LE CREDIT UNE HABITUDE QUI DEVINNE LOI
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LE CREDIT UNE HABITUDE QUI DEVINNE LOI
Chronique d'actualitéJoigny, dimanche 7 décembre 2008
par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Le crédit une habitude qui devienne loi
Le système dans l'état actuel; ou l'économie des biens matériels concerne seul 16%, devenu "par l'usage" une loi. Lorsque les entreprises et les citoyens caressent de liquidité ou des fonds propres, tout est mise à leur disposition pour palier au problème, grâce au crédit.
Je ne suis pas économiste, mais en parti, cette loi d'usage, qui favorise alors la manipulation des marchés par des procèdes en quelques sortes biaisés. Reste une règle pour tant admise de touts.
Des gros clients
Il y a pas que la production des biens et de services qui fait appelle au crédit il y a aussi les collectivités les gouvernements des pays, qui par le volume, font que le crédit soit un élément clé de l'activité économique.
Sans clairvoyance
Les médias, dans les six derniers mois, nous vaccinent avec le message de crise économique mondiale, je reste circonspect, quant à l'idée d'un phénomène inopiné. Car tout le monde sais que les banques centrales ont le rôle d'influencer le volume d'activité économique puis particulièrement le volume de crédit, par via des taux au jour le jour, avec influence sur des phénomènes comme l'inflation ou la croissance.
Il y a quant à moi un reproche d'office, il y a non pas le disfonctionnement, mais sans aucune doute, une dérive, qui ne doit pas être admise comme règle. Cette dérive, prends tout sa source dans l'évolution de la notion de crédit.
Sans doute aussi, qu'a partir du phénomène, sont crées des prévisions, des documents et même de la monnaie, qui force est de constater, entraine l'économie dans des états inadmissibles. Puisque à partir de la notion de crédit sont échafaudes des valeurs, des titres, de la trésorerie. Avec des prévisions où le facteur humain (ambition) joue un rôle dangereux.
La tentation d'y rester et grande
Avec le taux à 1.0 %, je ne voie pas vraiment grande marge de manouvre pour la FED autres que les trois mesures PDCF, TSLF et AMLF prolongées jusqu'au troisième semestre 2009 au moins.
La politique de la FED, me semble un indicateur, un symptôme, il y avait une date butoir, Malgré, les 259 milliards de PDCF (facilité de crédit aux organismes utilisateurs de valeur du Trésor. Les 200 milliards de TSLF aides du Trésor à un mois. (Échange des toxiques contre des obligations du Trésor) et les 540 milliards de AMLF (un mig-mag qui collecte pour fluidifier la liquidité). Si la prolongation de ses trois mesures est rallongé à fin avril 2009; c'est claire que cela fait penser que ses 999 MdUS$ n'ont pas suffis à enrailler le phénomène.
Vous avait là, trois outils, très sophistiques en termes d'économie, non négligeables. Mais l'économie reste cette lourde locomotive, qui à été trop ralentie par des actes de malveillance, sans que les coupables aient été inquiétés. La loi de l'inertie, bien connue en physique, en mécanique, s'applique ici.
Du crédit tout ça ?
par Nestor Elias Ramirez Jimenez
Le crédit une habitude qui devienne loi
Le système dans l'état actuel; ou l'économie des biens matériels concerne seul 16%, devenu "par l'usage" une loi. Lorsque les entreprises et les citoyens caressent de liquidité ou des fonds propres, tout est mise à leur disposition pour palier au problème, grâce au crédit.
Je ne suis pas économiste, mais en parti, cette loi d'usage, qui favorise alors la manipulation des marchés par des procèdes en quelques sortes biaisés. Reste une règle pour tant admise de touts.
Des gros clients
Il y a pas que la production des biens et de services qui fait appelle au crédit il y a aussi les collectivités les gouvernements des pays, qui par le volume, font que le crédit soit un élément clé de l'activité économique.
Sans clairvoyance
Les médias, dans les six derniers mois, nous vaccinent avec le message de crise économique mondiale, je reste circonspect, quant à l'idée d'un phénomène inopiné. Car tout le monde sais que les banques centrales ont le rôle d'influencer le volume d'activité économique puis particulièrement le volume de crédit, par via des taux au jour le jour, avec influence sur des phénomènes comme l'inflation ou la croissance.
Il y a quant à moi un reproche d'office, il y a non pas le disfonctionnement, mais sans aucune doute, une dérive, qui ne doit pas être admise comme règle. Cette dérive, prends tout sa source dans l'évolution de la notion de crédit.
Sans doute aussi, qu'a partir du phénomène, sont crées des prévisions, des documents et même de la monnaie, qui force est de constater, entraine l'économie dans des états inadmissibles. Puisque à partir de la notion de crédit sont échafaudes des valeurs, des titres, de la trésorerie. Avec des prévisions où le facteur humain (ambition) joue un rôle dangereux.
La tentation d'y rester et grande
Avec le taux à 1.0 %, je ne voie pas vraiment grande marge de manouvre pour la FED autres que les trois mesures PDCF, TSLF et AMLF prolongées jusqu'au troisième semestre 2009 au moins.
La politique de la FED, me semble un indicateur, un symptôme, il y avait une date butoir, Malgré, les 259 milliards de PDCF (facilité de crédit aux organismes utilisateurs de valeur du Trésor. Les 200 milliards de TSLF aides du Trésor à un mois. (Échange des toxiques contre des obligations du Trésor) et les 540 milliards de AMLF (un mig-mag qui collecte pour fluidifier la liquidité). Si la prolongation de ses trois mesures est rallongé à fin avril 2009; c'est claire que cela fait penser que ses 999 MdUS$ n'ont pas suffis à enrailler le phénomène.
Vous avait là, trois outils, très sophistiques en termes d'économie, non négligeables. Mais l'économie reste cette lourde locomotive, qui à été trop ralentie par des actes de malveillance, sans que les coupables aient été inquiétés. La loi de l'inertie, bien connue en physique, en mécanique, s'applique ici.
Du crédit tout ça ?
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