REFLEXIONES
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REFLEXIONES
QUE ES EL DUELO
TEXTO EN FRANCES AL FINAL
LE TEXTE FRANÇAIS EN FINALE
Nota: Vienen temas subsiguientes a este.....en secuencia........gracias!!
QUEL EST LE DUEL
TEXTE EN FRANÇAIS
En effet, la douleur est l'expérience de la douleur, la honte, le chagrin ou le ressentiment qui se manifeste de différentes façons au cours de la perte de quelque chose ou quelqu'un ayant une valeur significative.
Il existe différents types de douleur. Nous vivons dans un deuil par anticipation avant la perte se produit, ce qui, dans la plupart des cas, contribue à préparer. Nous vivons une incidence normale au moment de la perte, d'une durée de temps différenciés en fonction de chaque personne et la valeur de la perte (match normal). D'autres personnes sont lents à réagir dans leur expérience et l'expression de la douleur et le chagrin nous parler de retard.
Il ya ceux qui ne peuvent être placés en elle sa propre histoire et peut tomber dans une douleur chronique ou pathologique.
Dans tous les cas, le deuil de la perte d'un être cher est un indicateur de l'amour envers le défunt. Il n'y a pas d'amour sans douleur. Quelqu'un a de perdre une autre, tôt ou tard. Il semble que, douloureux que cela fait partie de la condition humaine.
Même que cela puisse paraître étrange à dire, si la mort n'est pas à nous emporter à leurs proches, si nous vivions à jamais, la vie perdrait sa couleur, de la solidarité mourir à la vulnérabilité des autres, l'éternité ôterait le goût de l'expérience humaine, qui précise J'ai aussi parce que nous sommes finis, limités, mortel.
Mais c'est précisément parce que le corps qui nous aide le plus en période de deuil de la perte d'un être cher, mais il semble parfois que nous voulions, et stoïque désireux et d'essayer de nous consoler avec des arguments plutôt que des émotions. Jamais dans la douleur de perdre un être cher, parvenir à un raisonnement n aucune peine, si bien intentionnés tels, la valeur de la densité et un support de signe exprimant et d'affection, de bourses et de soutien dans le sentiment-tout est-dans lequel nous vivons.
M. Klein a déclaré que le processus de deuil des moyens de réinstaller en soi-même aux proches, leur donner une présence à l'intérieur de l'être perdu n'est pas un tracker interne qui génère faute, mais de bons souvenirs, avec la dose correspondante de la mélancolie Freud nous a aidé à comprendre qui est associé au deuil.
MORT appris à vivre. Par expérience personnelle,
En fait, la mort nous apprend à vivre. Greif enseigne comment vivre. Deuil ou nous humanise et nous rend malades. Ou nous faire soft, pour nous aider à relativiser, en nous accompagnant dans la découverte de nouvelles valeurs et forte et la reconnaissance des valeurs et de vécu et de persister dans la mémoire, ou nous jette dans l'abîme de l'obscurité, du non-sens, la solitude et marges.
Ceux qui souhaitent soutenir les personnes en deuil ont besoin d'être conscient de l'importance, la dureté et l'influence de la douleur au cours de la vie doivent être conscients de la nature, processus, la fonction et la diversité. Heureusement, cette sensibilité à la question, esprit jour après jour, et aussi d'augmenter les activités de formation qui ont tendance à former des professionnels et des professionnels de ne pas aider à comprendre les problèmes associés. On sait que le match accroît la morbidité physique et psychiatrique.
Mon expérience me dit aussi que derrière les gens dans une situation d'exclusion et de marginalisation sont souvent des expériences de deuil d'une vie saine. Dans l'histoire des transitoires, les toxicomanes sans-abri, de médicaments et de nombreux autres groupes particulièrement vulnérables, facilement fait pas de fuites.
Un bon compagnon dans le duel est donc une valence de prévention. Mais pas seulement. Peut-être une société peut juger de leur niveau de l'humanité aussi bien par la voie surmonter le deuil. Il sera perçu si elle se cache, il a privatisé, qui nie, ou si, au contraire, de socialiser, partager, et met en profite pour découvrir le sens de la vie.
Nous ne pouvons pas aimer sans pleurer. Le deuil est un indicateur de l'amour, comme la façon de vivre, c'est aussi de la solidarité et la reconnaissance de nos limites et la volonté de dialogue. Tout comme la douleur est mal préparée au cœur de situations de maladie et de l'exclusion et la marginalisation, il ya des duels aussi l'occasion de renouer des liens qui ont été brisés ou affaiblis, d'apprendre de nouvelles relations, se faire dorloter, et que vous souhaitez, à cultiver une mémoire saine et donner la valeur à la mémoire, de reconnaître le pouvoir humanisant de larmes y. .. le mouchoir.
La vocation de «mouchoir» au milieu de la douleur peut être une manifestation de la volonté de marcher ensemble dans l'obscurité, avec des ancrages pour l'autre fournissant un peu de confiance au milieu de la tempête, des symboles d'espoir, que c'est comme transportant le sang dans les veines, ce qui n'est pas vu, mais sans laquelle aucune vie.
Les balles de match dans le livre de vie, une note de la vérité. Il ne permet pas de situations de la vie d'autres, une dissimulation totale. Vérité revendications. Aussi, pourquoi se poser des difficultés relationnelles entre parents (et parfois c'est là résolu), il révèle la vérité, notre vérité plus belle (la valeur de l'amour) et notre vérité la plus tragique: la solitude radicale et les tendances égocentriques et égoïstes.
Qui, à l'occasion du deuil, ne pas apprendre la leçon devient plus apathique. Celui qui apprend de lui plus humain. [b]Jésus nous a donné les clés de pleurer, mais en regardant la dernière Cène, je tiens à y trouver moyen de vivre une saine anticipation deuil: bilan de leur vie et leur signification (résumé en une phrase: "Aimez-vous comme je vous ai aimés », comme un testament), symbolisant le sens de la vie" rompre le pain (lui-même) et de la distribution (se), et une invitation à se souvenir et, dans sa mémoire.
Les gens qui disent au revoir à votre bien-aimé à la fin de ses jours ou l'autre pourrait utiliser cette formule: pour récapituler brièvement la signification de ce qu'ils ont vécu, clés expriment leur gratitude qui a été partagé, donné et reçu, et la volonté de cultiver mémoire. Car il est clair que ce qui est oublié ne peut pas être guéri. Et les revendications duel raccommoder les "cassés" de coeur fait de la perte, et ceux arrachés affiché dans le passé, la guérison avec patience, le fil de la solitude et, dans le meilleur de la bonne compagnie une nouvelle vie.
TEXTO EN FRANCES AL FINAL
LE TEXTE FRANÇAIS EN FINALE
Nota: Vienen temas subsiguientes a este.....en secuencia........gracias!!
En efecto, el duelo es esa experiencia de dolor, lástima, aflicción o resentimiento que se mani-fiesta de diferentes maneras con ocasión de la pérdida de algo o alguien con valor significativo.
Hay diferentes tipos de duelo. Vivimos un duelo anticipatorio antes de que la pérdida se produzca, que, en la mayoría de los casos, contribuye a prepararse a la misma. Vivimos un impacto normal en el momento de la pérdida, que dura un tiempo diferenciado según cada persona y el valor de lo perdido (duelo normal). Otras personas tardan en reaccionar en su vivencia y manifestación del dolor y hablamos entonces de duelo retardado.
No falta quien no logra colocar dentro de sí la propia historia y puede caer en un duelo crónico o incluso patológico.
En todo caso, el duelo por la pérdida de un ser querido es un indicador del amor hacia la persona fallecida. No hay amor sin duelo. Alguien tiene que perder al otro, antes o después. Se diría que, por doloroso que resulte, forma parte de la condición humana.
Incluso, por extraño que pudiera parecer decirlo, si la muerte no nos arrancara a los seres queridos, si viviéramos indefinidamente, la vida perdería su color, moriría la solidaridad ante la vulnerabilidad ajena, la eternidad nos quitaría sabor a las experiencias humanas, que precisamente lo tienen también porque somos finitos, limitados, mortales.
Pero no es la razón precisamente la instancia que más nos ayuda en los momentos de dolor por la pérdida de un ser querido, aunque a veces pareciera que lo deseáramos y que pretendiéramos hacernos estoicos e intentar consolarnos con argumentos en lugar de con afectos. Nunca, en el dolor por la pérdida de un ser querido, alcanzará ningún razonamiento n ninguna frase, por bien intencionada que sea dicha, el valor y la densidad de un signo que exprese cercanía y afecto, comunión y acompañamiento en el sentimiento -cualquiera que sea- que se vive.
M. Klein dice que el proceso de elaboración del duelo significa reinstalar dentro de uno mismo a los seres queridos, darles una presencia interna en la que el ser perdido no sea un perseguidor interior que genere culpa, sino buen recuerdo, con la dosis correspondiente de melancolía, que Freud nos ayudó a comprender que va asociada al duelo.
LA MUERTE ENSEÑA A VIVIR. DESDE LA EXPERIENCIA PERSONAL
En efecto, la muerte enseña a vivir. El duelo enseña a vivir. El duelo o nos humaniza o nos enferma. O nos hace blandos, ayudándonos a relativizar, acompañándonos en el descubrimiento de nuevos y sólidos valores y en el reconocimiento de los valores ya vividos y que persisten en el recuerdo, o nos lanza al abismo de la oscuridad, del sinsentido, de la soledad y los márgenes.
Quienes desean acompañar a personas en duelo han de ser conscientes de la importancia, la dureza y el influjo del duelo sobre la vida entera, han de ser conscientes de su naturaleza, su proceso, su función y su diversidad. Afortunadamente, esta sensibilidad ante el tema, mentando día a día, como aumentan también las acciones formativas que tienden a capacitar a profesionales y no profesionales de la ayuda en el conocimiento de la problemática asociada. Se conoce que el duelo aumenta la morbilidad física y psiquiátrica.
Mi experiencia me dice también que detrás de personas en situación de exclusión y marginación se encuentran, con frecuencia, experiencias de duelo no vivido sanamente. En la historia de transeúntes, personas sin techo, drogodependientes y otros muchos colectivos particularmente vulnerables, fácilmente hay pérdidas no elaboradas.
Un buen acompañamiento en el duelo tiene, por tanto, una valencia preventiva. Pero no sólo. Quizás una sociedad pueda juzgar su grado de humanidad también por el modo como afronta el duelo. En él se percibirá si lo esconde, lo privatiza, lo niega, o si, por el contrario, lo socializa, lo comparte, lo expresa y se aprovecha de él a la búsqueda del sentido del vivir.
No podemos amar sin dolernos. El duelo es un indicador de amor, como el modo de vivirlo lo es también de la solidaridad y del reconocimiento de nuestra limitación y disposición al diálogo. De igual manera que hay duelos mal elaborados en la raíz de situaciones de enfermedad y de exclusión y marginación, hay también duelos que constituyen una oportunidad para reconstruir lazos que estaban rotos o debilitados, para aprender de nuevas relaciones, para dejarse cuidar, y querer, para cultivar el sano recuerdo y darle el valor que tiene a la memoria, para reconocer el poder humanizador de las lágrimas y... del pañuelo.
La vocación de «pañuelo” en medio del duelo puede ser una manifestación de la disposición a caminar juntos en la oscuridad, siendo unos para otros anclas que ofrezcan un poco de confianza en medio de la tempestad, símbolos de la esperanza, ésa que es como la sangre que llevamos en las venas, que no se ve, pero sin la cual no hay vida.
El duelo apunta en el cuaderno de la vida una nota de verdad. No permite, como otras situaciones de la vida, un total ocultamiento. Reclama verdad. También por eso surgen dificultades relacionales entre familiares (y en otras ocasiones es ahí donde se resuelven), porque revela verdad, nuestra verdad más hermosa (el valor del amor) y nuestra verdad más trágica: la soledad radical y las tendencias egocéntricas e interesadas.
Quien, con ocasión del duelo, no aprende la lección, se vuelve más apático. El que aprende de él, se humaniza. Jesús no nos dio claves para vivir el duelo, pero mirando a la última Cena, me gusta encontrar allí un sano modo de vivir el duelo anticipatorio: recapitulación de la propia vida y su significado (resumiéndolo en una frase: “Amaos como yo os he amado”, a modo de testamento), simbolización del sentido de su vida “rompiendo el pan (él mismo) y repartiéndolo (se)”, e invitación a recordarle así, en memoria suya.
A quienes se despiden de su ser querido en el final de sus días bien les vendría esta fórmula: recapitular en pocas palabras el significado de cuanto han vivido, expresar en clave de agradecimiento cuanto se ha compartido, entregado y recibido, y disposición a cultivar el recuerdo. Porque está claro que lo que es olvidado no puede ser sanado. Y el duelo reclama zurcir los “rotos” del corazón que se hacen con la pérdida, y aquellos otros descosidos que aparecen del pasado, sanando con paciencia, al hilo de la soledad y, en el mejor de los casos, de una buena compañía la nueva vida.
Hay diferentes tipos de duelo. Vivimos un duelo anticipatorio antes de que la pérdida se produzca, que, en la mayoría de los casos, contribuye a prepararse a la misma. Vivimos un impacto normal en el momento de la pérdida, que dura un tiempo diferenciado según cada persona y el valor de lo perdido (duelo normal). Otras personas tardan en reaccionar en su vivencia y manifestación del dolor y hablamos entonces de duelo retardado.
No falta quien no logra colocar dentro de sí la propia historia y puede caer en un duelo crónico o incluso patológico.
En todo caso, el duelo por la pérdida de un ser querido es un indicador del amor hacia la persona fallecida. No hay amor sin duelo. Alguien tiene que perder al otro, antes o después. Se diría que, por doloroso que resulte, forma parte de la condición humana.
Incluso, por extraño que pudiera parecer decirlo, si la muerte no nos arrancara a los seres queridos, si viviéramos indefinidamente, la vida perdería su color, moriría la solidaridad ante la vulnerabilidad ajena, la eternidad nos quitaría sabor a las experiencias humanas, que precisamente lo tienen también porque somos finitos, limitados, mortales.
Pero no es la razón precisamente la instancia que más nos ayuda en los momentos de dolor por la pérdida de un ser querido, aunque a veces pareciera que lo deseáramos y que pretendiéramos hacernos estoicos e intentar consolarnos con argumentos en lugar de con afectos. Nunca, en el dolor por la pérdida de un ser querido, alcanzará ningún razonamiento n ninguna frase, por bien intencionada que sea dicha, el valor y la densidad de un signo que exprese cercanía y afecto, comunión y acompañamiento en el sentimiento -cualquiera que sea- que se vive.
M. Klein dice que el proceso de elaboración del duelo significa reinstalar dentro de uno mismo a los seres queridos, darles una presencia interna en la que el ser perdido no sea un perseguidor interior que genere culpa, sino buen recuerdo, con la dosis correspondiente de melancolía, que Freud nos ayudó a comprender que va asociada al duelo.
LA MUERTE ENSEÑA A VIVIR. DESDE LA EXPERIENCIA PERSONAL
En efecto, la muerte enseña a vivir. El duelo enseña a vivir. El duelo o nos humaniza o nos enferma. O nos hace blandos, ayudándonos a relativizar, acompañándonos en el descubrimiento de nuevos y sólidos valores y en el reconocimiento de los valores ya vividos y que persisten en el recuerdo, o nos lanza al abismo de la oscuridad, del sinsentido, de la soledad y los márgenes.
Quienes desean acompañar a personas en duelo han de ser conscientes de la importancia, la dureza y el influjo del duelo sobre la vida entera, han de ser conscientes de su naturaleza, su proceso, su función y su diversidad. Afortunadamente, esta sensibilidad ante el tema, mentando día a día, como aumentan también las acciones formativas que tienden a capacitar a profesionales y no profesionales de la ayuda en el conocimiento de la problemática asociada. Se conoce que el duelo aumenta la morbilidad física y psiquiátrica.
Mi experiencia me dice también que detrás de personas en situación de exclusión y marginación se encuentran, con frecuencia, experiencias de duelo no vivido sanamente. En la historia de transeúntes, personas sin techo, drogodependientes y otros muchos colectivos particularmente vulnerables, fácilmente hay pérdidas no elaboradas.
Un buen acompañamiento en el duelo tiene, por tanto, una valencia preventiva. Pero no sólo. Quizás una sociedad pueda juzgar su grado de humanidad también por el modo como afronta el duelo. En él se percibirá si lo esconde, lo privatiza, lo niega, o si, por el contrario, lo socializa, lo comparte, lo expresa y se aprovecha de él a la búsqueda del sentido del vivir.
No podemos amar sin dolernos. El duelo es un indicador de amor, como el modo de vivirlo lo es también de la solidaridad y del reconocimiento de nuestra limitación y disposición al diálogo. De igual manera que hay duelos mal elaborados en la raíz de situaciones de enfermedad y de exclusión y marginación, hay también duelos que constituyen una oportunidad para reconstruir lazos que estaban rotos o debilitados, para aprender de nuevas relaciones, para dejarse cuidar, y querer, para cultivar el sano recuerdo y darle el valor que tiene a la memoria, para reconocer el poder humanizador de las lágrimas y... del pañuelo.
La vocación de «pañuelo” en medio del duelo puede ser una manifestación de la disposición a caminar juntos en la oscuridad, siendo unos para otros anclas que ofrezcan un poco de confianza en medio de la tempestad, símbolos de la esperanza, ésa que es como la sangre que llevamos en las venas, que no se ve, pero sin la cual no hay vida.
El duelo apunta en el cuaderno de la vida una nota de verdad. No permite, como otras situaciones de la vida, un total ocultamiento. Reclama verdad. También por eso surgen dificultades relacionales entre familiares (y en otras ocasiones es ahí donde se resuelven), porque revela verdad, nuestra verdad más hermosa (el valor del amor) y nuestra verdad más trágica: la soledad radical y las tendencias egocéntricas e interesadas.
Quien, con ocasión del duelo, no aprende la lección, se vuelve más apático. El que aprende de él, se humaniza. Jesús no nos dio claves para vivir el duelo, pero mirando a la última Cena, me gusta encontrar allí un sano modo de vivir el duelo anticipatorio: recapitulación de la propia vida y su significado (resumiéndolo en una frase: “Amaos como yo os he amado”, a modo de testamento), simbolización del sentido de su vida “rompiendo el pan (él mismo) y repartiéndolo (se)”, e invitación a recordarle así, en memoria suya.
A quienes se despiden de su ser querido en el final de sus días bien les vendría esta fórmula: recapitular en pocas palabras el significado de cuanto han vivido, expresar en clave de agradecimiento cuanto se ha compartido, entregado y recibido, y disposición a cultivar el recuerdo. Porque está claro que lo que es olvidado no puede ser sanado. Y el duelo reclama zurcir los “rotos” del corazón que se hacen con la pérdida, y aquellos otros descosidos que aparecen del pasado, sanando con paciencia, al hilo de la soledad y, en el mejor de los casos, de una buena compañía la nueva vida.
QUEL EST LE DUEL
TEXTE EN FRANÇAIS
En effet, la douleur est l'expérience de la douleur, la honte, le chagrin ou le ressentiment qui se manifeste de différentes façons au cours de la perte de quelque chose ou quelqu'un ayant une valeur significative.
Il existe différents types de douleur. Nous vivons dans un deuil par anticipation avant la perte se produit, ce qui, dans la plupart des cas, contribue à préparer. Nous vivons une incidence normale au moment de la perte, d'une durée de temps différenciés en fonction de chaque personne et la valeur de la perte (match normal). D'autres personnes sont lents à réagir dans leur expérience et l'expression de la douleur et le chagrin nous parler de retard.
Il ya ceux qui ne peuvent être placés en elle sa propre histoire et peut tomber dans une douleur chronique ou pathologique.
Dans tous les cas, le deuil de la perte d'un être cher est un indicateur de l'amour envers le défunt. Il n'y a pas d'amour sans douleur. Quelqu'un a de perdre une autre, tôt ou tard. Il semble que, douloureux que cela fait partie de la condition humaine.
Même que cela puisse paraître étrange à dire, si la mort n'est pas à nous emporter à leurs proches, si nous vivions à jamais, la vie perdrait sa couleur, de la solidarité mourir à la vulnérabilité des autres, l'éternité ôterait le goût de l'expérience humaine, qui précise J'ai aussi parce que nous sommes finis, limités, mortel.
Mais c'est précisément parce que le corps qui nous aide le plus en période de deuil de la perte d'un être cher, mais il semble parfois que nous voulions, et stoïque désireux et d'essayer de nous consoler avec des arguments plutôt que des émotions. Jamais dans la douleur de perdre un être cher, parvenir à un raisonnement n aucune peine, si bien intentionnés tels, la valeur de la densité et un support de signe exprimant et d'affection, de bourses et de soutien dans le sentiment-tout est-dans lequel nous vivons.
M. Klein a déclaré que le processus de deuil des moyens de réinstaller en soi-même aux proches, leur donner une présence à l'intérieur de l'être perdu n'est pas un tracker interne qui génère faute, mais de bons souvenirs, avec la dose correspondante de la mélancolie Freud nous a aidé à comprendre qui est associé au deuil.
MORT appris à vivre. Par expérience personnelle,
En fait, la mort nous apprend à vivre. Greif enseigne comment vivre. Deuil ou nous humanise et nous rend malades. Ou nous faire soft, pour nous aider à relativiser, en nous accompagnant dans la découverte de nouvelles valeurs et forte et la reconnaissance des valeurs et de vécu et de persister dans la mémoire, ou nous jette dans l'abîme de l'obscurité, du non-sens, la solitude et marges.
Ceux qui souhaitent soutenir les personnes en deuil ont besoin d'être conscient de l'importance, la dureté et l'influence de la douleur au cours de la vie doivent être conscients de la nature, processus, la fonction et la diversité. Heureusement, cette sensibilité à la question, esprit jour après jour, et aussi d'augmenter les activités de formation qui ont tendance à former des professionnels et des professionnels de ne pas aider à comprendre les problèmes associés. On sait que le match accroît la morbidité physique et psychiatrique.
Mon expérience me dit aussi que derrière les gens dans une situation d'exclusion et de marginalisation sont souvent des expériences de deuil d'une vie saine. Dans l'histoire des transitoires, les toxicomanes sans-abri, de médicaments et de nombreux autres groupes particulièrement vulnérables, facilement fait pas de fuites.
Un bon compagnon dans le duel est donc une valence de prévention. Mais pas seulement. Peut-être une société peut juger de leur niveau de l'humanité aussi bien par la voie surmonter le deuil. Il sera perçu si elle se cache, il a privatisé, qui nie, ou si, au contraire, de socialiser, partager, et met en profite pour découvrir le sens de la vie.
Nous ne pouvons pas aimer sans pleurer. Le deuil est un indicateur de l'amour, comme la façon de vivre, c'est aussi de la solidarité et la reconnaissance de nos limites et la volonté de dialogue. Tout comme la douleur est mal préparée au cœur de situations de maladie et de l'exclusion et la marginalisation, il ya des duels aussi l'occasion de renouer des liens qui ont été brisés ou affaiblis, d'apprendre de nouvelles relations, se faire dorloter, et que vous souhaitez, à cultiver une mémoire saine et donner la valeur à la mémoire, de reconnaître le pouvoir humanisant de larmes y. .. le mouchoir.
La vocation de «mouchoir» au milieu de la douleur peut être une manifestation de la volonté de marcher ensemble dans l'obscurité, avec des ancrages pour l'autre fournissant un peu de confiance au milieu de la tempête, des symboles d'espoir, que c'est comme transportant le sang dans les veines, ce qui n'est pas vu, mais sans laquelle aucune vie.
Les balles de match dans le livre de vie, une note de la vérité. Il ne permet pas de situations de la vie d'autres, une dissimulation totale. Vérité revendications. Aussi, pourquoi se poser des difficultés relationnelles entre parents (et parfois c'est là résolu), il révèle la vérité, notre vérité plus belle (la valeur de l'amour) et notre vérité la plus tragique: la solitude radicale et les tendances égocentriques et égoïstes.
Qui, à l'occasion du deuil, ne pas apprendre la leçon devient plus apathique. Celui qui apprend de lui plus humain. [b]Jésus nous a donné les clés de pleurer, mais en regardant la dernière Cène, je tiens à y trouver moyen de vivre une saine anticipation deuil: bilan de leur vie et leur signification (résumé en une phrase: "Aimez-vous comme je vous ai aimés », comme un testament), symbolisant le sens de la vie" rompre le pain (lui-même) et de la distribution (se), et une invitation à se souvenir et, dans sa mémoire.
Les gens qui disent au revoir à votre bien-aimé à la fin de ses jours ou l'autre pourrait utiliser cette formule: pour récapituler brièvement la signification de ce qu'ils ont vécu, clés expriment leur gratitude qui a été partagé, donné et reçu, et la volonté de cultiver mémoire. Car il est clair que ce qui est oublié ne peut pas être guéri. Et les revendications duel raccommoder les "cassés" de coeur fait de la perte, et ceux arrachés affiché dans le passé, la guérison avec patience, le fil de la solitude et, dans le meilleur de la bonne compagnie une nouvelle vie.
Última edición por Cordoba el Sáb 9 Jul - 15:16, editado 2 veces
POBREZA vs RIQUEZA
TEXTO EN ESPAÑOL Y FRANCES
TEXTE EN ESPAGNOL ET FRANÇAIS
TEXTE FRANÇAIS
TEXTE EN ESPAGNOL ET FRANÇAIS
Definitivamente una pelea que no termina y tal vez no terminará nunca, hoy me levanté con la motivación de saber cual es la verdadera diferencia entre ellas, y es que últimamente he tenido un encuentro muy cercano con ambas, por que tal vez no las veo de la misma manera que otros las ven, para mí la riqueza es sentirse pleno con lo que se hace, tener paz y amigos con los que contar, la pobreza es una sensación de vacío y tristezas que muchas veces me persigue pero que logro en la mayoria de las ocasiones superar…..pero ese encuentro con la pobreza y la riqueza está representado la mayoría del tiempo por las caras de muchas personas que me muestran como la viven ellos, y me hace cuestionar si lo que yo creo de ambas es cierto.
Definitivamente no se cual es el empeño de mucha gente de preguntar: ¿Cuánto tienes? o ¿Qué tienes? ¿Cuánto ganas? ¿En qué trabajas? ¿Tienes carro? ¿Tienes casa? ¿Dónde vives? tal vez lo hacen por curiosidad, por preocupación o un “no sé que” que tenemos los seres humanos (o algunos) de medir a la gente por lo que posee económicamente, ¿Qué tan importante es saber eso de alguien? es que acaso vamos a contribuir a que aumente su nivel económico, darle consejos a lo Donald Trump o es solo el patético sentimiento de sentirnos superiores a los demás.
Si nos vamos al ámbito netamente económico, por supuesto que la pobreza es la ausencia de bienes materiales, y la riqueza pues todo lo contrario…. pero .yo he vivido las dos caras de la moneda y no es que me desagrade la riqueza, al contrario me encanta tener dinero, comprar cosas, comer en buenos sitios, viajar, ….y todas las ventajas y seguridad que proporciona tener dinero en este mundo, donde todo tiene un precio y poco tiene valor, pero me digo: cómo sería tener todo eso si no tengo con quien compartirlo, ir al cine sola? ir de compras sola? viajar sola? jeje no!, definitivamente no puedo imaginarme así, pero al mismo tiempo sé el dolor que causa ser pobre, el tener necesidades, pagar deudas, tener los bolsillos vacíos sin posibilidades de hacer nada….nos sentimos inútiles presos de alguna maldición que hizo cayeramos en la más terrible de las desgracias con las manos atadas por que sin dinero no se hace nada ni se va a ninguna parte…
Pero han sido esos momentos de mi mayor pobreza material en donde he aprendido a apreciar lo que tengo hoy, que tal vez no es mucho pero representa mi mayor tesoro hasta ahora, Jean Paul Richter dice que “para que el sueño, la riqueza y salud se disfruten de verdad, es necesario interrumpirlos”. No soy rica y muchas veces me preguntó si lo seré, tal vez no esta en mí practicar muy seguido los preceptos de “el secreto” pero así como me he preguntado si lo seré también me pregunto: y si no lo soy nunca? Forrest Gump dijo que la vida es una caja de chocolate no sabes cuál te va a tocar…y si nunca me toca el que dice “millonaria”?…¿habrá algún problema con eso? viviré añorando toda la vida por lo que no tengo o por lo que tuve? materialmente hablando….Creo que uno de mayores problemas que tiene el ser humano es que tiene un terrible miedo a la pobreza, culpa a todo el mundo a los padres, a los amigos, a los empresarios, al gobierno, a los imperios, a Dios, al destino…en fin, cuando realmente somos nosotros mismos los responsables de administrar nuestra la pobreza o nuestra riqueza. No es más fácil admitir que realmente somos pobres, sin que eso signifique una carga de verguenzas o penas en la vida? ….Te hace eso infeliz?. El que tiene miedo de la pobreza no es digno de ser rico, así lo afirmó Voltaire, tal vez tenia razón.
Añoramos en momentos de pobreza tener dinero pero al tenerlo siempre faltaba algo, la felicidad aparente que se mostraba en momentos de riqueza se iba al momento de desaparecer el dinero y aprendí que hay cosas que nunca iba a poder comprar…..aprendí que si no era feliz en la pobreza tampoco lo iba a ser en la riqueza, que tenia que aprender a sonreir y apreciar las cosas simples y sencillas que coloca la vida ante mí todos los días, tuviera los bolsillos llenos o vacíos.
No es mi intención dar una lección de como vivir la vida, ni estoy negando la existencia de situaciones relacionadas con la pobreza, la miseria extrema, la desnutrición, desempleo, la falta de salud, la falta de educación, la desigualdad y hasta la muerte….todas ellas relacionadas con no tener lo necesario para vivir…..y es que cuando no se tiene por lo menos lo mínimo para suplir nuestras necesidades básicas, la vida se ve y se torna oscura, la esperanza de un mañana mejor parecen no existir, por algo dicen que cuando la pobreza entra por la puerta el amor sale por la ventana….jajajaa
Solo por que he sido feliz en la pobreza no quiere decir que otros lo sean, y tal vez nunca cambiaré la manera de pensar de los demás ni su escala de prioridades ni de valores, pero lo que si estoy segura es que sí puedo cambiar mi manera de pensar teniendo una actitud positiva y de fé antes la situaciones adversas que seguramente me va a presentar la vida….puedo quedarme sin dinero y todavía conservar un tesoro dentro de mí….todo lo que quiero lo resume mi amiga cuando dice: algunas personas lo quieren todo, pero no quiero nada de nada......
Y es que definitivamente yo no quiero nada, por que lo tengo TODO! SIENDO COMO SOY........
Definitivamente no se cual es el empeño de mucha gente de preguntar: ¿Cuánto tienes? o ¿Qué tienes? ¿Cuánto ganas? ¿En qué trabajas? ¿Tienes carro? ¿Tienes casa? ¿Dónde vives? tal vez lo hacen por curiosidad, por preocupación o un “no sé que” que tenemos los seres humanos (o algunos) de medir a la gente por lo que posee económicamente, ¿Qué tan importante es saber eso de alguien? es que acaso vamos a contribuir a que aumente su nivel económico, darle consejos a lo Donald Trump o es solo el patético sentimiento de sentirnos superiores a los demás.
Si nos vamos al ámbito netamente económico, por supuesto que la pobreza es la ausencia de bienes materiales, y la riqueza pues todo lo contrario…. pero .yo he vivido las dos caras de la moneda y no es que me desagrade la riqueza, al contrario me encanta tener dinero, comprar cosas, comer en buenos sitios, viajar, ….y todas las ventajas y seguridad que proporciona tener dinero en este mundo, donde todo tiene un precio y poco tiene valor, pero me digo: cómo sería tener todo eso si no tengo con quien compartirlo, ir al cine sola? ir de compras sola? viajar sola? jeje no!, definitivamente no puedo imaginarme así, pero al mismo tiempo sé el dolor que causa ser pobre, el tener necesidades, pagar deudas, tener los bolsillos vacíos sin posibilidades de hacer nada….nos sentimos inútiles presos de alguna maldición que hizo cayeramos en la más terrible de las desgracias con las manos atadas por que sin dinero no se hace nada ni se va a ninguna parte…
Pero han sido esos momentos de mi mayor pobreza material en donde he aprendido a apreciar lo que tengo hoy, que tal vez no es mucho pero representa mi mayor tesoro hasta ahora, Jean Paul Richter dice que “para que el sueño, la riqueza y salud se disfruten de verdad, es necesario interrumpirlos”. No soy rica y muchas veces me preguntó si lo seré, tal vez no esta en mí practicar muy seguido los preceptos de “el secreto” pero así como me he preguntado si lo seré también me pregunto: y si no lo soy nunca? Forrest Gump dijo que la vida es una caja de chocolate no sabes cuál te va a tocar…y si nunca me toca el que dice “millonaria”?…¿habrá algún problema con eso? viviré añorando toda la vida por lo que no tengo o por lo que tuve? materialmente hablando….Creo que uno de mayores problemas que tiene el ser humano es que tiene un terrible miedo a la pobreza, culpa a todo el mundo a los padres, a los amigos, a los empresarios, al gobierno, a los imperios, a Dios, al destino…en fin, cuando realmente somos nosotros mismos los responsables de administrar nuestra la pobreza o nuestra riqueza. No es más fácil admitir que realmente somos pobres, sin que eso signifique una carga de verguenzas o penas en la vida? ….Te hace eso infeliz?. El que tiene miedo de la pobreza no es digno de ser rico, así lo afirmó Voltaire, tal vez tenia razón.
Añoramos en momentos de pobreza tener dinero pero al tenerlo siempre faltaba algo, la felicidad aparente que se mostraba en momentos de riqueza se iba al momento de desaparecer el dinero y aprendí que hay cosas que nunca iba a poder comprar…..aprendí que si no era feliz en la pobreza tampoco lo iba a ser en la riqueza, que tenia que aprender a sonreir y apreciar las cosas simples y sencillas que coloca la vida ante mí todos los días, tuviera los bolsillos llenos o vacíos.
No es mi intención dar una lección de como vivir la vida, ni estoy negando la existencia de situaciones relacionadas con la pobreza, la miseria extrema, la desnutrición, desempleo, la falta de salud, la falta de educación, la desigualdad y hasta la muerte….todas ellas relacionadas con no tener lo necesario para vivir…..y es que cuando no se tiene por lo menos lo mínimo para suplir nuestras necesidades básicas, la vida se ve y se torna oscura, la esperanza de un mañana mejor parecen no existir, por algo dicen que cuando la pobreza entra por la puerta el amor sale por la ventana….jajajaa
Solo por que he sido feliz en la pobreza no quiere decir que otros lo sean, y tal vez nunca cambiaré la manera de pensar de los demás ni su escala de prioridades ni de valores, pero lo que si estoy segura es que sí puedo cambiar mi manera de pensar teniendo una actitud positiva y de fé antes la situaciones adversas que seguramente me va a presentar la vida….puedo quedarme sin dinero y todavía conservar un tesoro dentro de mí….todo lo que quiero lo resume mi amiga cuando dice: algunas personas lo quieren todo, pero no quiero nada de nada......
Y es que definitivamente yo no quiero nada, por que lo tengo TODO! SIENDO COMO SOY........
TEXTE FRANÇAIS
Certainement un combat ne se termine pas, et peut-être ne finira jamais, aujourd'hui je me suis réveillé avec la motivation de savoir ce que la vraie différence entre eux est que dernièrement j'ai eu une rencontre rapprochée avec les deux, qui ne peuvent pas les voir dans plus de la même manière que les autres voient, pour me sentir pleinement la richesse est ce que vous faites, la paix et avoir des amis que la pauvreté est un sentiment de vide et de tristesse qui hante souvent moi, mais la réalisation en du temps ... .. mais au-delà de cette rencontre avec la pauvreté et la richesse est la plupart du temps représenté par le visage de beaucoup de gens, je montre comment ils vivent, et m'amène à me demander si ce que je pense des deux est vrai.
Certainement pas ce que les efforts de nombreuses personnes de se demander: Comment êtes-vous? o Qu'est-ce que vous avez? Combien gagnez-vous? Quoi travaillez-vous? Avez-vous une voiture? Êtes-vous la maison? Où habitez-vous? peut-être le faire pour la curiosité, inquiétude, ou "ne sait pas que« nous, les humains (ou certains) pour mesurer les gens par ce qui s'est économique, quelle est l'importance de savoir que quelqu'un? Est-ce que nous allons contribuer à augmenter leur niveau économique, de donner des conseils à Donald Trump ou c'est juste le sentiment pathétique d'être supérieur aux autres.
Si nous quittons la sphère purement économique, bien sûr, la pauvreté est le manque de biens matériels et de richesses pour le contraire .... mais. J'ai vécu les deux côtés de la pièce et non pas que je n'aime pas la richesse, sinon j'aime avoir de l'argent, acheter des choses, manger à belles places, Voyage, .... et tous les avantages et la sécurité offerte par avoir de l'argent ce monde où tout a un prix et a peu de valeur, mais je dis ce que tout cela aurait que si j'ai un colocataire, aller au cinéma tout seul? shopping seul? Voyage seul? lol non, définitivement je ne peux pas imaginer cela, mais en même temps je sais que la douleur d'être pauvre, ayant des besoins, payer les dettes, a les poches vides, sans la possibilité de faire quelque chose .... nous sommes prisonniers inutile une malédiction ne nous tombons dans le malheur le plus terrible, les mains liées, parce que sans l'argent ne font rien ou aller n'importe où ...
Mais il ya eu des moments les plus pauvres de mon matériel, où j'ai appris à apprécier ce que j'ai aujourd'hui, peut-être pas beaucoup, mais c'est mon plus grand trésor à ce jour, Jean-Paul Richter dit que «le rêve, la richesse et de la santé sont vraiment en profiter, il est nécessaire d'interrompre. " Je ne suis pas riche et je me demandais souvent si je veux, peut-être pas dans ma pratique très souvent les préceptes de "The Secret", mais comme je me suis demandé si je vais aussi me demander: si je ne suis pas toujours? Forrest Gump a dit que la vie est une boîte de chocolat ne sais pas ce que vous allez vous faire ... et si je ne touche jamais dit que "millionnaire"? ... Y at-il un problème avec ça? désir de vivre la vie de sorte que j'ai ou ce qu'ils avaient? matériellement parlant .... Je pense que l'un des plus grands problèmes est l'être humain qui a une peur terrible de la pauvreté, tout le monde à la culpabilité des parents, amis, employeurs, gouvernement, les empires, Dieu, la destination ... et bien, alors qu'en réalité nous sommes les seuls responsables de la gestion de notre pauvreté et notre richesse. Il est plus facile d'admettre que nous sommes vraiment pauvres, mais cela signifie un fardeau de la honte ou de la peine dans la vie? .... Il vous rend si malheureux?. Celui qui a peur de la pauvreté n'est pas digne d'être riche, si Voltaire a dit, peut-être qu'il avait raison.
Nous aspirons à des moments de la pauvreté ont de l'argent mais c'est toujours raté quelque chose, qui a montré le bonheur apparent à l'époque de la richesse disparaît lorsque l'argent et j'ai appris qu'il ya des choses que vous ne pourrait jamais acheter ... .. J'ai appris que si la pauvreté n'a pas été heureux dans ce que serait la richesse, j'ai dû apprendre à sourire et à apprécier les choses simples, la vie simple met devant moi tous les jours, ont les poches profondes ou vides.
Mon intention est de donner une leçon sur la façon de vivre la vie, je ne suis pas nier l'existence de situations liées à la pauvreté, l'extrême pauvreté, malnutrition, chômage, mauvaise santé, manque d'éducation, l'inégalité et la mort .... ayant tous trait à ne pas avoir assez pour vivre ... .. et c'est que lorsque vous avez au moins le minimum pour répondre à nos besoins fondamentaux, la vie est et devient sombre, l'espoir d'un avenir meilleur semble existent, certains disent que lorsque la pauvreté entre par la porte de l'amour s'envole par la fenêtre .... jajajaa
Tout simplement parce que j'ai été heureux dans la pauvreté ne signifie pas que d'autres sont, et peut-être jamais changer la pensée des autres ou de leur échelle de priorités ou de valeurs, mais si je suis sûr c'est que je peux changer mon pensant avoir une attitude positive et de la foi devant les situations indésirables que je ne vais probablement présente la vie .... je peux rester en dehors de l'argent et avoir encore un trésor est caché dedans moi .... Tout ce que je veux que mon ami le résume quand il dit, certains les gens le veulent, mais ne veux rien du tout ......
Et bien je ne veux rien, je l'ai TOUS! ÊTRE COMME JE SUIS
Certainement pas ce que les efforts de nombreuses personnes de se demander: Comment êtes-vous? o Qu'est-ce que vous avez? Combien gagnez-vous? Quoi travaillez-vous? Avez-vous une voiture? Êtes-vous la maison? Où habitez-vous? peut-être le faire pour la curiosité, inquiétude, ou "ne sait pas que« nous, les humains (ou certains) pour mesurer les gens par ce qui s'est économique, quelle est l'importance de savoir que quelqu'un? Est-ce que nous allons contribuer à augmenter leur niveau économique, de donner des conseils à Donald Trump ou c'est juste le sentiment pathétique d'être supérieur aux autres.
Si nous quittons la sphère purement économique, bien sûr, la pauvreté est le manque de biens matériels et de richesses pour le contraire .... mais. J'ai vécu les deux côtés de la pièce et non pas que je n'aime pas la richesse, sinon j'aime avoir de l'argent, acheter des choses, manger à belles places, Voyage, .... et tous les avantages et la sécurité offerte par avoir de l'argent ce monde où tout a un prix et a peu de valeur, mais je dis ce que tout cela aurait que si j'ai un colocataire, aller au cinéma tout seul? shopping seul? Voyage seul? lol non, définitivement je ne peux pas imaginer cela, mais en même temps je sais que la douleur d'être pauvre, ayant des besoins, payer les dettes, a les poches vides, sans la possibilité de faire quelque chose .... nous sommes prisonniers inutile une malédiction ne nous tombons dans le malheur le plus terrible, les mains liées, parce que sans l'argent ne font rien ou aller n'importe où ...
Mais il ya eu des moments les plus pauvres de mon matériel, où j'ai appris à apprécier ce que j'ai aujourd'hui, peut-être pas beaucoup, mais c'est mon plus grand trésor à ce jour, Jean-Paul Richter dit que «le rêve, la richesse et de la santé sont vraiment en profiter, il est nécessaire d'interrompre. " Je ne suis pas riche et je me demandais souvent si je veux, peut-être pas dans ma pratique très souvent les préceptes de "The Secret", mais comme je me suis demandé si je vais aussi me demander: si je ne suis pas toujours? Forrest Gump a dit que la vie est une boîte de chocolat ne sais pas ce que vous allez vous faire ... et si je ne touche jamais dit que "millionnaire"? ... Y at-il un problème avec ça? désir de vivre la vie de sorte que j'ai ou ce qu'ils avaient? matériellement parlant .... Je pense que l'un des plus grands problèmes est l'être humain qui a une peur terrible de la pauvreté, tout le monde à la culpabilité des parents, amis, employeurs, gouvernement, les empires, Dieu, la destination ... et bien, alors qu'en réalité nous sommes les seuls responsables de la gestion de notre pauvreté et notre richesse. Il est plus facile d'admettre que nous sommes vraiment pauvres, mais cela signifie un fardeau de la honte ou de la peine dans la vie? .... Il vous rend si malheureux?. Celui qui a peur de la pauvreté n'est pas digne d'être riche, si Voltaire a dit, peut-être qu'il avait raison.
Nous aspirons à des moments de la pauvreté ont de l'argent mais c'est toujours raté quelque chose, qui a montré le bonheur apparent à l'époque de la richesse disparaît lorsque l'argent et j'ai appris qu'il ya des choses que vous ne pourrait jamais acheter ... .. J'ai appris que si la pauvreté n'a pas été heureux dans ce que serait la richesse, j'ai dû apprendre à sourire et à apprécier les choses simples, la vie simple met devant moi tous les jours, ont les poches profondes ou vides.
Mon intention est de donner une leçon sur la façon de vivre la vie, je ne suis pas nier l'existence de situations liées à la pauvreté, l'extrême pauvreté, malnutrition, chômage, mauvaise santé, manque d'éducation, l'inégalité et la mort .... ayant tous trait à ne pas avoir assez pour vivre ... .. et c'est que lorsque vous avez au moins le minimum pour répondre à nos besoins fondamentaux, la vie est et devient sombre, l'espoir d'un avenir meilleur semble existent, certains disent que lorsque la pauvreté entre par la porte de l'amour s'envole par la fenêtre .... jajajaa
Tout simplement parce que j'ai été heureux dans la pauvreté ne signifie pas que d'autres sont, et peut-être jamais changer la pensée des autres ou de leur échelle de priorités ou de valeurs, mais si je suis sûr c'est que je peux changer mon pensant avoir une attitude positive et de la foi devant les situations indésirables que je ne vais probablement présente la vie .... je peux rester en dehors de l'argent et avoir encore un trésor est caché dedans moi .... Tout ce que je veux que mon ami le résume quand il dit, certains les gens le veulent, mais ne veux rien du tout ......
Et bien je ne veux rien, je l'ai TOUS! ÊTRE COMME JE SUIS
DESEO -Victor Hugo-
Espagnol et en français
Te deseo primero que ames, y que amando, también seas amado. Y que, de no ser así, seas breve en olvidar y que después de olvidar, no guardes rencores. Deseo, pues, que no sea así, pero que si es, sepas ser sin desesperar.
Te deseo también que tengas amigos, y que, incluso malos e inconsecuentes, sean valientes y fieles, y que por lo menos haya uno en quien puedas confiar sin dudar.
Y porque la vida es así, te deseo también que tengas enemigos. Ni muchos ni pocos, en la medida exacta, para que, algunas veces, te cuestiones tus propias certezas. Y que entre ellos, haya por lo menos uno que sea justo, para que no te sientas demasiado seguro.
Te deseo además, que seas útil, más no insustituible. Y que en los momentos malos, cuando no quede mas nada, esa utilidad sea suficiente para mantenerte en pie.Igualmente, te deseo que seas tolerante; no con los que se equivocan poco, porque eso es fácil, sino con los que se equivocan mucho e irremediablemente, y que haciendo buen uso de esa tolerancia, sirvas de ejemplo a otros.
Te deseo que siendo joven no madures demasiado de prisa, y que ya maduro, no insistas en rejuvenecer, y que siendo viejo no te dediques al desespero. Porque cada edad tiene su placer y su dolor y es necesario dejar que fluyan entre nosotros.
Te deseo de paso que seas triste. No todo el año, sino apenas un día. Pero que en ese día descubras que la risa diaria es buena, que la risa habitual es sosa y la risa constante es malsana.
Te deseo que descubras, con urgencia máxima, por encima y a pesar de todo, que existen, y que te rodean, seres oprimidos, tratados con injusticia y personas infelices.
Te deseo que acaricies un gato, alimentes a un pájaro y oigas a un jilguero erguir triunfante su canto matinal, porque de esta manera, te sentirás bien por nada.
Deseo también que plantes una semilla, por más minúscula que sea, y la acompañes en su crecimiento, para que descubras de cuántas vidas está hecho un árbol.
Te deseo, además, que tengas dinero, porque es necesario ser práctico. Y que por lo menos una vez por año pongas algo de ese dinero frente a ti y digas: “Esto es mío”, sólo para que quede claro quién es el dueño de quién.
Te deseo también que ninguno de tus afectos muera, pero que si muere alguno, puedas llorar sin lamentarte y sufrir sin sentirte culpable.
Te deseo por fin que, siendo hombre, tengas una buena mujer, y que siendo mujer, tengas un buen hombre, mañana y al día siguiente, y que cuando estén exhaustos y sonrientes, hablen sobre el amor para recomenzar.
Si todas estas cosas llegaran a pasar, no tengo más nada que desearte, sino que seas feliz.
en français
Je souhaite premier amour, et aimer, être aimé trop. Et, si non, vous êtes dès à oublier et d'oublier, ne pas garder rancune. J'espère donc qu'ils ne sont pas, mais si cela arrive, vous serez sans désespoir.
Je tiens également à avoir des amis, et que même les pauvres et incompatibles, être courageux et fidèle, et qu'au moins il est celui que vous pouvez faire confiance sans hésitation.
Et parce que la vie est ainsi, je vous souhaite également avoir des ennemis. Pas beaucoup ou peu, des mesures précises, de sorte que parfois vous votre question ses propres certitudes. Et parmi eux, ont au moins un qui est juste, alors ne soyez pas trop sûr.
Je voudrais également que vous sont utiles, mais pas irremplaçable. Et dans les mauvais moments, quand il ne reste plus rien, c'est assez utile pour garder pie.Igualmente, je veux que vous soyez tolérant, non pas avec ceux des petites erreurs, parce que c'est facile, mais avec ceux qui ont tort beaucoup et sans espoir, et que faire un bon usage de cette tolérance, à titre d'exemple à d'autres.
Je souhaite que d'être jeune ne mûrit pas trop vite, et mûre, ne pas insister sur le rajeunissement, et que la vieillesse ne vous consacrer au désespoir. Pour chaque âge a ses plaisirs et des douleurs et doivent être autorisés à circuler entre nous.
Je vous souhaite la façon dont tu es triste. Non, chaque année, mais juste un jour. Mais ce jour-là de découvrir que le rire par jour est bon, que le rire est le rire de soude commune et constante est malsain.
Je tiens à découvrir, avec une acuité maximale, au-dessus et malgré tout ce qui existe, et ceux qui vous entourent, les êtres opprimés, traiter les gens de façon injuste et malheureux.
Je tiens à caresser un chat, le nourrir à un oiseau et un chardonneret entendre son chant triomphant ériger matin, parce que de cette façon, vous vous sentez bien dans quoi que ce soit.
Je tiens également à planter une graine, si minime soit-il, et d'accompagner leur croissance, de découvrir combien de vies est en effet un arbre.
Je tiens également à avoir de l'argent, car vous avez besoin pour être pratique. Et au moins une fois par an mettre un peu de cet argent devant vous et dire: «C'est le mien", juste pour faire comprendre à qui appartient qui.
Nous espérons également que aucun de vos affections mourir, mais si l'on meurt, on pleure, sans se plaindre et de la souffrance sans se sentir coupable.
Je souhaite enfin, être un homme, une bonne femme, et que d'être une femme, un homme de bien, demain et le lendemain, et quand ils sont épuisés et souriant, parler d'amour à recommencer.
Si toutes ces choses arriva, je n'ai plus rien à vous le souhaitez, mais être heureux.
Te deseo primero que ames, y que amando, también seas amado. Y que, de no ser así, seas breve en olvidar y que después de olvidar, no guardes rencores. Deseo, pues, que no sea así, pero que si es, sepas ser sin desesperar.
Te deseo también que tengas amigos, y que, incluso malos e inconsecuentes, sean valientes y fieles, y que por lo menos haya uno en quien puedas confiar sin dudar.
Y porque la vida es así, te deseo también que tengas enemigos. Ni muchos ni pocos, en la medida exacta, para que, algunas veces, te cuestiones tus propias certezas. Y que entre ellos, haya por lo menos uno que sea justo, para que no te sientas demasiado seguro.
Te deseo además, que seas útil, más no insustituible. Y que en los momentos malos, cuando no quede mas nada, esa utilidad sea suficiente para mantenerte en pie.Igualmente, te deseo que seas tolerante; no con los que se equivocan poco, porque eso es fácil, sino con los que se equivocan mucho e irremediablemente, y que haciendo buen uso de esa tolerancia, sirvas de ejemplo a otros.
Te deseo que siendo joven no madures demasiado de prisa, y que ya maduro, no insistas en rejuvenecer, y que siendo viejo no te dediques al desespero. Porque cada edad tiene su placer y su dolor y es necesario dejar que fluyan entre nosotros.
Te deseo de paso que seas triste. No todo el año, sino apenas un día. Pero que en ese día descubras que la risa diaria es buena, que la risa habitual es sosa y la risa constante es malsana.
Te deseo que descubras, con urgencia máxima, por encima y a pesar de todo, que existen, y que te rodean, seres oprimidos, tratados con injusticia y personas infelices.
Te deseo que acaricies un gato, alimentes a un pájaro y oigas a un jilguero erguir triunfante su canto matinal, porque de esta manera, te sentirás bien por nada.
Deseo también que plantes una semilla, por más minúscula que sea, y la acompañes en su crecimiento, para que descubras de cuántas vidas está hecho un árbol.
Te deseo, además, que tengas dinero, porque es necesario ser práctico. Y que por lo menos una vez por año pongas algo de ese dinero frente a ti y digas: “Esto es mío”, sólo para que quede claro quién es el dueño de quién.
Te deseo también que ninguno de tus afectos muera, pero que si muere alguno, puedas llorar sin lamentarte y sufrir sin sentirte culpable.
Te deseo por fin que, siendo hombre, tengas una buena mujer, y que siendo mujer, tengas un buen hombre, mañana y al día siguiente, y que cuando estén exhaustos y sonrientes, hablen sobre el amor para recomenzar.
Si todas estas cosas llegaran a pasar, no tengo más nada que desearte, sino que seas feliz.
en français
Je souhaite premier amour, et aimer, être aimé trop. Et, si non, vous êtes dès à oublier et d'oublier, ne pas garder rancune. J'espère donc qu'ils ne sont pas, mais si cela arrive, vous serez sans désespoir.
Je tiens également à avoir des amis, et que même les pauvres et incompatibles, être courageux et fidèle, et qu'au moins il est celui que vous pouvez faire confiance sans hésitation.
Et parce que la vie est ainsi, je vous souhaite également avoir des ennemis. Pas beaucoup ou peu, des mesures précises, de sorte que parfois vous votre question ses propres certitudes. Et parmi eux, ont au moins un qui est juste, alors ne soyez pas trop sûr.
Je voudrais également que vous sont utiles, mais pas irremplaçable. Et dans les mauvais moments, quand il ne reste plus rien, c'est assez utile pour garder pie.Igualmente, je veux que vous soyez tolérant, non pas avec ceux des petites erreurs, parce que c'est facile, mais avec ceux qui ont tort beaucoup et sans espoir, et que faire un bon usage de cette tolérance, à titre d'exemple à d'autres.
Je souhaite que d'être jeune ne mûrit pas trop vite, et mûre, ne pas insister sur le rajeunissement, et que la vieillesse ne vous consacrer au désespoir. Pour chaque âge a ses plaisirs et des douleurs et doivent être autorisés à circuler entre nous.
Je vous souhaite la façon dont tu es triste. Non, chaque année, mais juste un jour. Mais ce jour-là de découvrir que le rire par jour est bon, que le rire est le rire de soude commune et constante est malsain.
Je tiens à découvrir, avec une acuité maximale, au-dessus et malgré tout ce qui existe, et ceux qui vous entourent, les êtres opprimés, traiter les gens de façon injuste et malheureux.
Je tiens à caresser un chat, le nourrir à un oiseau et un chardonneret entendre son chant triomphant ériger matin, parce que de cette façon, vous vous sentez bien dans quoi que ce soit.
Je tiens également à planter une graine, si minime soit-il, et d'accompagner leur croissance, de découvrir combien de vies est en effet un arbre.
Je tiens également à avoir de l'argent, car vous avez besoin pour être pratique. Et au moins une fois par an mettre un peu de cet argent devant vous et dire: «C'est le mien", juste pour faire comprendre à qui appartient qui.
Nous espérons également que aucun de vos affections mourir, mais si l'on meurt, on pleure, sans se plaindre et de la souffrance sans se sentir coupable.
Je souhaite enfin, être un homme, une bonne femme, et que d'être une femme, un homme de bien, demain et le lendemain, et quand ils sont épuisés et souriant, parler d'amour à recommencer.
Si toutes ces choses arriva, je n'ai plus rien à vous le souhaitez, mais être heureux.
"LA VIDA"
El ir por un camino es la metáfora que más se amolda a lo que yo pienso que es la vida. La vida, sin lugar a duda es un caminar por el cual no sabes con lo que te vas a encontrar. Algunas veces sabrás lo que te vas a encontrar, otras no. Te encontrarás con muchas personas. Unas pasaran de largo, otras, se quedarán contigo por siempre-así sólo sea en el recuerdo-. Habrán momentos en los que tienes ánimos de caminar, en otras ocasiones de correr-qué lindos son estos instantes-. En otras no querrás seguir andando; el sol del día no te dará mas ganas que de esconderte bajo la sombra de un árbol y descansar, y por qué no ? querrás desistir del viaje(recordemos que estamos hablando metafóricamente, cada cual sabrá como contextualizarlo). Todo esto y muchas otras cosas más hacen parte de las posibilidades que tienes, posibilidades que puedes escoger a la hora de ir en tu viaje. Esto depende solo de ti.
Las cosas se pueden tornar(un poco) irónicas y ambiguas. Nos sentimos muy confiados de que diversas situaciones no nos van a tocar a nosotros, pero la realidad se encarga de mostrar todo lo contrario. Nos enamoramos de la persona menos pensada, cometemos errores que pensábamos no íbamos a cometer jamás. Perdemos seres que son queridísimos para nosotros, que en algunas ocasiones se nos van de la manera más injusta. Nos resultan piedras en los zapatos(enfermedades, etc) que desearíamos no estuvieran ahí, pero toca llevarlas como a inquilinos indeseados, y muchas otras cosas más. Pero también hay cosas muy buenas y me atrevería a decir que son más que las que nos sorprenden sin previo aviso(las malas). Personas que nos salen al ruedo en el camino y nos brindan su compañía y nos alegran el caminar. Situaciones la cuales nos permiten sacar lo mejor de nosotros y nos hacen sentir únicos y útiles. Y no sólo personas, también momentos, como esos que se han quedado en nuestro haber y nada ni nadie los podrá sacar de allí, estamos de acuerdo ?
Cuando en el caminar no queramos seguir, pensemos que mejores cosas vendrán y que lo que hay por delante son experiencias que si dejamos de vivir no nos brindarán las riquezas que tienen reservadas para nosotros, pero como ya lo dije anteriormente, eso depende de cada uno y cada cual escoge que hace con lo suyo. Que nuestra mente no nos juegue una mala pasada con las decisiones que tomemos, a lo hecho pecho !
Si nos sorprendemos de lo que pueda pasar en nuestro camino(de lo que hagamos) tengamos en cuenta que no somos perfectos(ni mucho menos) para que no nos anquilosemos en experiencias que nos consumen poco a poco. Aquí cabe muy bien un consejo del Dalai Lama, o tal vez sea más bien una máxima que dice así: “Si pierdes, no pierdas la lección”.
Hay que aprender a perdonar, es verdad. Pero también hay que aprender a perdonarse y darse unos golpecitos en la espalda y seguir adelante, porque el camino es largo y sigue.
Vida, enséñanos a estar en ti y que las fuerzas nos alcancen para llegar hasta la meta por duro y pedregoso que a veces se torne el camino....
Las cosas se pueden tornar(un poco) irónicas y ambiguas. Nos sentimos muy confiados de que diversas situaciones no nos van a tocar a nosotros, pero la realidad se encarga de mostrar todo lo contrario. Nos enamoramos de la persona menos pensada, cometemos errores que pensábamos no íbamos a cometer jamás. Perdemos seres que son queridísimos para nosotros, que en algunas ocasiones se nos van de la manera más injusta. Nos resultan piedras en los zapatos(enfermedades, etc) que desearíamos no estuvieran ahí, pero toca llevarlas como a inquilinos indeseados, y muchas otras cosas más. Pero también hay cosas muy buenas y me atrevería a decir que son más que las que nos sorprenden sin previo aviso(las malas). Personas que nos salen al ruedo en el camino y nos brindan su compañía y nos alegran el caminar. Situaciones la cuales nos permiten sacar lo mejor de nosotros y nos hacen sentir únicos y útiles. Y no sólo personas, también momentos, como esos que se han quedado en nuestro haber y nada ni nadie los podrá sacar de allí, estamos de acuerdo ?
Cuando en el caminar no queramos seguir, pensemos que mejores cosas vendrán y que lo que hay por delante son experiencias que si dejamos de vivir no nos brindarán las riquezas que tienen reservadas para nosotros, pero como ya lo dije anteriormente, eso depende de cada uno y cada cual escoge que hace con lo suyo. Que nuestra mente no nos juegue una mala pasada con las decisiones que tomemos, a lo hecho pecho !
Si nos sorprendemos de lo que pueda pasar en nuestro camino(de lo que hagamos) tengamos en cuenta que no somos perfectos(ni mucho menos) para que no nos anquilosemos en experiencias que nos consumen poco a poco. Aquí cabe muy bien un consejo del Dalai Lama, o tal vez sea más bien una máxima que dice así: “Si pierdes, no pierdas la lección”.
Hay que aprender a perdonar, es verdad. Pero también hay que aprender a perdonarse y darse unos golpecitos en la espalda y seguir adelante, porque el camino es largo y sigue.
Vida, enséñanos a estar en ti y que las fuerzas nos alcancen para llegar hasta la meta por duro y pedregoso que a veces se torne el camino....
HE APRENDIDO.......
He aprendido....que nadie es perfecto...hasta que no te enamoras.
He aprendido que....la vida es dura pero yo lo soy más!!
He aprendido que....las oportunidades no se pierden nunca, las que tu dejas marchar...las aprovecha otro..
He aprendido que....cuando siembras rencor y amargura la felicidad se va a otra parte.
He aprendido...que necesitaría usar siempre palabras buenas..porque mañana quizás se tienen que tragar.
He aprendido...que una sonrisa es un modo económico para mejorar tu aspecto.
He aprendido...que no puedo elegir como me siento... pero siempre puedo hacer algo.
He aprendido que...cuando tu hijo recién nacido tiene tu dedo en su puñito.. te tiene enganchado a la vida.
He aprendido que...todos quieren vivir en la cima de la montaña..pero toda la felicidad pasa mientras la escalas.
He aprendido que...se necesita gozar del viaje y no pensar sólo en la meta.
He aprendido que...es mejor dar consejos sólo en dos circunstancias.. cuando son pedidos y cuando de ello depende la vida.
He aprendido que...cuanto menos tiempo derrocho... más cosas hago.
He aprendido que....la vida es dura pero yo lo soy más!!
He aprendido que....las oportunidades no se pierden nunca, las que tu dejas marchar...las aprovecha otro..
He aprendido que....cuando siembras rencor y amargura la felicidad se va a otra parte.
He aprendido...que necesitaría usar siempre palabras buenas..porque mañana quizás se tienen que tragar.
He aprendido...que una sonrisa es un modo económico para mejorar tu aspecto.
He aprendido...que no puedo elegir como me siento... pero siempre puedo hacer algo.
He aprendido que...cuando tu hijo recién nacido tiene tu dedo en su puñito.. te tiene enganchado a la vida.
He aprendido que...todos quieren vivir en la cima de la montaña..pero toda la felicidad pasa mientras la escalas.
He aprendido que...se necesita gozar del viaje y no pensar sólo en la meta.
He aprendido que...es mejor dar consejos sólo en dos circunstancias.. cuando son pedidos y cuando de ello depende la vida.
He aprendido que...cuanto menos tiempo derrocho... más cosas hago.
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
j'aimerais quand même te dire
Palabras de la cancion la tinta de tus ojos de Francis Cabrel (letra en frances)
Paroles de la Chanson : L'encre de tes yeux
Puisqu' on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu' on est fous puisqu' on est seul
Puisqu' ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J' aimerais quand même te dire
Tout ce que j' ai pu écrire
Je l' ai puisé à l' encre de tes yeux
Je n' avais pas vu que tu portais des chaînes
A trop vouloir te regarder
J' en oubliais les miennes
On revait de Venise et de liberté
J' aimerais quand même te dire
Tout ce que j' ai pu écrire
C'est ton sourire qui me l' a dicté
Tou tou tou...
Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves
Tu viendras toujours du côté
Où le soleil se lève
Et si malgré ça j' arrive à t' oublier
J' aimerais quand même te dire
Tout ce que j' ai pu écrire
Aura longtemps le parfum des regrets
Puisqu' on ne vivra jamais tous les deux
Puisqu' on est fous puisqu' on est seul
Puisqu' ils sont si nombreux
Même la morale parle pour eux
J' aimerais quand même te dire
Tout ce que j' ai pu écrire
Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux
Gramophone- membre
- Nombre de messages : 1453
Age : 63
Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
LINDO TEMA
https://youtu.be/yvBAabd_SjE
No pude insertar el video, algo me falló.....a pesar q lei el tutorial...bn día
No pude insertar el video, algo me falló.....a pesar q lei el tutorial...bn día
Amarse con los ojos abiertos
Amarse con los ojos abiertos
Quizás la expectativa de felicidad instantánea que solemos endilgarle al vínculo de pareja, este deseo de exultancia, se deba a un estiramiento ilusorio del instante de enamoramiento..
Cuando uno se enamora en realidad no ve al otro en su totalidad, sino que el otro funciona como una pantalla donde el enamorado proyecta sus aspectos idealizados.
Los sentimientos, a diferencia de las pasiones, son más duraderos y están anclados a la percepción de la realidad externa. La construcción del amor empieza cuando puedo ver al que tengo enfrente, cuando descubro al otro. Es allí cuando el amor reemplaza al enamoramiento.
Pasado ese momento inicial comienzan a salir a la luz las peores partes mías que también proyecto en él.
Amar a alguien es el desafío de deshacer aquellas proyecciones para relacionarse verdaderamente con el otro. Este proceso no es fácil, pero es una de las cosas más hermosas que ocurren o que ayudamos a que ocurran.
Hablamos del amor en el sentido de "que nos importa el bienestar del otro".
Nada más y nada menos. El amor como el bienestar que invade cuerpo y alma y que se afianza cuando puedo ver al otro sin querer cambiarlo.
Más importante que la manera de ser del otro, importa el bienestar que siento a su lado y su bienestar al lado mío. El placer de estar con alguien que se ocupa de que uno esté bien, que percibe lo que necesitamos y disfruta al dárnoslo, eso hace al amor.
Una pareja es más que una decisión, es algo que ocurre cuando nos sentimos unidos a otro de una manera diferente. Podría decir que desde el placer de estar con otro tomamos la decisión de compartir gran parte de nuestra vida con esa persona y descubrimos el gusto de estar juntos. Aunque es necesario saber que encontrar un compañero de ruta no es suficiente; también hace falta que esa persona sea capaz de nutrirnos, como ya dijimos, que de hecho sea una eficaz ayuda en nuestro crecimiento personal.
Welwood dice que el verdadero amor existe cuando amamos por lo que sabemos que esa persona puede llegar a ser, no solo por lo que es.
"El enamoramiento es más bien una relación en la cual la otra persona no es en realidad reconocida como verdaderamente otra, sino más bien sentida e interpretada como si fuera un doble de uno mismo, quizás en la versión masculina y eventualmente dotada de rasgos que corresponden a la imagen idealizada de lo que uno quisiera ser. En el enamoramiento hay un yo me amo al verme reflejado en ti ." Mauricio Abadi.
Enamorarse es amar las coincidencias, y amar es enamorarse de las diferencias.
© Autor:Jorge Bucay,
"Amarse con los ojos abiertos"
Quizás la expectativa de felicidad instantánea que solemos endilgarle al vínculo de pareja, este deseo de exultancia, se deba a un estiramiento ilusorio del instante de enamoramiento..
Cuando uno se enamora en realidad no ve al otro en su totalidad, sino que el otro funciona como una pantalla donde el enamorado proyecta sus aspectos idealizados.
Los sentimientos, a diferencia de las pasiones, son más duraderos y están anclados a la percepción de la realidad externa. La construcción del amor empieza cuando puedo ver al que tengo enfrente, cuando descubro al otro. Es allí cuando el amor reemplaza al enamoramiento.
Pasado ese momento inicial comienzan a salir a la luz las peores partes mías que también proyecto en él.
Amar a alguien es el desafío de deshacer aquellas proyecciones para relacionarse verdaderamente con el otro. Este proceso no es fácil, pero es una de las cosas más hermosas que ocurren o que ayudamos a que ocurran.
Hablamos del amor en el sentido de "que nos importa el bienestar del otro".
Nada más y nada menos. El amor como el bienestar que invade cuerpo y alma y que se afianza cuando puedo ver al otro sin querer cambiarlo.
Más importante que la manera de ser del otro, importa el bienestar que siento a su lado y su bienestar al lado mío. El placer de estar con alguien que se ocupa de que uno esté bien, que percibe lo que necesitamos y disfruta al dárnoslo, eso hace al amor.
Una pareja es más que una decisión, es algo que ocurre cuando nos sentimos unidos a otro de una manera diferente. Podría decir que desde el placer de estar con otro tomamos la decisión de compartir gran parte de nuestra vida con esa persona y descubrimos el gusto de estar juntos. Aunque es necesario saber que encontrar un compañero de ruta no es suficiente; también hace falta que esa persona sea capaz de nutrirnos, como ya dijimos, que de hecho sea una eficaz ayuda en nuestro crecimiento personal.
Welwood dice que el verdadero amor existe cuando amamos por lo que sabemos que esa persona puede llegar a ser, no solo por lo que es.
"El enamoramiento es más bien una relación en la cual la otra persona no es en realidad reconocida como verdaderamente otra, sino más bien sentida e interpretada como si fuera un doble de uno mismo, quizás en la versión masculina y eventualmente dotada de rasgos que corresponden a la imagen idealizada de lo que uno quisiera ser. En el enamoramiento hay un yo me amo al verme reflejado en ti ." Mauricio Abadi.
Enamorarse es amar las coincidencias, y amar es enamorarse de las diferencias.
© Autor:Jorge Bucay,
"Amarse con los ojos abiertos"
Previsiones
Me gusto el sentido que se da al texto entre enamorarse de la imagen y amar de verdad
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TU LUZ TE HACE LIBRE...
04-10-11
Escucha tu propio vacío, esa estancia hueca que hay en tu interior en la que vive el silencio que baila alguna vez en tu sonrisa.
¿No oyes la cascada? Son tus sentimientos. Se han puesto en fila con la ilusión de aparecer por la ventana de tu alma, abierto el cuerpo, eterna montaña de escaleras interpuestas entre tú y tú mismo. Ríen tus sentimientos, mientras sollozan las montañas de tu eterno desencuentro, búsqueda de un lugar en el propio lugar en el que éste se halla.
¿Cómo encontrar un sitio en el que ya se está? ¿No llegaste a él precisamente porque no lo estabas buscando?
Si eres el bosque, ¿para qué buscar un árbol en el que convertirte? ¿Acaso no vives en todos ellos? ¿Es que tu raíz no es la que crece en cualquier tronco que dormido empieza a despertarse?
¿Es que el sol entre las ramas no es el mismo que meces en tus brazos? Y esa brisa prisionera del viento que la libera, ¿no vive en las mismas cosquillas que despiertan tu sonrisa cada mañana?
Entonces, ¿por qué te sientes tan solo? Todo a tu alrededor es un círculo infinito, tú eres el principio del final que te alcanza pero que nunca llega a atraparte porque, antes de que suceda, el círculo crece y se ensancha, haciéndote disfrutar del juego. Y es curioso, cuánto más grande es el círculo que tu abres más pequeño te sientes, a pesar de que el centro nunca te abandona. Tú eres el centro pero siempre te buscas en el final y es el hecho de no encontrarte allí lo que te entristece, cuando por ser el centro eres también el final y todo el camino que conduce hasta él.
¿Acaso no te has dado cuenta? No hay final. Eres un círculo y un círculo no tiene final, ni siquiera lo necesita. Es un constante recorrido por la periferia de uno mismo, un horizonte sin límites, puesto que nace pero nunca muere en un solo punto, nace y muere constantemente, dando vueltas y vueltas como el Sol lo hace sobre la Tierra.
Tienes la misma luz que el Sol y al igual que él giras sin cesar en un círculo sin fin, pero mientras el Sol nos regala su luz, orgulloso de cumplir su destino, tú -dueño y Señor de todos los destinos- te escondes de crear el tuyo.
Sí, a tu alrededor no hay más que luz pero no la reconoces como tuya. Te asusta ser esa luz acostumbrado a reconocerte entre las sombras, en las que has construido la morada de tus miedos.
Y que útiles son tus miedos para esconderte de quién eres y apagar de un soplo la luz que desprendes. Pero por mucho que soplen tus miedos, tu luz nunca se apaga.
Curiosa paradoja. Aunque tus miedos no lo sepan te están haciendo un regalo. Tanta luz no podía ser tuya, al menos eso creías, pero al rebajar la intensidad de tu luz son tus propios miedos los que te ayudan a aceptarla como tuya.
Sí, así es, esta luz es tuya o mejor dicho tú eres esa luz. Ilumina con ella todo lo que está a tu alrededor y ahuyenta las sombras que creías tuyas. Esas sombras no están ahí para asustarte sino para mostrarte el poder de tu luz y ensanchar el camino de tu libertad.
Tú eres tu luz, y es tu luz la que te hace libre.
http://www.dismagico.com/tarjetas/odudecardpick/2/Y/1317733372
img]http://www.dismagico.com/tarjetas/odudecardpick/2/Y/1317733372 [/img]
Escucha tu propio vacío, esa estancia hueca que hay en tu interior en la que vive el silencio que baila alguna vez en tu sonrisa.
¿No oyes la cascada? Son tus sentimientos. Se han puesto en fila con la ilusión de aparecer por la ventana de tu alma, abierto el cuerpo, eterna montaña de escaleras interpuestas entre tú y tú mismo. Ríen tus sentimientos, mientras sollozan las montañas de tu eterno desencuentro, búsqueda de un lugar en el propio lugar en el que éste se halla.
¿Cómo encontrar un sitio en el que ya se está? ¿No llegaste a él precisamente porque no lo estabas buscando?
Si eres el bosque, ¿para qué buscar un árbol en el que convertirte? ¿Acaso no vives en todos ellos? ¿Es que tu raíz no es la que crece en cualquier tronco que dormido empieza a despertarse?
¿Es que el sol entre las ramas no es el mismo que meces en tus brazos? Y esa brisa prisionera del viento que la libera, ¿no vive en las mismas cosquillas que despiertan tu sonrisa cada mañana?
Entonces, ¿por qué te sientes tan solo? Todo a tu alrededor es un círculo infinito, tú eres el principio del final que te alcanza pero que nunca llega a atraparte porque, antes de que suceda, el círculo crece y se ensancha, haciéndote disfrutar del juego. Y es curioso, cuánto más grande es el círculo que tu abres más pequeño te sientes, a pesar de que el centro nunca te abandona. Tú eres el centro pero siempre te buscas en el final y es el hecho de no encontrarte allí lo que te entristece, cuando por ser el centro eres también el final y todo el camino que conduce hasta él.
¿Acaso no te has dado cuenta? No hay final. Eres un círculo y un círculo no tiene final, ni siquiera lo necesita. Es un constante recorrido por la periferia de uno mismo, un horizonte sin límites, puesto que nace pero nunca muere en un solo punto, nace y muere constantemente, dando vueltas y vueltas como el Sol lo hace sobre la Tierra.
Tienes la misma luz que el Sol y al igual que él giras sin cesar en un círculo sin fin, pero mientras el Sol nos regala su luz, orgulloso de cumplir su destino, tú -dueño y Señor de todos los destinos- te escondes de crear el tuyo.
Sí, a tu alrededor no hay más que luz pero no la reconoces como tuya. Te asusta ser esa luz acostumbrado a reconocerte entre las sombras, en las que has construido la morada de tus miedos.
Y que útiles son tus miedos para esconderte de quién eres y apagar de un soplo la luz que desprendes. Pero por mucho que soplen tus miedos, tu luz nunca se apaga.
Curiosa paradoja. Aunque tus miedos no lo sepan te están haciendo un regalo. Tanta luz no podía ser tuya, al menos eso creías, pero al rebajar la intensidad de tu luz son tus propios miedos los que te ayudan a aceptarla como tuya.
Sí, así es, esta luz es tuya o mejor dicho tú eres esa luz. Ilumina con ella todo lo que está a tu alrededor y ahuyenta las sombras que creías tuyas. Esas sombras no están ahí para asustarte sino para mostrarte el poder de tu luz y ensanchar el camino de tu libertad.
Tú eres tu luz, y es tu luz la que te hace libre.
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☼♥☼Reflexión, como llegar a amar de verdad☼♥☼
23-10-11
Amor, Amor… ¿Alguien acaso podría explicarlo?
Nunca muere, y viaja incansablemente por los corazones de todos nosotros, sin dar ninguna explicación.
Lo más hermoso que le puede pasar a alguien, es querer y ser querido. O incluso amar y ser amado.
Muchas personas creen que es fácil amar y que solo necesitan encontrar a alguien a quien amar. Peor aún, piensan que el problema está afuera y que lo que necesitan, es hallar a alguien que los ame.
El amor, siendo algo tan importante, pensamos que hay que dejarlo a la deriva, que ya se aparecerá el hombre o la mujer de mi vida. Lo curioso, es que no operamos de la misma forma en otros ámbitos.
Por ejemplo, Si quieres ser el mejor bailarín de salsa, tienes que experimentar, equivocarte muchas veces y quedarte con tus mejores pasos.
Y en el amor, que es la meta que muchos anhelamos, creemos que solo debemos acostarnos en la hamaca y mecernos. El amor llegará solito.
Pensar que solo necesitamos una persona por la que sienta amor, equivale a pensar que vamos a ser magníficos guitarristas sin estudiar los principios básicos para tocarla…….
Ilógico ¿verdad?
* En el amor, primero tienes que comprender los principios básicos y la naturaleza humana.
¿Por dónde empezar? Debes empezar por ti. Muchas veces juzgas a tus candidatos o parejas, por lo que has observado en tu familia. Y acabas dejándolo! Por temor a que te ocurra igual…
* También, la falta de autoestima, hace que no desees pelear con tu pareja “para que vea que soy un amor” lo que no sabes, es que al no platicar acerca de las diferencias, estas se van acumulando en un “costalito” invisible que llevas a tus espaldas y ocurre que un solo problema menor, hace que ya no soportes la carga, le arrojas el costal a la cara ¡y le lees la lista de navidad!
Tu pareja se quedará sorprendida por el pequeño problema por el que te enojas. No es el pequeño problema. Es el cúmulo de todos, y que con uno más ya no aguantaste.
Pero también puede ocurrir que tengas tu costalito, y que tu pareja ni siquiera te dé la oportunidad de arrojárselo. Se va de tu vida antes ¿por qué? Te guste o no, los problemas son la sal de la vida. Si no hay diferencias y diálogo, tu pareja se aburre, no encuentra ninguna emoción en ti, ya que a todo dices “si” y se va ¡pero si yo le aguantaba todo! Vas a decir. No debiste hacerlo. Tu pareja te hubiera agradecido más que le dijeras lo que no te gustaba de la relación, para que trabajaran juntos en ella.
Por eso, debes ir al encuentro del amor con total apertura ante la vida. Debes liberarte de las cadenas de las experiencias del ayer. Porque si juzgas con los lentes del pasado a tus parejas, no te permitirán apreciar la gran oportunidad que tienes en estos momentos ante ti….
Y tú ¿Has vivido 10 relaciones diferentes o la misma relación 10 veces? Porque si repites una y otra vez las mismas experiencias, significa que hay algo en ti que tienes que liberar. Significa que juzgas a las personas con tus experiencias del ayer. Ábrete a la posibilidad, desde el fondo de tu corazón, de que esa persona puede ser diferente. Y conócela. No trates de ver características de otras parejas en ella.
Tienes que cambiar desde el fondo de tu ser. Dejar de juzgar a tus parejas o candidatos por características físicas del hombre ideal, que son más producto de la mercadotecnia que de la realidad. Deja de ver experiencias del pasado en tu relación de hoy. Una persona puede tocar tu alma y no tiene nada que ver con tu tipo de hombre o mujer ideal. Tampoco, con las malas experiencias del ayer.
Tiene que ver con la sintonía de dos almas que se encuentran y se reconocen. El cuerpo es solo un vehículo. Y cuando limpies tu alma de bloqueos, verás la vida como es y a tus parejas como son. Verás a las claras sus defectos y sentirás amor por ellas.
Comprensión e interés sincero por la vida de tu pareja, es esencial para experimentar el amor verdadero.
Si dominas este arte, serás como un guitarrista que no importa la guitarra que tenga entre sus manos ¡hará salir de ella melodías de ángeles!
Muchas de nuestras parejas que rechazamos por razones superficiales, fueron aceptadas y son felices con otras personas que las ayudaron a superar sus miedos y sacaron música de ellas. No sabías que el problema era tu falta de habilidad para extraer las mejores melodías de su corazón.
Ya lo sabes. De ahora en adelante, quítate los lentes oscuros, libérate de las cadenas del pasado ¡y extrae las mejores canciones del corazón de tu pareja!
Amor, Amor… ¿Alguien acaso podría explicarlo?
Nunca muere, y viaja incansablemente por los corazones de todos nosotros, sin dar ninguna explicación.
Lo más hermoso que le puede pasar a alguien, es querer y ser querido. O incluso amar y ser amado.
Muchas personas creen que es fácil amar y que solo necesitan encontrar a alguien a quien amar. Peor aún, piensan que el problema está afuera y que lo que necesitan, es hallar a alguien que los ame.
El amor, siendo algo tan importante, pensamos que hay que dejarlo a la deriva, que ya se aparecerá el hombre o la mujer de mi vida. Lo curioso, es que no operamos de la misma forma en otros ámbitos.
Por ejemplo, Si quieres ser el mejor bailarín de salsa, tienes que experimentar, equivocarte muchas veces y quedarte con tus mejores pasos.
Y en el amor, que es la meta que muchos anhelamos, creemos que solo debemos acostarnos en la hamaca y mecernos. El amor llegará solito.
Pensar que solo necesitamos una persona por la que sienta amor, equivale a pensar que vamos a ser magníficos guitarristas sin estudiar los principios básicos para tocarla…….
Ilógico ¿verdad?
* En el amor, primero tienes que comprender los principios básicos y la naturaleza humana.
¿Por dónde empezar? Debes empezar por ti. Muchas veces juzgas a tus candidatos o parejas, por lo que has observado en tu familia. Y acabas dejándolo! Por temor a que te ocurra igual…
* También, la falta de autoestima, hace que no desees pelear con tu pareja “para que vea que soy un amor” lo que no sabes, es que al no platicar acerca de las diferencias, estas se van acumulando en un “costalito” invisible que llevas a tus espaldas y ocurre que un solo problema menor, hace que ya no soportes la carga, le arrojas el costal a la cara ¡y le lees la lista de navidad!
Tu pareja se quedará sorprendida por el pequeño problema por el que te enojas. No es el pequeño problema. Es el cúmulo de todos, y que con uno más ya no aguantaste.
Pero también puede ocurrir que tengas tu costalito, y que tu pareja ni siquiera te dé la oportunidad de arrojárselo. Se va de tu vida antes ¿por qué? Te guste o no, los problemas son la sal de la vida. Si no hay diferencias y diálogo, tu pareja se aburre, no encuentra ninguna emoción en ti, ya que a todo dices “si” y se va ¡pero si yo le aguantaba todo! Vas a decir. No debiste hacerlo. Tu pareja te hubiera agradecido más que le dijeras lo que no te gustaba de la relación, para que trabajaran juntos en ella.
Por eso, debes ir al encuentro del amor con total apertura ante la vida. Debes liberarte de las cadenas de las experiencias del ayer. Porque si juzgas con los lentes del pasado a tus parejas, no te permitirán apreciar la gran oportunidad que tienes en estos momentos ante ti….
Y tú ¿Has vivido 10 relaciones diferentes o la misma relación 10 veces? Porque si repites una y otra vez las mismas experiencias, significa que hay algo en ti que tienes que liberar. Significa que juzgas a las personas con tus experiencias del ayer. Ábrete a la posibilidad, desde el fondo de tu corazón, de que esa persona puede ser diferente. Y conócela. No trates de ver características de otras parejas en ella.
Tienes que cambiar desde el fondo de tu ser. Dejar de juzgar a tus parejas o candidatos por características físicas del hombre ideal, que son más producto de la mercadotecnia que de la realidad. Deja de ver experiencias del pasado en tu relación de hoy. Una persona puede tocar tu alma y no tiene nada que ver con tu tipo de hombre o mujer ideal. Tampoco, con las malas experiencias del ayer.
Tiene que ver con la sintonía de dos almas que se encuentran y se reconocen. El cuerpo es solo un vehículo. Y cuando limpies tu alma de bloqueos, verás la vida como es y a tus parejas como son. Verás a las claras sus defectos y sentirás amor por ellas.
Comprensión e interés sincero por la vida de tu pareja, es esencial para experimentar el amor verdadero.
Si dominas este arte, serás como un guitarrista que no importa la guitarra que tenga entre sus manos ¡hará salir de ella melodías de ángeles!
Muchas de nuestras parejas que rechazamos por razones superficiales, fueron aceptadas y son felices con otras personas que las ayudaron a superar sus miedos y sacaron música de ellas. No sabías que el problema era tu falta de habilidad para extraer las mejores melodías de su corazón.
Ya lo sabes. De ahora en adelante, quítate los lentes oscuros, libérate de las cadenas del pasado ¡y extrae las mejores canciones del corazón de tu pareja!
►AGUA MÁGICA◄
REFLEXIÓN PARA VIVIR EN ARMONÍA CONTIGO Y LOS DÉMAS
ILUSTRARE A TRAVÉS DE UNA HISTORIA
En una aldea vivían un anciano y su anciana mujer.
Todo el día vivían discutiendo y gritándose el uno al otro: si el anciano decía una palabra, la mujer decía cinco; si el anciano le contestaba con diez, ella con quince. Todo con enojo, gritos, amenazas, sin acordarse a veces el por qué de la discusión.
¿Por qué peleamos? -preguntaba de repente el anciano,
¿Por qué?- ¡por tu culpa!, contestaba la anciana.
No- por la tuya, le respondía el anciano.
Y nuevamente la discusión, el enojo, los gritos. Día a día, año a año.
Un día, se cansaron los vecinos de tantos gritos y se dirigieron a la anciana:
-Escuchamos que en lo alto de la montaña, no lejos de aqui, vive un hombre sabio, que tiene en su poder "agua bendita y mágica" que logra curar a la gente de todo tipo de situaciones, a lo mejor puede lograr ayudarlos y poder de esta manera dejar ustedes de gritar y discutir.
Escuchó la anciana, las palabras de las vecinas, y se dirigió sola a la montaña a encontrar al hombre sabio.
-"¿Cómo puedo ayudarla?" -preguntó el anciano.
Le contó la anciana con lágrimas en los ojos, cuál era su problema con su esposo.
Escuchó el anciano sabio, y se dirigió a su casa, regresando al momento con una botella llena de agua. Dijo unas cuantas palabras mágicas, se la entregó a la anciana y le dijo:
-Toma esta botella de agua, simpática anciana, y cuando comience su esposo a pelear, discutir, maldecir, etc... toma unas gotas de esta botella, y mantén el agua en tu boca. No la escupas ni la tragues hasta que tu esposo se calme. Haz así cada vez que comience la discusión, si lo haces, ellas llegarán a su fin y dejarán de dicutir y pelear.
-¡¡¡Gracias!!! -le dijo la anciana, y regresó a su casa con la botella de agua mágica.
Cuando la escuchó su esposo entrar, comenzó con sus gritos: "¿dónde estuviste?, ¡¡¡por qué no está lista la comida!!!"
La anciana, sin contestarle, tomó un poco del agua y la mantuvo en su boca. Mientras el anciano seguía gritando y discutiendo. Y ella calló.
Vio el anciano que ella no le contestaba, y también calló.
La anciana preparó la comida mientras susurraba una alegre melodía.
Después de una hora, nuevamente empezó el anciano a pelearle, "¡Mira la casa!, ¡sucia y desarreglada!".
La mujer se sintió ofendida y quiso responderle, pero en vez de ello, tomó un poco del agua de la botella, y calló.
Vio el anciano que ella no le respondia, y también calló.
Y así ocurrió una y otra vez. Cada vez que él comenzaba a discutir, ella tomaba del agua y esperaba que él se tranquilice. Y cuando ella tenía ganas de discutir o gritar, tomaba del agua hasta calmarse.
Con el tiempo, dejaron los ancianos de discutir, pelear y gritar. Y aprendieron a vivir con una gran tranquilidad.
Ella le contó sobre el agua mágica y juntos decidieron subir a la montaña a agradecer al hombre sabio, por el agua mágica que cambió sus vidas.
"No es agua bendita o mágica la que les he dado, sino simple agua, la acción de controlarse es la que les enseñó a vivir sin peleas y gritos, dándose tiempo antes de responder, pensando qué y cómo decir las cosas"
Se miraron la anciana y su anciano esposo y sonrieron. Y así continuaron su vida juntos, con la importante enseñanza.
ILUSTRARE A TRAVÉS DE UNA HISTORIA
En una aldea vivían un anciano y su anciana mujer.
Todo el día vivían discutiendo y gritándose el uno al otro: si el anciano decía una palabra, la mujer decía cinco; si el anciano le contestaba con diez, ella con quince. Todo con enojo, gritos, amenazas, sin acordarse a veces el por qué de la discusión.
¿Por qué peleamos? -preguntaba de repente el anciano,
¿Por qué?- ¡por tu culpa!, contestaba la anciana.
No- por la tuya, le respondía el anciano.
Y nuevamente la discusión, el enojo, los gritos. Día a día, año a año.
Un día, se cansaron los vecinos de tantos gritos y se dirigieron a la anciana:
-Escuchamos que en lo alto de la montaña, no lejos de aqui, vive un hombre sabio, que tiene en su poder "agua bendita y mágica" que logra curar a la gente de todo tipo de situaciones, a lo mejor puede lograr ayudarlos y poder de esta manera dejar ustedes de gritar y discutir.
Escuchó la anciana, las palabras de las vecinas, y se dirigió sola a la montaña a encontrar al hombre sabio.
-"¿Cómo puedo ayudarla?" -preguntó el anciano.
Le contó la anciana con lágrimas en los ojos, cuál era su problema con su esposo.
Escuchó el anciano sabio, y se dirigió a su casa, regresando al momento con una botella llena de agua. Dijo unas cuantas palabras mágicas, se la entregó a la anciana y le dijo:
-Toma esta botella de agua, simpática anciana, y cuando comience su esposo a pelear, discutir, maldecir, etc... toma unas gotas de esta botella, y mantén el agua en tu boca. No la escupas ni la tragues hasta que tu esposo se calme. Haz así cada vez que comience la discusión, si lo haces, ellas llegarán a su fin y dejarán de dicutir y pelear.
-¡¡¡Gracias!!! -le dijo la anciana, y regresó a su casa con la botella de agua mágica.
Cuando la escuchó su esposo entrar, comenzó con sus gritos: "¿dónde estuviste?, ¡¡¡por qué no está lista la comida!!!"
La anciana, sin contestarle, tomó un poco del agua y la mantuvo en su boca. Mientras el anciano seguía gritando y discutiendo. Y ella calló.
Vio el anciano que ella no le contestaba, y también calló.
La anciana preparó la comida mientras susurraba una alegre melodía.
Después de una hora, nuevamente empezó el anciano a pelearle, "¡Mira la casa!, ¡sucia y desarreglada!".
La mujer se sintió ofendida y quiso responderle, pero en vez de ello, tomó un poco del agua de la botella, y calló.
Vio el anciano que ella no le respondia, y también calló.
Y así ocurrió una y otra vez. Cada vez que él comenzaba a discutir, ella tomaba del agua y esperaba que él se tranquilice. Y cuando ella tenía ganas de discutir o gritar, tomaba del agua hasta calmarse.
Con el tiempo, dejaron los ancianos de discutir, pelear y gritar. Y aprendieron a vivir con una gran tranquilidad.
Ella le contó sobre el agua mágica y juntos decidieron subir a la montaña a agradecer al hombre sabio, por el agua mágica que cambió sus vidas.
"No es agua bendita o mágica la que les he dado, sino simple agua, la acción de controlarse es la que les enseñó a vivir sin peleas y gritos, dándose tiempo antes de responder, pensando qué y cómo decir las cosas"
Se miraron la anciana y su anciano esposo y sonrieron. Y así continuaron su vida juntos, con la importante enseñanza.
HAY QUE CONTINUAR…LA VIDA SIGUE……♥♥
DOIT CONTINUER ... ... la vie continue.....
Al hablar del amor y la felicidad les ponemos adjetivos de eternos e invencibles. De la desdicha y el dolor decimos que son superables y temporales. La realidad es que tanto el amor como la desdicha pueden ser tan eternos o tan pasajeros según como queramos que se arraiguen en nosotros. Hay amores de solo unos días o penas que cargamos toda nuestra vida. Y viceversa.
Hay quienes no quieren saber del amor y quienes no quieren saber del dolor. Abundan los que no saben lo que quieren. Por el mundo andan otros que no tienen ni amor ni dolor, solo una rutina en la que viven atrapados sin sentir. Pero todos, en lo más profundo de su ser, esperan la fortuna de recibir de repente, de sorpresa, la llegada de un ser que los motive a abrir su corazón.
Cada persona decide que alas ponerse para volar y que cadenas arrastrar para dificultar ese vuelo. En cuestión de sentimientos no hay tiempos seguros, tanto los positivos como los negativos pueden ser pasajeros o duraderos según como queramos enfrentarlos o evadirlos.
Palabras como 'Adiós', 'Nunca' y 'Siempre' son símbolo de que queremos que las situaciones permanezcan. Pero la vida nos pone de frente de quien creímos no volver a ver, nos puede mostrar lo que no pensábamos que ocurriría y nos puede quitar lo que creímos que estaría fijo e inamovible. Siempre de sorpresa y sin avisar. Así es la vida.
Hay que saber reconocer cuando se acaba una etapa en la vida. Entender por qué no funcionaron muchas cosas y apreciar lo que salió no solo bien sino hasta mejor de lo que se esperaba. Agradecer lo que se aprendió. Apreciar a quienes aparecieron en el camino y nos dejaron su amistad y enseñanzas. Es preciso entender que llega el momento de decir ADIOS ó HASTA LUEGO.
Nuestro destino es aquello que somos llamados a ser, el lugar donde debemos estar. Lo sabemos, lo sentimos pero a veces nos movemos en otra dirección por inmadurez o por rebeldía. Alcanzar el destino no es fácil y requiere de esfuerzo, lucha, constancia. Por eso las personas realmente plenas en la vida son tan pocas. O rechazamos el destino o no hacemos lo suficiente por conseguirlo.
No se renuncia a encontrar el amor, se encuentra el amor en lo que se hace. Teniendo presente en mente y corazón a la persona que inspira ese amor sin importar donde se encuentre ni la respuesta que reciba de ella.
No todo lo que brilla es oro, pero también no todo el oro brilla... El trajinar diario nos opaca, por eso son necesarias las pruebas, dificultades y problemas en la vida. Al superarlos nos dan lustre para que el brillo oculto se deje ver y nos purifican para que lo que nos corrompe disminuya o desaparezca.
La felicidad no se logra dando la espalda al mundo. Ni renunciando por comodidad a los sueños. Hay que buscar la dicha de hacerlas cosas lo mejor que se pueda, correr el riesgo de intentarlo. Correr el riesgo de dar. Correr el riesgo de AMAR.
Muchas cosas son mentira en la vida, pero hay una cosa que es cierta y es que la vida es hermosa, por terribles que sean las cosas que nos ocurran, siempre hay un motivo para continuar. En cualquier etapa de nuestra vida siempre surgirá un algo o alguien inesperada que rompera la rutina y nos motivará a sonreir, pero tenemos que salir a vivir, tenemos que dejar lo que ya no nos sirva del pasado y continuar: Seguir adelante.
Cuando el corazón indica que vale la pena hay que arriesgar. El que arriesga no siempre gana, y es mas probable que pierda, pero pensando asi nunca se hará nada. El que arriesga siempre tiene seguro que aprende, que vive, y al menos alguna vez habrá de ganar.
Que no vuelvas a vivir horas oscuras en tu corazón, que logres estar con quien te ponga a ti antes que a todo y que para ti esa persona represente lo mismo. Busca tu sueño, lucha por lograrlo y que el destino te permita alcanzar todo lo que mereces de la vida...
Al hablar del amor y la felicidad les ponemos adjetivos de eternos e invencibles. De la desdicha y el dolor decimos que son superables y temporales. La realidad es que tanto el amor como la desdicha pueden ser tan eternos o tan pasajeros según como queramos que se arraiguen en nosotros. Hay amores de solo unos días o penas que cargamos toda nuestra vida. Y viceversa.
Hay quienes no quieren saber del amor y quienes no quieren saber del dolor. Abundan los que no saben lo que quieren. Por el mundo andan otros que no tienen ni amor ni dolor, solo una rutina en la que viven atrapados sin sentir. Pero todos, en lo más profundo de su ser, esperan la fortuna de recibir de repente, de sorpresa, la llegada de un ser que los motive a abrir su corazón.
Cada persona decide que alas ponerse para volar y que cadenas arrastrar para dificultar ese vuelo. En cuestión de sentimientos no hay tiempos seguros, tanto los positivos como los negativos pueden ser pasajeros o duraderos según como queramos enfrentarlos o evadirlos.
Palabras como 'Adiós', 'Nunca' y 'Siempre' son símbolo de que queremos que las situaciones permanezcan. Pero la vida nos pone de frente de quien creímos no volver a ver, nos puede mostrar lo que no pensábamos que ocurriría y nos puede quitar lo que creímos que estaría fijo e inamovible. Siempre de sorpresa y sin avisar. Así es la vida.
Hay que saber reconocer cuando se acaba una etapa en la vida. Entender por qué no funcionaron muchas cosas y apreciar lo que salió no solo bien sino hasta mejor de lo que se esperaba. Agradecer lo que se aprendió. Apreciar a quienes aparecieron en el camino y nos dejaron su amistad y enseñanzas. Es preciso entender que llega el momento de decir ADIOS ó HASTA LUEGO.
Nuestro destino es aquello que somos llamados a ser, el lugar donde debemos estar. Lo sabemos, lo sentimos pero a veces nos movemos en otra dirección por inmadurez o por rebeldía. Alcanzar el destino no es fácil y requiere de esfuerzo, lucha, constancia. Por eso las personas realmente plenas en la vida son tan pocas. O rechazamos el destino o no hacemos lo suficiente por conseguirlo.
No se renuncia a encontrar el amor, se encuentra el amor en lo que se hace. Teniendo presente en mente y corazón a la persona que inspira ese amor sin importar donde se encuentre ni la respuesta que reciba de ella.
No todo lo que brilla es oro, pero también no todo el oro brilla... El trajinar diario nos opaca, por eso son necesarias las pruebas, dificultades y problemas en la vida. Al superarlos nos dan lustre para que el brillo oculto se deje ver y nos purifican para que lo que nos corrompe disminuya o desaparezca.
La felicidad no se logra dando la espalda al mundo. Ni renunciando por comodidad a los sueños. Hay que buscar la dicha de hacerlas cosas lo mejor que se pueda, correr el riesgo de intentarlo. Correr el riesgo de dar. Correr el riesgo de AMAR.
Muchas cosas son mentira en la vida, pero hay una cosa que es cierta y es que la vida es hermosa, por terribles que sean las cosas que nos ocurran, siempre hay un motivo para continuar. En cualquier etapa de nuestra vida siempre surgirá un algo o alguien inesperada que rompera la rutina y nos motivará a sonreir, pero tenemos que salir a vivir, tenemos que dejar lo que ya no nos sirva del pasado y continuar: Seguir adelante.
Cuando el corazón indica que vale la pena hay que arriesgar. El que arriesga no siempre gana, y es mas probable que pierda, pero pensando asi nunca se hará nada. El que arriesga siempre tiene seguro que aprende, que vive, y al menos alguna vez habrá de ganar.
Que no vuelvas a vivir horas oscuras en tu corazón, que logres estar con quien te ponga a ti antes que a todo y que para ti esa persona represente lo mismo. Busca tu sueño, lucha por lograrlo y que el destino te permita alcanzar todo lo que mereces de la vida...
Reflexión. LA ROSA
♥Como tratar a una rosa♥
Juan se sentía solo, volvía a su departamento, y el silencio era el único que lo esperaba. Juan estaba triste, Juan estaba solo, muy solo. Y Juan tuvo una brillante idea:
- Compañía, eso lo que necesito, compañía. Y alegre se puso a pensar que tipo de compañía.
De chico le habían dicho que lo ideal para compañía era una rosa. También le habían advertido que las rosas tenían espinas y que si uno no era cuidadoso, en vez de disfrutar el placer de mirarlas, tocarlas y oler el perfume que emitían, podían terminar lamentándose todo el día de que la rosa era mala, que cada vez que uno se acercaba lo pinchaba a propósito con sus espinas, y otras tantas advertencias del mismo género.
Pero para Juan el riesgo valía la pena. Quería una rosa y salió a buscarla. Y cuando uno busca mucho siempre encuentra lo que busca.
Así Juan salió decidido a la calle y, oh casualidad, a la vuelta de la oficina donde trabajaba la vio, estaba ahí delante de sus ojos, como había estado ella durante meses esperándolo y mirándolo cada vez que él pasaba, pero nunca se habían cruzado miradas. Pero esta vez Juan estaba decidido a ser feliz y se acerco directamente a ella, tan directamente que la hizo temblar.
Juan la miró, y quedó totalmente embriagado y envuelto por su perfume. Juan estaba enamorado. Luego de un rato de pleno éxtasis Juan se decidió. Dio media vuelta y encaró al padre de la dama.
- ¿Cuánto cuesta?, preguntó con voz firme.
- Veinte pesos, contestó el Vendedor de Flores, sorprendido por la pregunta tan imprevista, pues ni siquiera le había dicho buen día, y agregó ya recompuesto.
- Con diez pesos más se lleva esta maceta hermosa, señalando una roja de cerámica.
A los pocos minutos Juan salía feliz del negocio con María, pues así le había puesto de nombre a la rosa. María salió alegre a la calle, en los brazos de Juan y vestida con su hermoso vestido de maceta roja.
Juan llegó a su casa, puso a María en el mejor lugar, donde podía recibir la luz de la mañana, luego guardó el comprobante de compra de la rosa y finalmente se sentó a su lado. El resto de la tarde se deleitó mirándola y sintiéndola.
Los primeros días fueron realmente una "Luna de Miel".
A la noche Juan se llevaba a María al dormitorio para tenerla al alcance de su mano.
La luna de miel entre ellos duró poco.
Una noche Juan entre sueños acercó su mano para acariciar a María y de pronto el dolor intenso y una gota de sangre salió de su dedo índice. María, con sus espinas lo había lastimado. Juan sintió que el dolor pasaba pero volvieron a su mente las advertencias: cuidado con las rosas, cuando tu quieres brindarles amor ellas te lastiman intencionalmente con sus espinas.
Al día siguiente Juan se olvidó de ponerle agua en la maceta a la Rosa, también se olvidó de ponerla al sol, y así hizo los siguientes tres días.
Fue el sábado que Juan al entrar al dormitorio la vio.
María estaba triste, sus pétalos que antes eran hermosos, estaban caídos sobre la mesita de luz.
Su tierra reseca.
Juan sorprendido por la actitud de María, buscó la factura de compra, pues tenía anotado en teléfono del negocio de plantas y llamó para reclamar.
- ¿Qué problema tiene con la planta que le vendí? preguntó el vendedor.
-¿Qué no la riega, ni la pone al sol desde hace tres días? preguntó el vendedor indignado.
Juan cortó, medio disculpándose por su ignorancia y se puso a regar a la rosa, pero no podía evitar recordar con bronca lo que ella le había hecho: lo había lastimado cuando el se acercó, y seguramente lo había hecho con intención.
Y comenzó a regarla hasta inundarla de agua, mientras pensaba...
- Voy a inundarla bien, así no la riego por siete días.
- Voy a dejarla al sol así no necesito moverla.
Y luego Juan se fue a hacer otras cosas, sus cosas, las que eran realmente importantes para él.
Y María siguió perdiendo pétalos. Ya no emitía ningún perfume, ya no sentía la energía y la palabra de Juan, y María se dejaba morir.
Pasaron otros tres días y Juan fue a un cine solo. Durante la película vio una escena que lo conmovió, y de pronto apareció la imagen de María ante sus ojos con sus pétalos caídos. Juan sintió en el fondo de su ser que María se moría de pena, y se dio cuenta que la amaba, que extrañaba sus formas, su tersura, su perfume, y Juan salió a las corridas del cine y volvió a su casa.
Encontró a María desfalleciente, la tomó entre sus brazos, le sacó el agua en exceso de la maceta, y le habló del amor que le tenía, durante toda la noche. A la mañana la puso al sol, le agregó un poco de fertilizante, y así la cuidó en su convalecencia que duró casi un mes.
Al mes María estaba radiante y enamorada como siempre.
Y ese día Juan tomó el comprobante de compra y rompiéndolo en mil pedacitos le dijo a María- Alguna vez creí, equivocadamente, que porque te había comprado y puesto el comprobante de compra bajo la maceta podía decirte - " soy tu dueño, y no te riego".
- Hoy me doy cuenta que nuestra relación se sustenta en cambio en el amor diario que nos podamos dar, en que yo te riegue todos los días con mi amor, mientras tu me llenas con tu hermoso perfume, tu tersura, tu compañía y y tu hermoso perfume.
Que todos los cuidados que yo te haya dispensado en el pasado, vivirán siempre como un maravilloso recuerdo, pero que no son suficientes para el día de hoy.
Y que a partir del día de hoy, para poder disfrutarte te seguiré regando día tras día.
Y además tendré presente que si me encuentro con tus espinas puede ser, que parte de la culpa sea mía por no saber acercarme a ti.
Así pasa en nuestras relaciones interpersonales, si alguién nos hiere, o creemos q lo hace..nos llenamos de orgullo, olvidando lo valioso que esa persona es para nosotros, y dejamos pasar momentos hermosos...cuando nos damos cuenta de nuestro error, ya existen rencores u otros intereses....y es cuando nos damos cuenta que perdimos o estamos perdiendo a alguíen maravilloso...
Dialoga, saca de ti lo que te perturba no temas hablar con la verdad siempre...todo tiene solución...menos una!!!
Juan se sentía solo, volvía a su departamento, y el silencio era el único que lo esperaba. Juan estaba triste, Juan estaba solo, muy solo. Y Juan tuvo una brillante idea:
- Compañía, eso lo que necesito, compañía. Y alegre se puso a pensar que tipo de compañía.
De chico le habían dicho que lo ideal para compañía era una rosa. También le habían advertido que las rosas tenían espinas y que si uno no era cuidadoso, en vez de disfrutar el placer de mirarlas, tocarlas y oler el perfume que emitían, podían terminar lamentándose todo el día de que la rosa era mala, que cada vez que uno se acercaba lo pinchaba a propósito con sus espinas, y otras tantas advertencias del mismo género.
Pero para Juan el riesgo valía la pena. Quería una rosa y salió a buscarla. Y cuando uno busca mucho siempre encuentra lo que busca.
Así Juan salió decidido a la calle y, oh casualidad, a la vuelta de la oficina donde trabajaba la vio, estaba ahí delante de sus ojos, como había estado ella durante meses esperándolo y mirándolo cada vez que él pasaba, pero nunca se habían cruzado miradas. Pero esta vez Juan estaba decidido a ser feliz y se acerco directamente a ella, tan directamente que la hizo temblar.
Juan la miró, y quedó totalmente embriagado y envuelto por su perfume. Juan estaba enamorado. Luego de un rato de pleno éxtasis Juan se decidió. Dio media vuelta y encaró al padre de la dama.
- ¿Cuánto cuesta?, preguntó con voz firme.
- Veinte pesos, contestó el Vendedor de Flores, sorprendido por la pregunta tan imprevista, pues ni siquiera le había dicho buen día, y agregó ya recompuesto.
- Con diez pesos más se lleva esta maceta hermosa, señalando una roja de cerámica.
A los pocos minutos Juan salía feliz del negocio con María, pues así le había puesto de nombre a la rosa. María salió alegre a la calle, en los brazos de Juan y vestida con su hermoso vestido de maceta roja.
Juan llegó a su casa, puso a María en el mejor lugar, donde podía recibir la luz de la mañana, luego guardó el comprobante de compra de la rosa y finalmente se sentó a su lado. El resto de la tarde se deleitó mirándola y sintiéndola.
Los primeros días fueron realmente una "Luna de Miel".
A la noche Juan se llevaba a María al dormitorio para tenerla al alcance de su mano.
La luna de miel entre ellos duró poco.
Una noche Juan entre sueños acercó su mano para acariciar a María y de pronto el dolor intenso y una gota de sangre salió de su dedo índice. María, con sus espinas lo había lastimado. Juan sintió que el dolor pasaba pero volvieron a su mente las advertencias: cuidado con las rosas, cuando tu quieres brindarles amor ellas te lastiman intencionalmente con sus espinas.
Al día siguiente Juan se olvidó de ponerle agua en la maceta a la Rosa, también se olvidó de ponerla al sol, y así hizo los siguientes tres días.
Fue el sábado que Juan al entrar al dormitorio la vio.
María estaba triste, sus pétalos que antes eran hermosos, estaban caídos sobre la mesita de luz.
Su tierra reseca.
Juan sorprendido por la actitud de María, buscó la factura de compra, pues tenía anotado en teléfono del negocio de plantas y llamó para reclamar.
- ¿Qué problema tiene con la planta que le vendí? preguntó el vendedor.
-¿Qué no la riega, ni la pone al sol desde hace tres días? preguntó el vendedor indignado.
Juan cortó, medio disculpándose por su ignorancia y se puso a regar a la rosa, pero no podía evitar recordar con bronca lo que ella le había hecho: lo había lastimado cuando el se acercó, y seguramente lo había hecho con intención.
Y comenzó a regarla hasta inundarla de agua, mientras pensaba...
- Voy a inundarla bien, así no la riego por siete días.
- Voy a dejarla al sol así no necesito moverla.
Y luego Juan se fue a hacer otras cosas, sus cosas, las que eran realmente importantes para él.
Y María siguió perdiendo pétalos. Ya no emitía ningún perfume, ya no sentía la energía y la palabra de Juan, y María se dejaba morir.
Pasaron otros tres días y Juan fue a un cine solo. Durante la película vio una escena que lo conmovió, y de pronto apareció la imagen de María ante sus ojos con sus pétalos caídos. Juan sintió en el fondo de su ser que María se moría de pena, y se dio cuenta que la amaba, que extrañaba sus formas, su tersura, su perfume, y Juan salió a las corridas del cine y volvió a su casa.
Encontró a María desfalleciente, la tomó entre sus brazos, le sacó el agua en exceso de la maceta, y le habló del amor que le tenía, durante toda la noche. A la mañana la puso al sol, le agregó un poco de fertilizante, y así la cuidó en su convalecencia que duró casi un mes.
Al mes María estaba radiante y enamorada como siempre.
Y ese día Juan tomó el comprobante de compra y rompiéndolo en mil pedacitos le dijo a María- Alguna vez creí, equivocadamente, que porque te había comprado y puesto el comprobante de compra bajo la maceta podía decirte - " soy tu dueño, y no te riego".
- Hoy me doy cuenta que nuestra relación se sustenta en cambio en el amor diario que nos podamos dar, en que yo te riegue todos los días con mi amor, mientras tu me llenas con tu hermoso perfume, tu tersura, tu compañía y y tu hermoso perfume.
Que todos los cuidados que yo te haya dispensado en el pasado, vivirán siempre como un maravilloso recuerdo, pero que no son suficientes para el día de hoy.
Y que a partir del día de hoy, para poder disfrutarte te seguiré regando día tras día.
Y además tendré presente que si me encuentro con tus espinas puede ser, que parte de la culpa sea mía por no saber acercarme a ti.
Así pasa en nuestras relaciones interpersonales, si alguién nos hiere, o creemos q lo hace..nos llenamos de orgullo, olvidando lo valioso que esa persona es para nosotros, y dejamos pasar momentos hermosos...cuando nos damos cuenta de nuestro error, ya existen rencores u otros intereses....y es cuando nos damos cuenta que perdimos o estamos perdiendo a alguíen maravilloso...
Dialoga, saca de ti lo que te perturba no temas hablar con la verdad siempre...todo tiene solución...menos una!!!
“EL RELOJ DE LA VIDA”
A golpes uno crece, con baches y errores que lentamente va superando cuando los logra entender.
El tiempo trae la sabiduría, la comprensión de una finalidad, de esa búsqueda por la felicidad.
¡Que lindo es aprender a vivir!
¡Que lindo es existir viviendo y no existir sin querer vivir!
Que bello es disfrutar día a día los momentos, sin tratar de saltear etapas, sin tratar de quemar instantes indispensables. Ya que los pasos cotidianos nos hacen dar cuenta de cómo hay que actuar, de cómo se debe interpretar este juego difícil de la vida que si lo intentamos entender, siempre nos dará una retribución.
[img][/img]
Que difícil es encontrarle la salida a los problemas, a esas trabas que muchas veces nos detienen y nos hacen pensar que nunca vamos a salir de ese pozo oscuro que sin querer nos hemos metido.
Que complicado resulta entender la vida, saber cómo se tiene que vivir, de qué forma, para qué, con qué y porqué.
Que difícil nos resulta ser persona, sin dejar que nuestros intereses nos dominen.
Cuanto nos cuesta dar, que no es lo mismo que prestar, ya que no esperamos su devolución o recompensa, sin entender la grandeza, la alegría que podemos sentir al compartir lo que tenemos, creando en otras personas una gran felicidad por el momento que le hemos obsequiado.
Cuanto nos cuesta no competir con nuestros semejantes, no intentar ser más y mirar a los demás como seres iguales.
Que bello es enseñar lo que aprendimos, enseñar a vivir, aconsejar cómo hay que actuar, que no es lo mismo que obligar.
Que difícil nos resulta darnos cuenta que no todos pensamos igual, que no todos pueden estar de acuerdo en lo nuestro, que la felicidad no es algo que se pueda comprar, sino que la debemos crear cada uno según nuestro estar, nuestro pensamiento.
Cuanto nos cuesta querernos y valorarnos, estar contentos con nosotros mismos, con lo que somos.
Que difícil es crecer como persona, nutriéndonos del aprendizaje de nuestras experiencias, con respeto y humildad.
Cuanto nos cuesta aceptar que nos confundimos, pidiendo perdón por lo sucedido.
Que sencillo es envidiar, sin querer aprender de estas personas, sin intentar crecer como ser humano.
Que difícil es perdonar, girar la pagina del cuaderno para volver a empezar, con olvido y sin rencores.
Que difícil es entender este reloj de la vida, que nunca se detiene y que tarde o temprano te alcanzará, ¡A todos le llega la hora!.
Y tú tienes la opción de que te encuentre como una fruta inmadura en un árbol, quemándote con la helada, débil y sin gusto, sin servir para nada. O que te halle como una fruta madura a la que pueden disfrutar saboreándola; y si caes del árbol servirás de semilla, porque eres un ejemplo, eres una persona digna de imitar.
El tiempo trae la sabiduría, la comprensión de una finalidad, de esa búsqueda por la felicidad.
¡Que lindo es aprender a vivir!
¡Que lindo es existir viviendo y no existir sin querer vivir!
Que bello es disfrutar día a día los momentos, sin tratar de saltear etapas, sin tratar de quemar instantes indispensables. Ya que los pasos cotidianos nos hacen dar cuenta de cómo hay que actuar, de cómo se debe interpretar este juego difícil de la vida que si lo intentamos entender, siempre nos dará una retribución.
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Que difícil es encontrarle la salida a los problemas, a esas trabas que muchas veces nos detienen y nos hacen pensar que nunca vamos a salir de ese pozo oscuro que sin querer nos hemos metido.
Que complicado resulta entender la vida, saber cómo se tiene que vivir, de qué forma, para qué, con qué y porqué.
Que difícil nos resulta ser persona, sin dejar que nuestros intereses nos dominen.
Cuanto nos cuesta dar, que no es lo mismo que prestar, ya que no esperamos su devolución o recompensa, sin entender la grandeza, la alegría que podemos sentir al compartir lo que tenemos, creando en otras personas una gran felicidad por el momento que le hemos obsequiado.
Cuanto nos cuesta no competir con nuestros semejantes, no intentar ser más y mirar a los demás como seres iguales.
Que bello es enseñar lo que aprendimos, enseñar a vivir, aconsejar cómo hay que actuar, que no es lo mismo que obligar.
Que difícil nos resulta darnos cuenta que no todos pensamos igual, que no todos pueden estar de acuerdo en lo nuestro, que la felicidad no es algo que se pueda comprar, sino que la debemos crear cada uno según nuestro estar, nuestro pensamiento.
Cuanto nos cuesta querernos y valorarnos, estar contentos con nosotros mismos, con lo que somos.
Que difícil es crecer como persona, nutriéndonos del aprendizaje de nuestras experiencias, con respeto y humildad.
Cuanto nos cuesta aceptar que nos confundimos, pidiendo perdón por lo sucedido.
Que sencillo es envidiar, sin querer aprender de estas personas, sin intentar crecer como ser humano.
Que difícil es perdonar, girar la pagina del cuaderno para volver a empezar, con olvido y sin rencores.
Que difícil es entender este reloj de la vida, que nunca se detiene y que tarde o temprano te alcanzará, ¡A todos le llega la hora!.
Y tú tienes la opción de que te encuentre como una fruta inmadura en un árbol, quemándote con la helada, débil y sin gusto, sin servir para nada. O que te halle como una fruta madura a la que pueden disfrutar saboreándola; y si caes del árbol servirás de semilla, porque eres un ejemplo, eres una persona digna de imitar.
19-03-12
Justicia y démocracia en Républica
Que es la justicia?
La paz y la democracia son dos consecuencias directas de libertad; y donde hay libertad es por que hay justicia
La justicia es más que un concepto, la garantía para todo ciudadano de sus derechos tal como figuran en las leyes de un país, la justicia es el respecto por todos de la constitución. Sin lo cual la noción de república desaparece.
Algunos regímenes adoptan de manera ilegal el nombre de repúblicas, puesto que una república es un país donde todos los ciudadanos son tratados de la misma manera por el gobierno.
La violencia
La violencia, el asesinato cuando son utilizados por un estado como medio de garantía de la paz, es un síntoma de supresión del estado de derecho donde se respecta la libertad de opinión, la vida humana; donde solo por un juicio oficial se decide de la vida de las personas, esto, cualquiera que sea su delito.
La opinión
Opinar entonces es un derecho universal de todo individuo si sus derechos son garantizados por una constitución en una república. La libertad de cultos, de ideologías, de religión son principios inalienables en toda república, lo contrario no es ni democrático ni legitimo
La información
Los medios de comunicación tienen por función transmitir la información de manera ética e imparcial, ninguna ley puede impedir que la información llegue al publico. Si un profesional de la comunicación se llegara a equivocar seria simplemente confrontado a la justicia que sancionara la falta. Ningún acto coercitivo, amenaza u otra forma de violencia es legitima al encuentro de los profesionales de la comunicación o ningún otro gremio profesional o grupo de personas asociados según las leyes.
La paz y la democracia son dos consecuencias directas de libertad; y donde hay libertad es por que hay justicia
La justicia es más que un concepto, la garantía para todo ciudadano de sus derechos tal como figuran en las leyes de un país, la justicia es el respecto por todos de la constitución. Sin lo cual la noción de república desaparece.
Algunos regímenes adoptan de manera ilegal el nombre de repúblicas, puesto que una república es un país donde todos los ciudadanos son tratados de la misma manera por el gobierno.
La violencia
La violencia, el asesinato cuando son utilizados por un estado como medio de garantía de la paz, es un síntoma de supresión del estado de derecho donde se respecta la libertad de opinión, la vida humana; donde solo por un juicio oficial se decide de la vida de las personas, esto, cualquiera que sea su delito.
La opinión
Opinar entonces es un derecho universal de todo individuo si sus derechos son garantizados por una constitución en una república. La libertad de cultos, de ideologías, de religión son principios inalienables en toda república, lo contrario no es ni democrático ni legitimo
La información
Los medios de comunicación tienen por función transmitir la información de manera ética e imparcial, ninguna ley puede impedir que la información llegue al publico. Si un profesional de la comunicación se llegara a equivocar seria simplemente confrontado a la justicia que sancionara la falta. Ningún acto coercitivo, amenaza u otra forma de violencia es legitima al encuentro de los profesionales de la comunicación o ningún otro gremio profesional o grupo de personas asociados según las leyes.
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VALE LA PENA
La vida me enseño, que mientras hago planes a futuro
Que cuando creo que he ganado, me recuerda que nada es seguro
Me enseño que hay que vivir, y cada segundo poderlo disfrutar
Miserable, perfecta, no la puedo evadir, a veces me tengo que resignar.
El silencio me enseño, a poder pensar con tanta claridad
A escucharme, a preguntarme, a responderme, a aceptar la verdad
La soledad me enseño, a saber lo que quiero y donde lo puedo buscar
A no tenerle miedo, porque solo así tendré el privilegio de amar.
Los problemas me enseñaron, a que en esta vida nada es fácil
Que si no te aferras, si no tienes esas ganas de luchar, te vuelves frágil
El sufrimiento me enseño, a darle ese valor que merece la felicidad
Que muchas veces no agradecemos, seguimos quejándonos de la realidad.
Estar tocando fondo me enseño, que para abajo ya no hay camino
Que subir es lo único que queda, hacia arriba es mi único destino
La muerte me enseño, que es lo único seguro, que solo provoca dolor
La respeto, no le tengo miedo lo juro, solo le tengo un cierto temor.
Que sentirse enamorado, te da la voluntad para luchar contra todo
porque pocas veces llega a nuestro corazón un amor de este modo
se que muchas veces, resulta dificil, encontrar a ese ser amado
es por eso que no se debe renunciar nunca al AMOR, sin haber luchado!!
Que cuando creo que he ganado, me recuerda que nada es seguro
Me enseño que hay que vivir, y cada segundo poderlo disfrutar
Miserable, perfecta, no la puedo evadir, a veces me tengo que resignar.
El silencio me enseño, a poder pensar con tanta claridad
A escucharme, a preguntarme, a responderme, a aceptar la verdad
La soledad me enseño, a saber lo que quiero y donde lo puedo buscar
A no tenerle miedo, porque solo así tendré el privilegio de amar.
Los problemas me enseñaron, a que en esta vida nada es fácil
Que si no te aferras, si no tienes esas ganas de luchar, te vuelves frágil
El sufrimiento me enseño, a darle ese valor que merece la felicidad
Que muchas veces no agradecemos, seguimos quejándonos de la realidad.
Estar tocando fondo me enseño, que para abajo ya no hay camino
Que subir es lo único que queda, hacia arriba es mi único destino
La muerte me enseño, que es lo único seguro, que solo provoca dolor
La respeto, no le tengo miedo lo juro, solo le tengo un cierto temor.
Que sentirse enamorado, te da la voluntad para luchar contra todo
porque pocas veces llega a nuestro corazón un amor de este modo
se que muchas veces, resulta dificil, encontrar a ese ser amado
es por eso que no se debe renunciar nunca al AMOR, sin haber luchado!!
►PRIORIDADES EN LA VIDA◄
LAS PELOTAS DE GOLF Y LA VIDA
Reflexión
Cuando las cosas en la vida parecen demasiado, cuando 24 horas al día no son suficientes
recuerda.. el frasco de mayonesa, las pelotas de Golf, las cánicas y el café:
Al hacerle una pregunta al profesor de Filosofía sobre las PRIORIDADES DE LA VIDA?
Este sin decir palabra, tomó un frasco grande y vacío de mayonesa y procedió a llenarlo con pelotas de golf.
-Luego le preguntó a sus estudiantes si el frasco estaba lleno. Los estudiantes estuvieron de acuerdo en decir que SI
Así que el profesor tomó una caja llena de canicas y la vació dentro del frasco de mayonesa.
Las canicas llenaron los espacios vacíos entre las pelotas de golf.
-El profesor volvió a preguntarles a los estudiantes si el frasco estaba lleno? y ellos volvieron a decir que SI
Luego el profesor tomó una caja con arena y la vació dentro del frasco. Por supuesto, la arena llenó todos los espacios vacíos
-y el profesor preguntó nuevamente si el frasco estaba lleno. En esta ocasión los estudiantes respondieron con un “SI” unánime.
El profesor enseguida agregó 2 tazas de café al contenido del frasco y efectivamente llenó todos los espacios vacíos entre la arena.
-Los estudiantes reían en esta ocasión....Cuando la risa se apagaba, el profesor dijo:
“Quiero que se den cuenta que este frasco representa la vida.
Las pelotas de golf son las cosas importantes como Dios, la familia, los hijos, la salud, los amigos, las cosas que te apasionan.
-Son cosas que aún si todo lo demás lo perdiéramos y solo éstas quedaran, nuestras vidas aún estarían llenas.
Las canicas son las otras cosas que importan como el trabajo, la casa, el carro, etc. La arena es todo lo demás, las pequeñas cosas.
-Si ponemos primero la arena en el frasco, no habría espacio para las canicas ni para la pelotas de golf.
Lo mismo ocurre con la vida....Si gastamos todo nuestro tiempo y energía en las cosas pequeñas, nunca tendremos lugar para las cosas realmente importantes.
Presta atención a las cosas que son cruciales para tu felicidad. Juega con tus hijos, tómate tiempo para asistir al doctor, ve con tu pareja a cenar, practica tu deporte o afición favorita. Siempre habrá tiempo para limpiar la casa y reparar la llave del agua. Ocúpate de las
“pelotas de golf” primero, de las cosas que realmente importan.
Establece tus prioridades, el resto es solo arena.”
-Uno de los estudiantes levantó la mano y preguntó qué representaba el café?
El profesor sonrió y dijo:
“Qué bueno que lo preguntas. Sólo es para demostrarles que no importa cuán ocupada tu vida pueda parecer, siempre hay lugar para un par de tazas de café con un amig@.”
PD:Esta Reflexión en particular, en mi época de estudiante...ah sido la más relevante en mi vida♥♥ ENTRE MUCHAS MÁS......
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Reflexión
Cuando las cosas en la vida parecen demasiado, cuando 24 horas al día no son suficientes
recuerda.. el frasco de mayonesa, las pelotas de Golf, las cánicas y el café:
[url=[url=https://servimg.com/view/16916880/18]
Al hacerle una pregunta al profesor de Filosofía sobre las PRIORIDADES DE LA VIDA?
Este sin decir palabra, tomó un frasco grande y vacío de mayonesa y procedió a llenarlo con pelotas de golf.
-Luego le preguntó a sus estudiantes si el frasco estaba lleno. Los estudiantes estuvieron de acuerdo en decir que SI
Así que el profesor tomó una caja llena de canicas y la vació dentro del frasco de mayonesa.
Las canicas llenaron los espacios vacíos entre las pelotas de golf.
-El profesor volvió a preguntarles a los estudiantes si el frasco estaba lleno? y ellos volvieron a decir que SI
Luego el profesor tomó una caja con arena y la vació dentro del frasco. Por supuesto, la arena llenó todos los espacios vacíos
-y el profesor preguntó nuevamente si el frasco estaba lleno. En esta ocasión los estudiantes respondieron con un “SI” unánime.
El profesor enseguida agregó 2 tazas de café al contenido del frasco y efectivamente llenó todos los espacios vacíos entre la arena.
-Los estudiantes reían en esta ocasión....Cuando la risa se apagaba, el profesor dijo:
“Quiero que se den cuenta que este frasco representa la vida.
Las pelotas de golf son las cosas importantes como Dios, la familia, los hijos, la salud, los amigos, las cosas que te apasionan.
-Son cosas que aún si todo lo demás lo perdiéramos y solo éstas quedaran, nuestras vidas aún estarían llenas.
Las canicas son las otras cosas que importan como el trabajo, la casa, el carro, etc. La arena es todo lo demás, las pequeñas cosas.
-Si ponemos primero la arena en el frasco, no habría espacio para las canicas ni para la pelotas de golf.
Lo mismo ocurre con la vida....Si gastamos todo nuestro tiempo y energía en las cosas pequeñas, nunca tendremos lugar para las cosas realmente importantes.
Presta atención a las cosas que son cruciales para tu felicidad. Juega con tus hijos, tómate tiempo para asistir al doctor, ve con tu pareja a cenar, practica tu deporte o afición favorita. Siempre habrá tiempo para limpiar la casa y reparar la llave del agua. Ocúpate de las
“pelotas de golf” primero, de las cosas que realmente importan.
Establece tus prioridades, el resto es solo arena.”
-Uno de los estudiantes levantó la mano y preguntó qué representaba el café?
El profesor sonrió y dijo:
“Qué bueno que lo preguntas. Sólo es para demostrarles que no importa cuán ocupada tu vida pueda parecer, siempre hay lugar para un par de tazas de café con un amig@.”
PD:Esta Reflexión en particular, en mi época de estudiante...ah sido la más relevante en mi vida♥♥ ENTRE MUCHAS MÁS......
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pasado presente futuro
Epicuriano o Carpe diem
No podría expresarme sobre numerosas comunidades, a las cuales, en occidente, si existen personas que no solo le hubieran prestado atención, pero que supongo que dan por hecho que ciertas ideas, (no se si tomarlas como religión) son vigentes, o al menos se pueden aplicar.
El tiempo de la felicidad será para después, n’encombre jamais ta courte vie des désirs et d’espérances, La felicidad se logra cuando logramos satisfacer lo que hoy no tenemos. Como vivir por ser felices, interesarnos a cosas banales, sin sentido, liberarnos del peso del pasado, sin pensar en responsabilidades para el futuro. Acaso la preocupación sobre el futuro nos priva de disfrutar del presente.
Expresarse abiertamente sobre un tema que en realidad conjuga niveles de conocimiento, demasiado importantes, es asumir el riesgo mayor de dejar nuestras convicciones intimas, al alcance del lector, como si pudiésemos abandonar una agenda intima en un banco de un parque publico, muy frecuentado un domingo a medio día.
Hoy quizá cuando se aborda el sendero del otoño de nuestra vida, imposible, es intentar dar un paso, de manera egoísta, vanidosa, orgullosa.
Egoísta, es imposible pues no sabemos cuando vamos a necesitar de una persona, esa persona solo podría acompañarnos, porque significamos algo para ella. Somos egoístas, si creemos que podemos avanzar en el sendero del otoño de la vida, sin alguien que en estaría aferrada a nuestros defectos y calidades, solo si fundamentalmente estará convencida de la fidelidad. No ser fiel a alguien, es admitir que no nos importa, si no nos importa alguien para compartir ese otoño incierto es por inmadurez estúpida o egoísmo.
Vanidad, quizá a los veinte años, disponíamos de grandes calidades, las flores en primavera son muy lindas. La piel, la anatomía humana, es como las flores, con la vanidad y otras características similares, se nos puede olvidar que con el tiempo nuestros atributos, van desapareciendo, y solo por vanidad lo podríamos olvidar, que error más grave.
Orgullo, creo que darle demasiada importancia, a lo que poseemos, intelectual, material, familiar, es creer que al morir todo nos acompañará indefinidamente. En verdad no, siempre he creído que solo poseo, la memoria, es más, una razón de peso para escribir es porque siempre he dudado de ella. No dispongo de tanta certidumbre, de tanto orgullo, para creer que los años han pasado y que nada en mí habría cambiado. Soy diferente, menos interesante, coincido en algo con Nietzsche, sin necesariamente asumir su misoginia bien al contrario.
La verdad para recorrer los senderos del otoño, hoy tomo en absoluto distancia de cualquier tentación epicúrea o peor Carpe Diem, incluso en lo más profundo, de mi parecer, deseo tomar relativamente tiempo, para escoger el atuendo, las sandalias, el bastón y sobre todo quien, necesariamente desee recorrer ese sendero a mí lado. Admito que prefiero antes que enviar una solicitud, admito que anhelo antes de presentar mi candidatura, lo contrario. Admito que me siento como cuando en la primera infancia, debía atravesar en la oscuridad desde mi cama saliendo de la alcoba, pasando por la sala, abrir la puesta del corredor, ya se trataba de un momento de terror, pues sentí las frías manos de la muerte, a cada vez acariciar mi rostro, disfrazada de viento frio en la madrugada.
Tener que atravesar la integridad del patio, sin poder iluminar más que con una vela, que la muerte misma apagaba. Me siento, pues frágil, vulnerable, indeciso, pero supongo que debo, asumir con mucha calma, un paso que significa mucho para el resto de mi vida.
No podría expresarme sobre numerosas comunidades, a las cuales, en occidente, si existen personas que no solo le hubieran prestado atención, pero que supongo que dan por hecho que ciertas ideas, (no se si tomarlas como religión) son vigentes, o al menos se pueden aplicar.
El tiempo de la felicidad será para después, n’encombre jamais ta courte vie des désirs et d’espérances, La felicidad se logra cuando logramos satisfacer lo que hoy no tenemos. Como vivir por ser felices, interesarnos a cosas banales, sin sentido, liberarnos del peso del pasado, sin pensar en responsabilidades para el futuro. Acaso la preocupación sobre el futuro nos priva de disfrutar del presente.
Expresarse abiertamente sobre un tema que en realidad conjuga niveles de conocimiento, demasiado importantes, es asumir el riesgo mayor de dejar nuestras convicciones intimas, al alcance del lector, como si pudiésemos abandonar una agenda intima en un banco de un parque publico, muy frecuentado un domingo a medio día.
Hoy quizá cuando se aborda el sendero del otoño de nuestra vida, imposible, es intentar dar un paso, de manera egoísta, vanidosa, orgullosa.
Egoísta, es imposible pues no sabemos cuando vamos a necesitar de una persona, esa persona solo podría acompañarnos, porque significamos algo para ella. Somos egoístas, si creemos que podemos avanzar en el sendero del otoño de la vida, sin alguien que en estaría aferrada a nuestros defectos y calidades, solo si fundamentalmente estará convencida de la fidelidad. No ser fiel a alguien, es admitir que no nos importa, si no nos importa alguien para compartir ese otoño incierto es por inmadurez estúpida o egoísmo.
Vanidad, quizá a los veinte años, disponíamos de grandes calidades, las flores en primavera son muy lindas. La piel, la anatomía humana, es como las flores, con la vanidad y otras características similares, se nos puede olvidar que con el tiempo nuestros atributos, van desapareciendo, y solo por vanidad lo podríamos olvidar, que error más grave.
Orgullo, creo que darle demasiada importancia, a lo que poseemos, intelectual, material, familiar, es creer que al morir todo nos acompañará indefinidamente. En verdad no, siempre he creído que solo poseo, la memoria, es más, una razón de peso para escribir es porque siempre he dudado de ella. No dispongo de tanta certidumbre, de tanto orgullo, para creer que los años han pasado y que nada en mí habría cambiado. Soy diferente, menos interesante, coincido en algo con Nietzsche, sin necesariamente asumir su misoginia bien al contrario.
La verdad para recorrer los senderos del otoño, hoy tomo en absoluto distancia de cualquier tentación epicúrea o peor Carpe Diem, incluso en lo más profundo, de mi parecer, deseo tomar relativamente tiempo, para escoger el atuendo, las sandalias, el bastón y sobre todo quien, necesariamente desee recorrer ese sendero a mí lado. Admito que prefiero antes que enviar una solicitud, admito que anhelo antes de presentar mi candidatura, lo contrario. Admito que me siento como cuando en la primera infancia, debía atravesar en la oscuridad desde mi cama saliendo de la alcoba, pasando por la sala, abrir la puesta del corredor, ya se trataba de un momento de terror, pues sentí las frías manos de la muerte, a cada vez acariciar mi rostro, disfrazada de viento frio en la madrugada.
Tener que atravesar la integridad del patio, sin poder iluminar más que con una vela, que la muerte misma apagaba. Me siento, pues frágil, vulnerable, indeciso, pero supongo que debo, asumir con mucha calma, un paso que significa mucho para el resto de mi vida.
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