Pages d'un journal intime
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Pages d'un journal intime
Varias veces me aconsejan escribir en mi idioma maternal, pues hoy hace más de veinte años que vivo distante de aquel que contaba casi treinta factorías de transformación de caña en azúcar y o panela. Vivo por vanidad apegado a una forma de vida por tanto en pérdida de esplendor pues mi llegada a Europa coincide con el fin de una época. Así tratará de modificar mi estilo creo imposible traisionar mis ideas sin duda íntimamente ligadas a mes orígenes modestos.
Grandes momentos
Para escribir una obra literaria, es fundamental buscar a satisfacer pero sobretodo a motivar el lector. Como un inmigrante llegado de un país de América del sur podría interesar el lector ?
Sin hipocresía, se trata de presentar una prosa capacitada a entretenir un nivel de motivación suficiente: Un colombiano en un país de Europa ?
El apriori sobre este origen asocia la persona al narcotráfico en primer plano. Una radiografía se impone al aeropuerto Roisy Caharles De Gaulle. Un control reforzado y la retención por la policía antinarcolticos de un sospechoso de narcotráfico.
La cárcel en Francia, es de lejos mejor que la libertad en un país como Colombia.
Está fecha coincide con el fin de la pena máxima aplicable en Francia es decir que cualquiera que sea el sumario, de delitos de un prevenido su pena no podra se superior a 22 años.
El pasado
Que es banal en una vida? Cartago ciudad de 120 mil habitantes a la época. Cuatro cadáveres en promedio tratados por día en la morgue. Hasta ahí nada de anormal excepto que se trata de muertes violentas y que un domingo se pueden acumular el doble de cuerpos, mientras que en las calles de estas ciudades de Europa si se escucha una sirena se trata por lo general de un caso de infarto o accidente de la circulación.
Grandes momentos
Para escribir una obra literaria, es fundamental buscar a satisfacer pero sobretodo a motivar el lector. Como un inmigrante llegado de un país de América del sur podría interesar el lector ?
Sin hipocresía, se trata de presentar una prosa capacitada a entretenir un nivel de motivación suficiente: Un colombiano en un país de Europa ?
El apriori sobre este origen asocia la persona al narcotráfico en primer plano. Una radiografía se impone al aeropuerto Roisy Caharles De Gaulle. Un control reforzado y la retención por la policía antinarcolticos de un sospechoso de narcotráfico.
La cárcel en Francia, es de lejos mejor que la libertad en un país como Colombia.
Está fecha coincide con el fin de la pena máxima aplicable en Francia es decir que cualquiera que sea el sumario, de delitos de un prevenido su pena no podra se superior a 22 años.
El pasado
Que es banal en una vida? Cartago ciudad de 120 mil habitantes a la época. Cuatro cadáveres en promedio tratados por día en la morgue. Hasta ahí nada de anormal excepto que se trata de muertes violentas y que un domingo se pueden acumular el doble de cuerpos, mientras que en las calles de estas ciudades de Europa si se escucha una sirena se trata por lo general de un caso de infarto o accidente de la circulación.
Última edición por Admin el Jue 25 Feb - 22:53, editado 3 veces (Razón : Carine Geerts)
Cogito ergo sum- membre
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Re: Pages d'un journal intime
il y a toujours un moment ainsi soit court
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans la voir éveillé en plus le doute
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans la voir éveillé en plus le doute
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le temps des vacances
il y a toujours un moment ainsi soit court
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans se voir éveillé en plus le doute
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans se voir éveillé en plus le doute
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tentative en espagnol pou Carina suite en Francais
Il été une fois
Où les pires des délinquants avaient un semblant de code d'honneur
Des délinquants de la pire espèce pouvaint donner leur vie pour ternir parole
Où les pires des délinquants avaient un semblant de code d'honneur
Des délinquants de la pire espèce pouvaint donner leur vie pour ternir parole
Última edición por Nestor Ramirez el Mar 17 Jul - 20:19, editado 1 vez
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tentative en espagnol pou Carina suite en Francais
une dette d'honneur
Merci à C. G. pour ses intentions, merci aux modérateurs des sites ici et là. Des personnes dotez d'abnégation sans limites. La langue française doit à des gens ainsi beaucoup; dans un temps où seul le profit compte.
Non cette fois-ci je promes m'abstenir de vous infliger mon duscours que dans le forum du journal Le Figaro m'a. valu ô combien d'in-amitié.
Loin de la pedantetie
Même si je prenez toutes les précautions, je dois rester humble, car je sais que la langue française reste loin de mes capacités.
Je suis arrivé à Paris en 1988 le 14 de novembre, issu d'un foyer d'un père ouvrier et une mère au foyer, vous ne trouverait pas dans ce texte, autre chose que du vécu, moyennement maquillé. L'éthique ou respect des gens obligent.
Après mon travail
J'avais quatorze ou quinze ans, alors pour l'argent de poche, je travaillais dans une discothèque de la onzième rue à 60 mètres du parc principal (à là ville de Cartago en Colombie) dans une discothèque d'une surface de moins de 80 mètres carrés; je pouvais gagner en deux nuits la moitié du salaire moyenne d'un mois de l'époque. Quand nous avons cette âge, nous n'avons aucun inquiétude sur l'avenir.
Mes parents toleraient moyennement que j'entre les trois nuits du week-end après minuit.
J'ai promis ne pas parler de la misère, je vous dois des excuses?
Entre le mois daoût 1974 et le mois de juin 1980, j'ai eux l'honneur d'être admis et étudier à l'Institute Technique Industriel INDALECIO PENILLA (l'équivalent d'un lycée en France "nous n'avons pas séparation de niveau collège et lycée").
Oui quand il s'agit des enfants des classés modestes il faut aider au moins avec cela, je pouvais ainsi me payer les fournitures, quand vous connaissez le prix d'un livre vous avait un soin particulier pour lui.
Je vous assure que j'ai depuis la manie de souffrir quand j'entend le bruit qui fait une feuille en papier quand elle est déchirée. J'entends comme des cris de douleur; voilà oui je souffre en voyant un tel acte un crime à mon sens.
Chez moi toute forme en papier (revu, journal, etc.) aura tendance à trouver un endroit pour toujours; à mon insu, dans mes absences, il y a des actions commando qui sont menées et mes amis les revus me sont ainsi arrachées destination la décharge.
Oui, après cette introduction, qui permettra de mieu cerner mon caracter; Je vais vous raconter ce qu'un mort m'à fait.
Oui il été de ceux qui finissent leur vie tel qu'ils l'auraient souhaité aux autres: c'est le cas d'un capitan de police, qu'un jours aura même était mon patron, je ne veux pas vous embrouiller, car cela arrive en époques bien que rapprochées différentes:
1-) Le capitan est sont équipé arrive au parc face à la station des chemins de fer.
Adossé au mur en brique rouge de plus de 2 mètres, côté sud se trouvent des baraques rustiques ou vivent des humildes personnes, leur source de revenu se compose de la vente de boissons gazeuses, du café et des bricoles du genre alimentation rapide bon marché, parler de austérité est en trop, disant que austérité ici est du luxe.
2 heures du matin du samedi.
Cette nuit j'avais terminé mon service vers une heure de matin, avec mon ami le D-J, nous avions eut la "très mauvaise" idée d'aller voir la-bas.
Atablées déjà il y avait une bonne douzaine d'individus, les mêmes qu'en un ouvrir et fermer des yeux de la manière la plus subtile se sont eclipsés. Sauf que moi naïf et sans raison de fuir, sans comprendre la situation, j'ai continué à consommer mon chocolat.
Le capitan a très mal pris mon comportement! et il a tout fait pour me le faire savoir.
Un coup de botte eux pieds de mon taburet, et voici que je me suis trouvé au sol. La violence manifeste, m"empêché de comprendre; (ça ma mis grogis), au sol plaqué avec grosse botte sur ma poitrine m'empêchant respirer normalement, non moins de six têtes d'hommes en uniforme de la police national, un d,entre eux me demande mes documents, malheur j'avais pas des papiers sur moi.
Mon pantalon crème claire, gardait après les traces de la cire des bottes des agents. J'ai eux à faire le tour du parc marchand à la manière d'une grenouille les mains derrière la tête . Voilà comme se passait dans les meilleurs des cas, en 1975 un contrôle d'identité à Cartago Valle del Cauca en Colombie.
2-) La boîte de nuit a été vendu; moi j'ai décidé de continuer, le seul d'ailleur, même la clientèle avait déménagé on dirait.
Par tiers interposé j'ai reçu les cles, non moins de 60 mille $ je déposé chaque nuit dans un enveloppe au commande de police pour le capitan, celui-même qu'une nuit m'avait contrôlé au parc de la gare.
J'ai ainsi travaillé plusieurs mois honnêtement sans jamais détourner un centime. Un jour il m'a été demandé la clé sous excuse de travaux sur le toit. Au fait la boîte a été déménagée (en semaine je ne pouvais pas savoir, j'allée en cours) à une autre ville sans me donner mes indemnités.
3-) Le comportement sauvage du capitan aura éveillé des sentiments chez tant des paroisients dans cette ville (120 000 h).
Vous pouvez imaginer, une espèce d'impunité garantie d'autant plus que l'uniforme semble aussi une protection contre toute tentative de procès pour abus d'autorité; dans un pays tel la Colombie, une accusation en vers un agent de l'ordre est un suicide.
Toujours est-t-il que le capitan à fini ses jours traversé par un couteau de boucherie qu'aura inclus traversée aussi et avant lui la chaisee dans le bar où il passé de temps en temps.
Merci à C. G. pour ses intentions, merci aux modérateurs des sites ici et là. Des personnes dotez d'abnégation sans limites. La langue française doit à des gens ainsi beaucoup; dans un temps où seul le profit compte.
Non cette fois-ci je promes m'abstenir de vous infliger mon duscours que dans le forum du journal Le Figaro m'a. valu ô combien d'in-amitié.
Loin de la pedantetie
Même si je prenez toutes les précautions, je dois rester humble, car je sais que la langue française reste loin de mes capacités.
Je suis arrivé à Paris en 1988 le 14 de novembre, issu d'un foyer d'un père ouvrier et une mère au foyer, vous ne trouverait pas dans ce texte, autre chose que du vécu, moyennement maquillé. L'éthique ou respect des gens obligent.
Après mon travail
J'avais quatorze ou quinze ans, alors pour l'argent de poche, je travaillais dans une discothèque de la onzième rue à 60 mètres du parc principal (à là ville de Cartago en Colombie) dans une discothèque d'une surface de moins de 80 mètres carrés; je pouvais gagner en deux nuits la moitié du salaire moyenne d'un mois de l'époque. Quand nous avons cette âge, nous n'avons aucun inquiétude sur l'avenir.
Mes parents toleraient moyennement que j'entre les trois nuits du week-end après minuit.
J'ai promis ne pas parler de la misère, je vous dois des excuses?
Entre le mois daoût 1974 et le mois de juin 1980, j'ai eux l'honneur d'être admis et étudier à l'Institute Technique Industriel INDALECIO PENILLA (l'équivalent d'un lycée en France "nous n'avons pas séparation de niveau collège et lycée").
Oui quand il s'agit des enfants des classés modestes il faut aider au moins avec cela, je pouvais ainsi me payer les fournitures, quand vous connaissez le prix d'un livre vous avait un soin particulier pour lui.
Je vous assure que j'ai depuis la manie de souffrir quand j'entend le bruit qui fait une feuille en papier quand elle est déchirée. J'entends comme des cris de douleur; voilà oui je souffre en voyant un tel acte un crime à mon sens.
Chez moi toute forme en papier (revu, journal, etc.) aura tendance à trouver un endroit pour toujours; à mon insu, dans mes absences, il y a des actions commando qui sont menées et mes amis les revus me sont ainsi arrachées destination la décharge.
Oui, après cette introduction, qui permettra de mieu cerner mon caracter; Je vais vous raconter ce qu'un mort m'à fait.
Oui il été de ceux qui finissent leur vie tel qu'ils l'auraient souhaité aux autres: c'est le cas d'un capitan de police, qu'un jours aura même était mon patron, je ne veux pas vous embrouiller, car cela arrive en époques bien que rapprochées différentes:
1-) Le capitan est sont équipé arrive au parc face à la station des chemins de fer.
Adossé au mur en brique rouge de plus de 2 mètres, côté sud se trouvent des baraques rustiques ou vivent des humildes personnes, leur source de revenu se compose de la vente de boissons gazeuses, du café et des bricoles du genre alimentation rapide bon marché, parler de austérité est en trop, disant que austérité ici est du luxe.
2 heures du matin du samedi.
Cette nuit j'avais terminé mon service vers une heure de matin, avec mon ami le D-J, nous avions eut la "très mauvaise" idée d'aller voir la-bas.
Atablées déjà il y avait une bonne douzaine d'individus, les mêmes qu'en un ouvrir et fermer des yeux de la manière la plus subtile se sont eclipsés. Sauf que moi naïf et sans raison de fuir, sans comprendre la situation, j'ai continué à consommer mon chocolat.
Le capitan a très mal pris mon comportement! et il a tout fait pour me le faire savoir.
Un coup de botte eux pieds de mon taburet, et voici que je me suis trouvé au sol. La violence manifeste, m"empêché de comprendre; (ça ma mis grogis), au sol plaqué avec grosse botte sur ma poitrine m'empêchant respirer normalement, non moins de six têtes d'hommes en uniforme de la police national, un d,entre eux me demande mes documents, malheur j'avais pas des papiers sur moi.
Mon pantalon crème claire, gardait après les traces de la cire des bottes des agents. J'ai eux à faire le tour du parc marchand à la manière d'une grenouille les mains derrière la tête . Voilà comme se passait dans les meilleurs des cas, en 1975 un contrôle d'identité à Cartago Valle del Cauca en Colombie.
2-) La boîte de nuit a été vendu; moi j'ai décidé de continuer, le seul d'ailleur, même la clientèle avait déménagé on dirait.
Par tiers interposé j'ai reçu les cles, non moins de 60 mille $ je déposé chaque nuit dans un enveloppe au commande de police pour le capitan, celui-même qu'une nuit m'avait contrôlé au parc de la gare.
J'ai ainsi travaillé plusieurs mois honnêtement sans jamais détourner un centime. Un jour il m'a été demandé la clé sous excuse de travaux sur le toit. Au fait la boîte a été déménagée (en semaine je ne pouvais pas savoir, j'allée en cours) à une autre ville sans me donner mes indemnités.
3-) Le comportement sauvage du capitan aura éveillé des sentiments chez tant des paroisients dans cette ville (120 000 h).
Vous pouvez imaginer, une espèce d'impunité garantie d'autant plus que l'uniforme semble aussi une protection contre toute tentative de procès pour abus d'autorité; dans un pays tel la Colombie, une accusation en vers un agent de l'ordre est un suicide.
Toujours est-t-il que le capitan à fini ses jours traversé par un couteau de boucherie qu'aura inclus traversée aussi et avant lui la chaisee dans le bar où il passé de temps en temps.
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édition on line
Une fois le texte écrit nous devons au moins le lire, j'ai l'absurde manie de ne pas le faire:
Oui j'écris avec un doigt sur un petit téléphone portable est c'est loin d'être une excuse, puis dedans j'ai la moitié de l'écran coupée ou couverte déjà par le claviers tactile, il me restent tout au plus cinq lignes visibles en glissant c'est à dire qu'à force et mesure, que je progresse les lignes disparaissent en haut.
Il y a deux ordinateurs portables mais j'écris vers deux ou trois heures du matin et l'extinction de lumières est donnée plusieurs heures plutôt. Je dois travailler et aussi dormir donc voilà que dès lors que j'ai du temps je cherche à m'entraîner à l'écriture de la langue française, et ce n'est pas une sinécure.
J'ai pu me lire après publication et apporter les corrections "trop" tard le mal est fait:
https://actualite.forumpro.fr/t150-tentative-en-espagnol-pou-carina#1218
Dans la mémoire tampon j'ai conserve le texte, je colle ce-ci dans mon blog et la hélas j'exécute les corrections que j'estime ou que je découvre nécessaires.
Voilà donc comme s'entraîne un immigré à l'écriture.
Oui j'écris avec un doigt sur un petit téléphone portable est c'est loin d'être une excuse, puis dedans j'ai la moitié de l'écran coupée ou couverte déjà par le claviers tactile, il me restent tout au plus cinq lignes visibles en glissant c'est à dire qu'à force et mesure, que je progresse les lignes disparaissent en haut.
Il y a deux ordinateurs portables mais j'écris vers deux ou trois heures du matin et l'extinction de lumières est donnée plusieurs heures plutôt. Je dois travailler et aussi dormir donc voilà que dès lors que j'ai du temps je cherche à m'entraîner à l'écriture de la langue française, et ce n'est pas une sinécure.
J'ai pu me lire après publication et apporter les corrections "trop" tard le mal est fait:
https://actualite.forumpro.fr/t150-tentative-en-espagnol-pou-carina#1218
Dans la mémoire tampon j'ai conserve le texte, je colle ce-ci dans mon blog et la hélas j'exécute les corrections que j'estime ou que je découvre nécessaires.
Voilà donc comme s'entraîne un immigré à l'écriture.
Cogito ergo sum- membre
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Le coup de la panne ou histoire d'infidelité
Le coup de la panne ou histoire d'infidélité.
Vendredi au soir, par tradition « vendredi culturel » j'ai réussi a trouver l'excuse pour prendre ma soirée, sans que mon absence soit trouvée suspecte.
Lorsque nous avons une vie remplie, avec femme et enfants, les hommes, par chance non pas touts, nous voulons avoir des sorties en célibataire, je ne jamais compris pour quoi, cette folie, de vouloir à tout prix, vivre avec une femme, et pour quoi le temps passant, nous tombons dans une atmosphère, particulière, pas pour touts les couples, en fin depuis que je suis en France me semble que la durée moyenne d'un couple n’excède pas 5 ans, j'aurai du alors avoir une médaille, puisque mon première couple il a tenu huit années. Une autre médaille pour le record de fidélité puisque pendant des années j'avais que des yeux pour celle qu'est mère de mes deux enfants.
J'ai donc pris place dans la discothèque LA LUNE, vers 20 heures, oui de manière a pouvoir observer le maximum possible les entrées, dos au mur, non seul il faut être près à s’enfuir éventuellement en cas de gribouille, mais malgré mon baratin, ma femme pouvais à tout moment faire un tour et vérifier. En effet, cela est arrivée, et j'ai eu la chance que les lumières bases, le publique et ma dextérité m'ont réussi à chaque fois qu'elle a contrôlé les lieux, vous savais qu'a force de partager votre vie avec une personne vous pouvez la distinguer entre milles, et de très loin, alors à quelques soixante mètres à chaque fois elle été grillée, j'avais alors la tactique d'aller aux urinoirs pendant la tempête.
Un jolie vissage, non loin de ma table, puis il y avait que trois filles, donc pas de garçon, j'ai vérifie toujours avant, ce genre de détails pour avoir toutes les chances de mon coté. J'ai alors fait le petit geste, et voilà que nous nous trouvons en piste pour danser, une pièce, puis quelques mots, deux pièces, et quelques phrases plus loin, nous avons dansé une chanson romantique, oui j'oublie souligner, en Colombie, la danse se passe à deux, et 99 % de fois c'est un couple homme et femme qui dansent. C'est en France que j'ai vu les gens danser soit seuls, soit des gens du même sexe, soit en groupe de plus de deux.
Je ne me rappelle pas combien de chanson nous avons dansait d'affilée, le temps de cerner ses formes, aidai avantageusement par la lumière tamisée, c'est une technique très connue, que conduit à obtenir presque tout d'une femme, ou d'au moins les prémisses de ce qu'elle donnera plus tard.
La moto Yamaha 125 RS seul moyen de transport accessible pour un modeste employé, été non loin, dans le trottoir, puis elle nous emmène donc quelques kilométrés au milieu des champ de canne a sucre, avec la mal chance d'une crevaison, nous avons eut pas pu réaliser notre volonté, je vous épargne de la monotonie entre 1 heure et 5 heures du matin heure à laquelle nous avons atteint le village le plus proche, il va de soit que nous n'avons pas trouvé le dépannage ouvert à cette heure là ! Donc j'ai décidé de faire partir la belle dans un bus de liaison départementale, et atteindre l'ouverture.
Vendredi au soir, par tradition « vendredi culturel » j'ai réussi a trouver l'excuse pour prendre ma soirée, sans que mon absence soit trouvée suspecte.
Lorsque nous avons une vie remplie, avec femme et enfants, les hommes, par chance non pas touts, nous voulons avoir des sorties en célibataire, je ne jamais compris pour quoi, cette folie, de vouloir à tout prix, vivre avec une femme, et pour quoi le temps passant, nous tombons dans une atmosphère, particulière, pas pour touts les couples, en fin depuis que je suis en France me semble que la durée moyenne d'un couple n’excède pas 5 ans, j'aurai du alors avoir une médaille, puisque mon première couple il a tenu huit années. Une autre médaille pour le record de fidélité puisque pendant des années j'avais que des yeux pour celle qu'est mère de mes deux enfants.
J'ai donc pris place dans la discothèque LA LUNE, vers 20 heures, oui de manière a pouvoir observer le maximum possible les entrées, dos au mur, non seul il faut être près à s’enfuir éventuellement en cas de gribouille, mais malgré mon baratin, ma femme pouvais à tout moment faire un tour et vérifier. En effet, cela est arrivée, et j'ai eu la chance que les lumières bases, le publique et ma dextérité m'ont réussi à chaque fois qu'elle a contrôlé les lieux, vous savais qu'a force de partager votre vie avec une personne vous pouvez la distinguer entre milles, et de très loin, alors à quelques soixante mètres à chaque fois elle été grillée, j'avais alors la tactique d'aller aux urinoirs pendant la tempête.
Un jolie vissage, non loin de ma table, puis il y avait que trois filles, donc pas de garçon, j'ai vérifie toujours avant, ce genre de détails pour avoir toutes les chances de mon coté. J'ai alors fait le petit geste, et voilà que nous nous trouvons en piste pour danser, une pièce, puis quelques mots, deux pièces, et quelques phrases plus loin, nous avons dansé une chanson romantique, oui j'oublie souligner, en Colombie, la danse se passe à deux, et 99 % de fois c'est un couple homme et femme qui dansent. C'est en France que j'ai vu les gens danser soit seuls, soit des gens du même sexe, soit en groupe de plus de deux.
Je ne me rappelle pas combien de chanson nous avons dansait d'affilée, le temps de cerner ses formes, aidai avantageusement par la lumière tamisée, c'est une technique très connue, que conduit à obtenir presque tout d'une femme, ou d'au moins les prémisses de ce qu'elle donnera plus tard.
La moto Yamaha 125 RS seul moyen de transport accessible pour un modeste employé, été non loin, dans le trottoir, puis elle nous emmène donc quelques kilométrés au milieu des champ de canne a sucre, avec la mal chance d'une crevaison, nous avons eut pas pu réaliser notre volonté, je vous épargne de la monotonie entre 1 heure et 5 heures du matin heure à laquelle nous avons atteint le village le plus proche, il va de soit que nous n'avons pas trouvé le dépannage ouvert à cette heure là ! Donc j'ai décidé de faire partir la belle dans un bus de liaison départementale, et atteindre l'ouverture.
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sublimation du vent
Trop de fautes pour manque d'attention, un texte corrigé, sans oublier les erreurs de grammaire et sans doute d'autres tels que les formes et subtilités que l'écrivain doit maitriser avant de faire sont premier livre:
Une musique célestiel, au grand concert de cette après-midi, l'orchestre déborde du talent, instruments que je classe dans la famille des clarines et trompettes, erreur sans doute du à mon inculture? tout à l'heure lorsque je me trouvé avec des spasmes ou convulsions, dérangé par des mouches, au fait pour faire fuir les insectes les équidés maîtrisent beaucoup mieux la technique: elle consiste à faire bouger à volonté la partie de la peau où ils aperçoivent la présence d'insectes.
Allongé un coup sur le ventre, un coup sur le dos, sur l'herbe fraîche, quelques brandilles assoiffées par le climat méditerranéen, plus jeune claire que vert à l'ombre des sapins hauts de 20 mètres, alignés officiant de clôture et limite cadastrale. J'ai pris le temps et surtout j'ai ouvert grands mes oreilles et mon imagination pour entendre émerveillé un concert non pas de Bach non pas de Paganini ni de Mozart mais de mère nature que comme toujours humble de sa puissance semblait caresser avec ses mains cachées par le vent, débordant de maîtrise, au fait des congas, symboles, autant qu'autres instruments au-delà de mon imagination... la puissance la plus douce jamais constaté auparavant se manifestait par le fait que ma tête adossée à un tronc d'un diamètre de plus de 15 centimètres été versée au rythme de l'exécution.
Amour admiration et passion
Il arrive que la beauté d'une rose, éveille en nous de l'admiration, en tout cas c'est un sentiment humain, il arrive aussi que des personnes passent de la simple admiration pour les roses (exemple pédagogique) à la passion pour les roses, alors il y a des personnes qui font collection de variétés de roses chez eux.
C'est toujours un sentiment qui est aussi de l'amour de la passion et de l'admiration.
Lorsque nous aimons des objets des animaux, avec passion, lorsqu'il est même possible de posséder un animal tel que le chien ou le chat dans notre environnement privé, nous pouvons considérer comme sain un tel comportement, a condition que l'animal ou les animaux pour le ou les quel(lles) nous portons tant de dévotion, ne vont pas souffrir cependant.
Certains races de chiens nécessitent un traitement impossible de donner pour tout le monde, des chiens de grande taille dans un appartement, qui par fois resteraient seuls pendant les heures que les maitres et leurs enfants doivent travailler ou étudier.
Il ne faut pas que notre passion débordante nous conduise même a faire souffrir des animaux.
Dans le domaine des humains il est possible aussi d'aimer mais la connotation de l'amour est différente; les formes d'amour sont différentes: amour paternel, amour maternel, amour fraternel, amour charnel, etc., sont des formes d'attachement entre plusieurs personnes.
L'admiration, la vénération, l’idolâtrie, le fanatisme sont d'autres sentiments, qui peuvent exister en une personne ou groupe de personnes en vers une autre personne ou groupe de personnes: Une équipe de football est vénérée, un joueur de football est aussi vénéré, admiré voir idolâtré, c'est le cas pour des personnages bibliques, des êtres et personnages dans certains religions...
Dès ma tendre enfance j'ai vénéré, admiré et même aimais sans conception la sante vierge Marie par exemple.
Une musique célestiel, au grand concert de cette après-midi, l'orchestre déborde du talent, instruments que je classe dans la famille des clarines et trompettes, erreur sans doute du à mon inculture? tout à l'heure lorsque je me trouvé avec des spasmes ou convulsions, dérangé par des mouches, au fait pour faire fuir les insectes les équidés maîtrisent beaucoup mieux la technique: elle consiste à faire bouger à volonté la partie de la peau où ils aperçoivent la présence d'insectes.
Allongé un coup sur le ventre, un coup sur le dos, sur l'herbe fraîche, quelques brandilles assoiffées par le climat méditerranéen, plus jeune claire que vert à l'ombre des sapins hauts de 20 mètres, alignés officiant de clôture et limite cadastrale. J'ai pris le temps et surtout j'ai ouvert grands mes oreilles et mon imagination pour entendre émerveillé un concert non pas de Bach non pas de Paganini ni de Mozart mais de mère nature que comme toujours humble de sa puissance semblait caresser avec ses mains cachées par le vent, débordant de maîtrise, au fait des congas, symboles, autant qu'autres instruments au-delà de mon imagination... la puissance la plus douce jamais constaté auparavant se manifestait par le fait que ma tête adossée à un tronc d'un diamètre de plus de 15 centimètres été versée au rythme de l'exécution.
Amour admiration et passion
Il arrive que la beauté d'une rose, éveille en nous de l'admiration, en tout cas c'est un sentiment humain, il arrive aussi que des personnes passent de la simple admiration pour les roses (exemple pédagogique) à la passion pour les roses, alors il y a des personnes qui font collection de variétés de roses chez eux.
C'est toujours un sentiment qui est aussi de l'amour de la passion et de l'admiration.
Lorsque nous aimons des objets des animaux, avec passion, lorsqu'il est même possible de posséder un animal tel que le chien ou le chat dans notre environnement privé, nous pouvons considérer comme sain un tel comportement, a condition que l'animal ou les animaux pour le ou les quel(lles) nous portons tant de dévotion, ne vont pas souffrir cependant.
Certains races de chiens nécessitent un traitement impossible de donner pour tout le monde, des chiens de grande taille dans un appartement, qui par fois resteraient seuls pendant les heures que les maitres et leurs enfants doivent travailler ou étudier.
Il ne faut pas que notre passion débordante nous conduise même a faire souffrir des animaux.
Dans le domaine des humains il est possible aussi d'aimer mais la connotation de l'amour est différente; les formes d'amour sont différentes: amour paternel, amour maternel, amour fraternel, amour charnel, etc., sont des formes d'attachement entre plusieurs personnes.
L'admiration, la vénération, l’idolâtrie, le fanatisme sont d'autres sentiments, qui peuvent exister en une personne ou groupe de personnes en vers une autre personne ou groupe de personnes: Une équipe de football est vénérée, un joueur de football est aussi vénéré, admiré voir idolâtré, c'est le cas pour des personnages bibliques, des êtres et personnages dans certains religions...
Dès ma tendre enfance j'ai vénéré, admiré et même aimais sans conception la sante vierge Marie par exemple.
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SENTIMIENTOS (sentiments)
Presencia
Hubiera dicho de vez en cuando ? Seria mas que abstracción incluso inconstante, no, es mucho más que eso, excepto que nadie podría verificar en lo más profundo de mi consciencia, excepto si el lector, toma el tiempo de seguir más aya que las frases, la totalidad de la expresión.
Una excusa, si, una excusa!
Regularmente, para justificar mi presencia en el mundo tangible, es corriente encontrar mi compromiso hacia convicciones e idolologías, aquí y aya me agrada sinceramente criticar en algunos dominios, cercanos a la sociología. Mientras mi subconsciente en cuanto a el, conserva fundamentalmente las imágenes, los olores de momentos, los colores, los lugares, donde por tantas razones, mi corazón es feliz.
Son imágenes, al igual que momentos de complicidad, donde la imaginación habrá sin duda petrificado, un gesto, una frase, una sonrisa, una mirada, son tantas cosas, que en su totalidad constituyen más que un tesoro, una frase sola, se satisface para condensar, mi opinión, desde mi infancia, ella dice “como la cera el toque de las manos” que me fue transmitida cuando asistía a la educación primaria, por consiguiente en español (.,...........)
http://www.poesiabreve.com/eliaspompa.html
En mi imaginario, es entonces el tocar de las manos, cuantas veces, para mi imaginario o mi memoria, que permite de savorear aquellos momentos, aquellas miradas, hay aquellas miradas, como las manos con una textura, en un juego como con los dedos, que no son más que momentos de sinceridad sin común medida con la realidad de mi cotidiano.
Vivo siempre, lejos de esta forma, escrita, solo si le lector, busca más aya de las palabras, a leer mediante el texto, lo que trata de mostrar una consciencia, que por pudor o por respeto de lo normativo de las culturas, construidas durante siglos trata de ocultar muy bien. Un espíritu que vive prisionero de esta razón impuesta, en una jaula, que parece entonces reducirse haciéndome daño.
Algunos lectores serían incomodados por tantas palabras por describir una realidad simple. En realidad la realidad es más compleja que el parece. Hay demasiada carga sentimental, en esta frase del poeta Venezolano Elis Calixto Pompa “ como la cera el toque de las manos” y trato con fuerza de transmitir con fuerza los momentos de una vida, en los que hubiéramos tratado de la manera la más sutil, la más discreta posible la más grande sinceridad de nuestros sentimientos. Pocos momentos en una vida, donde la palabra complicidad como las nuevas tecnologías me hubieran permitido compartir toneladas de sentimientos. El gran amor no es aquel que todo el mundo se autoriza a admitir. El gran amor es aquel que se encuentra por mil razones tan lejos del cotidiano tangible, es el amor imposible, en la imaginación, par extensión viviríamos en el fetichismo o el mito si ciertos momentos no fueran esta realidad, que solo la complicidad del corazón hubiera tantas veces por transgresión autorizado.
Me doy cuenta, entonces por la aceleración de mi ritmo cardiaco, por una larga lista de signos que sin duda MILAN KUNDERA habría logrado desarrolla; veo como una forma de corredor con puertas, de las cuales tengo llaves, con la oportunidad de abrirlas o serrarlas; desde luego que dejarlas abiertas, es de una cierta manera, una decisión que no me pertenece; en verdad solo tengo las llaves de una puerta sobre dos. Es entonces, confesar, que hay zonas de sombras, pero son esas zonas sombras que tienen la importancia de un parasol en una playa mediterránea en periodo de vacaciones de agosto cuando nuestra sombra esta lo más próxima de nuestros pies, o además, una cantimplora llena de agua fresca, en el medio del Sahara.
Por prueba, el temor de ser sorprendido, habría producido un momento dado como el relámpago un cambio radical, puesto que en retrospectiva nos da una visión no lejos del horror! Solo que en lo más profundo, los sentimientos persisten en su integridad fijados.
Publié dans le forum LE FIGARO
http://forums.lefigaro.fr/user/non-frames/message.asp?forumid=240&messageid=2188419&threadid=2188419&parentid=3
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Hubiera dicho de vez en cuando ? Seria mas que abstracción incluso inconstante, no, es mucho más que eso, excepto que nadie podría verificar en lo más profundo de mi consciencia, excepto si el lector, toma el tiempo de seguir más aya que las frases, la totalidad de la expresión.
Una excusa, si, una excusa!
Regularmente, para justificar mi presencia en el mundo tangible, es corriente encontrar mi compromiso hacia convicciones e idolologías, aquí y aya me agrada sinceramente criticar en algunos dominios, cercanos a la sociología. Mientras mi subconsciente en cuanto a el, conserva fundamentalmente las imágenes, los olores de momentos, los colores, los lugares, donde por tantas razones, mi corazón es feliz.
Son imágenes, al igual que momentos de complicidad, donde la imaginación habrá sin duda petrificado, un gesto, una frase, una sonrisa, una mirada, son tantas cosas, que en su totalidad constituyen más que un tesoro, una frase sola, se satisface para condensar, mi opinión, desde mi infancia, ella dice “como la cera el toque de las manos” que me fue transmitida cuando asistía a la educación primaria, por consiguiente en español (.,...........)
http://www.poesiabreve.com/eliaspompa.html
En mi imaginario, es entonces el tocar de las manos, cuantas veces, para mi imaginario o mi memoria, que permite de savorear aquellos momentos, aquellas miradas, hay aquellas miradas, como las manos con una textura, en un juego como con los dedos, que no son más que momentos de sinceridad sin común medida con la realidad de mi cotidiano.
Vivo siempre, lejos de esta forma, escrita, solo si le lector, busca más aya de las palabras, a leer mediante el texto, lo que trata de mostrar una consciencia, que por pudor o por respeto de lo normativo de las culturas, construidas durante siglos trata de ocultar muy bien. Un espíritu que vive prisionero de esta razón impuesta, en una jaula, que parece entonces reducirse haciéndome daño.
Algunos lectores serían incomodados por tantas palabras por describir una realidad simple. En realidad la realidad es más compleja que el parece. Hay demasiada carga sentimental, en esta frase del poeta Venezolano Elis Calixto Pompa “ como la cera el toque de las manos” y trato con fuerza de transmitir con fuerza los momentos de una vida, en los que hubiéramos tratado de la manera la más sutil, la más discreta posible la más grande sinceridad de nuestros sentimientos. Pocos momentos en una vida, donde la palabra complicidad como las nuevas tecnologías me hubieran permitido compartir toneladas de sentimientos. El gran amor no es aquel que todo el mundo se autoriza a admitir. El gran amor es aquel que se encuentra por mil razones tan lejos del cotidiano tangible, es el amor imposible, en la imaginación, par extensión viviríamos en el fetichismo o el mito si ciertos momentos no fueran esta realidad, que solo la complicidad del corazón hubiera tantas veces por transgresión autorizado.
Me doy cuenta, entonces por la aceleración de mi ritmo cardiaco, por una larga lista de signos que sin duda MILAN KUNDERA habría logrado desarrolla; veo como una forma de corredor con puertas, de las cuales tengo llaves, con la oportunidad de abrirlas o serrarlas; desde luego que dejarlas abiertas, es de una cierta manera, una decisión que no me pertenece; en verdad solo tengo las llaves de una puerta sobre dos. Es entonces, confesar, que hay zonas de sombras, pero son esas zonas sombras que tienen la importancia de un parasol en una playa mediterránea en periodo de vacaciones de agosto cuando nuestra sombra esta lo más próxima de nuestros pies, o además, una cantimplora llena de agua fresca, en el medio del Sahara.
Por prueba, el temor de ser sorprendido, habría producido un momento dado como el relámpago un cambio radical, puesto que en retrospectiva nos da una visión no lejos del horror! Solo que en lo más profundo, los sentimientos persisten en su integridad fijados.
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esclavo del corazón
Los sentimientos
El ser humano existe en varias dimensiones, la primera o visible que es la dimensión material y la segunda o intangible.
Una idea es algo intangible, no la podemos medir con un metro, con un palmer, no la podemos pesar. como se pesa el azúcar.
En ese universo de las ideas también existen los sentimientos. de hecho siendo invisibles son sin leí.
Los seres humanos en su evolución han desarrollado un sin número de reglas indispensables a la armonía. Sin embargo ciertas personas trasgresan las normas. Las razones serían tan diversas para justificar los errores! Sin embargo hay actos y pactos de transgresión en los cuales se encontraran implicados dos o más seres.
Una regla humana habiendo alcanzado el rango de sacramento es el matrimonio. Las culturas modernas impondrán hasta la monogamia y de ende es una infracción por una persona cuyo estado civil es el casado; amar más de dos personas. Aquí podemos afirmar que en el mundo de las ideas y los sentimientos no puede existir legislación, ningún control, por lo cual, comprobamos dos existencias; la existencia lógica, material y visible de un lado que es lo aparente y la existencia intangible, las ideas y sentimientos.
El cuerpo puede así estar en un lugar sin que las ideas, la razón, la sustancia del ser se encuentre necesariamente en el mismo lugar. Aquella persona por quien vibra nuestro corazón, aquel ser que sin necesariamente estar escenta de defectos de críticas, sin ser perfecta; para nosotros es maravillosa, esa persona por quien añoramos siempre, sus palabras, la ternura de un gesto de una frase, de una mirada cómplice, la ternura de sus manos, la dulzura de una caricia y todo nuestro ser tiembla de un deseo sin comparación.
Quien puede dirigir, gobernar nuestra alma? Nadie aún a logrado dominar la conciencia humana, los sentimientos, el sólo enemigo conocido de este sentimientos es la monotonía, aquel momento de incomprensión, donde la indiferencia, la inconformidad nos hacen ver las verdades que siempre existieron pero que nuestra razón hubiera sutilmente disimulado. Es por ello que creo injusto criticar un ser que antes hubiéramos amado; puesto que subrayar defectos sobre alguien hoy es admitir que los hemos tolerado antes. Esto nos lleva a confirmar que cada que nace un amor, es el comienzo de una pena. Sin que sea justo generalizar.
La mujer que guía nuestros deseos no es necesariamente la misma que en apariencia dispone de un certificado
El ser humano existe en varias dimensiones, la primera o visible que es la dimensión material y la segunda o intangible.
Una idea es algo intangible, no la podemos medir con un metro, con un palmer, no la podemos pesar. como se pesa el azúcar.
En ese universo de las ideas también existen los sentimientos. de hecho siendo invisibles son sin leí.
Los seres humanos en su evolución han desarrollado un sin número de reglas indispensables a la armonía. Sin embargo ciertas personas trasgresan las normas. Las razones serían tan diversas para justificar los errores! Sin embargo hay actos y pactos de transgresión en los cuales se encontraran implicados dos o más seres.
Una regla humana habiendo alcanzado el rango de sacramento es el matrimonio. Las culturas modernas impondrán hasta la monogamia y de ende es una infracción por una persona cuyo estado civil es el casado; amar más de dos personas. Aquí podemos afirmar que en el mundo de las ideas y los sentimientos no puede existir legislación, ningún control, por lo cual, comprobamos dos existencias; la existencia lógica, material y visible de un lado que es lo aparente y la existencia intangible, las ideas y sentimientos.
El cuerpo puede así estar en un lugar sin que las ideas, la razón, la sustancia del ser se encuentre necesariamente en el mismo lugar. Aquella persona por quien vibra nuestro corazón, aquel ser que sin necesariamente estar escenta de defectos de críticas, sin ser perfecta; para nosotros es maravillosa, esa persona por quien añoramos siempre, sus palabras, la ternura de un gesto de una frase, de una mirada cómplice, la ternura de sus manos, la dulzura de una caricia y todo nuestro ser tiembla de un deseo sin comparación.
Quien puede dirigir, gobernar nuestra alma? Nadie aún a logrado dominar la conciencia humana, los sentimientos, el sólo enemigo conocido de este sentimientos es la monotonía, aquel momento de incomprensión, donde la indiferencia, la inconformidad nos hacen ver las verdades que siempre existieron pero que nuestra razón hubiera sutilmente disimulado. Es por ello que creo injusto criticar un ser que antes hubiéramos amado; puesto que subrayar defectos sobre alguien hoy es admitir que los hemos tolerado antes. Esto nos lleva a confirmar que cada que nace un amor, es el comienzo de una pena. Sin que sea justo generalizar.
La mujer que guía nuestros deseos no es necesariamente la misma que en apariencia dispone de un certificado
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l'amour et la manière d'être interpreté
l'amour et la manière d'être interpreté
https://expressions-libres.forumdediscussions.com/t547-revelation-scientifique-lamour-rend-aveugle#19913
Sobre el tema del amor, es fundamentalmente la profesión del libro quien hubiera sacado grandes beneficios. En general, quienes escriben, no solo sobre el amor, obtienen beneficios pecuniarios importantes, cuando el trabajo es reconocido. El paisaje editorial durante la historia del libro, en el caso de la literatura romántica, luego en su diversificación, en la pantalla, y en soportes cada vez más modernos, al punto que al decir que el amor es un motor de la riqueza, no estaríamos distantes de la realidad, pero no podríamos considerar completo el tema, sin abordar ademas de lo maravilloso de ser escritor, realizador, guionista, y adquirir la fama; sin abordar “el dolor”, entre otros sentimientos, que inundan la consciencia de aquellas personas que se enamoran.
Sur le sujet de l'amour; il est fondamentalement le métier du livre qui aurait obtenu des grands bénéfices, pour règle générale qui écrit, et pas que sur l'amour, obtient des bénéfices pécuniaires importants, quand le travail est reconnu. Le paysage édit oriel pendant toute l'histoire du livre, quant à la littérature romantique, puis après dans toutes les formes de sa diversification (rendu possible par l'évolution des technologies) dans des supports chaque fois plus modernes, nous permettraient de penser que l'amour est un moteur d'enrichissement. Nous ne saurions trop loin de la réalité, mais nous ne pourrions donner pour terminé le sujet là, sans aborder en plus de l’agréable d'être écrivant, réalisateur et assimilés une fois acquisse la notoriété, sans nécessairement aussi parler de la "douleur" parmi d'autres sentiments qui remplissent la conscience de ces personnes qui tombent amoureuses.
Al leer algunos autores, en cuanto al sujeto del amor, en la variedad de contenidos he logrado separar dos grandes tendencias, los autores que consideran el amor como una demostración de humanidad, esto implica fundamentalmente confesar una forma de fragilidad, que en algunos casos llevaría a comportamientos calificados de dementes e incluso el suicidio es un tema, que si bien es tabú en la sociedad, no es por lo tanto, tan extraño en el caso de relaciones amorosas que necesariamente habrían mal terminado. Como no se podría desde ningún punto de vista, hacer caso omiso de asesinatos donde la pasión se encuentra íntimamente relacionada con el desenlace final.
C'est en faisant quelques lectures d'auteurs, au sujet de l'amour, dans la variété de contenus alors j'ai classé deux grandes tendances, il y a là des auteurs considérant l'amour comment une démonstration d'humanité; chose qu'implique fondamentalement avouer une quelconque forme de fragilité, que dans nombre de cas mènerait à la démence, menant même au suicide, un sujet pour le moins tabou dans la société, sans que pour autant soit étrange aux relations amoureuses lorsqu'elles auraient mal fini. Comment il n'est permit sous aucun cas, faire omission des assassinats où la passion est à l'origine du terrible finale.
Las lecturas sobre el amor, nos conducen pues, a progresar, siempre y cuando, esas lecturas, pertenezcan en prioridad a escritores de reconocida tractorearía, hablando de sentimientos, de comportamiento, los autores deberían obviamente tener un lazo estrecho con ciencias sociales, con la psicología, más precisamente, admito aquí que no me agrada la lectura de romances, de novelas, y similares.
Les lectures sur l'amour, vont donc nous y conduire; au progrès, à condition de que ces lectures appartiennent à des écrivains reconnus, en parlant de sentiments; de comportement; les auteurs devraient evidement disposer d'un lien étroit avec les sciences sociales, et particulière avec la psychologie, j'admets au passage que je ne suis, que j'ai jamais été un fidèle lecteur des textes écrits à l'eau de roses.
Estas lecturas especificas, me permiten la descripción del perfil de la persona que motivado por este sentimiento, abusa de alguna manera de su condición, hoy en redes sociales, con niveles de dramaturgia tales que su comportamiento podría llegar a preocupar a quienes leen. Esta situación, exige soluciones radicales, una posición ética, moral que significa, en primer termino, dejar de inmediato lo que se podría considerar como un “acoso” que incluso podría conducir a un terreno judiciario.
Ces lectures spécifiques vont nous permettre la description du profil des personnes qui motivés par ce genre de sentiments pourraient abuser d'une quelconque manière de leur statu aujourd'hui dans les réseau sociaux avec des niveaux de dramaturgie de telle manière que leur comportement serait même préoccupant pour les lecteurs. Une telle situation exige des solutions radicales, une position éthique, morale qui signifie au premier lieu, arrêter de suite ce qui pourrait être défini même comment de l'abus de confiance, de la perversité déjà très en clin à demander des poursuites judiciaires .
Está vez, podríamos admitir, que el solo hecho de hacer publico algo que releva estrictamente del dominio privado, ya demuestra un nivel de fragilidad, de ingenuidad que son preocupantes. Para mis veinte y tres companeras y compañeros del grupo UTP con mucha admiración, Gloria Ines, Alcedo, les agradesco por soportarme
Cette fois, nous pourrions considérer que le seul fait de rendre publique quelque chose qui relève strictement du domaine privé, déjà prouve un niveau de fragilité, infantilisme préoccupants. Pour mes vingt-trois amies et amis du groupe UTP avec admiration, Gloria Ines, Alcedo en vous remerciant pour me supporter.
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Sobre el tema del amor, es fundamentalmente la profesión del libro quien hubiera sacado grandes beneficios. En general, quienes escriben, no solo sobre el amor, obtienen beneficios pecuniarios importantes, cuando el trabajo es reconocido. El paisaje editorial durante la historia del libro, en el caso de la literatura romántica, luego en su diversificación, en la pantalla, y en soportes cada vez más modernos, al punto que al decir que el amor es un motor de la riqueza, no estaríamos distantes de la realidad, pero no podríamos considerar completo el tema, sin abordar ademas de lo maravilloso de ser escritor, realizador, guionista, y adquirir la fama; sin abordar “el dolor”, entre otros sentimientos, que inundan la consciencia de aquellas personas que se enamoran.
Sur le sujet de l'amour; il est fondamentalement le métier du livre qui aurait obtenu des grands bénéfices, pour règle générale qui écrit, et pas que sur l'amour, obtient des bénéfices pécuniaires importants, quand le travail est reconnu. Le paysage édit oriel pendant toute l'histoire du livre, quant à la littérature romantique, puis après dans toutes les formes de sa diversification (rendu possible par l'évolution des technologies) dans des supports chaque fois plus modernes, nous permettraient de penser que l'amour est un moteur d'enrichissement. Nous ne saurions trop loin de la réalité, mais nous ne pourrions donner pour terminé le sujet là, sans aborder en plus de l’agréable d'être écrivant, réalisateur et assimilés une fois acquisse la notoriété, sans nécessairement aussi parler de la "douleur" parmi d'autres sentiments qui remplissent la conscience de ces personnes qui tombent amoureuses.
Al leer algunos autores, en cuanto al sujeto del amor, en la variedad de contenidos he logrado separar dos grandes tendencias, los autores que consideran el amor como una demostración de humanidad, esto implica fundamentalmente confesar una forma de fragilidad, que en algunos casos llevaría a comportamientos calificados de dementes e incluso el suicidio es un tema, que si bien es tabú en la sociedad, no es por lo tanto, tan extraño en el caso de relaciones amorosas que necesariamente habrían mal terminado. Como no se podría desde ningún punto de vista, hacer caso omiso de asesinatos donde la pasión se encuentra íntimamente relacionada con el desenlace final.
C'est en faisant quelques lectures d'auteurs, au sujet de l'amour, dans la variété de contenus alors j'ai classé deux grandes tendances, il y a là des auteurs considérant l'amour comment une démonstration d'humanité; chose qu'implique fondamentalement avouer une quelconque forme de fragilité, que dans nombre de cas mènerait à la démence, menant même au suicide, un sujet pour le moins tabou dans la société, sans que pour autant soit étrange aux relations amoureuses lorsqu'elles auraient mal fini. Comment il n'est permit sous aucun cas, faire omission des assassinats où la passion est à l'origine du terrible finale.
Las lecturas sobre el amor, nos conducen pues, a progresar, siempre y cuando, esas lecturas, pertenezcan en prioridad a escritores de reconocida tractorearía, hablando de sentimientos, de comportamiento, los autores deberían obviamente tener un lazo estrecho con ciencias sociales, con la psicología, más precisamente, admito aquí que no me agrada la lectura de romances, de novelas, y similares.
Les lectures sur l'amour, vont donc nous y conduire; au progrès, à condition de que ces lectures appartiennent à des écrivains reconnus, en parlant de sentiments; de comportement; les auteurs devraient evidement disposer d'un lien étroit avec les sciences sociales, et particulière avec la psychologie, j'admets au passage que je ne suis, que j'ai jamais été un fidèle lecteur des textes écrits à l'eau de roses.
Estas lecturas especificas, me permiten la descripción del perfil de la persona que motivado por este sentimiento, abusa de alguna manera de su condición, hoy en redes sociales, con niveles de dramaturgia tales que su comportamiento podría llegar a preocupar a quienes leen. Esta situación, exige soluciones radicales, una posición ética, moral que significa, en primer termino, dejar de inmediato lo que se podría considerar como un “acoso” que incluso podría conducir a un terreno judiciario.
Ces lectures spécifiques vont nous permettre la description du profil des personnes qui motivés par ce genre de sentiments pourraient abuser d'une quelconque manière de leur statu aujourd'hui dans les réseau sociaux avec des niveaux de dramaturgie de telle manière que leur comportement serait même préoccupant pour les lecteurs. Une telle situation exige des solutions radicales, une position éthique, morale qui signifie au premier lieu, arrêter de suite ce qui pourrait être défini même comment de l'abus de confiance, de la perversité déjà très en clin à demander des poursuites judiciaires .
Está vez, podríamos admitir, que el solo hecho de hacer publico algo que releva estrictamente del dominio privado, ya demuestra un nivel de fragilidad, de ingenuidad que son preocupantes. Para mis veinte y tres companeras y compañeros del grupo UTP con mucha admiración, Gloria Ines, Alcedo, les agradesco por soportarme
Cette fois, nous pourrions considérer que le seul fait de rendre publique quelque chose qui relève strictement du domaine privé, déjà prouve un niveau de fragilité, infantilisme préoccupants. Pour mes vingt-trois amies et amis du groupe UTP avec admiration, Gloria Ines, Alcedo en vous remerciant pour me supporter.
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MANGER JUSQU'A TOMBER MALADE
COMIENDO HASTA ENFERMAR
NICK RAVISE
PROLOGO
Desde aquel momento en que tenemos memoria, muy lejos en nuestros primeros recuerdos de la niñez; debemos aceptar que ya sentimos el deseo imperativo de ser libres, pues la verdad nuestros padres, los adultos, si pueden salir cuando desean sin inquietarse de cuando deben volver.
Es demasiado injusto! Queremos solo salir a la calle y de inmediato debemos soportar el peso enorme de la amenaza cuando no es el castigo. Crecemos pues constatando el atropello salvaje a nuestra libertad. Esto no nos predispone en nada a ser dóciles, no que va, pretendemos ser personas con mucho discernimiento.
Mi infancia fue la más feliz del mundo! Escribiría un gran hombre o mujer en la literatura; para mi que frase más insípida! La verdad, es horrible leerla en primera persona; a cuatro o cinco años dudo que me hubiera sentido feliz soportando una educación francamente deficiente. Que hoy se que no podría ser por culpa de mis padres.
Es propio del chovinismo natural inscrito en nuestra naturaleza génica, asumir que lo nuestro es lo mejor, solo que así es por siete y medio millones de millares, de otras personas sobre este pequeño planeta. La verdad a esa edad no disponemos de suficiente información para emitir una opinión sólida e irrefutable, estas pocas líneas describen una realidad imaginaria o de ficción, que cada lector podrá usar para divertirse o pensar en cuestiones más profundas de la existencia humana o de la miseria humana.
Se trata del cotidiano de un hijo de obrero que desde que recuerda crecía en un barrio de “clase obrera” de una ciudad obrera de un país de América Latina. Narreremos anécdotas y sarcasmos teniendo cuidado de preservar en lo posible la identidad de los protagonistas reales o figurados.
UN REGALO DE NIÑO DIOS
De lo que aún me suele volver esporádicamente a la memoria, puedo situar un plástico, una pasta negra con accesorios amarillos, como las llaves necesarias para armar y desarmar. Mi padre tomó todo el tiempo y la paciencia para hacerme comprender que el plástico se rompe si lo tratamos mal. Segui con una atención enorme cada una de las operaciones que mi padre ejecutaba “siempre" enfatizando en la fragilidad de los componentes.
Entonces me quedó muy claro aquello de tornillo y de sentido para apretar o aflojar, fueron miles de veces que desarmé y pasé largos momentos antes de comprender que no estaba armando bien mi carro. Muchos años después, más de cuarenta años comprendería, de donde sale esa tendencia mía por hacer el cambio de aceite, cambiar frenos en fin mantener mis autos, como otras personas durante mis treinta años de vida en Francia. La verdad usaba ese juguete más para armarlo y desarmarlo que para jugar como los otros niños. La curiosidad de comprender cada gesto y de realizarlo con más habilidad ya ocupaba en mi un espacio importante. La vanidad ante mis amigos no estaba distante ellos no podían desfigurar por completo sus juguetes. Eso me daba un sentimiento de omnipotencia que sería injusto hoy no confesar. Ahora se que es orgasmo intelectual pues sentía a quizá cinco años en mis genitales una sensación que llegaba con un hondo suspiro cada vez que me sentía satisfecho de la rapidez de la ejecución.
Me pidió mi madre que prestara al hijo de los inquilinos mi precioso juguete, infortunio mayor! pues el que muchas veces me vio hacerlo; lo primero que hizo fue romper algunos tornillos que sujetaban las ruedas. Por fortuna conservé del empaque repuestos. Mientras el se divertía.desarmando, yo sufría mirando, y presumiendo, que al menor error, trataría de demostrar que no debía prestar mi juguete, así que rápidamente ocurrió lo que yo supuse que debía ocurrir. Corrí llorando ver a mi madre y sin confesar que tenía repuesto; le dije que lo había dañado mostrando en mis manos los trozos de tornillos rotos. Solo quería que nunca más me obligara a prestar mi “precioso" juguete.
Supongo que mientras dormía luego de tomarme un biberón, mi amigo , que “amigo”!!!! se divertía bajo la complicidad de mi madre, el caso es que bien que yo nunca traté de tomar un juguete suyo, el solicitaba a mi madre con insistencia que yo le prestara mi carro. Así terminó roto pues creo que varios meses después nunca logré de nuevo armar todo por falta de tornillos rotos.
Recuerdo el triciclo, ah el triciclo que jugurte más divertido, con parrilla donde debía llevar mi hermano, deben aún haber fotos, ese juguete duró mucho más pues la navidad siguiente aún funcionaría, recuerdo que los ejes terminaron reduciéndose hasta romperse. Corría mucho en ese juguete. Por suerte el patio permitía debajo de los dos árboles de limón, al lado de los dos arbustos de café, ir hasta el fondo del patio bajo los árboles de guamo, logré pasar muy rápido además aprendi con varias caídas, que en las curvas, no se debe correr. Aprendi que en línea recta un suelo Irregular nos hace repelar las rodillas y los codos algunas veces hasta sangre me brotó de la cabeza, si mi madre no me veía mucho mejor, seria una media hora dándome surriago en menos.
Ya al comienzo de mi pubertad, me hice un regalo de navidad, mi padre participó sin duda, durante las vacaciones de navidad, trabajé cuidando una casa del barrio la Flora de Cali para obtener el dinero. Se trataba de una bicicleta estándar o de turismo. Es decir con guardabarros y parrilla
Pues bien lo primero que se me vino al espiritu fue tratar de ascender la loma del huevo. La verdad no lo podía lograr, pocos años más tarde en piñón 18 y plato 48 ya subía desde Cartago a Cerritos. No fue mi primera bicicleta ya hubo una de marco pequeño que había compartido con mi hermano, un regalo que no me gustó por el hecho de que no se podía disminuir el peso y menos salir a la carretera. Varias veces la engrasada me permitió constatar que las cunas de los ejes estaban muy gastadas al igual que las del tenedor. Economisé y las cambié dejando la bicicleta mucho mejor.
Pero si recuerdo el regalo de la moto Honda 90 cuatro tiempos que me encantó, solo que mi hermano la usaba “logicamente" una semana de por medio. Esa moto se obsequió a mi hermano mayor que vivía en la Union creo y luego no supe más de ella.
RUMBO AL HOSPITAL
Abusé demaciado del consumo excesivo de las frutas, en particular las que podía recuperar sin ningún esfuerzo, siempre sería mucho más fácil que trepar como si lo hacía la cabra en los ciruelos, en ellos la verdad nunca me sentía bien por muchas razones, subir seria relativamente fácil, sobre algunos quizá, solo que el suelo tenía hierba alta anegadizo y las ciriguyas o chuchas al parecer habían elegido residencia en esos árboles quizá varias veces centenarios. Hoy vuelvo regularmente solo que más de medio siglo ha pasado y con el llego como extranjero donde pasé parte de mi infancia.
Para que hacer complicado y peligroso? Con una batea grande, era suficiente atravesar la pavimentada, y recoger uvas de la blanca a voluntad; eso si evitando hacerse atacar de avispas y abejas. Para ello bastaba moverse lentamente y no desesperar cuando un insecto de esos se posaba sobre uno. No mostrarse agresivo y menos asustado, jamás tuvimos conflicto aunque varias veces se posaron sobre mi, una que otra vez las abejas que no vi, entre uvas me pringaron, yo demostraba que las respetaba y admiraba, suspendía mi recolecta más por curiosidad de mirar sus antenas y patas amarillas sus bocas con pequeñas pinzas supongo que me miraban igual, “nos evaluamos” y al final nos considerábamos amistades improvisadas. Si aprendí a comportarme así es que años antes varias veces al ir en la noche al sanitario de hollo me inoculcaron veneno los alacranes, por mi error de poner la mano en su camino.
Hay un fenómeno curioso, porque lo viví; nuestro organismo tiene un poder de adaptación fenomenal, la primera vez que sentí un pringonazo fue un dolor terrible, sin buscar la razón corri a la casa gritando del dolor, mi madre por las dudas me miró y sospechando que era un alacrán, me acompañó, sin embargo, con su lámpara, una botella desocupada de un jarabe, reciclada, un hueco en la tapa un trozo de trapo y ya, se le hecha petróleo del mismo del que se usa en el fogón. Solo que no vimos ninguna serpiente, y si hubiera sido una? No, pues con mis gritos? igual se hubiera alejado muy asustada.
Esa primera ves me picó en el vértice entre dedos pulgar e índice de mi mano izquierda, que trataba de coger la puerta, pues en la derecha portaba el papel. Esa noche la pasé muy mal, la piel creció el volumen de mi mano, casi dobló, luego una tarde jugando en el patio al mover unas baldosas recibí otra dosis, no lloré no grité solo busque el alacrán y admito que con pesar le quité la vida. Varias veces me inoculcaron veneno alacranes avispas siempre debido a que no respeté su intimidad. Mi interacción con los animales siempre fue apasionada.
Una ocasión pude observar a pocos centímetros unos ojos de una sola raya negra, de una piel muy verde, de escamas y aquella lengua bifurcada saliendo regularmente, fue una evaluación de milésimas de segundo, un escalofrío recorrió toda mi espalda, en el momento en que jugando trataba de pasar rápidamente por debajo de la malla, la misma saturada de bejucos, mi vista se cruzó con la mirada de una serpiente, con reflejos de los que hoy no garantizo, heché mi cuerpo atrás mis manos se posaron detrás en el suelo, y como el cangrejo marché a cuatro patas hacia atrás para alejar mis rodillas de un eventual mordisco. Corrí a buscar un garrote pero al volver sin duda la algarabía de mis compañeros unido al mimetismo del reptil y su velocidad impidieron un mortal combate.
Recuerdo a “Dólar” un perro que usé como caballo, de niño, pero que nunca sentí tentación de agredir de ninguna manera, de todas formas siempre por su talla lo consideré digno de respeto. Un noble animal pues cuentan que jugando hasta le mordía las orejas y el jamas intentó el más mínimo gesto violento contra mi, cuentan que incluso me dormí muchas veces sobre su costado y si otra persona que mi madre intentaba recogerme mi Dólar mostraba sus colmillos y gruñía; lloré mucho pues por robarse de la cochera los cerdos, dice mi madre que le dieron carne con vidrio molido. Solo que eso hizo que mi madre se comprara un Smith and Wesson 38 especial. Supe que mi mamá lo llamaba el “cola de raton" solo comprendí de que se trataba al final de mi pubertad.
Temprano me levantaba cada día, a recoger los mangos que no podía coger en ese árbol tan alto, al cual, se me había formalmente prohibido intentar subirme, (en la casa de la Unión) pero del cual, durante las noches los murciélagos dejaban caer mangos que querian comer sin duda, y quedaban para mí; luego de comerme tres o cuatro de esos deliciosos mangos iva detrás del horno que parecía un iglú, bajo techo; donde crecieron dos árboles de cereza.
Al llegar la cosecha de cerezas, la cantidad es enorme, en este caso antes del parral de uvas que cultivaba mi tío, justo al bordo del enmallado separando la casa, de la de doña Ernestina (me parece escuchar…”Alvarito mijo venga pues, para que le lleve el calabazo a Luis Carlos, que está arando en el higuerón”…) Ah las grosellas y cerezas que me comí y sin lavarlas directamente desde el árbol pasaban con voracidad a mi boca, esos dos árboles, para un niño de ocho años? la tentación es tan grande, si no hay adultos, que vigilen?
Recuerdo que me sentía mareado y solo así dejaba de devorar esas frutas.
Al cabo de un tiempo el mareo llegaba cada vez más rápido. La última vez sentí nauseas, al día siguiente no logre levantarme desperté con fiebre, vomito y una hora o dos más tarde me encontré en una cama del hospital.
No es la primera locura de mi vida, en la finca de la abuela, luego del desayuno, tomaba un machete pequeño, y caminaba entre maracuya, guamas, chirimoyas, anones, naranjos, papayas, se me había advertido, esas frutas se recuperaban dos veces por semana. Acompañé a mi tía al mercado, y junto con los huevos se hacía trueque por sal fósforos, velas y algunos billetes mucho menos importantes, recuerdo como si aún pudiera respirar el aroma de las flores de los naranjos, el olor a la humedad del suelo, me veo casi tan grande como el machete caminando hasta llegar a un lugar donde seleccionaba una caña de las más maduras, la cortaba, y me sentaba en el suelo a la sombra de frondosos árboles, y si no comía naranjas es porque la vara de guadua pesaba mucho y se me dificultaba colectar algunas, en cambio la caña fue fácil pelarla a medida que cortaba en trozos de talla apropiada comía y al cabo de un muy largo rato el “montón” de bagazo alcanzaba casi mi altura sentado. Supongo que desde el camino real se podía saber donde me encontraba pues eructaba de manera estridente regularmente.
Recuerdo una ocasión en la que el cocinero le mostró a papá un fondo grande usado para cocinar arroz. Esta vez parecía paella, si mi memoria no me traiciona, debíamos llevar un Buldoser, y recoger todo, esa olla debería ser lavada en la cañada, solo que antes yo me di a la tarea de comer lo que por tradición siempre me encantó, y que le llamamos “pegado”.
En aquella época por el año 1972, la carretera de Media canoa a Yumbo era destapada, viejé sentado arriba en el buldoser, nunca más en mi vida me quedaron ganas de comer en exceso, cada hueco de aquella carretera para mi fue un sufrimiento que no deseo al peor enemigo.
Muchos frutos me encantan: los nísperos, los anones, pero desde esas experiencia traumatizante solo como relativamente razonable, mi infancia la viví fundamentalmente donde la abuela por vacaciones, no olvido la naranja Lima y la naranja grandiosa y roja que se debe saber comer de lo contrario es muy amarga.
Como olvidar cuando acompañé la abuela con las bateas a coger cacao, aprendí así que es el chocolate, pero aquel que es artesanal, bolas que producía mi abuela.
Como olvidar el proceso para sacar almidón de la yuca, y llegar a aquella maravilla que es el horneado con ese aroma peculiar que sentimos a varios kilómetros permitiendo saber si es arepa de “choclo" o pandebono. Como olvidar esos frijoles exquisitos o el sancocho de la abuela y que JAMAS dejó que raspara la olla del arroz, pues sus ollas eran de barro (tierra cocida) y pensaba que yo la hubiera roto. Como olvidar el trayecto entre la casa y el río Cauca de donde se traía el agua que se juntaba con trozos de azufre en una tinaja grande y debajo gota por gota otra tinaja recuperaba el agua que se podía tomar siempre muy fresca.
AL ASALTO DEL MONTE DE VENUS
Todas las pequeñas y pequeños tienen la primera experiencia entre paréntesis y comillas, durante la infancia. Por pudor, por educación u cualquier razón, nos es incómodo abordar ciertas cosas íntimas.
A decir verdad, incluso algunas artistas de importancia en la cultura francesa, lograron rápidamente adquirir prestigio al hacer de conocimiento público, situaciones de incesto, de violación, durante su infanci. Si ciertos hechos trágicos, vergonzosos, son confesados sin duda hay factores culturales que permiten que se libere la palabra o no.
Desde luego que admito realizar una experiencia específica. Ya en dos días he publicado en español y francés por lo tanto dos personas del género femenino han elogiado mi texto. En este lado del caribe del mismo género he recibido indiferencia incluso un comentario corto que es:
…”???”…
Abolicion de la ética y la moral
Solo cuando el supuesto ser humano, pierde todo contacto racional con la realidad, puede llegar tan bajo, para realizar un acto tan obsceno, tan vil, tan perverso. Llegar al incesto, es un problema de talla mayor, no abordarlo es considerado tabú.
Supongo que intentar guardar silencio, es la primera reacción, sin embargo es acaso la mejor?
La sexualidad en calidad de contacto a la base fisiológico, traducido por las diferentes culturas en una larga gama de matices, donde se incrusta paulatinamente, al lado del abandono de la vida nómada, ritos cada vez más refinados, sistemáticamente, se asocian, cambios y normas que concluyen con condiciones, leyes y preceptos rápidamente recuperados por los balbuceos de las religiones, las sectas, y con el progreso las religiones.
La sexualidad humana se diferencia paulatinamente del simple instinto, para incluso llevarla al Sacramento donde se le despoja oficialmente de toda connotación inmoral siempre y cuando, la relación esté contemplada dentro de límites precisos.
La sexualidad es un argumento, muy potente, en el éxito literario, mentiría si niego, que en lo más profundo de mi conciencia no he acariciado la ilusión de escritor. Mentiría si omito decir que algunas amistades, al criticar mi nivel “sinceramente" (lo pienso de verdad) malo en gramática y ortografía. La sexualidad no lo olvido me ha motivado a redactar este capítulo. Sin embargo se trata de la visión de un menor de cinco o seis años.
Hay a cierta edad, una concepción infundada del sexo; a una edad en la que es imposible el acto tal cuso es necesario para que cumpla su fin biológico de preservación de la especie.
Sin embargo ya se tiene un conocimiento a cinco años del proceso de cunilingus, quizá más técnico y eficiente, que el practicado por muchos adultos.
Llega accesoria la pregunta, porque el cunilingus? Solo es suposición, responder que a falta de erección, por instinto se es imaginativo.
En los hechos; cada comienzo de tarde, cuando la madre recibía la visita de la sobrina de la vecina, venia acompañada de su hija, estas visitas de memoria no serían regulares, sin embargo, el “protocolo" siempre fue sistemático, detrás de la casa existía un terreno detalla idéntica al que ocupaba la construcción. Además ese terreno de memoria y por las facilidades de la composición, en particular para cama y paredes; estaba cultivado de maíz, del amarillo, de manera que improvisar una “suntuosa” choza con ese material fue cosa simple.
En lo que para el juego de “papá y mamá” figuraba como “casa" solo la cama tenía realmente importancia. En ese orden de ideas ante el sol de las tres de la tarde de la regio de Palmira en la zona más dulce de Colombia, lo que importa es la noche, que para la edad de cinco o seis años, pues, si, daba una vuelta del terreno de maíz y eso equivalía a un día. Confieso que la larga jornada la recorría lo más rápido que mis piernas lo permitían; porque lo más delicioso de ese juego para el niño, lo más sublime, maravilloso, siempre fue irse a la “cama" con aquella preciosa muñeca a la piel canela, desde luego, que algunas objeciones siempre fueron obstáculo, su pudor su tentación a quedarse la ropa, el niño argumentaba el fingido baño, para poder con un fingido estropajo, recorrer con la ternura más ingenua y romántica cada rincón de su cuerpo, sin encontrar rechazo excepto al llegar abajo del pubis.
Veinte años después, una ocasión decidí visitar a mi salvadora, (infinidad de veces esta piadosa vecina vino a suspender mi martirio deteniendo el látigo devla mano de mi progenitora) doña Omaira tía de la madre de aquella preciosa morena. Oh tremenda sorpresa, la misma muñeca pero esta vez en formato “mujer" se diría que hubiese visto un fantasma. Salió disparada de la cocina de doña Omaira, quien sorprendida, ignorando todo del estruendoso pasado común, dijo:
…”oí mira ve, deja que este joven te acompañe"…
No se escucho como respuesta, otra cosa que el ruido de ramas quebradas del cafetal que separaba las dos casas.
La influencia de las religiones aleja del acto instintivo salvaje al ser humano. Luego por factores diversos llega en 1905 creo en Francia una ley que impone la laicidad, ley que se traduce de manera lenta pero firme, como en otros países, en una progresión significativa de libertinaje atado por lógica a la reducción de preceptos de moral y ética.
El individuo sin guía de su conciencia, deja de diferenciarse del irracional, deja de comportarse en ser humano, en ciertas situaciones lo que deja surgir el lado salvaje. Que solo es reprimido hasta entonces por la normativa religiosa.
Podemos desde este momento del pensamiento, exonerarnos de normas, para escribir sobre la sexualidad? Queda en la consciencia una amplia gama de obstáculos, que funcionan como límites o censura automáticos.
Voluntariamente he seleccionado un título, agresivo, pero no deseo atraer con mentiras, he usado franqueza al considerar hechos estrictamente vinculados con el abuso sexual que surge como variante, no como estadística pero si como ultraje, si como atentado salvaje a la pudor. Puesto que cuando se hace público una agresión sexual sobre menores, ocho o nueve otros actos no son declarados, porque los menores niñas o niños están en una situado frágil dependiendo por completo del agresor.
El tema desde aquí se asume teniendo presente que son vivencias ficticias o figuradas, que no tienen nada que ver con la realidad.
En casa vivían tres hermanas, mi madre las guardaba para que la madre de ellas trabajara. La del medio dos años mayor que yo, desde su llegada siempre parecía en otro mundo, la mirada perdida, su gesticulación me dejaba comprender que sufría, los días pasaron, los meses y los años, hoy se que esta niña debió soportar algo demaciado traumatizante para terminar encerrada en si misma, por su nivel alto de timidez se puede deducir que alguien le había arrebatado su inocencia.
A la época no se sabía en los barrios obreros de temas de psiquiatría, así que a los dos años creo se fueron las niñas, sin que una sola vez yo hubiera escuchado su voz.
Por aquella época en la casa vecina vivía una gran familia no menos de cuatro chicas desde mi edad hasta una señorita. Solo recuerdo entonces haber disfrutado de cuatro o cinco navidades a lo sumo. Escuche hablar de la finca, y la idea de evitar las largas reprimendas en un costal colgado de una viga del bóvedo, me llevo a suplicar a mi madre, me dejara ir, un día mi sueño se hizo realidad. Al fin salía de mi casa! Fue esta la primera vez de mi vida que no dormiría en la noche en la misma cama de toda mi corta existencia. Por algunos días, estaría lejos de los castigos, en los que al bañarme podía contar los hematomas dejados por ese rejo tostado, en mi cuerpo. La primera parte del viaje transcurrió vertiginosamente, luego dejamos la ruta asfaltada por un camino escarpado, donde la constante fue subida y viraje. Ya el sol tenía grandes dificultades a darnos su claridad debido a las nubes de la cordillera, primero sus colores fueron una larga gama de amarillos que humillaban el azul cada vez más oscuro, rápidamente llegaron los naranjas al mismo tiempo que se acabó la carretera; en verdad solo podemos admitir que tenía más de camino de herradura, que carretera, una casa muy grande toda en tablas y por primera vez vi tejas de madera.
Hubo un intercambio de frases entre quien me llevaba y algunas voces, hubiera podido decir, la casa que habla, el intercambio fue amable, entre gente que se distingue desde mucho tiempo atrás. La verdad a lo lejos ya el sol nos había dejado, ni idea de por donde ir, la linterna parecía cansada y para no agravar su estado solo se prendía con intermitencia. Mi guía de fortuna avanzaba, yo trataba de seguirlo solo guiado por su respiración y el ruido de las piedras ajustando mi rumbo a cada vez que el rayo de luz lo permitía, de vez en cuando cruzando riachuelos, de aguas cristalinas y muy frías, no sabría dar una estimación de la distancia, esto era una verdadera aventura, mi nariz descubría escudriñaba ahí donde la vista no podía, infinidad de aromas absolutamente nuevos, así que mis oídos, recibían una sinfonía majestuosa de cantos de grillos y aves, hasta ese instante jamás imaginadas y la verdad en ningún instante senti miedo, que si sentía cada vez que mi madre por “a” o por “b” decidía colgarme en un costal para pegarme hasta que una vecina viniera a quitarle por la fuerza el rejo de las manos. Me sentía feliz lejos de casa. Así fuera en un camino frío con poca visibilidad ya que una niebla espesa se invito a acompañarnos, si expiraba por la boca se podría creer que expiraba el humo de cigarrillo. El follaje abundante pareciera transpirar gruesas gotas condensadas muy frías refrescando nuestro cansancio al punto que supongo que ese trayecto abajo en el valle al sol del medio día no sería posible.
El hecho es que llegamos a la finca, una casa cerrada, solo con una cabulla, es más el broche de la entrada fue fácil.de habrir y se camino pocos metros y ahí estaba la casa. Inútil de intentar escudriñar, el ruido del agua arrullaba nuestra conversación incluso toda la noche y el día. Me ofrecieron varios costales tres rayas y un trozo de cobija de lana quizás un resto de una ruana. Lo cierto es que me dormí en ese suelo de tablas, con algunas rendijas, al igual que en las paredes, o lo que hacía el papel de puerta, rendijas, por donde hasta podría pasar un dedo, rendijas que al paso del viento parecían quejarse con migo del frío. No hablo de las pulgas, ah! Las muy descaradas se dieron gusto con migo!
Al día siguiente luego de un chocolate con queso y maduro asado nos pusimos botas de caucho, las que me quedaron mejores me hacían ver como el gato con botas, no se veía nada a cinco metros, por primera vez en la mañana caminé en un potrero, y que potrero! Yo acostumbrado al valle, lo plano, eso era la ladera la falda de una loma no creo exagerar si afirmó que el a ángulo con el horizonte, que jamás pude ver entre niebla y nubes, ese ángulo podía alcanzar en promedio cuarenta y cinco grados, el silbaba de manera especial “llamando las vacas”, se me explicaba que al día siguiente sería mi trabajo traer las vacas para ordeñar. Eran tres o cuatro, por la niebla no sabía solo, un momento dado, por la manera de resoplar se sabía que no estaban lejos,
Al volver a la casa, no podría decir cuando, pues la niebla no dejaba saber dónde se encontraba el sol. Lo cierto es que se ordeñaron las vacas, se hacía queso, y se comía muy bien al segundo día llegaron con la señora un hijo y una hija. La alimentación se mejoró ostensiblemente, ya la actividad de traer las vacas se hizo rutina, y unas veces caminando otras gateando, al final siempre terminaba trayendolas para ordeñar, se me ofrecía un vaso grande de leche recién ordeñada para recalentarme, el baño solo fue posible después de las dos de la tarde, pocas veces calentado por escasos rayos de sol entonces comprendi la razón de la piel tan blanca de esas muchachas tan lindas.
Nos bañamos en aquel lavadero con agua muy fría y esta muchacha de unos cinco o seis años mayor, tomaba el papel de mi madre restregando mi cuerpo que entraba en espasmos que no se si eran por el frío o por aquel sentimiento de culpabilidad al estar siendo frotado por una mujer que por causa de su ropa mojada, dejaba notar toda su intimidad debajo en un transparente casi absoluto. Jamás hubiera intentado nada que estropeara este momento de hechizo cada día.
NICK RAVISE
PROLOGO
Desde aquel momento en que tenemos memoria, muy lejos en nuestros primeros recuerdos de la niñez; debemos aceptar que ya sentimos el deseo imperativo de ser libres, pues la verdad nuestros padres, los adultos, si pueden salir cuando desean sin inquietarse de cuando deben volver.
Es demasiado injusto! Queremos solo salir a la calle y de inmediato debemos soportar el peso enorme de la amenaza cuando no es el castigo. Crecemos pues constatando el atropello salvaje a nuestra libertad. Esto no nos predispone en nada a ser dóciles, no que va, pretendemos ser personas con mucho discernimiento.
Mi infancia fue la más feliz del mundo! Escribiría un gran hombre o mujer en la literatura; para mi que frase más insípida! La verdad, es horrible leerla en primera persona; a cuatro o cinco años dudo que me hubiera sentido feliz soportando una educación francamente deficiente. Que hoy se que no podría ser por culpa de mis padres.
Es propio del chovinismo natural inscrito en nuestra naturaleza génica, asumir que lo nuestro es lo mejor, solo que así es por siete y medio millones de millares, de otras personas sobre este pequeño planeta. La verdad a esa edad no disponemos de suficiente información para emitir una opinión sólida e irrefutable, estas pocas líneas describen una realidad imaginaria o de ficción, que cada lector podrá usar para divertirse o pensar en cuestiones más profundas de la existencia humana o de la miseria humana.
Se trata del cotidiano de un hijo de obrero que desde que recuerda crecía en un barrio de “clase obrera” de una ciudad obrera de un país de América Latina. Narreremos anécdotas y sarcasmos teniendo cuidado de preservar en lo posible la identidad de los protagonistas reales o figurados.
UN REGALO DE NIÑO DIOS
De lo que aún me suele volver esporádicamente a la memoria, puedo situar un plástico, una pasta negra con accesorios amarillos, como las llaves necesarias para armar y desarmar. Mi padre tomó todo el tiempo y la paciencia para hacerme comprender que el plástico se rompe si lo tratamos mal. Segui con una atención enorme cada una de las operaciones que mi padre ejecutaba “siempre" enfatizando en la fragilidad de los componentes.
Entonces me quedó muy claro aquello de tornillo y de sentido para apretar o aflojar, fueron miles de veces que desarmé y pasé largos momentos antes de comprender que no estaba armando bien mi carro. Muchos años después, más de cuarenta años comprendería, de donde sale esa tendencia mía por hacer el cambio de aceite, cambiar frenos en fin mantener mis autos, como otras personas durante mis treinta años de vida en Francia. La verdad usaba ese juguete más para armarlo y desarmarlo que para jugar como los otros niños. La curiosidad de comprender cada gesto y de realizarlo con más habilidad ya ocupaba en mi un espacio importante. La vanidad ante mis amigos no estaba distante ellos no podían desfigurar por completo sus juguetes. Eso me daba un sentimiento de omnipotencia que sería injusto hoy no confesar. Ahora se que es orgasmo intelectual pues sentía a quizá cinco años en mis genitales una sensación que llegaba con un hondo suspiro cada vez que me sentía satisfecho de la rapidez de la ejecución.
Me pidió mi madre que prestara al hijo de los inquilinos mi precioso juguete, infortunio mayor! pues el que muchas veces me vio hacerlo; lo primero que hizo fue romper algunos tornillos que sujetaban las ruedas. Por fortuna conservé del empaque repuestos. Mientras el se divertía.desarmando, yo sufría mirando, y presumiendo, que al menor error, trataría de demostrar que no debía prestar mi juguete, así que rápidamente ocurrió lo que yo supuse que debía ocurrir. Corrí llorando ver a mi madre y sin confesar que tenía repuesto; le dije que lo había dañado mostrando en mis manos los trozos de tornillos rotos. Solo quería que nunca más me obligara a prestar mi “precioso" juguete.
Supongo que mientras dormía luego de tomarme un biberón, mi amigo , que “amigo”!!!! se divertía bajo la complicidad de mi madre, el caso es que bien que yo nunca traté de tomar un juguete suyo, el solicitaba a mi madre con insistencia que yo le prestara mi carro. Así terminó roto pues creo que varios meses después nunca logré de nuevo armar todo por falta de tornillos rotos.
Recuerdo el triciclo, ah el triciclo que jugurte más divertido, con parrilla donde debía llevar mi hermano, deben aún haber fotos, ese juguete duró mucho más pues la navidad siguiente aún funcionaría, recuerdo que los ejes terminaron reduciéndose hasta romperse. Corría mucho en ese juguete. Por suerte el patio permitía debajo de los dos árboles de limón, al lado de los dos arbustos de café, ir hasta el fondo del patio bajo los árboles de guamo, logré pasar muy rápido además aprendi con varias caídas, que en las curvas, no se debe correr. Aprendi que en línea recta un suelo Irregular nos hace repelar las rodillas y los codos algunas veces hasta sangre me brotó de la cabeza, si mi madre no me veía mucho mejor, seria una media hora dándome surriago en menos.
Ya al comienzo de mi pubertad, me hice un regalo de navidad, mi padre participó sin duda, durante las vacaciones de navidad, trabajé cuidando una casa del barrio la Flora de Cali para obtener el dinero. Se trataba de una bicicleta estándar o de turismo. Es decir con guardabarros y parrilla
Pues bien lo primero que se me vino al espiritu fue tratar de ascender la loma del huevo. La verdad no lo podía lograr, pocos años más tarde en piñón 18 y plato 48 ya subía desde Cartago a Cerritos. No fue mi primera bicicleta ya hubo una de marco pequeño que había compartido con mi hermano, un regalo que no me gustó por el hecho de que no se podía disminuir el peso y menos salir a la carretera. Varias veces la engrasada me permitió constatar que las cunas de los ejes estaban muy gastadas al igual que las del tenedor. Economisé y las cambié dejando la bicicleta mucho mejor.
Pero si recuerdo el regalo de la moto Honda 90 cuatro tiempos que me encantó, solo que mi hermano la usaba “logicamente" una semana de por medio. Esa moto se obsequió a mi hermano mayor que vivía en la Union creo y luego no supe más de ella.
RUMBO AL HOSPITAL
Abusé demaciado del consumo excesivo de las frutas, en particular las que podía recuperar sin ningún esfuerzo, siempre sería mucho más fácil que trepar como si lo hacía la cabra en los ciruelos, en ellos la verdad nunca me sentía bien por muchas razones, subir seria relativamente fácil, sobre algunos quizá, solo que el suelo tenía hierba alta anegadizo y las ciriguyas o chuchas al parecer habían elegido residencia en esos árboles quizá varias veces centenarios. Hoy vuelvo regularmente solo que más de medio siglo ha pasado y con el llego como extranjero donde pasé parte de mi infancia.
Para que hacer complicado y peligroso? Con una batea grande, era suficiente atravesar la pavimentada, y recoger uvas de la blanca a voluntad; eso si evitando hacerse atacar de avispas y abejas. Para ello bastaba moverse lentamente y no desesperar cuando un insecto de esos se posaba sobre uno. No mostrarse agresivo y menos asustado, jamás tuvimos conflicto aunque varias veces se posaron sobre mi, una que otra vez las abejas que no vi, entre uvas me pringaron, yo demostraba que las respetaba y admiraba, suspendía mi recolecta más por curiosidad de mirar sus antenas y patas amarillas sus bocas con pequeñas pinzas supongo que me miraban igual, “nos evaluamos” y al final nos considerábamos amistades improvisadas. Si aprendí a comportarme así es que años antes varias veces al ir en la noche al sanitario de hollo me inoculcaron veneno los alacranes, por mi error de poner la mano en su camino.
Hay un fenómeno curioso, porque lo viví; nuestro organismo tiene un poder de adaptación fenomenal, la primera vez que sentí un pringonazo fue un dolor terrible, sin buscar la razón corri a la casa gritando del dolor, mi madre por las dudas me miró y sospechando que era un alacrán, me acompañó, sin embargo, con su lámpara, una botella desocupada de un jarabe, reciclada, un hueco en la tapa un trozo de trapo y ya, se le hecha petróleo del mismo del que se usa en el fogón. Solo que no vimos ninguna serpiente, y si hubiera sido una? No, pues con mis gritos? igual se hubiera alejado muy asustada.
Esa primera ves me picó en el vértice entre dedos pulgar e índice de mi mano izquierda, que trataba de coger la puerta, pues en la derecha portaba el papel. Esa noche la pasé muy mal, la piel creció el volumen de mi mano, casi dobló, luego una tarde jugando en el patio al mover unas baldosas recibí otra dosis, no lloré no grité solo busque el alacrán y admito que con pesar le quité la vida. Varias veces me inoculcaron veneno alacranes avispas siempre debido a que no respeté su intimidad. Mi interacción con los animales siempre fue apasionada.
Una ocasión pude observar a pocos centímetros unos ojos de una sola raya negra, de una piel muy verde, de escamas y aquella lengua bifurcada saliendo regularmente, fue una evaluación de milésimas de segundo, un escalofrío recorrió toda mi espalda, en el momento en que jugando trataba de pasar rápidamente por debajo de la malla, la misma saturada de bejucos, mi vista se cruzó con la mirada de una serpiente, con reflejos de los que hoy no garantizo, heché mi cuerpo atrás mis manos se posaron detrás en el suelo, y como el cangrejo marché a cuatro patas hacia atrás para alejar mis rodillas de un eventual mordisco. Corrí a buscar un garrote pero al volver sin duda la algarabía de mis compañeros unido al mimetismo del reptil y su velocidad impidieron un mortal combate.
Recuerdo a “Dólar” un perro que usé como caballo, de niño, pero que nunca sentí tentación de agredir de ninguna manera, de todas formas siempre por su talla lo consideré digno de respeto. Un noble animal pues cuentan que jugando hasta le mordía las orejas y el jamas intentó el más mínimo gesto violento contra mi, cuentan que incluso me dormí muchas veces sobre su costado y si otra persona que mi madre intentaba recogerme mi Dólar mostraba sus colmillos y gruñía; lloré mucho pues por robarse de la cochera los cerdos, dice mi madre que le dieron carne con vidrio molido. Solo que eso hizo que mi madre se comprara un Smith and Wesson 38 especial. Supe que mi mamá lo llamaba el “cola de raton" solo comprendí de que se trataba al final de mi pubertad.
Temprano me levantaba cada día, a recoger los mangos que no podía coger en ese árbol tan alto, al cual, se me había formalmente prohibido intentar subirme, (en la casa de la Unión) pero del cual, durante las noches los murciélagos dejaban caer mangos que querian comer sin duda, y quedaban para mí; luego de comerme tres o cuatro de esos deliciosos mangos iva detrás del horno que parecía un iglú, bajo techo; donde crecieron dos árboles de cereza.
Al llegar la cosecha de cerezas, la cantidad es enorme, en este caso antes del parral de uvas que cultivaba mi tío, justo al bordo del enmallado separando la casa, de la de doña Ernestina (me parece escuchar…”Alvarito mijo venga pues, para que le lleve el calabazo a Luis Carlos, que está arando en el higuerón”…) Ah las grosellas y cerezas que me comí y sin lavarlas directamente desde el árbol pasaban con voracidad a mi boca, esos dos árboles, para un niño de ocho años? la tentación es tan grande, si no hay adultos, que vigilen?
Recuerdo que me sentía mareado y solo así dejaba de devorar esas frutas.
Al cabo de un tiempo el mareo llegaba cada vez más rápido. La última vez sentí nauseas, al día siguiente no logre levantarme desperté con fiebre, vomito y una hora o dos más tarde me encontré en una cama del hospital.
No es la primera locura de mi vida, en la finca de la abuela, luego del desayuno, tomaba un machete pequeño, y caminaba entre maracuya, guamas, chirimoyas, anones, naranjos, papayas, se me había advertido, esas frutas se recuperaban dos veces por semana. Acompañé a mi tía al mercado, y junto con los huevos se hacía trueque por sal fósforos, velas y algunos billetes mucho menos importantes, recuerdo como si aún pudiera respirar el aroma de las flores de los naranjos, el olor a la humedad del suelo, me veo casi tan grande como el machete caminando hasta llegar a un lugar donde seleccionaba una caña de las más maduras, la cortaba, y me sentaba en el suelo a la sombra de frondosos árboles, y si no comía naranjas es porque la vara de guadua pesaba mucho y se me dificultaba colectar algunas, en cambio la caña fue fácil pelarla a medida que cortaba en trozos de talla apropiada comía y al cabo de un muy largo rato el “montón” de bagazo alcanzaba casi mi altura sentado. Supongo que desde el camino real se podía saber donde me encontraba pues eructaba de manera estridente regularmente.
Recuerdo una ocasión en la que el cocinero le mostró a papá un fondo grande usado para cocinar arroz. Esta vez parecía paella, si mi memoria no me traiciona, debíamos llevar un Buldoser, y recoger todo, esa olla debería ser lavada en la cañada, solo que antes yo me di a la tarea de comer lo que por tradición siempre me encantó, y que le llamamos “pegado”.
En aquella época por el año 1972, la carretera de Media canoa a Yumbo era destapada, viejé sentado arriba en el buldoser, nunca más en mi vida me quedaron ganas de comer en exceso, cada hueco de aquella carretera para mi fue un sufrimiento que no deseo al peor enemigo.
Muchos frutos me encantan: los nísperos, los anones, pero desde esas experiencia traumatizante solo como relativamente razonable, mi infancia la viví fundamentalmente donde la abuela por vacaciones, no olvido la naranja Lima y la naranja grandiosa y roja que se debe saber comer de lo contrario es muy amarga.
Como olvidar cuando acompañé la abuela con las bateas a coger cacao, aprendí así que es el chocolate, pero aquel que es artesanal, bolas que producía mi abuela.
Como olvidar el proceso para sacar almidón de la yuca, y llegar a aquella maravilla que es el horneado con ese aroma peculiar que sentimos a varios kilómetros permitiendo saber si es arepa de “choclo" o pandebono. Como olvidar esos frijoles exquisitos o el sancocho de la abuela y que JAMAS dejó que raspara la olla del arroz, pues sus ollas eran de barro (tierra cocida) y pensaba que yo la hubiera roto. Como olvidar el trayecto entre la casa y el río Cauca de donde se traía el agua que se juntaba con trozos de azufre en una tinaja grande y debajo gota por gota otra tinaja recuperaba el agua que se podía tomar siempre muy fresca.
AL ASALTO DEL MONTE DE VENUS
Todas las pequeñas y pequeños tienen la primera experiencia entre paréntesis y comillas, durante la infancia. Por pudor, por educación u cualquier razón, nos es incómodo abordar ciertas cosas íntimas.
A decir verdad, incluso algunas artistas de importancia en la cultura francesa, lograron rápidamente adquirir prestigio al hacer de conocimiento público, situaciones de incesto, de violación, durante su infanci. Si ciertos hechos trágicos, vergonzosos, son confesados sin duda hay factores culturales que permiten que se libere la palabra o no.
Desde luego que admito realizar una experiencia específica. Ya en dos días he publicado en español y francés por lo tanto dos personas del género femenino han elogiado mi texto. En este lado del caribe del mismo género he recibido indiferencia incluso un comentario corto que es:
…”???”…
Abolicion de la ética y la moral
Solo cuando el supuesto ser humano, pierde todo contacto racional con la realidad, puede llegar tan bajo, para realizar un acto tan obsceno, tan vil, tan perverso. Llegar al incesto, es un problema de talla mayor, no abordarlo es considerado tabú.
Supongo que intentar guardar silencio, es la primera reacción, sin embargo es acaso la mejor?
La sexualidad en calidad de contacto a la base fisiológico, traducido por las diferentes culturas en una larga gama de matices, donde se incrusta paulatinamente, al lado del abandono de la vida nómada, ritos cada vez más refinados, sistemáticamente, se asocian, cambios y normas que concluyen con condiciones, leyes y preceptos rápidamente recuperados por los balbuceos de las religiones, las sectas, y con el progreso las religiones.
La sexualidad humana se diferencia paulatinamente del simple instinto, para incluso llevarla al Sacramento donde se le despoja oficialmente de toda connotación inmoral siempre y cuando, la relación esté contemplada dentro de límites precisos.
La sexualidad es un argumento, muy potente, en el éxito literario, mentiría si niego, que en lo más profundo de mi conciencia no he acariciado la ilusión de escritor. Mentiría si omito decir que algunas amistades, al criticar mi nivel “sinceramente" (lo pienso de verdad) malo en gramática y ortografía. La sexualidad no lo olvido me ha motivado a redactar este capítulo. Sin embargo se trata de la visión de un menor de cinco o seis años.
Hay a cierta edad, una concepción infundada del sexo; a una edad en la que es imposible el acto tal cuso es necesario para que cumpla su fin biológico de preservación de la especie.
Sin embargo ya se tiene un conocimiento a cinco años del proceso de cunilingus, quizá más técnico y eficiente, que el practicado por muchos adultos.
Llega accesoria la pregunta, porque el cunilingus? Solo es suposición, responder que a falta de erección, por instinto se es imaginativo.
En los hechos; cada comienzo de tarde, cuando la madre recibía la visita de la sobrina de la vecina, venia acompañada de su hija, estas visitas de memoria no serían regulares, sin embargo, el “protocolo" siempre fue sistemático, detrás de la casa existía un terreno detalla idéntica al que ocupaba la construcción. Además ese terreno de memoria y por las facilidades de la composición, en particular para cama y paredes; estaba cultivado de maíz, del amarillo, de manera que improvisar una “suntuosa” choza con ese material fue cosa simple.
En lo que para el juego de “papá y mamá” figuraba como “casa" solo la cama tenía realmente importancia. En ese orden de ideas ante el sol de las tres de la tarde de la regio de Palmira en la zona más dulce de Colombia, lo que importa es la noche, que para la edad de cinco o seis años, pues, si, daba una vuelta del terreno de maíz y eso equivalía a un día. Confieso que la larga jornada la recorría lo más rápido que mis piernas lo permitían; porque lo más delicioso de ese juego para el niño, lo más sublime, maravilloso, siempre fue irse a la “cama" con aquella preciosa muñeca a la piel canela, desde luego, que algunas objeciones siempre fueron obstáculo, su pudor su tentación a quedarse la ropa, el niño argumentaba el fingido baño, para poder con un fingido estropajo, recorrer con la ternura más ingenua y romántica cada rincón de su cuerpo, sin encontrar rechazo excepto al llegar abajo del pubis.
Veinte años después, una ocasión decidí visitar a mi salvadora, (infinidad de veces esta piadosa vecina vino a suspender mi martirio deteniendo el látigo devla mano de mi progenitora) doña Omaira tía de la madre de aquella preciosa morena. Oh tremenda sorpresa, la misma muñeca pero esta vez en formato “mujer" se diría que hubiese visto un fantasma. Salió disparada de la cocina de doña Omaira, quien sorprendida, ignorando todo del estruendoso pasado común, dijo:
…”oí mira ve, deja que este joven te acompañe"…
No se escucho como respuesta, otra cosa que el ruido de ramas quebradas del cafetal que separaba las dos casas.
La influencia de las religiones aleja del acto instintivo salvaje al ser humano. Luego por factores diversos llega en 1905 creo en Francia una ley que impone la laicidad, ley que se traduce de manera lenta pero firme, como en otros países, en una progresión significativa de libertinaje atado por lógica a la reducción de preceptos de moral y ética.
El individuo sin guía de su conciencia, deja de diferenciarse del irracional, deja de comportarse en ser humano, en ciertas situaciones lo que deja surgir el lado salvaje. Que solo es reprimido hasta entonces por la normativa religiosa.
Podemos desde este momento del pensamiento, exonerarnos de normas, para escribir sobre la sexualidad? Queda en la consciencia una amplia gama de obstáculos, que funcionan como límites o censura automáticos.
Voluntariamente he seleccionado un título, agresivo, pero no deseo atraer con mentiras, he usado franqueza al considerar hechos estrictamente vinculados con el abuso sexual que surge como variante, no como estadística pero si como ultraje, si como atentado salvaje a la pudor. Puesto que cuando se hace público una agresión sexual sobre menores, ocho o nueve otros actos no son declarados, porque los menores niñas o niños están en una situado frágil dependiendo por completo del agresor.
El tema desde aquí se asume teniendo presente que son vivencias ficticias o figuradas, que no tienen nada que ver con la realidad.
En casa vivían tres hermanas, mi madre las guardaba para que la madre de ellas trabajara. La del medio dos años mayor que yo, desde su llegada siempre parecía en otro mundo, la mirada perdida, su gesticulación me dejaba comprender que sufría, los días pasaron, los meses y los años, hoy se que esta niña debió soportar algo demaciado traumatizante para terminar encerrada en si misma, por su nivel alto de timidez se puede deducir que alguien le había arrebatado su inocencia.
A la época no se sabía en los barrios obreros de temas de psiquiatría, así que a los dos años creo se fueron las niñas, sin que una sola vez yo hubiera escuchado su voz.
Por aquella época en la casa vecina vivía una gran familia no menos de cuatro chicas desde mi edad hasta una señorita. Solo recuerdo entonces haber disfrutado de cuatro o cinco navidades a lo sumo. Escuche hablar de la finca, y la idea de evitar las largas reprimendas en un costal colgado de una viga del bóvedo, me llevo a suplicar a mi madre, me dejara ir, un día mi sueño se hizo realidad. Al fin salía de mi casa! Fue esta la primera vez de mi vida que no dormiría en la noche en la misma cama de toda mi corta existencia. Por algunos días, estaría lejos de los castigos, en los que al bañarme podía contar los hematomas dejados por ese rejo tostado, en mi cuerpo. La primera parte del viaje transcurrió vertiginosamente, luego dejamos la ruta asfaltada por un camino escarpado, donde la constante fue subida y viraje. Ya el sol tenía grandes dificultades a darnos su claridad debido a las nubes de la cordillera, primero sus colores fueron una larga gama de amarillos que humillaban el azul cada vez más oscuro, rápidamente llegaron los naranjas al mismo tiempo que se acabó la carretera; en verdad solo podemos admitir que tenía más de camino de herradura, que carretera, una casa muy grande toda en tablas y por primera vez vi tejas de madera.
Hubo un intercambio de frases entre quien me llevaba y algunas voces, hubiera podido decir, la casa que habla, el intercambio fue amable, entre gente que se distingue desde mucho tiempo atrás. La verdad a lo lejos ya el sol nos había dejado, ni idea de por donde ir, la linterna parecía cansada y para no agravar su estado solo se prendía con intermitencia. Mi guía de fortuna avanzaba, yo trataba de seguirlo solo guiado por su respiración y el ruido de las piedras ajustando mi rumbo a cada vez que el rayo de luz lo permitía, de vez en cuando cruzando riachuelos, de aguas cristalinas y muy frías, no sabría dar una estimación de la distancia, esto era una verdadera aventura, mi nariz descubría escudriñaba ahí donde la vista no podía, infinidad de aromas absolutamente nuevos, así que mis oídos, recibían una sinfonía majestuosa de cantos de grillos y aves, hasta ese instante jamás imaginadas y la verdad en ningún instante senti miedo, que si sentía cada vez que mi madre por “a” o por “b” decidía colgarme en un costal para pegarme hasta que una vecina viniera a quitarle por la fuerza el rejo de las manos. Me sentía feliz lejos de casa. Así fuera en un camino frío con poca visibilidad ya que una niebla espesa se invito a acompañarnos, si expiraba por la boca se podría creer que expiraba el humo de cigarrillo. El follaje abundante pareciera transpirar gruesas gotas condensadas muy frías refrescando nuestro cansancio al punto que supongo que ese trayecto abajo en el valle al sol del medio día no sería posible.
El hecho es que llegamos a la finca, una casa cerrada, solo con una cabulla, es más el broche de la entrada fue fácil.de habrir y se camino pocos metros y ahí estaba la casa. Inútil de intentar escudriñar, el ruido del agua arrullaba nuestra conversación incluso toda la noche y el día. Me ofrecieron varios costales tres rayas y un trozo de cobija de lana quizás un resto de una ruana. Lo cierto es que me dormí en ese suelo de tablas, con algunas rendijas, al igual que en las paredes, o lo que hacía el papel de puerta, rendijas, por donde hasta podría pasar un dedo, rendijas que al paso del viento parecían quejarse con migo del frío. No hablo de las pulgas, ah! Las muy descaradas se dieron gusto con migo!
Al día siguiente luego de un chocolate con queso y maduro asado nos pusimos botas de caucho, las que me quedaron mejores me hacían ver como el gato con botas, no se veía nada a cinco metros, por primera vez en la mañana caminé en un potrero, y que potrero! Yo acostumbrado al valle, lo plano, eso era la ladera la falda de una loma no creo exagerar si afirmó que el a ángulo con el horizonte, que jamás pude ver entre niebla y nubes, ese ángulo podía alcanzar en promedio cuarenta y cinco grados, el silbaba de manera especial “llamando las vacas”, se me explicaba que al día siguiente sería mi trabajo traer las vacas para ordeñar. Eran tres o cuatro, por la niebla no sabía solo, un momento dado, por la manera de resoplar se sabía que no estaban lejos,
Al volver a la casa, no podría decir cuando, pues la niebla no dejaba saber dónde se encontraba el sol. Lo cierto es que se ordeñaron las vacas, se hacía queso, y se comía muy bien al segundo día llegaron con la señora un hijo y una hija. La alimentación se mejoró ostensiblemente, ya la actividad de traer las vacas se hizo rutina, y unas veces caminando otras gateando, al final siempre terminaba trayendolas para ordeñar, se me ofrecía un vaso grande de leche recién ordeñada para recalentarme, el baño solo fue posible después de las dos de la tarde, pocas veces calentado por escasos rayos de sol entonces comprendi la razón de la piel tan blanca de esas muchachas tan lindas.
Nos bañamos en aquel lavadero con agua muy fría y esta muchacha de unos cinco o seis años mayor, tomaba el papel de mi madre restregando mi cuerpo que entraba en espasmos que no se si eran por el frío o por aquel sentimiento de culpabilidad al estar siendo frotado por una mujer que por causa de su ropa mojada, dejaba notar toda su intimidad debajo en un transparente casi absoluto. Jamás hubiera intentado nada que estropeara este momento de hechizo cada día.
Para la GLORIA!
NO LEAS ESTO!
Lunes 8 de febrero 2021, con gran cariño a una de las GLORIAS de mis amistades... solo es una ficción corta que se leerá si dispones de unos largos cinco minutos, formato corto.
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Supongo que la vida es una sucesión de etapas o de momentos como lo comprendemos a través de tanto comentario de tanto escrito de tanta literatura, Podríamos preguntarnos si cada etapa que vivimos deberíamos aprovecharla al máximo?
Siendo ésta una pregunta cerrada solo podemos hacer dos respuestas.
Si respondemos “no” pienso que la vida no tendría sentido.
Si por el contrario respondemos “sí” esto no significa que debamos correr detrás de todos los hechos, iniciativas, tentaciones, que se nos ofrezca en la existencia.
Sin saber por qué razón se me ha incluido en algunos grupos, entre ellos hay varios de literatura otros de culturas diversas (desde 2006, deje la vida contemplativa del romance ingenuo para interesarme en la economía política, pero en 2019, al regresar a mi patria), comprendí que nunca he realmente prestado interés a la ortografía, lo que en una lengua es femenino en otra es masculino, una "o" en una lengua es tres en otra como château y castillo o castle… terrible.
Todo comienza en el año 2002, cuando, en el apogeo de YAHOO, y por nostalgia de mi lengua materna, pasaba horas, inicialmente acostado cada que el tiempo lo permitía, escuchando hispsnofonos leer poesía y obras de grandes y menos grandes, escritores.
Siempre hubo, en las famosas salas llamadas “CHAT" retos, que hoy persisten, muy tímido acepté muy pocas, contadas ocasiones, guardé contacto con aquella generación. La mayoría educadores de Chile y Argentina, ahí incluso encontraria, dos novias virtuales, la segunda LuzMarinaV38, de Puerto Rico, de quien me enamoré por dos cosas, la primera, su alto nivel en literatura, (años después me confesó, ya en intimidad, que era juez en una ciudad importante, de ese “Edén".
Primero aprendi que tocaba muy bien el cuatro (pequeña guitarra) que participaba en las fiestas del bordado, luego si me confesó que era madre y cada año me enviaba fotos de vacaciones, hasta el día que me declaro el ultimátum, me dio un corto periodo, para que tomara mis pinceles y me fuera a vivir con ella en Puerto Rico.
Segundo aprendi que no se trataba del prototipo de mujer caribe de piel canala, fueron muchas las horas de indagatoria, discreta, a la que me sometía sin siquiera darme cuenta; en las que ella comprendió que yo la veía morena, por lo cual no acepto, vídeo conferencia, que un año y medio después, luego de confesarme, con mucho coraje de su parte que era una mujer blanca, de 66 kilos, de un metro y ochenta y un centímetros, de tipo europeo. Me dijo que la podía olvidar por haber escondido ese secreto tanto tiempo, pero ya la relación VIRTUAL estaba muy arraigada.
Debo reconocer que en mi interior, existió durante, muchos años, un sentimiento de frustración; quizá en mi subconsciente sobreviva?
La verdad es que en un cetro de formación para adultos. Logré satisfacer mi deseo de enseñar, fue español y artes plásticas. La frustración podría haber desaparecido, cuando además se mi invito a participar en cursos de pintura, donde, la verdad, aprendí más que enseñar. Es más siempre he aprendido más. Cuando se supone que enseñé
En estos grupos se discute sobre muchas cosas sobre todo y nada, pero se nos invita a escribir cosas cortas y he descubierto que yo no sé escribir ni en francés ni en inglés ni en español. En el grupo de la Universidad donde me incluyeron muy amablemente a pesar de no haber adquirido el grado de licenciado en español y comunicación, a veces transfiero parte de lo que escribo fundamentalmente para otros grupos. Una vez más se trata de ficción, se trata de ensayos, se trata de textos cortos y no deseo importunar a ninguna persona de ningún grupo, entonces a partir de ahora en el grupo de la U, trataré de dejar solo un enlace o de todas formas, sabrán que es como un meme de bromas, incluso menos invasivo desde todo punto de vista, vosotras vosotros que trabajáis, no es necesario que lo tengáis en cuenta, es más la función borrar es muy práctica! 98% de lo que recibo lo borro y confieso que esto se debe a que superviso mi memoria.
Esto significará que la persona que quiera podrá leer, la que no pues simplemente, hace caso omiso de mis intervenciones; es posible que por mi comportamiento los administradores decidan excluirme y de esta manera evitar que yo intervenga en el grupo es una solucion muy fácil y evidente.
Lunes 8 de febrero 2021, con gran cariño a una de las GLORIAS de mis amistades... solo es una ficción corta que se leerá si dispones de unos largos cinco minutos, formato corto.
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Supongo que la vida es una sucesión de etapas o de momentos como lo comprendemos a través de tanto comentario de tanto escrito de tanta literatura, Podríamos preguntarnos si cada etapa que vivimos deberíamos aprovecharla al máximo?
Siendo ésta una pregunta cerrada solo podemos hacer dos respuestas.
Si respondemos “no” pienso que la vida no tendría sentido.
Si por el contrario respondemos “sí” esto no significa que debamos correr detrás de todos los hechos, iniciativas, tentaciones, que se nos ofrezca en la existencia.
Sin saber por qué razón se me ha incluido en algunos grupos, entre ellos hay varios de literatura otros de culturas diversas (desde 2006, deje la vida contemplativa del romance ingenuo para interesarme en la economía política, pero en 2019, al regresar a mi patria), comprendí que nunca he realmente prestado interés a la ortografía, lo que en una lengua es femenino en otra es masculino, una "o" en una lengua es tres en otra como château y castillo o castle… terrible.
Todo comienza en el año 2002, cuando, en el apogeo de YAHOO, y por nostalgia de mi lengua materna, pasaba horas, inicialmente acostado cada que el tiempo lo permitía, escuchando hispsnofonos leer poesía y obras de grandes y menos grandes, escritores.
Siempre hubo, en las famosas salas llamadas “CHAT" retos, que hoy persisten, muy tímido acepté muy pocas, contadas ocasiones, guardé contacto con aquella generación. La mayoría educadores de Chile y Argentina, ahí incluso encontraria, dos novias virtuales, la segunda LuzMarinaV38, de Puerto Rico, de quien me enamoré por dos cosas, la primera, su alto nivel en literatura, (años después me confesó, ya en intimidad, que era juez en una ciudad importante, de ese “Edén".
Primero aprendi que tocaba muy bien el cuatro (pequeña guitarra) que participaba en las fiestas del bordado, luego si me confesó que era madre y cada año me enviaba fotos de vacaciones, hasta el día que me declaro el ultimátum, me dio un corto periodo, para que tomara mis pinceles y me fuera a vivir con ella en Puerto Rico.
Segundo aprendi que no se trataba del prototipo de mujer caribe de piel canala, fueron muchas las horas de indagatoria, discreta, a la que me sometía sin siquiera darme cuenta; en las que ella comprendió que yo la veía morena, por lo cual no acepto, vídeo conferencia, que un año y medio después, luego de confesarme, con mucho coraje de su parte que era una mujer blanca, de 66 kilos, de un metro y ochenta y un centímetros, de tipo europeo. Me dijo que la podía olvidar por haber escondido ese secreto tanto tiempo, pero ya la relación VIRTUAL estaba muy arraigada.
Debo reconocer que en mi interior, existió durante, muchos años, un sentimiento de frustración; quizá en mi subconsciente sobreviva?
La verdad es que en un cetro de formación para adultos. Logré satisfacer mi deseo de enseñar, fue español y artes plásticas. La frustración podría haber desaparecido, cuando además se mi invito a participar en cursos de pintura, donde, la verdad, aprendí más que enseñar. Es más siempre he aprendido más. Cuando se supone que enseñé
En estos grupos se discute sobre muchas cosas sobre todo y nada, pero se nos invita a escribir cosas cortas y he descubierto que yo no sé escribir ni en francés ni en inglés ni en español. En el grupo de la Universidad donde me incluyeron muy amablemente a pesar de no haber adquirido el grado de licenciado en español y comunicación, a veces transfiero parte de lo que escribo fundamentalmente para otros grupos. Una vez más se trata de ficción, se trata de ensayos, se trata de textos cortos y no deseo importunar a ninguna persona de ningún grupo, entonces a partir de ahora en el grupo de la U, trataré de dejar solo un enlace o de todas formas, sabrán que es como un meme de bromas, incluso menos invasivo desde todo punto de vista, vosotras vosotros que trabajáis, no es necesario que lo tengáis en cuenta, es más la función borrar es muy práctica! 98% de lo que recibo lo borro y confieso que esto se debe a que superviso mi memoria.
Esto significará que la persona que quiera podrá leer, la que no pues simplemente, hace caso omiso de mis intervenciones; es posible que por mi comportamiento los administradores decidan excluirme y de esta manera evitar que yo intervenga en el grupo es una solucion muy fácil y evidente.
Amores prohibidos de un fantasma.
Amores prohibidos de un fantasma
Autor : Anonimo
Dedicado a aquellas almas piadosas que me incitaron a leer y escribir para mejorar mi uso del español, abandonado por treinta años de vida en Francia. Pensamiento muy sentido para Alcedo, para las GLORIAS, la de Balboa que parece ser de la Virginia, de quien admiro mucho (en aquella época una joven chica, la más dinámica de la clase en cuanto a moda, hoy la más estilizada supongo, no es un piropo, es una constatación si bien personal, soportada en su soltura e independencia al expresarse) sobre todo su manera de coger el volante y la palanca, de cambios claro "vean este pirobo, yo no creía que me desnudaba pues en clase, no que asco de tipo, ordinario, a más no poder" serian sus palabras). Atención según una de las Glorias el exceso es perjudicial para la salud; la prueba, les escribe el fantasma de un estudiante que falleció por sobre dosis de lectura, cuando en los fines de semana se debían hacer resúmenes de 300 o 500 páginas fotocopiadas.
Hasta hace quince o veinte años, obscultar en detalle el pensamiento humano, solo fue objeto de discursos estrafalarios o de ciencia ficción.
Hoy con el aporte fundamental de la miniaturización y control por computador de ondas magnéticas, cosa que usted o yo leemos con asombro en la literatura moderna si tomamos uno o dos libros de algunos destacados neurólogos, contamos que la neurología ha progresado en veinte años más que en dos o tres siglos.
confieso que se me olvidó el nombre de algunos, de los que he tratado de recuperar información ; Pues ya habréis comprendido que, para retardar la vejez, practico la lectura y la escritura, como podéis igual ver, y por ello os presento mis excusas más sentidas y sinceras. Trato de escribir con una avidez excepcional en estos últimos días.
Es durante mi tiempo libre que leo, y ocurrió que preparando una tarea para mis profesores de lingüística de la sucursal de la Javeriana en Cali Colombia, que descubrí al profesor Boris Cyrulnik, quien por sus opúsculos me dejó muy agradablemente sorprendido.
He Aquí sin embargo una gran cantidad de cuestiones en cuanto a la ética y la moral, puesto que los nuevos procesos invasivos de máquinas especiales para leer la actividad cerebral, permiten con la ayuda del algoritmos determinar detalles muy precisos del pensamiento humano.
Desde este instante cuando se desea saber lo que piensa una persona, si ésta se somete voluntariamente a la intervención sobre una máquina moderna, Con una precisión de milésimas de milímetro podemos saber si piensa una frase positiva negativa si trata de mentir en una respuesta y de la manera más sencilla se puede deducir sus tendencias sus habitudes y sus intenciones.
En un mundo de ficción supongamos que una persona sin darse cuenta, es sometida a una máquina moderna para analizar su pensamiento ; pues en este instante podemos saber lo que la persona piensa de una dama que pasa al lado, Con una maquina de estas podemos saber lo que se piensa por cada una de las personas que atraviesa nuestro campo visual. Entremos pues en este universo tan fascinante de la realidad de hoy y de mañana.
En el año 2037 comienzan a instalarse las primeras máquinas en Tokio, estos equipos tienen como objetivo controlar la población en los principales ejes de circulación peatonal de la ciudad.
Entre los algoritmos que se le inyectan a la máquina se utilizan palabras o frases claves, toda intención de acto delictivo, toda intención de agresión de cualquier índole, Es transmitida a una central donde se coordina la seguridad municipal, el individuo es inmediatamente identificado por las cámaras en las estaciones de metro (transporte urbano masivo) todos los servicios de policía son informados inmediatamente para que procedan a la encarcelación del sujeto con pruebas irrefutables ante un juez.
Otras utilizaciones comprobadas en el año 2043 son las que están en relación con la infidelidad. Algunas esposas con capacidades financieras suficientes, comienzan a adquirir aparatos de talla equivalente a la que hoy es un computador portable. Algunos laboratorios han logrado minimizar los componentes haciendolos muy discretos para incrustarlos en cascos de audio, la condición sinecuanun para resultados válidos del equipo siendo, que los captores de frecuencia y tensión cerebral se encuentren diametralmente opuestos, la zona de las orejas definida el sector óptimo.
Desde allí las esposas desconfiadas comienzan a analizar el esposo de manera regular durante el tiempo que el use los audífonos o durante el sueño para recuperar la información de sus actividades cotidianas.
Desde aquí con un sistema muy simple basado en algoritmos se puede recuperar a partir del cerebro los contactos los números de teléfono y específicamente aquellos que corresponden a conversaciones de connotación particular relacionados con la infidelidad. Hay solo un sector en el cerebro que guarda aquello que asimilamos al pecado, la infracción y actos contra la moral y la ética.
… « Qué hombre tan descarado pero no está mal »…
Dice una señora de unos 35 a 40 años, un metro con sesenta y seis, de unos setenta kilos, de una figura realmente bien esbelta si consideramos que tiene dos hijos, luego de haber caminado media cuadra al salir de su apartamento rumbo al supermercado ; un vehículo blanco reduce la velocidad, El vidrio del pasajero se baja y el conductor lanza un piropo. Esta es una de las características típicas de algunos hombres en América Latina. La señora continúa su camino pero sigue meditando en la persona y recuerda que vive en el mismo edificio.
… « Ya sé lo que haré en estos días trataré de ir a hacer amistad con la mujer de él »…
Piensa Esta dama esposa y madre que considera interesante conocer más de este hombre que de una manera u otra viene de lanzarle un halago. Es verdad que su esposo hace muchos años yá no le lanza piropos, es verdad igual que este hombre es mucho más atlético puesto que todos los domingos temprano sale a hacer jogging matinal sin falta, y es verdad que si lo hace tan temprano los domingos esto significa que los sábados por la noche es alguien que se acuesta temprano. Finalmente se trata de alguien mucho más deportivo que el esposo pues sube y baja las escaleras siempre en una carrera lo que significa que en realidad tiene mucho mejor estado físico que el esposo que dominado por el placer de la comida, ya parece más un trompo.
Días más tarde el hombre en cuestión entra a su casa luego de una jornada de trabajo y es sorprendido por la presencia de esa mujer qué es en realidad sólo la segunda vez que la ve. Desde luego comienza aquí una amistad curiosa, las dos parejas se visitan durante varios meses, los diálogos son entre las mujeres por un lado y entre los hombres por el otro, entre los hombres se sientan al lado de la computadora y discuten sobre los tipos de tarjetas gráficas la capacidad de memoria la capacidad del procesador la calidad de la pantalla los ratones las carta de sonido, en general las conversaciones se hacen cada vez más amenas entre los dos hombres ; poco a poco se hacen amigos.
Esta relación hace que el hombre voluntariamente desaloje de su memoria toda idea de enamorar la esposa de su gran amigo. Tal vez diez y ocho meses pasan hasta un sábado en la mañana la señora en cuestión llega a pedirle prestado su marido a la vecina.
La discusión es muy corta en el umbral de la puerta, puesto que supuestamente un armario lleno está para caerse.
El hombre en cuestión estaba en pantaloneta sentado en un sofá leyendo, la insistencia es tal que su esposa le dice de ir rápido para evitar un accidente ; el hombre sigue la vecina sin pensar en nada obsceno sin embargo esta llevaba sobre sí solamente una pijama en franela y realmente debajo no había ninguna otra prenda, esto fue tangible únicamente al entrar al apartamento en el cual la vecina en realidad se encontraba sola, sí no fue posible antes es porque la luz del corredor se había pagado al momento en que las vecinas hablaron en la puerta de la escalera. Mientras que al entrar en el apartamento el contraste de la luz de la vventana de la cocina deja ver por la transparencia al interior de la camisa de dormir no había ninguns otra prenda.
La vecina toma su « futuro » amante de la mano y lo lleva a la alcoba, mientras caminaban el vecino comienza a sentir una relativa excitación puesto que ella le llevó la mano a su cintura mientras continúa caminando delante, no podía dejar de sentirse atraído por el gesto, al llegar a la alcoba la vecina le dijo señalando con su índice derecho, mientras serrana sospechosamente con su mano izquierda la cadera del hombre, que mirara la pata de la armario que era la que se había quebrado, el hombre al acostarse en el suelo para mirar la pata se dio cuenta que no había ninguna pata quebrada simplemente no se percató que al acostarse en el suelo la vecina levantó su pie izquierdo para quedarse de pie y dejarlo al medio de sus piernas, esta situación embarazosa sí transformó en un momento muy exitante para el hombre puesto que encima de él se encontraba aquella mujer que meses antes había encontrado hermosa a la cual le había lanzado un piropo. Fue entonces cuando su vecina comenzó a descender arrodillarse dejando el peso de su cuerpo sobre el de este hombre, su presa, la inquietud fue que alguien pudiera venir.
… « Si llega alguien en este momento yo estaré muerto »....
Dice el hombre
…« Pero no se preocupe porque mi marido está trabajando y mis hijos están pasando el fin de semana donde la abuela »…
Responde ella mientras pasa sobre sus hombros su camisa de noche.
…« Pero mi esposa podría subir »…
Insiste el hombre
…« Tranquilo no se preocupe no nos vamos a demorar una eternidad »…
Ella, le tapó la boca con un beso, intenso casi como de fuego… (texto censurado ;-)
Fue una situación muy curiosa pero qué causó satisfacción mutua y dio origen a una aventura muy peligrosa pero muy apasionada…
Autor : Anonimo
Dedicado a aquellas almas piadosas que me incitaron a leer y escribir para mejorar mi uso del español, abandonado por treinta años de vida en Francia. Pensamiento muy sentido para Alcedo, para las GLORIAS, la de Balboa que parece ser de la Virginia, de quien admiro mucho (en aquella época una joven chica, la más dinámica de la clase en cuanto a moda, hoy la más estilizada supongo, no es un piropo, es una constatación si bien personal, soportada en su soltura e independencia al expresarse) sobre todo su manera de coger el volante y la palanca, de cambios claro "vean este pirobo, yo no creía que me desnudaba pues en clase, no que asco de tipo, ordinario, a más no poder" serian sus palabras). Atención según una de las Glorias el exceso es perjudicial para la salud; la prueba, les escribe el fantasma de un estudiante que falleció por sobre dosis de lectura, cuando en los fines de semana se debían hacer resúmenes de 300 o 500 páginas fotocopiadas.
Hasta hace quince o veinte años, obscultar en detalle el pensamiento humano, solo fue objeto de discursos estrafalarios o de ciencia ficción.
Hoy con el aporte fundamental de la miniaturización y control por computador de ondas magnéticas, cosa que usted o yo leemos con asombro en la literatura moderna si tomamos uno o dos libros de algunos destacados neurólogos, contamos que la neurología ha progresado en veinte años más que en dos o tres siglos.
confieso que se me olvidó el nombre de algunos, de los que he tratado de recuperar información ; Pues ya habréis comprendido que, para retardar la vejez, practico la lectura y la escritura, como podéis igual ver, y por ello os presento mis excusas más sentidas y sinceras. Trato de escribir con una avidez excepcional en estos últimos días.
Es durante mi tiempo libre que leo, y ocurrió que preparando una tarea para mis profesores de lingüística de la sucursal de la Javeriana en Cali Colombia, que descubrí al profesor Boris Cyrulnik, quien por sus opúsculos me dejó muy agradablemente sorprendido.
He Aquí sin embargo una gran cantidad de cuestiones en cuanto a la ética y la moral, puesto que los nuevos procesos invasivos de máquinas especiales para leer la actividad cerebral, permiten con la ayuda del algoritmos determinar detalles muy precisos del pensamiento humano.
Desde este instante cuando se desea saber lo que piensa una persona, si ésta se somete voluntariamente a la intervención sobre una máquina moderna, Con una precisión de milésimas de milímetro podemos saber si piensa una frase positiva negativa si trata de mentir en una respuesta y de la manera más sencilla se puede deducir sus tendencias sus habitudes y sus intenciones.
En un mundo de ficción supongamos que una persona sin darse cuenta, es sometida a una máquina moderna para analizar su pensamiento ; pues en este instante podemos saber lo que la persona piensa de una dama que pasa al lado, Con una maquina de estas podemos saber lo que se piensa por cada una de las personas que atraviesa nuestro campo visual. Entremos pues en este universo tan fascinante de la realidad de hoy y de mañana.
En el año 2037 comienzan a instalarse las primeras máquinas en Tokio, estos equipos tienen como objetivo controlar la población en los principales ejes de circulación peatonal de la ciudad.
Entre los algoritmos que se le inyectan a la máquina se utilizan palabras o frases claves, toda intención de acto delictivo, toda intención de agresión de cualquier índole, Es transmitida a una central donde se coordina la seguridad municipal, el individuo es inmediatamente identificado por las cámaras en las estaciones de metro (transporte urbano masivo) todos los servicios de policía son informados inmediatamente para que procedan a la encarcelación del sujeto con pruebas irrefutables ante un juez.
Otras utilizaciones comprobadas en el año 2043 son las que están en relación con la infidelidad. Algunas esposas con capacidades financieras suficientes, comienzan a adquirir aparatos de talla equivalente a la que hoy es un computador portable. Algunos laboratorios han logrado minimizar los componentes haciendolos muy discretos para incrustarlos en cascos de audio, la condición sinecuanun para resultados válidos del equipo siendo, que los captores de frecuencia y tensión cerebral se encuentren diametralmente opuestos, la zona de las orejas definida el sector óptimo.
Desde allí las esposas desconfiadas comienzan a analizar el esposo de manera regular durante el tiempo que el use los audífonos o durante el sueño para recuperar la información de sus actividades cotidianas.
Desde aquí con un sistema muy simple basado en algoritmos se puede recuperar a partir del cerebro los contactos los números de teléfono y específicamente aquellos que corresponden a conversaciones de connotación particular relacionados con la infidelidad. Hay solo un sector en el cerebro que guarda aquello que asimilamos al pecado, la infracción y actos contra la moral y la ética.
… « Qué hombre tan descarado pero no está mal »…
Dice una señora de unos 35 a 40 años, un metro con sesenta y seis, de unos setenta kilos, de una figura realmente bien esbelta si consideramos que tiene dos hijos, luego de haber caminado media cuadra al salir de su apartamento rumbo al supermercado ; un vehículo blanco reduce la velocidad, El vidrio del pasajero se baja y el conductor lanza un piropo. Esta es una de las características típicas de algunos hombres en América Latina. La señora continúa su camino pero sigue meditando en la persona y recuerda que vive en el mismo edificio.
… « Ya sé lo que haré en estos días trataré de ir a hacer amistad con la mujer de él »…
Piensa Esta dama esposa y madre que considera interesante conocer más de este hombre que de una manera u otra viene de lanzarle un halago. Es verdad que su esposo hace muchos años yá no le lanza piropos, es verdad igual que este hombre es mucho más atlético puesto que todos los domingos temprano sale a hacer jogging matinal sin falta, y es verdad que si lo hace tan temprano los domingos esto significa que los sábados por la noche es alguien que se acuesta temprano. Finalmente se trata de alguien mucho más deportivo que el esposo pues sube y baja las escaleras siempre en una carrera lo que significa que en realidad tiene mucho mejor estado físico que el esposo que dominado por el placer de la comida, ya parece más un trompo.
Días más tarde el hombre en cuestión entra a su casa luego de una jornada de trabajo y es sorprendido por la presencia de esa mujer qué es en realidad sólo la segunda vez que la ve. Desde luego comienza aquí una amistad curiosa, las dos parejas se visitan durante varios meses, los diálogos son entre las mujeres por un lado y entre los hombres por el otro, entre los hombres se sientan al lado de la computadora y discuten sobre los tipos de tarjetas gráficas la capacidad de memoria la capacidad del procesador la calidad de la pantalla los ratones las carta de sonido, en general las conversaciones se hacen cada vez más amenas entre los dos hombres ; poco a poco se hacen amigos.
Esta relación hace que el hombre voluntariamente desaloje de su memoria toda idea de enamorar la esposa de su gran amigo. Tal vez diez y ocho meses pasan hasta un sábado en la mañana la señora en cuestión llega a pedirle prestado su marido a la vecina.
La discusión es muy corta en el umbral de la puerta, puesto que supuestamente un armario lleno está para caerse.
El hombre en cuestión estaba en pantaloneta sentado en un sofá leyendo, la insistencia es tal que su esposa le dice de ir rápido para evitar un accidente ; el hombre sigue la vecina sin pensar en nada obsceno sin embargo esta llevaba sobre sí solamente una pijama en franela y realmente debajo no había ninguna otra prenda, esto fue tangible únicamente al entrar al apartamento en el cual la vecina en realidad se encontraba sola, sí no fue posible antes es porque la luz del corredor se había pagado al momento en que las vecinas hablaron en la puerta de la escalera. Mientras que al entrar en el apartamento el contraste de la luz de la vventana de la cocina deja ver por la transparencia al interior de la camisa de dormir no había ninguns otra prenda.
La vecina toma su « futuro » amante de la mano y lo lleva a la alcoba, mientras caminaban el vecino comienza a sentir una relativa excitación puesto que ella le llevó la mano a su cintura mientras continúa caminando delante, no podía dejar de sentirse atraído por el gesto, al llegar a la alcoba la vecina le dijo señalando con su índice derecho, mientras serrana sospechosamente con su mano izquierda la cadera del hombre, que mirara la pata de la armario que era la que se había quebrado, el hombre al acostarse en el suelo para mirar la pata se dio cuenta que no había ninguna pata quebrada simplemente no se percató que al acostarse en el suelo la vecina levantó su pie izquierdo para quedarse de pie y dejarlo al medio de sus piernas, esta situación embarazosa sí transformó en un momento muy exitante para el hombre puesto que encima de él se encontraba aquella mujer que meses antes había encontrado hermosa a la cual le había lanzado un piropo. Fue entonces cuando su vecina comenzó a descender arrodillarse dejando el peso de su cuerpo sobre el de este hombre, su presa, la inquietud fue que alguien pudiera venir.
… « Si llega alguien en este momento yo estaré muerto »....
Dice el hombre
…« Pero no se preocupe porque mi marido está trabajando y mis hijos están pasando el fin de semana donde la abuela »…
Responde ella mientras pasa sobre sus hombros su camisa de noche.
…« Pero mi esposa podría subir »…
Insiste el hombre
…« Tranquilo no se preocupe no nos vamos a demorar una eternidad »…
Ella, le tapó la boca con un beso, intenso casi como de fuego… (texto censurado ;-)
Fue una situación muy curiosa pero qué causó satisfacción mutua y dio origen a una aventura muy peligrosa pero muy apasionada…
Última edición por Admin el Miér 10 Feb - 1:04, editado 2 veces
En auto-stop pour Paris
En auto-stop pour Paris
Auteur : Anonyme
9 février 2021
Alors que la sœur vivez à Paris, presque toutes les vendredis au soir ou les samedis au matin un jeune de 28 ans, faisait l’auto-stop pour aller visiter le week-end Paris.
C’est ainsi que dans une de ces occasions un monsieur les chevaux gris s'arrêta pour le conduire. De suite certain gestes ont permis au monsieur déterminer le caractère d'immigrés du passagers.
S’instaure alors un dialogue plutôt gentil, bon enfant dans lequel très vite il arrive une proposition plutôt intéressante pour un immigré d'origine colombien, qu’à juger pour l’écart vestimentaire vivez dans le besoin.
… « Nous irons à la maison je vous présente mon épouse et nous allons vous commander une toile »… dit le conducteur au volant d’une elegante voiture allemande de grosee cylindrée.
De suite dans la conversation est entré le sujet du vin de la gastronomie et des différences entre la cuisine colombienne et la cuisine française.
On ne pouvait pas mentir. Dans la cuisine colombienne dans chaque région il y a un plat typique lequel est mise a table tout au long de l’année.
… « Celà doit être barbant de manger la même chose toute l’année »… dit le monsieur.
… «À vrai dire on mange pas exactement la même chose tous les jours mais les plats sont variés pas plus que quatre fois au long de la semaine »… dit l'immigrant.
… «Nous en France on a l'embarras du choix dans chaque région déjà il y a plusieurs plats puis nous avons justement une richesse dans la gastronomie qui proviennent de notre caractère cosmopolite »… rétorque monsieur
… « Oui je constate, puisque j’habite avec des turcs, je constate aussi que j’habite et travail avec des yougoslaves, des togolais des ghanéens, des tunisiens, des marocains, des chiliens »… réponds le petit colombien.
… »En effet la présence des gens de plusieurs pays du monde sur notre territoire, est une grande richesse »… réagit le francais.
Puis une notice, sonne à la radio sur France Info, nous avons fait silence pendant le bulletin qui par l'aspect du vissage du monsieur avait l'air très important.
… « Et vous avait de la famille en France »… dit le monsieur enchaînant.
… « J’habite avec une cousine et ma sœur »… répond l’immigrant.
… « Et votre cousine et votre sœur elles sont où »… demande monsieur.
… «Justement je vais en auto-stop les visiter et rester avec elles pour le week-end»…dit le petit colombien.
… «Et vous travaillez où Actuellement »… demande monsieur. … « Je travaille au service prototype d’une société du groupe Vallorec à Joigny»… réponds l’immigré.
… «Et que faites-vous dans cette société »… rétorque monsieur.
… «On produit des collecteurs d’admission et d’échappement pour l’industrie automobile française et étrangère »… dit le petit bonhomme.
… »Bah dis donc c’est très intéressant et qu'est-ce que vous avez comme formation »…d'une voix intéressée demande le monsieur, pendant qui tente de relâcher le noue de cravate.
… «C’est-à-dire que à la base j’ai une formation de métallurgistes en Colombie »... répond aussitôt le frêle jeune qui commence à en fin retrouver une température corporelle améliorée par le chauffage de la voiture après avoir supporté le froid blanc des neiges d'hiver.
… « Très intéressant donc ; votre travail semble aussi être très intéressant »… dit le français en ouvrant de sa main droite un paquet de cigarettes et offrant. L’immigré refuse d’un geste, et le paquet est rangé.
… « Au fait je travaille sous les ordres de monsieur Daniel Huret et de monsieur Rosalie »… ajoute le petit colombien.
C'était ce genre de dialogue qui a maintenu les deux personnes actives pendant le trajets entre Joigny et Paris. Pour arriver non loin de la place de l'étoile à une belle maison plutôt ce qu’on appelle un hôtel particulier.
Une grande porte métallique en grille est ouverte automatiquement, puis une autre porte en bois massif est ouverte aussi postérieurement pour entrer dans un grand jardin en le traversant pour arriver au fond dans un garage où il y avait d'autres voitures aussi grandes que celles-ci, puis à côté une Renault 4 GTL couleur grise clair en parfait état. Nous étions en hiver donc nous avons gravi une escalier pour arriver au 1e étage et marcher par l’intérieur jusqu à un grand salon ; la on m'a ordonné de m’m’assoir puis quelques instants plus tard est arrivé une dame avec une tasse de thé, j'ai accepté et on m'a versé du lait dans le thé et on m’a donnez un petit gâteau salé. J’ai attendu quelques minutes puis est rentrée une dame à peu près 50 ans très élégante avec une silhouette d'une fille de 25 ans.
… »Mon mari est parti mais m'a conseillé de vous commander un portrait »…
… « Voulez vous me dire si vous êtes d’accord d’échanger comment mon mari vous a promis un portrait pour la 4L »… dit d’une voix très posée la dame.
… « Oui Madame je pense que c'est possible mais comment ça se fait que vous me faites confiance sans me connaître »… dit d'une prononciation plutôt maladroite le modeste visiteur.
… « Vous savez monsieur mon mari et moi on se trompent très peu sur les personnes. Dites-moi si vous avez besoin d’argent pour les matériau et dites-moi si vous êtes d’accord que la toile aille un mètre de large pour 2 mètres de haut »… précise madame en même temps, qu'elle se assoit et prend la tasse de thé que la femme du service le lui dépose sur la table du milieu.
… « Bien entendu Madame »… dit l’invité
… « Je vous fais un chèque de suite pour le matériau et vous me dites quand vous voulez commencer »… dit la dame.
… « Excusez-moi Madame je serai plutôt embarrassé pour les transports de matériaux parce que j’habite à Joigny »… dit lui
… « Mais ne vous inquiète pas vois viendrait travailler ici ; c’est possible les samedis et les dimanches ? Ne c’est pas ? Parce que mon mari m’a dit que vous travaillez en semaine à Joigny »... madame et bois une lente gorgée de sa tasse.
… « Excusez-moi Madame mais je ne souhaite pas trop de vous déranger »… l'invite
… « Mais ne vous excusez pas ce n’est pas grave dans cette maison il y a de la place pour vous et si vous voulez venir plutôt le vendredi on travaillera plus et vous n'avez pas besoin d’emmener rien d'autre, ici il y a où dormir et vous mangerez avec nous »… dit la dame en même temps qu’elle se levée.
Ça a été au bout d un an de vivre en France ma première commande d’un portrait échangé contre une voiture Renault 4GTL qui était avec uniquement 3247 kilomètres.
Auteur : Anonyme
9 février 2021
Alors que la sœur vivez à Paris, presque toutes les vendredis au soir ou les samedis au matin un jeune de 28 ans, faisait l’auto-stop pour aller visiter le week-end Paris.
C’est ainsi que dans une de ces occasions un monsieur les chevaux gris s'arrêta pour le conduire. De suite certain gestes ont permis au monsieur déterminer le caractère d'immigrés du passagers.
S’instaure alors un dialogue plutôt gentil, bon enfant dans lequel très vite il arrive une proposition plutôt intéressante pour un immigré d'origine colombien, qu’à juger pour l’écart vestimentaire vivez dans le besoin.
… « Nous irons à la maison je vous présente mon épouse et nous allons vous commander une toile »… dit le conducteur au volant d’une elegante voiture allemande de grosee cylindrée.
De suite dans la conversation est entré le sujet du vin de la gastronomie et des différences entre la cuisine colombienne et la cuisine française.
On ne pouvait pas mentir. Dans la cuisine colombienne dans chaque région il y a un plat typique lequel est mise a table tout au long de l’année.
… « Celà doit être barbant de manger la même chose toute l’année »… dit le monsieur.
… «À vrai dire on mange pas exactement la même chose tous les jours mais les plats sont variés pas plus que quatre fois au long de la semaine »… dit l'immigrant.
… «Nous en France on a l'embarras du choix dans chaque région déjà il y a plusieurs plats puis nous avons justement une richesse dans la gastronomie qui proviennent de notre caractère cosmopolite »… rétorque monsieur
… « Oui je constate, puisque j’habite avec des turcs, je constate aussi que j’habite et travail avec des yougoslaves, des togolais des ghanéens, des tunisiens, des marocains, des chiliens »… réponds le petit colombien.
… »En effet la présence des gens de plusieurs pays du monde sur notre territoire, est une grande richesse »… réagit le francais.
Puis une notice, sonne à la radio sur France Info, nous avons fait silence pendant le bulletin qui par l'aspect du vissage du monsieur avait l'air très important.
… « Et vous avait de la famille en France »… dit le monsieur enchaînant.
… « J’habite avec une cousine et ma sœur »… répond l’immigrant.
… « Et votre cousine et votre sœur elles sont où »… demande monsieur.
… «Justement je vais en auto-stop les visiter et rester avec elles pour le week-end»…dit le petit colombien.
… «Et vous travaillez où Actuellement »… demande monsieur. … « Je travaille au service prototype d’une société du groupe Vallorec à Joigny»… réponds l’immigré.
… «Et que faites-vous dans cette société »… rétorque monsieur.
… «On produit des collecteurs d’admission et d’échappement pour l’industrie automobile française et étrangère »… dit le petit bonhomme.
… »Bah dis donc c’est très intéressant et qu'est-ce que vous avez comme formation »…d'une voix intéressée demande le monsieur, pendant qui tente de relâcher le noue de cravate.
… «C’est-à-dire que à la base j’ai une formation de métallurgistes en Colombie »... répond aussitôt le frêle jeune qui commence à en fin retrouver une température corporelle améliorée par le chauffage de la voiture après avoir supporté le froid blanc des neiges d'hiver.
… « Très intéressant donc ; votre travail semble aussi être très intéressant »… dit le français en ouvrant de sa main droite un paquet de cigarettes et offrant. L’immigré refuse d’un geste, et le paquet est rangé.
… « Au fait je travaille sous les ordres de monsieur Daniel Huret et de monsieur Rosalie »… ajoute le petit colombien.
C'était ce genre de dialogue qui a maintenu les deux personnes actives pendant le trajets entre Joigny et Paris. Pour arriver non loin de la place de l'étoile à une belle maison plutôt ce qu’on appelle un hôtel particulier.
Une grande porte métallique en grille est ouverte automatiquement, puis une autre porte en bois massif est ouverte aussi postérieurement pour entrer dans un grand jardin en le traversant pour arriver au fond dans un garage où il y avait d'autres voitures aussi grandes que celles-ci, puis à côté une Renault 4 GTL couleur grise clair en parfait état. Nous étions en hiver donc nous avons gravi une escalier pour arriver au 1e étage et marcher par l’intérieur jusqu à un grand salon ; la on m'a ordonné de m’m’assoir puis quelques instants plus tard est arrivé une dame avec une tasse de thé, j'ai accepté et on m'a versé du lait dans le thé et on m’a donnez un petit gâteau salé. J’ai attendu quelques minutes puis est rentrée une dame à peu près 50 ans très élégante avec une silhouette d'une fille de 25 ans.
… »Mon mari est parti mais m'a conseillé de vous commander un portrait »…
… « Voulez vous me dire si vous êtes d’accord d’échanger comment mon mari vous a promis un portrait pour la 4L »… dit d’une voix très posée la dame.
… « Oui Madame je pense que c'est possible mais comment ça se fait que vous me faites confiance sans me connaître »… dit d'une prononciation plutôt maladroite le modeste visiteur.
… « Vous savez monsieur mon mari et moi on se trompent très peu sur les personnes. Dites-moi si vous avez besoin d’argent pour les matériau et dites-moi si vous êtes d’accord que la toile aille un mètre de large pour 2 mètres de haut »… précise madame en même temps, qu'elle se assoit et prend la tasse de thé que la femme du service le lui dépose sur la table du milieu.
… « Bien entendu Madame »… dit l’invité
… « Je vous fais un chèque de suite pour le matériau et vous me dites quand vous voulez commencer »… dit la dame.
… « Excusez-moi Madame je serai plutôt embarrassé pour les transports de matériaux parce que j’habite à Joigny »… dit lui
… « Mais ne vous inquiète pas vois viendrait travailler ici ; c’est possible les samedis et les dimanches ? Ne c’est pas ? Parce que mon mari m’a dit que vous travaillez en semaine à Joigny »... madame et bois une lente gorgée de sa tasse.
… « Excusez-moi Madame mais je ne souhaite pas trop de vous déranger »… l'invite
… « Mais ne vous excusez pas ce n’est pas grave dans cette maison il y a de la place pour vous et si vous voulez venir plutôt le vendredi on travaillera plus et vous n'avez pas besoin d’emmener rien d'autre, ici il y a où dormir et vous mangerez avec nous »… dit la dame en même temps qu’elle se levée.
Ça a été au bout d un an de vivre en France ma première commande d’un portrait échangé contre une voiture Renault 4GTL qui était avec uniquement 3247 kilomètres.
En época du covid
MIT TECHNOLOGY REVIEW
..."El 21 de enero comiensa el parlamento francés a trabajar sobre un proyecto de ley sobre la modificación genética; enlace para el texto del congreso.
Le lien conduit sur une page qui transcrit les travaux au sénat sur la mutation genetique fruit des manipulations de l'ADN humain:
Site du sénat français
Traducido un aparte al español:
Al comenzar hoy (21/01/2021) la consideración del proyecto de ley de bioética en el Senado, finalmente se está levantando un velo. Se escuchan voces que retoman la "apuesta antropológica" 1 en juego: la modificación irreversible de nuestra especie. El artículo 17 del proyecto de ley de bioética aprobado por la Asamblea Nacional elimina la prohibición de crear embriones transgénicos. El objetivo es utilizar la tijera genética Crispr-Cas9 en embriones humanos in vitro.
En adelante, se autorizará la modificación del genoma humano, en violación del derecho internacional que prohíbe modificar el genoma de la descendencia2.
El gobierno cree que es tranquilizador especificar que los embriones modificados genéticamente no se implantarán con fines gestacionales. Este pseudo límite es un dique de papel.
Con motivo de la apertura del debate en el Senado, la Fundación Jérôme Lejeune denuncia esta disposición ciega de la nueva ley de bioética actualmente en discusión. Tanto más cuanto que los investigadores franceses llevan más de 3 años experimentando ilegalmente con la modificación del genoma de embriones humanos entregados a la investigación.
Desde mayo de 2016, los equipos parisinos han estado probando la técnica conocida como fertilización in vitro triparental (FIV) en embriones humanos(3) con la complaciente autorización de la Agencia de Biomedicina.
La Fundación Jérôme Lejeune señaló esta autorización de investigación a la atención de los tribunales franceses. La disputa está pendiente ante el Tribunal Administrativo de Apelación de Versalles.
Une souche sud-africaine réduit l'efficacité des vaccins COVID-19
Différentes données de Novavax, Johnson & Johnson, Pfizer et Moderna révèlent que la variante est plus résistante à ses injections, dont l'efficacité peut chuter de 89% globalement à 50%. Cependant, les fabricants sont convaincus de pouvoir les adapter rapidement aux nouvelles mutations.
Par Charlotte Jee
La pregunta clave sobre las vacunas: ¿también reducen la transmisión?
Aunque las distintas versiones aprobadas reducen el riesgo de infección, nadie ha confirmado que también frenen la propagación por parte de casos asintomáticos. Esta capacidad, conocida como inmunidad esterilizante, tiene más potencial de reducir las muertes y será clave para detener la pandemia
Por Antonio Regalado
L'eugénisme, explique Marisa Miranda, également docteur en sciences juridiques, est une discipline systématisée par Francis Galton en 1883. Galton était un cousin anglais de Charles Darwin et l'a défini comme la "science qui traite de l'amélioration de la race, que ce soit des animaux , les plantes ou l'homme ". Cela implique - a-t-il poursuivi - que tout eugénisme est construit sur l'idée d'une classification et d'une hiérarchie: "Ils ne doivent pas nécessairement être des traits biologiques, ils peuvent aussi être idéologiques".
La eugenesia es un tema abordado, entre otros, por historiadores, filósofos, médicos, bioeticistas, por distintas razones. La idea de mejorar la raza humana siempre ha estado presente en la historia de la civilización, también han sido objeto de comentarios el intento de consolidarla como una ciencia, la presencia de movimientos eugenésicos en varios países del mundo, el holocausto nazi y, finalmente, el resurgimiento de la eugenesia a raíz de la decodificación del genoma humano. Nuestro objetivo es dar un repaso por los movimientos eugenésicos que tuvieron lugar a mediados del siglo XX, el resurgimiento de la eugenesia y los adelantos con los que contamos actualmente.
En génétique, les changements qui modifient la séquence nucléotidique de l'ADN sont appelés mutation génétique, mutation moléculaire ou mutation ponctuelle. Ces mutations de séquence d'ADN peuvent conduire à une substitution d'acides aminés dans les protéines résultantes.
En genética se denomina mutación genética, mutación molecular o mutación puntual a los cambios que alteran la secuencia de nucleótidos del ADN. Estas mutaciones en la secuencia del ADN pueden llevar a la sustitución de aminoácidos en las proteínas resultantes.
..."El 21 de enero comiensa el parlamento francés a trabajar sobre un proyecto de ley sobre la modificación genética; enlace para el texto del congreso.
Le lien conduit sur une page qui transcrit les travaux au sénat sur la mutation genetique fruit des manipulations de l'ADN humain:
Site du sénat français
Traducido un aparte al español:
Al comenzar hoy (21/01/2021) la consideración del proyecto de ley de bioética en el Senado, finalmente se está levantando un velo. Se escuchan voces que retoman la "apuesta antropológica" 1 en juego: la modificación irreversible de nuestra especie. El artículo 17 del proyecto de ley de bioética aprobado por la Asamblea Nacional elimina la prohibición de crear embriones transgénicos. El objetivo es utilizar la tijera genética Crispr-Cas9 en embriones humanos in vitro.
En adelante, se autorizará la modificación del genoma humano, en violación del derecho internacional que prohíbe modificar el genoma de la descendencia2.
El gobierno cree que es tranquilizador especificar que los embriones modificados genéticamente no se implantarán con fines gestacionales. Este pseudo límite es un dique de papel.
Con motivo de la apertura del debate en el Senado, la Fundación Jérôme Lejeune denuncia esta disposición ciega de la nueva ley de bioética actualmente en discusión. Tanto más cuanto que los investigadores franceses llevan más de 3 años experimentando ilegalmente con la modificación del genoma de embriones humanos entregados a la investigación.
Desde mayo de 2016, los equipos parisinos han estado probando la técnica conocida como fertilización in vitro triparental (FIV) en embriones humanos(3) con la complaciente autorización de la Agencia de Biomedicina.
La Fundación Jérôme Lejeune señaló esta autorización de investigación a la atención de los tribunales franceses. La disputa está pendiente ante el Tribunal Administrativo de Apelación de Versalles.
Une souche sud-africaine réduit l'efficacité des vaccins COVID-19
Différentes données de Novavax, Johnson & Johnson, Pfizer et Moderna révèlent que la variante est plus résistante à ses injections, dont l'efficacité peut chuter de 89% globalement à 50%. Cependant, les fabricants sont convaincus de pouvoir les adapter rapidement aux nouvelles mutations.
Par Charlotte Jee
La pregunta clave sobre las vacunas: ¿también reducen la transmisión?
Aunque las distintas versiones aprobadas reducen el riesgo de infección, nadie ha confirmado que también frenen la propagación por parte de casos asintomáticos. Esta capacidad, conocida como inmunidad esterilizante, tiene más potencial de reducir las muertes y será clave para detener la pandemia
Por Antonio Regalado
L'eugénisme, explique Marisa Miranda, également docteur en sciences juridiques, est une discipline systématisée par Francis Galton en 1883. Galton était un cousin anglais de Charles Darwin et l'a défini comme la "science qui traite de l'amélioration de la race, que ce soit des animaux , les plantes ou l'homme ". Cela implique - a-t-il poursuivi - que tout eugénisme est construit sur l'idée d'une classification et d'une hiérarchie: "Ils ne doivent pas nécessairement être des traits biologiques, ils peuvent aussi être idéologiques".
La eugenesia es un tema abordado, entre otros, por historiadores, filósofos, médicos, bioeticistas, por distintas razones. La idea de mejorar la raza humana siempre ha estado presente en la historia de la civilización, también han sido objeto de comentarios el intento de consolidarla como una ciencia, la presencia de movimientos eugenésicos en varios países del mundo, el holocausto nazi y, finalmente, el resurgimiento de la eugenesia a raíz de la decodificación del genoma humano. Nuestro objetivo es dar un repaso por los movimientos eugenésicos que tuvieron lugar a mediados del siglo XX, el resurgimiento de la eugenesia y los adelantos con los que contamos actualmente.
En génétique, les changements qui modifient la séquence nucléotidique de l'ADN sont appelés mutation génétique, mutation moléculaire ou mutation ponctuelle. Ces mutations de séquence d'ADN peuvent conduire à une substitution d'acides aminés dans les protéines résultantes.
En genética se denomina mutación genética, mutación molecular o mutación puntual a los cambios que alteran la secuencia de nucleótidos del ADN. Estas mutaciones en la secuencia del ADN pueden llevar a la sustitución de aminoácidos en las proteínas resultantes.
CHAPITRE SRI LANKA
À manière d’introduction

Par anonyme Perpignan le 25/02/2021
Cette introduction sera provisoire ; je compte demander à un ami proche pour lequel j'ai beaucoup d'admiration dans le but de que lui fasse cette introduction.
Le projet de faire un livre remonte à beaucoup d’années, quand je suis arrivé en France l'année 1988 je ne parlais pas un seul mot de français, le mois de mai de l'année 1989 je commençais à travailler dans une usine au service prototypes, mon responsable à l'époque été monsieur Daniel Huret et sont subalterne était monsieur Rosalie. Le jour que j’ai dû quitter la France une trentaine d'années plus tard, je suis allé à Looze et j'ai rencontré curieusement c'est deux messieurs, là je les ai remercié pour tous ce qu'ils ont faits pour moi, je leur ai expliqué les raisons qu’ont précipité mon départ et avec le cœur gros j'ai dû quitter le territoire français pour des raisons personnelles.
Ce sont trente années de ma vie, c'est à dire la moitié de mon existence que j'ai eu la chance de vivre dans une très belle région qui est la Bourgogne et tout particulièrement la région du jovinien. La liste de noms de personnes qui auraient rendu ma vie si agréable serait trop longue, dans un ordre chronologique approximatif des amis yougoslaves, turques, portugais, roumains, ghanéens, togolais, chiliens, espagnols, vietnamiens, et j'en oublie sûrement, parmi des gens qui m’ont fait une grande impression les Allemands, des locaux bien sur, messieurs Bedut, Lemot, Boudon, Janvier, Dorsmagen, Leduc, Moreaux, Noël, dans une liste où je ne finirai pas.
Je ne sais pas si ceci faire l'objet d'un livre mais j’ai bien l'intention de déposer des années d’écriture, sauf que cette forme est spécifique, je suis très conscient de la lourdeur de la tâche, et surtout de la grande difficulté qui signifie pour moi en tant que colombien, écrire dans une langue très difficile mais pour laquelle j'ai un grand amour.
Et il est possible quelle la réussite apparente soit le fruit de l'effort individuel ; mais elle est aussi, surtout, le fruit de la participation de nombreuses personnes qui forment l’entourage sans qui rien n'est possible.
Et si nous sortons du domaine spécifique professionnel ; alors la liste est encore plus dense, je garde dans mes souvenirs quelques noms mais ils sont à peine le la partie visible de l’iceberg. Parce que les gens qu’ont fait que ma vie soit si agréable en France sont beaucoup plus nombreux ; le docteur Michel Gouy, l’académicien Ange Bizet, le professeur Michel Tardieu, le professeur Jean Marc Berlière, entre autres.
Devant ma famille la plus proche la vérité est que cette idée d'écrire reste un véritable secret.
[size=39]Chapitre: Les gemmes au Sri Lanka[/size]
Alterner les voyages aux mines de différents pays et la meilleure manière d'éviter de ces faire repérer et de se faire voler.
Pour personne c’est un secret qu'il y a des pierres précieuses dans plusieurs pays au monde et en particulier dans des pays du tiers-monde c'est à dire des pays o les PIB reste vraiment ridicule comparé avec le PIB des pays comme Russie Etats-Unis France Allemagne Chine entre autres.
Visiter le Sri Lanka, c'est découvrir l'une des plus grandes sources de pierres précieuses et du commerce de celles-ci au monde. Cette île a une tradition inégalée et reste vitale pour le marché des pierres précieuses.
Le Sri Lanka est une véritable industrie de la mine dans le marché des pierres précieuses, à la fois sur le marché national que à l’international. Son évolution au cours des derniers années réunissent à marier le meilleur des pratiques traditionnelles, aux technologies et modèles de polissage modernes.
Dans ce aparté du texte, nous vous emmenons en expédition sur cette île magnifique
En voyageant au Sri Lanka, on se rend compte que c'est une grande île aux paysages très diversifiés. La plupart du terrain reste ondulé avec autant des parti vallonnés, il y a aussi des belles montagnes vers le centre-sud.
L'agriculture a une constante présence lorsque vous conduisez à travers le pays, avec des rizières vertes intenses et des plantations d'hévéas.
Dans certaines des rizières, il y a des cabanes dans les arbres où il faut grimper pour éviter que les éléphants sauvages écrasent les travailleurs agricoles.
Nous pouvons retrouver des petites exploitations minières aux toits typiques parce que les pluies sont soudaines et le soleil tape fort, cela au beau milieu de rizières à Ratnapura, Elahera et Balangoda.
Je dois confesser que c’est la première fois de ma vie que j’ai vu comment il était récolte la feuille de thé, ça a été en prenant de l'altitude, que l'on trouve des belles plantations. sur le littoral nous avons une vue de l'industrie de la pêche le long de la côte.

Il y a un contraste entre l'exploitation dans les mines et le procès de rectification ou polissage des pierres qui va donner l’aspect magnifique que nous voyons par la suite dans la bijouterie. C’est le parfait mariage entre tradition et modernité.
Lorsque l’on a investi 30000€ en voyage pour un pays ou son extraites des pierres précieuses, le retour sur investissement et minimum des 100000€, hors dépenses des voyages d'hôtel et autres, Et tout cela en moins d’une semaine.
https://actualite.forumpro.fr/t150-tentative-en-espagnol-pou-carina#1979
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