Pages d'un journal intime
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Pages d'un journal intime
Varias veces me aconsejan escribir en mi idioma maternal, pues hoy hace más de veinte años que vivo distante de aquel que contaba casi treinta factorías de transformación de caña en azúcar y o panela. Vivo por vanidad apegado a una forma de vida por tanto en pérdida de esplendor pues mi llegada a Europa coincide con el fin de una época. Así tratará de modificar mi estilo creo imposible traisionar mis ideas sin duda íntimamente ligadas a mes orígenes modestos.
Grandes momentos
Para escribir una obra literaria, es fundamental buscar a satisfacer pero sobretodo a motivar el lector. Como un inmigrante llegado de un país de América del sur podría interesar el lector ?
Sin hipocresía, se trata de presentar una prosa capacitada a entretenir un nivel de motivación suficiente: Un colombiano en un país de Europa ?
El apriori sobre este origen asocia la persona al narcotráfico en primer plano. Una radiografía se impone al aeropuerto Roisy Caharles De Gaulle. Un control reforzado y la retención por la policía antinarcolticos de un sospechoso de narcotráfico.
La cárcel en Francia, es de lejos mejor que la libertad en un país como Colombia.
Está fecha coincide con el fin de la pena máxima aplicable en Francia es decir que cualquiera que sea el sumario, de delitos de un prevenido su pena no podra se superior a 22 años.
El pasado
Que es banal en una vida? Cartago ciudad de 120 mil habitantes a la época. Cuatro cadáveres en promedio tratados por día en la morgue. Hasta ahí nada de anormal excepto que se trata de muertes violentas y que un domingo se pueden acumular el doble de cuerpos, mientras que en las calles de estas ciudades de Europa si se escucha una sirena se trata por lo general de un caso de infarto o accidente de la circulación.
Grandes momentos
Para escribir una obra literaria, es fundamental buscar a satisfacer pero sobretodo a motivar el lector. Como un inmigrante llegado de un país de América del sur podría interesar el lector ?
Sin hipocresía, se trata de presentar una prosa capacitada a entretenir un nivel de motivación suficiente: Un colombiano en un país de Europa ?
El apriori sobre este origen asocia la persona al narcotráfico en primer plano. Una radiografía se impone al aeropuerto Roisy Caharles De Gaulle. Un control reforzado y la retención por la policía antinarcolticos de un sospechoso de narcotráfico.
La cárcel en Francia, es de lejos mejor que la libertad en un país como Colombia.
Está fecha coincide con el fin de la pena máxima aplicable en Francia es decir que cualquiera que sea el sumario, de delitos de un prevenido su pena no podra se superior a 22 años.
El pasado
Que es banal en una vida? Cartago ciudad de 120 mil habitantes a la época. Cuatro cadáveres en promedio tratados por día en la morgue. Hasta ahí nada de anormal excepto que se trata de muertes violentas y que un domingo se pueden acumular el doble de cuerpos, mientras que en las calles de estas ciudades de Europa si se escucha una sirena se trata por lo general de un caso de infarto o accidente de la circulación.
Última edición por Admin el Jue 25 Feb - 22:53, editado 3 veces (Razón : Carine Geerts)
Gramophone- membre
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Re: Pages d'un journal intime
il y a toujours un moment ainsi soit court
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans la voir éveillé en plus le doute
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans la voir éveillé en plus le doute
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le temps des vacances
il y a toujours un moment ainsi soit court
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans se voir éveillé en plus le doute
dans un monde qu''à chacun instint cour
il y a toujours un moment ainsi soit pour
penser à l'amour où chaque second compte
mon cœur lui appartienne il n'y pas de doute
même si je coure ce n'est pas la même route
mon cœur lui appartienne et elle en doute
le temps sans se voir éveillé en plus le doute
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tentative en espagnol pou Carina suite en Francais
Il été une fois
Où les pires des délinquants avaient un semblant de code d'honneur
Des délinquants de la pire espèce pouvaint donner leur vie pour ternir parole
Où les pires des délinquants avaient un semblant de code d'honneur
Des délinquants de la pire espèce pouvaint donner leur vie pour ternir parole
Última edición por Nestor Ramirez el Mar 17 Jul - 20:19, editado 1 vez
Gramophone- membre
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tentative en espagnol pou Carina suite en Francais
une dette d'honneur
Merci à C. G. pour ses intentions, merci aux modérateurs des sites ici et là. Des personnes dotez d'abnégation sans limites. La langue française doit à des gens ainsi beaucoup; dans un temps où seul le profit compte.
Non cette fois-ci je promes m'abstenir de vous infliger mon duscours que dans le forum du journal Le Figaro m'a. valu ô combien d'in-amitié.
Loin de la pedantetie
Même si je prenez toutes les précautions, je dois rester humble, car je sais que la langue française reste loin de mes capacités.
Je suis arrivé à Paris en 1988 le 14 de novembre, issu d'un foyer d'un père ouvrier et une mère au foyer, vous ne trouverait pas dans ce texte, autre chose que du vécu, moyennement maquillé. L'éthique ou respect des gens obligent.
Après mon travail
J'avais quatorze ou quinze ans, alors pour l'argent de poche, je travaillais dans une discothèque de la onzième rue à 60 mètres du parc principal (à là ville de Cartago en Colombie) dans une discothèque d'une surface de moins de 80 mètres carrés; je pouvais gagner en deux nuits la moitié du salaire moyenne d'un mois de l'époque. Quand nous avons cette âge, nous n'avons aucun inquiétude sur l'avenir.
Mes parents toleraient moyennement que j'entre les trois nuits du week-end après minuit.
J'ai promis ne pas parler de la misère, je vous dois des excuses?
Entre le mois daoût 1974 et le mois de juin 1980, j'ai eux l'honneur d'être admis et étudier à l'Institute Technique Industriel INDALECIO PENILLA (l'équivalent d'un lycée en France "nous n'avons pas séparation de niveau collège et lycée").
Oui quand il s'agit des enfants des classés modestes il faut aider au moins avec cela, je pouvais ainsi me payer les fournitures, quand vous connaissez le prix d'un livre vous avait un soin particulier pour lui.
Je vous assure que j'ai depuis la manie de souffrir quand j'entend le bruit qui fait une feuille en papier quand elle est déchirée. J'entends comme des cris de douleur; voilà oui je souffre en voyant un tel acte un crime à mon sens.
Chez moi toute forme en papier (revu, journal, etc.) aura tendance à trouver un endroit pour toujours; à mon insu, dans mes absences, il y a des actions commando qui sont menées et mes amis les revus me sont ainsi arrachées destination la décharge.
Oui, après cette introduction, qui permettra de mieu cerner mon caracter; Je vais vous raconter ce qu'un mort m'à fait.
Oui il été de ceux qui finissent leur vie tel qu'ils l'auraient souhaité aux autres: c'est le cas d'un capitan de police, qu'un jours aura même était mon patron, je ne veux pas vous embrouiller, car cela arrive en époques bien que rapprochées différentes:
1-) Le capitan est sont équipé arrive au parc face à la station des chemins de fer.
Adossé au mur en brique rouge de plus de 2 mètres, côté sud se trouvent des baraques rustiques ou vivent des humildes personnes, leur source de revenu se compose de la vente de boissons gazeuses, du café et des bricoles du genre alimentation rapide bon marché, parler de austérité est en trop, disant que austérité ici est du luxe.
2 heures du matin du samedi.
Cette nuit j'avais terminé mon service vers une heure de matin, avec mon ami le D-J, nous avions eut la "très mauvaise" idée d'aller voir la-bas.
Atablées déjà il y avait une bonne douzaine d'individus, les mêmes qu'en un ouvrir et fermer des yeux de la manière la plus subtile se sont eclipsés. Sauf que moi naïf et sans raison de fuir, sans comprendre la situation, j'ai continué à consommer mon chocolat.
Le capitan a très mal pris mon comportement! et il a tout fait pour me le faire savoir.
Un coup de botte eux pieds de mon taburet, et voici que je me suis trouvé au sol. La violence manifeste, m"empêché de comprendre; (ça ma mis grogis), au sol plaqué avec grosse botte sur ma poitrine m'empêchant respirer normalement, non moins de six têtes d'hommes en uniforme de la police national, un d,entre eux me demande mes documents, malheur j'avais pas des papiers sur moi.
Mon pantalon crème claire, gardait après les traces de la cire des bottes des agents. J'ai eux à faire le tour du parc marchand à la manière d'une grenouille les mains derrière la tête . Voilà comme se passait dans les meilleurs des cas, en 1975 un contrôle d'identité à Cartago Valle del Cauca en Colombie.
2-) La boîte de nuit a été vendu; moi j'ai décidé de continuer, le seul d'ailleur, même la clientèle avait déménagé on dirait.
Par tiers interposé j'ai reçu les cles, non moins de 60 mille $ je déposé chaque nuit dans un enveloppe au commande de police pour le capitan, celui-même qu'une nuit m'avait contrôlé au parc de la gare.
J'ai ainsi travaillé plusieurs mois honnêtement sans jamais détourner un centime. Un jour il m'a été demandé la clé sous excuse de travaux sur le toit. Au fait la boîte a été déménagée (en semaine je ne pouvais pas savoir, j'allée en cours) à une autre ville sans me donner mes indemnités.
3-) Le comportement sauvage du capitan aura éveillé des sentiments chez tant des paroisients dans cette ville (120 000 h).
Vous pouvez imaginer, une espèce d'impunité garantie d'autant plus que l'uniforme semble aussi une protection contre toute tentative de procès pour abus d'autorité; dans un pays tel la Colombie, une accusation en vers un agent de l'ordre est un suicide.
Toujours est-t-il que le capitan à fini ses jours traversé par un couteau de boucherie qu'aura inclus traversée aussi et avant lui la chaisee dans le bar où il passé de temps en temps.
Merci à C. G. pour ses intentions, merci aux modérateurs des sites ici et là. Des personnes dotez d'abnégation sans limites. La langue française doit à des gens ainsi beaucoup; dans un temps où seul le profit compte.
Non cette fois-ci je promes m'abstenir de vous infliger mon duscours que dans le forum du journal Le Figaro m'a. valu ô combien d'in-amitié.
Loin de la pedantetie
Même si je prenez toutes les précautions, je dois rester humble, car je sais que la langue française reste loin de mes capacités.
Je suis arrivé à Paris en 1988 le 14 de novembre, issu d'un foyer d'un père ouvrier et une mère au foyer, vous ne trouverait pas dans ce texte, autre chose que du vécu, moyennement maquillé. L'éthique ou respect des gens obligent.
Après mon travail
J'avais quatorze ou quinze ans, alors pour l'argent de poche, je travaillais dans une discothèque de la onzième rue à 60 mètres du parc principal (à là ville de Cartago en Colombie) dans une discothèque d'une surface de moins de 80 mètres carrés; je pouvais gagner en deux nuits la moitié du salaire moyenne d'un mois de l'époque. Quand nous avons cette âge, nous n'avons aucun inquiétude sur l'avenir.
Mes parents toleraient moyennement que j'entre les trois nuits du week-end après minuit.
J'ai promis ne pas parler de la misère, je vous dois des excuses?
Entre le mois daoût 1974 et le mois de juin 1980, j'ai eux l'honneur d'être admis et étudier à l'Institute Technique Industriel INDALECIO PENILLA (l'équivalent d'un lycée en France "nous n'avons pas séparation de niveau collège et lycée").
Oui quand il s'agit des enfants des classés modestes il faut aider au moins avec cela, je pouvais ainsi me payer les fournitures, quand vous connaissez le prix d'un livre vous avait un soin particulier pour lui.
Je vous assure que j'ai depuis la manie de souffrir quand j'entend le bruit qui fait une feuille en papier quand elle est déchirée. J'entends comme des cris de douleur; voilà oui je souffre en voyant un tel acte un crime à mon sens.
Chez moi toute forme en papier (revu, journal, etc.) aura tendance à trouver un endroit pour toujours; à mon insu, dans mes absences, il y a des actions commando qui sont menées et mes amis les revus me sont ainsi arrachées destination la décharge.
Oui, après cette introduction, qui permettra de mieu cerner mon caracter; Je vais vous raconter ce qu'un mort m'à fait.
Oui il été de ceux qui finissent leur vie tel qu'ils l'auraient souhaité aux autres: c'est le cas d'un capitan de police, qu'un jours aura même était mon patron, je ne veux pas vous embrouiller, car cela arrive en époques bien que rapprochées différentes:
1-) Le capitan est sont équipé arrive au parc face à la station des chemins de fer.
Adossé au mur en brique rouge de plus de 2 mètres, côté sud se trouvent des baraques rustiques ou vivent des humildes personnes, leur source de revenu se compose de la vente de boissons gazeuses, du café et des bricoles du genre alimentation rapide bon marché, parler de austérité est en trop, disant que austérité ici est du luxe.
2 heures du matin du samedi.
Cette nuit j'avais terminé mon service vers une heure de matin, avec mon ami le D-J, nous avions eut la "très mauvaise" idée d'aller voir la-bas.
Atablées déjà il y avait une bonne douzaine d'individus, les mêmes qu'en un ouvrir et fermer des yeux de la manière la plus subtile se sont eclipsés. Sauf que moi naïf et sans raison de fuir, sans comprendre la situation, j'ai continué à consommer mon chocolat.
Le capitan a très mal pris mon comportement! et il a tout fait pour me le faire savoir.
Un coup de botte eux pieds de mon taburet, et voici que je me suis trouvé au sol. La violence manifeste, m"empêché de comprendre; (ça ma mis grogis), au sol plaqué avec grosse botte sur ma poitrine m'empêchant respirer normalement, non moins de six têtes d'hommes en uniforme de la police national, un d,entre eux me demande mes documents, malheur j'avais pas des papiers sur moi.
Mon pantalon crème claire, gardait après les traces de la cire des bottes des agents. J'ai eux à faire le tour du parc marchand à la manière d'une grenouille les mains derrière la tête . Voilà comme se passait dans les meilleurs des cas, en 1975 un contrôle d'identité à Cartago Valle del Cauca en Colombie.
2-) La boîte de nuit a été vendu; moi j'ai décidé de continuer, le seul d'ailleur, même la clientèle avait déménagé on dirait.
Par tiers interposé j'ai reçu les cles, non moins de 60 mille $ je déposé chaque nuit dans un enveloppe au commande de police pour le capitan, celui-même qu'une nuit m'avait contrôlé au parc de la gare.
J'ai ainsi travaillé plusieurs mois honnêtement sans jamais détourner un centime. Un jour il m'a été demandé la clé sous excuse de travaux sur le toit. Au fait la boîte a été déménagée (en semaine je ne pouvais pas savoir, j'allée en cours) à une autre ville sans me donner mes indemnités.
3-) Le comportement sauvage du capitan aura éveillé des sentiments chez tant des paroisients dans cette ville (120 000 h).
Vous pouvez imaginer, une espèce d'impunité garantie d'autant plus que l'uniforme semble aussi une protection contre toute tentative de procès pour abus d'autorité; dans un pays tel la Colombie, une accusation en vers un agent de l'ordre est un suicide.
Toujours est-t-il que le capitan à fini ses jours traversé par un couteau de boucherie qu'aura inclus traversée aussi et avant lui la chaisee dans le bar où il passé de temps en temps.
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édition on line
Une fois le texte écrit nous devons au moins le lire, j'ai l'absurde manie de ne pas le faire:
Oui j'écris avec un doigt sur un petit téléphone portable est c'est loin d'être une excuse, puis dedans j'ai la moitié de l'écran coupée ou couverte déjà par le claviers tactile, il me restent tout au plus cinq lignes visibles en glissant c'est à dire qu'à force et mesure, que je progresse les lignes disparaissent en haut.
Il y a deux ordinateurs portables mais j'écris vers deux ou trois heures du matin et l'extinction de lumières est donnée plusieurs heures plutôt. Je dois travailler et aussi dormir donc voilà que dès lors que j'ai du temps je cherche à m'entraîner à l'écriture de la langue française, et ce n'est pas une sinécure.
J'ai pu me lire après publication et apporter les corrections "trop" tard le mal est fait:
https://actualite.forumpro.fr/t150-tentative-en-espagnol-pou-carina#1218
Dans la mémoire tampon j'ai conserve le texte, je colle ce-ci dans mon blog et la hélas j'exécute les corrections que j'estime ou que je découvre nécessaires.
Voilà donc comme s'entraîne un immigré à l'écriture.
Oui j'écris avec un doigt sur un petit téléphone portable est c'est loin d'être une excuse, puis dedans j'ai la moitié de l'écran coupée ou couverte déjà par le claviers tactile, il me restent tout au plus cinq lignes visibles en glissant c'est à dire qu'à force et mesure, que je progresse les lignes disparaissent en haut.
Il y a deux ordinateurs portables mais j'écris vers deux ou trois heures du matin et l'extinction de lumières est donnée plusieurs heures plutôt. Je dois travailler et aussi dormir donc voilà que dès lors que j'ai du temps je cherche à m'entraîner à l'écriture de la langue française, et ce n'est pas une sinécure.
J'ai pu me lire après publication et apporter les corrections "trop" tard le mal est fait:
https://actualite.forumpro.fr/t150-tentative-en-espagnol-pou-carina#1218
Dans la mémoire tampon j'ai conserve le texte, je colle ce-ci dans mon blog et la hélas j'exécute les corrections que j'estime ou que je découvre nécessaires.
Voilà donc comme s'entraîne un immigré à l'écriture.
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Le coup de la panne ou histoire d'infidelité
Le coup de la panne ou histoire d'infidélité.
Vendredi au soir, par tradition « vendredi culturel » j'ai réussi a trouver l'excuse pour prendre ma soirée, sans que mon absence soit trouvée suspecte.
Lorsque nous avons une vie remplie, avec femme et enfants, les hommes, par chance non pas touts, nous voulons avoir des sorties en célibataire, je ne jamais compris pour quoi, cette folie, de vouloir à tout prix, vivre avec une femme, et pour quoi le temps passant, nous tombons dans une atmosphère, particulière, pas pour touts les couples, en fin depuis que je suis en France me semble que la durée moyenne d'un couple n’excède pas 5 ans, j'aurai du alors avoir une médaille, puisque mon première couple il a tenu huit années. Une autre médaille pour le record de fidélité puisque pendant des années j'avais que des yeux pour celle qu'est mère de mes deux enfants.
J'ai donc pris place dans la discothèque LA LUNE, vers 20 heures, oui de manière a pouvoir observer le maximum possible les entrées, dos au mur, non seul il faut être près à s’enfuir éventuellement en cas de gribouille, mais malgré mon baratin, ma femme pouvais à tout moment faire un tour et vérifier. En effet, cela est arrivée, et j'ai eu la chance que les lumières bases, le publique et ma dextérité m'ont réussi à chaque fois qu'elle a contrôlé les lieux, vous savais qu'a force de partager votre vie avec une personne vous pouvez la distinguer entre milles, et de très loin, alors à quelques soixante mètres à chaque fois elle été grillée, j'avais alors la tactique d'aller aux urinoirs pendant la tempête.
Un jolie vissage, non loin de ma table, puis il y avait que trois filles, donc pas de garçon, j'ai vérifie toujours avant, ce genre de détails pour avoir toutes les chances de mon coté. J'ai alors fait le petit geste, et voilà que nous nous trouvons en piste pour danser, une pièce, puis quelques mots, deux pièces, et quelques phrases plus loin, nous avons dansé une chanson romantique, oui j'oublie souligner, en Colombie, la danse se passe à deux, et 99 % de fois c'est un couple homme et femme qui dansent. C'est en France que j'ai vu les gens danser soit seuls, soit des gens du même sexe, soit en groupe de plus de deux.
Je ne me rappelle pas combien de chanson nous avons dansait d'affilée, le temps de cerner ses formes, aidai avantageusement par la lumière tamisée, c'est une technique très connue, que conduit à obtenir presque tout d'une femme, ou d'au moins les prémisses de ce qu'elle donnera plus tard.
La moto Yamaha 125 RS seul moyen de transport accessible pour un modeste employé, été non loin, dans le trottoir, puis elle nous emmène donc quelques kilométrés au milieu des champ de canne a sucre, avec la mal chance d'une crevaison, nous avons eut pas pu réaliser notre volonté, je vous épargne de la monotonie entre 1 heure et 5 heures du matin heure à laquelle nous avons atteint le village le plus proche, il va de soit que nous n'avons pas trouvé le dépannage ouvert à cette heure là ! Donc j'ai décidé de faire partir la belle dans un bus de liaison départementale, et atteindre l'ouverture.
Vendredi au soir, par tradition « vendredi culturel » j'ai réussi a trouver l'excuse pour prendre ma soirée, sans que mon absence soit trouvée suspecte.
Lorsque nous avons une vie remplie, avec femme et enfants, les hommes, par chance non pas touts, nous voulons avoir des sorties en célibataire, je ne jamais compris pour quoi, cette folie, de vouloir à tout prix, vivre avec une femme, et pour quoi le temps passant, nous tombons dans une atmosphère, particulière, pas pour touts les couples, en fin depuis que je suis en France me semble que la durée moyenne d'un couple n’excède pas 5 ans, j'aurai du alors avoir une médaille, puisque mon première couple il a tenu huit années. Une autre médaille pour le record de fidélité puisque pendant des années j'avais que des yeux pour celle qu'est mère de mes deux enfants.
J'ai donc pris place dans la discothèque LA LUNE, vers 20 heures, oui de manière a pouvoir observer le maximum possible les entrées, dos au mur, non seul il faut être près à s’enfuir éventuellement en cas de gribouille, mais malgré mon baratin, ma femme pouvais à tout moment faire un tour et vérifier. En effet, cela est arrivée, et j'ai eu la chance que les lumières bases, le publique et ma dextérité m'ont réussi à chaque fois qu'elle a contrôlé les lieux, vous savais qu'a force de partager votre vie avec une personne vous pouvez la distinguer entre milles, et de très loin, alors à quelques soixante mètres à chaque fois elle été grillée, j'avais alors la tactique d'aller aux urinoirs pendant la tempête.
Un jolie vissage, non loin de ma table, puis il y avait que trois filles, donc pas de garçon, j'ai vérifie toujours avant, ce genre de détails pour avoir toutes les chances de mon coté. J'ai alors fait le petit geste, et voilà que nous nous trouvons en piste pour danser, une pièce, puis quelques mots, deux pièces, et quelques phrases plus loin, nous avons dansé une chanson romantique, oui j'oublie souligner, en Colombie, la danse se passe à deux, et 99 % de fois c'est un couple homme et femme qui dansent. C'est en France que j'ai vu les gens danser soit seuls, soit des gens du même sexe, soit en groupe de plus de deux.
Je ne me rappelle pas combien de chanson nous avons dansait d'affilée, le temps de cerner ses formes, aidai avantageusement par la lumière tamisée, c'est une technique très connue, que conduit à obtenir presque tout d'une femme, ou d'au moins les prémisses de ce qu'elle donnera plus tard.
La moto Yamaha 125 RS seul moyen de transport accessible pour un modeste employé, été non loin, dans le trottoir, puis elle nous emmène donc quelques kilométrés au milieu des champ de canne a sucre, avec la mal chance d'une crevaison, nous avons eut pas pu réaliser notre volonté, je vous épargne de la monotonie entre 1 heure et 5 heures du matin heure à laquelle nous avons atteint le village le plus proche, il va de soit que nous n'avons pas trouvé le dépannage ouvert à cette heure là ! Donc j'ai décidé de faire partir la belle dans un bus de liaison départementale, et atteindre l'ouverture.
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sublimation du vent
Trop de fautes pour manque d'attention, un texte corrigé, sans oublier les erreurs de grammaire et sans doute d'autres tels que les formes et subtilités que l'écrivain doit maitriser avant de faire sont premier livre:
Une musique célestiel, au grand concert de cette après-midi, l'orchestre déborde du talent, instruments que je classe dans la famille des clarines et trompettes, erreur sans doute du à mon inculture? tout à l'heure lorsque je me trouvé avec des spasmes ou convulsions, dérangé par des mouches, au fait pour faire fuir les insectes les équidés maîtrisent beaucoup mieux la technique: elle consiste à faire bouger à volonté la partie de la peau où ils aperçoivent la présence d'insectes.
Allongé un coup sur le ventre, un coup sur le dos, sur l'herbe fraîche, quelques brandilles assoiffées par le climat méditerranéen, plus jeune claire que vert à l'ombre des sapins hauts de 20 mètres, alignés officiant de clôture et limite cadastrale. J'ai pris le temps et surtout j'ai ouvert grands mes oreilles et mon imagination pour entendre émerveillé un concert non pas de Bach non pas de Paganini ni de Mozart mais de mère nature que comme toujours humble de sa puissance semblait caresser avec ses mains cachées par le vent, débordant de maîtrise, au fait des congas, symboles, autant qu'autres instruments au-delà de mon imagination... la puissance la plus douce jamais constaté auparavant se manifestait par le fait que ma tête adossée à un tronc d'un diamètre de plus de 15 centimètres été versée au rythme de l'exécution.
Amour admiration et passion
Il arrive que la beauté d'une rose, éveille en nous de l'admiration, en tout cas c'est un sentiment humain, il arrive aussi que des personnes passent de la simple admiration pour les roses (exemple pédagogique) à la passion pour les roses, alors il y a des personnes qui font collection de variétés de roses chez eux.
C'est toujours un sentiment qui est aussi de l'amour de la passion et de l'admiration.
Lorsque nous aimons des objets des animaux, avec passion, lorsqu'il est même possible de posséder un animal tel que le chien ou le chat dans notre environnement privé, nous pouvons considérer comme sain un tel comportement, a condition que l'animal ou les animaux pour le ou les quel(lles) nous portons tant de dévotion, ne vont pas souffrir cependant.
Certains races de chiens nécessitent un traitement impossible de donner pour tout le monde, des chiens de grande taille dans un appartement, qui par fois resteraient seuls pendant les heures que les maitres et leurs enfants doivent travailler ou étudier.
Il ne faut pas que notre passion débordante nous conduise même a faire souffrir des animaux.
Dans le domaine des humains il est possible aussi d'aimer mais la connotation de l'amour est différente; les formes d'amour sont différentes: amour paternel, amour maternel, amour fraternel, amour charnel, etc., sont des formes d'attachement entre plusieurs personnes.
L'admiration, la vénération, l’idolâtrie, le fanatisme sont d'autres sentiments, qui peuvent exister en une personne ou groupe de personnes en vers une autre personne ou groupe de personnes: Une équipe de football est vénérée, un joueur de football est aussi vénéré, admiré voir idolâtré, c'est le cas pour des personnages bibliques, des êtres et personnages dans certains religions...
Dès ma tendre enfance j'ai vénéré, admiré et même aimais sans conception la sante vierge Marie par exemple.
Une musique célestiel, au grand concert de cette après-midi, l'orchestre déborde du talent, instruments que je classe dans la famille des clarines et trompettes, erreur sans doute du à mon inculture? tout à l'heure lorsque je me trouvé avec des spasmes ou convulsions, dérangé par des mouches, au fait pour faire fuir les insectes les équidés maîtrisent beaucoup mieux la technique: elle consiste à faire bouger à volonté la partie de la peau où ils aperçoivent la présence d'insectes.
Allongé un coup sur le ventre, un coup sur le dos, sur l'herbe fraîche, quelques brandilles assoiffées par le climat méditerranéen, plus jeune claire que vert à l'ombre des sapins hauts de 20 mètres, alignés officiant de clôture et limite cadastrale. J'ai pris le temps et surtout j'ai ouvert grands mes oreilles et mon imagination pour entendre émerveillé un concert non pas de Bach non pas de Paganini ni de Mozart mais de mère nature que comme toujours humble de sa puissance semblait caresser avec ses mains cachées par le vent, débordant de maîtrise, au fait des congas, symboles, autant qu'autres instruments au-delà de mon imagination... la puissance la plus douce jamais constaté auparavant se manifestait par le fait que ma tête adossée à un tronc d'un diamètre de plus de 15 centimètres été versée au rythme de l'exécution.
Amour admiration et passion
Il arrive que la beauté d'une rose, éveille en nous de l'admiration, en tout cas c'est un sentiment humain, il arrive aussi que des personnes passent de la simple admiration pour les roses (exemple pédagogique) à la passion pour les roses, alors il y a des personnes qui font collection de variétés de roses chez eux.
C'est toujours un sentiment qui est aussi de l'amour de la passion et de l'admiration.
Lorsque nous aimons des objets des animaux, avec passion, lorsqu'il est même possible de posséder un animal tel que le chien ou le chat dans notre environnement privé, nous pouvons considérer comme sain un tel comportement, a condition que l'animal ou les animaux pour le ou les quel(lles) nous portons tant de dévotion, ne vont pas souffrir cependant.
Certains races de chiens nécessitent un traitement impossible de donner pour tout le monde, des chiens de grande taille dans un appartement, qui par fois resteraient seuls pendant les heures que les maitres et leurs enfants doivent travailler ou étudier.
Il ne faut pas que notre passion débordante nous conduise même a faire souffrir des animaux.
Dans le domaine des humains il est possible aussi d'aimer mais la connotation de l'amour est différente; les formes d'amour sont différentes: amour paternel, amour maternel, amour fraternel, amour charnel, etc., sont des formes d'attachement entre plusieurs personnes.
L'admiration, la vénération, l’idolâtrie, le fanatisme sont d'autres sentiments, qui peuvent exister en une personne ou groupe de personnes en vers une autre personne ou groupe de personnes: Une équipe de football est vénérée, un joueur de football est aussi vénéré, admiré voir idolâtré, c'est le cas pour des personnages bibliques, des êtres et personnages dans certains religions...
Dès ma tendre enfance j'ai vénéré, admiré et même aimais sans conception la sante vierge Marie par exemple.
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SENTIMIENTOS (sentiments)
Presencia
Hubiera dicho de vez en cuando ? Seria mas que abstracción incluso inconstante, no, es mucho más que eso, excepto que nadie podría verificar en lo más profundo de mi consciencia, excepto si el lector, toma el tiempo de seguir más aya que las frases, la totalidad de la expresión.
Una excusa, si, una excusa!
Regularmente, para justificar mi presencia en el mundo tangible, es corriente encontrar mi compromiso hacia convicciones e idolologías, aquí y aya me agrada sinceramente criticar en algunos dominios, cercanos a la sociología. Mientras mi subconsciente en cuanto a el, conserva fundamentalmente las imágenes, los olores de momentos, los colores, los lugares, donde por tantas razones, mi corazón es feliz.
Son imágenes, al igual que momentos de complicidad, donde la imaginación habrá sin duda petrificado, un gesto, una frase, una sonrisa, una mirada, son tantas cosas, que en su totalidad constituyen más que un tesoro, una frase sola, se satisface para condensar, mi opinión, desde mi infancia, ella dice “como la cera el toque de las manos” que me fue transmitida cuando asistía a la educación primaria, por consiguiente en español (.,...........)
http://www.poesiabreve.com/eliaspompa.html
En mi imaginario, es entonces el tocar de las manos, cuantas veces, para mi imaginario o mi memoria, que permite de savorear aquellos momentos, aquellas miradas, hay aquellas miradas, como las manos con una textura, en un juego como con los dedos, que no son más que momentos de sinceridad sin común medida con la realidad de mi cotidiano.
Vivo siempre, lejos de esta forma, escrita, solo si le lector, busca más aya de las palabras, a leer mediante el texto, lo que trata de mostrar una consciencia, que por pudor o por respeto de lo normativo de las culturas, construidas durante siglos trata de ocultar muy bien. Un espíritu que vive prisionero de esta razón impuesta, en una jaula, que parece entonces reducirse haciéndome daño.
Algunos lectores serían incomodados por tantas palabras por describir una realidad simple. En realidad la realidad es más compleja que el parece. Hay demasiada carga sentimental, en esta frase del poeta Venezolano Elis Calixto Pompa “ como la cera el toque de las manos” y trato con fuerza de transmitir con fuerza los momentos de una vida, en los que hubiéramos tratado de la manera la más sutil, la más discreta posible la más grande sinceridad de nuestros sentimientos. Pocos momentos en una vida, donde la palabra complicidad como las nuevas tecnologías me hubieran permitido compartir toneladas de sentimientos. El gran amor no es aquel que todo el mundo se autoriza a admitir. El gran amor es aquel que se encuentra por mil razones tan lejos del cotidiano tangible, es el amor imposible, en la imaginación, par extensión viviríamos en el fetichismo o el mito si ciertos momentos no fueran esta realidad, que solo la complicidad del corazón hubiera tantas veces por transgresión autorizado.
Me doy cuenta, entonces por la aceleración de mi ritmo cardiaco, por una larga lista de signos que sin duda MILAN KUNDERA habría logrado desarrolla; veo como una forma de corredor con puertas, de las cuales tengo llaves, con la oportunidad de abrirlas o serrarlas; desde luego que dejarlas abiertas, es de una cierta manera, una decisión que no me pertenece; en verdad solo tengo las llaves de una puerta sobre dos. Es entonces, confesar, que hay zonas de sombras, pero son esas zonas sombras que tienen la importancia de un parasol en una playa mediterránea en periodo de vacaciones de agosto cuando nuestra sombra esta lo más próxima de nuestros pies, o además, una cantimplora llena de agua fresca, en el medio del Sahara.
Por prueba, el temor de ser sorprendido, habría producido un momento dado como el relámpago un cambio radical, puesto que en retrospectiva nos da una visión no lejos del horror! Solo que en lo más profundo, los sentimientos persisten en su integridad fijados.
Publié dans le forum LE FIGARO
http://forums.lefigaro.fr/user/non-frames/message.asp?forumid=240&messageid=2188419&threadid=2188419&parentid=3
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Hubiera dicho de vez en cuando ? Seria mas que abstracción incluso inconstante, no, es mucho más que eso, excepto que nadie podría verificar en lo más profundo de mi consciencia, excepto si el lector, toma el tiempo de seguir más aya que las frases, la totalidad de la expresión.
Una excusa, si, una excusa!
Regularmente, para justificar mi presencia en el mundo tangible, es corriente encontrar mi compromiso hacia convicciones e idolologías, aquí y aya me agrada sinceramente criticar en algunos dominios, cercanos a la sociología. Mientras mi subconsciente en cuanto a el, conserva fundamentalmente las imágenes, los olores de momentos, los colores, los lugares, donde por tantas razones, mi corazón es feliz.
Son imágenes, al igual que momentos de complicidad, donde la imaginación habrá sin duda petrificado, un gesto, una frase, una sonrisa, una mirada, son tantas cosas, que en su totalidad constituyen más que un tesoro, una frase sola, se satisface para condensar, mi opinión, desde mi infancia, ella dice “como la cera el toque de las manos” que me fue transmitida cuando asistía a la educación primaria, por consiguiente en español (.,...........)
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En mi imaginario, es entonces el tocar de las manos, cuantas veces, para mi imaginario o mi memoria, que permite de savorear aquellos momentos, aquellas miradas, hay aquellas miradas, como las manos con una textura, en un juego como con los dedos, que no son más que momentos de sinceridad sin común medida con la realidad de mi cotidiano.
Vivo siempre, lejos de esta forma, escrita, solo si le lector, busca más aya de las palabras, a leer mediante el texto, lo que trata de mostrar una consciencia, que por pudor o por respeto de lo normativo de las culturas, construidas durante siglos trata de ocultar muy bien. Un espíritu que vive prisionero de esta razón impuesta, en una jaula, que parece entonces reducirse haciéndome daño.
Algunos lectores serían incomodados por tantas palabras por describir una realidad simple. En realidad la realidad es más compleja que el parece. Hay demasiada carga sentimental, en esta frase del poeta Venezolano Elis Calixto Pompa “ como la cera el toque de las manos” y trato con fuerza de transmitir con fuerza los momentos de una vida, en los que hubiéramos tratado de la manera la más sutil, la más discreta posible la más grande sinceridad de nuestros sentimientos. Pocos momentos en una vida, donde la palabra complicidad como las nuevas tecnologías me hubieran permitido compartir toneladas de sentimientos. El gran amor no es aquel que todo el mundo se autoriza a admitir. El gran amor es aquel que se encuentra por mil razones tan lejos del cotidiano tangible, es el amor imposible, en la imaginación, par extensión viviríamos en el fetichismo o el mito si ciertos momentos no fueran esta realidad, que solo la complicidad del corazón hubiera tantas veces por transgresión autorizado.
Me doy cuenta, entonces por la aceleración de mi ritmo cardiaco, por una larga lista de signos que sin duda MILAN KUNDERA habría logrado desarrolla; veo como una forma de corredor con puertas, de las cuales tengo llaves, con la oportunidad de abrirlas o serrarlas; desde luego que dejarlas abiertas, es de una cierta manera, una decisión que no me pertenece; en verdad solo tengo las llaves de una puerta sobre dos. Es entonces, confesar, que hay zonas de sombras, pero son esas zonas sombras que tienen la importancia de un parasol en una playa mediterránea en periodo de vacaciones de agosto cuando nuestra sombra esta lo más próxima de nuestros pies, o además, una cantimplora llena de agua fresca, en el medio del Sahara.
Por prueba, el temor de ser sorprendido, habría producido un momento dado como el relámpago un cambio radical, puesto que en retrospectiva nos da una visión no lejos del horror! Solo que en lo más profundo, los sentimientos persisten en su integridad fijados.
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esclavo del corazón
Los sentimientos
El ser humano existe en varias dimensiones, la primera o visible que es la dimensión material y la segunda o intangible.
Una idea es algo intangible, no la podemos medir con un metro, con un palmer, no la podemos pesar. como se pesa el azúcar.
En ese universo de las ideas también existen los sentimientos. de hecho siendo invisibles son sin leí.
Los seres humanos en su evolución han desarrollado un sin número de reglas indispensables a la armonía. Sin embargo ciertas personas trasgresan las normas. Las razones serían tan diversas para justificar los errores! Sin embargo hay actos y pactos de transgresión en los cuales se encontraran implicados dos o más seres.
Una regla humana habiendo alcanzado el rango de sacramento es el matrimonio. Las culturas modernas impondrán hasta la monogamia y de ende es una infracción por una persona cuyo estado civil es el casado; amar más de dos personas. Aquí podemos afirmar que en el mundo de las ideas y los sentimientos no puede existir legislación, ningún control, por lo cual, comprobamos dos existencias; la existencia lógica, material y visible de un lado que es lo aparente y la existencia intangible, las ideas y sentimientos.
El cuerpo puede así estar en un lugar sin que las ideas, la razón, la sustancia del ser se encuentre necesariamente en el mismo lugar. Aquella persona por quien vibra nuestro corazón, aquel ser que sin necesariamente estar escenta de defectos de críticas, sin ser perfecta; para nosotros es maravillosa, esa persona por quien añoramos siempre, sus palabras, la ternura de un gesto de una frase, de una mirada cómplice, la ternura de sus manos, la dulzura de una caricia y todo nuestro ser tiembla de un deseo sin comparación.
Quien puede dirigir, gobernar nuestra alma? Nadie aún a logrado dominar la conciencia humana, los sentimientos, el sólo enemigo conocido de este sentimientos es la monotonía, aquel momento de incomprensión, donde la indiferencia, la inconformidad nos hacen ver las verdades que siempre existieron pero que nuestra razón hubiera sutilmente disimulado. Es por ello que creo injusto criticar un ser que antes hubiéramos amado; puesto que subrayar defectos sobre alguien hoy es admitir que los hemos tolerado antes. Esto nos lleva a confirmar que cada que nace un amor, es el comienzo de una pena. Sin que sea justo generalizar.
La mujer que guía nuestros deseos no es necesariamente la misma que en apariencia dispone de un certificado
El ser humano existe en varias dimensiones, la primera o visible que es la dimensión material y la segunda o intangible.
Una idea es algo intangible, no la podemos medir con un metro, con un palmer, no la podemos pesar. como se pesa el azúcar.
En ese universo de las ideas también existen los sentimientos. de hecho siendo invisibles son sin leí.
Los seres humanos en su evolución han desarrollado un sin número de reglas indispensables a la armonía. Sin embargo ciertas personas trasgresan las normas. Las razones serían tan diversas para justificar los errores! Sin embargo hay actos y pactos de transgresión en los cuales se encontraran implicados dos o más seres.
Una regla humana habiendo alcanzado el rango de sacramento es el matrimonio. Las culturas modernas impondrán hasta la monogamia y de ende es una infracción por una persona cuyo estado civil es el casado; amar más de dos personas. Aquí podemos afirmar que en el mundo de las ideas y los sentimientos no puede existir legislación, ningún control, por lo cual, comprobamos dos existencias; la existencia lógica, material y visible de un lado que es lo aparente y la existencia intangible, las ideas y sentimientos.
El cuerpo puede así estar en un lugar sin que las ideas, la razón, la sustancia del ser se encuentre necesariamente en el mismo lugar. Aquella persona por quien vibra nuestro corazón, aquel ser que sin necesariamente estar escenta de defectos de críticas, sin ser perfecta; para nosotros es maravillosa, esa persona por quien añoramos siempre, sus palabras, la ternura de un gesto de una frase, de una mirada cómplice, la ternura de sus manos, la dulzura de una caricia y todo nuestro ser tiembla de un deseo sin comparación.
Quien puede dirigir, gobernar nuestra alma? Nadie aún a logrado dominar la conciencia humana, los sentimientos, el sólo enemigo conocido de este sentimientos es la monotonía, aquel momento de incomprensión, donde la indiferencia, la inconformidad nos hacen ver las verdades que siempre existieron pero que nuestra razón hubiera sutilmente disimulado. Es por ello que creo injusto criticar un ser que antes hubiéramos amado; puesto que subrayar defectos sobre alguien hoy es admitir que los hemos tolerado antes. Esto nos lleva a confirmar que cada que nace un amor, es el comienzo de una pena. Sin que sea justo generalizar.
La mujer que guía nuestros deseos no es necesariamente la misma que en apariencia dispone de un certificado
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l'amour et la manière d'être interpreté
l'amour et la manière d'être interpreté
https://expressions-libres.forumdediscussions.com/t547-revelation-scientifique-lamour-rend-aveugle#19913
Sobre el tema del amor, es fundamentalmente la profesión del libro quien hubiera sacado grandes beneficios. En general, quienes escriben, no solo sobre el amor, obtienen beneficios pecuniarios importantes, cuando el trabajo es reconocido. El paisaje editorial durante la historia del libro, en el caso de la literatura romántica, luego en su diversificación, en la pantalla, y en soportes cada vez más modernos, al punto que al decir que el amor es un motor de la riqueza, no estaríamos distantes de la realidad, pero no podríamos considerar completo el tema, sin abordar ademas de lo maravilloso de ser escritor, realizador, guionista, y adquirir la fama; sin abordar “el dolor”, entre otros sentimientos, que inundan la consciencia de aquellas personas que se enamoran.
Sur le sujet de l'amour; il est fondamentalement le métier du livre qui aurait obtenu des grands bénéfices, pour règle générale qui écrit, et pas que sur l'amour, obtient des bénéfices pécuniaires importants, quand le travail est reconnu. Le paysage édit oriel pendant toute l'histoire du livre, quant à la littérature romantique, puis après dans toutes les formes de sa diversification (rendu possible par l'évolution des technologies) dans des supports chaque fois plus modernes, nous permettraient de penser que l'amour est un moteur d'enrichissement. Nous ne saurions trop loin de la réalité, mais nous ne pourrions donner pour terminé le sujet là, sans aborder en plus de l’agréable d'être écrivant, réalisateur et assimilés une fois acquisse la notoriété, sans nécessairement aussi parler de la "douleur" parmi d'autres sentiments qui remplissent la conscience de ces personnes qui tombent amoureuses.
Al leer algunos autores, en cuanto al sujeto del amor, en la variedad de contenidos he logrado separar dos grandes tendencias, los autores que consideran el amor como una demostración de humanidad, esto implica fundamentalmente confesar una forma de fragilidad, que en algunos casos llevaría a comportamientos calificados de dementes e incluso el suicidio es un tema, que si bien es tabú en la sociedad, no es por lo tanto, tan extraño en el caso de relaciones amorosas que necesariamente habrían mal terminado. Como no se podría desde ningún punto de vista, hacer caso omiso de asesinatos donde la pasión se encuentra íntimamente relacionada con el desenlace final.
C'est en faisant quelques lectures d'auteurs, au sujet de l'amour, dans la variété de contenus alors j'ai classé deux grandes tendances, il y a là des auteurs considérant l'amour comment une démonstration d'humanité; chose qu'implique fondamentalement avouer une quelconque forme de fragilité, que dans nombre de cas mènerait à la démence, menant même au suicide, un sujet pour le moins tabou dans la société, sans que pour autant soit étrange aux relations amoureuses lorsqu'elles auraient mal fini. Comment il n'est permit sous aucun cas, faire omission des assassinats où la passion est à l'origine du terrible finale.
Las lecturas sobre el amor, nos conducen pues, a progresar, siempre y cuando, esas lecturas, pertenezcan en prioridad a escritores de reconocida tractorearía, hablando de sentimientos, de comportamiento, los autores deberían obviamente tener un lazo estrecho con ciencias sociales, con la psicología, más precisamente, admito aquí que no me agrada la lectura de romances, de novelas, y similares.
Les lectures sur l'amour, vont donc nous y conduire; au progrès, à condition de que ces lectures appartiennent à des écrivains reconnus, en parlant de sentiments; de comportement; les auteurs devraient evidement disposer d'un lien étroit avec les sciences sociales, et particulière avec la psychologie, j'admets au passage que je ne suis, que j'ai jamais été un fidèle lecteur des textes écrits à l'eau de roses.
Estas lecturas especificas, me permiten la descripción del perfil de la persona que motivado por este sentimiento, abusa de alguna manera de su condición, hoy en redes sociales, con niveles de dramaturgia tales que su comportamiento podría llegar a preocupar a quienes leen. Esta situación, exige soluciones radicales, una posición ética, moral que significa, en primer termino, dejar de inmediato lo que se podría considerar como un “acoso” que incluso podría conducir a un terreno judiciario.
Ces lectures spécifiques vont nous permettre la description du profil des personnes qui motivés par ce genre de sentiments pourraient abuser d'une quelconque manière de leur statu aujourd'hui dans les réseau sociaux avec des niveaux de dramaturgie de telle manière que leur comportement serait même préoccupant pour les lecteurs. Une telle situation exige des solutions radicales, une position éthique, morale qui signifie au premier lieu, arrêter de suite ce qui pourrait être défini même comment de l'abus de confiance, de la perversité déjà très en clin à demander des poursuites judiciaires .
Está vez, podríamos admitir, que el solo hecho de hacer publico algo que releva estrictamente del dominio privado, ya demuestra un nivel de fragilidad, de ingenuidad que son preocupantes. Para mis veinte y tres companeras y compañeros del grupo UTP con mucha admiración, Gloria Ines, Alcedo, les agradesco por soportarme
Cette fois, nous pourrions considérer que le seul fait de rendre publique quelque chose qui relève strictement du domaine privé, déjà prouve un niveau de fragilité, infantilisme préoccupants. Pour mes vingt-trois amies et amis du groupe UTP avec admiration, Gloria Ines, Alcedo en vous remerciant pour me supporter.
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Sobre el tema del amor, es fundamentalmente la profesión del libro quien hubiera sacado grandes beneficios. En general, quienes escriben, no solo sobre el amor, obtienen beneficios pecuniarios importantes, cuando el trabajo es reconocido. El paisaje editorial durante la historia del libro, en el caso de la literatura romántica, luego en su diversificación, en la pantalla, y en soportes cada vez más modernos, al punto que al decir que el amor es un motor de la riqueza, no estaríamos distantes de la realidad, pero no podríamos considerar completo el tema, sin abordar ademas de lo maravilloso de ser escritor, realizador, guionista, y adquirir la fama; sin abordar “el dolor”, entre otros sentimientos, que inundan la consciencia de aquellas personas que se enamoran.
Sur le sujet de l'amour; il est fondamentalement le métier du livre qui aurait obtenu des grands bénéfices, pour règle générale qui écrit, et pas que sur l'amour, obtient des bénéfices pécuniaires importants, quand le travail est reconnu. Le paysage édit oriel pendant toute l'histoire du livre, quant à la littérature romantique, puis après dans toutes les formes de sa diversification (rendu possible par l'évolution des technologies) dans des supports chaque fois plus modernes, nous permettraient de penser que l'amour est un moteur d'enrichissement. Nous ne saurions trop loin de la réalité, mais nous ne pourrions donner pour terminé le sujet là, sans aborder en plus de l’agréable d'être écrivant, réalisateur et assimilés une fois acquisse la notoriété, sans nécessairement aussi parler de la "douleur" parmi d'autres sentiments qui remplissent la conscience de ces personnes qui tombent amoureuses.
Al leer algunos autores, en cuanto al sujeto del amor, en la variedad de contenidos he logrado separar dos grandes tendencias, los autores que consideran el amor como una demostración de humanidad, esto implica fundamentalmente confesar una forma de fragilidad, que en algunos casos llevaría a comportamientos calificados de dementes e incluso el suicidio es un tema, que si bien es tabú en la sociedad, no es por lo tanto, tan extraño en el caso de relaciones amorosas que necesariamente habrían mal terminado. Como no se podría desde ningún punto de vista, hacer caso omiso de asesinatos donde la pasión se encuentra íntimamente relacionada con el desenlace final.
C'est en faisant quelques lectures d'auteurs, au sujet de l'amour, dans la variété de contenus alors j'ai classé deux grandes tendances, il y a là des auteurs considérant l'amour comment une démonstration d'humanité; chose qu'implique fondamentalement avouer une quelconque forme de fragilité, que dans nombre de cas mènerait à la démence, menant même au suicide, un sujet pour le moins tabou dans la société, sans que pour autant soit étrange aux relations amoureuses lorsqu'elles auraient mal fini. Comment il n'est permit sous aucun cas, faire omission des assassinats où la passion est à l'origine du terrible finale.
Las lecturas sobre el amor, nos conducen pues, a progresar, siempre y cuando, esas lecturas, pertenezcan en prioridad a escritores de reconocida tractorearía, hablando de sentimientos, de comportamiento, los autores deberían obviamente tener un lazo estrecho con ciencias sociales, con la psicología, más precisamente, admito aquí que no me agrada la lectura de romances, de novelas, y similares.
Les lectures sur l'amour, vont donc nous y conduire; au progrès, à condition de que ces lectures appartiennent à des écrivains reconnus, en parlant de sentiments; de comportement; les auteurs devraient evidement disposer d'un lien étroit avec les sciences sociales, et particulière avec la psychologie, j'admets au passage que je ne suis, que j'ai jamais été un fidèle lecteur des textes écrits à l'eau de roses.
Estas lecturas especificas, me permiten la descripción del perfil de la persona que motivado por este sentimiento, abusa de alguna manera de su condición, hoy en redes sociales, con niveles de dramaturgia tales que su comportamiento podría llegar a preocupar a quienes leen. Esta situación, exige soluciones radicales, una posición ética, moral que significa, en primer termino, dejar de inmediato lo que se podría considerar como un “acoso” que incluso podría conducir a un terreno judiciario.
Ces lectures spécifiques vont nous permettre la description du profil des personnes qui motivés par ce genre de sentiments pourraient abuser d'une quelconque manière de leur statu aujourd'hui dans les réseau sociaux avec des niveaux de dramaturgie de telle manière que leur comportement serait même préoccupant pour les lecteurs. Une telle situation exige des solutions radicales, une position éthique, morale qui signifie au premier lieu, arrêter de suite ce qui pourrait être défini même comment de l'abus de confiance, de la perversité déjà très en clin à demander des poursuites judiciaires .
Está vez, podríamos admitir, que el solo hecho de hacer publico algo que releva estrictamente del dominio privado, ya demuestra un nivel de fragilidad, de ingenuidad que son preocupantes. Para mis veinte y tres companeras y compañeros del grupo UTP con mucha admiración, Gloria Ines, Alcedo, les agradesco por soportarme
Cette fois, nous pourrions considérer que le seul fait de rendre publique quelque chose qui relève strictement du domaine privé, déjà prouve un niveau de fragilité, infantilisme préoccupants. Pour mes vingt-trois amies et amis du groupe UTP avec admiration, Gloria Ines, Alcedo en vous remerciant pour me supporter.
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MANGER JUSQU'A TOMBER MALADE
COMIENDO HASTA ENFERMAR
NICK RAVISE
PROLOGO
Desde aquel momento en que tenemos memoria, muy lejos en nuestros primeros recuerdos de la niñez; debemos aceptar que ya sentimos el deseo imperativo de ser libres, pues la verdad nuestros padres, los adultos, si pueden salir cuando desean sin inquietarse de cuando deben volver.
Es demasiado injusto! Queremos solo salir a la calle y de inmediato debemos soportar el peso enorme de la amenaza cuando no es el castigo. Crecemos pues constatando el atropello salvaje a nuestra libertad. Esto no nos predispone en nada a ser dóciles, no que va, pretendemos ser personas con mucho discernimiento.
Mi infancia fue la más feliz del mundo! Escribiría un gran hombre o mujer en la literatura; para mi que frase más insípida! La verdad, es horrible leerla en primera persona; a cuatro o cinco años dudo que me hubiera sentido feliz soportando una educación francamente deficiente. Que hoy se que no podría ser por culpa de mis padres.
Es propio del chovinismo natural inscrito en nuestra naturaleza génica, asumir que lo nuestro es lo mejor, solo que así es por siete y medio millones de millares, de otras personas sobre este pequeño planeta. La verdad a esa edad no disponemos de suficiente información para emitir una opinión sólida e irrefutable, estas pocas líneas describen una realidad imaginaria o de ficción, que cada lector podrá usar para divertirse o pensar en cuestiones más profundas de la existencia humana o de la miseria humana.
Se trata del cotidiano de un hijo de obrero que desde que recuerda crecía en un barrio de “clase obrera” de una ciudad obrera de un país de América Latina. Narreremos anécdotas y sarcasmos teniendo cuidado de preservar en lo posible la identidad de los protagonistas reales o figurados.
UN REGALO DE NIÑO DIOS
De lo que aún me suele volver esporádicamente a la memoria, puedo situar un plástico, una pasta negra con accesorios amarillos, como las llaves necesarias para armar y desarmar. Mi padre tomó todo el tiempo y la paciencia para hacerme comprender que el plástico se rompe si lo tratamos mal. Segui con una atención enorme cada una de las operaciones que mi padre ejecutaba “siempre" enfatizando en la fragilidad de los componentes.
Entonces me quedó muy claro aquello de tornillo y de sentido para apretar o aflojar, fueron miles de veces que desarmé y pasé largos momentos antes de comprender que no estaba armando bien mi carro. Muchos años después, más de cuarenta años comprendería, de donde sale esa tendencia mía por hacer el cambio de aceite, cambiar frenos en fin mantener mis autos, como otras personas durante mis treinta años de vida en Francia. La verdad usaba ese juguete más para armarlo y desarmarlo que para jugar como los otros niños. La curiosidad de comprender cada gesto y de realizarlo con más habilidad ya ocupaba en mi un espacio importante. La vanidad ante mis amigos no estaba distante ellos no podían desfigurar por completo sus juguetes. Eso me daba un sentimiento de omnipotencia que sería injusto hoy no confesar. Ahora se que es orgasmo intelectual pues sentía a quizá cinco años en mis genitales una sensación que llegaba con un hondo suspiro cada vez que me sentía satisfecho de la rapidez de la ejecución.
Me pidió mi madre que prestara al hijo de los inquilinos mi precioso juguete, infortunio mayor! pues el que muchas veces me vio hacerlo; lo primero que hizo fue romper algunos tornillos que sujetaban las ruedas. Por fortuna conservé del empaque repuestos. Mientras el se divertía.desarmando, yo sufría mirando, y presumiendo, que al menor error, trataría de demostrar que no debía prestar mi juguete, así que rápidamente ocurrió lo que yo supuse que debía ocurrir. Corrí llorando ver a mi madre y sin confesar que tenía repuesto; le dije que lo había dañado mostrando en mis manos los trozos de tornillos rotos. Solo quería que nunca más me obligara a prestar mi “precioso" juguete.
Supongo que mientras dormía luego de tomarme un biberón, mi amigo , que “amigo”!!!! se divertía bajo la complicidad de mi madre, el caso es que bien que yo nunca traté de tomar un juguete suyo, el solicitaba a mi madre con insistencia que yo le prestara mi carro. Así terminó roto pues creo que varios meses después nunca logré de nuevo armar todo por falta de tornillos rotos.
Recuerdo el triciclo, ah el triciclo que jugurte más divertido, con parrilla donde debía llevar mi hermano, deben aún haber fotos, ese juguete duró mucho más pues la navidad siguiente aún funcionaría, recuerdo que los ejes terminaron reduciéndose hasta romperse. Corría mucho en ese juguete. Por suerte el patio permitía debajo de los dos árboles de limón, al lado de los dos arbustos de café, ir hasta el fondo del patio bajo los árboles de guamo, logré pasar muy rápido además aprendi con varias caídas, que en las curvas, no se debe correr. Aprendi que en línea recta un suelo Irregular nos hace repelar las rodillas y los codos algunas veces hasta sangre me brotó de la cabeza, si mi madre no me veía mucho mejor, seria una media hora dándome surriago en menos.
Ya al comienzo de mi pubertad, me hice un regalo de navidad, mi padre participó sin duda, durante las vacaciones de navidad, trabajé cuidando una casa del barrio la Flora de Cali para obtener el dinero. Se trataba de una bicicleta estándar o de turismo. Es decir con guardabarros y parrilla
Pues bien lo primero que se me vino al espiritu fue tratar de ascender la loma del huevo. La verdad no lo podía lograr, pocos años más tarde en piñón 18 y plato 48 ya subía desde Cartago a Cerritos. No fue mi primera bicicleta ya hubo una de marco pequeño que había compartido con mi hermano, un regalo que no me gustó por el hecho de que no se podía disminuir el peso y menos salir a la carretera. Varias veces la engrasada me permitió constatar que las cunas de los ejes estaban muy gastadas al igual que las del tenedor. Economisé y las cambié dejando la bicicleta mucho mejor.
Pero si recuerdo el regalo de la moto Honda 90 cuatro tiempos que me encantó, solo que mi hermano la usaba “logicamente" una semana de por medio. Esa moto se obsequió a mi hermano mayor que vivía en la Union creo y luego no supe más de ella.
RUMBO AL HOSPITAL
Abusé demaciado del consumo excesivo de las frutas, en particular las que podía recuperar sin ningún esfuerzo, siempre sería mucho más fácil que trepar como si lo hacía la cabra en los ciruelos, en ellos la verdad nunca me sentía bien por muchas razones, subir seria relativamente fácil, sobre algunos quizá, solo que el suelo tenía hierba alta anegadizo y las ciriguyas o chuchas al parecer habían elegido residencia en esos árboles quizá varias veces centenarios. Hoy vuelvo regularmente solo que más de medio siglo ha pasado y con el llego como extranjero donde pasé parte de mi infancia.
Para que hacer complicado y peligroso? Con una batea grande, era suficiente atravesar la pavimentada, y recoger uvas de la blanca a voluntad; eso si evitando hacerse atacar de avispas y abejas. Para ello bastaba moverse lentamente y no desesperar cuando un insecto de esos se posaba sobre uno. No mostrarse agresivo y menos asustado, jamás tuvimos conflicto aunque varias veces se posaron sobre mi, una que otra vez las abejas que no vi, entre uvas me pringaron, yo demostraba que las respetaba y admiraba, suspendía mi recolecta más por curiosidad de mirar sus antenas y patas amarillas sus bocas con pequeñas pinzas supongo que me miraban igual, “nos evaluamos” y al final nos considerábamos amistades improvisadas. Si aprendí a comportarme así es que años antes varias veces al ir en la noche al sanitario de hollo me inoculcaron veneno los alacranes, por mi error de poner la mano en su camino.
Hay un fenómeno curioso, porque lo viví; nuestro organismo tiene un poder de adaptación fenomenal, la primera vez que sentí un pringonazo fue un dolor terrible, sin buscar la razón corri a la casa gritando del dolor, mi madre por las dudas me miró y sospechando que era un alacrán, me acompañó, sin embargo, con su lámpara, una botella desocupada de un jarabe, reciclada, un hueco en la tapa un trozo de trapo y ya, se le hecha petróleo del mismo del que se usa en el fogón. Solo que no vimos ninguna serpiente, y si hubiera sido una? No, pues con mis gritos? igual se hubiera alejado muy asustada.
Esa primera ves me picó en el vértice entre dedos pulgar e índice de mi mano izquierda, que trataba de coger la puerta, pues en la derecha portaba el papel. Esa noche la pasé muy mal, la piel creció el volumen de mi mano, casi dobló, luego una tarde jugando en el patio al mover unas baldosas recibí otra dosis, no lloré no grité solo busque el alacrán y admito que con pesar le quité la vida. Varias veces me inoculcaron veneno alacranes avispas siempre debido a que no respeté su intimidad. Mi interacción con los animales siempre fue apasionada.
Una ocasión pude observar a pocos centímetros unos ojos de una sola raya negra, de una piel muy verde, de escamas y aquella lengua bifurcada saliendo regularmente, fue una evaluación de milésimas de segundo, un escalofrío recorrió toda mi espalda, en el momento en que jugando trataba de pasar rápidamente por debajo de la malla, la misma saturada de bejucos, mi vista se cruzó con la mirada de una serpiente, con reflejos de los que hoy no garantizo, heché mi cuerpo atrás mis manos se posaron detrás en el suelo, y como el cangrejo marché a cuatro patas hacia atrás para alejar mis rodillas de un eventual mordisco. Corrí a buscar un garrote pero al volver sin duda la algarabía de mis compañeros unido al mimetismo del reptil y su velocidad impidieron un mortal combate.
Recuerdo a “Dólar” un perro que usé como caballo, de niño, pero que nunca sentí tentación de agredir de ninguna manera, de todas formas siempre por su talla lo consideré digno de respeto. Un noble animal pues cuentan que jugando hasta le mordía las orejas y el jamas intentó el más mínimo gesto violento contra mi, cuentan que incluso me dormí muchas veces sobre su costado y si otra persona que mi madre intentaba recogerme mi Dólar mostraba sus colmillos y gruñía; lloré mucho pues por robarse de la cochera los cerdos, dice mi madre que le dieron carne con vidrio molido. Solo que eso hizo que mi madre se comprara un Smith and Wesson 38 especial. Supe que mi mamá lo llamaba el “cola de raton" solo comprendí de que se trataba al final de mi pubertad.
Temprano me levantaba cada día, a recoger los mangos que no podía coger en ese árbol tan alto, al cual, se me había formalmente prohibido intentar subirme, (en la casa de la Unión) pero del cual, durante las noches los murciélagos dejaban caer mangos que querian comer sin duda, y quedaban para mí; luego de comerme tres o cuatro de esos deliciosos mangos iva detrás del horno que parecía un iglú, bajo techo; donde crecieron dos árboles de cereza.
Al llegar la cosecha de cerezas, la cantidad es enorme, en este caso antes del parral de uvas que cultivaba mi tío, justo al bordo del enmallado separando la casa, de la de doña Ernestina (me parece escuchar…”Alvarito mijo venga pues, para que le lleve el calabazo a Luis Carlos, que está arando en el higuerón”…) Ah las grosellas y cerezas que me comí y sin lavarlas directamente desde el árbol pasaban con voracidad a mi boca, esos dos árboles, para un niño de ocho años? la tentación es tan grande, si no hay adultos, que vigilen?
Recuerdo que me sentía mareado y solo así dejaba de devorar esas frutas.
Al cabo de un tiempo el mareo llegaba cada vez más rápido. La última vez sentí nauseas, al día siguiente no logre levantarme desperté con fiebre, vomito y una hora o dos más tarde me encontré en una cama del hospital.
No es la primera locura de mi vida, en la finca de la abuela, luego del desayuno, tomaba un machete pequeño, y caminaba entre maracuya, guamas, chirimoyas, anones, naranjos, papayas, se me había advertido, esas frutas se recuperaban dos veces por semana. Acompañé a mi tía al mercado, y junto con los huevos se hacía trueque por sal fósforos, velas y algunos billetes mucho menos importantes, recuerdo como si aún pudiera respirar el aroma de las flores de los naranjos, el olor a la humedad del suelo, me veo casi tan grande como el machete caminando hasta llegar a un lugar donde seleccionaba una caña de las más maduras, la cortaba, y me sentaba en el suelo a la sombra de frondosos árboles, y si no comía naranjas es porque la vara de guadua pesaba mucho y se me dificultaba colectar algunas, en cambio la caña fue fácil pelarla a medida que cortaba en trozos de talla apropiada comía y al cabo de un muy largo rato el “montón” de bagazo alcanzaba casi mi altura sentado. Supongo que desde el camino real se podía saber donde me encontraba pues eructaba de manera estridente regularmente.
Recuerdo una ocasión en la que el cocinero le mostró a papá un fondo grande usado para cocinar arroz. Esta vez parecía paella, si mi memoria no me traiciona, debíamos llevar un Buldoser, y recoger todo, esa olla debería ser lavada en la cañada, solo que antes yo me di a la tarea de comer lo que por tradición siempre me encantó, y que le llamamos “pegado”.
En aquella época por el año 1972, la carretera de Media canoa a Yumbo era destapada, viejé sentado arriba en el buldoser, nunca más en mi vida me quedaron ganas de comer en exceso, cada hueco de aquella carretera para mi fue un sufrimiento que no deseo al peor enemigo.
Muchos frutos me encantan: los nísperos, los anones, pero desde esas experiencia traumatizante solo como relativamente razonable, mi infancia la viví fundamentalmente donde la abuela por vacaciones, no olvido la naranja Lima y la naranja grandiosa y roja que se debe saber comer de lo contrario es muy amarga.
Como olvidar cuando acompañé la abuela con las bateas a coger cacao, aprendí así que es el chocolate, pero aquel que es artesanal, bolas que producía mi abuela.
Como olvidar el proceso para sacar almidón de la yuca, y llegar a aquella maravilla que es el horneado con ese aroma peculiar que sentimos a varios kilómetros permitiendo saber si es arepa de “choclo" o pandebono. Como olvidar esos frijoles exquisitos o el sancocho de la abuela y que JAMAS dejó que raspara la olla del arroz, pues sus ollas eran de barro (tierra cocida) y pensaba que yo la hubiera roto. Como olvidar el trayecto entre la casa y el río Cauca de donde se traía el agua que se juntaba con trozos de azufre en una tinaja grande y debajo gota por gota otra tinaja recuperaba el agua que se podía tomar siempre muy fresca.
AL ASALTO DEL MONTE DE VENUS
Todas las pequeñas y pequeños tienen la primera experiencia entre paréntesis y comillas, durante la infancia. Por pudor, por educación u cualquier razón, nos es incómodo abordar ciertas cosas íntimas.
A decir verdad, incluso algunas artistas de importancia en la cultura francesa, lograron rápidamente adquirir prestigio al hacer de conocimiento público, situaciones de incesto, de violación, durante su infanci. Si ciertos hechos trágicos, vergonzosos, son confesados sin duda hay factores culturales que permiten que se libere la palabra o no.
Desde luego que admito realizar una experiencia específica. Ya en dos días he publicado en español y francés por lo tanto dos personas del género femenino han elogiado mi texto. En este lado del caribe del mismo género he recibido indiferencia incluso un comentario corto que es:
…”???”…
Abolicion de la ética y la moral
Solo cuando el supuesto ser humano, pierde todo contacto racional con la realidad, puede llegar tan bajo, para realizar un acto tan obsceno, tan vil, tan perverso. Llegar al incesto, es un problema de talla mayor, no abordarlo es considerado tabú.
Supongo que intentar guardar silencio, es la primera reacción, sin embargo es acaso la mejor?
La sexualidad en calidad de contacto a la base fisiológico, traducido por las diferentes culturas en una larga gama de matices, donde se incrusta paulatinamente, al lado del abandono de la vida nómada, ritos cada vez más refinados, sistemáticamente, se asocian, cambios y normas que concluyen con condiciones, leyes y preceptos rápidamente recuperados por los balbuceos de las religiones, las sectas, y con el progreso las religiones.
La sexualidad humana se diferencia paulatinamente del simple instinto, para incluso llevarla al Sacramento donde se le despoja oficialmente de toda connotación inmoral siempre y cuando, la relación esté contemplada dentro de límites precisos.
La sexualidad es un argumento, muy potente, en el éxito literario, mentiría si niego, que en lo más profundo de mi conciencia no he acariciado la ilusión de escritor. Mentiría si omito decir que algunas amistades, al criticar mi nivel “sinceramente" (lo pienso de verdad) malo en gramática y ortografía. La sexualidad no lo olvido me ha motivado a redactar este capítulo. Sin embargo se trata de la visión de un menor de cinco o seis años.
Hay a cierta edad, una concepción infundada del sexo; a una edad en la que es imposible el acto tal cuso es necesario para que cumpla su fin biológico de preservación de la especie.
Sin embargo ya se tiene un conocimiento a cinco años del proceso de cunilingus, quizá más técnico y eficiente, que el practicado por muchos adultos.
Llega accesoria la pregunta, porque el cunilingus? Solo es suposición, responder que a falta de erección, por instinto se es imaginativo.
En los hechos; cada comienzo de tarde, cuando la madre recibía la visita de la sobrina de la vecina, venia acompañada de su hija, estas visitas de memoria no serían regulares, sin embargo, el “protocolo" siempre fue sistemático, detrás de la casa existía un terreno detalla idéntica al que ocupaba la construcción. Además ese terreno de memoria y por las facilidades de la composición, en particular para cama y paredes; estaba cultivado de maíz, del amarillo, de manera que improvisar una “suntuosa” choza con ese material fue cosa simple.
En lo que para el juego de “papá y mamá” figuraba como “casa" solo la cama tenía realmente importancia. En ese orden de ideas ante el sol de las tres de la tarde de la regio de Palmira en la zona más dulce de Colombia, lo que importa es la noche, que para la edad de cinco o seis años, pues, si, daba una vuelta del terreno de maíz y eso equivalía a un día. Confieso que la larga jornada la recorría lo más rápido que mis piernas lo permitían; porque lo más delicioso de ese juego para el niño, lo más sublime, maravilloso, siempre fue irse a la “cama" con aquella preciosa muñeca a la piel canela, desde luego, que algunas objeciones siempre fueron obstáculo, su pudor su tentación a quedarse la ropa, el niño argumentaba el fingido baño, para poder con un fingido estropajo, recorrer con la ternura más ingenua y romántica cada rincón de su cuerpo, sin encontrar rechazo excepto al llegar abajo del pubis.
Veinte años después, una ocasión decidí visitar a mi salvadora, (infinidad de veces esta piadosa vecina vino a suspender mi martirio deteniendo el látigo devla mano de mi progenitora) doña Omaira tía de la madre de aquella preciosa morena. Oh tremenda sorpresa, la misma muñeca pero esta vez en formato “mujer" se diría que hubiese visto un fantasma. Salió disparada de la cocina de doña Omaira, quien sorprendida, ignorando todo del estruendoso pasado común, dijo:
…”oí mira ve, deja que este joven te acompañe"…
No se escucho como respuesta, otra cosa que el ruido de ramas quebradas del cafetal que separaba las dos casas.
La influencia de las religiones aleja del acto instintivo salvaje al ser humano. Luego por factores diversos llega en 1905 creo en Francia una ley que impone la laicidad, ley que se traduce de manera lenta pero firme, como en otros países, en una progresión significativa de libertinaje atado por lógica a la reducción de preceptos de moral y ética.
El individuo sin guía de su conciencia, deja de diferenciarse del irracional, deja de comportarse en ser humano, en ciertas situaciones lo que deja surgir el lado salvaje. Que solo es reprimido hasta entonces por la normativa religiosa.
Podemos desde este momento del pensamiento, exonerarnos de normas, para escribir sobre la sexualidad? Queda en la consciencia una amplia gama de obstáculos, que funcionan como límites o censura automáticos.
Voluntariamente he seleccionado un título, agresivo, pero no deseo atraer con mentiras, he usado franqueza al considerar hechos estrictamente vinculados con el abuso sexual que surge como variante, no como estadística pero si como ultraje, si como atentado salvaje a la pudor. Puesto que cuando se hace público una agresión sexual sobre menores, ocho o nueve otros actos no son declarados, porque los menores niñas o niños están en una situado frágil dependiendo por completo del agresor.
El tema desde aquí se asume teniendo presente que son vivencias ficticias o figuradas, que no tienen nada que ver con la realidad.
En casa vivían tres hermanas, mi madre las guardaba para que la madre de ellas trabajara. La del medio dos años mayor que yo, desde su llegada siempre parecía en otro mundo, la mirada perdida, su gesticulación me dejaba comprender que sufría, los días pasaron, los meses y los años, hoy se que esta niña debió soportar algo demaciado traumatizante para terminar encerrada en si misma, por su nivel alto de timidez se puede deducir que alguien le había arrebatado su inocencia.
A la época no se sabía en los barrios obreros de temas de psiquiatría, así que a los dos años creo se fueron las niñas, sin que una sola vez yo hubiera escuchado su voz.
Por aquella época en la casa vecina vivía una gran familia no menos de cuatro chicas desde mi edad hasta una señorita. Solo recuerdo entonces haber disfrutado de cuatro o cinco navidades a lo sumo. Escuche hablar de la finca, y la idea de evitar las largas reprimendas en un costal colgado de una viga del bóvedo, me llevo a suplicar a mi madre, me dejara ir, un día mi sueño se hizo realidad. Al fin salía de mi casa! Fue esta la primera vez de mi vida que no dormiría en la noche en la misma cama de toda mi corta existencia. Por algunos días, estaría lejos de los castigos, en los que al bañarme podía contar los hematomas dejados por ese rejo tostado, en mi cuerpo. La primera parte del viaje transcurrió vertiginosamente, luego dejamos la ruta asfaltada por un camino escarpado, donde la constante fue subida y viraje. Ya el sol tenía grandes dificultades a darnos su claridad debido a las nubes de la cordillera, primero sus colores fueron una larga gama de amarillos que humillaban el azul cada vez más oscuro, rápidamente llegaron los naranjas al mismo tiempo que se acabó la carretera; en verdad solo podemos admitir que tenía más de camino de herradura, que carretera, una casa muy grande toda en tablas y por primera vez vi tejas de madera.
Hubo un intercambio de frases entre quien me llevaba y algunas voces, hubiera podido decir, la casa que habla, el intercambio fue amable, entre gente que se distingue desde mucho tiempo atrás. La verdad a lo lejos ya el sol nos había dejado, ni idea de por donde ir, la linterna parecía cansada y para no agravar su estado solo se prendía con intermitencia. Mi guía de fortuna avanzaba, yo trataba de seguirlo solo guiado por su respiración y el ruido de las piedras ajustando mi rumbo a cada vez que el rayo de luz lo permitía, de vez en cuando cruzando riachuelos, de aguas cristalinas y muy frías, no sabría dar una estimación de la distancia, esto era una verdadera aventura, mi nariz descubría escudriñaba ahí donde la vista no podía, infinidad de aromas absolutamente nuevos, así que mis oídos, recibían una sinfonía majestuosa de cantos de grillos y aves, hasta ese instante jamás imaginadas y la verdad en ningún instante senti miedo, que si sentía cada vez que mi madre por “a” o por “b” decidía colgarme en un costal para pegarme hasta que una vecina viniera a quitarle por la fuerza el rejo de las manos. Me sentía feliz lejos de casa. Así fuera en un camino frío con poca visibilidad ya que una niebla espesa se invito a acompañarnos, si expiraba por la boca se podría creer que expiraba el humo de cigarrillo. El follaje abundante pareciera transpirar gruesas gotas condensadas muy frías refrescando nuestro cansancio al punto que supongo que ese trayecto abajo en el valle al sol del medio día no sería posible.
El hecho es que llegamos a la finca, una casa cerrada, solo con una cabulla, es más el broche de la entrada fue fácil.de habrir y se camino pocos metros y ahí estaba la casa. Inútil de intentar escudriñar, el ruido del agua arrullaba nuestra conversación incluso toda la noche y el día. Me ofrecieron varios costales tres rayas y un trozo de cobija de lana quizás un resto de una ruana. Lo cierto es que me dormí en ese suelo de tablas, con algunas rendijas, al igual que en las paredes, o lo que hacía el papel de puerta, rendijas, por donde hasta podría pasar un dedo, rendijas que al paso del viento parecían quejarse con migo del frío. No hablo de las pulgas, ah! Las muy descaradas se dieron gusto con migo!
Al día siguiente luego de un chocolate con queso y maduro asado nos pusimos botas de caucho, las que me quedaron mejores me hacían ver como el gato con botas, no se veía nada a cinco metros, por primera vez en la mañana caminé en un potrero, y que potrero! Yo acostumbrado al valle, lo plano, eso era la ladera la falda de una loma no creo exagerar si afirmó que el a ángulo con el horizonte, que jamás pude ver entre niebla y nubes, ese ángulo podía alcanzar en promedio cuarenta y cinco grados, el silbaba de manera especial “llamando las vacas”, se me explicaba que al día siguiente sería mi trabajo traer las vacas para ordeñar. Eran tres o cuatro, por la niebla no sabía solo, un momento dado, por la manera de resoplar se sabía que no estaban lejos,
Al volver a la casa, no podría decir cuando, pues la niebla no dejaba saber dónde se encontraba el sol. Lo cierto es que se ordeñaron las vacas, se hacía queso, y se comía muy bien al segundo día llegaron con la señora un hijo y una hija. La alimentación se mejoró ostensiblemente, ya la actividad de traer las vacas se hizo rutina, y unas veces caminando otras gateando, al final siempre terminaba trayendolas para ordeñar, se me ofrecía un vaso grande de leche recién ordeñada para recalentarme, el baño solo fue posible después de las dos de la tarde, pocas veces calentado por escasos rayos de sol entonces comprendi la razón de la piel tan blanca de esas muchachas tan lindas.
Nos bañamos en aquel lavadero con agua muy fría y esta muchacha de unos cinco o seis años mayor, tomaba el papel de mi madre restregando mi cuerpo que entraba en espasmos que no se si eran por el frío o por aquel sentimiento de culpabilidad al estar siendo frotado por una mujer que por causa de su ropa mojada, dejaba notar toda su intimidad debajo en un transparente casi absoluto. Jamás hubiera intentado nada que estropeara este momento de hechizo cada día.
NICK RAVISE
PROLOGO
Desde aquel momento en que tenemos memoria, muy lejos en nuestros primeros recuerdos de la niñez; debemos aceptar que ya sentimos el deseo imperativo de ser libres, pues la verdad nuestros padres, los adultos, si pueden salir cuando desean sin inquietarse de cuando deben volver.
Es demasiado injusto! Queremos solo salir a la calle y de inmediato debemos soportar el peso enorme de la amenaza cuando no es el castigo. Crecemos pues constatando el atropello salvaje a nuestra libertad. Esto no nos predispone en nada a ser dóciles, no que va, pretendemos ser personas con mucho discernimiento.
Mi infancia fue la más feliz del mundo! Escribiría un gran hombre o mujer en la literatura; para mi que frase más insípida! La verdad, es horrible leerla en primera persona; a cuatro o cinco años dudo que me hubiera sentido feliz soportando una educación francamente deficiente. Que hoy se que no podría ser por culpa de mis padres.
Es propio del chovinismo natural inscrito en nuestra naturaleza génica, asumir que lo nuestro es lo mejor, solo que así es por siete y medio millones de millares, de otras personas sobre este pequeño planeta. La verdad a esa edad no disponemos de suficiente información para emitir una opinión sólida e irrefutable, estas pocas líneas describen una realidad imaginaria o de ficción, que cada lector podrá usar para divertirse o pensar en cuestiones más profundas de la existencia humana o de la miseria humana.
Se trata del cotidiano de un hijo de obrero que desde que recuerda crecía en un barrio de “clase obrera” de una ciudad obrera de un país de América Latina. Narreremos anécdotas y sarcasmos teniendo cuidado de preservar en lo posible la identidad de los protagonistas reales o figurados.
UN REGALO DE NIÑO DIOS
De lo que aún me suele volver esporádicamente a la memoria, puedo situar un plástico, una pasta negra con accesorios amarillos, como las llaves necesarias para armar y desarmar. Mi padre tomó todo el tiempo y la paciencia para hacerme comprender que el plástico se rompe si lo tratamos mal. Segui con una atención enorme cada una de las operaciones que mi padre ejecutaba “siempre" enfatizando en la fragilidad de los componentes.
Entonces me quedó muy claro aquello de tornillo y de sentido para apretar o aflojar, fueron miles de veces que desarmé y pasé largos momentos antes de comprender que no estaba armando bien mi carro. Muchos años después, más de cuarenta años comprendería, de donde sale esa tendencia mía por hacer el cambio de aceite, cambiar frenos en fin mantener mis autos, como otras personas durante mis treinta años de vida en Francia. La verdad usaba ese juguete más para armarlo y desarmarlo que para jugar como los otros niños. La curiosidad de comprender cada gesto y de realizarlo con más habilidad ya ocupaba en mi un espacio importante. La vanidad ante mis amigos no estaba distante ellos no podían desfigurar por completo sus juguetes. Eso me daba un sentimiento de omnipotencia que sería injusto hoy no confesar. Ahora se que es orgasmo intelectual pues sentía a quizá cinco años en mis genitales una sensación que llegaba con un hondo suspiro cada vez que me sentía satisfecho de la rapidez de la ejecución.
Me pidió mi madre que prestara al hijo de los inquilinos mi precioso juguete, infortunio mayor! pues el que muchas veces me vio hacerlo; lo primero que hizo fue romper algunos tornillos que sujetaban las ruedas. Por fortuna conservé del empaque repuestos. Mientras el se divertía.desarmando, yo sufría mirando, y presumiendo, que al menor error, trataría de demostrar que no debía prestar mi juguete, así que rápidamente ocurrió lo que yo supuse que debía ocurrir. Corrí llorando ver a mi madre y sin confesar que tenía repuesto; le dije que lo había dañado mostrando en mis manos los trozos de tornillos rotos. Solo quería que nunca más me obligara a prestar mi “precioso" juguete.
Supongo que mientras dormía luego de tomarme un biberón, mi amigo , que “amigo”!!!! se divertía bajo la complicidad de mi madre, el caso es que bien que yo nunca traté de tomar un juguete suyo, el solicitaba a mi madre con insistencia que yo le prestara mi carro. Así terminó roto pues creo que varios meses después nunca logré de nuevo armar todo por falta de tornillos rotos.
Recuerdo el triciclo, ah el triciclo que jugurte más divertido, con parrilla donde debía llevar mi hermano, deben aún haber fotos, ese juguete duró mucho más pues la navidad siguiente aún funcionaría, recuerdo que los ejes terminaron reduciéndose hasta romperse. Corría mucho en ese juguete. Por suerte el patio permitía debajo de los dos árboles de limón, al lado de los dos arbustos de café, ir hasta el fondo del patio bajo los árboles de guamo, logré pasar muy rápido además aprendi con varias caídas, que en las curvas, no se debe correr. Aprendi que en línea recta un suelo Irregular nos hace repelar las rodillas y los codos algunas veces hasta sangre me brotó de la cabeza, si mi madre no me veía mucho mejor, seria una media hora dándome surriago en menos.
Ya al comienzo de mi pubertad, me hice un regalo de navidad, mi padre participó sin duda, durante las vacaciones de navidad, trabajé cuidando una casa del barrio la Flora de Cali para obtener el dinero. Se trataba de una bicicleta estándar o de turismo. Es decir con guardabarros y parrilla
Pues bien lo primero que se me vino al espiritu fue tratar de ascender la loma del huevo. La verdad no lo podía lograr, pocos años más tarde en piñón 18 y plato 48 ya subía desde Cartago a Cerritos. No fue mi primera bicicleta ya hubo una de marco pequeño que había compartido con mi hermano, un regalo que no me gustó por el hecho de que no se podía disminuir el peso y menos salir a la carretera. Varias veces la engrasada me permitió constatar que las cunas de los ejes estaban muy gastadas al igual que las del tenedor. Economisé y las cambié dejando la bicicleta mucho mejor.
Pero si recuerdo el regalo de la moto Honda 90 cuatro tiempos que me encantó, solo que mi hermano la usaba “logicamente" una semana de por medio. Esa moto se obsequió a mi hermano mayor que vivía en la Union creo y luego no supe más de ella.
RUMBO AL HOSPITAL
Abusé demaciado del consumo excesivo de las frutas, en particular las que podía recuperar sin ningún esfuerzo, siempre sería mucho más fácil que trepar como si lo hacía la cabra en los ciruelos, en ellos la verdad nunca me sentía bien por muchas razones, subir seria relativamente fácil, sobre algunos quizá, solo que el suelo tenía hierba alta anegadizo y las ciriguyas o chuchas al parecer habían elegido residencia en esos árboles quizá varias veces centenarios. Hoy vuelvo regularmente solo que más de medio siglo ha pasado y con el llego como extranjero donde pasé parte de mi infancia.
Para que hacer complicado y peligroso? Con una batea grande, era suficiente atravesar la pavimentada, y recoger uvas de la blanca a voluntad; eso si evitando hacerse atacar de avispas y abejas. Para ello bastaba moverse lentamente y no desesperar cuando un insecto de esos se posaba sobre uno. No mostrarse agresivo y menos asustado, jamás tuvimos conflicto aunque varias veces se posaron sobre mi, una que otra vez las abejas que no vi, entre uvas me pringaron, yo demostraba que las respetaba y admiraba, suspendía mi recolecta más por curiosidad de mirar sus antenas y patas amarillas sus bocas con pequeñas pinzas supongo que me miraban igual, “nos evaluamos” y al final nos considerábamos amistades improvisadas. Si aprendí a comportarme así es que años antes varias veces al ir en la noche al sanitario de hollo me inoculcaron veneno los alacranes, por mi error de poner la mano en su camino.
Hay un fenómeno curioso, porque lo viví; nuestro organismo tiene un poder de adaptación fenomenal, la primera vez que sentí un pringonazo fue un dolor terrible, sin buscar la razón corri a la casa gritando del dolor, mi madre por las dudas me miró y sospechando que era un alacrán, me acompañó, sin embargo, con su lámpara, una botella desocupada de un jarabe, reciclada, un hueco en la tapa un trozo de trapo y ya, se le hecha petróleo del mismo del que se usa en el fogón. Solo que no vimos ninguna serpiente, y si hubiera sido una? No, pues con mis gritos? igual se hubiera alejado muy asustada.
Esa primera ves me picó en el vértice entre dedos pulgar e índice de mi mano izquierda, que trataba de coger la puerta, pues en la derecha portaba el papel. Esa noche la pasé muy mal, la piel creció el volumen de mi mano, casi dobló, luego una tarde jugando en el patio al mover unas baldosas recibí otra dosis, no lloré no grité solo busque el alacrán y admito que con pesar le quité la vida. Varias veces me inoculcaron veneno alacranes avispas siempre debido a que no respeté su intimidad. Mi interacción con los animales siempre fue apasionada.
Una ocasión pude observar a pocos centímetros unos ojos de una sola raya negra, de una piel muy verde, de escamas y aquella lengua bifurcada saliendo regularmente, fue una evaluación de milésimas de segundo, un escalofrío recorrió toda mi espalda, en el momento en que jugando trataba de pasar rápidamente por debajo de la malla, la misma saturada de bejucos, mi vista se cruzó con la mirada de una serpiente, con reflejos de los que hoy no garantizo, heché mi cuerpo atrás mis manos se posaron detrás en el suelo, y como el cangrejo marché a cuatro patas hacia atrás para alejar mis rodillas de un eventual mordisco. Corrí a buscar un garrote pero al volver sin duda la algarabía de mis compañeros unido al mimetismo del reptil y su velocidad impidieron un mortal combate.
Recuerdo a “Dólar” un perro que usé como caballo, de niño, pero que nunca sentí tentación de agredir de ninguna manera, de todas formas siempre por su talla lo consideré digno de respeto. Un noble animal pues cuentan que jugando hasta le mordía las orejas y el jamas intentó el más mínimo gesto violento contra mi, cuentan que incluso me dormí muchas veces sobre su costado y si otra persona que mi madre intentaba recogerme mi Dólar mostraba sus colmillos y gruñía; lloré mucho pues por robarse de la cochera los cerdos, dice mi madre que le dieron carne con vidrio molido. Solo que eso hizo que mi madre se comprara un Smith and Wesson 38 especial. Supe que mi mamá lo llamaba el “cola de raton" solo comprendí de que se trataba al final de mi pubertad.
Temprano me levantaba cada día, a recoger los mangos que no podía coger en ese árbol tan alto, al cual, se me había formalmente prohibido intentar subirme, (en la casa de la Unión) pero del cual, durante las noches los murciélagos dejaban caer mangos que querian comer sin duda, y quedaban para mí; luego de comerme tres o cuatro de esos deliciosos mangos iva detrás del horno que parecía un iglú, bajo techo; donde crecieron dos árboles de cereza.
Al llegar la cosecha de cerezas, la cantidad es enorme, en este caso antes del parral de uvas que cultivaba mi tío, justo al bordo del enmallado separando la casa, de la de doña Ernestina (me parece escuchar…”Alvarito mijo venga pues, para que le lleve el calabazo a Luis Carlos, que está arando en el higuerón”…) Ah las grosellas y cerezas que me comí y sin lavarlas directamente desde el árbol pasaban con voracidad a mi boca, esos dos árboles, para un niño de ocho años? la tentación es tan grande, si no hay adultos, que vigilen?
Recuerdo que me sentía mareado y solo así dejaba de devorar esas frutas.
Al cabo de un tiempo el mareo llegaba cada vez más rápido. La última vez sentí nauseas, al día siguiente no logre levantarme desperté con fiebre, vomito y una hora o dos más tarde me encontré en una cama del hospital.
No es la primera locura de mi vida, en la finca de la abuela, luego del desayuno, tomaba un machete pequeño, y caminaba entre maracuya, guamas, chirimoyas, anones, naranjos, papayas, se me había advertido, esas frutas se recuperaban dos veces por semana. Acompañé a mi tía al mercado, y junto con los huevos se hacía trueque por sal fósforos, velas y algunos billetes mucho menos importantes, recuerdo como si aún pudiera respirar el aroma de las flores de los naranjos, el olor a la humedad del suelo, me veo casi tan grande como el machete caminando hasta llegar a un lugar donde seleccionaba una caña de las más maduras, la cortaba, y me sentaba en el suelo a la sombra de frondosos árboles, y si no comía naranjas es porque la vara de guadua pesaba mucho y se me dificultaba colectar algunas, en cambio la caña fue fácil pelarla a medida que cortaba en trozos de talla apropiada comía y al cabo de un muy largo rato el “montón” de bagazo alcanzaba casi mi altura sentado. Supongo que desde el camino real se podía saber donde me encontraba pues eructaba de manera estridente regularmente.
Recuerdo una ocasión en la que el cocinero le mostró a papá un fondo grande usado para cocinar arroz. Esta vez parecía paella, si mi memoria no me traiciona, debíamos llevar un Buldoser, y recoger todo, esa olla debería ser lavada en la cañada, solo que antes yo me di a la tarea de comer lo que por tradición siempre me encantó, y que le llamamos “pegado”.
En aquella época por el año 1972, la carretera de Media canoa a Yumbo era destapada, viejé sentado arriba en el buldoser, nunca más en mi vida me quedaron ganas de comer en exceso, cada hueco de aquella carretera para mi fue un sufrimiento que no deseo al peor enemigo.
Muchos frutos me encantan: los nísperos, los anones, pero desde esas experiencia traumatizante solo como relativamente razonable, mi infancia la viví fundamentalmente donde la abuela por vacaciones, no olvido la naranja Lima y la naranja grandiosa y roja que se debe saber comer de lo contrario es muy amarga.
Como olvidar cuando acompañé la abuela con las bateas a coger cacao, aprendí así que es el chocolate, pero aquel que es artesanal, bolas que producía mi abuela.
Como olvidar el proceso para sacar almidón de la yuca, y llegar a aquella maravilla que es el horneado con ese aroma peculiar que sentimos a varios kilómetros permitiendo saber si es arepa de “choclo" o pandebono. Como olvidar esos frijoles exquisitos o el sancocho de la abuela y que JAMAS dejó que raspara la olla del arroz, pues sus ollas eran de barro (tierra cocida) y pensaba que yo la hubiera roto. Como olvidar el trayecto entre la casa y el río Cauca de donde se traía el agua que se juntaba con trozos de azufre en una tinaja grande y debajo gota por gota otra tinaja recuperaba el agua que se podía tomar siempre muy fresca.
AL ASALTO DEL MONTE DE VENUS
Todas las pequeñas y pequeños tienen la primera experiencia entre paréntesis y comillas, durante la infancia. Por pudor, por educación u cualquier razón, nos es incómodo abordar ciertas cosas íntimas.
A decir verdad, incluso algunas artistas de importancia en la cultura francesa, lograron rápidamente adquirir prestigio al hacer de conocimiento público, situaciones de incesto, de violación, durante su infanci. Si ciertos hechos trágicos, vergonzosos, son confesados sin duda hay factores culturales que permiten que se libere la palabra o no.
Desde luego que admito realizar una experiencia específica. Ya en dos días he publicado en español y francés por lo tanto dos personas del género femenino han elogiado mi texto. En este lado del caribe del mismo género he recibido indiferencia incluso un comentario corto que es:
…”???”…
Abolicion de la ética y la moral
Solo cuando el supuesto ser humano, pierde todo contacto racional con la realidad, puede llegar tan bajo, para realizar un acto tan obsceno, tan vil, tan perverso. Llegar al incesto, es un problema de talla mayor, no abordarlo es considerado tabú.
Supongo que intentar guardar silencio, es la primera reacción, sin embargo es acaso la mejor?
La sexualidad en calidad de contacto a la base fisiológico, traducido por las diferentes culturas en una larga gama de matices, donde se incrusta paulatinamente, al lado del abandono de la vida nómada, ritos cada vez más refinados, sistemáticamente, se asocian, cambios y normas que concluyen con condiciones, leyes y preceptos rápidamente recuperados por los balbuceos de las religiones, las sectas, y con el progreso las religiones.
La sexualidad humana se diferencia paulatinamente del simple instinto, para incluso llevarla al Sacramento donde se le despoja oficialmente de toda connotación inmoral siempre y cuando, la relación esté contemplada dentro de límites precisos.
La sexualidad es un argumento, muy potente, en el éxito literario, mentiría si niego, que en lo más profundo de mi conciencia no he acariciado la ilusión de escritor. Mentiría si omito decir que algunas amistades, al criticar mi nivel “sinceramente" (lo pienso de verdad) malo en gramática y ortografía. La sexualidad no lo olvido me ha motivado a redactar este capítulo. Sin embargo se trata de la visión de un menor de cinco o seis años.
Hay a cierta edad, una concepción infundada del sexo; a una edad en la que es imposible el acto tal cuso es necesario para que cumpla su fin biológico de preservación de la especie.
Sin embargo ya se tiene un conocimiento a cinco años del proceso de cunilingus, quizá más técnico y eficiente, que el practicado por muchos adultos.
Llega accesoria la pregunta, porque el cunilingus? Solo es suposición, responder que a falta de erección, por instinto se es imaginativo.
En los hechos; cada comienzo de tarde, cuando la madre recibía la visita de la sobrina de la vecina, venia acompañada de su hija, estas visitas de memoria no serían regulares, sin embargo, el “protocolo" siempre fue sistemático, detrás de la casa existía un terreno detalla idéntica al que ocupaba la construcción. Además ese terreno de memoria y por las facilidades de la composición, en particular para cama y paredes; estaba cultivado de maíz, del amarillo, de manera que improvisar una “suntuosa” choza con ese material fue cosa simple.
En lo que para el juego de “papá y mamá” figuraba como “casa" solo la cama tenía realmente importancia. En ese orden de ideas ante el sol de las tres de la tarde de la regio de Palmira en la zona más dulce de Colombia, lo que importa es la noche, que para la edad de cinco o seis años, pues, si, daba una vuelta del terreno de maíz y eso equivalía a un día. Confieso que la larga jornada la recorría lo más rápido que mis piernas lo permitían; porque lo más delicioso de ese juego para el niño, lo más sublime, maravilloso, siempre fue irse a la “cama" con aquella preciosa muñeca a la piel canela, desde luego, que algunas objeciones siempre fueron obstáculo, su pudor su tentación a quedarse la ropa, el niño argumentaba el fingido baño, para poder con un fingido estropajo, recorrer con la ternura más ingenua y romántica cada rincón de su cuerpo, sin encontrar rechazo excepto al llegar abajo del pubis.
Veinte años después, una ocasión decidí visitar a mi salvadora, (infinidad de veces esta piadosa vecina vino a suspender mi martirio deteniendo el látigo devla mano de mi progenitora) doña Omaira tía de la madre de aquella preciosa morena. Oh tremenda sorpresa, la misma muñeca pero esta vez en formato “mujer" se diría que hubiese visto un fantasma. Salió disparada de la cocina de doña Omaira, quien sorprendida, ignorando todo del estruendoso pasado común, dijo:
…”oí mira ve, deja que este joven te acompañe"…
No se escucho como respuesta, otra cosa que el ruido de ramas quebradas del cafetal que separaba las dos casas.
La influencia de las religiones aleja del acto instintivo salvaje al ser humano. Luego por factores diversos llega en 1905 creo en Francia una ley que impone la laicidad, ley que se traduce de manera lenta pero firme, como en otros países, en una progresión significativa de libertinaje atado por lógica a la reducción de preceptos de moral y ética.
El individuo sin guía de su conciencia, deja de diferenciarse del irracional, deja de comportarse en ser humano, en ciertas situaciones lo que deja surgir el lado salvaje. Que solo es reprimido hasta entonces por la normativa religiosa.
Podemos desde este momento del pensamiento, exonerarnos de normas, para escribir sobre la sexualidad? Queda en la consciencia una amplia gama de obstáculos, que funcionan como límites o censura automáticos.
Voluntariamente he seleccionado un título, agresivo, pero no deseo atraer con mentiras, he usado franqueza al considerar hechos estrictamente vinculados con el abuso sexual que surge como variante, no como estadística pero si como ultraje, si como atentado salvaje a la pudor. Puesto que cuando se hace público una agresión sexual sobre menores, ocho o nueve otros actos no son declarados, porque los menores niñas o niños están en una situado frágil dependiendo por completo del agresor.
El tema desde aquí se asume teniendo presente que son vivencias ficticias o figuradas, que no tienen nada que ver con la realidad.
En casa vivían tres hermanas, mi madre las guardaba para que la madre de ellas trabajara. La del medio dos años mayor que yo, desde su llegada siempre parecía en otro mundo, la mirada perdida, su gesticulación me dejaba comprender que sufría, los días pasaron, los meses y los años, hoy se que esta niña debió soportar algo demaciado traumatizante para terminar encerrada en si misma, por su nivel alto de timidez se puede deducir que alguien le había arrebatado su inocencia.
A la época no se sabía en los barrios obreros de temas de psiquiatría, así que a los dos años creo se fueron las niñas, sin que una sola vez yo hubiera escuchado su voz.
Por aquella época en la casa vecina vivía una gran familia no menos de cuatro chicas desde mi edad hasta una señorita. Solo recuerdo entonces haber disfrutado de cuatro o cinco navidades a lo sumo. Escuche hablar de la finca, y la idea de evitar las largas reprimendas en un costal colgado de una viga del bóvedo, me llevo a suplicar a mi madre, me dejara ir, un día mi sueño se hizo realidad. Al fin salía de mi casa! Fue esta la primera vez de mi vida que no dormiría en la noche en la misma cama de toda mi corta existencia. Por algunos días, estaría lejos de los castigos, en los que al bañarme podía contar los hematomas dejados por ese rejo tostado, en mi cuerpo. La primera parte del viaje transcurrió vertiginosamente, luego dejamos la ruta asfaltada por un camino escarpado, donde la constante fue subida y viraje. Ya el sol tenía grandes dificultades a darnos su claridad debido a las nubes de la cordillera, primero sus colores fueron una larga gama de amarillos que humillaban el azul cada vez más oscuro, rápidamente llegaron los naranjas al mismo tiempo que se acabó la carretera; en verdad solo podemos admitir que tenía más de camino de herradura, que carretera, una casa muy grande toda en tablas y por primera vez vi tejas de madera.
Hubo un intercambio de frases entre quien me llevaba y algunas voces, hubiera podido decir, la casa que habla, el intercambio fue amable, entre gente que se distingue desde mucho tiempo atrás. La verdad a lo lejos ya el sol nos había dejado, ni idea de por donde ir, la linterna parecía cansada y para no agravar su estado solo se prendía con intermitencia. Mi guía de fortuna avanzaba, yo trataba de seguirlo solo guiado por su respiración y el ruido de las piedras ajustando mi rumbo a cada vez que el rayo de luz lo permitía, de vez en cuando cruzando riachuelos, de aguas cristalinas y muy frías, no sabría dar una estimación de la distancia, esto era una verdadera aventura, mi nariz descubría escudriñaba ahí donde la vista no podía, infinidad de aromas absolutamente nuevos, así que mis oídos, recibían una sinfonía majestuosa de cantos de grillos y aves, hasta ese instante jamás imaginadas y la verdad en ningún instante senti miedo, que si sentía cada vez que mi madre por “a” o por “b” decidía colgarme en un costal para pegarme hasta que una vecina viniera a quitarle por la fuerza el rejo de las manos. Me sentía feliz lejos de casa. Así fuera en un camino frío con poca visibilidad ya que una niebla espesa se invito a acompañarnos, si expiraba por la boca se podría creer que expiraba el humo de cigarrillo. El follaje abundante pareciera transpirar gruesas gotas condensadas muy frías refrescando nuestro cansancio al punto que supongo que ese trayecto abajo en el valle al sol del medio día no sería posible.
El hecho es que llegamos a la finca, una casa cerrada, solo con una cabulla, es más el broche de la entrada fue fácil.de habrir y se camino pocos metros y ahí estaba la casa. Inútil de intentar escudriñar, el ruido del agua arrullaba nuestra conversación incluso toda la noche y el día. Me ofrecieron varios costales tres rayas y un trozo de cobija de lana quizás un resto de una ruana. Lo cierto es que me dormí en ese suelo de tablas, con algunas rendijas, al igual que en las paredes, o lo que hacía el papel de puerta, rendijas, por donde hasta podría pasar un dedo, rendijas que al paso del viento parecían quejarse con migo del frío. No hablo de las pulgas, ah! Las muy descaradas se dieron gusto con migo!
Al día siguiente luego de un chocolate con queso y maduro asado nos pusimos botas de caucho, las que me quedaron mejores me hacían ver como el gato con botas, no se veía nada a cinco metros, por primera vez en la mañana caminé en un potrero, y que potrero! Yo acostumbrado al valle, lo plano, eso era la ladera la falda de una loma no creo exagerar si afirmó que el a ángulo con el horizonte, que jamás pude ver entre niebla y nubes, ese ángulo podía alcanzar en promedio cuarenta y cinco grados, el silbaba de manera especial “llamando las vacas”, se me explicaba que al día siguiente sería mi trabajo traer las vacas para ordeñar. Eran tres o cuatro, por la niebla no sabía solo, un momento dado, por la manera de resoplar se sabía que no estaban lejos,
Al volver a la casa, no podría decir cuando, pues la niebla no dejaba saber dónde se encontraba el sol. Lo cierto es que se ordeñaron las vacas, se hacía queso, y se comía muy bien al segundo día llegaron con la señora un hijo y una hija. La alimentación se mejoró ostensiblemente, ya la actividad de traer las vacas se hizo rutina, y unas veces caminando otras gateando, al final siempre terminaba trayendolas para ordeñar, se me ofrecía un vaso grande de leche recién ordeñada para recalentarme, el baño solo fue posible después de las dos de la tarde, pocas veces calentado por escasos rayos de sol entonces comprendi la razón de la piel tan blanca de esas muchachas tan lindas.
Nos bañamos en aquel lavadero con agua muy fría y esta muchacha de unos cinco o seis años mayor, tomaba el papel de mi madre restregando mi cuerpo que entraba en espasmos que no se si eran por el frío o por aquel sentimiento de culpabilidad al estar siendo frotado por una mujer que por causa de su ropa mojada, dejaba notar toda su intimidad debajo en un transparente casi absoluto. Jamás hubiera intentado nada que estropeara este momento de hechizo cada día.
Para la GLORIA!
NO LEAS ESTO!
Lunes 8 de febrero 2021, con gran cariño a una de las GLORIAS de mis amistades... solo es una ficción corta que se leerá si dispones de unos largos cinco minutos, formato corto.
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Supongo que la vida es una sucesión de etapas o de momentos como lo comprendemos a través de tanto comentario de tanto escrito de tanta literatura, Podríamos preguntarnos si cada etapa que vivimos deberíamos aprovecharla al máximo?
Siendo ésta una pregunta cerrada solo podemos hacer dos respuestas.
Si respondemos “no” pienso que la vida no tendría sentido.
Si por el contrario respondemos “sí” esto no significa que debamos correr detrás de todos los hechos, iniciativas, tentaciones, que se nos ofrezca en la existencia.
Sin saber por qué razón se me ha incluido en algunos grupos, entre ellos hay varios de literatura otros de culturas diversas (desde 2006, deje la vida contemplativa del romance ingenuo para interesarme en la economía política, pero en 2019, al regresar a mi patria), comprendí que nunca he realmente prestado interés a la ortografía, lo que en una lengua es femenino en otra es masculino, una "o" en una lengua es tres en otra como château y castillo o castle… terrible.
Todo comienza en el año 2002, cuando, en el apogeo de YAHOO, y por nostalgia de mi lengua materna, pasaba horas, inicialmente acostado cada que el tiempo lo permitía, escuchando hispsnofonos leer poesía y obras de grandes y menos grandes, escritores.
Siempre hubo, en las famosas salas llamadas “CHAT" retos, que hoy persisten, muy tímido acepté muy pocas, contadas ocasiones, guardé contacto con aquella generación. La mayoría educadores de Chile y Argentina, ahí incluso encontraria, dos novias virtuales, la segunda LuzMarinaV38, de Puerto Rico, de quien me enamoré por dos cosas, la primera, su alto nivel en literatura, (años después me confesó, ya en intimidad, que era juez en una ciudad importante, de ese “Edén".
Primero aprendi que tocaba muy bien el cuatro (pequeña guitarra) que participaba en las fiestas del bordado, luego si me confesó que era madre y cada año me enviaba fotos de vacaciones, hasta el día que me declaro el ultimátum, me dio un corto periodo, para que tomara mis pinceles y me fuera a vivir con ella en Puerto Rico.
Segundo aprendi que no se trataba del prototipo de mujer caribe de piel canala, fueron muchas las horas de indagatoria, discreta, a la que me sometía sin siquiera darme cuenta; en las que ella comprendió que yo la veía morena, por lo cual no acepto, vídeo conferencia, que un año y medio después, luego de confesarme, con mucho coraje de su parte que era una mujer blanca, de 66 kilos, de un metro y ochenta y un centímetros, de tipo europeo. Me dijo que la podía olvidar por haber escondido ese secreto tanto tiempo, pero ya la relación VIRTUAL estaba muy arraigada.
Debo reconocer que en mi interior, existió durante, muchos años, un sentimiento de frustración; quizá en mi subconsciente sobreviva?
La verdad es que en un cetro de formación para adultos. Logré satisfacer mi deseo de enseñar, fue español y artes plásticas. La frustración podría haber desaparecido, cuando además se mi invito a participar en cursos de pintura, donde, la verdad, aprendí más que enseñar. Es más siempre he aprendido más. Cuando se supone que enseñé
En estos grupos se discute sobre muchas cosas sobre todo y nada, pero se nos invita a escribir cosas cortas y he descubierto que yo no sé escribir ni en francés ni en inglés ni en español. En el grupo de la Universidad donde me incluyeron muy amablemente a pesar de no haber adquirido el grado de licenciado en español y comunicación, a veces transfiero parte de lo que escribo fundamentalmente para otros grupos. Una vez más se trata de ficción, se trata de ensayos, se trata de textos cortos y no deseo importunar a ninguna persona de ningún grupo, entonces a partir de ahora en el grupo de la U, trataré de dejar solo un enlace o de todas formas, sabrán que es como un meme de bromas, incluso menos invasivo desde todo punto de vista, vosotras vosotros que trabajáis, no es necesario que lo tengáis en cuenta, es más la función borrar es muy práctica! 98% de lo que recibo lo borro y confieso que esto se debe a que superviso mi memoria.
Esto significará que la persona que quiera podrá leer, la que no pues simplemente, hace caso omiso de mis intervenciones; es posible que por mi comportamiento los administradores decidan excluirme y de esta manera evitar que yo intervenga en el grupo es una solucion muy fácil y evidente.
Lunes 8 de febrero 2021, con gran cariño a una de las GLORIAS de mis amistades... solo es una ficción corta que se leerá si dispones de unos largos cinco minutos, formato corto.
Por Nestor Elias Ramirez Jimenez
Supongo que la vida es una sucesión de etapas o de momentos como lo comprendemos a través de tanto comentario de tanto escrito de tanta literatura, Podríamos preguntarnos si cada etapa que vivimos deberíamos aprovecharla al máximo?
Siendo ésta una pregunta cerrada solo podemos hacer dos respuestas.
Si respondemos “no” pienso que la vida no tendría sentido.
Si por el contrario respondemos “sí” esto no significa que debamos correr detrás de todos los hechos, iniciativas, tentaciones, que se nos ofrezca en la existencia.
Sin saber por qué razón se me ha incluido en algunos grupos, entre ellos hay varios de literatura otros de culturas diversas (desde 2006, deje la vida contemplativa del romance ingenuo para interesarme en la economía política, pero en 2019, al regresar a mi patria), comprendí que nunca he realmente prestado interés a la ortografía, lo que en una lengua es femenino en otra es masculino, una "o" en una lengua es tres en otra como château y castillo o castle… terrible.
Todo comienza en el año 2002, cuando, en el apogeo de YAHOO, y por nostalgia de mi lengua materna, pasaba horas, inicialmente acostado cada que el tiempo lo permitía, escuchando hispsnofonos leer poesía y obras de grandes y menos grandes, escritores.
Siempre hubo, en las famosas salas llamadas “CHAT" retos, que hoy persisten, muy tímido acepté muy pocas, contadas ocasiones, guardé contacto con aquella generación. La mayoría educadores de Chile y Argentina, ahí incluso encontraria, dos novias virtuales, la segunda LuzMarinaV38, de Puerto Rico, de quien me enamoré por dos cosas, la primera, su alto nivel en literatura, (años después me confesó, ya en intimidad, que era juez en una ciudad importante, de ese “Edén".
Primero aprendi que tocaba muy bien el cuatro (pequeña guitarra) que participaba en las fiestas del bordado, luego si me confesó que era madre y cada año me enviaba fotos de vacaciones, hasta el día que me declaro el ultimátum, me dio un corto periodo, para que tomara mis pinceles y me fuera a vivir con ella en Puerto Rico.
Segundo aprendi que no se trataba del prototipo de mujer caribe de piel canala, fueron muchas las horas de indagatoria, discreta, a la que me sometía sin siquiera darme cuenta; en las que ella comprendió que yo la veía morena, por lo cual no acepto, vídeo conferencia, que un año y medio después, luego de confesarme, con mucho coraje de su parte que era una mujer blanca, de 66 kilos, de un metro y ochenta y un centímetros, de tipo europeo. Me dijo que la podía olvidar por haber escondido ese secreto tanto tiempo, pero ya la relación VIRTUAL estaba muy arraigada.
Debo reconocer que en mi interior, existió durante, muchos años, un sentimiento de frustración; quizá en mi subconsciente sobreviva?
La verdad es que en un cetro de formación para adultos. Logré satisfacer mi deseo de enseñar, fue español y artes plásticas. La frustración podría haber desaparecido, cuando además se mi invito a participar en cursos de pintura, donde, la verdad, aprendí más que enseñar. Es más siempre he aprendido más. Cuando se supone que enseñé
En estos grupos se discute sobre muchas cosas sobre todo y nada, pero se nos invita a escribir cosas cortas y he descubierto que yo no sé escribir ni en francés ni en inglés ni en español. En el grupo de la Universidad donde me incluyeron muy amablemente a pesar de no haber adquirido el grado de licenciado en español y comunicación, a veces transfiero parte de lo que escribo fundamentalmente para otros grupos. Una vez más se trata de ficción, se trata de ensayos, se trata de textos cortos y no deseo importunar a ninguna persona de ningún grupo, entonces a partir de ahora en el grupo de la U, trataré de dejar solo un enlace o de todas formas, sabrán que es como un meme de bromas, incluso menos invasivo desde todo punto de vista, vosotras vosotros que trabajáis, no es necesario que lo tengáis en cuenta, es más la función borrar es muy práctica! 98% de lo que recibo lo borro y confieso que esto se debe a que superviso mi memoria.
Esto significará que la persona que quiera podrá leer, la que no pues simplemente, hace caso omiso de mis intervenciones; es posible que por mi comportamiento los administradores decidan excluirme y de esta manera evitar que yo intervenga en el grupo es una solucion muy fácil y evidente.
Amores prohibidos de un fantasma.
Amores prohibidos de un fantasma
Autor : Anonimo
Dedicado a aquellas almas piadosas que me incitaron a leer y escribir para mejorar mi uso del español, abandonado por treinta años de vida en Francia. Pensamiento muy sentido para Alcedo, para las GLORIAS, la de Balboa que parece ser de la Virginia, de quien admiro mucho (en aquella época una joven chica, la más dinámica de la clase en cuanto a moda, hoy la más estilizada supongo, no es un piropo, es una constatación si bien personal, soportada en su soltura e independencia al expresarse) sobre todo su manera de coger el volante y la palanca, de cambios claro "vean este pirobo, yo no creía que me desnudaba pues en clase, no que asco de tipo, ordinario, a más no poder" serian sus palabras). Atención según una de las Glorias el exceso es perjudicial para la salud; la prueba, les escribe el fantasma de un estudiante que falleció por sobre dosis de lectura, cuando en los fines de semana se debían hacer resúmenes de 300 o 500 páginas fotocopiadas.
Hasta hace quince o veinte años, obscultar en detalle el pensamiento humano, solo fue objeto de discursos estrafalarios o de ciencia ficción.
Hoy con el aporte fundamental de la miniaturización y control por computador de ondas magnéticas, cosa que usted o yo leemos con asombro en la literatura moderna si tomamos uno o dos libros de algunos destacados neurólogos, contamos que la neurología ha progresado en veinte años más que en dos o tres siglos.
confieso que se me olvidó el nombre de algunos, de los que he tratado de recuperar información ; Pues ya habréis comprendido que, para retardar la vejez, practico la lectura y la escritura, como podéis igual ver, y por ello os presento mis excusas más sentidas y sinceras. Trato de escribir con una avidez excepcional en estos últimos días.
Es durante mi tiempo libre que leo, y ocurrió que preparando una tarea para mis profesores de lingüística de la sucursal de la Javeriana en Cali Colombia, que descubrí al profesor Boris Cyrulnik, quien por sus opúsculos me dejó muy agradablemente sorprendido.
He Aquí sin embargo una gran cantidad de cuestiones en cuanto a la ética y la moral, puesto que los nuevos procesos invasivos de máquinas especiales para leer la actividad cerebral, permiten con la ayuda del algoritmos determinar detalles muy precisos del pensamiento humano.
Desde este instante cuando se desea saber lo que piensa una persona, si ésta se somete voluntariamente a la intervención sobre una máquina moderna, Con una precisión de milésimas de milímetro podemos saber si piensa una frase positiva negativa si trata de mentir en una respuesta y de la manera más sencilla se puede deducir sus tendencias sus habitudes y sus intenciones.
En un mundo de ficción supongamos que una persona sin darse cuenta, es sometida a una máquina moderna para analizar su pensamiento ; pues en este instante podemos saber lo que la persona piensa de una dama que pasa al lado, Con una maquina de estas podemos saber lo que se piensa por cada una de las personas que atraviesa nuestro campo visual. Entremos pues en este universo tan fascinante de la realidad de hoy y de mañana.
En el año 2037 comienzan a instalarse las primeras máquinas en Tokio, estos equipos tienen como objetivo controlar la población en los principales ejes de circulación peatonal de la ciudad.
Entre los algoritmos que se le inyectan a la máquina se utilizan palabras o frases claves, toda intención de acto delictivo, toda intención de agresión de cualquier índole, Es transmitida a una central donde se coordina la seguridad municipal, el individuo es inmediatamente identificado por las cámaras en las estaciones de metro (transporte urbano masivo) todos los servicios de policía son informados inmediatamente para que procedan a la encarcelación del sujeto con pruebas irrefutables ante un juez.
Otras utilizaciones comprobadas en el año 2043 son las que están en relación con la infidelidad. Algunas esposas con capacidades financieras suficientes, comienzan a adquirir aparatos de talla equivalente a la que hoy es un computador portable. Algunos laboratorios han logrado minimizar los componentes haciendolos muy discretos para incrustarlos en cascos de audio, la condición sinecuanun para resultados válidos del equipo siendo, que los captores de frecuencia y tensión cerebral se encuentren diametralmente opuestos, la zona de las orejas definida el sector óptimo.
Desde allí las esposas desconfiadas comienzan a analizar el esposo de manera regular durante el tiempo que el use los audífonos o durante el sueño para recuperar la información de sus actividades cotidianas.
Desde aquí con un sistema muy simple basado en algoritmos se puede recuperar a partir del cerebro los contactos los números de teléfono y específicamente aquellos que corresponden a conversaciones de connotación particular relacionados con la infidelidad. Hay solo un sector en el cerebro que guarda aquello que asimilamos al pecado, la infracción y actos contra la moral y la ética.
… « Qué hombre tan descarado pero no está mal »…
Dice una señora de unos 35 a 40 años, un metro con sesenta y seis, de unos setenta kilos, de una figura realmente bien esbelta si consideramos que tiene dos hijos, luego de haber caminado media cuadra al salir de su apartamento rumbo al supermercado ; un vehículo blanco reduce la velocidad, El vidrio del pasajero se baja y el conductor lanza un piropo. Esta es una de las características típicas de algunos hombres en América Latina. La señora continúa su camino pero sigue meditando en la persona y recuerda que vive en el mismo edificio.
… « Ya sé lo que haré en estos días trataré de ir a hacer amistad con la mujer de él »…
Piensa Esta dama esposa y madre que considera interesante conocer más de este hombre que de una manera u otra viene de lanzarle un halago. Es verdad que su esposo hace muchos años yá no le lanza piropos, es verdad igual que este hombre es mucho más atlético puesto que todos los domingos temprano sale a hacer jogging matinal sin falta, y es verdad que si lo hace tan temprano los domingos esto significa que los sábados por la noche es alguien que se acuesta temprano. Finalmente se trata de alguien mucho más deportivo que el esposo pues sube y baja las escaleras siempre en una carrera lo que significa que en realidad tiene mucho mejor estado físico que el esposo que dominado por el placer de la comida, ya parece más un trompo.
Días más tarde el hombre en cuestión entra a su casa luego de una jornada de trabajo y es sorprendido por la presencia de esa mujer qué es en realidad sólo la segunda vez que la ve. Desde luego comienza aquí una amistad curiosa, las dos parejas se visitan durante varios meses, los diálogos son entre las mujeres por un lado y entre los hombres por el otro, entre los hombres se sientan al lado de la computadora y discuten sobre los tipos de tarjetas gráficas la capacidad de memoria la capacidad del procesador la calidad de la pantalla los ratones las carta de sonido, en general las conversaciones se hacen cada vez más amenas entre los dos hombres ; poco a poco se hacen amigos.
Esta relación hace que el hombre voluntariamente desaloje de su memoria toda idea de enamorar la esposa de su gran amigo. Tal vez diez y ocho meses pasan hasta un sábado en la mañana la señora en cuestión llega a pedirle prestado su marido a la vecina.
La discusión es muy corta en el umbral de la puerta, puesto que supuestamente un armario lleno está para caerse.
El hombre en cuestión estaba en pantaloneta sentado en un sofá leyendo, la insistencia es tal que su esposa le dice de ir rápido para evitar un accidente ; el hombre sigue la vecina sin pensar en nada obsceno sin embargo esta llevaba sobre sí solamente una pijama en franela y realmente debajo no había ninguna otra prenda, esto fue tangible únicamente al entrar al apartamento en el cual la vecina en realidad se encontraba sola, sí no fue posible antes es porque la luz del corredor se había pagado al momento en que las vecinas hablaron en la puerta de la escalera. Mientras que al entrar en el apartamento el contraste de la luz de la vventana de la cocina deja ver por la transparencia al interior de la camisa de dormir no había ninguns otra prenda.
La vecina toma su « futuro » amante de la mano y lo lleva a la alcoba, mientras caminaban el vecino comienza a sentir una relativa excitación puesto que ella le llevó la mano a su cintura mientras continúa caminando delante, no podía dejar de sentirse atraído por el gesto, al llegar a la alcoba la vecina le dijo señalando con su índice derecho, mientras serrana sospechosamente con su mano izquierda la cadera del hombre, que mirara la pata de la armario que era la que se había quebrado, el hombre al acostarse en el suelo para mirar la pata se dio cuenta que no había ninguna pata quebrada simplemente no se percató que al acostarse en el suelo la vecina levantó su pie izquierdo para quedarse de pie y dejarlo al medio de sus piernas, esta situación embarazosa sí transformó en un momento muy exitante para el hombre puesto que encima de él se encontraba aquella mujer que meses antes había encontrado hermosa a la cual le había lanzado un piropo. Fue entonces cuando su vecina comenzó a descender arrodillarse dejando el peso de su cuerpo sobre el de este hombre, su presa, la inquietud fue que alguien pudiera venir.
… « Si llega alguien en este momento yo estaré muerto »....
Dice el hombre
…« Pero no se preocupe porque mi marido está trabajando y mis hijos están pasando el fin de semana donde la abuela »…
Responde ella mientras pasa sobre sus hombros su camisa de noche.
…« Pero mi esposa podría subir »…
Insiste el hombre
…« Tranquilo no se preocupe no nos vamos a demorar una eternidad »…
Ella, le tapó la boca con un beso, intenso casi como de fuego… (texto censurado ;-)
Fue una situación muy curiosa pero qué causó satisfacción mutua y dio origen a una aventura muy peligrosa pero muy apasionada…
Autor : Anonimo
Dedicado a aquellas almas piadosas que me incitaron a leer y escribir para mejorar mi uso del español, abandonado por treinta años de vida en Francia. Pensamiento muy sentido para Alcedo, para las GLORIAS, la de Balboa que parece ser de la Virginia, de quien admiro mucho (en aquella época una joven chica, la más dinámica de la clase en cuanto a moda, hoy la más estilizada supongo, no es un piropo, es una constatación si bien personal, soportada en su soltura e independencia al expresarse) sobre todo su manera de coger el volante y la palanca, de cambios claro "vean este pirobo, yo no creía que me desnudaba pues en clase, no que asco de tipo, ordinario, a más no poder" serian sus palabras). Atención según una de las Glorias el exceso es perjudicial para la salud; la prueba, les escribe el fantasma de un estudiante que falleció por sobre dosis de lectura, cuando en los fines de semana se debían hacer resúmenes de 300 o 500 páginas fotocopiadas.
Hasta hace quince o veinte años, obscultar en detalle el pensamiento humano, solo fue objeto de discursos estrafalarios o de ciencia ficción.
Hoy con el aporte fundamental de la miniaturización y control por computador de ondas magnéticas, cosa que usted o yo leemos con asombro en la literatura moderna si tomamos uno o dos libros de algunos destacados neurólogos, contamos que la neurología ha progresado en veinte años más que en dos o tres siglos.
confieso que se me olvidó el nombre de algunos, de los que he tratado de recuperar información ; Pues ya habréis comprendido que, para retardar la vejez, practico la lectura y la escritura, como podéis igual ver, y por ello os presento mis excusas más sentidas y sinceras. Trato de escribir con una avidez excepcional en estos últimos días.
Es durante mi tiempo libre que leo, y ocurrió que preparando una tarea para mis profesores de lingüística de la sucursal de la Javeriana en Cali Colombia, que descubrí al profesor Boris Cyrulnik, quien por sus opúsculos me dejó muy agradablemente sorprendido.
He Aquí sin embargo una gran cantidad de cuestiones en cuanto a la ética y la moral, puesto que los nuevos procesos invasivos de máquinas especiales para leer la actividad cerebral, permiten con la ayuda del algoritmos determinar detalles muy precisos del pensamiento humano.
Desde este instante cuando se desea saber lo que piensa una persona, si ésta se somete voluntariamente a la intervención sobre una máquina moderna, Con una precisión de milésimas de milímetro podemos saber si piensa una frase positiva negativa si trata de mentir en una respuesta y de la manera más sencilla se puede deducir sus tendencias sus habitudes y sus intenciones.
En un mundo de ficción supongamos que una persona sin darse cuenta, es sometida a una máquina moderna para analizar su pensamiento ; pues en este instante podemos saber lo que la persona piensa de una dama que pasa al lado, Con una maquina de estas podemos saber lo que se piensa por cada una de las personas que atraviesa nuestro campo visual. Entremos pues en este universo tan fascinante de la realidad de hoy y de mañana.
En el año 2037 comienzan a instalarse las primeras máquinas en Tokio, estos equipos tienen como objetivo controlar la población en los principales ejes de circulación peatonal de la ciudad.
Entre los algoritmos que se le inyectan a la máquina se utilizan palabras o frases claves, toda intención de acto delictivo, toda intención de agresión de cualquier índole, Es transmitida a una central donde se coordina la seguridad municipal, el individuo es inmediatamente identificado por las cámaras en las estaciones de metro (transporte urbano masivo) todos los servicios de policía son informados inmediatamente para que procedan a la encarcelación del sujeto con pruebas irrefutables ante un juez.
Otras utilizaciones comprobadas en el año 2043 son las que están en relación con la infidelidad. Algunas esposas con capacidades financieras suficientes, comienzan a adquirir aparatos de talla equivalente a la que hoy es un computador portable. Algunos laboratorios han logrado minimizar los componentes haciendolos muy discretos para incrustarlos en cascos de audio, la condición sinecuanun para resultados válidos del equipo siendo, que los captores de frecuencia y tensión cerebral se encuentren diametralmente opuestos, la zona de las orejas definida el sector óptimo.
Desde allí las esposas desconfiadas comienzan a analizar el esposo de manera regular durante el tiempo que el use los audífonos o durante el sueño para recuperar la información de sus actividades cotidianas.
Desde aquí con un sistema muy simple basado en algoritmos se puede recuperar a partir del cerebro los contactos los números de teléfono y específicamente aquellos que corresponden a conversaciones de connotación particular relacionados con la infidelidad. Hay solo un sector en el cerebro que guarda aquello que asimilamos al pecado, la infracción y actos contra la moral y la ética.
… « Qué hombre tan descarado pero no está mal »…
Dice una señora de unos 35 a 40 años, un metro con sesenta y seis, de unos setenta kilos, de una figura realmente bien esbelta si consideramos que tiene dos hijos, luego de haber caminado media cuadra al salir de su apartamento rumbo al supermercado ; un vehículo blanco reduce la velocidad, El vidrio del pasajero se baja y el conductor lanza un piropo. Esta es una de las características típicas de algunos hombres en América Latina. La señora continúa su camino pero sigue meditando en la persona y recuerda que vive en el mismo edificio.
… « Ya sé lo que haré en estos días trataré de ir a hacer amistad con la mujer de él »…
Piensa Esta dama esposa y madre que considera interesante conocer más de este hombre que de una manera u otra viene de lanzarle un halago. Es verdad que su esposo hace muchos años yá no le lanza piropos, es verdad igual que este hombre es mucho más atlético puesto que todos los domingos temprano sale a hacer jogging matinal sin falta, y es verdad que si lo hace tan temprano los domingos esto significa que los sábados por la noche es alguien que se acuesta temprano. Finalmente se trata de alguien mucho más deportivo que el esposo pues sube y baja las escaleras siempre en una carrera lo que significa que en realidad tiene mucho mejor estado físico que el esposo que dominado por el placer de la comida, ya parece más un trompo.
Días más tarde el hombre en cuestión entra a su casa luego de una jornada de trabajo y es sorprendido por la presencia de esa mujer qué es en realidad sólo la segunda vez que la ve. Desde luego comienza aquí una amistad curiosa, las dos parejas se visitan durante varios meses, los diálogos son entre las mujeres por un lado y entre los hombres por el otro, entre los hombres se sientan al lado de la computadora y discuten sobre los tipos de tarjetas gráficas la capacidad de memoria la capacidad del procesador la calidad de la pantalla los ratones las carta de sonido, en general las conversaciones se hacen cada vez más amenas entre los dos hombres ; poco a poco se hacen amigos.
Esta relación hace que el hombre voluntariamente desaloje de su memoria toda idea de enamorar la esposa de su gran amigo. Tal vez diez y ocho meses pasan hasta un sábado en la mañana la señora en cuestión llega a pedirle prestado su marido a la vecina.
La discusión es muy corta en el umbral de la puerta, puesto que supuestamente un armario lleno está para caerse.
El hombre en cuestión estaba en pantaloneta sentado en un sofá leyendo, la insistencia es tal que su esposa le dice de ir rápido para evitar un accidente ; el hombre sigue la vecina sin pensar en nada obsceno sin embargo esta llevaba sobre sí solamente una pijama en franela y realmente debajo no había ninguna otra prenda, esto fue tangible únicamente al entrar al apartamento en el cual la vecina en realidad se encontraba sola, sí no fue posible antes es porque la luz del corredor se había pagado al momento en que las vecinas hablaron en la puerta de la escalera. Mientras que al entrar en el apartamento el contraste de la luz de la vventana de la cocina deja ver por la transparencia al interior de la camisa de dormir no había ninguns otra prenda.
La vecina toma su « futuro » amante de la mano y lo lleva a la alcoba, mientras caminaban el vecino comienza a sentir una relativa excitación puesto que ella le llevó la mano a su cintura mientras continúa caminando delante, no podía dejar de sentirse atraído por el gesto, al llegar a la alcoba la vecina le dijo señalando con su índice derecho, mientras serrana sospechosamente con su mano izquierda la cadera del hombre, que mirara la pata de la armario que era la que se había quebrado, el hombre al acostarse en el suelo para mirar la pata se dio cuenta que no había ninguna pata quebrada simplemente no se percató que al acostarse en el suelo la vecina levantó su pie izquierdo para quedarse de pie y dejarlo al medio de sus piernas, esta situación embarazosa sí transformó en un momento muy exitante para el hombre puesto que encima de él se encontraba aquella mujer que meses antes había encontrado hermosa a la cual le había lanzado un piropo. Fue entonces cuando su vecina comenzó a descender arrodillarse dejando el peso de su cuerpo sobre el de este hombre, su presa, la inquietud fue que alguien pudiera venir.
… « Si llega alguien en este momento yo estaré muerto »....
Dice el hombre
…« Pero no se preocupe porque mi marido está trabajando y mis hijos están pasando el fin de semana donde la abuela »…
Responde ella mientras pasa sobre sus hombros su camisa de noche.
…« Pero mi esposa podría subir »…
Insiste el hombre
…« Tranquilo no se preocupe no nos vamos a demorar una eternidad »…
Ella, le tapó la boca con un beso, intenso casi como de fuego… (texto censurado ;-)
Fue una situación muy curiosa pero qué causó satisfacción mutua y dio origen a una aventura muy peligrosa pero muy apasionada…
Última edición por Admin el Miér 10 Feb - 1:04, editado 2 veces
En auto-stop pour Paris
En auto-stop pour Paris
Auteur : Anonyme
9 février 2021
Alors que la sœur vivez à Paris, presque toutes les vendredis au soir ou les samedis au matin un jeune de 28 ans, faisait l’auto-stop pour aller visiter le week-end Paris.
C’est ainsi que dans une de ces occasions un monsieur les chevaux gris s'arrêta pour le conduire. De suite certain gestes ont permis au monsieur déterminer le caractère d'immigrés du passagers.
S’instaure alors un dialogue plutôt gentil, bon enfant dans lequel très vite il arrive une proposition plutôt intéressante pour un immigré d'origine colombien, qu’à juger pour l’écart vestimentaire vivez dans le besoin.
… « Nous irons à la maison je vous présente mon épouse et nous allons vous commander une toile »… dit le conducteur au volant d’une elegante voiture allemande de grosee cylindrée.
De suite dans la conversation est entré le sujet du vin de la gastronomie et des différences entre la cuisine colombienne et la cuisine française.
On ne pouvait pas mentir. Dans la cuisine colombienne dans chaque région il y a un plat typique lequel est mise a table tout au long de l’année.
… « Celà doit être barbant de manger la même chose toute l’année »… dit le monsieur.
… «À vrai dire on mange pas exactement la même chose tous les jours mais les plats sont variés pas plus que quatre fois au long de la semaine »… dit l'immigrant.
… «Nous en France on a l'embarras du choix dans chaque région déjà il y a plusieurs plats puis nous avons justement une richesse dans la gastronomie qui proviennent de notre caractère cosmopolite »… rétorque monsieur
… « Oui je constate, puisque j’habite avec des turcs, je constate aussi que j’habite et travail avec des yougoslaves, des togolais des ghanéens, des tunisiens, des marocains, des chiliens »… réponds le petit colombien.
… »En effet la présence des gens de plusieurs pays du monde sur notre territoire, est une grande richesse »… réagit le francais.
Puis une notice, sonne à la radio sur France Info, nous avons fait silence pendant le bulletin qui par l'aspect du vissage du monsieur avait l'air très important.
… « Et vous avait de la famille en France »… dit le monsieur enchaînant.
… « J’habite avec une cousine et ma sœur »… répond l’immigrant.
… « Et votre cousine et votre sœur elles sont où »… demande monsieur.
… «Justement je vais en auto-stop les visiter et rester avec elles pour le week-end»…dit le petit colombien.
… «Et vous travaillez où Actuellement »… demande monsieur. … « Je travaille au service prototype d’une société du groupe Vallorec à Joigny»… réponds l’immigré.
… «Et que faites-vous dans cette société »… rétorque monsieur.
… «On produit des collecteurs d’admission et d’échappement pour l’industrie automobile française et étrangère »… dit le petit bonhomme.
… »Bah dis donc c’est très intéressant et qu'est-ce que vous avez comme formation »…d'une voix intéressée demande le monsieur, pendant qui tente de relâcher le noue de cravate.
… «C’est-à-dire que à la base j’ai une formation de métallurgistes en Colombie »... répond aussitôt le frêle jeune qui commence à en fin retrouver une température corporelle améliorée par le chauffage de la voiture après avoir supporté le froid blanc des neiges d'hiver.
… « Très intéressant donc ; votre travail semble aussi être très intéressant »… dit le français en ouvrant de sa main droite un paquet de cigarettes et offrant. L’immigré refuse d’un geste, et le paquet est rangé.
… « Au fait je travaille sous les ordres de monsieur Daniel Huret et de monsieur Rosalie »… ajoute le petit colombien.
C'était ce genre de dialogue qui a maintenu les deux personnes actives pendant le trajets entre Joigny et Paris. Pour arriver non loin de la place de l'étoile à une belle maison plutôt ce qu’on appelle un hôtel particulier.
Une grande porte métallique en grille est ouverte automatiquement, puis une autre porte en bois massif est ouverte aussi postérieurement pour entrer dans un grand jardin en le traversant pour arriver au fond dans un garage où il y avait d'autres voitures aussi grandes que celles-ci, puis à côté une Renault 4 GTL couleur grise clair en parfait état. Nous étions en hiver donc nous avons gravi une escalier pour arriver au 1e étage et marcher par l’intérieur jusqu à un grand salon ; la on m'a ordonné de m’m’assoir puis quelques instants plus tard est arrivé une dame avec une tasse de thé, j'ai accepté et on m'a versé du lait dans le thé et on m’a donnez un petit gâteau salé. J’ai attendu quelques minutes puis est rentrée une dame à peu près 50 ans très élégante avec une silhouette d'une fille de 25 ans.
… »Mon mari est parti mais m'a conseillé de vous commander un portrait »…
… « Voulez vous me dire si vous êtes d’accord d’échanger comment mon mari vous a promis un portrait pour la 4L »… dit d’une voix très posée la dame.
… « Oui Madame je pense que c'est possible mais comment ça se fait que vous me faites confiance sans me connaître »… dit d'une prononciation plutôt maladroite le modeste visiteur.
… « Vous savez monsieur mon mari et moi on se trompent très peu sur les personnes. Dites-moi si vous avez besoin d’argent pour les matériau et dites-moi si vous êtes d’accord que la toile aille un mètre de large pour 2 mètres de haut »… précise madame en même temps, qu'elle se assoit et prend la tasse de thé que la femme du service le lui dépose sur la table du milieu.
… « Bien entendu Madame »… dit l’invité
… « Je vous fais un chèque de suite pour le matériau et vous me dites quand vous voulez commencer »… dit la dame.
… « Excusez-moi Madame je serai plutôt embarrassé pour les transports de matériaux parce que j’habite à Joigny »… dit lui
… « Mais ne vous inquiète pas vois viendrait travailler ici ; c’est possible les samedis et les dimanches ? Ne c’est pas ? Parce que mon mari m’a dit que vous travaillez en semaine à Joigny »... madame et bois une lente gorgée de sa tasse.
… « Excusez-moi Madame mais je ne souhaite pas trop de vous déranger »… l'invite
… « Mais ne vous excusez pas ce n’est pas grave dans cette maison il y a de la place pour vous et si vous voulez venir plutôt le vendredi on travaillera plus et vous n'avez pas besoin d’emmener rien d'autre, ici il y a où dormir et vous mangerez avec nous »… dit la dame en même temps qu’elle se levée.
Ça a été au bout d un an de vivre en France ma première commande d’un portrait échangé contre une voiture Renault 4GTL qui était avec uniquement 3247 kilomètres.
Auteur : Anonyme
9 février 2021
Alors que la sœur vivez à Paris, presque toutes les vendredis au soir ou les samedis au matin un jeune de 28 ans, faisait l’auto-stop pour aller visiter le week-end Paris.
C’est ainsi que dans une de ces occasions un monsieur les chevaux gris s'arrêta pour le conduire. De suite certain gestes ont permis au monsieur déterminer le caractère d'immigrés du passagers.
S’instaure alors un dialogue plutôt gentil, bon enfant dans lequel très vite il arrive une proposition plutôt intéressante pour un immigré d'origine colombien, qu’à juger pour l’écart vestimentaire vivez dans le besoin.
… « Nous irons à la maison je vous présente mon épouse et nous allons vous commander une toile »… dit le conducteur au volant d’une elegante voiture allemande de grosee cylindrée.
De suite dans la conversation est entré le sujet du vin de la gastronomie et des différences entre la cuisine colombienne et la cuisine française.
On ne pouvait pas mentir. Dans la cuisine colombienne dans chaque région il y a un plat typique lequel est mise a table tout au long de l’année.
… « Celà doit être barbant de manger la même chose toute l’année »… dit le monsieur.
… «À vrai dire on mange pas exactement la même chose tous les jours mais les plats sont variés pas plus que quatre fois au long de la semaine »… dit l'immigrant.
… «Nous en France on a l'embarras du choix dans chaque région déjà il y a plusieurs plats puis nous avons justement une richesse dans la gastronomie qui proviennent de notre caractère cosmopolite »… rétorque monsieur
… « Oui je constate, puisque j’habite avec des turcs, je constate aussi que j’habite et travail avec des yougoslaves, des togolais des ghanéens, des tunisiens, des marocains, des chiliens »… réponds le petit colombien.
… »En effet la présence des gens de plusieurs pays du monde sur notre territoire, est une grande richesse »… réagit le francais.
Puis une notice, sonne à la radio sur France Info, nous avons fait silence pendant le bulletin qui par l'aspect du vissage du monsieur avait l'air très important.
… « Et vous avait de la famille en France »… dit le monsieur enchaînant.
… « J’habite avec une cousine et ma sœur »… répond l’immigrant.
… « Et votre cousine et votre sœur elles sont où »… demande monsieur.
… «Justement je vais en auto-stop les visiter et rester avec elles pour le week-end»…dit le petit colombien.
… «Et vous travaillez où Actuellement »… demande monsieur. … « Je travaille au service prototype d’une société du groupe Vallorec à Joigny»… réponds l’immigré.
… «Et que faites-vous dans cette société »… rétorque monsieur.
… «On produit des collecteurs d’admission et d’échappement pour l’industrie automobile française et étrangère »… dit le petit bonhomme.
… »Bah dis donc c’est très intéressant et qu'est-ce que vous avez comme formation »…d'une voix intéressée demande le monsieur, pendant qui tente de relâcher le noue de cravate.
… «C’est-à-dire que à la base j’ai une formation de métallurgistes en Colombie »... répond aussitôt le frêle jeune qui commence à en fin retrouver une température corporelle améliorée par le chauffage de la voiture après avoir supporté le froid blanc des neiges d'hiver.
… « Très intéressant donc ; votre travail semble aussi être très intéressant »… dit le français en ouvrant de sa main droite un paquet de cigarettes et offrant. L’immigré refuse d’un geste, et le paquet est rangé.
… « Au fait je travaille sous les ordres de monsieur Daniel Huret et de monsieur Rosalie »… ajoute le petit colombien.
C'était ce genre de dialogue qui a maintenu les deux personnes actives pendant le trajets entre Joigny et Paris. Pour arriver non loin de la place de l'étoile à une belle maison plutôt ce qu’on appelle un hôtel particulier.
Une grande porte métallique en grille est ouverte automatiquement, puis une autre porte en bois massif est ouverte aussi postérieurement pour entrer dans un grand jardin en le traversant pour arriver au fond dans un garage où il y avait d'autres voitures aussi grandes que celles-ci, puis à côté une Renault 4 GTL couleur grise clair en parfait état. Nous étions en hiver donc nous avons gravi une escalier pour arriver au 1e étage et marcher par l’intérieur jusqu à un grand salon ; la on m'a ordonné de m’m’assoir puis quelques instants plus tard est arrivé une dame avec une tasse de thé, j'ai accepté et on m'a versé du lait dans le thé et on m’a donnez un petit gâteau salé. J’ai attendu quelques minutes puis est rentrée une dame à peu près 50 ans très élégante avec une silhouette d'une fille de 25 ans.
… »Mon mari est parti mais m'a conseillé de vous commander un portrait »…
… « Voulez vous me dire si vous êtes d’accord d’échanger comment mon mari vous a promis un portrait pour la 4L »… dit d’une voix très posée la dame.
… « Oui Madame je pense que c'est possible mais comment ça se fait que vous me faites confiance sans me connaître »… dit d'une prononciation plutôt maladroite le modeste visiteur.
… « Vous savez monsieur mon mari et moi on se trompent très peu sur les personnes. Dites-moi si vous avez besoin d’argent pour les matériau et dites-moi si vous êtes d’accord que la toile aille un mètre de large pour 2 mètres de haut »… précise madame en même temps, qu'elle se assoit et prend la tasse de thé que la femme du service le lui dépose sur la table du milieu.
… « Bien entendu Madame »… dit l’invité
… « Je vous fais un chèque de suite pour le matériau et vous me dites quand vous voulez commencer »… dit la dame.
… « Excusez-moi Madame je serai plutôt embarrassé pour les transports de matériaux parce que j’habite à Joigny »… dit lui
… « Mais ne vous inquiète pas vois viendrait travailler ici ; c’est possible les samedis et les dimanches ? Ne c’est pas ? Parce que mon mari m’a dit que vous travaillez en semaine à Joigny »... madame et bois une lente gorgée de sa tasse.
… « Excusez-moi Madame mais je ne souhaite pas trop de vous déranger »… l'invite
… « Mais ne vous excusez pas ce n’est pas grave dans cette maison il y a de la place pour vous et si vous voulez venir plutôt le vendredi on travaillera plus et vous n'avez pas besoin d’emmener rien d'autre, ici il y a où dormir et vous mangerez avec nous »… dit la dame en même temps qu’elle se levée.
Ça a été au bout d un an de vivre en France ma première commande d’un portrait échangé contre une voiture Renault 4GTL qui était avec uniquement 3247 kilomètres.
En época du covid
MIT TECHNOLOGY REVIEW
..."El 21 de enero comiensa el parlamento francés a trabajar sobre un proyecto de ley sobre la modificación genética; enlace para el texto del congreso.
Le lien conduit sur une page qui transcrit les travaux au sénat sur la mutation genetique fruit des manipulations de l'ADN humain:
Site du sénat français
Traducido un aparte al español:
Al comenzar hoy (21/01/2021) la consideración del proyecto de ley de bioética en el Senado, finalmente se está levantando un velo. Se escuchan voces que retoman la "apuesta antropológica" 1 en juego: la modificación irreversible de nuestra especie. El artículo 17 del proyecto de ley de bioética aprobado por la Asamblea Nacional elimina la prohibición de crear embriones transgénicos. El objetivo es utilizar la tijera genética Crispr-Cas9 en embriones humanos in vitro.
En adelante, se autorizará la modificación del genoma humano, en violación del derecho internacional que prohíbe modificar el genoma de la descendencia2.
El gobierno cree que es tranquilizador especificar que los embriones modificados genéticamente no se implantarán con fines gestacionales. Este pseudo límite es un dique de papel.
Con motivo de la apertura del debate en el Senado, la Fundación Jérôme Lejeune denuncia esta disposición ciega de la nueva ley de bioética actualmente en discusión. Tanto más cuanto que los investigadores franceses llevan más de 3 años experimentando ilegalmente con la modificación del genoma de embriones humanos entregados a la investigación.
Desde mayo de 2016, los equipos parisinos han estado probando la técnica conocida como fertilización in vitro triparental (FIV) en embriones humanos(3) con la complaciente autorización de la Agencia de Biomedicina.
La Fundación Jérôme Lejeune señaló esta autorización de investigación a la atención de los tribunales franceses. La disputa está pendiente ante el Tribunal Administrativo de Apelación de Versalles.
Une souche sud-africaine réduit l'efficacité des vaccins COVID-19
Différentes données de Novavax, Johnson & Johnson, Pfizer et Moderna révèlent que la variante est plus résistante à ses injections, dont l'efficacité peut chuter de 89% globalement à 50%. Cependant, les fabricants sont convaincus de pouvoir les adapter rapidement aux nouvelles mutations.
Par Charlotte Jee
La pregunta clave sobre las vacunas: ¿también reducen la transmisión?
Aunque las distintas versiones aprobadas reducen el riesgo de infección, nadie ha confirmado que también frenen la propagación por parte de casos asintomáticos. Esta capacidad, conocida como inmunidad esterilizante, tiene más potencial de reducir las muertes y será clave para detener la pandemia
Por Antonio Regalado
L'eugénisme, explique Marisa Miranda, également docteur en sciences juridiques, est une discipline systématisée par Francis Galton en 1883. Galton était un cousin anglais de Charles Darwin et l'a défini comme la "science qui traite de l'amélioration de la race, que ce soit des animaux , les plantes ou l'homme ". Cela implique - a-t-il poursuivi - que tout eugénisme est construit sur l'idée d'une classification et d'une hiérarchie: "Ils ne doivent pas nécessairement être des traits biologiques, ils peuvent aussi être idéologiques".
La eugenesia es un tema abordado, entre otros, por historiadores, filósofos, médicos, bioeticistas, por distintas razones. La idea de mejorar la raza humana siempre ha estado presente en la historia de la civilización, también han sido objeto de comentarios el intento de consolidarla como una ciencia, la presencia de movimientos eugenésicos en varios países del mundo, el holocausto nazi y, finalmente, el resurgimiento de la eugenesia a raíz de la decodificación del genoma humano. Nuestro objetivo es dar un repaso por los movimientos eugenésicos que tuvieron lugar a mediados del siglo XX, el resurgimiento de la eugenesia y los adelantos con los que contamos actualmente.
En génétique, les changements qui modifient la séquence nucléotidique de l'ADN sont appelés mutation génétique, mutation moléculaire ou mutation ponctuelle. Ces mutations de séquence d'ADN peuvent conduire à une substitution d'acides aminés dans les protéines résultantes.
En genética se denomina mutación genética, mutación molecular o mutación puntual a los cambios que alteran la secuencia de nucleótidos del ADN. Estas mutaciones en la secuencia del ADN pueden llevar a la sustitución de aminoácidos en las proteínas resultantes.
..."El 21 de enero comiensa el parlamento francés a trabajar sobre un proyecto de ley sobre la modificación genética; enlace para el texto del congreso.
Le lien conduit sur une page qui transcrit les travaux au sénat sur la mutation genetique fruit des manipulations de l'ADN humain:
Site du sénat français
Traducido un aparte al español:
Al comenzar hoy (21/01/2021) la consideración del proyecto de ley de bioética en el Senado, finalmente se está levantando un velo. Se escuchan voces que retoman la "apuesta antropológica" 1 en juego: la modificación irreversible de nuestra especie. El artículo 17 del proyecto de ley de bioética aprobado por la Asamblea Nacional elimina la prohibición de crear embriones transgénicos. El objetivo es utilizar la tijera genética Crispr-Cas9 en embriones humanos in vitro.
En adelante, se autorizará la modificación del genoma humano, en violación del derecho internacional que prohíbe modificar el genoma de la descendencia2.
El gobierno cree que es tranquilizador especificar que los embriones modificados genéticamente no se implantarán con fines gestacionales. Este pseudo límite es un dique de papel.
Con motivo de la apertura del debate en el Senado, la Fundación Jérôme Lejeune denuncia esta disposición ciega de la nueva ley de bioética actualmente en discusión. Tanto más cuanto que los investigadores franceses llevan más de 3 años experimentando ilegalmente con la modificación del genoma de embriones humanos entregados a la investigación.
Desde mayo de 2016, los equipos parisinos han estado probando la técnica conocida como fertilización in vitro triparental (FIV) en embriones humanos(3) con la complaciente autorización de la Agencia de Biomedicina.
La Fundación Jérôme Lejeune señaló esta autorización de investigación a la atención de los tribunales franceses. La disputa está pendiente ante el Tribunal Administrativo de Apelación de Versalles.
Une souche sud-africaine réduit l'efficacité des vaccins COVID-19
Différentes données de Novavax, Johnson & Johnson, Pfizer et Moderna révèlent que la variante est plus résistante à ses injections, dont l'efficacité peut chuter de 89% globalement à 50%. Cependant, les fabricants sont convaincus de pouvoir les adapter rapidement aux nouvelles mutations.
Par Charlotte Jee
La pregunta clave sobre las vacunas: ¿también reducen la transmisión?
Aunque las distintas versiones aprobadas reducen el riesgo de infección, nadie ha confirmado que también frenen la propagación por parte de casos asintomáticos. Esta capacidad, conocida como inmunidad esterilizante, tiene más potencial de reducir las muertes y será clave para detener la pandemia
Por Antonio Regalado
L'eugénisme, explique Marisa Miranda, également docteur en sciences juridiques, est une discipline systématisée par Francis Galton en 1883. Galton était un cousin anglais de Charles Darwin et l'a défini comme la "science qui traite de l'amélioration de la race, que ce soit des animaux , les plantes ou l'homme ". Cela implique - a-t-il poursuivi - que tout eugénisme est construit sur l'idée d'une classification et d'une hiérarchie: "Ils ne doivent pas nécessairement être des traits biologiques, ils peuvent aussi être idéologiques".
La eugenesia es un tema abordado, entre otros, por historiadores, filósofos, médicos, bioeticistas, por distintas razones. La idea de mejorar la raza humana siempre ha estado presente en la historia de la civilización, también han sido objeto de comentarios el intento de consolidarla como una ciencia, la presencia de movimientos eugenésicos en varios países del mundo, el holocausto nazi y, finalmente, el resurgimiento de la eugenesia a raíz de la decodificación del genoma humano. Nuestro objetivo es dar un repaso por los movimientos eugenésicos que tuvieron lugar a mediados del siglo XX, el resurgimiento de la eugenesia y los adelantos con los que contamos actualmente.
En génétique, les changements qui modifient la séquence nucléotidique de l'ADN sont appelés mutation génétique, mutation moléculaire ou mutation ponctuelle. Ces mutations de séquence d'ADN peuvent conduire à une substitution d'acides aminés dans les protéines résultantes.
En genética se denomina mutación genética, mutación molecular o mutación puntual a los cambios que alteran la secuencia de nucleótidos del ADN. Estas mutaciones en la secuencia del ADN pueden llevar a la sustitución de aminoácidos en las proteínas resultantes.
CHAPITRE SRI LANKA
À manière d’introduction
Par anonyme Perpignan le 25/02/2021
Cette introduction sera provisoire ; je compte demander à un ami proche pour lequel j'ai beaucoup d'admiration dans le but de que lui fasse cette introduction.
Le projet de faire un livre remonte à beaucoup d’années, quand je suis arrivé en France l'année 1988 je ne parlais pas un seul mot de français, le mois de mai de l'année 1989 je commençais à travailler dans une usine au service prototypes, mon responsable à l'époque été monsieur Daniel Huret et sont subalterne était monsieur Rosalie. Le jour que j’ai dû quitter la France une trentaine d'années plus tard, je suis allé à Looze et j'ai rencontré curieusement c'est deux messieurs, là je les ai remercié pour tous ce qu'ils ont faits pour moi, je leur ai expliqué les raisons qu’ont précipité mon départ et avec le cœur gros j'ai dû quitter le territoire français pour des raisons personnelles.
Ce sont trente années de ma vie, c'est à dire la moitié de mon existence que j'ai eu la chance de vivre dans une très belle région qui est la Bourgogne et tout particulièrement la région du jovinien. La liste de noms de personnes qui auraient rendu ma vie si agréable serait trop longue, dans un ordre chronologique approximatif des amis yougoslaves, turques, portugais, roumains, ghanéens, togolais, chiliens, espagnols, vietnamiens, et j'en oublie sûrement, parmi des gens qui m’ont fait une grande impression les Allemands, des locaux bien sur, messieurs Bedut, Lemot, Boudon, Janvier, Dorsmagen, Leduc, Moreaux, Noël, dans une liste où je ne finirai pas.
Je ne sais pas si ceci faire l'objet d'un livre mais j’ai bien l'intention de déposer des années d’écriture, sauf que cette forme est spécifique, je suis très conscient de la lourdeur de la tâche, et surtout de la grande difficulté qui signifie pour moi en tant que colombien, écrire dans une langue très difficile mais pour laquelle j'ai un grand amour.
Et il est possible quelle la réussite apparente soit le fruit de l'effort individuel ; mais elle est aussi, surtout, le fruit de la participation de nombreuses personnes qui forment l’entourage sans qui rien n'est possible.
Et si nous sortons du domaine spécifique professionnel ; alors la liste est encore plus dense, je garde dans mes souvenirs quelques noms mais ils sont à peine le la partie visible de l’iceberg. Parce que les gens qu’ont fait que ma vie soit si agréable en France sont beaucoup plus nombreux ; le docteur Michel Gouy, l’académicien Ange Bizet, le professeur Michel Tardieu, le professeur Jean Marc Berlière, entre autres.
Devant ma famille la plus proche la vérité est que cette idée d'écrire reste un véritable secret.
[size=39]Chapitre: Les gemmes au Sri Lanka[/size]
Alterner les voyages aux mines de différents pays et la meilleure manière d'éviter de ces faire repérer et de se faire voler.
Pour personne c’est un secret qu'il y a des pierres précieuses dans plusieurs pays au monde et en particulier dans des pays du tiers-monde c'est à dire des pays o les PIB reste vraiment ridicule comparé avec le PIB des pays comme Russie Etats-Unis France Allemagne Chine entre autres.
Visiter le Sri Lanka, c'est découvrir l'une des plus grandes sources de pierres précieuses et du commerce de celles-ci au monde. Cette île a une tradition inégalée et reste vitale pour le marché des pierres précieuses.
Le Sri Lanka est une véritable industrie de la mine dans le marché des pierres précieuses, à la fois sur le marché national que à l’international. Son évolution au cours des derniers années réunissent à marier le meilleur des pratiques traditionnelles, aux technologies et modèles de polissage modernes.
Dans ce aparté du texte, nous vous emmenons en expédition sur cette île magnifique
En voyageant au Sri Lanka, on se rend compte que c'est une grande île aux paysages très diversifiés. La plupart du terrain reste ondulé avec autant des parti vallonnés, il y a aussi des belles montagnes vers le centre-sud.
L'agriculture a une constante présence lorsque vous conduisez à travers le pays, avec des rizières vertes intenses et des plantations d'hévéas.
Dans certaines des rizières, il y a des cabanes dans les arbres où il faut grimper pour éviter que les éléphants sauvages écrasent les travailleurs agricoles.
Nous pouvons retrouver des petites exploitations minières aux toits typiques parce que les pluies sont soudaines et le soleil tape fort, cela au beau milieu de rizières à Ratnapura, Elahera et Balangoda.
Je dois confesser que c’est la première fois de ma vie que j’ai vu comment il était récolte la feuille de thé, ça a été en prenant de l'altitude, que l'on trouve des belles plantations. sur le littoral nous avons une vue de l'industrie de la pêche le long de la côte.
Il y a un contraste entre l'exploitation dans les mines et le procès de rectification ou polissage des pierres qui va donner l’aspect magnifique que nous voyons par la suite dans la bijouterie. C’est le parfait mariage entre tradition et modernité.
Lorsque l’on a investi 30000€ en voyage pour un pays ou son extraites des pierres précieuses, le retour sur investissement et minimum des 100000€, hors dépenses des voyages d'hôtel et autres, Et tout cela en moins d’une semaine.
https://actualite.forumpro.fr/t150-tentative-en-espagnol-pou-carina#1979
EL AMOR DE MIROMESNIL
El amor de Miromesnil
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Escrito por anónimo el jueves 4 de marzo del año 2021
Los vidrios que dan a la ventana de la plaza de Méjico parecen transpirar la temperatura es diferente al exterior por eso el grado de condensación es tan alto que no hay visibilidad. Froto con la mano para ver afuera una coloración blanca en el suelo son aún las 7:30 de la mañana, cada que un carro pasa deja una huella oscura que rápidamente se cubre de nuevo con la nieve fina que cae en esta mañana. De todas maneras debo salir debo ir al trabajo. Me introduzco en la bañera de agua tibia, con el frío de afuera no quisiera dejar mi baño, al vestirme me pongo primero una camiseta con manga larga de algodón luego un buzo de lana fina encima me pongo otro buzo de lana más espeso, y luego utilizó el único blusón acolchonado de color amarillo que tengo. Encima de mí interior me pongo una sudadera de algodón y luego encima me pongo un pantalón jeans. Me pongo dos pares de medias, cojo la bufanda me la enrollo al cuello cojo una gorra de lana me pongo los zapatos y bajo la escalera de madera desde el sexto piso el pasamanos está helado, saco los guantes del bolsillo para comenzarme a proteger me cubro con la bufanda lo máximo posible la car, abro la puerta y ya estoy afuera. El viento frío parece golpear en mis mejillas, entrecierro mis ojos, y trato de adaptar la bufanda para que pueda calentarme con cada expiración, nunca he fumado pero se diría que exhalo humo.
Una dama pasa rápido a mi lado, muy elegante y perfumada, es así Paris XVI, con una ventaja de menos de un metro, ella resbala, abriendo sus brazos, yo solo flexiono mis piernas y extiendo mis brazos inclinándome, para intentar amortiguar el peso de los dos cuerpos, nos encontramos como en un paso de danza algo así he visto en el tango.
Me sentí muy incómodo y me disculpé pues por impedir su caída mis manos se encontraban sur sus senos. Ella sentada en la nieve sus brazos sobre mis piernas, yo en cuclillas. Rápidamente nos levantamos, ella me agradeció, sacando un cartón con su nombre y coordenadas.
Caminamos juntos hasta la estación Trocadero, donde tomamos la línea 9 dirección “Mairie de Montreuil”; ya en los corredores, como es habitual, caminamos mucho más rápido, y la perdí de vista en la multitud, en esa hora de gran afluencia.
Como de costumbre cierro los ojos y cuento las cinco paradas en las estaciones para bajarme en la estación “Miromesnil”.
Al salir busco una silla en el café del ángulo de la calle La Boètie con la calle Miromesnil. Para calentarme pido un chocolate doble y un croissant, rompo las dos diminutas bolsas de azúcar y revolviendo el chocolate comiendo mi desayuno. Al terminar pido la cuenta, el mesero me sorprende al decirme que ya pagaron, señalándome al interior.
Yo no puedo ver nada la luz, el contraste, el frío, así que decido, entrar, y descubro que es la dama elegante a quien acababo de evitar una caída.
Me invita a sentarme, le presento mis disculpas, pues trabajo a pocos metros como vendedor en una tienda. Me pregunta si me pasa algo al llegar tarde, le digo que como solo llevo una semana no puedo, permitirme esa falta. Me disculpo y me despido.
Pocos días después, el 25 de enero, como de costumbre cuando intentaba sentarme, el mesero me pide que entre y me señala la mesa del otro día. Estaba la misma mujer muy elegante, quien pidió en mi lugar un chocolate doble, croissant y un café crema.
Me pregunto que si podríamos cenar esa noche; le respondí que estaba demasiado elegante para mi y que mi salario apenas me permitía pagar la pieza. Me pidió que no me sintiera mal que por favor aceptara que ella asumía los gastos.
No había mirado su tarjeta, hasta entonces, esa tarde al llegar por curiosidad vi que era publicista.
Pensé pedirle una oportunidad, y asistí a esa cena, vino en un Golf negro y me llevo a la calle Balzac número seis al restaurante de Pierre Gagniaire. Para no complicarme con la carta me mostré falsamente interesado en cada plato, yo que me preparaba una sopa de fideos o una bolsa de “Knorr neuf légumes”.
Le confesé que era latino, mostró una amplia sonrisa, luego me dijo:
- Eres colombiano, eso lo sabia incluso antes de que me hablaras la primera vez.
Le confesé que mi gastronomía no se podría comparar, me afirmó que había llegado como bachiller desde un pueblo en la frontera con España del lado Atlántico, y que como yo trabajó en el día y estudió de noche se había graduado en diseño. Llego la cena.
Me pregunto si podía venir a verme, no comprendí, me sorprendió, lo debe haber notado, así que pregunto si tenía familia en Francia, yo vivía solo, mi familia entera vivía en Colombia. Me pidió que no me sintiera incómodo, me explico que al llegar a Paris sufrió mucho por las condiciones, el baño y sanitario al mismo tiempo en un corredor del sexto piso, sin ascensor. Las privaciones para pagar la universidad, las dificultades para vestirse, con un salario igual que yo. Eso me hizo sentir en confianza, ella me pidió de nuevo que la invitara. Yo le debía confesar además que esa alcoba era compartida con un locatario. Me dijo que primero iríamos a ver mi arrendamiento y después el suyo. Acepte muy incómodo. Entramos a mi modesta habitación, prendí la televisión sin saber que hacer, en M6, se me había olvidado, pedirle empleo, de todas maneras, en previsión de la idea, evite toda conducta que dejara presumir la más mínima intensión de enamorarla.
Al despojarse de sus prendas de invierno, dejo al descubierto, una silueta de reina.
Tomó una carpeta en la que yo guardaba algunos borradores, de mis domingos, con un rostro sorprendido, dejo ver sus ojos de pupilas verdes, se quitó los guantes, dejando ver unas tiernas manos inmaculadas mientras tenía con su derecha uno de mis dibujos recuerdo que era aquella perspectiva del centro Pompidou, se llevo la mano izquierda a la boca abierta con un “oh" de agradable sorpresa.
– Pero veo que haces algo genial! Te debo confesar que alguien me había hablado de ti, es más pensé que tenías talento pero ahora veo lo que haces…
Siguió ojeando mis borradores, en silencio, yo había dibujado tres veces la torre Eifel, cinco veces el arco del Triunfo, varias veces la estación de al lado, al interior esa de Trocadero con rama y gente.
- Creo que pierdes tu tiempo en ese trabajo no es que quiera decir…. Me comprendes? Mañana quieres venir a mi oficina?
Pensaba pedirle empleo, pero, debo prevenir en la tienda, todo había ocurrido mejor de lo que esperaba.
- No se diga más cuanto antes, vienes a la oficina, y hablamos.
- Al día jueves 26, le comenté al señor Paul que acababa de encontrar otro empleo, no tenía ningún contrato, me pidió si me podría quedar hasta encontrar alguien, por fortuna el viernes después de las diez alguien llamaba por el puesto. Se le acordó de inmediato el empleo y esa tarde a las seis ya estaba en la oficina.
- Tengo una amiga que enseña en los lados de Paris dos, ella vendrá justamente ahora, que te parece la idea? Puedes trabajar aquí y estudiar no lejos eso es el numero doce de la calle del 4 de Septiembre, no lejos de aquí, es más te ayudaré con la matrícula.
Visitamos el lugar solo dos mesas de dibujo una de ellas usada de soporte para plantas de interior, el resto no menos de ocho computadores cuatro de ellos a doble pantalla de veinticuatro pulgadas, aún tres ocupados a esa hora, nos presentaron, pero de manera rápida, debían sacar una publicidad por un perfume. Me explico ella.
– Tu vas nous pardonner Sandra mais il faut imprimer demain.
– Oui, oui je le sais.
Entro una señora de talla inferior al metro sesenta, de corpulencia robusta, la sonrisa fácil, una voz grave y el cigarrillo en la boca. Se hicieron las presentaciones, y nuestra patrona propuso salir a comer
- Je sais que tu trouves toujours l'excuse pour me sortir de ton travail. Allons mais juste ici au coin parce que j’ai pas plus de trois quarts d'heure.
Dijo quien sería mi futura profesora, sosteniendo su cigarrillo en la boca mientras dibuja una sonrisa amable en autocrítica. La hubiera confundido con la madre de Michel Sardu, de lejos.
Las dos mujeres pidieron jamón ensalada y vino beaujolais, por mi parte un pan viennois una ensalada niçoise y agua natural. Se acordaría esa noche, que debería comenzar mi primer semestre el lunes seis de febrero.
A las siete pasadas sonó el teléfono Fabio descolgó, y me lo pasó.
- mira pasadas las ocho te recojo, te parece?
Durante el trayecto vi que manejaba muy rápido, comprendí que solo con experiencia, se hace eso, manejar en Paris, es cosa de locos, vi que se dirigía al palacio de congresos. Pregunte si podía saber. Me corto.
- Vamos a la defensa, tenemos cita en media hora.
Llegamos al piso cuarenta y seis de la torre Total.
– Esta torre es nueva solo tiene cuatro años, me gusta venir aquí de pronto nos trasladamos para un piso aquí. Además el parqueadero es amplio. Y la vista de Paris me hace sentir muy bien.
Encontramos una oficina, con seis personas, se entregó a Sandra una carpeta, un contrato que en mi salario de la tienda no hubiera logrado ganar trabajando toda la vida.
– Espero que me ayudes a concebir ese afiche, algo de salvaje, hay concurrencia durísima, pero, tengo fe que ganaremos.
Le pedí que me dejara mirar la carpeta vi muestras del famoso perfume. Pensé a un leopardo en la selva amazónica. Saque un porta minas de la guantera y comencé a dibujar. Al llegar a la oficina, mostro al equipo, lo que para mi fue borradores sin importancia. Les dijo:
– lo hizo mientras veníamos en el carro y ustedes saben cómo manejo, además de memoria sin modelo, tres muestras, ¿Creen que merece hacer parte del equipo?
Las ocho personas aplaudieron, yo me sentí muy incómodo.
– miren se sonroja nuestro nuevo grafista!!!
Hubo risas en el grupo, y dos jóvenes se me acercaron me extendieron la mano, me llevaron a un escritorio, y me ofrecieron una tableta digital. Dijo uno de ellos:
– ¿Por favor puedes hacer algo aquí, para no escanear?
Por la primera vez de mi vida disponía de una tableta. Comprendí por qué razón la mesa de dibujo al lado solo funcionaba para soportar un jardín de interior.
Freddy menos de veinticinco años, me pareció el más fácil para dialogo, rápido supe que se trataba de un primo de Sandra, los días pasaban muy rápido, la noción de tiempo se perdía con la luz artificial, la temperatura y el ambiente tan diferentes de la recepción de
verduras, de la despensa en una gran penumbra de ese cuarto frío, que me mantenía afónico y agripado.
Sandra me propuso a eso de las seis de la tarde que la acompañara.
– Primero iremos a mi apartamento, me cambió y luego salimos, ya veraz que te va a encantar. Bajamos en Kleber, fuimos a su apartamento, entro en el baño de su alcoba luego se vistió en blusa sencilla y Jean unos tenis negros, así se podía apreciar mejor esa silueta de reina. Solo que aún yo tenía en mente la idea de respetar a mi patrona.
– ¿Quieres acompañarme este domingo a Fontainebleau? estoy invitada, toda la tarde, debes llevar pantaloneta, hay una piscina de interior climatizada, no tienes derecho a refutar mi propuesta,
Me dijo mientras bajábamos en el estrecho ascensor de su edificio. Saco un sobre, me lo entrego diciendo:
- El lunes al entrar a clases preguntas por Alice, ella trabaja en contabilidad, y le entregas este sobre.
- ¿Ahora sabes a donde te llevo? La ropa es buena y no te arruinas
– Ni idea.
– eso se llama Projet X, en un centro comercial no lejos de aquí en Evry.
– Sabes que no tengo dinero.
– Tranquilo tú trabajas y te ganas muy bien la vida, a propósito, debes darme tu número de seguro social, que mi contable me tiene cansada y se me olvida cada vez.
Compre ropa muy elegante, la verdad en absoluto no escogí nada. Ella seleccionó todo cuatro o cinco camisas, igual numero de pantalones, camisetas, suéteres, interiores, medias, calzado, ni pude saber el costo, pues ella presentó su tarjeta de crédito. Salimos cargados de paquetes.
– Ahora vamos a comer ¿A donde te gustaría?
– No se, hay un restaurante colombiano pero me temo que no sea de tu agrado.
– ¿Que dices estas loco? Claro que deseo comer cocina colombiana!
Hora y media más tarde, retardados por el tráfico, nos encontrábamos al frente de “Mi Ranchito”, esperando que alguien saliera para ocupar su mesa.
– Que locura esto! Es muy pequeño o la comida es muy apetecida.
– habitualmente se reserva antes de las dos o tres de la tarde, pero no sabía.
Terminamos de cenar como a las diez de la noche, me pidió que la acompañara a discoteca, me fue difícil impedirle que consumiera alcohol, al salir le pedí que me dejara conducir, seria más prudente. Esa noche me quedé a dormir en su apartamento no lejos de la estación Kleber, para ese viernes me fui estrenando al trabajo, Sandra me colocó la ropa sobre la cama mientras me bañaba.
Ese domingo conocí a su tía Esther, casada con Bernard los dos manejando una agencia de publicidad, que según la mansión, en las afueras de Fontainebleu, debería ser algo suficientemente rentable, nos despedimos luego de la cena, que estuvo copiosa y deliciosa.
Muy rápido llego el primer día en el instituto, fue un día maravilloso.
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Escrito por anónimo el jueves 4 de marzo del año 2021
Sábado 7 de Enero de 1989
Los vidrios que dan a la ventana de la plaza de Méjico parecen transpirar la temperatura es diferente al exterior por eso el grado de condensación es tan alto que no hay visibilidad. Froto con la mano para ver afuera una coloración blanca en el suelo son aún las 7:30 de la mañana, cada que un carro pasa deja una huella oscura que rápidamente se cubre de nuevo con la nieve fina que cae en esta mañana. De todas maneras debo salir debo ir al trabajo. Me introduzco en la bañera de agua tibia, con el frío de afuera no quisiera dejar mi baño, al vestirme me pongo primero una camiseta con manga larga de algodón luego un buzo de lana fina encima me pongo otro buzo de lana más espeso, y luego utilizó el único blusón acolchonado de color amarillo que tengo. Encima de mí interior me pongo una sudadera de algodón y luego encima me pongo un pantalón jeans. Me pongo dos pares de medias, cojo la bufanda me la enrollo al cuello cojo una gorra de lana me pongo los zapatos y bajo la escalera de madera desde el sexto piso el pasamanos está helado, saco los guantes del bolsillo para comenzarme a proteger me cubro con la bufanda lo máximo posible la car, abro la puerta y ya estoy afuera. El viento frío parece golpear en mis mejillas, entrecierro mis ojos, y trato de adaptar la bufanda para que pueda calentarme con cada expiración, nunca he fumado pero se diría que exhalo humo.
Una dama pasa rápido a mi lado, muy elegante y perfumada, es así Paris XVI, con una ventaja de menos de un metro, ella resbala, abriendo sus brazos, yo solo flexiono mis piernas y extiendo mis brazos inclinándome, para intentar amortiguar el peso de los dos cuerpos, nos encontramos como en un paso de danza algo así he visto en el tango.
Me sentí muy incómodo y me disculpé pues por impedir su caída mis manos se encontraban sur sus senos. Ella sentada en la nieve sus brazos sobre mis piernas, yo en cuclillas. Rápidamente nos levantamos, ella me agradeció, sacando un cartón con su nombre y coordenadas.
Caminamos juntos hasta la estación Trocadero, donde tomamos la línea 9 dirección “Mairie de Montreuil”; ya en los corredores, como es habitual, caminamos mucho más rápido, y la perdí de vista en la multitud, en esa hora de gran afluencia.
Como de costumbre cierro los ojos y cuento las cinco paradas en las estaciones para bajarme en la estación “Miromesnil”.
Al salir busco una silla en el café del ángulo de la calle La Boètie con la calle Miromesnil. Para calentarme pido un chocolate doble y un croissant, rompo las dos diminutas bolsas de azúcar y revolviendo el chocolate comiendo mi desayuno. Al terminar pido la cuenta, el mesero me sorprende al decirme que ya pagaron, señalándome al interior.
Yo no puedo ver nada la luz, el contraste, el frío, así que decido, entrar, y descubro que es la dama elegante a quien acababo de evitar una caída.
Me invita a sentarme, le presento mis disculpas, pues trabajo a pocos metros como vendedor en una tienda. Me pregunta si me pasa algo al llegar tarde, le digo que como solo llevo una semana no puedo, permitirme esa falta. Me disculpo y me despido.
Miercoles 25 de Enero 1989
Pocos días después, el 25 de enero, como de costumbre cuando intentaba sentarme, el mesero me pide que entre y me señala la mesa del otro día. Estaba la misma mujer muy elegante, quien pidió en mi lugar un chocolate doble, croissant y un café crema.
Me pregunto que si podríamos cenar esa noche; le respondí que estaba demasiado elegante para mi y que mi salario apenas me permitía pagar la pieza. Me pidió que no me sintiera mal que por favor aceptara que ella asumía los gastos.
No había mirado su tarjeta, hasta entonces, esa tarde al llegar por curiosidad vi que era publicista.
Pensé pedirle una oportunidad, y asistí a esa cena, vino en un Golf negro y me llevo a la calle Balzac número seis al restaurante de Pierre Gagniaire. Para no complicarme con la carta me mostré falsamente interesado en cada plato, yo que me preparaba una sopa de fideos o una bolsa de “Knorr neuf légumes”.
Le confesé que era latino, mostró una amplia sonrisa, luego me dijo:
- Eres colombiano, eso lo sabia incluso antes de que me hablaras la primera vez.
Le confesé que mi gastronomía no se podría comparar, me afirmó que había llegado como bachiller desde un pueblo en la frontera con España del lado Atlántico, y que como yo trabajó en el día y estudió de noche se había graduado en diseño. Llego la cena.
Me pregunto si podía venir a verme, no comprendí, me sorprendió, lo debe haber notado, así que pregunto si tenía familia en Francia, yo vivía solo, mi familia entera vivía en Colombia. Me pidió que no me sintiera incómodo, me explico que al llegar a Paris sufrió mucho por las condiciones, el baño y sanitario al mismo tiempo en un corredor del sexto piso, sin ascensor. Las privaciones para pagar la universidad, las dificultades para vestirse, con un salario igual que yo. Eso me hizo sentir en confianza, ella me pidió de nuevo que la invitara. Yo le debía confesar además que esa alcoba era compartida con un locatario. Me dijo que primero iríamos a ver mi arrendamiento y después el suyo. Acepte muy incómodo. Entramos a mi modesta habitación, prendí la televisión sin saber que hacer, en M6, se me había olvidado, pedirle empleo, de todas maneras, en previsión de la idea, evite toda conducta que dejara presumir la más mínima intensión de enamorarla.
Al despojarse de sus prendas de invierno, dejo al descubierto, una silueta de reina.
Tomó una carpeta en la que yo guardaba algunos borradores, de mis domingos, con un rostro sorprendido, dejo ver sus ojos de pupilas verdes, se quitó los guantes, dejando ver unas tiernas manos inmaculadas mientras tenía con su derecha uno de mis dibujos recuerdo que era aquella perspectiva del centro Pompidou, se llevo la mano izquierda a la boca abierta con un “oh" de agradable sorpresa.
– Pero veo que haces algo genial! Te debo confesar que alguien me había hablado de ti, es más pensé que tenías talento pero ahora veo lo que haces…
Siguió ojeando mis borradores, en silencio, yo había dibujado tres veces la torre Eifel, cinco veces el arco del Triunfo, varias veces la estación de al lado, al interior esa de Trocadero con rama y gente.
- Creo que pierdes tu tiempo en ese trabajo no es que quiera decir…. Me comprendes? Mañana quieres venir a mi oficina?
Pensaba pedirle empleo, pero, debo prevenir en la tienda, todo había ocurrido mejor de lo que esperaba.
- No se diga más cuanto antes, vienes a la oficina, y hablamos.
- Al día jueves 26, le comenté al señor Paul que acababa de encontrar otro empleo, no tenía ningún contrato, me pidió si me podría quedar hasta encontrar alguien, por fortuna el viernes después de las diez alguien llamaba por el puesto. Se le acordó de inmediato el empleo y esa tarde a las seis ya estaba en la oficina.
- Tengo una amiga que enseña en los lados de Paris dos, ella vendrá justamente ahora, que te parece la idea? Puedes trabajar aquí y estudiar no lejos eso es el numero doce de la calle del 4 de Septiembre, no lejos de aquí, es más te ayudaré con la matrícula.
Visitamos el lugar solo dos mesas de dibujo una de ellas usada de soporte para plantas de interior, el resto no menos de ocho computadores cuatro de ellos a doble pantalla de veinticuatro pulgadas, aún tres ocupados a esa hora, nos presentaron, pero de manera rápida, debían sacar una publicidad por un perfume. Me explico ella.
– Tu vas nous pardonner Sandra mais il faut imprimer demain.
– Oui, oui je le sais.
Entro una señora de talla inferior al metro sesenta, de corpulencia robusta, la sonrisa fácil, una voz grave y el cigarrillo en la boca. Se hicieron las presentaciones, y nuestra patrona propuso salir a comer
- Je sais que tu trouves toujours l'excuse pour me sortir de ton travail. Allons mais juste ici au coin parce que j’ai pas plus de trois quarts d'heure.
Dijo quien sería mi futura profesora, sosteniendo su cigarrillo en la boca mientras dibuja una sonrisa amable en autocrítica. La hubiera confundido con la madre de Michel Sardu, de lejos.
Las dos mujeres pidieron jamón ensalada y vino beaujolais, por mi parte un pan viennois una ensalada niçoise y agua natural. Se acordaría esa noche, que debería comenzar mi primer semestre el lunes seis de febrero.
Lunes 30 de enero del año 1989
A las siete pasadas sonó el teléfono Fabio descolgó, y me lo pasó.
- mira pasadas las ocho te recojo, te parece?
Durante el trayecto vi que manejaba muy rápido, comprendí que solo con experiencia, se hace eso, manejar en Paris, es cosa de locos, vi que se dirigía al palacio de congresos. Pregunte si podía saber. Me corto.
- Vamos a la defensa, tenemos cita en media hora.
Llegamos al piso cuarenta y seis de la torre Total.
– Esta torre es nueva solo tiene cuatro años, me gusta venir aquí de pronto nos trasladamos para un piso aquí. Además el parqueadero es amplio. Y la vista de Paris me hace sentir muy bien.
Encontramos una oficina, con seis personas, se entregó a Sandra una carpeta, un contrato que en mi salario de la tienda no hubiera logrado ganar trabajando toda la vida.
– Espero que me ayudes a concebir ese afiche, algo de salvaje, hay concurrencia durísima, pero, tengo fe que ganaremos.
Le pedí que me dejara mirar la carpeta vi muestras del famoso perfume. Pensé a un leopardo en la selva amazónica. Saque un porta minas de la guantera y comencé a dibujar. Al llegar a la oficina, mostro al equipo, lo que para mi fue borradores sin importancia. Les dijo:
– lo hizo mientras veníamos en el carro y ustedes saben cómo manejo, además de memoria sin modelo, tres muestras, ¿Creen que merece hacer parte del equipo?
Las ocho personas aplaudieron, yo me sentí muy incómodo.
– miren se sonroja nuestro nuevo grafista!!!
Hubo risas en el grupo, y dos jóvenes se me acercaron me extendieron la mano, me llevaron a un escritorio, y me ofrecieron una tableta digital. Dijo uno de ellos:
– ¿Por favor puedes hacer algo aquí, para no escanear?
Por la primera vez de mi vida disponía de una tableta. Comprendí por qué razón la mesa de dibujo al lado solo funcionaba para soportar un jardín de interior.
Freddy menos de veinticinco años, me pareció el más fácil para dialogo, rápido supe que se trataba de un primo de Sandra, los días pasaban muy rápido, la noción de tiempo se perdía con la luz artificial, la temperatura y el ambiente tan diferentes de la recepción de
verduras, de la despensa en una gran penumbra de ese cuarto frío, que me mantenía afónico y agripado.
Jueves 2 de febrero 1989
Sandra me propuso a eso de las seis de la tarde que la acompañara.
– Primero iremos a mi apartamento, me cambió y luego salimos, ya veraz que te va a encantar. Bajamos en Kleber, fuimos a su apartamento, entro en el baño de su alcoba luego se vistió en blusa sencilla y Jean unos tenis negros, así se podía apreciar mejor esa silueta de reina. Solo que aún yo tenía en mente la idea de respetar a mi patrona.
– ¿Quieres acompañarme este domingo a Fontainebleau? estoy invitada, toda la tarde, debes llevar pantaloneta, hay una piscina de interior climatizada, no tienes derecho a refutar mi propuesta,
Me dijo mientras bajábamos en el estrecho ascensor de su edificio. Saco un sobre, me lo entrego diciendo:
- El lunes al entrar a clases preguntas por Alice, ella trabaja en contabilidad, y le entregas este sobre.
- ¿Ahora sabes a donde te llevo? La ropa es buena y no te arruinas
– Ni idea.
– eso se llama Projet X, en un centro comercial no lejos de aquí en Evry.
– Sabes que no tengo dinero.
– Tranquilo tú trabajas y te ganas muy bien la vida, a propósito, debes darme tu número de seguro social, que mi contable me tiene cansada y se me olvida cada vez.
Compre ropa muy elegante, la verdad en absoluto no escogí nada. Ella seleccionó todo cuatro o cinco camisas, igual numero de pantalones, camisetas, suéteres, interiores, medias, calzado, ni pude saber el costo, pues ella presentó su tarjeta de crédito. Salimos cargados de paquetes.
– Ahora vamos a comer ¿A donde te gustaría?
– No se, hay un restaurante colombiano pero me temo que no sea de tu agrado.
– ¿Que dices estas loco? Claro que deseo comer cocina colombiana!
Hora y media más tarde, retardados por el tráfico, nos encontrábamos al frente de “Mi Ranchito”, esperando que alguien saliera para ocupar su mesa.
– Que locura esto! Es muy pequeño o la comida es muy apetecida.
– habitualmente se reserva antes de las dos o tres de la tarde, pero no sabía.
Terminamos de cenar como a las diez de la noche, me pidió que la acompañara a discoteca, me fue difícil impedirle que consumiera alcohol, al salir le pedí que me dejara conducir, seria más prudente. Esa noche me quedé a dormir en su apartamento no lejos de la estación Kleber, para ese viernes me fui estrenando al trabajo, Sandra me colocó la ropa sobre la cama mientras me bañaba.
Ese domingo conocí a su tía Esther, casada con Bernard los dos manejando una agencia de publicidad, que según la mansión, en las afueras de Fontainebleu, debería ser algo suficientemente rentable, nos despedimos luego de la cena, que estuvo copiosa y deliciosa.
Muy rápido llego el primer día en el instituto, fue un día maravilloso.
DIALOS IMPROBABLES (2)
[size=39] Diálogos improbables[/size]
Segunda parte DEUXIÈME PARTIE
Traduit au Français en dessous...
Por anónimo el martes 9 de marzo del año 2021
Un grupo de no menos de 6 amigos se encontraban sentados en la hierba en el bosque de Bolonia en el extremo oeste de París no lejos de la puerta de la Mouette. Los sábados y los domingos en la tarde nuestro grupo de amigos se encontraban para compartían una gran amistad que los unía, sobre todo los recuerdos y el hecho de hablar español. Al encontrarse en una ciudad tan grande como París, dónde el número de habitantes es enorme pero sobre todo la amalgama cultural es una de las características de las grandes urbes del mundo.
En parte por ingenuidad en parte quizá voluntario, nuestros amigos hablaban con un tono de voz relativamente alto. A unos 4 o 5 metros se encontraban otros grupos de personas de otras nacionalidades y entre esos grupos un grupo de unas cinco mujeres entre 20 y 30 años. Uno de nuestros actores de este momento quizás de los más atrevidos, hizo alusión al hecho de qué vivían desde hace varios meses sin tener relaciones, desde luego que hablando en castellano se “suponía” qué solo ellos comprenderían.
Cómo ocurrió lo que sin duda la mayoría de ellos esperaba una de las personas del sexo femenino que se encontraba a tres metros en un grupo de mujeres se levantó y vino con la excusa de pedir que le prendieran un cigarrillo.
Esto incomodó a algunos supuestamente caballeros de grupo, no todos fumadores, solo uno se levantaría sacando de su chaqueta en cuero el encendedor.
La dama de ojos verdes de un metro y 85 cm aproximadamente de 65 a 67 kg con unas medidas de 88 58 92 se alejó, mientras la mayoría escudriñaban su más mínimo gesto, de unos Blue jeans, unos tenis negros y una blusa debajo de un blusón en cuero estampillado Louis Vuitton de tinte amarillo ocre, de un precio por el año 1989 de no menos de 28 000,00 francos.
El evento concluyó enfriando a los jóvenes que a primera vista, no deberían aspirar tan alto, puesto que en solo ropa la muchacha que pasó a pedir fuego podría llevar encima sin contar el reloj unos 40 o 50000 francos. Uno de nuestros compinches se levantó y pasó al lado de ese grupo de jóvenes damas tratando de identificar detalles complementarios. Disimuló su salida yendo un poco más lejos y al volver comentó al grupo que se trataba sin duda de gente del barrio chic llamado Neully, que en ese caso no tendrían ni con que invitarlas a tomar un helado, en cuanto a la tentación de enamorar con esta encendida de cigarrillo, se suspendieron los comentarios vulgares de machos de meses sin relaciones, nuestro grupo de caballeros siguieron conversando tratando otros temas del pasado, las pilatunas de juventud en aquella ciudad común a todos en su adolescencia. Tratarían de bajar un poco la voz para hacer más íntima la charla pero el efecto ya se había logrado, cada uno habló de lo que harían el lunes, todos en general irían a trabajar exacto uno de ellos que programó ir al centro Pompidou a pasar el día estudiando francés, sus compañeros se burlaron de su proyecto, todos dijeron que en varios años, entre ellos dos sin hablar francés, siempre trabajando, no era tan necesario el francés, de todas maneras el francés vendría con el tiempo, pero nuestro individuo parecía determinado por aprender a expresarse y comprender el francés en solo 6 meses, cosa que solo provoca risas de sus camaradas.
Antes de oscurecer, el parque comenzó a quedar vacío. De la mano, las sombras y el silencio, parecían, luchar con el sol que en derrota sedería a las 9:21 cuando nuestros aspirantes a Romeo frustrados, ya tomaban el metropolitano de la línea 9 dirección la “maire de Montreuil” o el RER C, en la estación “La Mouette”, la mayoría sabiendo que al domingo siguiente, intentarían, una nueva pesca de otras sardinas.
El lunes 7 de agosto de 1989 como de costumbre un colombiano se encuentra a las 9:00 de la mañana haciendo fila para entrar al centro Pompidou con la intención de aprender francés en el laboratorio de lenguas. La fila es larga, habitualmente toma casi una hora pues a las 10:05 ya estaba nuestro estudiante de francés en el laboratorio repitiendo y leyendo con un casco en las orejas. La regla dice que solo se tiene derecho a 30 minutos, para permitir el uso de los equipos a otros estudiantes, por lo cual se debe esperar, volver a hacer fila y esto implica solamente hora y media en un día completo. A las 11:47 nuestro colombiano sale al tercer piso al lado de la música este centro es más que una biblioteca el Centro Pompidou tiene más de 4 pisos y uno de ellos está exclusivamente consagrado a los discos y todo tipo de documentos sonoros, vídeo incluido, por esta razón en el tercer piso se encuentra una gran cantidad de vinilos que son accesibles gratuitamente a los visitantes y nuestro colombiano busca un disco de Henry Fiol, lo encuentra, lo saca y al momento de llevarlo para hacerlo escuchar se encuentra con la misma joven dama de la tarde anterior. Lleva el disco, mientras conversan un poco. Desde luego que nuestro joven colombiano piensa que se trata de una casualidad. Y entablan una conversación que dura incluso más de lo que él había previsto se entretuvieron dialogando, cuando se dieron cuenta ya eran las 7:00 de la tarde, de todas maneras esto que al principio se suponía se trataba de un encuentro casual estaba programado por parte de nuestra chica que resultó de origen italiano pero que había vivido unos años en Argentina, por consiguiente había escuchado la integralidad de lo que se decía entre nuestros falsos romeros. Lo que nuestro colombiano no sabía oh trataba de negarse a admitir, incluso ante la evidencia es que la chica solo quería compartir su intimidad. Este colombiano incómodo le dijo que vivía en Créteil le explico en esta tarde su situación, en esta larga tarde ella igual explicó la situación que llevaba, trabajaba en un convento en el sector de Passy y tenía toda su noche libre nuestro amante en pañales o en formación nivel primiparo, realizó algunas gestos torpes pero interpretados por nuestra italiana de ojos verdes como normal ella en realidad no tenía 28 años simplemente por el esfuerzo de maquillaje podría aparentar de 25 pero esa tarde fue suficiente para sincerarse entonces explicó que tenía 35 años de los cuales seis vividos en Argengins, a las 6:00 de la tarde nuestros nuevos enamorados quitaron el Centro Pompidou, ella invitó a una tienda no muy lejana compro unas manzanas y unas peras y compartieron mientras viajaban en el metro hacia Créteil. Nuestro joven enamorado le explico que vivía en un lugar donde la entrada era controlada y no se permitía de ninguna manera el acceso a personas de sexo opuesto a las residentes. Nuestra joven explicó que ella hablaba bien francés y se presentaría como una responsable de una empresa tratando de llenar unos formularios para poder darle empleo. Así fue que llegaron a la estación “Créteil L'échat" por la línea 8.
Nuestra responsable de recursos humanos de una empresa ficticia se dirigió a la persona que custodiaba la entrada y le dijo que deberían entrar para llenar unos formularios y tomar los papeles de identidad necesarios para un empleo del joven que había descubierto con talento, el cual tendría un salario neto de 8000 francos mensuales al cabo de dos meses de prueba.
El modesto vigilante que ya había visto algunos de los dibujos de nuestro huésped permitió con cara de satisfacción, mientras lo felicitaba, que la responsable de recursos humanos entrara con él a buscar sus documentos y a llenar un formulario, ella discretamente para darle más credibilidad a la situación le preguntó al aspirante, si terminaba la prueba psicotécnica en la alcoba o la terminaba en la oficina, mientras agregaba, que era importante que a las 8:00 de la mañana estuviera en el taller. En cuanto se entraron en la escalera bajó el tono de voz, explicando que la vestimenta y la firmeza del discurso son suficientes para hacer verdad cualquier mentira. Poco tiempo después llegan a una alcoba modesta una cama, una mesa y una silla, y al fondo una ventana, que el joven se apresura en serrar, corriendo las gruesas cortinas de color rojo. Hay una pequeña nevera con dos cartones de leche sellados y un tercer cartón en la puerta comenzado. Sobre la nevera modesta vajilla en vidrio transparente, sobre la mesa, solo un vaso de plástico azul, una botella de agua de un litro.
Al dar la vuelta el hombre luego de serrar la ventana, fue sorprendido por una amazona en fuego, que lo despoja del blusón, y le desabotona uno a unos los botones, mientras lo besa casi sin respirar. Nuestro hombre, se siente tan sorprendido, que no logra controlar la situación. Ella discretamente, retrocede sin dejar de besarlo, esperando que su conquista, tome la iniciativa, rápidamente se da cuenta que está ante un hombre demasiado lento a responder, así que lo acuesta literalmente, al comenzar a desvestirse al fin el comienza a desabotonar su blusa, ella desabrocha su brasier talla 95A dejando ver unos maravillosos senos.
Por fortuna el lecho era sólido, en metal y una reja metálica que soportaba la colchoneta, porque durante unos minutos su resistencia fue sometida a una prueba extrema,
Las patas con caucho atenuaban el ruido pero el borde contra el muro, llevaría la pareja a descender el colchón al suelo, donde siguió un ejercicio que por la cantidad de transpiración, de ambos cuerpos, podríamos comparar la intensidad a una carrera de dos o tres mil metros, los corazones de ambos latina tan fuerte que en el cuello se podía ver a simple vista el pulso. La respiración se agitaba hasta un último grito reprimido por un doloroso mordisco propinado, en el hombro de este improvisado amante.
Al cabo de unos momentos, la respiración regresaba a ritmo normal. Los baños estando al exterior, primero el casanova decidió salir a inspeccionar el terreno, mientras la amante solo sacaba la cabeza por la puerta, cuando el paso estaba garantizado, una señal permitió que ella se fuera al baño, los dos se frotaron mutuamente, dejando ver su mutua admiración. Luego se repitió la escena de observación del corredor en sentido inverso. La italiana recuperó su bolso. Juntos bajarían, ella pidió al vigilante que abriera la puerta, agradeciendo su colaboración. Él joven pidió permiso al vigilante para acompañarla a la estación del metro.
Esta aventura duraría varios meses. Pero llegó aquel día en que el hombre, invitado como cada domingo a misa, comprendió al final de la ceremonia a pesar de que solo se hablaba en Italiano, que su enamorada, decía al sacerdote que el seria su esposo y que lo llevaría a Italia a la región de Toscana a la ciudad de Florence. Si bien ella era muy hermosa y de una fogosidad sin par, pues varias veces por su adición al cunnilingus le hubiera provocado abrasiones múltiples de la epidermis que en esa parte es ya de espesor ínfimo. Al punto de sufrir un calvario con el frotamiento del pantalón al caminar.
Todo eso en una balanza con los cuentos y prejuicios de la mujer italiana, además del hecho de detestar la pizza y las pastas! Seria demasiado así que mucho miedo del futuro! Por ella, así se tratará de una versión explosiva en variante real tangible aunque divergente en algunos detalles entre Mónica Bellucci y Ornella Muti, seria una vida horrenda la vida al lado de la “madona" comiendo fideos y pizza. Esto fue la razón para dar fin a una magnífica historia.
[size=33]Dialogues improbables[/size]
Deuxième partie

De anonyme le mardi 9 mars 2021
Un groupe de pas moins de 6 amis était assis sur l'herbe dans les bois de Boulogne à l'extrême ouest de Paris, non loin de la porte de la Mouette. Le samedi et le dimanche après-midi, de chaque "week-end" notre groupe d'amis s'est réunit pour partager une grande amitié qui les rassemble, en particulier les souvenirs et le fait de parler espagnol. Être dans une ville aussi grande que Paris, où le nombre d'habitants est énorme mais surtout l'amalgame culturel est l'une des caractéristiques des grandes villes du monde.
En partie par naïveté, en partie peut-être volontaire, nos amis ont parlé d'une voix relativement élevée. A environ quatre ou cinq mètres se trouvaient d'autres groupes de personnes d'autres nationalités et parmi ces groupes un groupe d'environ cinq femmes âgées de 20 à 30 ans. Un de nos acteurs, des charlots, oui! à cette époque, peut-être l'un des plus audacieux, a "crié presque, sur les toits" au fait qu'ils avaient vécu pendant plusieurs mois sans avoir des relations intimes, bien sûr parlant en espagnol, il était "supposé" que seuls eux comprendraient.
Alors, ce à quoi la plupart d'entre eux s'attendaient sans doute, s'est-il passé! Une des jeunes femmes est venu demander du feu pour ça cigarette.
Cela dérangeait certains soi-disant messieurs du groupe, pas tous de fumeurs, un seul s'est levait en prenant le briquet de sa veste en cuir.
La dame aux yeux verts d'un mètre et 85 cm d'environ 65 à 67 kg avec des mesures de 88 58 89 s'éloignait, tandis que la plupart des gars au sol, scrutaient ses formes et ses moindres gestes, d'un bleu jean, des tennis noires et un chemisier sous une blouse en cuir estampé Louis Vuitton en teinte jaune ocre, au prix de l'année 1989 d'au moins 28 000,00 francs.
L'événement s'est conclu en refroidissant les jeunes improvisés Casanova, decouvrant tout à coup, qu'ils ne devaient pas viser si haut, puisque les vêtements, de la fille qui demandait du feu, pouvait porter 40 ou 50 000 francs sans compter la montre.
Un des copains s'est levé et est passé devant ce groupe de jeunes femmes essayant d'identifier des détails complémentaires.
Il a dissimulé son départ en allant un peu plus loin et à son retour il a commenté au groupe qu'il s'agissait sans aucun doute de gens du quartier chic appelé Neully, qui dans ce cas ils n'auraient même pas moyens de les inviter à prendre une glace, donc la tentation de trouver une aventure, avait pris de l'eau, le seul fait d'allumer une cigarette, dans les commentaires vulgaires d'hommes en relations, avec leur faim de femme ont été suspendus, leurs rêves parti en fumée, c'est le cas de le dire! notre groupe de messieurs a continué à parler d'autres sujets, du passé, les pilatunas de la jeunesse dans cette ville commune à tous en leur adolescence. Ils essayaient de baisser un peu la voix pour rendre le discours plus intime mais l'effet était déjà obtenu, chacun parlait de ce qu'il ferait le lundi, tout le monde en général irait au travail, exactement, sauf l'un d'entre eux qui avait prévu d'y aller au centre Pompidou pour passer la journée à étudier le français, ses collègues se moquaient de son projet, ils disaient tous qu'en plusieurs années, dont deux sans parler français, toujours en train de travailler, le français n'était pas si nécessaire, de toute façon le français viendrait avec le temps, mais notre individu semblait déterminé à apprendre à s'exprimer et à comprendre le français en seulement 6 mois, ce qui ne fait que rire ses camarades.
Avant la tombée de la nuit, le parc a commencé à se vider. Main dans la main, les ombres et le silence, semblaient se battre avec le soleil qui, dans la défaite, disparaîtra à 9h21 alors que nos aspirants à "Roméo frustrés" prenaient déjà la ligne 9 du métropolitaine vers l«maire de Montreuil» ou le RER C , à la station "La Mouette", la plupart sachant que le dimanche suivant, ils tenteraient une nouvelle pêche à d'autres sardines.
Le lundi 7 août 1989, comme d'habitude, un Colombien s'est retrouvé dans une longue file à 9 heures du matin pour entrer au Centre Pompidou avec l'intention d'apprendre le français dans le laboratoire de langues.
La file d'attente prend généralement près d'une heure car à 10h05, notre étudiant de français était déjà dans le laboratoire en train de répéter et de lire avec un casque aux oreilles.
La règle dit que vous n'avez droit qu'à 30 minutes, par section, pour permettre l'utilisation du matériel à d'autres étudiants, il faut donc attendre, se remettre en ligne et cela n'implique droitc à etudier qu'une heure et demie dans une journée tout au plus. A 11h47, notre colombien se rend au troisième étage à côté de la musique, ce centre est plus qu'une bibliothèque, le Centre Pompidou compte plus de 4 étages et l'un d'eux est exclusivement consacré aux disques et toutes sortes de documents sonores, vidéo Pour cette raison, au troisième étage il y a un grand nombre de vinyles qui sont librement accessibles aux visiteurs et notre colombien cherche un album de Henry Fiol, le trouve, le sort et quand il le prend pour le faire écouter; il trouve qui? c'est la demoiselle de la veille. Prenant le disque, pendant qu'ils parlent un peu.
Bien sûr, notre jeune colombien pense que c'est une coïncidence.
Et ils s'engagent dans une conversation qui dure encore plus longtemps qu'il ne l'avait prévu, ils se sont divertis en parlant, quand ils ont réalisé qu'il était déjà 7 heures de l'après-midi, (en août à cette époque, le soleil, se couche dans deux heures et demi) de toutes façons, ce qui était censé être au départ une rencontre fortuite était planifié en grande partie, par cette charmeuse femme qui s'est avérée être d'origine italienne mais qui avait vécu quelques années en Argentine, elle avait donc écouté l'intégralité de ce qui se disait parmi nos faux pèlerins. Ce que notre Colombien ne savait pas ou il a essayé de refuser de l'admettre, même face à la preuve, c'est que l'italienne voulait seulement "lui faire passer à la casserole" en fin partager son intimité quoi!
Cet colombien mal à l'aise été obligé de lui a confesser qu'il habitait dans un foyer à Créteil et lui a expliqué sa situation pendant toute cette après-midi là, ce long une après-midi, quand même! elle a expliquée la situation où elle vivait, en fait elle travaillé dans un couvent de bonnes soeurs, du secteur de Passy au XVIème et notre amant en herve a du passé le debut de sa nuit en mode ou niveau entraînement, au fait quelques gestes maladroits, mais interprété par notre italienne aux yeux verts comme sont obligation d'être institutrice, elle n'avait pas vraiment 28 ans simplement à cause de l'effort de maquillage qu'elle pouvait donner l'air de 25 mais cet après-midi était suffisant pour être honnête puis elle a expliqué qu'elle avait en réalité 35 ans ans dont six vécus en Argentine, à 6h00 de l'après-midi nos nouveaux amoureux "touts frais" ont quitté le Centre Pompidou, elle a invité entrer dans un magasin pas trop loin, acheté des pommes et des poires qu'ils ont partagé en voyageant dans le métro vers Créteil. Notre jeune amant a expliqué qu'il vivait dans un endroit où l'entrée était contrôlée et ne permettait en aucun cas l'accès aux personnes du sexe opposé aux résidents. Notre jeune femme a expliqué qu'elle parlait bien le français et qu'elle se présenterait comme dirigeante d'une entreprise essayant de remplir des formulaires pour pouvoir lui donner un emploi. C'est ainsi qu'ils sont arrivés à la station «Créteil L'échat» sur la ligne 8.
Ils se sont mis d'accord, il rentrait seul d'abors, apres elle irait demander au gardien, en parlant d'un emploi et sont nom, chise qui c'est ainsi passé. L'homme monte frappe a la porte du colimbien, en l'invitant a descendre.
Alors que notre responsable des ressources humaines d'une entreprise fictive a approché la personne qui gardait l'entrée et lui a dit qu'elle cherche en urgence monsieur, qu'il fallait venir remplir des formulaires et prendre les papiers d'identité nécessaires pour un emploi, qu'elle avait découvert avec talent dans la semaine un colombien donnant cette adresse, qui aurait un salaire net de 8000 francs par mois après deux mois de stage.
La modeste veilleur qui avait déjà vu certains des dessins du colombien a permis que l'élégante damme entre exceptionnellement avec un visage satisfait, tout en le félicitant. La responsable des ressources humaines prie de venir avec lui pour retrouver ses documents et remplir un formulaire, donnant ainsi discrètement plus de crédibilité à la situation en temos qu'elle demandée au supposé demandeur d'emploi s'il voulait "terminé le test psychotechnique dans la chambre" ou s'il voulait le terminé au bureau, tout en ajoutant qu'il était important qu'il soit à l'atelier à 8 heures du matin.
Dès qu'ils sont entrés dans l'escalier, ils ont baissé la voix, elle expliquant que la robe et la fermeté du discours suffisent à rendre un mensonge vrai.
Peu de temps après, un lit, une table et une chaise, ils arrivent dans une chambre très modeste, et au fond une fenêtre, que le jeune homme s'empresse de fermer, tirant les épais rideaux rouges. Il y a un petit réfrigérateur avec deux cartons de lait scellés et un troisième carton sur la porte déjà commencé. Sur le frigo de modestes assiettes en verre transparent bon marché, sur la table, seulement une tasse en plastique bleu, une bouteille entamée d'un litre d'eau.
Alors que l'homme se retournait après avoir fermée la fenêtre, il fut surpris par une amazone en feu, qui le dépouilla de sont blouson, ent déboutonnant un à un les bouton de sa chemise, en l'embrassant presque sans respirer. Notre homme est tellement surpris qu'il ne peut pas contrôler la situation. Elle repart marche arriere vers le lit, discrètement sans cesser de l'embrasser, espérant que sont agissement prendra en lui le feu, et lui poussera a prendre l'initiative, elle se rend vite compte qu'elle fait face à un homme qui est trop lent pour répondre, alors elle le met littéralement au lit, quand elle commence à se déshabiller enfin il commence à déboutonner son chemisier, elle déboutonne son soutien-gorge taille 95A dévoilant ses magnifiques seins.
Heureusement, le lit était solide, fait de métal et d'une grille métallique qui soutenait le matelas, car pendant quelques minutes sa résistance a été soumise à la plus rude épreuve, un test extrême.
Les pieds en caoutchouc atténuaient le bruit mais le bord contre le mur conduirait le couple à descendre le matelas au sol, où ils ont suivi un exercice dont, en raison de la quantité de transpiration des deux corps, on pourrait comparer l'intensité à une course de deux ou trois mille mètres, les cœurs des deux palpitants si forts que dans le cou on pouvait voir le pouls à l'œil nu. Ça soufflait, ça tremblait jusqu'à un dernier cri réprimé par une morsure douloureuse donnée, sur l'épaule de cet amant improvisé.
Après quelques instants, sa respiration est revenue à un rythme normal. Les salles de bain étant à l'extérieur, la casanova a d'abord décidé de sortir inspecter le terrain, tandis que l'amante en devenir ne faisait que passer la tête par la porte, quand le "la voie à ete libre" le passage était garanti, un signal lui permettait d'aller à la salle de bain, les deux se frottaient mutuellement, partageant leur mutuellexadmiration. Ensuite, la scène d'observation du couloir a été répétée à l'envers. L'Italienne a récupéré son sac à main. Ensemble, ils descendraient, elle a demandé au garde d'ouvrir la porte, le remerciant de sa collaboration "ses dossiers bien remplis". Le jeune homme a demandé au gardien la permission de l'accompagner à la station de métro.
Cette aventure durera plusieurs mois. Mais le jour vint où l'homme, invité comme chaque dimanche à la messe, comprit à l'issue de la cérémonie, malgré le fait que seul l'italien était parlé, que sa copine avait dit au prêtre qu'il serait son mari et qu'elle le ramenerait en Italie à la région de la Toscane à la ville de Florence.
Même si elle était très belle et fougueuse sans pareil au lit, car plusieurs fois en pratiquant le cunnilingus elle saurait responsable de multiples écorchures de l'épiderme qui dans cette partie est déjà très mince. Au point de subir une épreuve terrible a chaque pas avec le frottement du pantalon en marchant.
Tout cela en équilibre avec les histoires et les préjugés de la femme italienne, en plus du fait que le colombien détestait les pizzas et les pâtes! Ce serait trop peur du futur! Pour lui, cette femme serait donc, une version explosive dans une variante réelle tangible bien que divergente dans certains détails entre Mónica Bellucci et Ornella Muti, la vie serait une vie horrible à côté de la "madone" mangeant des pattes et de la pizza. C'était la raison de donner fin à une magnifique histoire.

Segunda parte DEUXIÈME PARTIE
Traduit au Français en dessous...
Por anónimo el martes 9 de marzo del año 2021
Un grupo de no menos de 6 amigos se encontraban sentados en la hierba en el bosque de Bolonia en el extremo oeste de París no lejos de la puerta de la Mouette. Los sábados y los domingos en la tarde nuestro grupo de amigos se encontraban para compartían una gran amistad que los unía, sobre todo los recuerdos y el hecho de hablar español. Al encontrarse en una ciudad tan grande como París, dónde el número de habitantes es enorme pero sobre todo la amalgama cultural es una de las características de las grandes urbes del mundo.
En parte por ingenuidad en parte quizá voluntario, nuestros amigos hablaban con un tono de voz relativamente alto. A unos 4 o 5 metros se encontraban otros grupos de personas de otras nacionalidades y entre esos grupos un grupo de unas cinco mujeres entre 20 y 30 años. Uno de nuestros actores de este momento quizás de los más atrevidos, hizo alusión al hecho de qué vivían desde hace varios meses sin tener relaciones, desde luego que hablando en castellano se “suponía” qué solo ellos comprenderían.
Cómo ocurrió lo que sin duda la mayoría de ellos esperaba una de las personas del sexo femenino que se encontraba a tres metros en un grupo de mujeres se levantó y vino con la excusa de pedir que le prendieran un cigarrillo.
Esto incomodó a algunos supuestamente caballeros de grupo, no todos fumadores, solo uno se levantaría sacando de su chaqueta en cuero el encendedor.
La dama de ojos verdes de un metro y 85 cm aproximadamente de 65 a 67 kg con unas medidas de 88 58 92 se alejó, mientras la mayoría escudriñaban su más mínimo gesto, de unos Blue jeans, unos tenis negros y una blusa debajo de un blusón en cuero estampillado Louis Vuitton de tinte amarillo ocre, de un precio por el año 1989 de no menos de 28 000,00 francos.
El evento concluyó enfriando a los jóvenes que a primera vista, no deberían aspirar tan alto, puesto que en solo ropa la muchacha que pasó a pedir fuego podría llevar encima sin contar el reloj unos 40 o 50000 francos. Uno de nuestros compinches se levantó y pasó al lado de ese grupo de jóvenes damas tratando de identificar detalles complementarios. Disimuló su salida yendo un poco más lejos y al volver comentó al grupo que se trataba sin duda de gente del barrio chic llamado Neully, que en ese caso no tendrían ni con que invitarlas a tomar un helado, en cuanto a la tentación de enamorar con esta encendida de cigarrillo, se suspendieron los comentarios vulgares de machos de meses sin relaciones, nuestro grupo de caballeros siguieron conversando tratando otros temas del pasado, las pilatunas de juventud en aquella ciudad común a todos en su adolescencia. Tratarían de bajar un poco la voz para hacer más íntima la charla pero el efecto ya se había logrado, cada uno habló de lo que harían el lunes, todos en general irían a trabajar exacto uno de ellos que programó ir al centro Pompidou a pasar el día estudiando francés, sus compañeros se burlaron de su proyecto, todos dijeron que en varios años, entre ellos dos sin hablar francés, siempre trabajando, no era tan necesario el francés, de todas maneras el francés vendría con el tiempo, pero nuestro individuo parecía determinado por aprender a expresarse y comprender el francés en solo 6 meses, cosa que solo provoca risas de sus camaradas.
Antes de oscurecer, el parque comenzó a quedar vacío. De la mano, las sombras y el silencio, parecían, luchar con el sol que en derrota sedería a las 9:21 cuando nuestros aspirantes a Romeo frustrados, ya tomaban el metropolitano de la línea 9 dirección la “maire de Montreuil” o el RER C, en la estación “La Mouette”, la mayoría sabiendo que al domingo siguiente, intentarían, una nueva pesca de otras sardinas.
El lunes 7 de agosto de 1989 como de costumbre un colombiano se encuentra a las 9:00 de la mañana haciendo fila para entrar al centro Pompidou con la intención de aprender francés en el laboratorio de lenguas. La fila es larga, habitualmente toma casi una hora pues a las 10:05 ya estaba nuestro estudiante de francés en el laboratorio repitiendo y leyendo con un casco en las orejas. La regla dice que solo se tiene derecho a 30 minutos, para permitir el uso de los equipos a otros estudiantes, por lo cual se debe esperar, volver a hacer fila y esto implica solamente hora y media en un día completo. A las 11:47 nuestro colombiano sale al tercer piso al lado de la música este centro es más que una biblioteca el Centro Pompidou tiene más de 4 pisos y uno de ellos está exclusivamente consagrado a los discos y todo tipo de documentos sonoros, vídeo incluido, por esta razón en el tercer piso se encuentra una gran cantidad de vinilos que son accesibles gratuitamente a los visitantes y nuestro colombiano busca un disco de Henry Fiol, lo encuentra, lo saca y al momento de llevarlo para hacerlo escuchar se encuentra con la misma joven dama de la tarde anterior. Lleva el disco, mientras conversan un poco. Desde luego que nuestro joven colombiano piensa que se trata de una casualidad. Y entablan una conversación que dura incluso más de lo que él había previsto se entretuvieron dialogando, cuando se dieron cuenta ya eran las 7:00 de la tarde, de todas maneras esto que al principio se suponía se trataba de un encuentro casual estaba programado por parte de nuestra chica que resultó de origen italiano pero que había vivido unos años en Argentina, por consiguiente había escuchado la integralidad de lo que se decía entre nuestros falsos romeros. Lo que nuestro colombiano no sabía oh trataba de negarse a admitir, incluso ante la evidencia es que la chica solo quería compartir su intimidad. Este colombiano incómodo le dijo que vivía en Créteil le explico en esta tarde su situación, en esta larga tarde ella igual explicó la situación que llevaba, trabajaba en un convento en el sector de Passy y tenía toda su noche libre nuestro amante en pañales o en formación nivel primiparo, realizó algunas gestos torpes pero interpretados por nuestra italiana de ojos verdes como normal ella en realidad no tenía 28 años simplemente por el esfuerzo de maquillaje podría aparentar de 25 pero esa tarde fue suficiente para sincerarse entonces explicó que tenía 35 años de los cuales seis vividos en Argengins, a las 6:00 de la tarde nuestros nuevos enamorados quitaron el Centro Pompidou, ella invitó a una tienda no muy lejana compro unas manzanas y unas peras y compartieron mientras viajaban en el metro hacia Créteil. Nuestro joven enamorado le explico que vivía en un lugar donde la entrada era controlada y no se permitía de ninguna manera el acceso a personas de sexo opuesto a las residentes. Nuestra joven explicó que ella hablaba bien francés y se presentaría como una responsable de una empresa tratando de llenar unos formularios para poder darle empleo. Así fue que llegaron a la estación “Créteil L'échat" por la línea 8.
Nuestra responsable de recursos humanos de una empresa ficticia se dirigió a la persona que custodiaba la entrada y le dijo que deberían entrar para llenar unos formularios y tomar los papeles de identidad necesarios para un empleo del joven que había descubierto con talento, el cual tendría un salario neto de 8000 francos mensuales al cabo de dos meses de prueba.
El modesto vigilante que ya había visto algunos de los dibujos de nuestro huésped permitió con cara de satisfacción, mientras lo felicitaba, que la responsable de recursos humanos entrara con él a buscar sus documentos y a llenar un formulario, ella discretamente para darle más credibilidad a la situación le preguntó al aspirante, si terminaba la prueba psicotécnica en la alcoba o la terminaba en la oficina, mientras agregaba, que era importante que a las 8:00 de la mañana estuviera en el taller. En cuanto se entraron en la escalera bajó el tono de voz, explicando que la vestimenta y la firmeza del discurso son suficientes para hacer verdad cualquier mentira. Poco tiempo después llegan a una alcoba modesta una cama, una mesa y una silla, y al fondo una ventana, que el joven se apresura en serrar, corriendo las gruesas cortinas de color rojo. Hay una pequeña nevera con dos cartones de leche sellados y un tercer cartón en la puerta comenzado. Sobre la nevera modesta vajilla en vidrio transparente, sobre la mesa, solo un vaso de plástico azul, una botella de agua de un litro.
Al dar la vuelta el hombre luego de serrar la ventana, fue sorprendido por una amazona en fuego, que lo despoja del blusón, y le desabotona uno a unos los botones, mientras lo besa casi sin respirar. Nuestro hombre, se siente tan sorprendido, que no logra controlar la situación. Ella discretamente, retrocede sin dejar de besarlo, esperando que su conquista, tome la iniciativa, rápidamente se da cuenta que está ante un hombre demasiado lento a responder, así que lo acuesta literalmente, al comenzar a desvestirse al fin el comienza a desabotonar su blusa, ella desabrocha su brasier talla 95A dejando ver unos maravillosos senos.
Por fortuna el lecho era sólido, en metal y una reja metálica que soportaba la colchoneta, porque durante unos minutos su resistencia fue sometida a una prueba extrema,
Las patas con caucho atenuaban el ruido pero el borde contra el muro, llevaría la pareja a descender el colchón al suelo, donde siguió un ejercicio que por la cantidad de transpiración, de ambos cuerpos, podríamos comparar la intensidad a una carrera de dos o tres mil metros, los corazones de ambos latina tan fuerte que en el cuello se podía ver a simple vista el pulso. La respiración se agitaba hasta un último grito reprimido por un doloroso mordisco propinado, en el hombro de este improvisado amante.
Al cabo de unos momentos, la respiración regresaba a ritmo normal. Los baños estando al exterior, primero el casanova decidió salir a inspeccionar el terreno, mientras la amante solo sacaba la cabeza por la puerta, cuando el paso estaba garantizado, una señal permitió que ella se fuera al baño, los dos se frotaron mutuamente, dejando ver su mutua admiración. Luego se repitió la escena de observación del corredor en sentido inverso. La italiana recuperó su bolso. Juntos bajarían, ella pidió al vigilante que abriera la puerta, agradeciendo su colaboración. Él joven pidió permiso al vigilante para acompañarla a la estación del metro.
Esta aventura duraría varios meses. Pero llegó aquel día en que el hombre, invitado como cada domingo a misa, comprendió al final de la ceremonia a pesar de que solo se hablaba en Italiano, que su enamorada, decía al sacerdote que el seria su esposo y que lo llevaría a Italia a la región de Toscana a la ciudad de Florence. Si bien ella era muy hermosa y de una fogosidad sin par, pues varias veces por su adición al cunnilingus le hubiera provocado abrasiones múltiples de la epidermis que en esa parte es ya de espesor ínfimo. Al punto de sufrir un calvario con el frotamiento del pantalón al caminar.
Todo eso en una balanza con los cuentos y prejuicios de la mujer italiana, además del hecho de detestar la pizza y las pastas! Seria demasiado así que mucho miedo del futuro! Por ella, así se tratará de una versión explosiva en variante real tangible aunque divergente en algunos detalles entre Mónica Bellucci y Ornella Muti, seria una vida horrenda la vida al lado de la “madona" comiendo fideos y pizza. Esto fue la razón para dar fin a una magnífica historia.
Traduction en Français par Nestor E Ramirez
[size=33]Dialogues improbables[/size]
Deuxième partie

De anonyme le mardi 9 mars 2021
Un groupe de pas moins de 6 amis était assis sur l'herbe dans les bois de Boulogne à l'extrême ouest de Paris, non loin de la porte de la Mouette. Le samedi et le dimanche après-midi, de chaque "week-end" notre groupe d'amis s'est réunit pour partager une grande amitié qui les rassemble, en particulier les souvenirs et le fait de parler espagnol. Être dans une ville aussi grande que Paris, où le nombre d'habitants est énorme mais surtout l'amalgame culturel est l'une des caractéristiques des grandes villes du monde.
En partie par naïveté, en partie peut-être volontaire, nos amis ont parlé d'une voix relativement élevée. A environ quatre ou cinq mètres se trouvaient d'autres groupes de personnes d'autres nationalités et parmi ces groupes un groupe d'environ cinq femmes âgées de 20 à 30 ans. Un de nos acteurs, des charlots, oui! à cette époque, peut-être l'un des plus audacieux, a "crié presque, sur les toits" au fait qu'ils avaient vécu pendant plusieurs mois sans avoir des relations intimes, bien sûr parlant en espagnol, il était "supposé" que seuls eux comprendraient.
Alors, ce à quoi la plupart d'entre eux s'attendaient sans doute, s'est-il passé! Une des jeunes femmes est venu demander du feu pour ça cigarette.
Cela dérangeait certains soi-disant messieurs du groupe, pas tous de fumeurs, un seul s'est levait en prenant le briquet de sa veste en cuir.
La dame aux yeux verts d'un mètre et 85 cm d'environ 65 à 67 kg avec des mesures de 88 58 89 s'éloignait, tandis que la plupart des gars au sol, scrutaient ses formes et ses moindres gestes, d'un bleu jean, des tennis noires et un chemisier sous une blouse en cuir estampé Louis Vuitton en teinte jaune ocre, au prix de l'année 1989 d'au moins 28 000,00 francs.
L'événement s'est conclu en refroidissant les jeunes improvisés Casanova, decouvrant tout à coup, qu'ils ne devaient pas viser si haut, puisque les vêtements, de la fille qui demandait du feu, pouvait porter 40 ou 50 000 francs sans compter la montre.
Un des copains s'est levé et est passé devant ce groupe de jeunes femmes essayant d'identifier des détails complémentaires.
Il a dissimulé son départ en allant un peu plus loin et à son retour il a commenté au groupe qu'il s'agissait sans aucun doute de gens du quartier chic appelé Neully, qui dans ce cas ils n'auraient même pas moyens de les inviter à prendre une glace, donc la tentation de trouver une aventure, avait pris de l'eau, le seul fait d'allumer une cigarette, dans les commentaires vulgaires d'hommes en relations, avec leur faim de femme ont été suspendus, leurs rêves parti en fumée, c'est le cas de le dire! notre groupe de messieurs a continué à parler d'autres sujets, du passé, les pilatunas de la jeunesse dans cette ville commune à tous en leur adolescence. Ils essayaient de baisser un peu la voix pour rendre le discours plus intime mais l'effet était déjà obtenu, chacun parlait de ce qu'il ferait le lundi, tout le monde en général irait au travail, exactement, sauf l'un d'entre eux qui avait prévu d'y aller au centre Pompidou pour passer la journée à étudier le français, ses collègues se moquaient de son projet, ils disaient tous qu'en plusieurs années, dont deux sans parler français, toujours en train de travailler, le français n'était pas si nécessaire, de toute façon le français viendrait avec le temps, mais notre individu semblait déterminé à apprendre à s'exprimer et à comprendre le français en seulement 6 mois, ce qui ne fait que rire ses camarades.
Avant la tombée de la nuit, le parc a commencé à se vider. Main dans la main, les ombres et le silence, semblaient se battre avec le soleil qui, dans la défaite, disparaîtra à 9h21 alors que nos aspirants à "Roméo frustrés" prenaient déjà la ligne 9 du métropolitaine vers l«maire de Montreuil» ou le RER C , à la station "La Mouette", la plupart sachant que le dimanche suivant, ils tenteraient une nouvelle pêche à d'autres sardines.
Le lundi 7 août 1989, comme d'habitude, un Colombien s'est retrouvé dans une longue file à 9 heures du matin pour entrer au Centre Pompidou avec l'intention d'apprendre le français dans le laboratoire de langues.
La file d'attente prend généralement près d'une heure car à 10h05, notre étudiant de français était déjà dans le laboratoire en train de répéter et de lire avec un casque aux oreilles.
La règle dit que vous n'avez droit qu'à 30 minutes, par section, pour permettre l'utilisation du matériel à d'autres étudiants, il faut donc attendre, se remettre en ligne et cela n'implique droitc à etudier qu'une heure et demie dans une journée tout au plus. A 11h47, notre colombien se rend au troisième étage à côté de la musique, ce centre est plus qu'une bibliothèque, le Centre Pompidou compte plus de 4 étages et l'un d'eux est exclusivement consacré aux disques et toutes sortes de documents sonores, vidéo Pour cette raison, au troisième étage il y a un grand nombre de vinyles qui sont librement accessibles aux visiteurs et notre colombien cherche un album de Henry Fiol, le trouve, le sort et quand il le prend pour le faire écouter; il trouve qui? c'est la demoiselle de la veille. Prenant le disque, pendant qu'ils parlent un peu.
Bien sûr, notre jeune colombien pense que c'est une coïncidence.
Et ils s'engagent dans une conversation qui dure encore plus longtemps qu'il ne l'avait prévu, ils se sont divertis en parlant, quand ils ont réalisé qu'il était déjà 7 heures de l'après-midi, (en août à cette époque, le soleil, se couche dans deux heures et demi) de toutes façons, ce qui était censé être au départ une rencontre fortuite était planifié en grande partie, par cette charmeuse femme qui s'est avérée être d'origine italienne mais qui avait vécu quelques années en Argentine, elle avait donc écouté l'intégralité de ce qui se disait parmi nos faux pèlerins. Ce que notre Colombien ne savait pas ou il a essayé de refuser de l'admettre, même face à la preuve, c'est que l'italienne voulait seulement "lui faire passer à la casserole" en fin partager son intimité quoi!
Cet colombien mal à l'aise été obligé de lui a confesser qu'il habitait dans un foyer à Créteil et lui a expliqué sa situation pendant toute cette après-midi là, ce long une après-midi, quand même! elle a expliquée la situation où elle vivait, en fait elle travaillé dans un couvent de bonnes soeurs, du secteur de Passy au XVIème et notre amant en herve a du passé le debut de sa nuit en mode ou niveau entraînement, au fait quelques gestes maladroits, mais interprété par notre italienne aux yeux verts comme sont obligation d'être institutrice, elle n'avait pas vraiment 28 ans simplement à cause de l'effort de maquillage qu'elle pouvait donner l'air de 25 mais cet après-midi était suffisant pour être honnête puis elle a expliqué qu'elle avait en réalité 35 ans ans dont six vécus en Argentine, à 6h00 de l'après-midi nos nouveaux amoureux "touts frais" ont quitté le Centre Pompidou, elle a invité entrer dans un magasin pas trop loin, acheté des pommes et des poires qu'ils ont partagé en voyageant dans le métro vers Créteil. Notre jeune amant a expliqué qu'il vivait dans un endroit où l'entrée était contrôlée et ne permettait en aucun cas l'accès aux personnes du sexe opposé aux résidents. Notre jeune femme a expliqué qu'elle parlait bien le français et qu'elle se présenterait comme dirigeante d'une entreprise essayant de remplir des formulaires pour pouvoir lui donner un emploi. C'est ainsi qu'ils sont arrivés à la station «Créteil L'échat» sur la ligne 8.
Ils se sont mis d'accord, il rentrait seul d'abors, apres elle irait demander au gardien, en parlant d'un emploi et sont nom, chise qui c'est ainsi passé. L'homme monte frappe a la porte du colimbien, en l'invitant a descendre.
Alors que notre responsable des ressources humaines d'une entreprise fictive a approché la personne qui gardait l'entrée et lui a dit qu'elle cherche en urgence monsieur, qu'il fallait venir remplir des formulaires et prendre les papiers d'identité nécessaires pour un emploi, qu'elle avait découvert avec talent dans la semaine un colombien donnant cette adresse, qui aurait un salaire net de 8000 francs par mois après deux mois de stage.
La modeste veilleur qui avait déjà vu certains des dessins du colombien a permis que l'élégante damme entre exceptionnellement avec un visage satisfait, tout en le félicitant. La responsable des ressources humaines prie de venir avec lui pour retrouver ses documents et remplir un formulaire, donnant ainsi discrètement plus de crédibilité à la situation en temos qu'elle demandée au supposé demandeur d'emploi s'il voulait "terminé le test psychotechnique dans la chambre" ou s'il voulait le terminé au bureau, tout en ajoutant qu'il était important qu'il soit à l'atelier à 8 heures du matin.
Dès qu'ils sont entrés dans l'escalier, ils ont baissé la voix, elle expliquant que la robe et la fermeté du discours suffisent à rendre un mensonge vrai.
Peu de temps après, un lit, une table et une chaise, ils arrivent dans une chambre très modeste, et au fond une fenêtre, que le jeune homme s'empresse de fermer, tirant les épais rideaux rouges. Il y a un petit réfrigérateur avec deux cartons de lait scellés et un troisième carton sur la porte déjà commencé. Sur le frigo de modestes assiettes en verre transparent bon marché, sur la table, seulement une tasse en plastique bleu, une bouteille entamée d'un litre d'eau.
Alors que l'homme se retournait après avoir fermée la fenêtre, il fut surpris par une amazone en feu, qui le dépouilla de sont blouson, ent déboutonnant un à un les bouton de sa chemise, en l'embrassant presque sans respirer. Notre homme est tellement surpris qu'il ne peut pas contrôler la situation. Elle repart marche arriere vers le lit, discrètement sans cesser de l'embrasser, espérant que sont agissement prendra en lui le feu, et lui poussera a prendre l'initiative, elle se rend vite compte qu'elle fait face à un homme qui est trop lent pour répondre, alors elle le met littéralement au lit, quand elle commence à se déshabiller enfin il commence à déboutonner son chemisier, elle déboutonne son soutien-gorge taille 95A dévoilant ses magnifiques seins.
Heureusement, le lit était solide, fait de métal et d'une grille métallique qui soutenait le matelas, car pendant quelques minutes sa résistance a été soumise à la plus rude épreuve, un test extrême.
Les pieds en caoutchouc atténuaient le bruit mais le bord contre le mur conduirait le couple à descendre le matelas au sol, où ils ont suivi un exercice dont, en raison de la quantité de transpiration des deux corps, on pourrait comparer l'intensité à une course de deux ou trois mille mètres, les cœurs des deux palpitants si forts que dans le cou on pouvait voir le pouls à l'œil nu. Ça soufflait, ça tremblait jusqu'à un dernier cri réprimé par une morsure douloureuse donnée, sur l'épaule de cet amant improvisé.
Après quelques instants, sa respiration est revenue à un rythme normal. Les salles de bain étant à l'extérieur, la casanova a d'abord décidé de sortir inspecter le terrain, tandis que l'amante en devenir ne faisait que passer la tête par la porte, quand le "la voie à ete libre" le passage était garanti, un signal lui permettait d'aller à la salle de bain, les deux se frottaient mutuellement, partageant leur mutuellexadmiration. Ensuite, la scène d'observation du couloir a été répétée à l'envers. L'Italienne a récupéré son sac à main. Ensemble, ils descendraient, elle a demandé au garde d'ouvrir la porte, le remerciant de sa collaboration "ses dossiers bien remplis". Le jeune homme a demandé au gardien la permission de l'accompagner à la station de métro.
Cette aventure durera plusieurs mois. Mais le jour vint où l'homme, invité comme chaque dimanche à la messe, comprit à l'issue de la cérémonie, malgré le fait que seul l'italien était parlé, que sa copine avait dit au prêtre qu'il serait son mari et qu'elle le ramenerait en Italie à la région de la Toscane à la ville de Florence.
Même si elle était très belle et fougueuse sans pareil au lit, car plusieurs fois en pratiquant le cunnilingus elle saurait responsable de multiples écorchures de l'épiderme qui dans cette partie est déjà très mince. Au point de subir une épreuve terrible a chaque pas avec le frottement du pantalon en marchant.
Tout cela en équilibre avec les histoires et les préjugés de la femme italienne, en plus du fait que le colombien détestait les pizzas et les pâtes! Ce serait trop peur du futur! Pour lui, cette femme serait donc, une version explosive dans une variante réelle tangible bien que divergente dans certains détails entre Mónica Bellucci et Ornella Muti, la vie serait une vie horrible à côté de la "madone" mangeant des pattes et de la pizza. C'était la raison de donner fin à une magnifique histoire.

Última edición por Admin el Miér 10 Mar - 7:20, editado 2 veces
L'AMOUR DE MIROMESNIL 2
[size=26]El amor de Miromesnil[/sise]
suite.
Escrito por Anónimo el sábado 6 de marzo de 2021
Una o dos veces por mes continuamos visitando la tía Esther en FontaineBlue hasta el mes de agosto. En solo seis meses mis trabajos representaban 28,6% del resultado del taller según Gloria la contadora que me hizo firmar un contrato de 15% sobre los trabajos en el equipo de Sandra. El contrato que me pareció inicialmente difícil de interpretar, pues recibía 15% de beneficios sobre los negocios que yo concluyera.
Los primeros seis o siete contratos los realicé como asistente de Sandra (intimidado ante los valores dementes para mi que en enero recibía cada fin de jornada ciento cincuenta Francos un poco más de veinte y dos euros, unos 4200 francos hubiera ganado en un mes, solo podía actuar en observador silencioso).
A principios del mes de abril del año 89, fui a visitar una casa en París XVI. En el corazón de Passy, muy tranquilo sector discreto, construida sobre 231 m2 con tres terrazas la más grande de 33 m2, al piso sobre la calle. Una gran sala a la entrada, muro elaborado todo en vidrio, que da a la calle, una cocina americana, en cada una de las cuatro alcobas una sala de baño, luego al fondo una alcoba principal con cuarto de ropas y lujosa sala de baño. Una sala de tv, una oficina con gran muro en vidriera, un cuarto para quinta alcoba. En el sótano un gran gimnasio, un cuarto de ropas y una cava, enseguida un gran garaje de 40 m2. Una inversión de un costo de exactamente 47% de mis economías de los dos primeros meses de trabajo, el consejo llego de la contadora de Sandra, luego de mi segundo mes de trabajo, la protección de Sandra según Gloria , que afirmó que esa casa en el sector de Passy era una inversión segura. No olvido ante el notario pues la verdad esos momentos no se olvidan, llenar los números muy fácil, en letras deje a la asistente del notario escribir y me lo leyó treinta y cinco millones noventa y tres mil setecientos francos.
Muy rápidamente descubrí otra parte de las calidades de mi patrona, pues era accionaria y miembro del Consejo de administración de las empresas Louis Vuiton, Hermes, Lancome y Givenchi, con 4 580,4 M€ en publicidad un 13% de sus resultados, (cifras en euros para simplificar la lectura pues solo diez años después en 1999 Francia abandonó el Franco). Bernard y la tía Esther igualmente en la junta directiva manejaban 42,8% y Sandra 33,8% del presupuesto publicitario.
En meses de febrero y marzo 1989, el balance de Sandra por contratos solo de esas empresas representaba 258 335 millones y mi cuenta bancaria sólo presentaba ingresos de 3,29% de esa suma, pero confieso que no me importaba. Pues me consideraba feliz por el solo hecho de estar aprendiendo en un dominio que nunca imaginé, que mi patrona me hacía descubrir enseñándome cada día además de
disponer de mi casa.
Por tradición un hecho tan memorable se debe festejar, en propietario poco acostumbrado se pidió consejos, para contratar un equipo a domicilio que sobre la base de una tarifa basada en el número de personas y el menú presentaría un precio, indudablemente no se trataría de platos con langostinos o caviar, o sea algo a precio razonable.
No olvidemos que en enero calentaba agua y le agradaba dos cucharadas soperas de leche en polvo e igual cantidad de chocolate en polvo y que para que saliera económico, compraba los paquetes de croissants de diez o doce unidades en el Monoprix cercano.
Mi sorpresa fue muy agradable al ver que el precio promedio por persona de algo ya de buen nivel, solo significaría tres días de mi salario en la tienda por persona, hoy entre sesenta y ocho euros, es decir mil seis cientos euros en total para el grupo. Me quedé ojeando los folletos de tres servicios a domicilio incluido el personal y comprendí que la ocasión en que recibiría seis amistades de mi curso de diseño más la profesora, la contadora, la tía Esther y Bernard con Sandra. Mis ocho colegas de trabajo valdría mucho más que cualquier dinero.
Se elaboró una lista simple en una hoja de la agenda de Sandra y le di los nombres de seis personas. Dafné me dijo ella:
- No me cae bien, Sophie si , ella en cambio sabe dibujar.
– Dafne no sabe es verdad.
– Yo no se si terminará el otro día conversando… me dijo que eso no le interesaba!
- ¿Thomas no lo conoces?, me agrada hacer los trabajos con E
l.
– Espera , ¿Quién es, el que trabajó contigo en esa maqueta el otro día?
– No, el de la maqueta es Phillipe no lo conoces!.
– Laure,¿Quién es esa, ya la he visto? su nombre me dice algo.
– Es ella que pasa al taller a charlar con Dafné , de vez en cuando.
– Ya se…
por eso es que Dafné no me agrada, tomo las cosas a la ligera, ni pidió permiso para llevarla al taller, solo pasó a decirme que una amiga vendría a recogerla. Y cada que viene, solo es para charlar y perturbar pues cuando se ríen las he visto.
– Ya les he hecho señas varias veces para llamar su atención .
– Laure me mira de una manera!.
- Terminamos la lista con seis del curso, Gloire, Sther, Bernard más las ocho personas del taller, al final serán veinte personas.
Decidí entonces preguntar por teléfono a Bernard, quien me aconsejó alguien de confianza, llamé y concluí por la módica suma inferior a veinte mil francos algo así como tres mil euros, servicio completo.
El sábado 27 de mayo se fijó como fecha de esa cena, pedí a mis invitados con un mes de anticipación que reservarán la fecha para una cena.
La noche del viernes 26 casi no pude dormir muy inquieto, Sandra en la mañana lo notó en mi rostro, con una gran sonrisa sacó una pasta para dormir y me la dio a beber con el desayuno, me causo sueño y me quedé dormido, según ella el equipo incluso timbro, media hora más tarde, ella se ocupó de recibirlo. Dormí tan profundamente que el trajín de las personas, no me perturbó, ya pasado el medio día Sandra se sentó moviendo primero mis manos luego mis hombros hasta despertarme.
En la foto Sandra en las afueras de Saint Jean de Luz, el día 6 de mayo de 1989, fue esa la primera vez que me llevó a visitar sus padres.
Bernard hasta esa cena, habría tenido una opinión más que indiferente, desconfiando de mi.
Mis visitantes en su gran mayoría aportaron bebidas, vino y algunas botellas de champaña. Quisieron al llegar visitar la casa; Sandra los llevo a conocer, mientras otro grupo a mi lado conversábamos, al entrar al cuarto donde guardaba mis trabajos y pinturas ocurrió lo inesperado
Bernard vino a verme con una copia de la mona lisa que había hecho en ejercicio para el instituto, preguntando ¿Quien había pintado? Thomas respondió por mi, en broma levantando las dos manos, eso fue razón para que el grupo se pusiera a reír. Pierre agregaría y con Prince se ganó otro cinco… Thomas cambio de posición, me abrazo fuerte, diciendo:
- Mi padre ya le ha ofrecido quince mil francos por esa Gioconda, primero le ofreció diez mil…
Bernard dijo entonces, que deseaba que se la vendiera, por diez y ocho mil francos. Anne Sophia mi profesora del instituto intervino, diciendo que ella ya estaba primero en orden de prioridad, en realidad cuando el trabajo había sido presentado, es cierto que como en otros trabajos siempre me solicitó que se les regalara o vendiera.
Bernard me llamó aparte y me dijo:
- Je dois te presenter mes excuses, quand Esther m'a dit jusqu’alors que du bien de toi, jai vraiement pas cru, j’ai même cru que sa nièce faisait fause route en parlant de toi, en voyant tes exercices, et d’après Anne Sophia, j'en fin compris, j’ai jamais su dessiner et moins encore peindre. Je crois que ton avenir est tout tracé parmi nous.
La verdad que me sentí muy incómodo y regresamos al grupo mientras caminábamos Bernard me dio tres palmadas en el hombro, nos sentamos y la tía Esther pidió que bajaran el volumen de la música, mientras sacaba de su cartera un papel:
- Por favor debo hacer un anuncio muy importante, silencio, nuestra familia se creció, le dejo la palabra a mi sobrina.
– Aprovecho esta oportunidad para hacerles saber que nos trasladaremos al penúltimo piso del edificio más alto y más moderno de la Defensa.
– Pensé que dirías que con este hombre; (dijo Bernard mientras me echaba el brazo encima), nos darían un sobrino.
– Eso será después (dijo la tía Esther mientras sonreía).
Nos hubiéramos creído en una tribuna de rugby a juzgar por la algarabía.
– Mi profe logró el silencio dirigiéndose a la música, para apagarla y dijo:
- Yo seré la madrina, pero esto es muy en serio.
Sandra con grandes señas calmo la algarabía , mientras se puso de pie a mi izquierda y dijo:
- Celui-là, est jusqu’au jours d’aujourd’hui, mon meilleur ami, est je souhaite que cela soit très claire, oui je l'aime, mais comme un grand ami.
Laura se vino rápidamente y dijo a mi oído:
- Dijiste que era tu esposa en el instituto.
Sandra se volteó frente, a mí me cerró en sus brazos y me sorprendió con un beso.
De inmediato se formó un coro de todo el grupo repitiendo, que repitiéramos (el beso) otra vez. Sandra y Laure me levantaron los brazos y Anne Sophie subió el sonido. Bailamos cambiando de pareja. Cuando me correspondió bailar con Esther me dijo al oído: - mi sobrina es muy reservada desde que sale contigo, vive sonriente, más segura.
Sentí que sollozaba y me pidió de voz muy solemne:
- Por favor, no deseo que te sientas de ninguna manera obligado. Ella ya sufrió, es una larga historia que ella te contaría, te pido que no la hagas sufrir.
Fue una cena muy constructiva para mi en particular me había en fin ganado la confianza de Bernard. El equipo de ocho pasaría a 18 diseñadores, hasta ese día sólo conocía a Juliette, Marie y Claire. Nunca visité el taller de la tía y Bernard.
Sandra vino y me pidió tomándome de la mano que la acompañara:
- Por favor deseo que me perdones, no te sientas obligado, seamos solo amigos si prefieres, no esta bien que te sientas forzado a una relación.
Le puse mi dedo índice en la boca de manera muy lenta y le dije:
- El primer día que te vi, pensé que se trataba de una mujer demasiado elegante para mi, además ya en calidad de empleadora, pensé siempre que debía darle prioridad a mi futuro profesional y que tratar de enamorarte sería un monumental error, pues hasta ahora siempre he creído que hay alguien muy importante en tu vida y si tratara de enamorarte me encontraría en la posición más ridícula posible. Perdóname si dije en el instituto que eras mi esposa, esa fue mi manera de evitar historias con las compañeras.
– Te confieso que me sentí muy halagada al escuchar eso de Laure. No debes sentirte inferior a nadie, somos iguales, tu tienes un don que yo no tengo, todo el personal recibe un salario, tienen confianza en lo que haces, por favor, mira todo desde un ángulo positivo, piensa cada gesto cada frase, no deseo por nada del mundo que me mires como quien te da órdenes y te paga, mirarme como tu asociada, en la oficina y por favor si estas enamorado de alguien, guardemos esta amistad que nos hace ganar de todas maneras.
Me tomo de la mano y me llevo al taller, tomo un trabajo que había hecho con Armstrong y me dijo:
- Te ofrezco treinta mil francos por esta pintura.
Le Respondí
- Te la regaló.
Ella me abrazó muy fuerte y con una gran sonrisa me dijo:
- Eres el hombre más genial que he conocido.
suite.
Escrito por Anónimo el sábado 6 de marzo de 2021
Una o dos veces por mes continuamos visitando la tía Esther en FontaineBlue hasta el mes de agosto. En solo seis meses mis trabajos representaban 28,6% del resultado del taller según Gloria la contadora que me hizo firmar un contrato de 15% sobre los trabajos en el equipo de Sandra. El contrato que me pareció inicialmente difícil de interpretar, pues recibía 15% de beneficios sobre los negocios que yo concluyera.
Los primeros seis o siete contratos los realicé como asistente de Sandra (intimidado ante los valores dementes para mi que en enero recibía cada fin de jornada ciento cincuenta Francos un poco más de veinte y dos euros, unos 4200 francos hubiera ganado en un mes, solo podía actuar en observador silencioso).
A principios del mes de abril del año 89, fui a visitar una casa en París XVI. En el corazón de Passy, muy tranquilo sector discreto, construida sobre 231 m2 con tres terrazas la más grande de 33 m2, al piso sobre la calle. Una gran sala a la entrada, muro elaborado todo en vidrio, que da a la calle, una cocina americana, en cada una de las cuatro alcobas una sala de baño, luego al fondo una alcoba principal con cuarto de ropas y lujosa sala de baño. Una sala de tv, una oficina con gran muro en vidriera, un cuarto para quinta alcoba. En el sótano un gran gimnasio, un cuarto de ropas y una cava, enseguida un gran garaje de 40 m2. Una inversión de un costo de exactamente 47% de mis economías de los dos primeros meses de trabajo, el consejo llego de la contadora de Sandra, luego de mi segundo mes de trabajo, la protección de Sandra según Gloria , que afirmó que esa casa en el sector de Passy era una inversión segura. No olvido ante el notario pues la verdad esos momentos no se olvidan, llenar los números muy fácil, en letras deje a la asistente del notario escribir y me lo leyó treinta y cinco millones noventa y tres mil setecientos francos.
Muy rápidamente descubrí otra parte de las calidades de mi patrona, pues era accionaria y miembro del Consejo de administración de las empresas Louis Vuiton, Hermes, Lancome y Givenchi, con 4 580,4 M€ en publicidad un 13% de sus resultados, (cifras en euros para simplificar la lectura pues solo diez años después en 1999 Francia abandonó el Franco). Bernard y la tía Esther igualmente en la junta directiva manejaban 42,8% y Sandra 33,8% del presupuesto publicitario.
En meses de febrero y marzo 1989, el balance de Sandra por contratos solo de esas empresas representaba 258 335 millones y mi cuenta bancaria sólo presentaba ingresos de 3,29% de esa suma, pero confieso que no me importaba. Pues me consideraba feliz por el solo hecho de estar aprendiendo en un dominio que nunca imaginé, que mi patrona me hacía descubrir enseñándome cada día además de
disponer de mi casa.
Por tradición un hecho tan memorable se debe festejar, en propietario poco acostumbrado se pidió consejos, para contratar un equipo a domicilio que sobre la base de una tarifa basada en el número de personas y el menú presentaría un precio, indudablemente no se trataría de platos con langostinos o caviar, o sea algo a precio razonable.
No olvidemos que en enero calentaba agua y le agradaba dos cucharadas soperas de leche en polvo e igual cantidad de chocolate en polvo y que para que saliera económico, compraba los paquetes de croissants de diez o doce unidades en el Monoprix cercano.
Mi sorpresa fue muy agradable al ver que el precio promedio por persona de algo ya de buen nivel, solo significaría tres días de mi salario en la tienda por persona, hoy entre sesenta y ocho euros, es decir mil seis cientos euros en total para el grupo. Me quedé ojeando los folletos de tres servicios a domicilio incluido el personal y comprendí que la ocasión en que recibiría seis amistades de mi curso de diseño más la profesora, la contadora, la tía Esther y Bernard con Sandra. Mis ocho colegas de trabajo valdría mucho más que cualquier dinero.
Se elaboró una lista simple en una hoja de la agenda de Sandra y le di los nombres de seis personas. Dafné me dijo ella:
- No me cae bien, Sophie si , ella en cambio sabe dibujar.
– Dafne no sabe es verdad.
– Yo no se si terminará el otro día conversando… me dijo que eso no le interesaba!
- ¿Thomas no lo conoces?, me agrada hacer los trabajos con E
l.
– Espera , ¿Quién es, el que trabajó contigo en esa maqueta el otro día?
– No, el de la maqueta es Phillipe no lo conoces!.
– Laure,¿Quién es esa, ya la he visto? su nombre me dice algo.
– Es ella que pasa al taller a charlar con Dafné , de vez en cuando.
– Ya se…
por eso es que Dafné no me agrada, tomo las cosas a la ligera, ni pidió permiso para llevarla al taller, solo pasó a decirme que una amiga vendría a recogerla. Y cada que viene, solo es para charlar y perturbar pues cuando se ríen las he visto.
– Ya les he hecho señas varias veces para llamar su atención .
– Laure me mira de una manera!.
- Terminamos la lista con seis del curso, Gloire, Sther, Bernard más las ocho personas del taller, al final serán veinte personas.
Decidí entonces preguntar por teléfono a Bernard, quien me aconsejó alguien de confianza, llamé y concluí por la módica suma inferior a veinte mil francos algo así como tres mil euros, servicio completo.
El sábado 27 de mayo se fijó como fecha de esa cena, pedí a mis invitados con un mes de anticipación que reservarán la fecha para una cena.
La noche del viernes 26 casi no pude dormir muy inquieto, Sandra en la mañana lo notó en mi rostro, con una gran sonrisa sacó una pasta para dormir y me la dio a beber con el desayuno, me causo sueño y me quedé dormido, según ella el equipo incluso timbro, media hora más tarde, ella se ocupó de recibirlo. Dormí tan profundamente que el trajín de las personas, no me perturbó, ya pasado el medio día Sandra se sentó moviendo primero mis manos luego mis hombros hasta despertarme.
En la foto Sandra en las afueras de Saint Jean de Luz, el día 6 de mayo de 1989, fue esa la primera vez que me llevó a visitar sus padres.
Bernard hasta esa cena, habría tenido una opinión más que indiferente, desconfiando de mi.
Mis visitantes en su gran mayoría aportaron bebidas, vino y algunas botellas de champaña. Quisieron al llegar visitar la casa; Sandra los llevo a conocer, mientras otro grupo a mi lado conversábamos, al entrar al cuarto donde guardaba mis trabajos y pinturas ocurrió lo inesperado
Bernard vino a verme con una copia de la mona lisa que había hecho en ejercicio para el instituto, preguntando ¿Quien había pintado? Thomas respondió por mi, en broma levantando las dos manos, eso fue razón para que el grupo se pusiera a reír. Pierre agregaría y con Prince se ganó otro cinco… Thomas cambio de posición, me abrazo fuerte, diciendo:
- Mi padre ya le ha ofrecido quince mil francos por esa Gioconda, primero le ofreció diez mil…
Bernard dijo entonces, que deseaba que se la vendiera, por diez y ocho mil francos. Anne Sophia mi profesora del instituto intervino, diciendo que ella ya estaba primero en orden de prioridad, en realidad cuando el trabajo había sido presentado, es cierto que como en otros trabajos siempre me solicitó que se les regalara o vendiera.
Bernard me llamó aparte y me dijo:
- Je dois te presenter mes excuses, quand Esther m'a dit jusqu’alors que du bien de toi, jai vraiement pas cru, j’ai même cru que sa nièce faisait fause route en parlant de toi, en voyant tes exercices, et d’après Anne Sophia, j'en fin compris, j’ai jamais su dessiner et moins encore peindre. Je crois que ton avenir est tout tracé parmi nous.
La verdad que me sentí muy incómodo y regresamos al grupo mientras caminábamos Bernard me dio tres palmadas en el hombro, nos sentamos y la tía Esther pidió que bajaran el volumen de la música, mientras sacaba de su cartera un papel:
- Por favor debo hacer un anuncio muy importante, silencio, nuestra familia se creció, le dejo la palabra a mi sobrina.
– Aprovecho esta oportunidad para hacerles saber que nos trasladaremos al penúltimo piso del edificio más alto y más moderno de la Defensa.
– Pensé que dirías que con este hombre; (dijo Bernard mientras me echaba el brazo encima), nos darían un sobrino.
– Eso será después (dijo la tía Esther mientras sonreía).
Nos hubiéramos creído en una tribuna de rugby a juzgar por la algarabía.
– Mi profe logró el silencio dirigiéndose a la música, para apagarla y dijo:
- Yo seré la madrina, pero esto es muy en serio.
Sandra con grandes señas calmo la algarabía , mientras se puso de pie a mi izquierda y dijo:
- Celui-là, est jusqu’au jours d’aujourd’hui, mon meilleur ami, est je souhaite que cela soit très claire, oui je l'aime, mais comme un grand ami.
Laura se vino rápidamente y dijo a mi oído:
- Dijiste que era tu esposa en el instituto.
Sandra se volteó frente, a mí me cerró en sus brazos y me sorprendió con un beso.
De inmediato se formó un coro de todo el grupo repitiendo, que repitiéramos (el beso) otra vez. Sandra y Laure me levantaron los brazos y Anne Sophie subió el sonido. Bailamos cambiando de pareja. Cuando me correspondió bailar con Esther me dijo al oído: - mi sobrina es muy reservada desde que sale contigo, vive sonriente, más segura.
Sentí que sollozaba y me pidió de voz muy solemne:
- Por favor, no deseo que te sientas de ninguna manera obligado. Ella ya sufrió, es una larga historia que ella te contaría, te pido que no la hagas sufrir.
Fue una cena muy constructiva para mi en particular me había en fin ganado la confianza de Bernard. El equipo de ocho pasaría a 18 diseñadores, hasta ese día sólo conocía a Juliette, Marie y Claire. Nunca visité el taller de la tía y Bernard.
Sandra vino y me pidió tomándome de la mano que la acompañara:
- Por favor deseo que me perdones, no te sientas obligado, seamos solo amigos si prefieres, no esta bien que te sientas forzado a una relación.
Le puse mi dedo índice en la boca de manera muy lenta y le dije:
- El primer día que te vi, pensé que se trataba de una mujer demasiado elegante para mi, además ya en calidad de empleadora, pensé siempre que debía darle prioridad a mi futuro profesional y que tratar de enamorarte sería un monumental error, pues hasta ahora siempre he creído que hay alguien muy importante en tu vida y si tratara de enamorarte me encontraría en la posición más ridícula posible. Perdóname si dije en el instituto que eras mi esposa, esa fue mi manera de evitar historias con las compañeras.
– Te confieso que me sentí muy halagada al escuchar eso de Laure. No debes sentirte inferior a nadie, somos iguales, tu tienes un don que yo no tengo, todo el personal recibe un salario, tienen confianza en lo que haces, por favor, mira todo desde un ángulo positivo, piensa cada gesto cada frase, no deseo por nada del mundo que me mires como quien te da órdenes y te paga, mirarme como tu asociada, en la oficina y por favor si estas enamorado de alguien, guardemos esta amistad que nos hace ganar de todas maneras.
Me tomo de la mano y me llevo al taller, tomo un trabajo que había hecho con Armstrong y me dijo:
- Te ofrezco treinta mil francos por esta pintura.
Le Respondí
- Te la regaló.
Ella me abrazó muy fuerte y con una gran sonrisa me dijo:
- Eres el hombre más genial que he conocido.
Última edición por Admin el Mar 9 Mar - 18:58, editado 2 veces
LA PASSION DE LA VITESSE
LES PASSIONS DANGEREUSES
Escrito por anónimo el 8 de marzo del año 2021
El sábado 5 de agosto de 1989, como de costumbre, hubo un almuerzo en casa de Esther y Bernard ; en la calle Claude Chahu del sector de Passy en París XVI, el reloj en el muro del comedor indicaba las once y doce minutos.
Un hombre de casi treinta años ocupa su tiempo regando las plantas de interior, a pesar de sus movimientos de apariente calma, en su interior, el nivel de angustia crece, solo sus constantes miradas al reloj delatarían su angustia; sabe por haber conducido, que el trayecto hasta la casa de Bernard, tomaría una hora y media normalmente; luego de muchas veces haber hecho el trayecto. Una hora y diez sería en motocicleta.
No se trata de alguien, que se satisface o se conforme ante el riesgo, si se divierte en los circuitos, donde: la búsqueda de la mejor trayectoria, la presión y la temperatura de los neumáticos, junto con los parámetros como el acondicionamiento de amortiguadores permiten ganar preciosas décimas de segundo.
Aquí no!, solo deseo de aumentar la adrenalina, exponiendo la vida de las personas, en calles y carreteras muy frecuentadas, es sábado y las vías estarán saturadas, lo dice pero es como si le hablara a un muro. Se escucha el ruido típico de un secador de cabello y ya no quedan plantas para regar. El dolor detrás del esternón se hace cada vez más agudo, en ese reloj del muro ya son las once y veintisiete minutos.
ÉL presiente de nuevo, que una vez más el motor de ese auto estará muchas veces por las cinco mil novecientas revoluciones, que es donde ella insiste que le encanta, porque controla 135 caballos de su vehículo. Infinidad de veces él podría repetir que lo máximo son 128 caballos de fuerza, pero es un diálogo de sordos.
El joven le recuerda que es hora de gran afluencia, que es sábado, Ella mientras le pide que le ayude con la cremallera de su vestido, al tiempo que se sigue embadurnando la cara ante el espejo, le recuerda que ese trayecto ya lo ha hecho en una hora. Esta conversación, con el tiempo, ya ha tenido lugar repetidas ocasiones, se hubiera percibido, al parecer en el tono de voz de la joven mujer, de una futilidad que no tiene de igual que su pasión por la velocidad y ante el riesgo. Él le recuerda que ese tiempo lo hizo en sentido contrario con algunos tragos ya pasada media noche.
Ella se ríe y le recuerda que en la última vez que se divirtieron en el circuito Paul Ricard de Castellet, ella le ganó por tres segundos en la mejor vuelta y que varias veces el cronómetro le marcaba 1 minuto 42 segundos 348 milésimas. En ese diálogo de sordos, el hombre le coloca sobre la espalda una chaqueta, mientras le recuerda que las condiciones de un circuito no son las de la ruta frecuentada, mientras caminando al garaje el la arrastra literalmente de la mano, Ella le replica que no es el detalle, que las condiciones fueron iguales en el circuito cuando ella le ganó. Al tiempo, deja escapar una risa mezclada de satisfacción, superioridad y burla.
Luego de muchos sustos y riesgos de accidente finalmente el auto se detuvo en el jardín de la casa de la tía Esther, a la una de la tarde cinco minutos. Un accidente sobre la autopista seis, hizo perder 15 minutos. Siendo la excusa ideal para justificar un retardo tradicional, el joven de gesto en el que cierra los ojos, subiendo las mejillas seguidas de un alargamiento de la boca, al bordo de la risa, asiente con dos movimientos de la cabeza al tiempo que encoge los hombros. Bernard en huésped acostumbrado, confirma lo que de tantas veces se ha dicho de la joven apasionada del volante, diciendo:
– Se trata de la Volkswagen Golf GTI 16 de 129 caballos y apenas tiene un año.
De pronto Esther no logra disimular un gesto de gran dolor en su rostro. El joven nota, un silencio largo, mientras caminan del jardín al comedor, retira la chaqueta de los hombros de la joven en un gesto de caballero, la cuelga en el perchero, al atravesar la gran puerta doble en madera traída de África, retirando el asiento para Sandra, el joven argumenta que un auto de menos potencia podría ser una opción. Mientras la esbelta joven se sienta, respondiendo con vehemencia que su única pasión no es comparable con tantos vicios, que no cree que un auto menos potente sea mejor y agrega que sería incluso más peligroso.
Bernard cambia rápidamente de tema. El joven sin embargo se da cuenta que hay algo que el no conoce de Sandra.
El tema está lanzado, mientras la empleada trae los primeros platos, Bernard continúa diciendo que a un poco más de mil novecientos francos el metro cuadrado, deberían tomar un local por dos millones trescientos sesenta y dos mil francos, no es la torre Total, pero es que, en ese edificio no hay posibilidad de ir, es solo para personal de esa empresa. La joven pregunta si hay al menos una vista agradable, la tía propone ir a visitar el local y el caballero decide hacer una llamada telefónica para acordar la visita. La tía sabe que al menos la visita ya es una parte ganada ante su sobrina que sueña según sus charlas, ocupar un piso muy alto donde la panorámica sobre Paris es su punto no negociable.
Bernard se dirige a una sala al lado, desde donde se escucha su conversación, saluda a alguien, a juzgar por el contenido de la charla, ya conocido para Él. Sube la voz preguntando si el jueves a las seis de la tarde hay espacio en las agendas; dirigiéndose al comedor, mientras cubre de la mano su auricular. Sandra responde que no antes del lunes de la otra semana, finalmente la cita es acordada para el jueves 17 de agosto.
La pareja sale el domingo 6 de agosto, después de las diez de la noche, el joven solicita que se le den las llaves. La tía Esther, apoya como Bernard su idea, Sandra de un gesto desagradable le lanza las llaves por encima del auto, mientras camina hacia el asiento de pasajero.
El trayecto de regreso sería tranquilo, el auto sale por la carretera nacional seis dirección Massy, la joven pide acelerar, pero el conductor replica que la velocidad en el indicador, es de 90 km/h, ella insiste, sin lograr perturbarlo.
Al llegar a proximidad de Vailly-en-bière, la joven inclinó intempestivamente su cabeza hacia atrás llevándose las dos manos al rostro, luego se santiguó, al tiempo que su mirada hacia el lado izquierdo de la carretera la llevó a girar su cabeza siguiendo un punto fijo mientras avanzaba el auto. Luego dijo con voz más calmada, que al menos mientras el joven conducía, no podía haber gran riesgo, que afortunadamente, el lunes aún estaba distante (con un relativo sarcasmo) mientras miraba el cuadrante de velocidad a 95 km/h.
A las once y cuarto el auto circulaba ya por el bulevar periférico a la altura de la puerta de Auteuil rápido llegan a la avenida Ingres, ya en el Parque Ranelag toman a la derecha la “chaussée de la Mouette” luego al intentar girar a la izquierda para tomar la calle Paul Doumer otro auto que salía de la calle de Passy hacia la calle de la “Pompe" olvido respetar la señal de pare causando un accidente con el auto de nuestra pareja.
Afortunadamente el joven logro frenar; La señorita pasajera entró en estado muy alterado, al punto que la ambulancia la trasladó inmediatamente a una clínica cercana, ambos conductores fueron sometidos a un test de alcoholemia, días después se supo que el test del conductor del otro auto arrojó resultado positivo, por lo cual fue llevado a un hospital para concluir que presentaba una proporción de 2,8 gramos de alcohol por litro de sangre.
El corredor tenía un aspecto lúgubre, no se sabe a ciencia cierta cuántas tazas de café se hubiera tomado este joven, bebida que nunca había apreciado en realidad; pero para evitar dormir en ese lugar ir a esa máquina se volvió un gesto mecánico, hasta que por fin en una blusa verde, con un sombrero verde, unos zapatos verdes, todo en tela salió un hombre de unos 55 años, para dar información sobre el estado de Sandra.
Le preguntó si era el acompañante y lo invitó a un una oficina no muy lejos, donde le mostró en la pantalla de un computador los resultados de las imágenes por resonancia magnética, según su diagnóstico, era necesario un tratamiento muy delicado pues algunas vértebras cervicales se encontraban en muy mal estado. Insistió sobre el hecho de qué debería estar vigilada permanentemente para analizar la evolución de la inflamación y evitar consecuencias que sin la debida atención podrían incluso provocar la parálisis.
Luego el doctor le pidió que no se preocupara al leer la descomposición de su rostro. Insistió en que estaba en muy buenas manos, pero le dio una tarjeta con un nombre y un teléfono diciéndole que era el mejor cirujano de París. Le dijo que ella quedaría en observación repitió nuevamente que estaba en buenas manos y le aconsejó que se retirara a descansar, que podría volver cuando quisiera pero que era conveniente un descanso, sacando de su blusa el estetoscopio, examinando al tiempo que escuchaba la caja torácica, con su mano izquierda le media el pulso, luego dejando el instrumento en el cuello, le examinó las pupilas, se puso de pie detrás y le palpo en varios lugares la columna vertebral, al tiempo que preguntaba si le dolía. Insistió que se retirará a descansar que ella lo necesitaba sano.
El hombre baja a la recepción y le pide a un señor que inicialmente no se veía, pues se encontraba inclinado hacia adelante sobre algunos legajos de documentos, quien estaba dormido, haciendo el papel de vigilante, mientras se ajustaba la gorra en la cabeza el hombre se sintió sorprendido e incómodo, el inoportuno visitante le pidió que le pidieron un taxi.
Un cuarto de hora más tarde estaba en su baño, el día ya entraba con su luz tenue por la pequeña ventana superior. No recuerda cuánto tiempo se quedó ahí pues el agua tibia y el cansancio hicieron que se durmiera. Fue el teléfono que lo despertó. Era una llamada de Julieth desde la oficina preguntándole por que Sandra no contestaba y no estaban ambos en la oficina. De manera mecánica él le preguntó la hora y se sorprendió al escuchar que eran las 8:30 de la mañana. Él le dije que en media hora estaría en la oficina para conversar.
Llamó la tía Esther para comentarle la situación. Ella no respondió así que le dejó un mensaje explicándole brevemente la situación y dándole la dirección del hospital.
Al llegar a la oficina pidió al grupo que se reuniéran, Fue interrumpido por la tía Esther que estaba muy inquieta, trató de calmarla diciéndole que era solamente algo leve que ella estaba en observación pero que en poco tiempo estaría libre, la tía dijo que iba para la clínica directamente.
Volviendo a la reunión, les comentó la realidad sin demasiado adorno les dije literalmente que por un accidente sin mayores implicaciones Sandra se encontraba en consecuencia en observación en una clínica, Paul le pregunto el primero sí era algo demasiado grave, no le pareció conveniente alarmar a nadie, seria inconveniente indisponer el grupo así que les dijo una mentira, que simplemente estaba en observación luego de explicar en detalle lo que había ocurrido y mostrar la dirección de la clínica. Louis preguntó cómo seguirían trabajando, George le dijo que él era el más indicado para reemplazar a Sandra él pidió que levantarán la mano dos personas que quisieran acompañarle en todo lo relacionado con relaciones públicas. Gerard levantó la mano y también lo hizo Claire, les pidió que se compartieran el trabajo y que a partir de ese momento tratarían de continuar a trabajar como siempre unidos, que sería conveniente compartir cualquier duda y pedir consejo; Que los tendré al corriente en permanencia hasta el regreso de la patrona. Se disculpó y les pidió perdón saliendo de la sala.
Marie le pidió que hablaran a solas. La invitó a una cafetería contigua pues la verdad le estaba dando un poco de hambre. Mientras caminaban hacia la cafetería ella le pidió que sobre todo lo que conversaran nunca saldría de entre dos. Fue entonces que le dijo que había un secreto del cual Sandra ya le había hablado varias veces. Le dijo cosas que él sabía o que al menos intuía desde hace algún tiempo. Y le confirmó ciertos detalles muy importantes. La velocidad, el amor de los carros, ya había causado inconvenientes en el trabajo varias veces; inclusive el amor de su vida se lo había arrebatado un accidente. Entonces él asoció lo que había ocurrido la otra noche antes de llegar a la autopista número seis cuando Sandra se había santiguado. Marie no pudo contener las lágrimas y le pidió que nunca dijera nada de eso a nadie. Sandra le hablaba mucho de Marie inclusive varias veces las vio bajar a la cafetería juntas para conversar, era una excelente diseñadora, y según Sandra fue la primera persona que había contratado es decir la persona más antigua del taller. Por lo que habían conversado muchas veces con Sandra era su mano derecha.
Aquel día, no cogió ningún lápiz, no se sentía capaz puesto que no tenía la imaginación disponible, le pidió a George que tomará el proyecto que tenía en ese momento que lo disculpara, Georges le puso la mano en el hombro y le dijo que lo comprendía, y que no tenía por qué disculparse; Que lo haría con el mayor gusto, los dos hombres se cerraron en un fuerte abrazo.
E joven volvió a la clínica, el médico le dijo que ella estaba bajo sedativos que los signos vitales no presentaban inconveniente, que esperaban la respuesta a nivel de la columna vertebral por parte del médico responsable para despertarla pero que no lo harían antes.
Lo dejaron entrar, le tomó la mano, no pudo contener las lágrimas sabiendo que dormía le dijo que ella no podía dejarlo solo en la vida, por la primera vez, en tan poco tiempo la persona que hubiera hecho tanto por cambiar su vida. Desde mucho antes había comprendido lo que una persona puede hacer por cambiar la vida, en el mal sentido en muchos casos, como es el caso de personas tóxicas, pero en este caso en un sentido muy positivo puesto que él había dejado, en el mes de enero, un trabajo que ahora en tan pocos meses, significaba una vida completamente diferente.
En su cabeza pasaban como en una película, de manera vertiginosa, tantas ocasiones, con tantas alegrías, con tantas cosas que se aprenden en el mundo, que hasta hace menos de un año era absolutamente desconocido; en ese instante mientras la miraba con una imagen nublada por las lágrimas, comprendía lo mucho que le había aportado en la existencia aquella persona que yacía perfectamente vulnerable, aquella que como persona era alguien de una energía siempre de ganadora, sentía que la valoraba cada vez mucho más.
No se sabe cuánto tiempo se quedó sentado teniéndole la mano, al tiempo que en su mente pasaba esa película de todos los momentos compartidos. Fue una enfermera que lo despertó de su sueño, le trajo un café, le dijo que él debería estar tranquilo que la situación no era grave, que sus signos vitales estaban hasta el momento perfectos y que el medico pasaría para quizás ordenar que la despertaran, él preguntó que cuándo pasaría el médico, la enfermera dijo que era difícil dar una hora exacta pero que el doctor pasaría durante el día, él le preguntó si sabia el número de teléfono del médico, ella le dijo que no estaba autorizada a compartir esa información mientras tomaba una pizarra metálica de la baranda de la cama, donde escribió a medida que tomaba signos, igual información de la pantalla de un aparato al lado de la cama. Luego se retiró y él joven volvió a sus sueños despierto mientras de nuevo corrió el asiento sentándose para tomarle la mano; igualmente para él, el tiempo era algo completamente abstracto lejano, no deseaba vivir más que en ese pasado lleno de alegrías y satisfacciones, el presente para él no importaba en absoluto.
En esas elucubraciones paso el tiempo hasta cuando de nuevo se abrió la puerta que lo sacó bruscamente de sus vivencias, se trataba de una cara conocida, pues fue la persona que le había hablado en la madrugada con ropa de quirófano y que le había explicado en la pantalla del computador lo que le describió, en lenguaje que el joven realmente no comprendía mucho, se saludaron, le preguntó si había descansado o se había quedado ahí, él le respondió que si había salido a descansar, entonces le dijo que podía estar tranquilo que a más tardar para la cena ella estaría en casa pero qué debería reposar y sobre todo evitar movimientos bruscos.
El martes 29 de agosto, fue recuperado el auto, la joven se inclino a mirar el estado del mismo. Mientras su acompañante trataba de aconsejarle en vano que debería evitar hacer movimientos tan bruscos. Nada al parecer podría impedirle a nuestra dinámica ejecutiva cambiar de actitud, de manera vehemente en tono alto incluso dijo que viniendo de FontaineBlue más rápido eso no hubiera ocurrido.
La factura fue pagada por la aseguradora del otro vehículo, pero ella le dijo al responsable del garaje que el automóvil estaría disponible para la venta; si eventualmente se enteraba de alguien interesado. Mientras miraba desde todos los ángulos el costado derecho en el ángulo delantero donde fue el impacto, pasando incluso sus dedos para constatar la uniformidad de la distancia de los componentes, pidiendo el resultado escrito de balanceo de llantas y paralelismo, al recibirlo, camino hacia la puerta buscado la luz natural, se puso a verificar los valores, pregunto cuanto había durado el ensayo y a que velocidad máxima, solo al final dijo satisfecha, que agradecía la calidad del trabajo.
Escrito por anónimo el 8 de marzo del año 2021
El sábado 5 de agosto de 1989, como de costumbre, hubo un almuerzo en casa de Esther y Bernard ; en la calle Claude Chahu del sector de Passy en París XVI, el reloj en el muro del comedor indicaba las once y doce minutos.
Un hombre de casi treinta años ocupa su tiempo regando las plantas de interior, a pesar de sus movimientos de apariente calma, en su interior, el nivel de angustia crece, solo sus constantes miradas al reloj delatarían su angustia; sabe por haber conducido, que el trayecto hasta la casa de Bernard, tomaría una hora y media normalmente; luego de muchas veces haber hecho el trayecto. Una hora y diez sería en motocicleta.
No se trata de alguien, que se satisface o se conforme ante el riesgo, si se divierte en los circuitos, donde: la búsqueda de la mejor trayectoria, la presión y la temperatura de los neumáticos, junto con los parámetros como el acondicionamiento de amortiguadores permiten ganar preciosas décimas de segundo.
Aquí no!, solo deseo de aumentar la adrenalina, exponiendo la vida de las personas, en calles y carreteras muy frecuentadas, es sábado y las vías estarán saturadas, lo dice pero es como si le hablara a un muro. Se escucha el ruido típico de un secador de cabello y ya no quedan plantas para regar. El dolor detrás del esternón se hace cada vez más agudo, en ese reloj del muro ya son las once y veintisiete minutos.
ÉL presiente de nuevo, que una vez más el motor de ese auto estará muchas veces por las cinco mil novecientas revoluciones, que es donde ella insiste que le encanta, porque controla 135 caballos de su vehículo. Infinidad de veces él podría repetir que lo máximo son 128 caballos de fuerza, pero es un diálogo de sordos.
El joven le recuerda que es hora de gran afluencia, que es sábado, Ella mientras le pide que le ayude con la cremallera de su vestido, al tiempo que se sigue embadurnando la cara ante el espejo, le recuerda que ese trayecto ya lo ha hecho en una hora. Esta conversación, con el tiempo, ya ha tenido lugar repetidas ocasiones, se hubiera percibido, al parecer en el tono de voz de la joven mujer, de una futilidad que no tiene de igual que su pasión por la velocidad y ante el riesgo. Él le recuerda que ese tiempo lo hizo en sentido contrario con algunos tragos ya pasada media noche.
Ella se ríe y le recuerda que en la última vez que se divirtieron en el circuito Paul Ricard de Castellet, ella le ganó por tres segundos en la mejor vuelta y que varias veces el cronómetro le marcaba 1 minuto 42 segundos 348 milésimas. En ese diálogo de sordos, el hombre le coloca sobre la espalda una chaqueta, mientras le recuerda que las condiciones de un circuito no son las de la ruta frecuentada, mientras caminando al garaje el la arrastra literalmente de la mano, Ella le replica que no es el detalle, que las condiciones fueron iguales en el circuito cuando ella le ganó. Al tiempo, deja escapar una risa mezclada de satisfacción, superioridad y burla.
Luego de muchos sustos y riesgos de accidente finalmente el auto se detuvo en el jardín de la casa de la tía Esther, a la una de la tarde cinco minutos. Un accidente sobre la autopista seis, hizo perder 15 minutos. Siendo la excusa ideal para justificar un retardo tradicional, el joven de gesto en el que cierra los ojos, subiendo las mejillas seguidas de un alargamiento de la boca, al bordo de la risa, asiente con dos movimientos de la cabeza al tiempo que encoge los hombros. Bernard en huésped acostumbrado, confirma lo que de tantas veces se ha dicho de la joven apasionada del volante, diciendo:
– Se trata de la Volkswagen Golf GTI 16 de 129 caballos y apenas tiene un año.
De pronto Esther no logra disimular un gesto de gran dolor en su rostro. El joven nota, un silencio largo, mientras caminan del jardín al comedor, retira la chaqueta de los hombros de la joven en un gesto de caballero, la cuelga en el perchero, al atravesar la gran puerta doble en madera traída de África, retirando el asiento para Sandra, el joven argumenta que un auto de menos potencia podría ser una opción. Mientras la esbelta joven se sienta, respondiendo con vehemencia que su única pasión no es comparable con tantos vicios, que no cree que un auto menos potente sea mejor y agrega que sería incluso más peligroso.
Bernard cambia rápidamente de tema. El joven sin embargo se da cuenta que hay algo que el no conoce de Sandra.
El tema está lanzado, mientras la empleada trae los primeros platos, Bernard continúa diciendo que a un poco más de mil novecientos francos el metro cuadrado, deberían tomar un local por dos millones trescientos sesenta y dos mil francos, no es la torre Total, pero es que, en ese edificio no hay posibilidad de ir, es solo para personal de esa empresa. La joven pregunta si hay al menos una vista agradable, la tía propone ir a visitar el local y el caballero decide hacer una llamada telefónica para acordar la visita. La tía sabe que al menos la visita ya es una parte ganada ante su sobrina que sueña según sus charlas, ocupar un piso muy alto donde la panorámica sobre Paris es su punto no negociable.
Bernard se dirige a una sala al lado, desde donde se escucha su conversación, saluda a alguien, a juzgar por el contenido de la charla, ya conocido para Él. Sube la voz preguntando si el jueves a las seis de la tarde hay espacio en las agendas; dirigiéndose al comedor, mientras cubre de la mano su auricular. Sandra responde que no antes del lunes de la otra semana, finalmente la cita es acordada para el jueves 17 de agosto.
La pareja sale el domingo 6 de agosto, después de las diez de la noche, el joven solicita que se le den las llaves. La tía Esther, apoya como Bernard su idea, Sandra de un gesto desagradable le lanza las llaves por encima del auto, mientras camina hacia el asiento de pasajero.
El trayecto de regreso sería tranquilo, el auto sale por la carretera nacional seis dirección Massy, la joven pide acelerar, pero el conductor replica que la velocidad en el indicador, es de 90 km/h, ella insiste, sin lograr perturbarlo.
Al llegar a proximidad de Vailly-en-bière, la joven inclinó intempestivamente su cabeza hacia atrás llevándose las dos manos al rostro, luego se santiguó, al tiempo que su mirada hacia el lado izquierdo de la carretera la llevó a girar su cabeza siguiendo un punto fijo mientras avanzaba el auto. Luego dijo con voz más calmada, que al menos mientras el joven conducía, no podía haber gran riesgo, que afortunadamente, el lunes aún estaba distante (con un relativo sarcasmo) mientras miraba el cuadrante de velocidad a 95 km/h.
A las once y cuarto el auto circulaba ya por el bulevar periférico a la altura de la puerta de Auteuil rápido llegan a la avenida Ingres, ya en el Parque Ranelag toman a la derecha la “chaussée de la Mouette” luego al intentar girar a la izquierda para tomar la calle Paul Doumer otro auto que salía de la calle de Passy hacia la calle de la “Pompe" olvido respetar la señal de pare causando un accidente con el auto de nuestra pareja.
Afortunadamente el joven logro frenar; La señorita pasajera entró en estado muy alterado, al punto que la ambulancia la trasladó inmediatamente a una clínica cercana, ambos conductores fueron sometidos a un test de alcoholemia, días después se supo que el test del conductor del otro auto arrojó resultado positivo, por lo cual fue llevado a un hospital para concluir que presentaba una proporción de 2,8 gramos de alcohol por litro de sangre.
El corredor tenía un aspecto lúgubre, no se sabe a ciencia cierta cuántas tazas de café se hubiera tomado este joven, bebida que nunca había apreciado en realidad; pero para evitar dormir en ese lugar ir a esa máquina se volvió un gesto mecánico, hasta que por fin en una blusa verde, con un sombrero verde, unos zapatos verdes, todo en tela salió un hombre de unos 55 años, para dar información sobre el estado de Sandra.
Le preguntó si era el acompañante y lo invitó a un una oficina no muy lejos, donde le mostró en la pantalla de un computador los resultados de las imágenes por resonancia magnética, según su diagnóstico, era necesario un tratamiento muy delicado pues algunas vértebras cervicales se encontraban en muy mal estado. Insistió sobre el hecho de qué debería estar vigilada permanentemente para analizar la evolución de la inflamación y evitar consecuencias que sin la debida atención podrían incluso provocar la parálisis.
Luego el doctor le pidió que no se preocupara al leer la descomposición de su rostro. Insistió en que estaba en muy buenas manos, pero le dio una tarjeta con un nombre y un teléfono diciéndole que era el mejor cirujano de París. Le dijo que ella quedaría en observación repitió nuevamente que estaba en buenas manos y le aconsejó que se retirara a descansar, que podría volver cuando quisiera pero que era conveniente un descanso, sacando de su blusa el estetoscopio, examinando al tiempo que escuchaba la caja torácica, con su mano izquierda le media el pulso, luego dejando el instrumento en el cuello, le examinó las pupilas, se puso de pie detrás y le palpo en varios lugares la columna vertebral, al tiempo que preguntaba si le dolía. Insistió que se retirará a descansar que ella lo necesitaba sano.
El hombre baja a la recepción y le pide a un señor que inicialmente no se veía, pues se encontraba inclinado hacia adelante sobre algunos legajos de documentos, quien estaba dormido, haciendo el papel de vigilante, mientras se ajustaba la gorra en la cabeza el hombre se sintió sorprendido e incómodo, el inoportuno visitante le pidió que le pidieron un taxi.
Un cuarto de hora más tarde estaba en su baño, el día ya entraba con su luz tenue por la pequeña ventana superior. No recuerda cuánto tiempo se quedó ahí pues el agua tibia y el cansancio hicieron que se durmiera. Fue el teléfono que lo despertó. Era una llamada de Julieth desde la oficina preguntándole por que Sandra no contestaba y no estaban ambos en la oficina. De manera mecánica él le preguntó la hora y se sorprendió al escuchar que eran las 8:30 de la mañana. Él le dije que en media hora estaría en la oficina para conversar.
Llamó la tía Esther para comentarle la situación. Ella no respondió así que le dejó un mensaje explicándole brevemente la situación y dándole la dirección del hospital.
Al llegar a la oficina pidió al grupo que se reuniéran, Fue interrumpido por la tía Esther que estaba muy inquieta, trató de calmarla diciéndole que era solamente algo leve que ella estaba en observación pero que en poco tiempo estaría libre, la tía dijo que iba para la clínica directamente.
Volviendo a la reunión, les comentó la realidad sin demasiado adorno les dije literalmente que por un accidente sin mayores implicaciones Sandra se encontraba en consecuencia en observación en una clínica, Paul le pregunto el primero sí era algo demasiado grave, no le pareció conveniente alarmar a nadie, seria inconveniente indisponer el grupo así que les dijo una mentira, que simplemente estaba en observación luego de explicar en detalle lo que había ocurrido y mostrar la dirección de la clínica. Louis preguntó cómo seguirían trabajando, George le dijo que él era el más indicado para reemplazar a Sandra él pidió que levantarán la mano dos personas que quisieran acompañarle en todo lo relacionado con relaciones públicas. Gerard levantó la mano y también lo hizo Claire, les pidió que se compartieran el trabajo y que a partir de ese momento tratarían de continuar a trabajar como siempre unidos, que sería conveniente compartir cualquier duda y pedir consejo; Que los tendré al corriente en permanencia hasta el regreso de la patrona. Se disculpó y les pidió perdón saliendo de la sala.
Marie le pidió que hablaran a solas. La invitó a una cafetería contigua pues la verdad le estaba dando un poco de hambre. Mientras caminaban hacia la cafetería ella le pidió que sobre todo lo que conversaran nunca saldría de entre dos. Fue entonces que le dijo que había un secreto del cual Sandra ya le había hablado varias veces. Le dijo cosas que él sabía o que al menos intuía desde hace algún tiempo. Y le confirmó ciertos detalles muy importantes. La velocidad, el amor de los carros, ya había causado inconvenientes en el trabajo varias veces; inclusive el amor de su vida se lo había arrebatado un accidente. Entonces él asoció lo que había ocurrido la otra noche antes de llegar a la autopista número seis cuando Sandra se había santiguado. Marie no pudo contener las lágrimas y le pidió que nunca dijera nada de eso a nadie. Sandra le hablaba mucho de Marie inclusive varias veces las vio bajar a la cafetería juntas para conversar, era una excelente diseñadora, y según Sandra fue la primera persona que había contratado es decir la persona más antigua del taller. Por lo que habían conversado muchas veces con Sandra era su mano derecha.
Aquel día, no cogió ningún lápiz, no se sentía capaz puesto que no tenía la imaginación disponible, le pidió a George que tomará el proyecto que tenía en ese momento que lo disculpara, Georges le puso la mano en el hombro y le dijo que lo comprendía, y que no tenía por qué disculparse; Que lo haría con el mayor gusto, los dos hombres se cerraron en un fuerte abrazo.
E joven volvió a la clínica, el médico le dijo que ella estaba bajo sedativos que los signos vitales no presentaban inconveniente, que esperaban la respuesta a nivel de la columna vertebral por parte del médico responsable para despertarla pero que no lo harían antes.
Lo dejaron entrar, le tomó la mano, no pudo contener las lágrimas sabiendo que dormía le dijo que ella no podía dejarlo solo en la vida, por la primera vez, en tan poco tiempo la persona que hubiera hecho tanto por cambiar su vida. Desde mucho antes había comprendido lo que una persona puede hacer por cambiar la vida, en el mal sentido en muchos casos, como es el caso de personas tóxicas, pero en este caso en un sentido muy positivo puesto que él había dejado, en el mes de enero, un trabajo que ahora en tan pocos meses, significaba una vida completamente diferente.
En su cabeza pasaban como en una película, de manera vertiginosa, tantas ocasiones, con tantas alegrías, con tantas cosas que se aprenden en el mundo, que hasta hace menos de un año era absolutamente desconocido; en ese instante mientras la miraba con una imagen nublada por las lágrimas, comprendía lo mucho que le había aportado en la existencia aquella persona que yacía perfectamente vulnerable, aquella que como persona era alguien de una energía siempre de ganadora, sentía que la valoraba cada vez mucho más.
No se sabe cuánto tiempo se quedó sentado teniéndole la mano, al tiempo que en su mente pasaba esa película de todos los momentos compartidos. Fue una enfermera que lo despertó de su sueño, le trajo un café, le dijo que él debería estar tranquilo que la situación no era grave, que sus signos vitales estaban hasta el momento perfectos y que el medico pasaría para quizás ordenar que la despertaran, él preguntó que cuándo pasaría el médico, la enfermera dijo que era difícil dar una hora exacta pero que el doctor pasaría durante el día, él le preguntó si sabia el número de teléfono del médico, ella le dijo que no estaba autorizada a compartir esa información mientras tomaba una pizarra metálica de la baranda de la cama, donde escribió a medida que tomaba signos, igual información de la pantalla de un aparato al lado de la cama. Luego se retiró y él joven volvió a sus sueños despierto mientras de nuevo corrió el asiento sentándose para tomarle la mano; igualmente para él, el tiempo era algo completamente abstracto lejano, no deseaba vivir más que en ese pasado lleno de alegrías y satisfacciones, el presente para él no importaba en absoluto.
En esas elucubraciones paso el tiempo hasta cuando de nuevo se abrió la puerta que lo sacó bruscamente de sus vivencias, se trataba de una cara conocida, pues fue la persona que le había hablado en la madrugada con ropa de quirófano y que le había explicado en la pantalla del computador lo que le describió, en lenguaje que el joven realmente no comprendía mucho, se saludaron, le preguntó si había descansado o se había quedado ahí, él le respondió que si había salido a descansar, entonces le dijo que podía estar tranquilo que a más tardar para la cena ella estaría en casa pero qué debería reposar y sobre todo evitar movimientos bruscos.
El martes 29 de agosto, fue recuperado el auto, la joven se inclino a mirar el estado del mismo. Mientras su acompañante trataba de aconsejarle en vano que debería evitar hacer movimientos tan bruscos. Nada al parecer podría impedirle a nuestra dinámica ejecutiva cambiar de actitud, de manera vehemente en tono alto incluso dijo que viniendo de FontaineBlue más rápido eso no hubiera ocurrido.
La factura fue pagada por la aseguradora del otro vehículo, pero ella le dijo al responsable del garaje que el automóvil estaría disponible para la venta; si eventualmente se enteraba de alguien interesado. Mientras miraba desde todos los ángulos el costado derecho en el ángulo delantero donde fue el impacto, pasando incluso sus dedos para constatar la uniformidad de la distancia de los componentes, pidiendo el resultado escrito de balanceo de llantas y paralelismo, al recibirlo, camino hacia la puerta buscado la luz natural, se puso a verificar los valores, pregunto cuanto había durado el ensayo y a que velocidad máxima, solo al final dijo satisfecha, que agradecía la calidad del trabajo.
LA INOCENCIA DE ÁLVARO URIBE VÉLEZ
Álvaro Uribe Vélez es inocente
El comportamiento humano no es un sujeto fácil de definir o que un autor pueda explicar en un libro.
La lista de autores que han dedicado años al estudio del comportamiento, del crimen y la violencia es larga.
Sería curioso estudiar la metodología para reducir los crímenes o delitos y todas las faltas que se puedan cometer en contra de la ética y la moral.
Cada sociedad forma un conjunto o compendio de leyes que se supone corrigen el comportamiento de los individuos responsables de conductas jurídicamente reprehensibles.
Cuando se implica un individuo en un delito, debemos admitir qué su comportamiento en tanto que individuo no es más que una respuesta a una situación global.
Por esta razón un delito o un crimen no dependen de un azar o de una reacción en la cual no hay un pasado y no habrá un futuro.
Todo acto humano tiene una causa y una consecuencia como lo han descrito varios escritores especialistas en sociología.
Lo único que podemos concluir es que en la función de la justicia hay un papel fundamental que eventualmente permite la armonía y la paz en un conglomerado social.
El hecho de permitir la impunidad tendría un efecto negativo para la sociedad.
Es justamente la impunidad la que permite el desarrollo, el progreso, la evolución de todas las formas de crimen y delitos en una sociedad.
[h3Cuando lo irracional se hace norma.[/h3]
Una de las características intrínsecas de los seres humanos es la de ser gregario es decir que funciona más eficiente cuando se encuentra en grupo. Lo que el individuo no realiza estando solo puede ser normal si lo realiza el grupo. (Bovenkerk 2011)
…”Organized crime pertains to groups that work together to systematically engage in serious economic offences for the pursuit of monetary gain, specifically extortion and the trade in illegal goods and services. Groups like this shield themselves from the authorities via concealment, intimidation, blackmail and corruption. The archetypical organization exhibits the hierarchical pyramid of the Mafia, as in the movie The Godfather. In essence a structure of this kind is not that common in international organized crime, except in southern Italy, China (Triads) and Japan (Yakuza). Paoli [47] cautions against taking the Mafia as a worldwide example when analysing organized crime. Researchers more frequently come across transnational network structures [45]. Organized crime is punishable by law and in itself, just belonging to these organizations is also punishable. Youth gangs were described for the first time in the United States as groups of youths with a subculture glorifying violence [62]. They are active in their own circumscribed territories and in constant aggressive opposition with similar groups in adjacent neighborhoods. Each group has its own name, style of clothing, language usage and preference for a certain type of music. According to some researchers such as Sánchez Jankowski [57], they constitute tightly-knit and rationally managed organizations, but there is no consensus in the literature on this point [20]. Their style has exerted ample influence on popular youth culture (West Side Story, rap music). To the extent that they use violence or commit other criminal acts, these groups are punishable by law”…
Podríamos de manera arbitraria intentar un paralelo entre el uso de Durkheim de las nociones de derecho, sociedad, solidaridad y moral, y su doble interpretación de la definición de función para preguntarnos: ¿Cuál es la función de la corrupción en una sociedad?
Pero antes debemos observar que el amenazante atavismo del poder ilimitado del estado es el contrapunto de la teoría pura del derecho (Hans Kelsen)
Según las teorías no podremos culpar a un individuo de los hechos delitos o crímenes que el cometa solo. Según las teorías debemos culpar a la sociedad entera de la responsabilidad individual.
Lo que lograría hacer como irrefutable la inocencia de Álvaro Uribe Vélez en los crímenes de lesa humanidad sería la teoría de estructuras sociales” (Wellman and Berkowitz, 1988). Lo que nos lleva de manera irrefutable a la figura criminal de concierto para delinquir. Donde cada uno de los miembros de la comunidad, donde se llevaron a cabo los hechos reprensibles, tendrán “obligatoriamente” una parte de responsabilidad.
A estas alturas, por el solo hecho de pensar, el moralista adquiere una responsabilidad. Que toma todo su sentido, cuando por individualismo e indiferencia, se abstendría de rechazar con vehemencia la conducta punible. Puesto que el deber (Kant) emanado de la conciencia colectiva incumbe a todos los individuos. (Nestor Elias Ramirez Jimenez 12/03/2021)
El comportamiento humano no es un sujeto fácil de definir o que un autor pueda explicar en un libro.
La lista de autores que han dedicado años al estudio del comportamiento, del crimen y la violencia es larga.
Sería curioso estudiar la metodología para reducir los crímenes o delitos y todas las faltas que se puedan cometer en contra de la ética y la moral.
Cada sociedad forma un conjunto o compendio de leyes que se supone corrigen el comportamiento de los individuos responsables de conductas jurídicamente reprehensibles.
Cuando se implica un individuo en un delito, debemos admitir qué su comportamiento en tanto que individuo no es más que una respuesta a una situación global.
Por esta razón un delito o un crimen no dependen de un azar o de una reacción en la cual no hay un pasado y no habrá un futuro.
Todo acto humano tiene una causa y una consecuencia como lo han descrito varios escritores especialistas en sociología.
Lo único que podemos concluir es que en la función de la justicia hay un papel fundamental que eventualmente permite la armonía y la paz en un conglomerado social.
El hecho de permitir la impunidad tendría un efecto negativo para la sociedad.
Es justamente la impunidad la que permite el desarrollo, el progreso, la evolución de todas las formas de crimen y delitos en una sociedad.
[h3Cuando lo irracional se hace norma.[/h3]
Una de las características intrínsecas de los seres humanos es la de ser gregario es decir que funciona más eficiente cuando se encuentra en grupo. Lo que el individuo no realiza estando solo puede ser normal si lo realiza el grupo. (Bovenkerk 2011)
…”Organized crime pertains to groups that work together to systematically engage in serious economic offences for the pursuit of monetary gain, specifically extortion and the trade in illegal goods and services. Groups like this shield themselves from the authorities via concealment, intimidation, blackmail and corruption. The archetypical organization exhibits the hierarchical pyramid of the Mafia, as in the movie The Godfather. In essence a structure of this kind is not that common in international organized crime, except in southern Italy, China (Triads) and Japan (Yakuza). Paoli [47] cautions against taking the Mafia as a worldwide example when analysing organized crime. Researchers more frequently come across transnational network structures [45]. Organized crime is punishable by law and in itself, just belonging to these organizations is also punishable. Youth gangs were described for the first time in the United States as groups of youths with a subculture glorifying violence [62]. They are active in their own circumscribed territories and in constant aggressive opposition with similar groups in adjacent neighborhoods. Each group has its own name, style of clothing, language usage and preference for a certain type of music. According to some researchers such as Sánchez Jankowski [57], they constitute tightly-knit and rationally managed organizations, but there is no consensus in the literature on this point [20]. Their style has exerted ample influence on popular youth culture (West Side Story, rap music). To the extent that they use violence or commit other criminal acts, these groups are punishable by law”…
Podríamos de manera arbitraria intentar un paralelo entre el uso de Durkheim de las nociones de derecho, sociedad, solidaridad y moral, y su doble interpretación de la definición de función para preguntarnos: ¿Cuál es la función de la corrupción en una sociedad?
Pero antes debemos observar que el amenazante atavismo del poder ilimitado del estado es el contrapunto de la teoría pura del derecho (Hans Kelsen)
Según las teorías no podremos culpar a un individuo de los hechos delitos o crímenes que el cometa solo. Según las teorías debemos culpar a la sociedad entera de la responsabilidad individual.
Lo que lograría hacer como irrefutable la inocencia de Álvaro Uribe Vélez en los crímenes de lesa humanidad sería la teoría de estructuras sociales” (Wellman and Berkowitz, 1988). Lo que nos lleva de manera irrefutable a la figura criminal de concierto para delinquir. Donde cada uno de los miembros de la comunidad, donde se llevaron a cabo los hechos reprensibles, tendrán “obligatoriamente” una parte de responsabilidad.
A estas alturas, por el solo hecho de pensar, el moralista adquiere una responsabilidad. Que toma todo su sentido, cuando por individualismo e indiferencia, se abstendría de rechazar con vehemencia la conducta punible. Puesto que el deber (Kant) emanado de la conciencia colectiva incumbe a todos los individuos. (Nestor Elias Ramirez Jimenez 12/03/2021)
DIALOGUES DE PLATON
Les dialogues de Platon
sont les œuvres philosophiques écrites par Platon. Ces ouvrages se présentent sous forme de dialogues philosophiques entre différents personnages. Les dialogues de Platon figurent parmi les classiques de la philosophie.
Dialogues de Maturité : le Phédon (sur les Idées), le Banquet (sur l'amour), le Phèdre (eros) et la République (sur la justice)
sont les œuvres philosophiques écrites par Platon. Ces ouvrages se présentent sous forme de dialogues philosophiques entre différents personnages. Les dialogues de Platon figurent parmi les classiques de la philosophie.
Dialogues de Maturité : le Phédon (sur les Idées), le Banquet (sur l'amour), le Phèdre (eros) et la République (sur la justice)
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Notas sobre el amor
Podemos usar razón y rigor para analizar una relación amorosa
Las relaciones amorosas surgen bajo condiciones limitadas. No confundir la acción seductora del casanova; con un esfuerzo probado indiferente del género por encontrar una relación estable y duradera
Para que se opere un proceso de seducción, solo es necesario un interés mutuo. O al menos la insistencia de una de las partes.
Cuando no hay compatibilidad, una persona puede lograr la inflexión de la otra por un proceso de familiarización. En psicología el proceso cognitivo vía el refuerzo (B. F. Skinner, J. Piaget entre otros)
La repetición, o refuerzo, condicionan el comportamiento, que termina por normalizar asimilando, aceptando una persona que en principio no nos interesa; una relación amorosa es pues fruto de una intensión ya sea mutua o individual de encontrar pareja.
Aquí llegamos a una situación con dos probabilidades; la más común es aquella de la aventura, donde una de las dos personas solo intenta compartir sexo excepcionalmente, rápidamente pasando a otra aventura. Hombres y mujeres acostumbran este tipo de relación y es más común de lo que se puede suponer.
La otra opción es aquella donde al menos un miembro intenta acciones diversas para mantener la relación. Cuando la pareja piensa en conservar la relación. Esto es hoy cada día mucho más raro. Fundamentalmente una de las partes de manera inconsciente al saberse aceptada, progresa hacía posiciones y conductas que pueden ser críticas, agrediendo los sentimientos de la otra.
Los efectos negativos de la confianza
Cuando se comienza una relación amorosa, no se tiene confianza, tratamos de ocultar nuestro lado malo. Es un hecho tradicional, esto funciona, pero es un grave error. Solo que creemos que así conquistamos rápidamente la persona.
Es un error porque le ocultamos cosas que de todas maneras llegarí a saber. Justamente al saberlo, sentirá decepción. La acumulación de esas decepciones, termina creciendo por aplastar las calidades. Es ese sentimiento, donde descubrimos que aumentan los defectos y disminuye la atracción que termina con la relación definitivamente.
Si al comienzo de la relación tratamos de mostrar nuestros aspectos menos interesantes, nuestros defectos, correremos el riesgo del rechazo. Aquí estamos frente a una ambigüedad típica de la relación de pareja en el amor, puesto que todo aquello ocultado necesariamente es lo que al salir a la luz, comienza a pesar en una balanza imaginaria. Será desde ahí que se edificaría el muro de la discordia que lleva al sierra definitivamente de la vida en pareja.
La razón y el rigor exigirán pues exhibir en cuanto antes nuestros gustos y defectos, correremos riesgos enormes de ruptura, sin embargo, para personas sensatas e interesadas en otra cosa que la aventura corta; personas con un alto grado de madurez, vendrá la necesidad de esforzarse realmente por admitir primero que lo que hace durar la relación es disponer de un nivel magnifico de comprensión de los mecanismos de consolidación de una relación.
La franqueza mutua en cuanto a los rasgos de carácter, los defectos, debe situarse muy alto, para lograr una vida de pareja duradera. Indudablemente la vida conyugal, jamás será basada en que el hombre asuma el peso financiero total. Como será jamás basada la vida de pareja sobre la alta gama de contactos sexuales. Estos dos modos opuestos de concebir como base de solides y duración de una relación amorosa, son los extremos que no podemos considerar como razón principal del amor para siempre.
El rigor de la reflexión profunda puede permitir que se comprenda, si somos suficientemente actos a llevar una vida conyugal donde ni el hombre vale solo por la rapidez conque desenfunda la tarjeta bancaria para satisfacer el consumismo ni la mujer es garantía cotidiana de satisfacción sexual.
En países desarrollado observamos que a pesar que por cultura la mujer ya asume cincuenta por ciento de las cargas financieras del hogar, que el hombre asume cincuenta por ciento de la actividad cotidiana del hogar (aseo, preparación de alimentos) las relaciones, logran perdurar en promedio de seis a ocho años, por razones culturales originadas en valores infundados desde la infancia, adolescencia se tiene fundamentalmente menos machismo, que significa más comprensión, por consiguiente más fidelidad.
El tiempo de ocio de un Latino será diferente del tiempo de ocio del escandinavo, si generalizados encontramos el consumo de bebidas alcohólicas pero combinado con diferentes actividades para el Latino la tendencia a la infidelidad es causada por el tabú que impera en torno a la desnudez del cuerpo femenino, por razones “culturales” asociada al sexo.
El cerebro asocia (PAVLOV) desnudez con acto sexual. Esto significa que donde para el europeo ver una mujer desnuda no le lleva al deseo de relación sexual, mientras el Latino ya estará edificando una estratagema eficiente para lograr concluir con el acto sexual. Desde luego abordamos dos universos opuestos con generalidades donde podemos encontrar excepciones.
Es por lo cual algunos trabajos científicos sobre el tema están hechos y soportados en estadísticas validadas. Por razones culturales y demográficas la mujer en Europa podría en muchas ocasiones tener un comportamiento semejante al del hombre Latino. Incluso esto lleva a consecuencias jurídicas legibles en algunos países donde la infidelidad no es causa elegible para solicitud de divorcio. Sólo la ruptura definitiva del lazo conyugal durante un período consecutivo de dice meses permite al juez de dictar sentencia de divorcio (artículos 237 y 238 del código civil francés)
Es esto lo que ofrece a mujeres casadas la posibilidad de tener aventuras discretas y temporales. Pocas veces esas aventuras se traducen en recomposición de parejas
.
Perpignan 1 de octubre 2023 por N. E. RAMÍREZ JIMÉNEZ
Las relaciones amorosas surgen bajo condiciones limitadas. No confundir la acción seductora del casanova; con un esfuerzo probado indiferente del género por encontrar una relación estable y duradera
Para que se opere un proceso de seducción, solo es necesario un interés mutuo. O al menos la insistencia de una de las partes.
Cuando no hay compatibilidad, una persona puede lograr la inflexión de la otra por un proceso de familiarización. En psicología el proceso cognitivo vía el refuerzo (B. F. Skinner, J. Piaget entre otros)
La repetición, o refuerzo, condicionan el comportamiento, que termina por normalizar asimilando, aceptando una persona que en principio no nos interesa; una relación amorosa es pues fruto de una intensión ya sea mutua o individual de encontrar pareja.
Aquí llegamos a una situación con dos probabilidades; la más común es aquella de la aventura, donde una de las dos personas solo intenta compartir sexo excepcionalmente, rápidamente pasando a otra aventura. Hombres y mujeres acostumbran este tipo de relación y es más común de lo que se puede suponer.
La otra opción es aquella donde al menos un miembro intenta acciones diversas para mantener la relación. Cuando la pareja piensa en conservar la relación. Esto es hoy cada día mucho más raro. Fundamentalmente una de las partes de manera inconsciente al saberse aceptada, progresa hacía posiciones y conductas que pueden ser críticas, agrediendo los sentimientos de la otra.
Los efectos negativos de la confianza
Cuando se comienza una relación amorosa, no se tiene confianza, tratamos de ocultar nuestro lado malo. Es un hecho tradicional, esto funciona, pero es un grave error. Solo que creemos que así conquistamos rápidamente la persona.
Es un error porque le ocultamos cosas que de todas maneras llegarí a saber. Justamente al saberlo, sentirá decepción. La acumulación de esas decepciones, termina creciendo por aplastar las calidades. Es ese sentimiento, donde descubrimos que aumentan los defectos y disminuye la atracción que termina con la relación definitivamente.
Si al comienzo de la relación tratamos de mostrar nuestros aspectos menos interesantes, nuestros defectos, correremos el riesgo del rechazo. Aquí estamos frente a una ambigüedad típica de la relación de pareja en el amor, puesto que todo aquello ocultado necesariamente es lo que al salir a la luz, comienza a pesar en una balanza imaginaria. Será desde ahí que se edificaría el muro de la discordia que lleva al sierra definitivamente de la vida en pareja.
La razón y el rigor exigirán pues exhibir en cuanto antes nuestros gustos y defectos, correremos riesgos enormes de ruptura, sin embargo, para personas sensatas e interesadas en otra cosa que la aventura corta; personas con un alto grado de madurez, vendrá la necesidad de esforzarse realmente por admitir primero que lo que hace durar la relación es disponer de un nivel magnifico de comprensión de los mecanismos de consolidación de una relación.
La franqueza mutua en cuanto a los rasgos de carácter, los defectos, debe situarse muy alto, para lograr una vida de pareja duradera. Indudablemente la vida conyugal, jamás será basada en que el hombre asuma el peso financiero total. Como será jamás basada la vida de pareja sobre la alta gama de contactos sexuales. Estos dos modos opuestos de concebir como base de solides y duración de una relación amorosa, son los extremos que no podemos considerar como razón principal del amor para siempre.
El rigor de la reflexión profunda puede permitir que se comprenda, si somos suficientemente actos a llevar una vida conyugal donde ni el hombre vale solo por la rapidez conque desenfunda la tarjeta bancaria para satisfacer el consumismo ni la mujer es garantía cotidiana de satisfacción sexual.
En países desarrollado observamos que a pesar que por cultura la mujer ya asume cincuenta por ciento de las cargas financieras del hogar, que el hombre asume cincuenta por ciento de la actividad cotidiana del hogar (aseo, preparación de alimentos) las relaciones, logran perdurar en promedio de seis a ocho años, por razones culturales originadas en valores infundados desde la infancia, adolescencia se tiene fundamentalmente menos machismo, que significa más comprensión, por consiguiente más fidelidad.
El tiempo de ocio de un Latino será diferente del tiempo de ocio del escandinavo, si generalizados encontramos el consumo de bebidas alcohólicas pero combinado con diferentes actividades para el Latino la tendencia a la infidelidad es causada por el tabú que impera en torno a la desnudez del cuerpo femenino, por razones “culturales” asociada al sexo.
El cerebro asocia (PAVLOV) desnudez con acto sexual. Esto significa que donde para el europeo ver una mujer desnuda no le lleva al deseo de relación sexual, mientras el Latino ya estará edificando una estratagema eficiente para lograr concluir con el acto sexual. Desde luego abordamos dos universos opuestos con generalidades donde podemos encontrar excepciones.
Es por lo cual algunos trabajos científicos sobre el tema están hechos y soportados en estadísticas validadas. Por razones culturales y demográficas la mujer en Europa podría en muchas ocasiones tener un comportamiento semejante al del hombre Latino. Incluso esto lleva a consecuencias jurídicas legibles en algunos países donde la infidelidad no es causa elegible para solicitud de divorcio. Sólo la ruptura definitiva del lazo conyugal durante un período consecutivo de dice meses permite al juez de dictar sentencia de divorcio (artículos 237 y 238 del código civil francés)
Es esto lo que ofrece a mujeres casadas la posibilidad de tener aventuras discretas y temporales. Pocas veces esas aventuras se traducen en recomposición de parejas
.
Perpignan 1 de octubre 2023 por N. E. RAMÍREZ JIMÉNEZ
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