trombinoscope sociale


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LITTERATURE

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  • suite II


    Quand le choc des gravillons,

    laisse entendre la marche des passants,

    et que la lumière de la lune,

    accompagné d'un brille étincelant

    offrent à Cupide des nouveaux client

    des baises aux caresses en tourbillon

    affluant en attroupement mais tendrement,

    parler n'a valeur aucune,

    des mains la bouche sa mission remplaçant,

    présentant à Dionysos des nouveaux talents.

    Les poètes ont toujours raison,

    car il est toujours plus amusant,

    d'exprimer ses mémoires en chanson,

    des souvenir chargé de passion.

    Des ancien souvenir d'un garçon,

    quand il apprenez avec les règles de l'art,

    les diverses manières de jouir en amant,

    des souvenir à transformer plus tard,

    des mots, la langue de Maupassant.

    C'est même pas que du sexe,

    tout ce qui gravite au tour,

    c'est même pas une bassesse,

    tout ce qu'il y a de plus pur,

    ça été même pas des pucelles

    tout ce qu'il y a de plus sur,

    ça été non plus des poubelles,

    celles qu'ont forgées mon future,

    des femmes pour moi très belles

    pas non plus une sinécure.


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    Suite numéro 2...
    Jue 7 Abr - 11:50
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  • Une ouvre en gestation


     

    Lucy ou une vision magique 1975

     

    Un garçon d'une quinzaine d'années, lycéen, peut connu du quartier; par cause de timidité; pour eux, c'est une évidence, puisque rarement il serait sorti dehors, sauf pour aller dans son vélo au lycée pendant la semaine, et les samedis top le matin avec des copains, en caressant l'idée d'un jour faire le tour de France des journées entières sur les nationales entre Tulua, Armenia et Pereira.

     

    Alors que depuis l'avant dernière heure de cours il sentit l'estomac bruyamment lui crier d'aller s'asseoir chez maman devant le repas du midi. Que des fines gouttelettes de faim suintèrent son pâle visage, dans les derniers hectomètres d'effort pour atteindre la maison. Sous la lumière de l'été éternelle du soleil des tropiques, en rentrant du lycée, voilà que soudain  dans une robe d'un blanc parfaitement propre, un corps bâtit de manière, nettement mieux que celui des rêves. Cette femme, qui vint de s'installer dans la maison adossé à la sienne, il est vrai que déjà le jeans lui serreraient si bien leur de la première vision, qu'il resta juste à connaître alors la qualité de sa peu, est c'est sans doute là, sur cette robe minimaliste en tissus mais opulente en suggestion et volupté; qu'il est difficile de réprimer une sorte de curiosité voyeuse, cette scène aurait invité au désir, n'importe quel adolescent.

     

    Les mains supportant son corps légèrement en arrière, comme sa tête, qui laissa la douce brise jouer avec ses longs cheveux, ces deux genoux joint, assise sous ce trottoir si bas, ses pieds dans des limpides chaussures de sport en toile, d'une blancheur sortie tout juste du lavage, la longueur de sa robe suggérant, dans l'impossibilité de cacher le plus haut de l'arrière de ces cuises, autant dire les sensations de faim et fatigue auraient été balayé d'une vitesse foudroyante, la seule vrai discrétion, sur une culotte en dentelle est provoqué par le contraste du blanc de sa robe au soleil et l'ombre de ces cuises, autant dire, juste une question de contraste.

     

    Pour combler, la situation, d'une voix sucrée sus poudré d'un regard incisif, cette femme, les vingt cinq ans, avec toutes les caractéristiques du modèle utilisé par Tiziano Vecellio pour sa Vénus, entama une conversation:

     

    Ça a été, tes cours ?

     

    Suivi d'un délicieux sourire, autant dire, que dans la gorge, du lycéen, un nœud handicapant ces cordes vocales avoua par le retard de la réponse et la faiblesse du ton, a quel point le pauvre garçon fut troublé.

     

     − comme-ci comme-ça 

     

    − Mes nièces m'ont beaucoup parlé de toi −

     

    Il eut dans l'aire au-delà du message verbal, une atmosphère, dans laquelle, le chat s'amusa résolument à jouer avec la souris, scène déjà-vu lorsque le mulot nage dans la frayeur liquide de la bave, abandonné aux griffes lumineuses d'un sourire acéré au milieu d'un voluptueux visage.

     

    la phrase pauvre en sens littéraire, tandis que le son, le rostre et la posture dona un salace message. Le pauvre garçon, dépourvu de tous ses moyens, se trouva pour ainsi dire psychologiquement nu. L'ouverture providentielle de la porte, et la mère sortant, viennent sauver l'honneur de sa virilité. L'impression de se trouver léger comme une plume, prend ici tout son sens. La vénus étire ces jambes, en les plaquant au sol, Le mystère du charme se rompit avec célérité, les deux femmes entament une conversation de la quelle le garçon se trouvé déjà trop loin. Pendant que la mère ouvrit le passage, les scènes comme "le déjeuner sur l'herbe de Manet ou encore Olympia, ou encore Debat-Ponsan, très loin de la pudeur de J.J. Sargent. Par contre le nez de sa "Madame X" y été là sans le moindre doute…

     


    No hay nuevos mensajesnaissance d'un livre
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    Jue 19 Oct - 1:41
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  • La culture des mots


    Par Néstor Elías RAMIREZ JIMENEZ

    Vendredi 11 janvier 2008

    dans élucubrations je veux faire une traduction à l'espagnol pour mon cher professeur Aguirre

     

    La culture des mots et gestes semble se développer de manière exponentielle.

     

    Les intellectuels, semblent du coup involucres profondément d'un l'actualité socioéconomique du monde.

     

    Je vais de suite faire appel à la métaphore pour sintériser, par la suite si votre bienveillance le permet nous pourrions aborder en profondeur le sujet.

     

    Lors qu'un séisme frappe, il y a un épicentre, la magnitude et la durée sont des facteurs lui donnant des caractéristiques dans le domaine comparatif, les personnes ayant habitation sur la zone d'épicentre sont atteintes avec beaucoup plus de dégâts que les personnes distantes, voir d'autres personnes ayant reçu par les médiats l'information.

     

    Les relations de production, fixent l'évolution de la société. Certaines personnes d'une éducation de niveau indiscutable, cherchent à comprendre, évaluer et prévoir l'évolution de la société ; mais ils se trouvent si loin de l'épicentre que la magnitude ou effet ne les touche pas directement.

     

    La tension sociale augmente de manière proportionnelle à la concentration de la richesse. L'effet principal du phénomène se traduit par la "deshumanisation" de la société.

     

    Il y a deshumanisation, par l'automatisation de la production, la machine prend la place particulièrement des couches sociales les moins éduques ou prépares intellectuellement.

     

    Il y a deshumanisation par la pression des groupes pharmaceutiques sur la politique de la santé, car la santé saurait prodiguée qu'aux couches sociales pouvant apporter un prix.

     

    Il est facile de diagnostiquer la deshumanisation, lorsque une partie de la population croissante, est exclue, exclue par la diminution du pouvoir d'achat, il s'en suit, une longue liste d'exclusions.

     

    Les sciences et technologies, sont par l'exclusion un outil de luxe, accessible du fait à une minorité. La deshumanisation atteint ainsi directement les milieux aises.

     

    Puisque qu'il y un sentiment de bien être, l'angle de vue vis-à-vis de la société, se restreint proportionnellement à la richesse. Plus les gens se sens sans gêne (aises) plus tout au tour leurs semble aller mieux.

     

    Pour quoi vouloir changer une société qui de ce angle de vue fonctionne si bien ?

     

    Un magnat, vie tellement terrait dans son univers, les chiffres les prévisions, les cours de bourse de par le monde, qu'il n'a pas du temps pour rien d'autre, cela est la deshumanisation.

     

    Un professeur d'université, vie tellement occupé à préparer ces cours et qualifier ses élèves qu'il n'a pas le temps de mesurer l'ampleur des dégâts de la mondialisation. Ses exposés seront très appréciés et son salaire saura en conséquence, pour quoi changer cela ?

     

    L'individualisme prône que l'individu excelle dans son domaine, l'écrivain saura ainsi producteur des livres à grand tirage, même si tout au long de l'ouvre, l'on parle du sable chaud des plages, de ciel bleu, et de la beauté et le plaisir, dans des grandiloquents niveaux de rhétorique.

     

    La deshumanisation de sont côté a le champ livre pour évoluer ; mais les effets restent néfastes car loin de toute théorie, loin de toute idée métaphysique théorique, l'espèce humaine est en train de périr par cause d'un voile que les beaux discours, et les excellents livres étalent comme une couverture haute en couleur d'un contenu creux avec la seule finalité de masquer une scène moins digne.

     

    Tirer la pierre sur tel ou tel artiste n'est pas pour autant la fin, puisque la conception même de chacun reste que le retour que celui fait de ses acquisitions cognitives, en retournant au séisme le sujet en question si sa se trouve la personne en question, n'a même pas eu accès au journal télévisé le jour des faits.

     

    Pour moi, personnellement tant des diagnostiques, tant des commissions, ne restent que des signes.

     

    Bien que Joseph Stiglitz soit pour moi un cerveau digne de respect, ne connaissant rien de l'autre personne, qui n'enlève aucun mérite à sa capacité mais plutôt souligne mon ignorance.

     

    Cela reste que des signes qui vont à l'opposé de l'activité politique bien réelle : bouclier fiscale, déremboursement, transfert banalisé du coût de la santé sur certains budgets (négative pour les plus pauvres) déjà lourdement chargés, par exemple pour un couple modeste, la redevance audiovisuel d'un montant de plus de 900 euros (l'équivalent d'un moi de revenu, si c'est n'est pas plus), un scandale! Anéantissement de la justice par suppression des conseils de prud'hommes, suppression des tribunaux, et patronalisation du code du travail. Une réalité si loin de cette idée de politique des civilisations. Ecouté sans doute pour une population anesthésiée.


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