voiler la face; dans tout genre de situation, du moment que celle-ci, touche de prêt au de loin, à la société.
Pour tant la société reste la composants ou somme des "citoyens, individus".
La société de consommation, le pouvoir d'achat, sont des sujets qui ne semblent pas atteindre notre subconscient.
Je cherche à élucider, le ou les causes de cette appréhension récalcitrante du commun d'entre nous.
Il est indéniable, que l'ensemble de la société des pays "en voies d'appauvrissement", se trouve satisfaite d'un confort relatif vis-à-vis des pays que je vais dénommer en antagonisme naturelle "pays en voie de modernisation".
Voyons-nous ?
Changement vertigineux qui s'opère au quotidien au quel nous sommes dans l'obligation apparente d'approuver sans nécessairement le connaître vu le volume; persiste en détriment direct d'une satisfaction que mécaniquement se réduit comment flaque d'au au soleil.
La vérité et ses conséquences
La vérité des difficultés, d'un monde en agitation perpétuelle, me semble disponible dans les documents scientifiques, dans les journaux spécialises de la finance et l'économie, dans les magazines sur l'environnement et l'écologie, etc., l'information est disponible pour tant que pour une élite, car disposer d'un accès à la toile mondiale reste encore confidentiel vis-à-vis du nombre d'habitants de la planète.
Une conséquence est que l'information se camoufle avec l'assentiment du grand public (minorité privilégié ayant connaissance)
Ma responsabilité civile
En matière d'éthique, vis-à-vis de l'histoire, il est indigne que de se positionner en observateur immuable, moi le premier lorsqu'un médiat, présent un sujet en allusion à l'environnement, j'ai le reflexe de saper.
Il y a là, un fait, un comportement humain caractérisé, dans l'espèce, la volonté manifeste d'éviter d'aborder ne serez que l'idée d'admettre; une infime part de responsabilité dans la société de consommation, en tant que individu et citoyen donc partie intégrante.
Voilà la raison: l'autisme
Nous, les habitants de la planète terre nous sommes autistes, mais est-ce une maladie ou un handicap? Disant qu'il y a en nous une partie génétique qui est manipulé en suite, par l'environnement.
La partie génétique veut que l'instinct de survie gagne face à la passivité, une sorte d'homéostasie fonctionnelle, la partie instinctive saurait en quelque sorte dopé; la différence de potentiel d'une énergie supérieur présente dans les médiat, dans le modus vivendi, et surtout dans la culture de l'individualisme prôné par le système, et imposé subrepticement dans les bancs des écoles, collèges, lycées et par fois dans les Universités.
Dans la course aux mérites remarquablement illustré par le professeur Oliver IHL dans son livre "Le mérite et la République" ou encore la grand question d'Etienne de La Boétie, dans sa pensée, ô! Cette main invisible d'Adams Smith! La servilité
Le résultat est une population écervelé, des zombies, même pas l'ombre des humains avec de l'instinct de survie.
C'est ce que je suis en fait?
Elle est où mon intuition ?
La publicité représente bien plus qu'un métier, bien plus que le chiffre d'affaires, colossale, un élément propre à la culture.
Faire passer un message, une idée, par la simple volonté, d'un individu, reste une utopie; pour tant les faits, les études scientifiques existants.
Dans d'autres termes nous sommes conscients, mais nous avons tendance à nous voiler la face; dans tout genre de situation, du moment que celle-ci, touche de prêt au de loin, à la société.
Pour tant la société reste la composants ou somme des "citoyens, individus".
La société de consommation, le pouvoir d'achat, sont des sujets qui ne semblent pas atteindre notre subconscient.
Je cherche à élucider, le ou les causes de cette appréhension récalcitrante du commun d'entre nous.
Il est indéniable, que l'ensemble de la société des pays "en voies d'appauvrissement", se trouve satisfaite d'un confort relatif vis-à-vis des pays que je vais dénommer en antagonisme naturelle "pays en voie de modernisation".
Voyons-nous ?
Changement vertigineux qui s'opère au quotidien au quel nous sommes dans l'obligation apparente d'approuver sans nécessairement le connaître vu le volume; persiste en détriment direct d'une satisfaction que mécaniquement se réduit comment flaque d'au au soleil.
La vérité et ses conséquences
La vérité des difficultés, d'un monde en agitation perpétuelle, me semble disponible dans les documents scientifiques, dans les journaux spécialises de la finance et l'économie, dans les magazines sur l'environnement et l'écologie, etc., l'information est disponible pour tant que pour une élite, car disposer d'un accès à la toile mondiale reste encore confidentiel vis-à-vis du nombre d'habitants de la planète.
Une conséquence est que l'information se camoufle avec l'assentiment du grand public (minorité privilégié ayant connaissance)
Ma responsabilité civile
En matière d'éthique, vis-à-vis de l'histoire, il est indigne que de se positionner en observateur immuable, moi le premier lorsqu'un médiat, présent un sujet en allusion à l'environnement, j'ai le reflexe de saper.
Il y a là, un fait, un comportement humain caractérisé, dans l'espèce, la volonté manifeste d'éviter d'aborder ne serez que l'idée d'admettre; une infime part de responsabilité dans la société de consommation, en tant que individu et citoyen donc partie intégrante.
Voilà la raison: l'autisme
Nous, les habitants de la planète terre nous sommes autistes, mais est-ce une maladie ou un handicap? Disant qu'il y a en nous une partie génétique qui est manipulé en suite, par l'environnement.
La partie génétique veut que l'instinct de survie gagne face à la passivité, une sorte d'homéostasie fonctionnelle, la partie instinctive saurait en quelque sorte dopé; la différence de potentiel d'une énergie supérieur présente dans les médiat, dans le modus vivendi, et surtout dans la culture de l'individualisme prôné par le système, et imposé subrepticement dans les bancs des écoles, collèges, lycées et par fois dans les Universités.
Dans la course aux mérites remarquablement illustré par le professeur Oliver IHL dans son livre "Le mérite et la République" ou encore la grand question d'Etienne de La Boétie, dans sa pensée, ô! Cette main invisible d'Adams Smith! La servilité
Le résultat est une population écervelé, des zombies, même pas l'ombre des humains avec de l'instinct de survie.
C'est ce que je suis en fait?
Elle est où mon intuition ?
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