Une ouvre en gestation

naissance d'un livre

La famille de Geneviève 1976

Eternelle embonpoint rieur, passe par tout; Geneviève même face au mur de la timidité, traina littérairement, depuis, sa position, accoudé sur la fenêtre ouverte en dehors sur le trottoir, un jeune homme disant de quinze ans vers la maison:

La porte d'entré en métal, peinte en blanc, situé à gauche, sur une façade en vert citron,  c'est le début d'un couloir qui longeât toute la bâtisse, d'abord étroit, a peine un mètre, pendant la longueur de la pièce contigüe, qui fait office de salle, c'est-à-dire un peu plus de trois mètres, à la quelle l'entre se fait à la fin du mur en question, l'intérieur est aussi couleur citron en laque brillante, la porte de la salle en angle droit au mur, élargie de sa largeur celle du couloir, puis la fenêtre qui donne à une seconde pièce, trois mètres plus loin une autre porte sur le même mur, puis une fenêtre identique, qui correspondent à la chambre de Geneviève, toujours promiscuité puisqu'elle occupe la pièce de douze mètres carres avec son époux, ces trois filles et son garçon.

La première fenêtre (du mur de gauche avant la chambre de Geneviève, âge environ 35 ans) corresponde à une chambre de dimensions inférieures, ou crèchent, la grand-mère Josépha environ 70 ans, Olga environ 50 ans avec Lucy environs 25 et Gloire environ 15, la mère de Geneviève étant Olga, mère aussi de Gloire et Lucy, Olga à son tour fille de Josépha.

Il faut souligner que les anciens sujets déjà traites entre Geneviève et le jouvenceau, malgré l'écart d'âge tournaient vers des thèmes d'intimité, ou le cunnilingus et la sodomie, furent vite dépassés., parmi d'autres gourmandises de cette femme, pour qui le jeune représenté aussi la fermeté et la raideur que le temps et la monotonie auraient enlevé à son mari.

Sans oublier de rappeler que c'est un dimanche du moi de mai, où se célèbre la fête du père. Dans ce pays du Sacre Cœur. Et que la farce d'une fête aurait été conspiré en guise d'excuse pour retenir le jeune en question, belle excuse au près de sa mère, sans que cela vienne nuire l'stricte mère démodé et rigide.

Le tirant dans la rue par le bras, ce sont ces deux mains qu'elle retienne avec les siennes fermement sur les bourrelets de sa taille, les mains du gars devenu docile, pendant le passage étroit du couloir, à l'abri de tout regard, sans doute des souvenirs d'antan.

Voilà qu'en tournant à droite, devant la porte de la modeste salle, le comportement redeviens correct, elle avance suivi par le jeune toujours tirez d'une main.

-          pour quoi tu pousses tant ce garçon vers ma nièce?

-          Parce que suis une mère moderne, et c'est le seul garçon du coin en qui j'ai vraiment confiance.

-          Soit pas si naïve, ma chérie, que les deux ont déjà eut sans doute ensemble, plus que tu crois?

-          (ample sourire, de satisfaction) Là Eucaristh aurait décroché le gros lot, mais il finirait ses études, après nous parlerions de mariage.

-          Et s'il mange le gâteau et se sauve avant le dessert, tu voies ta fille en cloque à quinze ou seize ans déjà ?

-          T'est plus jeune que moi, et tu parles comme maman, il te manquerait que le scapulaire, je connais ce garçon plus que tu crois

-          Tu voies où il lui met les mains, puis Eucaristh semble prendre plaisir?

-          J'ai déjà beaucoup parlé avec Eucaristh et elle sait qu'il faut profiter au maximum, tant qu'elle puise maitriser la situation, là elle gagne des points (un rire moqueur) puis je crois que les deux forment le couple idéal.

-          Fichu comme il est tu crois qu'ils finiront ensemble? Si ça se trouve il a des prétentions autres que les tiennes. D'autres parents auraient les mêmes intentions que toi.

-          Mais tu ne le connais pas bien encore, il ne sort jamais, par sa mère j'ai les renseignements qu'il me faut, depuis le temps que nous sommes amies, des échanges entre nous ont forgé une très bonne amitié.

-          J'envie de le connaitre autant que toi donc, et je vais le tenter ce soir même.

-          Je parle assez sauvant avec lui, il aide mes enfants avec leurs devoirs, en échange Joaquin est d'accord pour que je donne à sa mère, des légumes et autres fruits.

Une coutume de chaque samedi, avant le midi, une jeep, venant de la ferme des parents de l'époux de Geneviève, déposait, plusieurs kilos de manioque, banane verte, pommes de terre et des fruits en fonction des saisons toujours à profusion.

-          Arrête avec ton baratin, plus que timide il doit être complexé, le pauvre, l'autre jour en aguicheuse, je lui ait parlé et il a eu tellement de mal à me répondre sans doute perturbé par mes cuises (suit un rire strident et moqueur)

Pour les religions il a été jamais question

de sanctionner la passion de l'home pour la beauté,

par tous les temps l'home a aimé avec vénération,

le milles couleurs de printemps et des femmes en été,

Quand le chant des grillions,

s'accompagne des ronflements,

quand la lumière d'une ampoule,

accompagné d'un rideau transparent,

garantissent la paix aux amants.

Quand le choc des gravillons,

laisse entendre la marche des passants,