La destruction des acquis syndicaux
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La destruction des acquis syndicaux
Ce soir mardi 11 novembre 2008, la chaîne ARTE, vienne de montrer un document très complet sur les conditions de travail précaire en Allemagne. En même temps qu'il est pointe de doigt par un avocat allemand, la technique d'accord entre le patronat allemand et des syndicats minoritaires, voir même des syndicats fantômes, qui détruisent les acquis et le travail digne en Allemagne.
XIV congre FO à Appoigny
XIV congre syndical CGT-FO89 à Appoigny
Lors du XIV congre FORCE OUVRIERE tenu à Appoigny dans le département de l'Yonne, Les secrétaires départementaux de différentes branches
ont présenté leur compte rendu ou bilan général.
Un fait, reste constant, l'érosion d'emploi autant dans la fonction publique que dans le privé.
Le service postal, l'éducation, la santé, la métallurgie, dans une liste non exhaustive, soufrent d'une crise de la quelle les travailleurs son loin d'être les responsables, mais en payent le prix le plus fort.
Le gouvernement, de manière systématique, (non remplacement des départ en retraite, emplois précaires ou vacataires, privatisation progressive, Sous-traitance) substitue à terme le statu de la fonction publique.
Face à des telles atteintes aux acquis, le mot d'ordre à l'unanimité dans ce congres à était défini, comme seule issue logique dans le rapport de forces; suite aux résultats des différentes manifestations de l'année 2009.
La grève général illimité à était applaudie vivement! La balle est dans le camp de la confédération national maintenant. Pour déterminer la
date. Il est regrettable en arriver là, mais l'autisme du gouvernement ne peu que déboucher sur ce genre de résultat.
Par Nestor El:ias Ramirez Jimenez
Joigny mercredi 23 décembre 2009
Lors du XIV congre FORCE OUVRIERE tenu à Appoigny dans le département de l'Yonne, Les secrétaires départementaux de différentes branches
ont présenté leur compte rendu ou bilan général.
Un fait, reste constant, l'érosion d'emploi autant dans la fonction publique que dans le privé.
Le service postal, l'éducation, la santé, la métallurgie, dans une liste non exhaustive, soufrent d'une crise de la quelle les travailleurs son loin d'être les responsables, mais en payent le prix le plus fort.
Le gouvernement, de manière systématique, (non remplacement des départ en retraite, emplois précaires ou vacataires, privatisation progressive, Sous-traitance) substitue à terme le statu de la fonction publique.
Face à des telles atteintes aux acquis, le mot d'ordre à l'unanimité dans ce congres à était défini, comme seule issue logique dans le rapport de forces; suite aux résultats des différentes manifestations de l'année 2009.
La grève général illimité à était applaudie vivement! La balle est dans le camp de la confédération national maintenant. Pour déterminer la
date. Il est regrettable en arriver là, mais l'autisme du gouvernement ne peu que déboucher sur ce genre de résultat.
Par Nestor El:ias Ramirez Jimenez
Joigny mercredi 23 décembre 2009
Gramophone- membre
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Localisation : joigny
Date d'inscription : 21/02/2009
A NICDOUILH
Dans une rubrique parmis d'autres du forum d'un journal national français une personne que je vais nommer ici nid doullé, a exprimé ce-ci:
En una rubrica entre diversas de un periodico nacional frances, una persona que llamare nido confortable me ha hecho la respuesta siguiente:
"nido confortable" le 26/04/10 parti socialiste
L''éducations n''éduque pas, politiquement bien sûr, c''est-à-dire ne formate pas des esprits de gauche, avec les flopées de syndicalistes qui s''y trouvent? Vous vous foutez de nous ? Vous n''êtes pas depuis assez longtemps dans notre pays, mon pauvre
En castellano :
La educacin no educa politicamente, claro, es decir que no forma espiritus de izquierda, con la manada de sindicalistas que contiene?
Usted ser burla de mi?
Usted vive hace muy poco tiempo en mi pais, mi pobre.
Voici ma réponse :
L'éducation doit former le citoyen à être actif, donc a jouer un rôle au sein de la société, sans quoi le risque de développement d'antisociales est grande.
Ce rôle, comporte des actes, des choix, tout au long de l'existence?
Dans l'acte banal de choisir un produit lors de l'achat, il y a intrinsèque un acte politique.
Car la consommation global, bien au-delà d'une région, des nations mais à la taille du monde, donne de la rentabilité aux entreprises à coté de leurs politique à travers de la publicité et des chois de matières, etc.
C'est parce que les consommateurs, dans l'individualisme induit agissent isolés, que le capital progresse; d'autant plus que les grandes entreprises se trouvent à la pointe dans le progrès et surtout dans leurs politiques d'association sous formes d'oligopoles des monopoles des transnationales, des internationales. La mondialisation du capital prétend avances sans la mondialisation des intérêts des consommateurs, et bien sur sans la mondialisation des intérêts de la main d'ouvre.
C'est une réussite tant que "l'individualisme induit" prôné par le système, obtient les résultats que l'on connait.
Je ne suis pas français, certes de naissance, mais j'ai la chance d'avoir reçu une éducation, où la connaissance de l'histoire, me donne cette vision que beaucoup de citoyens lambda n'ont pas.
C'est parce que j'ai eu à connaitre donc, les faits vers 1929, les cinq années qu'on suivi, puis en Europe les années 30. Que j'ai me permets d'en aborder dès mon faible niveau les choses.
La lutte ouvrière, vers 1935, l'arrivé de Leon Blum au pouvoir, mais aussi juste avant le Franquisme en Espagne, sont des sources d'inspiration que nous nouveaux leaders syndicaux, (me semble) ne prennent pas en compte.
Mais mon très cher monsieur NICDOUILH la classe ouvrière, a vécu, est à toujours affronté un patronat bourgeois, des nantis, et même avec deux sang, les travailleurs ont réussi quelques avancés.
Les fait de 1831 a Lyon avec la révolte des canus? La date du 21 novembre 1831? L'insurrection des Voraces vers 1848-49, car les faits de 1931 avec les canus donne aux ouvriers une "conscience de classe" fait naitre, l'idée d'un intérêt commun.
La créations des premiers caisses d'assurances et des accident de travail en juillet 1868
La première convention collective signée a Arras fruit de quoi ? D'une grève.
Le tout malgré le décret de 1791 dit d'Allarde et la loi "Le Chapelier" de la même année il faut croire que au prix de la vie et du sang versé sur les rues, de la part de nos ancêtres ouvriers, nous avons eu la chance avec le ministre Pierre Waldeck-Rousseau d'obtenir une loi autorisant les syndicats en 1884.
Mais monsieur l'intellectuel! Monsieur le défendeur des nantis, (néanmoins par votre discours) a travers lequel, je découvre un faut, car vous semblé ignorer des choses que je connais, (moi petit immigré, ignare, petit quidam) Nous pouvons évoquer encore des réussites de l'union des travailleurs:
La semaine de 40 heures
Les congés payés pour tous
Les avances lors des grèves de mai et juin de 1936
Cela n'est qu'un petit échantillon, une liste non exhaustive des revendications que le gouvernement Sarkozy aurait tendance a détruire!
En una rubrica entre diversas de un periodico nacional frances, una persona que llamare nido confortable me ha hecho la respuesta siguiente:
"nido confortable" le 26/04/10 parti socialiste
L''éducations n''éduque pas, politiquement bien sûr, c''est-à-dire ne formate pas des esprits de gauche, avec les flopées de syndicalistes qui s''y trouvent? Vous vous foutez de nous ? Vous n''êtes pas depuis assez longtemps dans notre pays, mon pauvre
En castellano :
La educacin no educa politicamente, claro, es decir que no forma espiritus de izquierda, con la manada de sindicalistas que contiene?
Usted ser burla de mi?
Usted vive hace muy poco tiempo en mi pais, mi pobre.
Voici ma réponse :
L'éducation doit former le citoyen à être actif, donc a jouer un rôle au sein de la société, sans quoi le risque de développement d'antisociales est grande.
Ce rôle, comporte des actes, des choix, tout au long de l'existence?
Dans l'acte banal de choisir un produit lors de l'achat, il y a intrinsèque un acte politique.
Car la consommation global, bien au-delà d'une région, des nations mais à la taille du monde, donne de la rentabilité aux entreprises à coté de leurs politique à travers de la publicité et des chois de matières, etc.
C'est parce que les consommateurs, dans l'individualisme induit agissent isolés, que le capital progresse; d'autant plus que les grandes entreprises se trouvent à la pointe dans le progrès et surtout dans leurs politiques d'association sous formes d'oligopoles des monopoles des transnationales, des internationales. La mondialisation du capital prétend avances sans la mondialisation des intérêts des consommateurs, et bien sur sans la mondialisation des intérêts de la main d'ouvre.
C'est une réussite tant que "l'individualisme induit" prôné par le système, obtient les résultats que l'on connait.
Je ne suis pas français, certes de naissance, mais j'ai la chance d'avoir reçu une éducation, où la connaissance de l'histoire, me donne cette vision que beaucoup de citoyens lambda n'ont pas.
C'est parce que j'ai eu à connaitre donc, les faits vers 1929, les cinq années qu'on suivi, puis en Europe les années 30. Que j'ai me permets d'en aborder dès mon faible niveau les choses.
La lutte ouvrière, vers 1935, l'arrivé de Leon Blum au pouvoir, mais aussi juste avant le Franquisme en Espagne, sont des sources d'inspiration que nous nouveaux leaders syndicaux, (me semble) ne prennent pas en compte.
Mais mon très cher monsieur NICDOUILH la classe ouvrière, a vécu, est à toujours affronté un patronat bourgeois, des nantis, et même avec deux sang, les travailleurs ont réussi quelques avancés.
Les fait de 1831 a Lyon avec la révolte des canus? La date du 21 novembre 1831? L'insurrection des Voraces vers 1848-49, car les faits de 1931 avec les canus donne aux ouvriers une "conscience de classe" fait naitre, l'idée d'un intérêt commun.
La créations des premiers caisses d'assurances et des accident de travail en juillet 1868
La première convention collective signée a Arras fruit de quoi ? D'une grève.
Le tout malgré le décret de 1791 dit d'Allarde et la loi "Le Chapelier" de la même année il faut croire que au prix de la vie et du sang versé sur les rues, de la part de nos ancêtres ouvriers, nous avons eu la chance avec le ministre Pierre Waldeck-Rousseau d'obtenir une loi autorisant les syndicats en 1884.
Mais monsieur l'intellectuel! Monsieur le défendeur des nantis, (néanmoins par votre discours) a travers lequel, je découvre un faut, car vous semblé ignorer des choses que je connais, (moi petit immigré, ignare, petit quidam) Nous pouvons évoquer encore des réussites de l'union des travailleurs:
La semaine de 40 heures
Les congés payés pour tous
Les avances lors des grèves de mai et juin de 1936
Cela n'est qu'un petit échantillon, une liste non exhaustive des revendications que le gouvernement Sarkozy aurait tendance a détruire!
L'éditorial de Jean-Claude Mailly
ANTISOCIAL, PERRUCHOT PERD SON SANG-FROID
De jEAN-CLAUDE MAILLY
À la demande du Groupe Nouveau Centre de l’Assemblée nationale, et plus particulièrement de l’un de ses membres, Nicolas Perruchot, une commission d’enquête sur le financement des organisations syndicales et patronales a été mise en place. Il faut d’ailleurs noter, au passage, qu’au début seules les organisations syndicales de salariés étaient concernées.
Dès le départ nous avions dénoncé cette opération en expliquant que la suspicion transpirait et que le Nouveau Centre devrait plutôt s’appeler «nouvelle inquisition».
Cette commission s’est donc réunie et a procédé à toute une série d’auditions, dont celle de Force Ouvrière. À la fin de ses travaux son rapport a été retoqué par l’Assemblée, c’est-à-dire que les députés n’ont pas donné le feu vert pour sa publication. C’est de leur responsabilité.
Visiblement chagriné, le rapporteur à l’origine de la commission – député maire de Blois – s’est répandu dans les médias. Ce qui n’est pas normal, sur le plan juridique.
Et de s’étonner, par exemple, s’agissant de Force Ouvrière, que la confédération ne soit pas en mesure de donner le montant global des cotisations versées par les adhérent(e)s Force Ouvrière. Et pourtant nous leur avons expliqué nos modes de fonctionnement, notre décentralisation, notre fédéralisme.
De fait, la confédération ne connaît que la quote-part globale des cotisations dites confédérales, c’est-à-dire la part de la cotisation qui relève statutairement du niveau confédéral.
Effectivement, n’en déplaise à certains élus, Force Ouvrière ne fonctionne pas comme une entreprise qui aurait des comptes consolidés avec un P-DG ou un directoire à sa tête. Ce serait contraire à notre conception de la démocratie, de la liberté et de l’indépendance.
Bien entendu, à cette occasion, on retrouve la sempiternelle observation selon laquelle le syndicalisme français, vu le taux de syndicalisation, serait plus faible qu’ailleurs. Ce qui dénote une méconnaissance profonde de notre histoire sociale, politique et républicaine.
Extrait du forum LE FIGARO sur le même sujet:
Combien coûtent les syndicats au contribuable?
Les 172,6 millions du rapport de la commission d’enquête Perruchot sur le financement des syndicats, représentent 0.14% des 122,172 milliards de notre addition
Je dois ramener à des chiffres raisonnables certaines informations
Le citoyen lambda est souvent pris par un sot à force de l’assener avec des précomptions de scandales et fraudes, quand les vraies fraudes et les vraies fraudeurs de haut vol, courent en liberté.
A vraie dire, quand nous avons un salaire de moins de 10 euros de l’euro, les chiffres en millions et milliards sont loin de représenter pour nous des valeurs pouvant nous dire vraiment quelque chose.
Il est tout à fait vrai que le montant de 172 million d’euros représente une valeur exorbitante quand nous avons 900 euros nets par moi.
Mais pour quoi comparer cette somme avec notre revenu ? Ce n’est pas logique ! Il vaut mieux la comparer à des sommes d’argent et des magnitudes comparables.
La police financière aurait émit un rapport pour 2010 faisant état de plus de 49 milliards d’évasion fiscale. Pour la même période, la commission de finances du Sénat affirme que les niches fiscales représentent un manque à gagner pour l’Etat de 73 milliards d’euros.
Faisons une comparaison logique !
Une addition des sommes : (niches fiscales, évasion fiscale, plus subvention syndicale, pour avoir une idée ?
Ce sont 122,172 milliards d’euros de manque à gagner pour les caisses de l’Etat !
Distribués en pourcentage s’il vous plaît ?
Exonération d’impôt pour les syndicats : 0,10% (lorsque l’on cotisse pour un syndicat, 50% sont déductibles d’impôts) cela donne 125 millions. Sur 172.6 millions du rapport 72,42% correspond non pas à de l’argent donnée directement mais une sorte de niche syndicale. Qui fait 0.10% de 122,172 milliards
Lien :
http://forums.lefigaro.fr/user/non-frames/message.asp?forumid=140&messageid=2116484&threadid=2116484
De jEAN-CLAUDE MAILLY
À la demande du Groupe Nouveau Centre de l’Assemblée nationale, et plus particulièrement de l’un de ses membres, Nicolas Perruchot, une commission d’enquête sur le financement des organisations syndicales et patronales a été mise en place. Il faut d’ailleurs noter, au passage, qu’au début seules les organisations syndicales de salariés étaient concernées.
Dès le départ nous avions dénoncé cette opération en expliquant que la suspicion transpirait et que le Nouveau Centre devrait plutôt s’appeler «nouvelle inquisition».
Cette commission s’est donc réunie et a procédé à toute une série d’auditions, dont celle de Force Ouvrière. À la fin de ses travaux son rapport a été retoqué par l’Assemblée, c’est-à-dire que les députés n’ont pas donné le feu vert pour sa publication. C’est de leur responsabilité.
Visiblement chagriné, le rapporteur à l’origine de la commission – député maire de Blois – s’est répandu dans les médias. Ce qui n’est pas normal, sur le plan juridique.
Et de s’étonner, par exemple, s’agissant de Force Ouvrière, que la confédération ne soit pas en mesure de donner le montant global des cotisations versées par les adhérent(e)s Force Ouvrière. Et pourtant nous leur avons expliqué nos modes de fonctionnement, notre décentralisation, notre fédéralisme.
De fait, la confédération ne connaît que la quote-part globale des cotisations dites confédérales, c’est-à-dire la part de la cotisation qui relève statutairement du niveau confédéral.
Effectivement, n’en déplaise à certains élus, Force Ouvrière ne fonctionne pas comme une entreprise qui aurait des comptes consolidés avec un P-DG ou un directoire à sa tête. Ce serait contraire à notre conception de la démocratie, de la liberté et de l’indépendance.
Bien entendu, à cette occasion, on retrouve la sempiternelle observation selon laquelle le syndicalisme français, vu le taux de syndicalisation, serait plus faible qu’ailleurs. Ce qui dénote une méconnaissance profonde de notre histoire sociale, politique et républicaine.
Extrait du forum LE FIGARO sur le même sujet:
Combien coûtent les syndicats au contribuable?
Les 172,6 millions du rapport de la commission d’enquête Perruchot sur le financement des syndicats, représentent 0.14% des 122,172 milliards de notre addition
Je dois ramener à des chiffres raisonnables certaines informations
Le citoyen lambda est souvent pris par un sot à force de l’assener avec des précomptions de scandales et fraudes, quand les vraies fraudes et les vraies fraudeurs de haut vol, courent en liberté.
A vraie dire, quand nous avons un salaire de moins de 10 euros de l’euro, les chiffres en millions et milliards sont loin de représenter pour nous des valeurs pouvant nous dire vraiment quelque chose.
Il est tout à fait vrai que le montant de 172 million d’euros représente une valeur exorbitante quand nous avons 900 euros nets par moi.
Mais pour quoi comparer cette somme avec notre revenu ? Ce n’est pas logique ! Il vaut mieux la comparer à des sommes d’argent et des magnitudes comparables.
La police financière aurait émit un rapport pour 2010 faisant état de plus de 49 milliards d’évasion fiscale. Pour la même période, la commission de finances du Sénat affirme que les niches fiscales représentent un manque à gagner pour l’Etat de 73 milliards d’euros.
Faisons une comparaison logique !
Une addition des sommes : (niches fiscales, évasion fiscale, plus subvention syndicale, pour avoir une idée ?
Ce sont 122,172 milliards d’euros de manque à gagner pour les caisses de l’Etat !
Distribués en pourcentage s’il vous plaît ?
Exonération d’impôt pour les syndicats : 0,10% (lorsque l’on cotisse pour un syndicat, 50% sont déductibles d’impôts) cela donne 125 millions. Sur 172.6 millions du rapport 72,42% correspond non pas à de l’argent donnée directement mais une sorte de niche syndicale. Qui fait 0.10% de 122,172 milliards
Lien :
http://forums.lefigaro.fr/user/non-frames/message.asp?forumid=140&messageid=2116484&threadid=2116484
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