en parlant de société et encore...
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en parlant de société et encore...
http://www.alexandrie.org/print.php?post_id=15111&topic=1833&forum=3
Dois-je apporter mon grain de sel? Oh! Là… (je crains de ne pas être à l'hauteur)
Quelque part j'avais écris, que la taille de la population conditionnait les relations.
Je trouve avec satisfaction que vous parlez de marché, en tant que lieu d'échange, puis vous abordez les faits anthropologiques; nous sommes ici dans les textes de Jean Jacques Rousseau, direz-je, puis pour pimenter encore le mot "monnaie" tians! Parce que le Roi Alyattés les utilisé de manière ostentatoire à Sardes vers 500 ans bien avant Jésus Christ. Qui dit monnaie, dit commerce, et bien Socrate déjà, affirmais se méfier des commerçants, ce n'est pas pour rien.
Il ne faut pas s'écarter de la signification de "fédération", et moins oublier une fédération qui fonctionne, (les USA) d'autant plus qu'elle génère des normes aux quelles elle-même ne se soumets jamais, je vous laisse comme exemple les subventions du coton, l'industrie de la guerre…
Charles Darwin plaide pour le rôle du travail dans la transformation du singe en homme, comment Yugcib d'une manière anthologique nous parle du quotidien comme "moteur" de la révolution.
Au risque de me répéter j'insiste sur le rôle de la "pratique" dans le perfectionnement; étant l'expérience fondamentale dans l'amélioration de la performance. Le meilleur ouvrier de France le devient par envie et par développement de ses connaissances. Le tout acquise dans le temps, mais surtout par la pratique. Dans chaque manière où la main ou le cerveau, acquière par la pratique de l'assurance (expérience) la personne en question excelle nécessairement. Le monde de la finance n'est pas une exception.
Celle nous même tout droit à la nécessité de l'autorité de l'État dans la gestion des choses si complexes. Mais par contre l'État en soit n'a pas de valeur sans démocratie, bien que cela complique la plus part de temps les choses pour la simple et bonne raison du manque de participation du citoyen. J'arrête là, car… (J'ai le lit à faire, le chien à sortir, et les plantes à arroser parmi d'autres tâches du "quotidien" inclus le travail).
La vraie démocratie devienne proportionnellement difficile à nombre de citoyens.
Sincères salutations de Gramophone (gronchon dans le forum politique économie du Figaro puisque j'ai perdu le mot de passe de gramophone)
Dois-je apporter mon grain de sel? Oh! Là… (je crains de ne pas être à l'hauteur)
Quelque part j'avais écris, que la taille de la population conditionnait les relations.
Je trouve avec satisfaction que vous parlez de marché, en tant que lieu d'échange, puis vous abordez les faits anthropologiques; nous sommes ici dans les textes de Jean Jacques Rousseau, direz-je, puis pour pimenter encore le mot "monnaie" tians! Parce que le Roi Alyattés les utilisé de manière ostentatoire à Sardes vers 500 ans bien avant Jésus Christ. Qui dit monnaie, dit commerce, et bien Socrate déjà, affirmais se méfier des commerçants, ce n'est pas pour rien.
Il ne faut pas s'écarter de la signification de "fédération", et moins oublier une fédération qui fonctionne, (les USA) d'autant plus qu'elle génère des normes aux quelles elle-même ne se soumets jamais, je vous laisse comme exemple les subventions du coton, l'industrie de la guerre…
Charles Darwin plaide pour le rôle du travail dans la transformation du singe en homme, comment Yugcib d'une manière anthologique nous parle du quotidien comme "moteur" de la révolution.
Au risque de me répéter j'insiste sur le rôle de la "pratique" dans le perfectionnement; étant l'expérience fondamentale dans l'amélioration de la performance. Le meilleur ouvrier de France le devient par envie et par développement de ses connaissances. Le tout acquise dans le temps, mais surtout par la pratique. Dans chaque manière où la main ou le cerveau, acquière par la pratique de l'assurance (expérience) la personne en question excelle nécessairement. Le monde de la finance n'est pas une exception.
Celle nous même tout droit à la nécessité de l'autorité de l'État dans la gestion des choses si complexes. Mais par contre l'État en soit n'a pas de valeur sans démocratie, bien que cela complique la plus part de temps les choses pour la simple et bonne raison du manque de participation du citoyen. J'arrête là, car… (J'ai le lit à faire, le chien à sortir, et les plantes à arroser parmi d'autres tâches du "quotidien" inclus le travail).
La vraie démocratie devienne proportionnellement difficile à nombre de citoyens.
Sincères salutations de Gramophone (gronchon dans le forum politique économie du Figaro puisque j'ai perdu le mot de passe de gramophone)
De l'identité sociale à l'identité physique
De l'identité sociale à l'identité physique
Par GRAMOPHONE (Nestor Elias Ramirez Jimenez)
Joigny vendredi 21 décembre 2007
Aborder des faits divers, dans une société de manière isolée est plus qu'une erreur.
Diagnostique
Il y a analogie entre le diagnostique clinique et le diagnostique sociale; avec tout ce qu'il comporte, passant par l'ordonnance pour obtenir un résultat qui reste soigner une photologie.
Le diagnostique sur la société, qui ne doit pas se faire sur un fait divers isolé, mais sur un examen pluridisciplinaire, des symptômes du patient, dans l'espèce la "société elle-même" vous et moi.
Toujours dans une analogie, si le praticien se trompe ou s'il n'est pas assez qualifié pour identifier les symptômes, (un otorhino face à un problème de cardiologie ou vise versa) vous pouvez déjà prévoir les conséquences. Il est ici question de métaphore, d'un lexique accessible, dans ma volonté au plus large publique.
Une pathologie avec un mauvais diagnostique, se traduit par une détérioration de la santé du patient et cela va jusqu'à le cas grave d'augmentation des coûts, par cause d'opération en dernier recours, pire encore la mort. Dans le cas de la société, fin d'un système ou empire. Un regard sur l'histoire de l'humanité montre la susception d'empires, rien de plus classique.
La société requière en conséquence un diagnostique de qualité, et le meilleur diagnostique est celui d'un spécialiste; dans le cas de la planète autant dire qu'il est indispensable, la concurrence des meilleures, d'où ma tentation d'insister sur la pluridisciplinarité.
La qualité de l'ordonnance n'est que la résultante d'un excellent diagnostique; et la maladie de la société me semble demande au plus vite un traitement. Autant dire qu'un quidam comme moi n'a pas grande chose à ajouter.
Les symptômes
Identité: étymologiquement nous sommes dans le terrain de la filiation (fils de…) fils du docteur, fils du chômeur, fils de la nation, une image à émuler en quelque sorte, l'image du père, du chanteur, de l'idole.
Pour l'être humain citoyen, un grand nombre de facteurs ou valeurs sont ainsi la base de la cohésion sociale. L'absence d'une partie de ses valeurs, nuisent gravement l'identité et la qualité intrinsèque d'être humain.
Le résultat se traduit par la deshumanisation des êtres, en théorie rien de compliqué, en pratique une catastrophe, représenté par multitude de symptômes, constitutif d'un faisceau, facile à diagnostique. Pas nécessaire de citer la pyramide de Maslow, pour tant clé, mais pouvant brouiller ceux et celles n'ayant pas aces à si délicieuses lectures, histoire de rester facile de lire.
La métaphore, reste ma sortie la plus viable et lisible; un enfant avec tout son potentiel génétique, si par malheur est élevé par des animaux, des loups, des singes, il risque de ne pas parler jamais (au passage la faculté de parler reste qu'un acquis, d'ailleurs en fonction de la géographie, le pays, la langue est différente) mais il acquière une ensemble de valeurs, propres à la population d'adoption. De la même manière faire grandir des jeunes, dans des quartiers plutôt ghetto, du au manque de mécanismes d'intégration.
L'image en grandissant, forge un comportement où l'identité sociale, culturelle saurait supplanter par l'identité physique, encore en théorie rien d'alarmant, en pratique, physique veut dire territoriale, quartier, bâtiment, zone: là ou les animaux, démarquent leur territoire, les philosophes et intellectuels écrivent, les jeunes de banlieue, font du tag ou graffiti. Là ou le loup attaque pour protéger un territoire ou une meute ou encore sa progéniture, le philosophe et l'écrivain plaide ou paye pour plaider en sa faveur au prêt de la justice, le jeune de banlieue fait usage des moyens de bord, de la violence; la violence reste une technique de défense à la base, des "non humains" et des "déshumanises". La société étant la seule responsable de cette activité violente de "déshumanisation".
Il y des individus qui se considèrent des illumines, des intellectuels et autres savants, qui comprennent parfaitement, mais se gardent bien de le faire savoir; par crainte de la perte d'estime de leur clan. Comportement classique, hérédité et très pratiqué chez le loup.
Encore pire, d'autres suivent aveuglement des préceptes; alors qu'en vérité sont des moutons qui se prennent pour des loups. Je vous laisse deviner la suite, il s'agit par la plus part des personnes écervelés, aveugles par la rhétorique, le mensonge, la démagogie et le prosélytisme politique.
Je vais plus loin à la recherche de l'équilibre et l'harmonie sociale; car il y va de l'intérêt des nantis la recherche des solutions permettant avant tout de préserver leurs privilèges. Surtout d'eux car qui plus privilégié que le roi! Pour tant sa tête à roule par terre en 1789.
Par la suite dans un discours modéré, je veux bien trouver des points à discuter, pour le bon déroulement de l'histoire de notre société.
A bon entendeur salut…
Par GRAMOPHONE (Nestor Elias Ramirez Jimenez)
Joigny vendredi 21 décembre 2007
Aborder des faits divers, dans une société de manière isolée est plus qu'une erreur.
Diagnostique
Il y a analogie entre le diagnostique clinique et le diagnostique sociale; avec tout ce qu'il comporte, passant par l'ordonnance pour obtenir un résultat qui reste soigner une photologie.
Le diagnostique sur la société, qui ne doit pas se faire sur un fait divers isolé, mais sur un examen pluridisciplinaire, des symptômes du patient, dans l'espèce la "société elle-même" vous et moi.
Toujours dans une analogie, si le praticien se trompe ou s'il n'est pas assez qualifié pour identifier les symptômes, (un otorhino face à un problème de cardiologie ou vise versa) vous pouvez déjà prévoir les conséquences. Il est ici question de métaphore, d'un lexique accessible, dans ma volonté au plus large publique.
Une pathologie avec un mauvais diagnostique, se traduit par une détérioration de la santé du patient et cela va jusqu'à le cas grave d'augmentation des coûts, par cause d'opération en dernier recours, pire encore la mort. Dans le cas de la société, fin d'un système ou empire. Un regard sur l'histoire de l'humanité montre la susception d'empires, rien de plus classique.
La société requière en conséquence un diagnostique de qualité, et le meilleur diagnostique est celui d'un spécialiste; dans le cas de la planète autant dire qu'il est indispensable, la concurrence des meilleures, d'où ma tentation d'insister sur la pluridisciplinarité.
La qualité de l'ordonnance n'est que la résultante d'un excellent diagnostique; et la maladie de la société me semble demande au plus vite un traitement. Autant dire qu'un quidam comme moi n'a pas grande chose à ajouter.
Les symptômes
Identité: étymologiquement nous sommes dans le terrain de la filiation (fils de…) fils du docteur, fils du chômeur, fils de la nation, une image à émuler en quelque sorte, l'image du père, du chanteur, de l'idole.
Pour l'être humain citoyen, un grand nombre de facteurs ou valeurs sont ainsi la base de la cohésion sociale. L'absence d'une partie de ses valeurs, nuisent gravement l'identité et la qualité intrinsèque d'être humain.
Le résultat se traduit par la deshumanisation des êtres, en théorie rien de compliqué, en pratique une catastrophe, représenté par multitude de symptômes, constitutif d'un faisceau, facile à diagnostique. Pas nécessaire de citer la pyramide de Maslow, pour tant clé, mais pouvant brouiller ceux et celles n'ayant pas aces à si délicieuses lectures, histoire de rester facile de lire.
La métaphore, reste ma sortie la plus viable et lisible; un enfant avec tout son potentiel génétique, si par malheur est élevé par des animaux, des loups, des singes, il risque de ne pas parler jamais (au passage la faculté de parler reste qu'un acquis, d'ailleurs en fonction de la géographie, le pays, la langue est différente) mais il acquière une ensemble de valeurs, propres à la population d'adoption. De la même manière faire grandir des jeunes, dans des quartiers plutôt ghetto, du au manque de mécanismes d'intégration.
L'image en grandissant, forge un comportement où l'identité sociale, culturelle saurait supplanter par l'identité physique, encore en théorie rien d'alarmant, en pratique, physique veut dire territoriale, quartier, bâtiment, zone: là ou les animaux, démarquent leur territoire, les philosophes et intellectuels écrivent, les jeunes de banlieue, font du tag ou graffiti. Là ou le loup attaque pour protéger un territoire ou une meute ou encore sa progéniture, le philosophe et l'écrivain plaide ou paye pour plaider en sa faveur au prêt de la justice, le jeune de banlieue fait usage des moyens de bord, de la violence; la violence reste une technique de défense à la base, des "non humains" et des "déshumanises". La société étant la seule responsable de cette activité violente de "déshumanisation".
Il y des individus qui se considèrent des illumines, des intellectuels et autres savants, qui comprennent parfaitement, mais se gardent bien de le faire savoir; par crainte de la perte d'estime de leur clan. Comportement classique, hérédité et très pratiqué chez le loup.
Encore pire, d'autres suivent aveuglement des préceptes; alors qu'en vérité sont des moutons qui se prennent pour des loups. Je vous laisse deviner la suite, il s'agit par la plus part des personnes écervelés, aveugles par la rhétorique, le mensonge, la démagogie et le prosélytisme politique.
Je vais plus loin à la recherche de l'équilibre et l'harmonie sociale; car il y va de l'intérêt des nantis la recherche des solutions permettant avant tout de préserver leurs privilèges. Surtout d'eux car qui plus privilégié que le roi! Pour tant sa tête à roule par terre en 1789.
Par la suite dans un discours modéré, je veux bien trouver des points à discuter, pour le bon déroulement de l'histoire de notre société.
A bon entendeur salut…
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